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C’était le jour des noces.
Coquette savait que, ce jour, elle devait fournir un service extra spécial à sa Maîtresse. À 5h30 elle pénétra silencieusement dans la chambre afin de pouvoir tout préparer. Dès que le bain fut prêt, elle se débarrassa de son uniforme de soubrette et s’agenouilla devant le lit.
— Mademoiselle Lauren, c’est l’heure, c’est le jour de vos noces.
Lauren pivota et se retourna, dos à sa bonne. Coquette était habituée depuis longtemps à ce comportement, cela faisait maintenant des mois que ce cérémonial se répétait, presque depuis que Maîtresse Alex l’avait affectée au service de Mademoiselle.
Avec précaution, elle souleva les couvertures et se glissa sous le drap, contre le corps de Lauren. C’était la raison pour laquelle elle s’était présentée d’aussi bonne heure, elle voulait prendre son temps pour profiter une dernière fois du corps de l’adolescente. Le lendemain serait différent, la jeune fille appartiendrait à Tawnee et Coquette n’était pas sûre que ses services seraient toujours requis.
Elle se plaqua contre le dos de l’adolescente et murmura :
— Qu’est-ce que Mademoiselle désire que je lui fasse ce matin ?
— Tu sais très bien ce que je veux… Lèche-moi aussi bien qu’Allie, j’ai encore envie de rêver d’elle.
Coquette sourit, Après qu’elle et Allie avaient passé quelques moments ensemble, plus tôt dans la semaine, Lauren faisait une fixation sur ses fesses. Depuis ce moment, la soubrette avait léché plus d’anus que de chattes. Elle rampa sous les couvertures et se faufila vers les parties intimes de l’adolescente.
Lauren poussa un soupir en se concentrant sur son imaginaire. Son sang se mit à bouillonner lorsque la langue de sa femme de chambre se mit à explorer son anus.
****
Après sa douche, Coquette accompagna sa petite Maîtresse, entièrement nue, jusqu’à sa chambre. Elle la fit mettre au centre de la pièce et alla chercher ses vêtements. Lauren attendit sans bouger.
Pour commencer, elle s’agenouilla à ses pieds et lui enfila religieusement une paire de bas en soie. Elle les fit délicatement rouler le long des jambes, appréciant autant que sa Maitresse la sensation grisante sur les jambes admirablement galbées.
Puis, elle ouvrit la penderie pour rapporter la robe de mariage qui brillait comme une perle dans le clair-obscur de la pièce et semblait si légère qu’on aurait dit qu’elle était faite de fils d’araignée. La domestique la tint à bout de bras devant l’adolescente.
— Vous serez rayonnante dans cette merveille.
Et elle aida la future mariée à l’enfiler.
C’était un travail délicat, la robe avait une découpe très particulière destinée à mettre en valeur les formes de Lauren. Elle épousait au plus juste les courbes de la jeune fille et révélait impitoyablement celles-ci par endroits. Les hanches et la taille étaient très étroites, et un dos nu sculptural, en forme d’ovale, descendait jusqu’à la naissance des fesses entre lesquelles il plongeait en pointe. Le devant s’appliquait contre son buste comme une seconde peau, épousant à la perfection la forme de ses petits seins parfaits dont même les tétons déformaient le tissu.
À croire que le vêtement était en fait une peinture.
Coquette ne put résister et saisit une des pointes de seins à travers le tissu.
Elle s’agenouilla à nouveau et aida la fiancée de Tawnee à chausser ses escarpins en cuir blancs, ne se privant de caresser ses jambes au passage. Grisée, elle laissa ses mains glisser délicatement en remontant jusqu’à la lisière des bas. Lauren se mit à respirer plus fort.
Ses doigts serpentèrent sur l’intérieur d’une cuisse et entrèrent en contact avec les lèvres intimes dont l’humidité trahissait l’excitation de l’adolescente.
— Est-ce que Mademoiselle souhaite quelque chose d’autre ?
Le bout de son doigt glissa doucement à l’entrée de la conque ruisselante, faisant délicatement sa place en écartant les parois moites qui gardaient l’entrée.
— Ouiiii !
