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Chapitre 9 : Séance pipi et piercing (2ème partie).
Indifférentes, Nicole et Sarah continuèrent leur conversation pendant que Jackie administrait trois lavements à l’adolescente. Tout
d’abord, elle dut lui ôter le bouchon de caoutchouc qu’Allie portait maintenant depuis deux jours.
Les deux femmes parlaient du corps de la jeune fille comme s’il s’était agi d’un vulgaire morceau de viande, relevant la petitesse de ses seins, son sexe gonflé qui ressemblait à celui d’une
petite fille, et son anus rose.
Allie sentit l’embout détesté violer une nouvelle fois son anus. Jackie ouvrit le robinet et injecta la mixture chaude et savonneuse dans ses intestins. Le procédé semblait être plus rapide cette fois. Jackie ôta l’embout et Allie laissa ses viscères expulser leur contenu. Encore deux fois, Jackie enfonça le bourrelet dans le sphincter de l’adolescente et la remplit. Allie commençait à être excitée par l’attention constante qu’on prodiguait à son entrecuisse. Le liquide chaud dans ses intestins la stimulait.
Puis la jeune femme administra à l’adolescente une sorte de douche vaginale, poussant l’embout de la poire entre les lèvres imberbes pour le faire pénétrer dans le jeune vagin et projeter le liquide parfumé au jasmin dans les tréfonds de l’intimité de la jeune fille. Allie grogna de plaisir en s’emplissant de la solution nettoyante. Lorsque l’esthéticienne ôta le réceptacle vide du sexe de l’adolescente, un jus dégoulina et s’écoula dans le seau placé sous son entrecuisse. Dès que sa vulve eut restitué tout le liquide, la jeune femme l’essuya avec un gant de toilette chaud, poussant jusque sous les fesses de l’adolescente pour essuyer aussi son anus. Elle appuya un peu le linge rêche dans le sphincter pour s’assurer qu’il était bien sec. Enfin, elle se leva, s’empara du seau et alla le vider dans les toilettes.
A son retour, Jackie tenait dans ses mains le matériel de rasage. Elle s’assit sur un tabouret entre les jambes de l’adolescente. Allie gémit de nouveau dans son bâillon. Elle sentait l’esthéticienne étaler la crème rasante sur son pubis et la répandre partout sur ses parties intimes les recouvrant de mousse. La sensation lui procura presque un orgasme. L’esthéticienne s’en rendit compte et se servit de sa main lubrifiée pour masser et caresser en tournant autour du clitoris de l’adolescente, la menant rapidement au summum de son plaisir. Allie gémit et balança la tête en arrière, elle était si près de l’orgasme. Jackie introduisit un doigt savonneux dans le sexe de la jeune fille, lui procurant à l’immédiat un orgasme fulgurant qui la fit crier.
— Quelle salope commenta Sarah. — Est-ce qu’elle suce aussi bien qu’elle en a l’air ?
— Pas encore, répondit Nicole. — Mais donne-moi encore quelques semaines et ça sera une excellente lécheuse de chattes.
L’esthéticienne entreprit de raser la jeune fille. Nicole et Sarah s’y intéressaient de temps en temps, mais elles ne cessèrent de
discuter du bon vieux temps lorsqu’elles étaient au collège.
L’adolescente n’en revenait pas de la désinvolture avec laquelle elle était traitée, étendue, nue, attachée étroitement à la chaise, les jambes douloureusement écartelées, épuisée et
fourbue par l’orgasme et les dégradations qu’elle avait dû subir les jours précédant.
Jackie travailla rapidement sur le duvet qui recommençait à pousser autour de son sexe et de son anus. Bientôt l’adolescente fut à nouveau aussi lisse que le jour de sa naissance.
Une fois son travail terminé, Jackie se releva.
Allie était contente que ça soit enfin terminé. Maintenant, elle allait peut-être pouvoir profiter de sa journée.
Jackie se recula pour faire de la place aux deux femmes qui, bien entendu, s’approchèrent.
— Un sur chaque téton et un sur le capuchon de son clitoris. Dit Nicole.
Allie ne comprit pas de quoi elle parlait. Mais soudain elle vit ce que l’esthéticienne tenait entre ses doigts. Elle comprit enfin ce
qu’elle allait devoir subir. Elle se mit à se débattre dans tous les sens et à crier derrière son bâillon.
