Le blog de histoires-erotiques-de-soumission-feminine

Chapitre 4

 

20h00.

« Je suis le docteur » annonce fièrement Marc en entrant dans la chambre. Il se montre nu en montrant fièrement son engin tendu qui me rappelle d’ailleurs étrangement quelque chose.

« Qu’est-ce que ça signifie ?! je crie, outrée.

- Cela signifie que tu es libre. Tu vas enfin pouvoir assumer pleinement la salope que tu es depuis des années.

- Quoi ?! »

Je recule et percute la fenêtre derrière moi.

« Ah, cousine, rien que de te voir comme ça, ça me met dans des états… Depuis qu’on est ados, je me branlais en t’observant dans la salle de bain, en reniflant tes culottes…

- Mon dieu, Marc ! Tais-toi !

- Tout va bien se passer, Sylvie, tente de me rassurer Sofia.

- Ne me touche pas, toi ! lui lance en m’écartant encore sur le côté.

- Sofia, au pied » ordonne Marc.

Automatiquement, Sofia se jette par terre, avance à quatre pattes et se place à genoux, langue en avant, face à son maître.

« C’est bien ma chienne, sourit sadiquement mon cousin.

- Mon dieu, Sofia… murmure-je en silence.

- Sofia est devenue une soumise docile et comblée. Cela a pris du temps et du travail mais elle sait désormais que c’est ce qui la rend heureuse. Certaines personnes sont faites pour être salopes et soumises. »

Sofia colle sa tête contre le pénis de son mari, commençant à lécher timidement ses testicules.

« Doucement, ma chienne… Je veux que vous le fassiez à deux… Sylvie n’est pas encore prête…

- Va te faire foutre, Marc !

- Pourquoi ne voudrais-tu pas me sucer la bite, chère cousine ? Après tout, tu l’as déjà fait et je crois que ça ne t’a pas déplu.

- Hein ?!

- Tu ne te souviens pas ? Voyons, c’était dans un bar nommé… « L’Exquis » si je me souviens bien, dit-il d’un ton écœurement pervers.

- Non ! Non ! Non ! Non ! »

Je sens une boule monter en moi. Je crois que je vais vomir.

«  Mais si, ma jolie et je t’assure que tu as un talent inouï pour les fellations. Quel dommage de ne pas…

- Tais-toi ! Tais-toi ! Tais-toi ! »

Il s’apprête à parler mais alors que j’aperçois la lampe, je l’attrape et lui lance dessus. Il tombe par terre. Je saute, bouscule Sofia et m’enfuis par la porte dans le couloir.

« Tu ne peux pas t’enfuir, salope! » l’entends-je à peine hurler.

Les escaliers. Mon cœur bat horriblement vite. J’arrive en bas et attrape mon sac. Je passe la porte d’entrée. Ma voiture. Je rentre. Mes clés. Vite ! Vite ! Oh non, où sont-elles… Non ! Il a dû me les prendre. Mon dieu, il arrive ! Je regarde autour et aperçoit un large buisson. Dans un saut surhumain, je me jette au-dessus et tombe à plat ventre de l’autre côté. Je l’entends sortir à ce moment-là.

« Tu ne me pas t’enfuir, Sylvie ! Tu ne peux pas ! Sofia ?

- Oui, d0cteur.

- Mets-toi un putain de manteau et prends la bagnole. Il faut la retrouver impérativement ! Elle ne va pas aller bien loin à pied. Je pars à gauche, tu pars à droite. Bouge-toi ! »

Je l’entends qui rentre dans sa voiture, démarre et disparaît. Quelques secondes plus tard, Sofia fait de même.

Puis le silence.

 

20h14

 

Mon dieu… Je dois partir. Mon cousin est un psychopathe, un dérangé sexuel. Je prie pour que tout ceci ne soit qu’un terrible cauchemar. J’aimerais tellement me réveiller dans mon lit… Mais je me suis bien fait mal en sautant dans ce buisson. La douleur me renvoi bien à la réalité et le froid commence à envahir mon corps fragile.

Je décide de couper à travers la forêt. Je dois être à trente minutes en voiture de Paris. Je suis toute nue. Mon dieu, je suis terrifiée…

 

20h37.

 

Je parviens au bout du bois et me retrouve devant une longue route traversant un pré. Un camion arrive au loin.

« Hey ! Hey ! Arrêtez-vous, s’il vous plait ! A l’aide ! »

Le camion ralentit et s’arrête devant moi. Je cache mes parties intimes comme je peux. Un homme d’une cinquantaine d’année sort du véhicule. Son tee-shirt trop petit laisse dépasser son bide poilu. Je me retrouve devant la caricature du routier vulgaire.

« Monsieur, aidez-moi… Des gens me cherchent et me veulent du mal...

- Hum, vous êtes toute jolie, ma p’tite dame… Ça vous plait de vous balader nue comme ça... »

Il est con ou quoi, lui ?

« S’il vous plait, amenez-moi à la police… Je vous en supplie…

- Ma p’tite dame, je veux bien vous amener quelque part mais… Vous êtes toute mignonne… Et moi, je me sens seul, quoi…

- Quoi ? Amenez-moi vers Paris, c’est tout ce que je demande ! Quelqu’un de taré me cherche, vous comprenez ? J’ai besoin de m’enfuir de ce trou de merde !