Coquette poussa un peu et enfonça son index jusqu’à la deuxième phalange avant de le retirer rapidement.
Encore plus ?
— Oh ouiii ! Bon sang Coquette oui !
La soubrette introduisit alors entièrement son doigt et l’agita doucement, au rythme des gémissements de l’adolescente.
— Mademoiselle coule comme une fontaine.
Elle ressortit son doigt et le joignit à son majeur avant de les faire pénétrer tous deux en amorçant un mouvement de va-et-vient. Elle les introduisit à fond, resta immobile quelques secondes et les ressortit le plus lentement possible, se délectant des contractions vaginales de Lauren. Puis elle s’interrompit, poussant la frustration et l’impatience de la jeune fille à leur comble.
— Je suis désolée Mademoiselle, mais je dois y aller.
Et elle rabattit le voile sur l’adolescente tandis que celle-ci frottait ses cuisses l’une contre l’autre pour tenter d’apaiser son excitation. Puis elle se releva et admira le tableau. Elle avait devant elle une composition artistique pouvant rivaliser avec n’importe quelle statue de la renaissance. Un Boticelli enveloppé dans une dentelle de perles blanches.
— Mon dieu ! Mademoiselle Lauren. Dit-elle, les mains sur les joues. Vous êtes la plus belle jeune fille que j’ai jamais vue.
Submergée par l’émotion, elle se pencha une dernière fois sur elle et l’enlaça, tentant de refreiner les pulsions qui l’envahissaient à la vue de cette beauté stupéfiante.
— Il faut que j’y aille. Ne tardez pas, votre mère vous attend avec impatience.
Et elle sortit de la pièce précipitamment.
****
Lauren descendit l’escalier avec une grâce majestueuse. Une princesse en blanc. Chaque pas qu’elle faisait semblait soigneusement étudié, comme s’il avait été répété un nombre de fois incalculable. À croire qu’elle était née pour ça, cette comédie grotesque.
Elle jouait son rôle à la perfection ; ne cessant de se répéter la promesse d’Allie. Elle serait libre à la fin de la réception. Seules, ces pensées lui permettaient de rester lucide. Seul l’espoir de cette rédemption tant attendue lui permettait de tenir sans s’effondrer en larmes.
Après avoir franchi la moitié de l’escalier, Lauren constata qu’Alex et le personnel de maison au grand complet l’attendaient dans l’entrée. Elle ressemblait à un ange, sa robe épousait son corps à la perfection, en chassant sa beauté dans une dentelle aussi fine que la meilleure des porcelaines. La coupe du voile qui masquait ses traits s’arrêtait juste au-dessus de sa poitrine.
Les femmes rassemblées à ses pieds furent subjuguées par sa présence. Même la présence forte d’Alex fut estompée par cette apparition majestueuse.
Au fur et à mesure qu’elle approchait, l’apparition changea. C’était comme si Lauren venait de traverser une nappe de brouillard, son image se précisa et les contours de la robe se détaillèrent.
Le vêtement était une sorte d’œuvre géniale, paraissant inaccessible tant qu’elle était éloignée. Tandis que Lauren s’approchait, la robe sembla disparaître. La dentelle révéla toute sa transparence, ne cachant rien, attirant les regards, incitant les imaginations à envisager des choses, de vilaines choses, des choses moites et merveilleuses, dessinant des scènes sexuelles sur le corps de la future fiancée. La lumière la mettait en valeur, révélant sa peau aussi bien que si elle avait été nue, un téton par ici, la chair presque imberbe de son abricot par là. Sa nudité totale aurait été moins indécente.
Lorsque Lauren arriva au niveau du groupe qui la dévorait des yeux, personne ne bougea, comme si elles étaient toutes dévorées par les fantasmes qui proliféraient dans leur esprit.
L’adolescente était devenue une déesse de la sexualité destinée à satisfaire tous leurs souhaits.
Enfin, Alex rompit le silence ; Mon dieu, je vais doubler le salaire de cette couturière. Se dit-elle.
— Approchez là par ici ! Ordonna-t-elle.
Elle aurait voulu profiter un peu plus longtemps de ce moment merveilleux mais le temps pressait.
