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Chapitre 18 : Séance photo
— Allez petite salope ! Presse-toi un peu, nous allons être en retard pour ta séance de photos.
Impatiente, Nicole attendait que sa petite esclave sexuelle sorte de sa chambre. Allie apparut, vêtue de l’uniforme de la parfaite petite écolière : Une petite jupe bleu marine très courte, des chaussettes blanches, des mocassins en cuir verni noir et une chemise blanche trop petite pour elle dont les pans avaient été noués à la taille au lieu d’être boutonnés. Pour une fois, Nicole l’avait autorisée à porter une culotte. Celle-ci était en coton blanc, une taille en dessous de la sienne, mais au moins cela lui épargnerait les exhibitions dont l’habitude était devenue règle. L’adolescente était heureuse. Cela faisait des semaines qu’elle n’avait pas été autorisée à s’habiller si décemment pour sortir.
Nicole lui claqua les fesses et lui tendit un verre d’eau.
— Bois ça ma chérie.
— Mais Maîtresse, c’est le quatrième aujourd’hui, je n’ai plus soif.
— Serais-tu désobéissante petite salope ?
— Non Maîtresse, répondit l’adolescente en rougissant.
Elle prit le verre qu’on lui tendait et l’avala. Son envie d’aller aux toilettes devint insoutenable.
— Est-ce que je peux aller aux toilettes s’il vous plait Maîtresse, j’ai envie de faire pipi.
— Tu n’auras qu’à y aller en arrivant, maintenant nous risquons d’être en retard. C’est une opportunité très importante pour ta carrière de mannequin. Il n’est pas question que nous soyons en retard.
Allie suivit sa Maîtresse et monta dans la BMW. De la matinée, à aucun moment, Nicole ne l’avait autorisée à se soulager. Elle avait du boire quatre grands verres d’eau et sa vessie commençait vraiment à lui faire mal. S’asseoir dans la voiture ne lui apporta aucun réconfort.
Lorsqu’elles arrivèrent au studio de photo, Allie n’avait plus d’autre solution que de croiser les jambes pour ne pas uriner dans sa culotte. Nicole l’ignora et s’avança, hautaine, vers la réception. C’était un petit studio de photo, sale et peu accueillant, mais la réceptionniste qui les reçut était une jolie brune.
— Bonjour Nicole, soyez la bienvenue, je vais prévenir Shannon immédiatement.
Elle attrapa le téléphone et échangea quelques mots avec son interlocutrice avant d’annoncer :
— La petite pute pour la séance photo est arrivée.
Allie blêmit.
La brune raccrocha et se retourna vers elles.
— Shannon sera à vous dans un instant.
Allie leva des yeux suppliants vers sa Maîtresse.
— S’il vous plait Maîtresse, j’ai vraiment envie d’y aller. Se plaignit-elle.
— Silence petite gouine.
Rouge pivoine, l’adolescente regarda la réceptionniste glousser au commentaire de Nicole.
Honteuse de se faire traiter de la sorte devant une inconnue, elle baissa les yeux.
— Tu auras l’occasion de pisser bien assez tôt.
À ce moment, une jeune femme brune sortit d’une porte latérale et leur fit signe d’entrer. Elle avait un long corps sec, dépourvu de formes et une allure plutôt masculine
— Vous pouvez la faire entrer, Nicole, je suis prête.
Nicole fit pénétrer l’adolescente gênée à l’intérieur du petit studio. Il y avait, en tout et pour tout, une pièce au centre de laquelle se trouvait ce qui ressemblait à un pupitre d’écolier violemment éclairé par des lampadaires. Au mur, un tableau noir tentait de donner l’illusion d’une salle-de-classe. Allie se demanda à quel genre de séance photo Nicole avait décidé de la faire participer. Jusqu’à présent, l’idée de poser pour des photos l’avait excitée mais, devant la tournure que prenaient les évènements, son estomac était un peu serré.
— Faites asseoir la salope sur sa chaise et nous pourrons commencer.
Nicole poussa Allie vers le milieu de la pseudo-salle-de-classe.
— Assieds-toi sur la chaise, petite pute.
Shannon, attrapa son appareil photo et prit rapidement quelques clichés de l’adolescente effrayée.
— Bien ! Elle est drôlement chaude cette petite salope. Clic-clac
— Maintenant, salope, tu vas faire comme si tu étais une lycéenne. Prends le stylo et fais en sorte d’avoir l’air concentré.
