Le blog de histoires-erotiques-de-soumission-feminine
Ce chapitre vient s’intercaler avant Allie et Nicole 22 : Allie la prostituée pour femme. C’est un récit parallèle qui, je vous
le garantis, impliquera vos personnages préférés et en introduira de nouveaux.
— Coquette ! Appela la grande femme aux cheveux noirs assise derrière le bureau.
— Oui Maîtresse ? Répondit Coquette.
Elle avait appris à obéir à cette femme et pâlit quand le regard vert et froid se braqua sur elle. Elle appartenait corps et âme à sa Maîtresse : Alex Jacobs.
— J’ai une nouvelle tâche à te confier.
Alex se leva, contourna le bureau et s’y appuya, de dos, face à la domestique au corps mince.
Coquette attendait tandis qu’Alex déclara en souriant.
— J’attends de toi que tu séduise Lauren. Tu seras la servante dévouée qui la convertira au lesbianisme. Grace à toi, elle va devenir l’adolescente lesbienne dont j’ai besoin.
L’estomac de Coquette se noua. Elle ne pensait pas être capable de ça, mais répondit :
— Oui Maîtresse.
— Bien, bien. Je suis heureuse que tu acceptes. J’aurai détesté être obligée de te faire quelque chose de désagréable.
Et elle eut un de ces sourires dont elle avait le secret et qui signifiait qu’en fait, elle se serait volontiers pris plaisir à punir
sa bonne jusqu’à ce qu’elle change d’avis.
Coquette sourit mécaniquement.
— J’ai dressé une liste détaillée des obligations dont tu devras t’acquitter durant ton service. Susan te remplacera pour les tâches courantes. Pour commencer, dès demain matin, tu la réveilleras et tu l’informeras que tu vas l’aider à faire sa toilette matinale. Je t’interdis de la laisser seule, que ce soit dans sa chambre, sa douche ou ses toilettes. Compris ?
— Oui Maîtresse.
— Il faudra aussi que tu choisisses ses vêtements pour elle, que tu nettoies sa salle de bain, que tu fasses son lit, que tu la coiffe, la maquilles et que tu l’habilles. Tu n’auras qu’à lui dire que tu risques d’être fouettée si tu ne t’acquittes pas de toutes ces tâches.
Ce disant, Alex s’était redressée. Elle se pencha sur la jeune femme qu’elle dominait de plusieurs centimètres et ronronna presque en déclarant calmement :
— Ce qui est tout à fait vrai bien entendu.
Elle sourit à nouveau et Coquette lut dans les prunelles glacées une vision de douleur et de plaisir. Elle ne put soutenir le regard de sa Maîtresse et baissa les yeux.
— Ca sera tout Coquette. Tu iras voir Susan pour qu’elle te fasse part des instructions spécifiques.
Alex la congédia d’un geste de la main et retourna s’asseoir derrière son bureau où elle se replongea dans le dossier qu’elle avait abandonné.
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Coquette referma la porte du bureau derrière elle et traversa l’entrée en direction du bureau de Susan. Elle détestait Susan. En tant
que favorite d’Alex, elle abusait toujours des autres filles du harem d’Alex. Chaque fois qu’elle le désirait, elle pouvait faire ce qu’elle voulait et les punissait pour des raisons aussi
futiles qu’insignifiantes.
Lorsqu’elle entra dans le bureau, Susan leva le nez des documents qu’elle remplissait. C’était elle qui était responsable de la bonne marche de la maison et elle prenait son rôle très au sérieux.
Quand on savait les punitions qu’Alex adorait inventer, ça n’était pas étonnant
— Coquette ! Quelle bonne surprise.
— Je suis à votre disposition Madame. Bien que Suzan soit soumise à Alex, elle avait toujours conservé son ascendant sur les autres filles.
— Je suppose que tu viens du bureau de notre Maîtresse non ? Bien, ne tournons pas autour du pot. J’ai un nouvel uniforme pour toi. Il sera mieux adapté pour être au service de la fille, sa femme de chambre en fait.
Elle se leva et quitta son bureau, suivie par la petite brune. Les deux femmes traversèrent une partie de la demeure. Enfin, elles arrivèrent dans les quartiers des servantes où elles habitaient toutes. L’agencement était très fonctionnel : Une pièce commune leur servait pour s’habiller et se préparer. Un grand sanitaire comportait plusieurs douches communes et, le long d’un couloir, plusieurs chambres privées accueillaient chacune d’entre elles.
