Le blog de histoires-erotiques-de-soumission-feminine
"Ma très chère amie,
J'ai bien reçu ta dernière missive, et ma foi, je compatis sincèrement aux malheurs qui te frappent. Il est vrai que se voir constamment déconsidérée par ses propres parents sous prétexte que sa sœur aînée est un modèle de réussite, a de quoi consterner. Quand bien même sa réussite récente à redresser l'entreprise familiale, en lui ouvrant de nouveaux débouchées, lui aura permis d'assoir la réputation de votre famille, cela ne retire rien aux mérites qui sont les tiens.
Ouvrir une agence de rencontre en ligne à partir de zéro pour la voir devenir l'un des leaders de son secteur d'activité devrait bien au contraire te valoir les louanges de ton entourage. Ces louanges dont Samantha t'a jusqu'ici toujours privée sans le moindre égard pour toi. Peut-être serait-il temps d'envisager une autre option la concernant, puisque tenter de rivaliser avec elle semble décidément infructueux… Pourquoi ne pas faire ce pourquoi je t'ai toujours senti si douée… et la remettre à sa juste place, là ne serait pas la solution ?
La Gwynn que j'ai rencontré voilà deux ans déjà, celle-là même avec qui j'ai expérimenté les plaisirs du sexe entre femmes sous toutes ses formes. A celle-là je croyais avoir appris la valeur du respect dû à ceux qui nous le doive. Ce même respect que j'exigeais de toi. C'est le respect que ta jeune sotte de sœur devrait naturellement t'offrir. Alors puisqu'il n'en est toujours rien, prends sur toi de forcer un peu sa nature, te connaissant, je n'ai aucun doute que tu devrais y trouver du plaisir. A cette fin, je t'enjoints à contacter une dénommée Nicole Johnson, dont je te note les coordonnées en annexe. Elle est de mes connaissances, j'ai beaucoup échangé avec elle par courrier électronique, elle saura t'aiguiller comme il se doit si tu te décides à emprunter cette voie.
De mon côté, les choses avancent à grands pas. Depuis maintenant trois mois et mon retour de noce, ma chère Alysson se montre bien plus accommodante quant à notre installation en France. Je me doute que mon petit projet, celui dont je t'ai précédemment entretenu, n'y est pas étranger. Il faut dire que ma belle-fille, la petite Mélanie, est un met de choix, d'autant plus comme je constate jour après jour qu'elle forte tête elle est, avoir grandi sans mère et avoir été élevée par un père laxiste n'y aura sûrement rien arrangé. Comme j'ai hâte de la faire tomber de son petit nuage, je n'attends désormais plus que le petit déclic, et à la première occasion je passerais à l'acte.
Ce sera tout pour cette fois très chère, et je me hâte déjà de te lire à nouveau. Au plaisir d'avoir de tes nouvelles.
Très affectueusement,
Mrs. Sarah de Frémont"
Reposant son stylo-plume sur son bureau, la belle quadragénaire, Sarah de Frémont, étendit un sourire au coin de ses lèvres au moment où du bruit retenti à l'entrée de la demeure. L'occasion qu'elle venait d'aborder dans sa lettre se présenterait aujourd'hui, elle en avait le pressentiment, et peu importe si elle avait un peu forcé le destin. Il allait être 11 heures, et le bruit qu'elle avait entendu ne pouvait être que sa belle-fille rentrant de son court de tennis matinal, ce qui signifiait que dans les prochaines minutes, la jeune Mélanie serait sous la douche. Ce qui, si les dires de sa propre fille Alysson, née de son premier mariage, s'avéraient exactes, elle pourrait prendre la petite frenchie sur le fait, une occasion à ne pas manquer…!
C'est pourquoi Sarah se leva toutes affaires cessantes, et tendit l'oreille pour suivre les déplacements de la jeune fille afin de déterminer le moment où elle serait enfin dans la salle de bain. Du bas de l'escalier, Sarah l'entendit en refermer la porte, et l'eau se mettre à couler, elle ne perdit donc pas plus de temps et monta à pas léger pour se poster derrière la porte de la salle d'eau.
Au bruit que faisait l'eau derrière la paroi de verre, Sarah put dire que la petite Mélanie était déjà sous la douche. Encore que petite, pour ses 16 ans, Mélanie ne l'était pas particulièrement. Surtout de ce que sa silhouette laissait deviner de ses formes déjà bien développées, notamment sa poitrine. Sarah, originaire de Grande-Bretagne, avait la chance d'être mieux pourvue que la plupart de ses compatriotes, généralement peu gâtées de ce côté de leur anatomie. Pourtant, sur ce point, la jeune Mélanie, 16 ans, faisant bien mieux que rivaliser avec sa nouvelle et première belle-mère, Sarah, tout juste 40 ans… elle la reléguait sur le banc de touche, elle et sa fille.
