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Chapitre 12 : Règles (1ère partie)
Lorsque enfin les deux femmes arrivèrent à la maison, Allie était trop épuisée pour réfléchir correctement. Sa journée avait été
tellement dure : On lui avait fait pipi dessus, on avait posé des anneaux sur ses seins et son sexe, et pour finir elle avait été offerte à trois inconnues. Tout ce qu’elle souhaitait était
de rentrer et se cacher quelque part, faire le vide d’une manière ou d’une autre et oublier qu’elle était devenue l’esclave sexuelle de Nicole. Comment en était-elle arrivée là ? Il y a
quelques jours, elle se considérait encore comme une adolescente normale, et aujourd’hui elle était devenue la pire salope lesbienne qu’il soit. À tel point qu’elle n’arrivait plus à compter le
nombre de sexes féminins qu’elle avait léché ou sucé pendant les dernières 24 heures.
Elle se consola en pensant qu’au moins elle était rentrée, qu’elle ne vivrait plus de situations aussi humiliantes, qu’il n’y aurait personne d’autre pour voir sa nudité.
Nicole gara la BMW dans le garage.
— Suis-moi petite salope.
Elles se dirigèrent vers la maison.
Une fois à l’intérieur, Nicole se retourna face à Allie et lui dit :
— Jusqu’à présent, j’ai été assez tolérante avec toi, jeune fille, mais maintenant il me faut mettre en place quelques règles. Elles pourront te paraître un peu rigoureuses, mais c’est pour ton bien.
Allie baissa les yeux et approuva.
— Règle numéro un, tu devras m’obéir en tous lieux et en tous temps. Me fais-je bien comprendre ?!
— Oui Maîtresse, répondit Allie d’une toute petite voix.
Nicole s’approcha de l’adolescente, posa sa main sous ses petites fesses et caressa un moment la peau nue sous la jupe plissée.
— Maintenant, mon petit jouet sexuel, nous allons faire quelques exercices d’entraînement, d’accord ?
L’estomac d’Allie se contracta. Qu’est-ce que Nicole allait bien pouvoir inventer ?
La jeune femme laissa sa main errer sur le corps de l’adolescente. Dans le même mouvement, elle releva la jupe et exhiba les petites fesses parfaitement rondes. Puis, elle fit demi-tour, traversa le salon et lança nonchalamment à Allie :
— Déshabille-toi.
Allie s’exécuta prestement, ôtant la mini-jupe, le petit chemisier transparent, sa culotte, ses chaussettes et ses chaussures.
— Rejoins-moi dans le séjour.
Entièrement nue, Allie s’avança jusqu’au salon. Nicole y trônait, assise sur le canapé.
— Bien, maintenant la règle numéro 3 : Tu devras rester constamment nue, tant que je n’en aurai pas décidé autrement.
Allie ne bougeait pas, les yeux braqués sur le sol, se tenant nue devant sa Maîtresse.
— Je suppose que tu te demandes quelle est la règle numéro 2 ? Et bien la règle numéro deux stipule que tu feras l’amour avec
toutes les personnes que je te désignerai. Ce seront exclusivement des femmes, mais il se peut que je te demande aussi d’aller avec un homme de temps en temps.
Pour finir, j’ai dressé une liste complète de règles que tu devras apprendre par cœur. Je te la donnerai plus tard.
— Ce ne sont que les trois premières, mais tu devras obéir à chacune d’entre elles, à moins que je t’en dispense exceptionnellement. Maintenant tourne toi, tout doucement, que je puisse t’inspecter.
Allie se mit à tourner sur elle-même, sous les yeux de sa Maîtresse.
— Montre-moi chacun de tes piercings et remercie-moi pour chacun d’entre eux au fur et à mesure.
Allie acquiesça et souleva son sein gauche, il était si petit qu’elle n’arrivait pas à le faire tenir dans sa main. Elle le souleva et dit d’une petite voix :
— Merci pour mon piercing Maîtresse.
Pour rien au monde elle n’aurait voulu contrarier sa Maîtresse.