Miranda attrapa Lauren par le bras. Coquette semblait désemparée, mais un regard d’Alex suffit à la ramener à la raison et elle s’empara de l’autre bras. Au même moment, Lauren sembla revenir à la réalité et commença à se débattre entre les mains des deux soubrettes.
— Non, BON SANG NON !
Elle se tourna vers sa femme de chambre.
— Coquette arrête ça ! Pas toi ! Stop, s’il te plaît.
Les larmes aux yeux, Coquette remua négativement la tête et joignit son effort à celui de Miranda pour entrainer la jeune fille dans le salon. Susan ôta le pantalon d’Alex et celle-ci prit place dans un confortable fauteuil en cuir.
— Amenez-moi cette petite salope ici.
Et elle écarta largement les cuisses, enjambant les accoudoirs.
— Et faites très attention à ne pas abimer cette superbe robe de collection, les filles…
Coquette et Miranda poussèrent Lauren en avant et la firent agenouiller entre les jambes écartées.
— Jusqu’à aujourd’hui, jeune fille, je me suis retenue de me servir de toi parce que je pensais qu’il aurait été inconvenant d’avoir ce genre de relation entre une mère et sa fille. Elle sourit diaboliquement. Mais maintenant que ce mariage va transférer ton appartenance à Tawnee, je pense que tu me dois bien ça.
Elle fit un geste aux deux servantes qui aussitôt soulevèrent le voile et abaissèrent le visage de Lauren sur l’entrecuisse de leur Maîtresse.
— Mon dieu, Lauren, je rêve de ce moment depuis la mort de ton père. Déclara Alex lorsque les lèvres de l’adolescente entrèrent en contact avec son sexe.
Lauren n’esquissa pas le moindre geste et garda ses lèvres étroitement closes.
— Allez, jeune fille, au travail. Je ne voudrais pas avoir besoin de te fouetter le jour de ton mariage. Et puis ça serait un vrai casse-tête de le faire sans abimer ta merveilleuse robe.
Lauren nia de la tête.
— Très bien ! Grimaça Alex sur un ton glacial. Susan, veux-tu relever sa robe en faisant attention de ne pas l’abimer. Si elle veut se marier avec les fesses marquées, libre à elle. Cela prouvera seulement qu’elle n’est qu’une petite traînée désobéissante et que sa future épouse devra être sévère avec elle. Tout ceci n’est que la vérité d’ailleurs, non ?
Lauren sentit qu’on soulevait sa robe, un courant d’air frais caressa ses fesses, la faisant frissonner. Susan s’approcha d’elle, munie d’une longue cane en bois qu’elle promena lentement sur les fesses offertes à sa convoitise.
— Je te donne une dernière chance ma chérie. Comprends bien que les traces seront visibles par tout le monde pendant la cérémonie et, de toute façon, tu me rendras hommage. Que ce soit avant ou après avoir reçu cette correction ne dépend que de toi…
Obstinément, Lauren refusa à nouveau. Dans le mouvement, ses lèvres glissèrent contre le sexe de sa belle-mère. Avec un regard exaspéré, Alex leva sa main en direction de Susan, et celle-ci se prépara à abattre la canne lourdement sur le petit derrière sans défense. L’adolescente fit un immense effort pour ne pas laisser transparaitre sa peur. Avec une mimique de défi, elle se contenta de lever les yeux vers Alex dans lesquels brillait un éclat maléfique. Les lèvres pincées, les deux femmes se défièrent un instant.
— Trois ! Déclara Alex, la main toujours en l’air, sans quitter sa victime du regard.
La jeune fille grimaça mais son visage resta appuyé contre son pubis.
— Deux… Allez jeune fille, c’est absurde… Mais, finalement, j’adore ça.
Elle avança un peu son bassin, appuyant son sexe contre le visage de Lauren.
— Un…
Au moment où Alex allait abaisser sa main, les lèvres de l’adolescente s’écartèrent et sa langue pointa à l’extérieur de sa bouche. Le geste d’Alex s’interrompit et elle tendit sa paume en direction de Susan, lui signifiant d’attendre. L’autre s’immobilisa, le bras déjà armé.