De cela, Sarah en eu la confirmation quand, entendant de légers gémissements lui parvenir à travers la porte, elle se décida enfin à pénétrer dans la salle de bain, et que s'offrit à son regard la vision la plus érotiquement attirante qu'elle n'ait vu jusqu'à lors. Là, devant ses yeux, si près que Sarah aurait pu la toucher en tendant le bras s'il n'y avait cette porte-vitrée entre-elles, la jeune et impétueuse Mélanie, les yeux fermés, se donnait tranquillement du plaisir les mains entre les cuisses.
A cet instant précis, Sarah su que tous les sacrifices qu'elle avait concédé pour en arriver là en valaient cent fois la peine. Et même alors qu'elle avait observé tant de corps féminins depuis qu'elle s'était ouverte à ce genre d'expériences quelques années auparavant, Sarah fut décontenancée.… Sa peau était claire comme la pierre de marbre, sa taille délicieusement fine soulignait une cambrure tout simplement affolante, laissant deviner des fesses somptueuses. Ses jambes n'étaient pas en reste, ses cuisses fermes, ses mollets tendus, un galbe sur lequel l'eau semblait couler comme s'il lui était interdit de toucher une peau si délicate. Mais le plus beau fut sans conteste sa poitrine, nue. Cette poitrine dont Sarah avait tant rêvé, animant des rêves érotiques qui tout à coup, se révélaient à mille lieux de l'incomparable splendeur de ses rondeurs parfaites, plus que volumineuses, naturellement maintenues et sur lesquels s'étendaient de pales et larges aréoles bien lises surmontées chacune d'un petit bourgeon de chair, ici tendu par le désir que la jeune fille prenait soin de faire monter en elle avec la plus experte délicatesse, en attestaient ses gémissements constants, qui sonnaient aux oreilles de Sarah comme le plus envoutant des chants de sirène.
Elle remonta alors son regard sur le visage de la jeune française, et elle vit que sa longue et volumineuse chevelure brune n'était pas mouillée, tout juste rendue légèrement humide par les vapeurs d'eau qui se dégageait dans l'espace de la cabine de douche. Quelques mèches étaient néanmoins venues se coller au visage de Mélanie. Un visage de muse aux traits fins, parsemé de quelques légères taches de rousseurs, et, dissimulés sous des paupières closes, Sarah observait deux yeux qu'elle savait de couleur émeraude aller et venir, accompagnant la danse du plaisir que tout le corps de Mélanie suivait doucement.
Une telle magnificence, une telle force de séduction, ce pur joyau féminin de corps et d'esprit, Sarah en fut bouleversée jusqu'au plus profond de sa chair, qui vibra toute entière à l'aura d'un érotisme sans pareille et dont Mélanie était inconsciemment la source. Tout ce qui faisait que cette jeune beauté devait être sienne…! Sarah ressentait le besoin de la posséder, de la faire sienne entièrement et d'être entièrement comblée par ses soins. Un besoin obsédant qu'elle avait ressenti dès qu'elle avait posé ses yeux sur la jeune française pour la toute première fois, à ce gala de charité donné dans la ville lumière il y avait quelques mois à peine, et qui en cette seconde explosa en elle tout comme son sexe se mit à taper du tambours dans son bas ventre, se contractant et s'éveillant lui-même pour faire naître une autre forme d'humidité entre les cuisses fuselées de la blonde et britannique jeune femme.
A son corps défendant, ce besoin lui était devenu si vital qu'elle en avait tout abandonné derrière elle, amies, demeure et patrie. Tout ce qu'il fallait pour se rapprocher d'elle. Et voilà qu'aujourd'hui, Sarah allait enfin être récompensée. Elle osa un dernier regard appuyé sur l'intimité cachée de Mélanie, dissimulée par un pommeau de douche fureteur et bien décidé à concourir à la délivrance de la jeune ingénue, et qui ne laissait apparaitre qu'en partie la toison laissée au naturel de la jeune fille. Bien qu'aucun mot ne puisse décrire la force d'attraction d'un tel spectacle, Sarah savait devoir se garder de laisser la jeune fille arriver à ses fins, sous peine de laisser passer sa chance. Aussi, elle se garda bien de s'attarder davantage à son voyeurisme, et encore plus de répondre aux appels de son propre fruit juteux et désormais gorgé de plaisir, elle reprit donc contenance d'une grande inspiration décidée.
Sarah (s'écriant): Mélanie…!
L'eau était chaude, le bien être total, et le plaisir plus que grandissant, mais son prénom hurlé de la sorte sonna comme la plus glacée des douches aux oreilles de Mélanie.
Mélanie (sous le choc de la surprise): Sarah…!? Que…! Je….