— C’est bien ma fille, maintenant mets un peu plus d’enthousiasme pour les autres. J’attends que tu saches apprécier les efforts que je fais pour toi.
Nicole adorait ça, elle savait que l’adolescente détestait ses piercing, mais plus elle la dégradait, plus ça l’excitait.
Allie attrapa son sein gauche.
— Merci pour mon piercing Maîtresse.
Sa voix était monté d’un cran.
— Souris, ma fille, tu n’es pas contente d’avoir de nouveaux bijoux ?
— Si Maîtresse.
L’adolescente essaya de sourire. Elle baissa la main vers son clitoris mutilé et souleva le petit cadenas.
— Merci pour mon piercing Maîtresse.
— Il n’y a pas de quoi, petite salope. Si tu te tiens bien, je t’en ferai peut-être poser quelques autres. Maintenant approche.
Allie s'avança vers sa Maîtresse.
— A genoux, espèce de petite suceuse de chattes, et rampe jusqu’à moi.
Allie se prosterna et se glissa entre les jambes écartées de sa Maîtresse.
— Quatrième règle, tu porteras tout le temps ton collier.
Nicole retira le vilain collier à chien de derrière son dos et le passa autour du cou mince de l’adolescente.
— Tu te souviens de ce qui y est inscrit ? Allie la salope. Je trouve que ça résume assez bien ce que tu es devenue non ?
— Maintenant lève-toi que je puisse admirer ma petite esclave qui s’entraîne.
Allie se redressa.
— Bon dieu, tu es une sacrée petite poupée sexy, on dirait une actrice porno tout juste pubère.
Nicole se leva et passa majestueusement à côté d’Allie.
— Va me préparer à dîner.
L’adolescente partit en trottinant, nue et humiliée.
Après manger, Nicole se retira dans le salon. Elle se fit servir un verre de vin par la jeune fille puis la congédia prétextant
qu’elle devait nettoyer la cuisine.
Lorsque ce fut terminé, Nicole la fit s’agenouiller à ses pieds pendant qu’elle regardait les informations, s’amusant distraitement avec ses seins, tiraillant sur leurs anneaux.
Ensuite l’adolescente dut aider sa Maîtresse à se préparer pour la soirée. Tout d’abord, elle dut la déshabiller, puis la masser et enfin lui lécher le sexe. Lorsque Nicole fut couchée, comblée, elle demanda à la jeune fille :
— Petite pute ! tu trouveras les règles que tu dois apprendre imprimées sur ce document. Dit-elle en désignant le pied de son lit. — J’attends de toi que tu les connaisses par cœur demain matin. Chaque règle méconnue te vaudra un coup de fouet.
L’adolescente se pencha sur son petit couchage et s’empara du document qui y était posé.
Prends cette feuille et va dans le salon pour l’apprendre. Quand tu la connaitras par cœur, tu pourras revenir. Avant de te coucher, tu attacheras ton collier à cette laisse. Elle désigna une chaîne qui pendait, fixée au montant du lit. — Et tu dormiras par terre, comme indiqué dans la règle numéro 7. Maintenant, laisse-moi dormir, salope.
Choquée Allie s’empara de l’imprimé et quitta la chambre. Elle avait encore le goût du sexe de sa Maîtresse sur ses lèvres lorsqu’elle s’assit pour réviser les règles que lui imposait sa Maîtresse.
Le document commençait ainsi :
Règles pour Allie l’esclave sexuelle lécheuse de chattes.
1) J’obéirai à tous les ordres de Maîtresse Nicole.
2) Je ferai l’amour avec toutes les personnes que me désignera Maîtresse Nicole.
3) Je resterai nue en permanence tant que Maîtresse Nicole ne m’ordonnera pas le contraire.
4) Je sucerai au moins trois sexes de femme chaque jour, sans compter celui de Maîtresse Nicole.
5) Je porterai mon collier chaque fois que je serai à la maison.
6) Je m’adresserai à toutes les femmes en les appelant "Maîtresse".