— Attends-moi ici. Dit Susan.
Coquette resta debout au centre de la salle commune pendant que Susan ouvrait l’une des nombreuses penderies. Elle en tira un uniforme de soubrette protégé par une housse en plastique.
— Allons-y, enfile ça s’il te plaît.
Coquette se déshabilla rapidement, elle avait l’habitude de se déshabiller devant les habitantes de la maison. On le lui demandait souvent et il était rare qu’une journée passe entièrement sans qu’elle soit obligée de sucer un sexe ou d’être sucée. C’était enivrant.
— Tes sous-vêtements aussi.
La soubrette se déshabilla intégralement et se tint nue devant Susan.
— Hmmm, Coquette tu as vraiment un corps splendide. Tes petits seins sont exquis.
Dit-elle en tendant les mains pour empaumer les seins de la petite bonne.
— Il va t’aller comme un gant.
Elle sourit et tendit la robe à la fille.
— Mets-la. Ta Maîtresse veut te voir dans une demi-heure.
Et elle quitta la pièce, laissant Coquette seule.
Celle-ci ôta la
housse en plastique. Il s’agissait d’une caricature d’uniforme de soubrette. La jupe à froufrous était extrêmement courte et le corsage paraissait très serré et s’il arrivait à recouvrir ses
seins, elle fut surprise par la profondeur du décolleté. En plus de la robe, elle trouva une paire de bas et une petite culotte légère et transparente.
Au prix de quelques contorsions, elle enfila son uniforme. Puis elle observa son reflet dans le miroir. C’en était presque risible, elle ressemblait à une poupée
sexuelle. La petite jupe était à peine assez longue pour couvrir ses fesses et peinait à ne pas se soulever en permanence. Le corsage comprimait sa poitrine en la soulevant et le décolleté en
dentelle descendait si bas que ses tétons paraissaient sur le point de déborder. De la sorte, ses aréoles étaient parfaitement visibles pour quelqu’un qui se serait tenu suffisamment près.
Elle se contempla un moment et se rendit compte qu’elle risquait d’être en retard. Elle sortit précipitamment des quartiers des domestiques et se précipita dans le bureau de Susan.
— Je suis prête M’dame.
— Hmmm tu es délicieuse comme ça. Dit Susan en admirant la soubrette. Tu ressembles à une vraie putain, c’est parfait.
Elle se redressa et fit le tour du bureau.
— Allons-y, suis-moi.
Et elle guida Coquette jusqu’au bureau de Maîtresse Alex.
Alex était assise derrière son grand bureau, renversée dans son confortable fauteuil. Entre ses jambes écartées, on pouvait voir une tête blonde s’agiter.
— Un moment s’il vous plaît.
Et elle mordit ses lèvres et inclina la tête en arrière dans un accès de plaisir.
— Ahhhh oui !!! Juste là Miranda, JUSTE LÀ !!
Susan et Coquette attendirent silencieusement pendant que leur Maîtresse jouissait de la langue de l’autre servante. Elle écrasa son entrecuisse contre le visage de la blonde en gémissant et en la félicitant pour ses talents.
— Merci Miranda, c’était très bon.
Elle repoussa la tête de la jeune femme et se pencha sur elle pour l’embrasser sur les lèvres.
— C’est tout pour l’instant, si j’ai encore besoin de tes services, je te sonnerai.
Miranda se releva, fit volte-face et s’apprêta à s’éclipser. Alex lui donna une tape sur les fesses pour lui signifier son congé.
La brune se leva et lissa précautionneusement sa jupe. Puis elle prit une grande respiration et dit :
— Maintenant voyons comment tu es attifée toi.
Elle fit le tour de la soubrette, soulevant l’arrière de sa jupe pour jeter un œil sur son derrière presque dénudé.
— Bien, bien…
Elle se plaça en face d’elle et crocheta le décolleté pour y scruter la poitrine de sa bonne.
Puis elle regagna son fauteuil.
— C’est parfait Susan. Je veux qu’elle sente le sexe demain matin. Fais en sorte qu’elle ne chôme pas cette nuit.
Elle eut un sourire cruel.
