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Chapitre 3 : Sarah est punie pour sa vulgarité

Sarah eut un sursaut.

« Mais je suis suffisamment punie . . . », couina-t-elle.

« Tu n’es pas punie, tu es inscrite à un club ! », constata Marion

Les 3 filles pouffèrent.

« Bien, jeunes filles c’est vous qui avaient été insultées, choisissaient la réparation ! »

Marion entrait vraiment dans le rôle !

La petite Raquel jubilait visiblement.

«Nous avons surtout été humiliée, nous ne voudrions pas choisir une punition trop sévère physiquement Madame. . . . Non, l’essentiel est qu’elle soit humiliée aussi, en recevant sa punition dans le couloir en public par exemple . . . », dit-elle.

« Parfait ! », conclu Marion.

«  . . .  5 coups de badines chacune par exemple ».

Je m’esclaffais. Ces petites garces avaient bien la même conception de la modération que moi.

« Soit », dit Marion, « mais nous n’avons pas de badines ».

« Pas grave », dit une de compagne de Raquel, une noire toute mince, « on en a dans la salle du club . . . je vais la chercher ! ».

Et elle partit en courant.

«Il n’y a donc plus qu’à mettre Sarah en position . . . », constata Raquel.

Marion n’avait plus qu’à suivre.

Raquel prit Sarah par la main et la tira hors des toilettes.

« Oh s’il te plait Raquel . . . », tenta de supplier la jeune fille.

« Allons Sarah », répondit celle-ci, « je serai toi je me montrerai bien obéissante . . . Madame pourrait ne pas apprécier »

Raquel conduisit l’adolescente jusqu’au milieu du couloir.

« Voilà, maintenant courbe-toi, jambes bien droite et tiens tes chevilles avec tes mains. », ordonna-t-elle.

Sarah ravala un sanglot et obéit.

Les jeunes filles qui étaient dans le couloir s’attroupaient autour de Sarah, des 2 lesbiennes et de Marion.

« Parfait ! », s’exclama la blonde, en relevant la chemise blanche de Sarah afin de bien dégager son cul et l’offrir à la punition.

Dans cette position émoustillante, l’assemblée avait une vue imprenable sur ses fesses, ses cuisses, et sa chatte dodue.

C’est à ce moment que la 3eme lesbienne revint avec sa badine. Le modèle poids lourds ! Le cul de la rouquine allait recevoir !

La jeune noire inaugura le bal.

« Tu comptes les coups pour que je ne me trompe pas surtout !», dit-elle à sa victime.

Et elle commença la tournée.

D’instinct, Sarah garda la position et maintint ses mains à ses chevilles.

Les coups étaient secs, rapides et drus.

L’adolescente se retenait de crier mais ne pouvait se retenir de couiner et contenir ses sanglots.

Au 5eme coup, sa respiration devint saccadée.

La noire passa ensuite la badine à sa complice, une charmante brune, qui ne put retenir un sourire carnassier.

Raquel arrêta la brune avant qu’elle ne décoche son 1ercoup.

« Attends Annie !  . . . Sarah ne peux plus respirer ! . . . Tu vois bien qu’avec cette position, la chemise et la cravate l’étouffent ! . . . il faut la dégager !

Et tout en parlant, elle s’approcha de la punie, lui défit sa cravate et déboutonna sa chemise.

« Oh pitié Raquel », couina la rouquine.

Les jeunes filles assemblées autour d’elles murmuraient, choquées, ou amusées, parfois moqueuses.

Lorsqu’elle eut déboutonnée la chemise, les 2 gros seins de Sarah tombèrent vers le bas. Le soutien-gorge de ficelle qu’elle portait ne cachait rien de ses larges mamelons et de ses tétines.

« Voilà, maintenant que tout ça est dégagé, tu vas nettement mieux respirer ! », déclara Raquel en tirant sur les seins de Sarah pour bien les allonger.

La brune put alors décocher sa série de 5 coups de badines.

« Surtout continue de compter les coups Sarah ! J’ai trop peur de me tromper ! », lança t-elle.

Sarah n’arriva alors plus à contenir ses cris. Mais elle arriva à tenir le décompte.

Une fois sa tournée terminée, elle voulut passer la badine à Raquel.

La sonnerie retentit alors et les spectatrices s’égayèrent dans toutes les directions pour retrouver leurs classes.

« Attends Annie, tu ne vois pas que la pauvre Sarah a de nouveau du mal à respirer ! », déclara Raquel en se dirigeant vers la tête de Sarah.