— Ahhh ouiii, donne du plaisir à maman, c’est ce qu’elle veut.
Elle s’arqua un peu plus dans son fauteuil, s’installant plus confortablement, et appuya son sexe contre la bouche de Lauren, s’offrant avec délices à la langue qui s’activait mollement.
— Met-y plus d’enthousiasme ! Ordonna Susan en stimulant les fesses de la jeune fille avec l’extrémité de sa canne.
Lauren tenta d’oublier dans quelle situation elle se trouvait, essaya de s’imaginer que c’était Allie qu’elle léchait, et non pas sa belle-mère.
Coquette et Miranda maintenaient fermement son visage contre le sexe d’Alex et elle se mit au travail, mettant en pratique tout ce qu’elle avait appris en la matière.
Bientôt, sa belle-mère se mit à gémir en agitant son bassin et elle sentit plus qu’elle ne vit sa main s’emparer de sa nuque.
— BORDEL, ce que tu es bonne !
Et elle se mit à s’agiter furieusement contre la bouche qui lui mangeait le sexe, frottant son sexe sans aucune délicatesse contre le nez de la future mariée.
— Hmmmm !!! Aaaahhhh ! Oui, mange-moi espèce de petite salope ! Hmmmm !!!!
Lauren se concentra sur sa tâche, mais les soubresauts de sa belle-mère rendaient la chose impossible. Plus elle approchait de l’orgasme, plus Alex frottait frénétiquement son sexe contre son visage.
— Ooooohhhh !!!! Je jouis, espèce de petite pute !
Et elle eut un orgasme d’une violence impressionnante. Lauren sentit ses sécrétions se répandre partout sur son visage.
— Ouiiiii ! Oh mon dieu !!!!
Les mouvements désordonnés d’Alex se calmèrent peu à peu et, pendant quelques instants, elle se contenta d’agiter doucement son sexe sur le visage de l’adolescente, n’en ignorant pas la moindre parcelle.
— Mon dieu, c’était génial.
Et elle relâcha la nuque de sa belle-fille.
Les deux servantes reculèrent la tête de Lauren, l’éloignant de l’entrecuisse de leur Maîtresse. L’adolescente toussa et chercha à reprendre sa respiration. Les sécrétions sexuelles d’Alex poissaient tout son visage.
— Oh ! Ma chérie, je suis désolée mais je crois bien que j’ai ruiné tout ton beau maquillage.
Elle se tourna alors vers Coquette.
— Arrange-ça, mais veille bien à ce qu’elle conserve toutes les traces de mon jus. Je veux qu’elle pense à moi lorsqu’elle jurera fidélité à sa nouvelle Maîtresse.
Elle baissa les yeux sur Lauren en souriant.
— Disons que c’est ton premier cadeau de mariage.
Coquette aida Lauren à se relever et fit ce qu’on lui avait ordonné. Elle ne savait pas quoi dire et se sentait coupable de trahir Lauren. Etait-elle tombée amoureuse ?
****
Lorsque Lauren fut prête, Lauren et Miranda la ramenèrent devant sa belle-mère.
La première chose que la jeune fille aperçut cette fille, nue, agenouillée entre les jambes d’Alex, dans la même position qu’elle occupait il y avait quelques instants. Ses poignets étaient liés à ses chevilles, dans son dos et la contraignaient à arquer son dos. Un capuchon masquait ses traits, mais Lauren sut immédiatement de qui il s’agissait ; elle était capable de reconnaître le corps de sa bien-aimée entre tous et n’importe où. C’était Allie
— Eh bien, je vois que je n’arriverai pas à te cacher l’identité de notre invitée.
Elle retira la capuche qui recouvrait la tête d’Allie et la future mariée put découvrir le baîllon-boule qui obstruait la bouche de son amour et l’empêchait de proférer le moindre mot. Celle-ci regarda autour d’elle, aperçut Lauren et remua la tête légèrement.
— Allie ! Lança Alex en tirant sur la chaîne qui pendait du collier que l’adolescente portait autour du cou. Ma chère Allie, savais-tu que ma fille est amoureuse toi ? Un sourire aux lèvres, elle avait scandé chacun de ses mots d’une nouvelle secousse sur la laisse.
