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Chapitre 13 : Un bâillon-gode dans la gorge
A peine calée, j’entendis Sonia ordonner :
« Bien, tu peux te déshabiller Sarah ! »
La jeune fille rougit encore plus si possible.
« Mais . . . Melle . . . devant Lin-Yi ? »
Sonia fixa Sarah, faisant mine de ne pas comprendre.
« Lin-Yi est mon assistante personnelle à temps partiel. C’est pour cela que je l’ai sorti de sa classe pour lui demander de nous accompagner ! Elle m’aide sur les visites un peu particulières ! Tu peux donc te déshabiller sans gêne : tu ne seras pas la 1ere élève qu’elle verra nue ! »
« Oh, Melle . . . »
« Ecoute Sarah, je ne vais pas passer le reste de la journée sur ton cas. De plus, je te signale que Lin-Yi rate un cours afin de m’aider. Ce serait donc charitable d’essayer de ne pas lui en faire rater d’autres ! Mais si tu ne souhaite pas te déshabiller, nous retournons dans le bureau de la Directrice et nous lui expliquerons . . . ».
La menace fit blêmir la jeune fille.
« Non Melle, je vais obéir ! », dit-elle en commençant par enlever sa veste, puis sa cravate, qu’elle posa sur une chaise.
Sonia, satisfaite, sourit.
Sarah enleva ensuite ses souliers et ses chaussettes, comme pour retarder l’échéance. Mais elle du ensuite passer à la chemise et au soutien-gorge, dévoilant ainsi ses seins plantureux aux larges aréoles roses à sa camarade de classe. Résignée, elle fit ensuite tomber sa jupe et enfin sa culotte. Toujours pudique, elle ne pu s’empêcher de placer un bras devant ses seins et une main devant sa chatte.
« Mon Dieu ! », s’exclama Lin-Yi à la vue du corps encore marqué de la jeune fille, « tu as reçu une véritable dégelée ! » !
Sarah ravala un sanglot.
« Tu as du en faire de belles pour déguster comme ça ! », ajouta la petite asiatique avec perfidie.
Sonia saisit alors Sarah par un bras et commença son office. Elle la pesa, prit son tour de poitrine, son tour de hanche, son tour de cuisse. A chaque nouvelle mesure, je constatai que mon infirmière de choc touchait par « accident » des parties sensibles ; tétons, mamelons, chatte, fesses. Soucieuse de ne pas braquer Sonia à nouveau, Sarah se contraignait à ne pas bouger.
Sonia fit ensuite bouger Sarah : mains sur les pieds, jambes bien tendues, bras en l’air bien étirés, bras à la perpendiculaire du torse, petits sauts sur place. A chaque fois, les seins opulents de la jeune fille gigotaient avec élégance et sensualité.
« Et bien tout cela me semble en parfait état de marche ! », conclu Sonia en prenant en main une longue spatule de bois plate.
« Mais vu ce qu’à laissé entendre Mme La Directrice de la suite de ta punition, je me dois de vérifier le bon état de tes orifices ! »
L’infirmière s’approcha de Sarah et se plaça devant elle.
« Ouvre la bouche ! »
Sarah ouvrit timidement les lèvres.
« Allons, plus fort ma jolie ! »
La jeune fille ouvrit plus franchement la bouche.
D’un geste vif, Sonia enfonça la spatule dans la gorge de Sarah, buttant contre la luette, et la plaqua contre la langue comme pour observer le fonds de la gorge de sa patiente.
C’était visiblement la 1ere fois que l’on enfonçait quelque chose aussi loin dans la gorge de Sarah.
La gorge de la belle eu un spasme et fit mine de vomir.
Tout aussi vivement, Sonia retira la spatule. Sarah respira bruyamment, en état de choc.
« Et bien, quel cinéma ! », lança Sonia. « Si l’attention de Mme La Directrice se porte sur cet orifice, tu risque de l’exaspérer ! »
Sarah ne pu retenir ses sanglots.
« Oh non ! Cela a été plus fort que moi ! . . . je ne souhaite qu’obéir, mais je n’ai pas pu . . . », gémit-elle.
« Excusez-moi Melle, je ne voudrai pas être indiscrète, mais pourquoi Mme La Directrice voudrait-elle punir Sarah par ses . . . orifices ? », demanda Lin-Yi.
« Tout simplement parce que cette prude jeune fille s’est oubliée en pleine punition et a éprouvé un plaisir très sexuel sous les coups ! »
« Oh mon Dieu ! Quelle honte ! », s’exclama la belle asiatique. « Je comprends mieux la sévérité de Mme La Directrice ! Ce n’est pas à notre école que les parents de Sarah devaient la placer, mais dans une maison de passe !»
Sonia éclata de rire.
« Oh non, Melle . . . ». Sarah mourait de honte que Lin-Yi connaisse la vérité sur son comportement.
Sonia se dirigea vers une table ou était placés divers instrument et revint avec un bâillon gode en main. Le gode était couleur d’ébène, fin et long d’au moins 20 cm. Il était fixé sur une sangle en cuir.
Les yeux de la jeune fille fixaient l’engin sans ciller. C’était indubitablement la 1ere fois qu’elle voyait un bâillon gode.
« Nous allons donc entraîner ta gorge au cas où . . . allez, ouvre la bouche », demanda Sonia.
Sarah pleurait maintenant franchement. Son corps était secoué de tremblements. Ses seins en gigotaient en tous sens.
Prenant sur elle-même, elle se contraignit à ouvrir la bouche.
Sonia se plaça derrière elle, positionna le gode devant la bouche de sa « patiente » et l’enfourna brutalement dans sa gorge. Avec dextérité, elle saisit les 2 lanières de cuir et les fixa derrière la tête de Sarah.
Le corps de celle-ci fut pris d’un spasme violent et donna l’impression de vouloir vomir à nouveau.
La jeune fille tomba au sol à 4 pattes, râlant comme un animal à l’agonie, ses seins blancs et lourds pendant vers le sol.
Le gode étant creux, un filet de salive s’écoula par l’orifice circulaire de la sangle. Sarah bavait sur le sol un filet de bave quasi continu !
Je me pétrissais alors la moule comme une furie depuis plusieurs minute et j’eu mon 1er orgasme !
« Très bonne idée Sarah ! Reste à 4 pattes ! Cela va me permettre de tester l’élasticité de ton anus ! Car je serais très étonnée, vu la gravité de tes écarts de conduite, que Mme La Directrice ne pense pas à s’occuper de lui ! »
Là où j’utilisai « le choc » des punitions corporelles pour « attendrir » puis briser et donc ensuite remodeler pour leur plus grand bien les péronnelles dont l’éducation m’était confiée, Sonia recourait franchement à l’humiliation à caractère sexuel ! Je devais constater que c’était diablement efficace !
Sonia se dirigea à nouveau vers sa table couverte d’instruments et revint vers Sarah, qui vu sa position ne pouvait la voir, avec en main une poire et une matraque un peu particulière : longue de 20 cm, elle n’était pas uniforme mais en fait constituée de 3 boules reliées les une aux autres par un une barre de caoutchouc rigide. La matraque était prolongée par un manche qui permettait de l’avoir bien en main.