7) Lorsque j’irai ouvrir la porte d’entrée, si c’est une femme, je lui demanderai : "Puis-je sucer votre minette, Maitresse ?" Quel que soit son âge, son origine raciale ou son apparence physique.
8) À la fin de l’année scolaire, je devrais avoir séduit une camarade de classe et avoir une relation lesbienne avec elle. Lorsque je serai en seconde, je devrai séduire une terminale, lorsque je serai en première, je devrai séduire une terminale et lorsque je serai en terminale, je devrais séduire une seconde. À la fin de l’année, je devrais les avoir suffisamment entraînées pour qu’elles demandent la permission de sucer le sexe de Maîtresse Nicole.
9) Je porterai mon gadget anal tout le temps.
10) Je serai responsable de mon hygiène intime. Je devrai avoir le sexe épilé en permanence. Aucun poil rebelle ne sera toléré. Je devrai organiser moi-même mes rendez-vous à l’institut de beauté pour qu’on s’occupe de moi.
11) Je dormirai nue au pied du lit de ma Maîtresse à moins que Maîtresse Nicole m’en dispense.
12) J’assisterai au cours de fitness trois fois par semaine.
13) Je ne devrai jamais m’asseoir sur un siège quelconque sans la permission de Maîtresse Nicole.
14) Je ne prendrai aucune décision sans avoir consulté Maîtresse Nicole.
15) Je devrai toujours avoir un visage souriant.
16) Je me masturberai tous les matins.
17) Je comprends que je suis une esclave sexuelle et que ma vie est entièrement contrôlée par Maîtresse Nicole.
18) Je suis responsable du corps de ma Maîtresse, je devrai le rendre aussi beau qu’il me sera possible. Ce sera la seule chose qui aura de la valeur pour moi. Je devrai être fière de l’apparence de ma Maîtresse.
19) Ma vie est dédiée à ma Maîtresse.
TOUT MANQUEMENT AU STRICT RESPECT DE CES REGLES SERA SÉVÈREMENT PUNI.
Allie eut du mal à lire l’intégralité du document, les larmes qui lui échappaient abondement la gênaient beaucoup. Nicole ne pouvait quand même pas l’obliger à faire tout ça ? Comment pourrait-elle sucer trois sexes différents par jour ? C’est alors qu’elle se souvint que depuis deux jours, elle en avait sucé trois aujourd’hui et quatre la veille.
Elle relut l’ensemble des règles et s’arrêta à la numéro 12. Elle se leva et se rassit sur le canapé en secouant la tête un bref instant. Mais comme elle ne voulait pas être punie, au comble du désespoir, elle se laissa glisser lentement sur le sol.
Après environ une heure passée à apprendre ces horribles règles qui allaient dorénavant régir sa vie, elle retourna dans la chambre de Nicole, attacha son collier à la laisse qui pendait du montant, tira la petite couverture sur son corps et essaya de s’endormir.
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Le lendemain matin, Allie fut réveillée par le pied de Nicole qui lui tapotait les fesses.
— Masturbe-toi, esclave, tu n’as pas déjà oublié la règle numéro 16 ?
Allie roula sur elle-même et leva les yeux vers sa Maîtresse. Nicole, debout devant elle, la fixait avec un air sévère.
— Allez, lécheuse de chattes, écarte tes petites cuisses de grenouille et masturbe-toi.
Rouge de honte, Allie écarta les jambes et plaça sa main entre ses cuisses. Son sexe était sec et elle heurta le cadenas accroché au capuchon de son clitoris. Elle le souleva d’une main et commença à se caresser de l’autre.
— Est-ce que tu penses à lécher une minette ?
— Oui Maîtresse, mentit-elle. En fait, elle ne pensait à rien. Mais maintenant que sa Maîtresse en parlait… Elle imagina un sexe humide et musqué dans lequel elle aurait enfoui sa langue.
— Est-ce que tu penses au minou de Betsy ? Tu vas probablement le lécher ce soir.