- Doucement, ma p’tite dame… Je comprends bien vot’ problème, ma p’tite dame… J’aimerais vous aider mais… Faudrait une petite récompense pour ça… »

Je le vois qui se gratte le bidon comme un dégueulasse. Sylvie, réfléchis… Marc ou Sofia vont surement bientôt passer ou repasser par là… Il faut vraiment que je parte…

« Que voulez-vous exactement ?

- Juste un petit bisou sur mon z’geg… Comprenez, ça fait longtemps qu’il a pas…

- Oui oui, j’ai compris. Ca va ! Très bien, c’est vendu. Je vous fait ça quand on arrive à Paris.

- Non, maintenant, un petit bisou sur mon z’geg…

- Je dois partir maintenant, vous comprenez ?!

- Montez, on fait le petit bisou tout de suite et on part… »

Je n’ai pas le choix. Il grimpe dans son gros camion et je le suis. Le siège n’est pas très propre. Je contiens mon dégoût de savoir ma peau en contact avec des restes de chocolat. Le routier me regarde avec un sourire jusqu’aux lèvres et me mate comme un gamin qui voit une femme nue pour la première fois.

« Je vous laisse faire votre métier, ma p’tite dame…

- Hé ! Je suis pas une pute, bordel.

- J’attends… »

Je pose ma main sur sa braguette et il ferme les yeux en râlant. Je descends la fermeture, enlève le bouton et sors son petit pénis. Une odeur de transpiration envahit mes narines. Je recule.

« Mais… Ça fait combien de temps que vous ne vous êtes pas lavé ? Je ne ferai pas ça ! Hors de question ! »

Il prend un air mort et son regard change brutalement. Son visage devient plus noir que la mort.

« Sors. »

Je l’implore du regard.

« S’il vous plait, ne me laissez pas… Mon cousin est un malade, il me cherche… Je suis toute nue, s’il vous plait !

- Suce ou sors. »

Il y a soudainement une fatalité dans ses yeux. Je prends peur...

J’inspire profondément et m’approche de l’objet dur. Sa bite est petite, poilue, presque ratatinée. Je commence à le branler.

« Vas-y, suce… »

Je ferme les yeux et englobe le petit gland. Je fais tourner ma langue autour et aspire avec mes lèvres. Le gout est exécrable. Comment en suis-je arriver là ? Son gland est tout chaud. Je l’entends soupirer.

« Mmmmmh… »

Sa main gauche me caresse mes cheveux. Je m’applique. Le plus vite il jouit le plus vite ce sera fini. Sa main droite, elle, se dirige dans le bas de mon dos et caresse mes fesses. Un de ses doigts s’approche de mon petit trou.

« Dis donc, ma p’tite dame, vous êtes toute ouverte du cul, vous ! J’ai toujours rêvé d’explorer une jolie fille par là… »

Il enfonce un doigt plutôt facilement. Je m’apprête à protester mais je le sens qu’il s’apprète à jouir.

« Oh… Oh… Oh, c’est bon, ça… »

Je suce de plus en plus vite. Je tâte ses couilles poilues qui me semblent particulièrement pendantes. Il continue à me doigter entre les fesses. Je le sens, il va venir.

D’un coup, il attrape ma tête.

« Oooooh ! Ouiiiii ! »

Un jet de foutre gluant envahit ma bouche. Je grimace. J’aimerais me retirer mais il me tient toujours la tête. Un second puis un troisième tire. J’avale difficilement. Mais je me surprends à aimer le goût de son sperme, plutôt sucré.

Il me libère la tête en soupirant. Je me relève pour l’apercevoir se lécher son doigt qui me pénétrait l’anus peu avant.

« Mmmmh, c’était trop bon, ma p’tite dame. Vous sucez comme une déesse ! J’me sens tout heureux. »

Je me nettoie la bouche comme je peux mais je reste encore surprise du gout savoureux de son liquide. Il est con comme un pied, mais au moins, il est précoce et gicle du bon jus.

« J’ai froid, vous n’auriez pas une couverture ?

- Bien sûr, ma p’tite dame. Prenez ça.

- Merci, ça ira. On peut y aller maintenant ? Franchement, je crois avoir fait ma partie correctement.

- Ca, c’est sûr ! J’vous promets, ma p’tite dame, jamais on ne m’a sucé aussi bien. Vous devriez vraiment devenir une vraie pute et vous vous feriez des millions. »

Connard.

« Oui, démarrez, s’il vous plaît, au lieu de dire des bêtises. Je vous rappelle qu’on est toujours à mes trousses.

- Vous inquiétez pas, Charlie est là pour vous sauver. Je vous amène où vous voulez et personne, j’dis bien, personne, ma p’tite dame, touchera votre corps de princesse. »

Je souris. Il est tout moche mais plutôt imposant. Ca me rassure un petit peu.

Maintenant, où devrais-je aller ? Mon cousin va sûrement m’attendre chez moi avec un sac à me mettre sur la tête et un couteau de l’autre. Réfléchis, Sylvie, réfléchis… J’ai trouvé !

Même si je n’aurais jamais osé en d’autres circonstances, il n’y a qu’une personne à qui je puisse vraiment faire confiance.

 

« En route ! »

Lun 16 mar 2015 Aucun commentaire