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Chapitre 5 : L'invitée surprise
Une fois cette toilette terminé il était environ 13h. Maîtresse Caroline me dit :
- Maintenant tu vas aller te préparer, j'ai une surprise pour toi.
Une surprise pour moi ? Je n'avais aucune idée de ce que cela pouvait être. Elle me conduisit à la salle de bain. Dedans ce trouvait la tenue de soubrette que j'avais déjà portée : une micro robe et un tablier blanc, bien sur pas de sous vêtement, il y avait aussi les sandales à talons hauts. Elle me détacha puis me dit :
- Allez enfile tout ça.
Une fois la tenue enfilée, elle me maquillât légèrement et me sécha les cheveux. Elle me rattacha immédiatement une fois fini. J'avais les poignets enchaînés dans le dos reliés à mes chevilles elles aussi liées.
- Bien te voila prête.
Dans ma tête je me dis : Oui, mais pour quoi ?
Je n'eu pas le courage de lui poser la question et me comportais très docilement.
Elle me conduisit devant l'entrée, me fit agenouiller face a la porte et me bandât les yeux à l'aide d'un foulard. Elle me fit ouvrir la bouche pour m'introduire le terrible bâillon boule.
Je du rester dans cette position une vingtaine de minutes sans que maîtresse Caroline ne s'occupe de moi quand soudain on sonna à la porte. Un frisson me parcourut tout le corps. Je ne pouvais pas rester dans cette position et ainsi vêtu. Je voulu me relever mais Maîtresse Caroline qui se trouvait à coté de moi me saisit par les cheveux et me dit :
-Tu n'as pas intérêt à bouger petite garce, voilà ta surprise !
Elle me jeta violemment la tête en arrière. J'étais terrifiée à l'idée que quelqu'un me voit ainsi mais ma condition d'esclave soumise avait pris le dessus sur mon comportement.
La porte s'ouvrit et j'entendis une voie de femme s'écrier :
-Wouaaah !
- Surprise !!
Mais qui était ce ? J'étais paniquée et honteuse de me retrouver dans cette position.
-Je vois que tu as su exercer ton talent de dominatrice, dit l'inconnue.
-Oui, je t'avais dit que nous avions fait le bon choix.
Mais, cette voie ne me semblait pas inconnue...
Soudain l'inconnue me saisit le menton d'une main et de l'autre dénoua le foulard : c'était Stéphanie, la fille qui m'avait fait me retrouver là, la cause de mon malheur. Mais que faisait-elle ici ?
-Alors petite chienne, je vois que tu as enfin trouvé ta place, me dit elle.
-Voilà ta surprise Sophie, comme tu le vois j'ai invité ton amie de classe à te rendre une petite visite, me dit Maîtresse Caroline.
Je compris vite que c'était un complot car les deux femmes avaient l'air de bien se connaître.
-Bon et si nous allions nous installer au salon ?, dit Maîtresse Caroline.
Elle me fit me relever et me fit m'avancer jusqu'au salon pour enfin me faire agenouiller à côté de son fauteuil, j'avais l'impression d'être le toutou que l'on emmène partout. Stéphanie était assise en face de moi sur le canapé.
-Sophie, Stéphanie, est dorénavant ta deuxième Maîtresse. Tu devras te conduire aussi docilement qu'avec moi. Tu as compris ?
-Oui Maîtresse.
Je n'en revenais pas, je venais de jurer allégeance à cette fille que je connaissais dans le contexte des études depuis quelques années maintenant et qui avait le même âge que moi. Ma situation n'allait pas en s'améliorant : j'étais maintenant l'esclave personnelle de deux femmes!
-Je pense qu'il faut qu'elle te prouve son obéissance Stéphanie, qu'en penses-tu ?
-Je suis tout à fait d'accord ! Qu'est ce que tu proposes Caroline ?
-Je pense que le meilleur acte de soumission est l'adoration des pieds de sa maîtresse.
-Ah oui ! Très bonne idée !