Nicole tendit la main vers le visage de l’adolescente et saisit sa mâchoire d’une main ferme.
— Reste tranquille, petite salope ou bien je vais devoir te punir ici, devant tout le monde.
Allie continua à ruer dans ses liens.
— Tu l’auras voulu ! Dit Nicole avec colère. — Mesdames, voulez-vous me prêter main-forte s’il vous plaît.
Les deux femmes se précipitèrent, trop contentes d’offrir leur aide. Tout d’abord elles attachèrent les poignets d’Allie ensemble
avant de la libérer de la chaise. Puis elles fixèrent les liens de ses poignets à une poulie qui pendait au plafond. Lorsqu’elles les tendirent, l’adolescente fut soulevée de la chaise. On en
profita pour lui détacher les jambes.
L’adolescente passa d’une position de contrainte allongée, les jambes écartelées, à une position ou elle était suspendue au plafond, nue, balançant sans défense au bout de ses liens. Ses
mouvements désordonnés se calmèrent rapidement.
— Maintenant, sauriez-vous où je pourrais trouver quelque chose d’environ un mètre de long que je pourrais utiliser sur cette petite chienne rétive ?
Allie secoua la tête et leva les yeux pour voir comment elle était suspendue. Ses poignets étaient attachés à un crochet qui pendait au bout d’une corde venant du plafond. Elle essaya de se débattre pour libérer la corde, mais n’arriva même pas à la faire bouger.
Jackie alla chercher une espèce de fouet dans un placard. Sarah passa la tête entre les rideaux et prévint les autres femmes de ce qui allait se passer. Bientôt, cinq autres femmes s’étaient jointes à elles : deux coiffeuses, la réceptionniste et deux superbes clientes.
Nicole tapota gentiment le dos de l’adolescente.
— Sais-tu pourquoi je vais te punir, petite salope ?
Allie secoua la tête de droite à gauche, elle ne pouvait pas parler avec le bâillon qui obstruait sa bouche.
— Pour m’avoir désobéi et humiliée devant mon amie Sarah.
Elle fouetta sévèrement le dos de l’adolescente pour ponctuer sa phrase.
TCHAC !!
— HHHHMMMMM !! Hurla Allie à travers son bâillon.
Elle essayait de regarder par-dessus son épaule lorsqu’un autre coup heurta sa chair nue.
Les autres femmes s’exclamèrent lorsqu’elle reçut le coup.
TCHAC !!
Elle laissa échapper un autre cri étouffé. Chaque morsure de la lanière envoyait des vagues de feu sur le dos de la pauvre petite.
— Quand je te dis quelque chose…
TCHAC !!
— Tu le fais.
TCHAC !!
Nouveau cri étouffé.
Nicole alloua une bonne vingtaine de coups à l’adolescente. Elle se déména jusqu’à ce que celle-ci ne poussa plus que de faibles
grognements à chaque lacération. Lorsqu’elle s’arrêta, la jeune fille pendait mollement dans ses liens.
Nicole s’approcha d’elle et passa son bras autour de sa taille.
— Maintenant, reste tranquille pendant que Jackie perce tes tétons et le capuchon de ton clitoris où je te promets que tu vas le regretter.
Sur ce, Jackie s’approcha de la jeune fille avec le matériel de piercing. Allie ouvrit les yeux. La douleur de son dos se calmait un
peu pour se transformer en brûlure.
Ses yeux s’ouvrirent en grand lorsqu’elle vit l’horrible instrument dans les mains de l’esthéticienne.
Jackie l’appliqua contre le téton droit de l’adolescente, plaça la pointe de l’instrument contre le téton et pressa. Allie hurla dans
son bâillon pendant que l’aiguille traversait la petite pointe de chair avec un petit "plop". La jeune femme retira l’aiguille et se saisit de l’anneau en or d’environ 5 centimètres que Nicole
lui tendait nonchalamment. Elle le fit passer par le trou qui perforait le téton de l’adolescente.
Pauvre Allie, la souffrance était atroce. Des larmes coulaient sans discontinuer de ses paupières soudées par douleur. Elle sanglotait derrière son bâillon. Elle ne voulait pas qu’on lui perce
les seins. Et le capuchon de son clitoris ?!
