Le blog de histoires-erotiques-de-soumission-feminine
(Auteur: Sherkaan)
Julie est mortifiée lorsqu’elle rentre à la maison. Pendant tout le repas, elle ne dit mot, pensant déjà à la journée du lendemain. La voyant si triste, son père
lui dit qu'il a été convoqué par le CPE et que celui-ci propose qu'elle parte une semaine en camps aéré. Julie refuse en pleurnichant, arguant qu’elle veut rester avec sa famille, notamment le
plus grand de ses trois frères, qu’elle ne voit presque plus depuis qu’il a quitté la maison pour aller étudier à Paris.
Mais le père de Julie, soutenu par sa mère insistent: « Il faut t’ouvrir aux autres ma puce, partager des moments avec tes camarades, t’émanciper de la famille.
C’est important à ton âge, tu as seize ans désormais. Ta maman et moi avons chacun participé à ce genre de camps, nous en avons gardé de merveilleux souvenirs. Nous ne t’avons pas inscrite pour
rien dans ce lycée privé, il faut profiter des activités qu’ils offrent. Je vais appeler ton directeur pour lui confirmer ta participation ». Résignée, sans voix, ne pouvant rien dire, Julie
laisse son père se lever et appeler le CPE. Celui-ci ne répondant pas, il lui laisse un message.
Lorsque Julie arrive à l’école, elle n’a que le temps d’entrer dans la classe avant d’entendre la voix du CPE dans les haut-parleurs: « Julie Jouannot est priée de
se rendre immédiatement dans le bureau de la direction ».
Elle sort sous les railleries de ses camarades: « Tu vas prendre ton pet-déj! », « Mmmm, une bonne grosse saucisse à la crème ». Le prof de français qu’elle croise
au moment où elle franchit la porte ne peut s’empêcher de sourire et de rajouter « Bon appétit! ».
Lorsqu’elle entre dans le bureau, le CPE n’est pas seul, le prof de biologie et le prof de gym sont là. « Entre Julie. Ton père m’a laissé un message pour me dire
que tu viendrais avec nous cet été, quelle bonne décision. Les deux professeurs qui vont encadrer ce camp sont ravis, n’est-ce pas messieurs? Je vais le rappeler de suite. Viens sous le bureau
pour me sucer pendant ce temps. »
Julie s’exécute après un instant d’hésitation, sans jeter le moindre regard aux trois hommes: elle s’agenouille, sort la queue du CPE de son pantalon et se met à le
sucer.
« Bonjour M. Jouannot, j’ai eu votre message, c’est une excellente et sage décision. Je suis sûr que ce stage va permettre à Julie de s’ouvrir … Oui, absolument,
c’est cela … Oui … Oui, elle est dans mon bureau, elle ne dit pas grand-chose comme de nature, mais elle semble ravie ». Pendant ce temps, Julie continue à sucer à contrecœur la grosse queue du
CPE, qui lui maintient fermement la tête.
« A propos M. Jouannot, nous avons demain samedi une journée d’information sur différentes activités que nous souhaitons promouvoir dans le cadre du lycée. Les
meilleurs élèves et leurs parents sont conviés. Il serait bien que Julie et vous-même y participiez, afin de construire un cursus intéressant durant les trois années qu’elle va passer parmi nous
… Oui … Tout à fait … Demain matin, 9h au lycée … Parfait. Au revoir M. Jouannot, à demain ».
« Et bien voilà qui est fait, nous allons ainsi avoir le temps pour compléter ton éducation. D’ailleurs, il faut commencer tout de suite et retourner en classe »
dit le CPE en retirant sa queue sans avoir craché son sperme. Julie se lève, remet un peu ses habits en place … « Arrêtes-toi! Dorénavant je veux que tu ne portes aucun sous-vêtement lorsque tu
viendras au lycée. Enlève-les !» Julie reste interdite, n’osant se déshabiller devant eux … « Veux-tu que je demande à ton père de t’aider? » demande le CPE d’un ton menaçant. Au bord des larmes,
Julie commence timidement à déboutonner le chemiser blanc de son uniforme. Le CPE allume la webcam et la braque sur Julie. Celle-ci tente maintenant de dégrafer son soutif sans enlever son
chemisier … « Pas de ça! Tu te déshabilles, complètement! Pas de triche, sinon …! ».