Le sourire disparut.
— Ce sera sa perte.
Et elle poussa brusquement le buste d’Allie du bout de son escarpin. Celle-ci, incapable de maintenir son équilibre, bascula en arrière.
Dans le même temps, Alex se redressa et, maintenant toujours fermement la laisse, enjamba l’adolescente empêtrée dans ses liens. Elle se tint ainsi, un pied de chaque côté du corps de la pute qu’elle avait achetée et déclara
— Et sais-tu ce que j’ai ici Lauren ?
Elle pointa son doigt sur Allie.
Lauren fit non de la tête.
— Le meilleur moyen de m’assurer de ta pleine et entière coopération.
Elle recula d’un pas et souleva l’un de ses escarpins et en appuya la semelle sur le pubis imberbe de l’adolescente sans défense. Affichant un sourire diabolique, elle se servit de son talon pour heurter légèrement la chaire glabre, puis s’employa à en faire pénétrer le bout de sa chaussure entre les lèvres intimes de la jeune fille. Le cuir impeccablement verni s’enfonça de quelques centimètres.
— J… Je n… Je ne comprends pas. Répondit Lauren.
— Voyons ma chérie, tu sais que je suis une femme très décidée non ?
Elle parlait d’un ton très détaché en regardant sa victime qui gémissait silencieusement tandis qu’elle gagnait quelques centimètres en forçant l’entrée du vagin de l’adolescente.
Effrayée, Lauren ne put qu’acquiescer de la tête.
— Alors tu ne peux ignorer que ce marché, dont tu es l’enjeu, est l’affaire la plus importante que j’ai jamais entreprise.
Les larmes aux yeux, Lauren commençait à comprendre. Elle hocha la tête affirmativement.
— Si tu refuses de te marier… Son ton était redevenu menaçant.
Elle continuait à agiter doucement son pied en rythme entre les cuisses de l’adolescente. Incapable de se contenir, Allie sentit qu’elle commençait à mouiller. Au même moment, Alex recula son pied et, prenant un peu d’élan, heurta vicieusement l’entrecuisse offert. Allie se cabra dans ses liens en poussant un hurlement à moitié étouffé par la boule en plastique rouge.
Lauren eut l’impression que c’était elle qui venait de recevoir le coup de pied.
— Non, vous ne pouvez pas…
Les mots avaient du mal à franchir ses lèvres et elle ne produisit qu’un chuchotement en se rendant compte à quel point sa belle-mère pouvait être diabolique.
La pointe de l’escarpin s’était à nouveau introduite à l’entrée du vagin de l’adolescente.
— Si tu ne fais pas ce que j’attends de toi, si tu ne te maries pas avec Tawnee… Alors… Elle heurta plusieurs fois le sexe d’Allie, légèrement, avec la pointe de son talon cette fois ; comme si elle réfléchissait. Alors je devrais TUER cette petite pute…
Et elle réintroduisit sans ménagement le bout de son escarpin dans le vagin de l’adolescente, la faisant se cabrer une nouvelle fois, partagée entre la douleur et le plaisir honteux qu’elle en tirait.
— Non, non pas ça… Vous ne pouvez pas faire ça…
— Ne me contredis plus jamais espèce de petite traînée. Rouge de colère, Alex abandonna sa victime pour s’approcher de Lauren. J’ai consacré de longues années à ce projet et tu feras ce que je t’ordonne, ajouta-t-elle en pointant directement son index sur la dentelle qui recouvrait les seins de la jeune fille.
Lauren se mit à pleurer de plus belle.
— Tu sais que je suis très sérieuse. Tu vas t’acquitter de cette tâche sans faire le moindre faux-pas. J’espère que tu m’as bien comprise. Il ne s’agit pas de paroles en l’air…
Incapable de répondre, Lauren sanglotait sans discontinuer.
Alex s’adressa à Susan.
— Range cette pute à sa place, dans le coffre de ma Jag. Puis se retournant vers sa fille elle lança d’une voix qui ne souffrait aucune protestation. Il est temps que nous nous rendions à l’église.