Je regardais Maîtresse Caroline abasourdie ! Je n'allais quand même pas lui lécher les pieds! Elle passa ses mains derrière ma tête et me détacha le bâillon. Elle me fixa ensuite et me dit :
- Tu as très bien compris ce qu'on attend de toi alors exécute toi !
-Mais Maîtresse . . . je vous en prie je ne vais quand même pas lui lécher les pieds ??
Elle n'apprécia pas du tout ma réponse, me saisit les cheveux et me conduisit face aux pieds de Stéphanie, ou plutôt de Maîtresse Stéphanie. Toujours en me maintenant la tête elle me dit:
-Allez fait ce que l'on te dit !!
Maîtresse Stéphanie déchaussa son pied droit, elle portait des petites tongs (bien de saison), et le leva jusqu'a mon visage. Horreur : sa plante de pieds était noire de crasse.
- Comme tu le vois ma petite Sophie, j'ai marché tout le matin et je n'ai pas eu le temps de me laver les pieds. Mais je crois qu'une esclave est la pour ça ! , me dit Stéphanie en souriant.
-Allez Sophie, elle a tout à fait raison, enchaîna Maîtresse Caroline.
-Mais Maîtresse je ne peux pas, c'est dégoûtant.
-Ah oui tu ne peux pas ? Et bien tu aurais dû ! Me dit Maîtresse Caroline d'une voix énervée
Elle me fit me relever en me tirant les cheveux et me tira jusqu'à la terrasse. Elle me fit m'agenouiller sur le sol en béton et me dit de ne pas bouger. Stéphanie venait de nous rejoindre et elle lui dit de me surveiller le temps qu'elle aille chercher quelque chose. Elle revint avec un martinet et un petit sot rempli d'eau qu'elle versa sur le sol. Ensuite elle se déchaussa et frotta ses plantes de pieds nus sur la flaque. Puis elle me dit :
- Tu aurais mieux fait de ne pas discuter maintenant tu vas devoir nettoyer nos plantes de pieds à toutes les deux et si tu refuses encore tu auras droit au martinet.
Elle me montra un de ses pieds et je me rendis compte qu'il avait récupérer tout le mélange de poussière, terre, eau et diverses saletés. Elle me fit m'allonger sur le dos et me posa son pied droit sur le visage. Par réflexe je tournis ma tête, ce qui me value une dizaine de coup de martinet à l'intérieur des cuisses.
-Arrêtez Maîtresse . . . s'il vous plait, lui suppliais je.
-C'est à toi de choisir : soit tu fais ce que je t'ai demandé, soit tu as mal, me dit Maîtresse Caroline.
Elle savait être très persuasive, c'est pourquoi je lui fis comprendre que j'abdiquais.
-Tu vois, dis Maîtresse Caroline à Stéphanie, il faut savoir être ferme et autoritaire et on obtient tout ce qu'on veut.
-Je vois ça, lui répondit-elle.
Elle reposa son pied sur mon visage mais cette fois je n’essayai même pas de refuser. Elle frotta chaque une de ses plantes de pieds sur mon visage puis me fit ouvrir la bouche pour que je les lui lèche. Je sentais le mélange granuleux de saletés sur ma langue et j'étais écœurée. Cela dura de longues minutes. Elle me fit stopper quand elle estima que ses pieds étaient redevenus propres. Je n'avais qu'une envie c'étais de me laver la bouche mais elle me dit :
-Très bien, tu vois que ce n'est pas si dur. Tu vas maintenant pouvoir faire ce que je t'avais demandé.
Maîtresse Stéphanie c'était assise sur une chaise sous laquelle je dus m'allonger, le haut du corps entre les pieds de la chaise, la tête juste dessous les pieds de Stéphanie et pendant qu'elles prirent le thé je lui ai lavé la plante des pieds avec ma langue. Elles prirent leur temps et mon supplice dura, je pense, plus d'une heure.
Une fois que Stéphanie jugea mon travail satisfaisant elle me fit m'installer à genoux à coté d'elle et me dit :
-Et bien Sophie je suis contente que tu ais trouvée ta place . . . j'ai l'habitude de marcher pieds nus tu vas m'être très utile!!
Les deux femmes se mirent à rire et moi je n'osai même pas relever la tête...