Pas ça, elles n’allaient quand même pas lui faire ça pour de bon ?
"Plop" le second téton fut percé avant même qu’elle s’en rende compte. La douleur redoubla, ses petits tétons si sensibles étaient en feu. Nonchalamment, Jackie glissa le deuxième anneau en or à travers le trou qu’elle venait de pratiquer. La poitrine de l’adolescente se soulevait convulsivement pendant qu’elle gémissait à travers son bâillon.
Jackie se tourna vers les spectatrices et leur demanda de l’assister en maintenant les jambes de la jeune fille écartées. La réceptionniste s’approcha et attrapa la jambe gauche tandis qu’une des deux coiffeuses se saisit de l’autre. Ainsi écartelée, Allie offrait intégralement son sexe à Jackie.
Elle sentit l’esthéticienne placer l’odieux instrument contre ses lèvres sexuelles.
S’il vous plaît ! non ! pensa-t-elle à travers la douleur étourdissante qu’elle éprouvait. Pas ici !
Jackie manœuvra les mâchoires de l’emporte-pièce et les plaça de chaque côté du capuchon de son clitoris. Proche de l’hystérie, Allie remua la tête. Une pression… Une douleur fulgurante… Elle s’évanouit.
Nicole regarda le corps inanimé de l’adolescente qui pendait dans ses liens. Elle était proche de l’extase. La lente plongée de la
jeune fille dans les bas-fonds de la servitude se déroulait parfaitement bien. C’était la fille idéale, suffisamment servile mais aussi suffisamment innocente, la victime rêvée pour une
dominatrice. Nicole se régalait, elle avait de si grands projets pour l’adolescente.
Elle tendit le troisième objet qui devait être implanté dans le corps de son esclave. C’était un petit cadenas en or et sa clef.
A sa vue, Jackie et Sarah sourirent.
Jackie inséra le cadenas dans l’ouverture qui transperçait le capuchon du clitoris de l’adolescente, le referma et en tendit la clef à Nicole.
— Merci Jackie, maintenant vous pouvez la redescendre.
Jackie reposa la jeune fille sur le sol où elle resta étendue, aussi immobile qu’une poupée. Elle libéra les poignets de l’adolescente pendant que Nicole plaçait la petite clef du cadenas de sa petite salope sur son porte-clefs. Elles tapotèrent les fesses de l’adolescente jusqu’à ce qu’elle sorte de sa torpeur.
Allie se réveilla étendue sur le sol. Son dos était en feu, ses tétons et son clitoris la brûlaient, mais la douleur était
supportable. Elle se rendit compte que ses mains étaient libres. Elle tendit la main pour toucher les anneaux qui traversaient ses tétons, ils étaient froids. Elle sentit qu’ils traversaient ses
tétons de part en part. Puis elle baissa sa main et s’enquit de ce que Nicole lui avait fait faire sur le sexe. Ça ressemblait à un petit cadenas. Elle souleva la tête pour regarder entre ses
jambes. C’était bien un petit cadenas.
Maintenant, elle comprenait. C’était ainsi que Nicole lui faisait comprendre à qui appartenait son sexe.
Jackie ôta le bâillon de la bouche de l’adolescente qui de redressa en aspirant rageusement une grande goulée d’air.
Voyant l’expression de tristesse sur le visage d’Allie, Nicole déclara :
— Je suis désolée petite chienne, mais c’était pour ton bien. Tu dois apprendre à obéir, ça rendra notre relation tellement plus facile pour toutes les deux. J’avais tellement envie de te faire percer. Je trouve que c’est vraiment sexy, et tu es une petite salope tellement sexy que j’ai pensé que ça te paraîtrait naturel d’avoir quelques piercings.
Elle aida l’adolescente nue à se remettre sur ses jambes flageolantes et la prit dans ses bras.
— Ecoute, nous allons aller t’acheter un cadeau pour que tu te sentes mieux.
Elles passèrent la robe légère sur le dos de l’adolescente. Elle était si fine qu’elle ne masquait aucune des marques rouges qui brulaient le dos de la jeune fille. Nicole la guida jusqu’à sa voiture. À chaque pas, Allie sentait sa petite cargaison intime rebondir contre son clitoris, lui rappelant ce qu’elle était devenue : L’esclave sexuelle de Nicole. Déprimée, elle s’assit sur le siège passager.