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Chapitre 12 : Livrée à l’infirmière
"Ohhhhhhh! Ohhhh . . .". Elle s'est arrêtée, pleurant et gémissant de douleurs. Je ne crois pas avoir jamais donné à une fille une telle bastonnade! Sarah allait
très clairement mettre des jours à pouvoir s'asseoir ou marcher normalement. Il y avait même quelques rares endroits où un peu de sang était visible.
Je pense que de la voir se dandiner en couinant, cloches tintant à tout va, excita mon enthousiasme et peut-être obscurci mon sens des proportions. Mais je crois
fermement qu’une jeune fille n’est jamais trop punie ! Elle me remercierait un jour, même si je doutais que ce soit pour bientôt.
J'ai donc procédé au retrait de ses « bijoux ». Elle grimaça à la suppression de chaque pince et glapit lorsque je l'ai massée sur les parties libérées
pour faciliter l'écoulement du sang. J'ai ensuite libéré son bras droit. Sa main s'est immédiatement mise à frotter ses fesses pour atténuer ses douleurs intolérables.
Je lui dis d’enlever le reste de ses entraves elle-même.
Toujours en pleurant et gémissante, Sarah tentait d’enlever maladroitement les autres entraves. Apparemment, elle avait un peu perdu de sa dextérité. J’admirai ses
seins qui se balançaient, les mamelons irrités et gonflés.
Sur ce, mon téléphone sonna. Je décrochai. C’était l’infirmière de l’école.
« Oui Sonia ?. . . Vous devez me voir pour une urgence ?. . . Cela ne peut pas attendre ?. . . Soit. Je suis à la salle de punition. Oui . . . Avec Sarah Mc Cluskey. . . . Je vous ouvre la porte . . . », dis-je en appuyant sur un bouton.
Effarée, Sarah se démenait de plus belle pour se libérer et dans sa panique agitait ses appâts encore plus impudiquement. C’est juste au moment ou Sonia entra que l’adolescente réussit à retirer ses entraves.
Sarah couvrit ses seins et sa chatte par pudeur.
Sonia, superbe grande blonde de 25 ans aux jambes interminable, portait sa blouse d’infirmière minimaliste. La blouse, de couleur blanche, portait une croix rouge sur l’épaule gauche, dévoilait largement ses seins généreux par un grand décolleté en V et ne lui tombait qu’au quart de cuisses. La tenue mettait superbement en valeur sa peau blanche et ses cuisses charnues. Connaissant mon infirmière de choc, je savais qu’elle ne portait rien dessous !
A la vue de Sarah, Sonia sourit franchement.
« Eh bien ma petite, tu as du en faire de belle pour recevoir une telle correction ! », s’exclama t-elle.
« Et elle n’est pas terminée ! », commentai-je.
Sarah étouffa un sanglot.
« Oh pitié, Madame La Directrice . . . »
« Vraiment, Madame La Directrice ? », demanda Sonia.
« Oui, je l’ai corrigée pour ses manquements au règlement, mais il me reste à la punir pour avoir jouit sous la punition ! »
« Mon Dieu, voilà qui est en effet particulièrement indécent ! », commenta l’infirmière d’un ton faussement outré.
« Oui, mais je sais me montrer clémente. . . Je vais vous laisser Sarah le temps que vous jugerez nécessaire pour un examen médical complet afin de m’assurer
que je puisse continuer la punition sans dommages pour elle! »
« Oh! S'il vous plaît, s'il vous plaît, je peux pas ... mes fesses ne pourrons tout simplement plus! », supplia la jeune fille.
"Ne t-inquiète pas, ma chérie, tes fesses ne seront plus au centre de mes préoccupations. Je vais devoir punir les parties de ton corps responsables de tes abandons
répétés à tes bas instincts !».
L’adolescente blêmit. Sa mâchoire tremblait.
« Maintenant Sarah, à ta place, je me rhabillerai, à moins que tu ne veuille rejoindre l’infirmerie nue ! »
Sarah, étourdie, enfila ses vêtements avec force grimaces.
« De plus Sonia, j’aimerai que vous épiliez complètement notre jeune amie de façon qu’elle puisse enfin se conformer au règlement et ne pas exposer ses poils disgracieux à tout va lors de ses séances de punitions ».
« Ce sera fait, Madame la Directrice. En plus, les poils sont encore plus disgracieux sur la peau des rousses : je lui ferai une épilation intégrale ! »
Je souri à mon infirmière, satisfaite de la voir reprendre la balle au bond.
« Et bien Sonia, pourquoi souhaitiez-vous me voir ? »
« Rien de bien urgent dans le fonds Madame La Directrice !. . . Le plus important est que j’aille examiner Sarah afin de vous la rendre le plus vite possible et qu’elle en ait terminé avec sa punition ! »
« Oui, en effet ! Mais prenez votre temps ! Je veux un examen vraiment complet car le reste de punition à administrer est particulièrement douloureux et humiliant et je veux être certaine qu’il n’y a pas de contre indication! »
L’adolescente était sur des chardons ardents.
« Et toi Sarah, j’espère que tu as compris que je ne suis plus d’humeur à supporter tes accès de pudeur mal placés ! Sonia est une infirmière ! Son travail est d’examiner des personnes nues ! Alors si tu ne souhaite pas encore aggraver ta punition, je te conseille de ne pas lui compliquer la tâche lors de ses examens et de lui obéir au doigt et à l’œil ! »
La jeune fille déglutit.
« Oui, Madame La Directrice, . . . je serais très obéissante ».
Sonia sortit de la pièce suivit, en claudiquant, de Sarah.
J'eu alors le merveilleux sentiment du travail bien fait.
Sonia et Sarah sorties, je refermai et verrouillai la porte pour être tranquille et fit sauter tee-shirt, short et petite culotte pour enfin m’assoir confortablement dans mon fauteuil.
De ma place, je mis en marche le micro-ordinateur portable placé sur la petite table à côté du fauteuil, puis lançai le programme me permettant de me connecter aux caméras de l’école. Je choisi de me connecter à la caméra de l’infirmerie. Stratégiquement placée, celle-ci m’offrait une superbe vue couleur, avec son, sur la pièce ou Sonia était censée examiner ses chères patientes dans l’intimité. C’est grâce à cette caméra que je pouvais dire que les examens de Sonia étaient très poussés et particulièrement . . . approfondis! Et d’autant plus poussés et approfondis que l’élève était belle et « appétissante ». Sonia aimait visiblement les jeunes filles aux formes très féminines. Avec Sarah, elle allait être comblée.
A peine connectée, je vis entrer une Sarah rouge jusqu’aux oreilles, une Sonia rayonnante . . . et la jeune Lin-Yi, souriant à pleines dents ! Cette garce de Sonia s’était débrouillée pour prendre en chemin cette petite perverse de Lin-yi, une petite asaitique de 16 ans à peine, mince comme un fil de fer, d’une merveilleuse servilité envers le corps enseignant et le personnel de l’établissement, mais au fonds bien sadique avec ses camarades de classe, surtout celles à fortes poitrine ! Par pure jalousie sans doute ! Décidément cela allait être la fête de Sarah !
Lâchant un soupir d’aise, je me calai dans le fauteuil, cuisses bien écartées et pris ma moule glabre aux grosses lèvres brunes à pleine main en commençant à la malaxer sans pudeur.