Le blog de histoires-erotiques-de-soumission-feminine

Chapitre 3

 

19h12.

« Répète-moi ça, Sofia?

- J’ai reçu leurs instructions par SMS… Ils veulent qu’on se filme à la webcam… toutes les deux… maintenant… »

Je répète ses mots soigneusement dans ma tête comme une énigme à résoudre. Premièrement, je découvrais que j’avais de nouveau une épreuve perverse à affronter et qui s’annonçait des pires. Deuxièmement, je n’étais pas la seule sur cette Terre à être victime de ces dégueulasses au téléphone. Enfin, cette autre victime était la femme de mon cousin!

« Qu’as-tu reçu exactement comme message? »

Sofia sort son téléphone, tape sur quelques touches et me tend l’appareil. Je lis:

‘Petite salope, à 19:20, allume ta cam avec Sylvie et montre-nous vos beaux petits culs, toutes les deux en sous-vêtements. Prépare le gode. Ne sois pas en retard, bonne soumise, sinon…’

« Sinon quoi? »

Sofia tourne au rouge, honteuse. Je suis bête. Il l’avait sûrement piégée comme moi avec des vidéos humiliantes.

Ce qui m’étonnait dans ce message, c’était la violence des mots: ‘petite salope’, ‘beaux petits culs’, ‘bonne soumise’… Très différent de l’intonation neutre qu’ils utilisent avec moi.

‘Bonne soumise’. Les rares fois où j’ai tenté de me rebeller ont mené à bien pire… Je prends une respiration profonde comme à chaque fois avant de me résoudre à me soumettre au pire.

« Allons-y. Ne soyons pas en retard.

- Tu es d’accord…? »

Sofia tremblait.

« Nous n’avons pas le choix, Sofia. Il faut faire ce qu’ils disent. Mais au moins, cette fois, nous serons deux.

- Oui… »

La belle brune sourit vainement. Nous montons les escaliers et elle me laisse entrer dans sa chambre où l’ordinateur est déjà préparé en face du lit.

Je la regarde dans les yeux. Puis, sans dire mot, j’enlève mon haut et retire mes chaussures. Elle fait de même, me laissant la vue à ses superbes seins. Je crois bien qu’elle porte du C. Face à ces deux merveilles, je souris. J’avoue qu’ils sont très beaux. Nous nous retrouvons toutes les deux en culottes et soutien-gorge.

« Tu es prête, Sofia?

- Oui… Tu leurs as déjà fait des webcam?

- Non… et toi?

- Oui…

- Je suis désolée.

- Ce n’était pas si terrible… J’avais surtout peur que tu sois réticente et que tu refuses de coopérer. »

‘Coopérer’? Voilà une formule bien étrange…

« Je le fais parce qu’ils nous tiennent au cou. C’est la seule raison.

- Tu verras… On finit par s’habituer à tout ça et on découvre de nouvelles choses… C’est une autre vie. »

Qu’essaye-t-elle de me dire…? On dirait presque qu’elle en sourit.

« Je vais mettre la webcam sur un logiciel de chat et on écoutera leurs ordres… Ils nous verront tout de suite... Mais on ne les verra pas. En général, ils parlent peu à la webcam et se content de…

- De mater. J’avais compris, Sofia. Fais-le. C’est l’heure. »

 

19h20.

« Bonsoir mes jolies. Ravies que vous ayez fait connaissance de vos vies de soumises. Sofia, comme tu es une sacrée petite pute, il me semble que tu as acheté quelque chose récemment?

- Oui, d0cteur…

- Montre-le. »

‘D0cteur’, c’est ainsi qu’elle le ou les nomme. Drôle de nom pour un maître chanteur.

Sofia se penche sous le lit et en ressort une boite. En l’ouvrant, elle dévoile un gode rose d’une quarantaine de centimètres doté d’un gland à chaque extrémité. Mes yeux s’écarquillent. Sofia rougit.

« Parfait! Cela va vous allez à merveille. Vous allez performer un ‘ass-to-ass’, c’est-à-dire mettre le gode dans vos deux petites roses et l’enfoncer jusqu’à ce que vos deux bons culs se touchent. Allez-y, faites ce qu’il faut pour qu’on se régale! »

L’air normal, elle prend un tube de lubrifiant et monte sur le lit en tendant ses jolies fesses. Je ne bouge pas. Elle me demande:

« Tu n’as jamais fait du anal? »

C’est ce que le ‘docteur’ exprimait par ‘petites roses’… Pour moi, ça avait toujours été un truc… sale.

« Non…

- Ne t’inquiète pas. Je vais m’occuper de toi. Ça ne fait pas mal si on le fait bien… au contraire! Allonge-toi sur le ventre. »

Je m’exécute en essayant de lui faire confiance. Elle retire ma culotte. Dans ma tête, je me répète pourquoi, ô pourquoi, je suis obligée de faire ça… Elle embrasse mon derrière.

« Tu as de belles fesses, Sylvie.