— Assure-toi bien que toutes celles qui feront l’amour avec elle la barbouillent de sécretions sur tout le corps.
Elle se tourna vers Coquette.
— Je veux que ma belle-fille te sente avant de te voir, et souviens-toi bien : Pas de douche demain matin. Tu recevras tes dernières instructions à 5h 30 demain matin.
Et elle congédia les deux femmes.
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Le matin suivant, Coquette se réveilla sur le ventre, étendue en travers de son lit. Elle essaya d’ouvrir les yeux, mais
le droit était tout collé. Des sécretions séchées maintenaient ses cils prisonniers. Il fallut qu’elle les sépare en se servant de ses deux index.
Si ce n’était le drap qui recouvrait la moitié d’une de ses jambes, elle était entièrement nue. Elle était épuisée. On s’était servi d’elle durant toute la nuit.
D’abord, il y avait eu Miranda, mais elles avaient déjà passé la nuit ensemble. Elles partageaient une chambre et aussi, souvent, leur lit donc c’était plutôt habituel. Mais ça avait été
différent cette nuit. Selon les ordres de Susan, la petite blonde avait saisi toutes les opportunités pour frotter son sexe contre le corps de Coquette.
Au début coquette avait été frustrée car Miranda semblait plus concentrée sur le fait de répandre ses sécretions sur son corps plutôt que de lui donner du plaisir.
Elle frottait son sexe nu d’avant en arrière sur ses bras et ses jambes. Puis elle l’avait fait pivoter sur le ventre et s’était assise sur son dos pour la masser en se frottant sur son
dos.
Ensuite ça avait été le tour de Susan. Elle s’était présentée avec deux des invitées qu’Alex avait eu à diner ce soir. Elles se
servirent d’elle de toutes les façons possibles pendant toute la nuit.
Pendant qu’elle achevait de se réveiller, la chambre embaumait d’une
forte odeur de musc et de sexe. Elle roula sur elle-même et regarda le réveil. Il était 4h 30 du matin. Le buzzer retentit à nouveau, ça devait être l’heure à laquelle elle était censée se
lever.
Elle se leva en poussant un grognement et marcha, au radar, jusqu’à la salle commune.
— Bonjour Coquette !
Susan, déjà habillée, se tenait devant elle. Elle tenait son nouvel uniforme.
— Tu es particulièrement ravissante ce matin.
— Miranda !
Encore nue, la petite blonde surgit des sanitaires d’un pas mal assuré.
— Oui M’dame ?
— Aide Coquette à enfiler ses vêtements s’il te plaît. Ensuite tu l’accompagneras jusqu’au bureau de notre Maîtresse.
Suzan eut un sourire entendu en direction des deux domestiques et quitta la pièce.
— Bonjour Coquette. As-tu pris du bon temps la nuit-dernière ? Demanda Miranda en sortant l’uniforme de sa housse.
Elle continua à discuter de choses et d’autres tout en l’habillant. Coquette eut le sentiment que l’uniforme était encore plus serré
que la veille. Ses tétons lui donnèrent l’impression qu’ils n’arriveraient jamais à rester prisonniers du tissu. Il leur fallut plusieurs essais avant d’arriver à leurs fins, bien qu’à chaque
mouvement, ils montrassent allégrement le bout de leur nez.
La petite culotte était un peu plus que transparente avec de minces élastiques noirs pour la maintenir en place. Les bas et les chaussures noires complétèrent la mise.
Miranda fit quelques pas en arrière et inspecta son travail.
— Coquette, tu ressembles à une affiche publicitaire pour un site de cul.
Coquette sourit, elle commençait à apprécier son nouveau rôle dans la maisonnée.
Elles frappèrent à la porte d’Alex.
— Entrez !
Les deux soubrettes pénétrèrent dans le bureau.
Alex se tenait devant son bureau. Elle ne portait qu’une légère robe qui accentuait ses formes parfaites. À ses pieds, Susan était prosternée, nue. De fines marques rouges entrecroisées
commençaient à apparaître sur son dos. Alex tenait un fouet à la lanière longue et mince.
— Bonjour les filles. Dit Alex d’une voix froide.
Malgré leurs regards éperdus de curiosité mêlée de crainte, elle ne proféra pas une seule explication.
— Coquette, je veux que ta petite culotte soit trempée de tes jus.
Et elle adressa deux nouveaux coups au dos de sa victime.