Julie est résignée. Elle enlève son chemisier, sa jupe marine puis, après une hésitation, ses sous-vêtements. Puis elle se rhabille rapidement sous les rires des
trois hommes, qui s’emparent des vestiges intimes de sa tenue. Le prof de biologie ouvre la porte et l’accompagne en classe, suivi du CPE.
Ses camarades l’accueillent avec des insanités « Alors c’était bon?! ». Le CPE intervient: « Silence! Julie n’a encore rien fait ce matin. Julie va t’asseoir ».
Julie est inquiète, tant par les mots du CPE (que veut-il dire par « encore rien fait ce matin » …) que par sa présence inhabituelle.
Le prof de biologie s’avance vers le tableau. « Il y a quinze jours nous avons parlé des rapports sexuels bucco-génitaux à risque. Cette semaine, nous allons nous
intéresser aux rapports vaginaux. Julie, vu tes performances de la dernière fois, je pense que tu es la plus appropriée pour illustrer cette leçon ». Julie s’avance, la peur au ventre.
« Ainsi que vous le savez déjà sans doute tous, l’être humain doit s’accoupler pour se reproduire, comme tous les mammifères. Pour cela, le mâle doit pénétrer le
vagin de la femelle avec son pénis et déverser son sperme au fond de celui-ci pour permettre au spermatozoïde d’aller fertiliser une ovule. »
- « Avez-vous déjà vu une chatte, pardon un vagin, de près? »
- « Nooooooooooooon » hurlent les élèves.
- « Julie viens ici, enlèves ta culotte, couches toi sur le dos sur le pupitre et écartes les jambes. »
Julie se lève, mécaniquement. Arrivée devant le pupitre elle reste interdite.
- « Enlève ta culotte je t’ai dit ».
- « Je n’en ai pas …» répond Julie d’une voix presque inaudible.
- « Tu n’as pas de culotte? Avec une jupe aussi courte?!» dit le prof à haute voix.
- « Mais tu es vraiment une salope! En tout cas cela prouve que tu es toute désignée pour l’exercice! Couches-toi sur le dos maintenant.»
Le prof rabat complètement sa jupe sur son ventre, lui écarte les jambes avant de passer ses doigts sur sa chatte. Julie tente de refermer ses cuisses, mais le prof
a prévu le coup et les maintient fermement.
- « Approchez-vous! »
- Passant ses doigts sur la chatte de Julie il précise: « Vous voyez, il y a là à l’extérieur les grandes lèvres, puis à l’intérieur les petites lèvres, qui
assurent l’étanchéité avec la queue du mâle lors du rapport ».
- « Avant tout rapport, afin de ne pas blesser la femelle, il est important de la stimuler afin de la faire mouiller pour que la bite du mâle puisse coulisser sans
brûler les chaires. Il y a pour ça plusieurs techniques: la première consiste à caresser les lèvres de haut en bas ». Julie est horrifiée, elle se tortille mais ne parvient pas fermer les jambes.
Le prof de biologie commence à caresser Julie.
- « La seconde consiste à stimuler le clitoris », joignant les actes à la parole. Julie n’ose rien dire, espérant que cela ne dure pas trop longtemps.
- « Pour vérifier si le traitement est efficace, il suffit d’introduire un doigt dans la chatte ». Aussitôt le prof de biologie enfonce son majeur dans la chatte de
Julie et ajoute: « Avec de bonnes salopes comme Julie, il ne faut pas longtemps pour la faire mouiller. Voyez comme elle est déjà luisante ». Julie est morte de honte … elle mouille alors qu’elle
se fait pour ainsi dire violer devant une vingtaine de camarades …
- « Enfin, si cela ne suffit pas, vous pouvez donner quelques coups de langues, l’effet est immédiat ». Julie sent alors une langue chaude remonter le long de sa
chatte. Elle ne peut réprimer un petit soupire qui provoque l’hilarité générale. Julie aimerait pouvoir se cacher sous terre.