- Merci… »

Elle prend de la crème lubrifiante et me l’étale sur les fesses.

« Ouh, c’est froid…

- Oui, relaxe-toi… »

Sofia me masse les fesses et les dos.

« Tu masses bien…

- Il faut que tu sois toujours détendue. C’est important. Tu aimes quand je te touche là? »

Je sens sa main passer en haut de ma raie.

« Ça me gêne…

- Chut… »

Elle recommence. C’est vrai que cela déclenche des petits frissons pas désagréables. Elle remet de nouveau de la crème et recommence le traitement en descendant plus bas jusqu’à titiller mon petit trou.

« Sofia…

- Chuuut. »

Son doigt tourne autour puis appuie un peu dessus. Je respire fort.

« Sofia, je ne peux pas. Je suis désolée…

- Fais-moi confiance. Il faut juste que tu détendes, d’accord? »

Se détendre, se détendre… Facile à dire! Je n’ai pas de bouton on/off pour commander mon stress! Elle s’approche de mon visage et, contre toute attente, m’embrasse langoureusement. Je sens sa poitrine s’appuyer contre la mienne. C’est la première fois que j’embrasse un femme et … j’avoue que ça m’excite un peu. Puis, presque déçue, je sens sa langue qui se retire.

« Tu me fais confiance, Sylvie?

- Oui… »

Elle reprend le massage de mes fesses mais s’aventure aussi vers mon sexe et j’admets être cette fois bien plus relaxée. Puis, elle s’arrête et change de position. Je me demande ce qu’elle fait. Soudain, je sens une langue humide titiller le bout de mon anus.

La sensation est indescriptible. Je cambre mon dos mais elle s’enfonce plus.

« Sofia… »

Sa langue continue de tourner sur mon petit trou, s’introduisant à petits coups et humidifiant pour de bon l’intérieur.

« C’est si... sensible… »

Cette fois, sa langue pénètre plus en profondeur écartant légèrement mes parois muqueuses. Je surprends ma main se faufiler entre mes jambes afin de caresser mon sexe. Ca me fait du bien…

« Sylvie, tu vois que aimes, chuchote Sofia.

- Non, ne t’arrête pas… »

Je suis complètement perdue et je veux profiter de sa langue… Pourtant, je sens quelque chose de plus dur.

« Je vais mettre un doigt, d’accord? »

Ma respiration s’accélère. Je panique!

« Détends-toi, je vais le faire tout doucement avec beaucoup de lubrifiant… »

Je la laisse me tripoter l’anus. Bon… Je reconnais qu’elle se débrouille vraiment bien. Elle parvient à rentrer un doigt et moi, je ferme les yeux. J’en profite pour me m’exciter les seins qui durcissent. Sofia continue ainsi un petit moment puis très lentement enfonce un second doigt.

« Sofia, comment fais-tu… Ah...

- C’est parce que j’aime tes petites fesses de rousse, Sylvie! »

La brune me dépose des petits baisers sur mes deux collines de chair tandis que je sens un troisième doigt ma pénétrer.

« Tu mouilles beaucoup pour une fille qui n’aime pas ça… »

Je rougis. J’ai honte!

« Ne te moque pas… Hein… C’est différent de ce que je croyais… »

Je ne comprends pas… Comment a-t-elle réussi à me décoincer aussi facilement?

« Sofia, viens… Je veux t’embrasser… Je veux te sentir contre moi...»

Je lui dépose un baiser des plus attentionnés. Nous nous enlaçons. Je lui lèche le cou. Elle me prend les cheveux. Ce soir, j’ai envie de tout oublier et de me libérer.

« Sofia, je veux te faire pareil...

- Chut, mon cœur, je peux le faire seule. »

La belle aux cheveux lisses me caresse les cheveux. J’embrasse ses seins. Je veux plus d’elle.

« Non, je veux me sentir en toi… »

Je me retourne de sorte à avoir la tête face a ses belles fesses. J’entreprends de les lécher allègrement. Puis, partant du haut de sa raie, je donne comme elle m’avait fait des petits coups de langue en descendant de plus en plus bas. Je parviens à son petit trou et je continue ainsi, toutefois en léchant de plus en plus allègrement.

« Sylvie, ouh… Tu t’y prends bien… »

Je parviens à rentrer un peu ma langue. Le goût est très différent de ce que j’imaginais et pas si désagréable. Sofia m’encourage à continuer. Alors je plonge un doigt en découvrant le plaisir de la sensation intérieure, puis après un bon moment, un second, et finalement un troisième. Pendant ce temps-là, elle se touche les seins, se les pince, mord l’oreiller, se caresse la chatte…

« Mets-le moi, Sylvie, mets-le moi…!

- Tu es sûre?

- Oui, fais-le! Je le veux! »

Je prends le gode et le recouvre de lubrifiant. Lentement, je l’enfonce dans le cul de la femme de mon cousin.

« Aaaaaaaaaaah, oui! »

En faisant de lent va-et-vient, l’envie me prend d’essayer aussi.