Allie fit ce qu’on lui demandait. Elle avait du mal à se concentrer du fait que son envie d’uriner la taraudait de plus en plus mais elle fit son possible pour ressembler à une lycéenne sérieuse. Clic-clac, clic-clac.
— Bien ! Maintenant fais comme si tu avais une grosse envie de faire pipi.
Quoi ? Pensa l’adolescente. Pourquoi me demande-t-elle ça ?
Au moins, elle n’eut pas beaucoup à se forcer vu ce qu’elle endurait depuis si longtemps. Elle fit une moue douloureuse et serra étroitement ses jambes presque nues. Clic-clac.
— C’est ça ! Maintenant croise tes jambes et regarde autour de toi, comme si tu voulais vérifier si tu es bien seule dans la salle.
Allie regarda à droite et à gauche comme si elle recherchait quelqu’un. Clic-clac, clic-clac.
— Super ! Joli travail. Maintenant lève-toi et prends quelques poses en nous montrant un peu tes jolies petites fesses.
Allie se redressa. Que se passait-il ? Pourquoi cette femme voulait-elle photographier ses fesses ?
— Continue à faire comme si c’était douloureux et garde les jambes serrées, mais penche-toi un peu comme pour t’assurer que personne ne peut voir que tu es habillée comme une pute.
Clic-clac.
— Soulève l’arrière de ta jupe et montre-moi ta petite culotte.
Confrontée à nouveau à ses démons, mécaniquement, Allie fit ce qu’on exigeait d’elle.
Les poses qu’on l’obligeait à prendre s’apparentaient plus à de la pornographie qu’à
autre chose. Sa tête se mit à tourner et elle eut l’impression que sa vue se voilait. Elle fit exactement ce qu’on attendait d’elle.
Je ne veux pas être photographiée dans une revue pornographique, non pas ça… Je veux être
une fille normale, se dit l’adolescente en exposant ses fesses recouvertes par le coton blanc à la photographe. Clic-clac.
— Génial ! Ok, retourne-toi et assois-toi en écartant les jambes et en soulevant ta jupe pendant que tu continues à regarder autour de toi.
Allie se rassit sur la chaise et souleva sa jupe, révélant à la femme sa petite fente imberbe qui s’imprimait à travers la petite culotte. Clic-clac, clic-clac, clic-clac.
— Ok, avance un peu tes fesses. Clic-clac.
— Maintenant, regarde ta culotte.
Allie baissa les yeux, heureuse de dissimuler quelque peu son visage à l’objectif. Clic-clac.
— Bien, maintenant, dès que je te le demande, tu commences à pisser. Je veux que tu continues à regarder quand ta pisse commencera à traverser ta culotte.
Quoi ?? Se demanda Allie. Elle veut que je quoi !! Que je me fasse pipi dessus pendant qu’elle me photographie.
— N… Non… J… Je ne peux pas faire ça. Dit l’adolescente avec une toute petite voix. Elle reprit une position plus décente et referma ses cuisses.
— COMMENT CA NON ? Qu’est-ce que tu t’imagines, petite gourde. Je te paye pour ça, sale petite pute, alors pisse ! ET TOUT DE SUITE !
La colère de la femme effraya Allie.
— Non, je vous en prie, pas ça !, dit l’adolescente, au bord des larmes.
Clic-clac, Shannon prit quelques photos de l’adolescente effondrée. Après tout, ça pouvait coller avec le sujet.
Puis, furieuse, elle se tourna vers Nicole.
— Bordel Nicole, je croyais qu’elle aimait se pisser dessus ! J’ai horreur de perdre mon temps.
Sans perdre son calme, Nicole s’approcha de son esclave et se pencha sur elle avec un regard menaçant.
— Ecoute, petite salope. Tu veux me faire honte devant Shannon ou quoi ? Je sais que tu adores te pisser dessus et en plus tu dis que tu as envie depuis suffisamment longtemps. Alors fais immédiatement ce que Shannon te demande si tu ne veux pas que je te punisse. Tu enfreins les règles 1, 15, et 17. Alors je te conseille de faire un beau sourire et de faire dans ta culotte exactement comme Shannon te le demande.
Sur ce, la jeune femme retourna s’asseoir à sa place, abandonnant la jeune fille à son accablement.