« Une fois la femelle préparée, le mâle n’a plus qu’à la pénétrer ». Julie prend peur et crie «Noooooooon », vite interrompue par le prof: « Julie quand on mouille
comme tu le fais, refuser de se faire baiser est vraiment ridicule ». « Monsieur le Proviseur, à vous l’honneur ».
Julie tente de crier, mais le prof met sa main sur sa bouche. Le CPE s’approche, baisse son pantalon et sort sa queue déjà toute dressée. Il l’enfonce lentement
mais profondément dans la chatte de Julie, qui essaie de se débattre, en vain. Il commence à faire des aller-retours de plus en plus puissants, qui finissent par arracher à Julie des gémissements
qui se mêlent à ses sanglots.
Le prof commente:
- « Cette position, quand la femelle est sur le dos, s’appelle le missionnaire. Elle est très classique, mais elle apporte quand même beaucoup de plaisir
».
- « Par contre, M. le Proviseur a commis une erreur. Laquelle? »
- Les élèves, en cœur: « Il n’a pas mis de capote! »
- « Absolument! Et c’est très dangereux pour lui, car avec un garage à bite comme celui-ci, qui peut savoir combien de mecs sont ou vont passer dessus. Mais c’est
vrai que c’est tellement plus agréable. N’est-ce pas Julie »?
- Alors que le CPE commence à haleter de plus en plus fort, le prof précise: « Au bruit, on peut savoir que le mâle va bientôt éjaculer dans le vagin de la femelle.
Cela peut durer longtemps avant que cela ne se produise, mais ici comme la femelle est jeune, sa chatte est très serrée et il est difficile pour le male de se retenir longtemps. » Soudain, le CPE
pousse un lourd cri et éjacule dans la chatte de Julie, qui crie « nonnnnnnnnnnnnnnnn ».
- « Voici encore une faute grave de M. le Proviseur: il ne faut jamais éjaculer dans le vagin de la femelle sans son consentement et sans savoir si elle prend une
méthode de contraception. Toutefois, ici encore, la question ne se pose pas car une salope pareille aime forcément cela et prend forcément la pilule, n’est-ce pas Julie? »
- « Oui … Mais c’est pour mes règles … ».
- « Les petites salopes disent toutes ça! ».
Le CPE se retire, Julie tente de fermer les jambes, mais le prof la contre. « Regardez comme la chatte de Julie est ouverte désormais. Elle serait prête à recevoir
n’importe quelle bite, mais malheureusement nous n’en n’avons pas le temps, car la cloche va bientôt sonner. »
Julie essaie de se redresser pour fuir mais en est empêchée par le prof: « Regardez bien la chatte de Julie, on aperçoit le sperme de M. le Proviseur qui commence à
sortir ». Il appuie sur le ventre de Julie et un gros paquet de sperme visqueux commence à couler le long de sa chatte.
- « Tu peux aller te rasseoir Julie ».
- « Je voudrais aller aux toilettes … » dit-elle timidement.
- « Tu iras à la pause comme tout le monde. ».
Julie regagne sa place en baissant la tête. Elle sent le sperme du CPE couler le long de ses jambes. Elle prend le plus discrètement possible un mouchoir et
commence à s’essuyer, mais elle se rend compte que tout le monde la regarde de manière méprisante et ironique.
« Voici la fin des cours d’éducation sexuelle, le programme ne nous permet malheureusement pas d’en faire plus cette année. Vous serez interrogés dans deux semaines
sur ces leçons. » Julie ressent un soulagement, elle qui craignait que ce calvaire se prolonge sur plusieurs semaines encore.
Les exercices pratiques du cours d’éducation sexuelle font le tour des élèves de l’école en moins de cinq minutes. Julie se terre en classe le reste de la journée,
fuyant les regards moqueurs de ses camarades. Elle ne mange pour ainsi dire rien le soir en rentrant, allant se coucher inhabituellement tôt et s'endormant aussitôt pour oublier cette horrible
journée.