« Sylvie, viens, mets-toi à quatre pattes derrière moi. Tu vas adorer, ma belle rousse… »

Alors je suis ses conseils et je sens même que je mouille. Je positionne l’autre bout du gode dans l’axe de mon anus et j’appuie lentement. Plus gros que les doigts de Sylvie, l’objet pénètre en moi comme une libération… Une sensation indescriptible… Comme si je découvrais une partie de plaisir en moi que je n’avais jamais insoupçonnée avant…

« Ooooh!

- Tu aimes ?

- Oui, c’est si étrange…

- Bouge tes fesses comme moi… Faisons-le ensemble… »

Tout d’abord, nous bougeons nos petits culs afin que le gode travaille une belle entrée. Puis, on s’enfonce et recule sur le gode. La sensation est intense !

« Sofia…

- Oui, Sylvie! Continue! »

Je suis dans un autre monde. Les spasmes traversent et transcendent mon corps. Le gode s’enfonce dans mon ventre et en ressort. Je ne peux m’empêcher d’imaginer que c’est le dard de mon patron, qu’il est avec nous deux, nu et montrant sa virilité. Les fantasmes dépassent la réalité. La réalité succombe au plaisir.

« Ass-to-ass! Magnifique! », s’écrit le ‘docteur’.

J’ai complètement oublié les pervers de l’autre côté de l’écran. Quelque part, savoir qu’on me regarde faire ça… Dans une position indécente avec une femme… Je ne sais pas mais ça me donne une envie …

« Bouge plus vite, Sylvie…

- Oui… »

Nos fesses se claquent l’une contre l’autre. Ma mouille dégouline le long de mes jambes et se mélangent à celle de Sofia à l’encontre de nos deux entrées dilatés. Je me remets à me masturber allègrement. Je sens quelque chose monter en moi…

« Sofia, je crois que je vais … ! Sofia … !

- Oui ! Laisse-toi aller, Sylvie! Oui! »

Quelque chose va exploser en moi… Je le sens! Je ne reconnais rien, tout est trouble!

« Sofia… Aide-moi! Je…

- Oui, Sylvie, lâche-toi!

- Aaaaaaaaaaaaaah ! »

Je m’écroule. Je crois que je ferme les yeux. Je ne sens rien et tout à la fois. J’ai l’impression d’être dans un bain d’eau chaude, à une parfaite température. J’ai envie de me sentir ainsi pour l’éternité.

Puis, une main que je connais bien passe doucement sur mon dos.

« Sylvie, comment vas-tu?

- Oh, Sofia, tellement bien… Tu m’as offert mon plus orgasme. »

Toutes transpirantes, nous nous embrassons allègrement.

« Tu es tellement belle, Sylvie. Ta chevelure rousse est magnifique. Et je parle aussi de cette rousseur ici… »

La brune me caresse mon sexe, mouillé comme jamais. Je suppose que, même silencieux, le d0Cteur doit bien profité de ce moment.

« Coquine! Je n’aurais jamais qu’une femme me ferait plus plaisir qu’un homme… Tu m’as tellement surprise.

- Tu sais, c’est parfois difficile de connaître nos véritables désirs et nos plaisirs. On a parfois besoin d’être… un peu poussée...»

Je tourne la tête, morte de honte. Est-ce vraiment moi?

« Hé, je ne voulais pas que tu me fasses ma tête. »

Sofia, la sublime Sofia, saisit mon menton de sorte à ce que je la regarde yeux verts dans les yeux noirs. Ses longs cheveux lisses, plus noirs que la nuit, tombent le long de ses épaules, cachant légèrement son abondante poitrine aux bouts foncés.

« Je ne te ferai jamais la tête… Ce soir, je t’ai découverte, Sofia… Je t’ai trouvée comme jamais je ne l’aurais crue… Tu m’as toujours fait rire lorsque nous étions ensemble. Tu m’as toujours appelé de temps à autre pour prendre de mes nouvelles. Tu étais presque ma meilleure amie. Nous avons franchi un grand pas. »

La belle brune du coin de ses lèvres rouges.

« Mais… Tu es la femme de mon cousin… Et il y a eux…, lui fais-remarquer en montrant discrètement l’écran par lequel le docteur et les pervers continuent sûrement de nous épier, en silence, profitant au sommet de leur plaisir voyeur.

- Ni moi, ni eux ne seront un problème! »

Mes yeux m’écarquillent! Cette voix… Ça ne peut pas… J’entends des mains applaudir en s’approchant de la pièce.

« Quel magnifique spectacle: ma cousine se sodomisant avec ma femme! Je ne suis pas déçu de la mise en scène.

- Toi! Non! Non!

- Oh si! Cela a pris du temps à mettre en place mais ô combien ce travail valait la peine. Ma cousine est une vraie salope, bien au-delà de toutes mes espérances.

- Non, pas toi…

- Et pourtant, si! Je suis le docteur. »

 

20h00.

 

Marc pénètre la chambre.

Lun 16 mar 2015 Aucun commentaire