— Bon, on y va ?
Allie fit oui de la tête.
Complètement anéantie, elle n’avait qu’une hâte : en finir au plus vite avec ça.
— Bien, alors maintenant tu écartes tes jambes, tu soulèves ta jupe et regardes ta culotte. Quand je te donnerai le signal, tu lâches tout.
Allie écarta les cuisses en grand. Elle avait l’impression que l’objectif de l’appareil ne visait que sa petite culotte blanche.
Clic-clac, clic-clac.
— Allez, Go !
Rouge pivoine, Allie ferma les yeux et tenta de penser à autre chose. Elle relâcha progressivement sa vessie qu’elle maintenait au bord de l’éclatement depuis si longtemps. Finalement, le soulagement fut tel qu’elle ne put s’empêcher de remarquer à quel point c’était bon de se laisser aller. Lorsqu’elle sentit l’urine gicler contre sa culotte, elle ne put retenir un gros sanglot qu’elle tenta maladroitement de dissimuler.
Un petit point jaune se forma au centre de l’empiècement de la culotte. Les déclics de l’obturateur se succédaient à un rythme infernal. Le volume de la tâche augmenta rapidement quand l’urine commença à se diffuser au cœur du tissu en coton de la petite culotte blanche.
Clic-clac, clic-clac, clic-clac.
Rapidement l’entrejambe fut souillé de jaune et un petit jet commença à émerger. Allie
eut un petit sourire inconscient tant le relâchement de sa vessie la soulageait.
Évidemment, Shannon ne manqua pas d’immortaliser l’expression extatique sur le visage de
l’adolescente.
L’urine continua à gicler à travers le sous-vêtement commençant à détremper le bord de la chaise, formant un petit filet qui s’écoulait, goutte-à-goutte, sur le sol. En heurtant le carrelage, la miction éclaboussait les chaussures et les chaussettes de l’adolescente. Puis la puissance du jet jaune augmenta, trempant l’ensemble de la petite culotte du pubis jusqu’aux fesses, pour le plus grand bonheur de la photographe.
Finalement, la source se tarit et le jet perdit progressivement son intensité jusqu’à ce qu’il ne fut plus visible à travers le tissu devenu presque transparent.
Clic-clac, clic-clac.
S’agenouillant entre les cuisses de l’adolescente, Shannon continua à mitrailler en gros plan l’entrejambe de la petite culotte que l’humidité plaquait contre le sexe juvénile, ne manquant pas d’immortaliser, lui aussi, le petit cadenas qui pendait en haut de la fente imberbe.
— Super, j’adore. En plus elle a un piercing sur le clito. Génial. Rajouta-t-elle sans cesser de mitrailler.
— Ok, petite salope. Maintenant mets ta main dans ta culotte et commence à te caresser.
Clic-clac.
Allie jeta un bref coup d’œil à Nicole qui acquiesça discrètement. Alors elle glissa sa main sous la culotte trempée qui lui collait à la peau et commença à jouer avec son sexe.
Clic-clac.
— Penche la tête en arrière salope. Montre-nous bien comme tu aimes ça, espèce de petite cochonne.
Clic-clac.
Allie fit ce qu’on lui ordonnait. Elle détestait subir cette humiliation. Faire pipi dans sa culotte devant cette inconnue et se laisser photographier comme la dernière des actrices-pornos était démoralisant au possible. Elle ferma à nouveau les yeux avec l’impression de vivre un cauchemar éveillé.
À ce moment, une voix hurla dans ses oreilles, la faisant sursauter.
— Mais qu’est-ce que tu fais espèce de petite sale !
Choquée, elle constata qu’une femme venait de pénétrer dans le studio. Prise en flagrant délit, elle sursauta et retira précipitamment ses doigts de sa culotte. Les yeux écarquillés, elle observa la nouvelle arrivante avec terreur. C’était une grande brune, bien habillée. Mon-dieu, une prof… Se dit Allie.
— DEBOUT ! Beugla la femme.
Allie se redressa le plus vite possible.
Sans lui laisser le temps de réagir, la brune l’attrapa brutalement par le bras et la
força à s’incliner sur le bureau. Clic-clac, clic-clac, l’objectif cliquetait à un rythme d’enfer. L’adolescente ne se débattit pas. Elle se laissa manipuler par la femme en pleurant à chaudes
larmes, incapable de dissimuler ses sanglots. La prof souleva sa jupe, exposant la petite culotte imprégnée par l’urine et l’entrecuisse trempé à l’objectif de la
photographe.