Elle se baissa alors, pris ses seins à pleines mains et les sortis de son soutien-gorge.

Les 2 mamelles pendirent librement.

La blonde s’amusa à franchement tirer dessus, en pinçant les tétines et les mamelons, comme pour traire une vache. Ne résistant pas à ce traitement, les mamelons durcirent et les tétines s’allongèrent.

 « Ça va mieux comme ça ma puce non ? Tu respires mieux ? »

Sarah pleurait et hoquetait sans pouvoir parler.

« Allez, on va passer à tes 5 derniers coups et on te libère ! », dit Raquel en tapotant la joue de l’adolescente.

Elle se releva, prit la badine en main et se positionna derrière Sarah.

Vicieuse, elle ne décocha pas le coup de suite, mais attendit une dizaine de seconde avant. Ce n’est que là qu’elle décocha le coup de badine. Un coup puissant. La badine s’enfonça dans le fessier de Sarah.

La fille en eut d’abord le souffle coupé. Puis un cri déchirant fusa.

Un sourire cruel s’affichait sur le visage de la lesbienne.

« Ça fait combien de coups Sarah ? »

«  . . . un . . . un »

Un 2eme coup tomba de suite, tout aussi puissant.

A chaque coup, Marion sursautait, mais ne disait rien.

Le fessier était maintenant zébré par les coups de badines.

Sarah hurla à nouveau. Mais, courageusement elle gardait la position.

« pitié . . . pitié . . . je n’en peut plus », supplia-t-elle.

Le 3eme coup tomba, sans prévenir, tout aussi impitoyable.

« Ça fait combien après 1, Sarah ? », demanda la blonde.

La tête de Sarah tournait visiblement.

« Deux . . . DEUX ! », cria-t-elle en comprenant qu’elle venait de rater un décompte.

Après une nouvelle pause de 10 secondes, le quatrième coup tomba.

« trois ! », murmura Sarah.

Le coup suivant tomba de suite, mais sue le bas des fesses, zébrant aussi le gras de la chatte.

« Bingo ! », ai-je pensé hilare.

Sarah feula de douleur, tremblant de tous ces membres, un filet de bave lui échappant d’entre les lèvres.

5 secondes après un nouveau coup partit sur les fesses cette fois.

« Oups ! », dit Raquel. « Tu n’avais pas fait le décompte ! Zut alors ! Je vais m’en vouloir toute la journée ! Alors, après trois, c’est quoi ?

« Qua . . . quatre », dit Sarah, brisée.

Le dernier coup tomba alors.

Cette petite Raquel était une dominatrice et une sadique déjà consommée ! Coups sévères. Bien arythmiques. Torture psychologique. . . .Déjà une très bonne technique !

Sarah en avait enfin terminée. Elle put se relever.

Marion reprit la main.

« Et bien j’espère que cette petite correction vous servira de leçon Melle ! Allez-vous rhabiller jeune fille ! »

L’adolescente ne se le fit pas dire 2 fois. Elle remit d’abord son soutien-gorge, puis sa chemise et sa cravate, et partit à petits pas vers les toilettes pour remettre culotte et jupe.

« Pourriez-vous nous raccompagner en classe Madame afin de justifier notre retard ? », demanda la blonde à Marion.

Elle ne perdait pas le nord : si elles revenaient seules sans explications solides, elles étaient bonnes pour une punition !

« Pas de soucis ! », dit Marion.

Sarah revint.

« Dépêche-toi d’aller en cours ! », lui lança Raquel avec perfidie. « Mme Schweinberg n’est pas patiente ! »

Sarah en fut saisie, et détala sans réfléchir.

J’éclatai de rire. Effectivement, Greta Schweinberg, notre prof de sport n’était pas patiente, et allait avoir un prétexte en or pour s’occuper de Sarah !

Tant pis, j’allai laisser Marion aux bons soins de notre infirmière et passer sur la caméra de la salle de sport !

Mar 6 jan 2015 1 commentaire
Bonjour à vou. Avez-vous prévu de publier la suite de "Sarah: Le dressage" s'il vous plait ?
Cette histoire a un potentiel avec le contraste entre la mère BCBG coincée et sa soumission (et celle de sa fille) à la dirrecrtice.
Merci de toute façon pour vos histoires déjà diffusée.
jeanlousoum - le 17/05/2015 à 06h07

Bonsoir

Oui, la suite est prévue . . . avec bien d'autres projets! Je ne peux donc garantir la date de publication! . J'ai la trame générale du chapitre suivant, mais il reste à l'écrire!

Merci pour vos encouragements, qui font toujours plaisir!

 

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