— Assieds-toi pendant que je termine d’instruire Susan sur le comportement qu’elle DOIT avoir avec mes invitées. Dit-elle en désignant une chaise sur sa gauche.
— Miranda ! Donne-lui du plaisir. Et n’économise pas ta langue, je la veux au bord de l’orgasme lorsqu’elle ira réveiller ma belle-fille.
Et le fouet s’abattit une nouvelle fois sur le dos de la suppliciée.
Les deux servantes se hâtèrent d’obéir. Coquette s’assit précipitamment et s’empressa d’ôter sa petite culotte pour ouvrir l’accès de son entrecuisse à Miranda.
— Non ! Garde-la. Je veux que Miranda te lèche à travers. Ta culotte doit être aussi poisseuse et moite que ta chatte.
Coquette remonta sa culotte, fit glisser son bassin en avant et écarta ses cuisses le plus possible. Ses fesses se trouvaient au bord
du siège, presque dans le vide, dans une posture d’offrande parfaite.
Miranda s’agenouilla entre ses jambes et commença à la lécher à travers le tissu léger.
CLAC !
— Quand l’une de mes invitées…
CLAC !
— Désire te sodomiser…
CLAC !
— Tu réponds oui !
CLAC !
— Maintenant penche-toi en avant et écarte tes fesses. Vite !
CLAC !
Le châtiment se poursuivit jusqu’à ce que Coquette soit menée, une fois de plus, à la limite de l’orgasme par la langue experte de Miranda. La petite brune avait mis ses mains derrière ses genoux et écartelait ses cuisses le plus possible, offrant son entrecuisse voilé par le tissu à Miranda.
— Oui Maîtresse !
CLAC !
— Aaaiiieee !
Miranda écrasait sa langue contre le tissu, elle donnait de grands coups de langues, parcourant l’empiècement de haut en bas, s’attardant sur le clitoris qu’elle caressait délicatement. Coquette se mit à gémir. Elle se délectait de la punition de Susan tout en appréciant le travail de la petite blonde. Elle était aussi trempée que si elle avait uriné dans sa culotte et Miranda prenait soin de répandre généreusement la combinaison de mouille et de salive sur l’ensemble de l’entrecuisse.
— Maintenant, dépêche-toi de rejoindre Sharon dans sa chambre et présente-lui tes excuses !
CLAC !
Elle frappa une dernière fois le derrière nu de Susan qui se hâtait de fuir la pièce.
Miranda ne cessa pas de prodiguer ses services, elle savait parfaitement reconnaître lorsque sa Maîtresse était de mauvaise humeur.
— Et vous deux, ne vous croyez pas hors de portée. Je suis d’humeur à vous fouetter toutes les deux uniquement pour passer mes nerfs.
Puis elle se détendit et sourit.
— Mais nous avons quelque chose de plus important à réaliser.
Elle s’approcha des deux domestiques et resta immobile quelque temps à observer la langue de Miranda qui taquinait le clitoris derrière le rempart de la petite culotte noire. Puis elle attrapa un des tétons de Coquette et le tira, faisant grimacer sa propriétaire. La douleur abattit les dernières défenses de la bonne qui poussa un cri de douleur décuplé par l’orgasme qui la dévastait.
— C’est bien les filles. Ça sera tout Miranda.
— Bien Maîtresse.
La petite blonde se redressa et quitta la pièce.
— Maintenant ma fille, voyons ce qu’il en est.
Elle tendit sa main et fit délicatement glisser son doigt le long de la fente de coquette, à travers la petite culotte.
— Hmmm, bieennn, parfaitement mouillé. Il faudra que tu entretiennes ça pendant tout le temps que tu passeras dans la chambre de ma belle-fille.
Elle appuya son doigt plus fortement, incrustant par la même occasion le tissu dans la fente de Coquette. À son grand plaisir, elle réussit à faire pénétrer une première phalange, puis une deuxième et enfin trois.
— C’est parfait. Elle respira profondément. Et tu pues la chatte en chaleur. Excellent ! Il y a au moins une chienne ici qui fasse ce qu’on lui ordonne. Bon, j’en ai terminé avec toi. Va réveiller ma belle-fille et fais ton mieux pour la séduire. J’y veillerai…
Coquette se redressa en chancelant et marcha vers la porte dans un état second.