Clic-clac, clic-clac.
— Bordel, c’est excellent ! Fut le seul commentaire de Shannon.
La brune s’adressait à elle comme si elle n’était qu’une petite gamine à l’école primaire.
— Espèce de petite cochonne. De quel droit te permets-tu de faire pipi dans ma classe. Il y a des toilettes pour ça sale petite pisseuse. Ne bouge surtout pas, tu mérites une punition.
Et elle s’éloigna rapidement, abandonnant l’adolescente à moitié couchée sur le bureau, la jupe rabattue sur son dos. Elle revint rapidement avec une règle plate en bois jaune d’un mètre de longueur sur une largeur de quatre bons centimètres, et, sans un mot, se mit à cingler violemment le postérieur de la jeune fille, trempé par l’urine.
Allie sursautait à chaque coup. Elle ne put retenir ses gémissements. Pourtant la douleur
était minime, comparée à celle qu’elle avait ressenti lorsque Nicole l’avait punie au cours des semaines précédentes.
L’humiliation était pire que tout. Se faire traiter de sale petite pisseuse et se faire
photographier pendant qu’on la punissait pour son inconduite manqua de la faire défaillir. Elle qui tenait plus que tout à n’être qu’une adolescente comme les autres.
TCHAC.
Elle cacha son visage derrière ses cheveux.
Clic-clac.
TCHAC.
— Baisse lui sa culotte. Dit Shannon.
— Oh non ! S’il vous plait… Pas ça. Dit Allie.
On l’ignora.
— Je vous en prie, pas ça…
Malgré ses protestations, elle n’esquissa pas un seul geste de rébellion tandis que la prof baissait sa culotte souillée sur ses genoux, exposant ,en plein devant l’objectif, ses fesses et son entrecuisse rendus brillants par l’humidité.
Clic-clac.
TCHAC.
Clic-clac.
TCHAC.
— Super. Maintenant vas-y, baise-la.
Allie eut du mal à comprendre ce que disait Shannon, mais elle tourna la tête et vit que la prof dégrafait son pantalon pour en sortir un godemiché ceinture. Incapable de dire un mot, elle fit non de la tête.
Clic-clac.
La prof lui rabattit la tête sur le bureau et farfouilla un moment entre ses cuisses.
Puis elle sentit l’extrémité du godemiché se frayer un chemin dans l’entrée de son sexe où il commença à aller et venir.
Clic-clac, clic-clac, clic-clac, clic-clac.
La fausse prof faisait ressortir son godemiché avant de le renfoncer de plus en plus profondément dans l’intimité de l’adolescente. Après quelques allers retours, Allie fut capable de recevoir l’intégralité de la longueur de l’engin. Elle grogna et se soumit au viol. La scène dura tout le temps que le souhaita Shannon qui ne cessait de mitrailler.
— Dans le cul, maintenant.
La prof retira son sexe factice et farfouilla un instant entre les fesses de l’adolescente avec l’intention de lui ôter le gadget anal qu’elle portait en permanence.
— Non !, dit Shannon.
— Laisse cette salope le faire elle-même.
Puis, s’adressant à Allie :
— Toi, la pute, tu regardes ta prof et tu la supplies de te la mettre dans le cul. Et veille bien à te débarrasser de ton gode en souriant.
Allie était horrifiée. Il fallait qu’elle demande à cette horrible femme de la sodomiser ? Non, elle ne pouvait pas faire ça.
Pourtant, ce fut comme si une autre volonté que la sienne la gouvernait. Elle se retourna, sourit, retira le gadget anal de son anus et demanda poliment à la prof de la baiser par le cul.
Clic-clac, clic-clac, clic-clac.
— C’est bien petite pute. Vas-y maintenant, tu peux la lui mettre dans le cul.
Allie sentit le gland du membre factice s’appuyer contre son sphincter et le franchir d’un seul coup. Elle accueillit le phallus artificiel sur toute sa longueur dès le premier coup de rein. Le godemiché qu’elle portait en permanence avait suffisamment distendu son anus. Elle grogna sous les coups de boutoirs de la brune, butant à chaque coup contre le bureau.
Lorsque Shannon fut satisfaite de la prestation elle s’adressa à la prof :
— Ok, maintenant tu gicles dans son cul et tu t’essuies sur sa jupe.
Regardant derrière elle, Allie assista au mouvement que la prof fit pour retirer le godemiché de son anus. Elle rougit de plus belle et secoua la tête lorsque la femme mima une masturbation en faisant aller et venir sa main le long du tuyau de caoutchouc. Puis, glissant une main dans une de ses poches, elle pressa sur une petite poire et fit gicler un long jet crémeux à travers l’extrémité du godemiché. Elle arrosa copieusement l’anus et le sexe de l’adolescente de longs jets de sperme, puis acheva l’éjaculation en appliquant un dernier et énorme jet sur la jupe de l’adolescente, un autre sur son chemisier et enfin un dernier sur son visage.
— Place-toi devant elle et enfonce-lui dans la bouche. Commanda Shannon.
La prof prit position devant l’adolescente humiliée et la força à prendre le membre souillé entre ses lèvres, s’enfonçant sans vergogne dans la bouche de sa victime. Du sperme coulait sur le menton d’Allie et gouttait sur le sol devant le bureau. La prof s’amusa ensuite à l’étaler sur le visage de l’adolescente en promenant son membre sur ses joues, son front et son menton. Puis elle s’essuya dans ses cheveux et sur sa jupe avant de se reculer pour contempler son travail.
— Excellent travail, merci Simone. Il ne me reste plus que quelques photos à faire. Tu peux aller te rhabiller.
La brune se retira et Shannon termina la séance par une multitude de gros plans de la pauvre Allie.
Le sperme qui ruisselait du cadenas entre ses cuisses.
Clic-clac.
Sa culotte trempée par l’urine qui pendait sur ses genoux.
Clic-clac.
Son visage souillé de sperme.
Clic-clac.
Son dos, ses fesses, sa jupe…
Clic-clac, clic-clac, clic-clac.
— Ok, petite pute. Tu as été très bien. Une vraie salope. Merci Nicole, finalement, ce fut une bonne séance.
Et après ces quelques mots, elle alla rejoindre la Maîtresse d’Allie à l’autre bout de la pièce.
L’adolescente se redressa et tenta de retrouver ses esprits. Sa culotte était entièrement souillée, mais elle se sentait mieux en la portant que si elle avait été cul-nu sous sa jupe. Elle tenta d’essuyer le sperme mais tout ce qu’elle réussit fut de l’étaler sur sa peau comme s’il s’était agi d’une crème. L’odeur tenace de l’urine agaçait en permanence ses narines et ses vêtements et ses cheveux étaient constellés de filaments gluants.
Enfin, Nicole la rejoignit.
— Joli travail, petite salope, tu viens de gagner 1500 €. Je les garde, mais ne t’inquiète pas, je les déduirai de ta note.
Note ? Se demanda l’adolescente. Quelle note ?
— Il faut bien que tu commences à me rembourser l’argent que tu me dois à un moment ou à un autre.
Nicole regarda sa petite soumise avec satisfaction. Elle était entièrement recouverte de semence et elle empestait l’urine à plein nez. Cette petite salope était mûre. Elle ferait tout ce qu’on lui demanderait et pourrait bientôt tourner des vidéos.
Quelque-chose comme "Allie la petite lesbienne vicieuse" ou "Allie et ses petites
copines". Il restait quelques détails à régler avec Shannon.
Elle poussa l’adolescente hors du studio sans lui permettre de se nettoyer. L’odeur de l’urine subsistait longtemps après son passage et le sperme avait commencé à sécher un peu partout sur son corps. Lorsqu’elles passèrent devant l’hôtesse d’accueil, celle-ci ne put retenir une grimace. Arrivées à la voiture, Allie se tint devant sa porte en attendant que sa Maîtresse lui ouvre. Mais celle-ci se dirigea vers l’arrière du véhicule.
— Désolée mais tu es vraiment trop répugnante pour monter à côté de moi. Viens par ici et grimpe dans le coffre, espèce de petite sale.
Submergée par la honte, Allie fit marche arrière et se coucha dans le coffre.
— Fais bon voyage, petite pute. Dit Nicole en refermant le coffre.
L’adolescente pleura durant tout le voyage de retour à la maison.
Un récit très efficace en effet! Patience, la suite est pour bientôt!
Rudy
Bravo.
Rudy