Figée d'être ainsi découverte en pleine masturbation, la jeune Mélanie ne sut ni quoi dire, ni comment s'exprimer. Car comme si la honte de sa situation ne suffisait pas, il fallait que ce soit sa belle-mère qui la prenne la main dans le sac de soie virginale. Saisissant la balle au bond, Sarah profita de l'incrédulité de la jeune fille pour ouvrir la cabine de douche et la saisir au bras pour l'en faire sortir.
Sarah (coupant l'eau et invectivant sa belle-fille): Comment oses-tu te toucher de la sorte comme la première des souillons sous le toit familial, alors même que les membres de ta famille occupent la maison…?!
Sorti de l'eau et retombée brutalement sur terre en étant extirpée de sa séance de douche masturbatoire dissipa rapidement le contrecoup de la surprise, et la belle Mélanie ne tarda pas à reprendre ses esprits pour se mettre sur la défensive.
Mélanie (clamant): Et toi alors, qui t'as autorisé à entrer…? C'est ma vie privée et ça ne te regarde pas…! Alors maintenant sors d'ici…!
L'adolescente ajouta du crédit à ses mots en repoussant d'un geste vif la main qui emprisonnait encore son bras. Sarah ne put retenir le frisson de plaisir qui lui parcourra l'échine de haut en bas en réaction au comportement rebelle de la jeune beauté française. La jeune femme émit un sourire carnassier sur son visage qui fit froncer les sourcils d'angoisse à Mélanie, avant qu'elle ne sente la poigne d'une main ferme se refermer sur sa longue chevelure. Sarah rapprocha alors dangereusement son visage de celui de la jeune fille, dont l'appréhension avait maintenant remplacé la surprise.
Sarah (d'un ton calme et sec): C'est toi la petite obsédée sexuelle prise en flagrant délit de tripotage et c'est moi que tu oses apostropher, et en me repoussant physiquement de la sorte qui puis-est…? Ne devrais-tu pas plutôt avoir honte et chercher à t'excuser…?
Les propos rationnels de sa belle-mère firent quelque peu flancher la croyance de Mélanie d'être dans son bon droit. Mais pour autant qu'elle soit bien fautive de s'être masturbée sans retenue dans une des pièces communes, elle n'avait pas l'intention de se laisser intimider comme ça. Enfin, pas aussi facilement en tout cas, car la revêche Mélanie devait admettre intérieurement qu'elle était tout de même impressionnée à cet instant par cette femme à l'allure aussi gracieuse que féroce, lui donnant l'impression d'une panthère prête à bondir.
Mélanie (exhortant): Ce n'est pas une raison…! Et d'abord, lâche-moi…! Aaaïe…!
Sarah (accroissant sa prise sur le cuir chevelu de Mélanie): Silence…! Je ne veux plus entendre un seul mot.
La douleur ressentie et le sérieux du ton de sa belle-mère eurent finalement raison de toute tentative de se rebiffer de la part de la jeune fille, qui conclue que la meilleure stratégie était de jouer la carte de la coopération, dans un premier temps. Il serait bien plus facile lorsque sa situation serait devenue moins précaire de rappeler à cette nouvelle venue en sa demeure qu'elle n'était pas du genre à se laisser marcher sur les pieds.
La jeune femme profita du silence obtenu pour toiser la jeune beauté fatale et promener son regard sur elle de haut en bas, et de bas en haut. A nouveau cette expression prédatrice qui inquiétait Mélanie sans savoir pourquoi s'afficha sur le visage de la belle anglaise. Elle appréciait vraiment plus que tout ce qu'elle voyait…. La peau encore humide de la jeune fille, recouverte d'un mélange de gouttelettes d'eau et de sueur qui perlaient pour s'écouler le long de son corps gracile de femme-enfant. Plus femme qu'enfant d'ailleurs, à voir cette opulente poitrine naturelle qui défiait la gravité de son maintien parfait et de ses tétons dardés. Cette même peau blanche tendue sur ce ventre plat au nombril arrogant et ses hanches de mannequin surplombant un chaleureux buisson, derrière lequel on devinait un pubis saillant et un minou plein et bombé. Sarah se fit tout de même la réflexion qu'il lui faudrait s'occuper de défricher convenablement ce divin palais des plaisirs le moment venu.
Mais ce que Sarah apprécia le plus, en dominante éclairée, ce fût, entouré de ses petites taches de rousseurs, ce regard au fond duquel se cachait cette lueur de défiance. Cet éclat si particulier qu'elle avait si longtemps cherché que la jolie blonde en était venue à croire qu'il n'existait pas, avant qu'elle ne le trouve finalement en la personne de Mélanie. Ce regard était la certitude que le challenge serait grand pour faire plier la jeune fille. Et c'est ce même regard qui ramena la jeune femme sur terre lorsque la jeune fille commença à froncer les sourcils d'interrogation. Sa poitrine se soulevait au rythme plus rapide de sa respiration devenue lourde et presque haletante par la contemplation de ce corps sexy en diable. La jeune femme aurait pu se jeter sur la beauté brune pour la dévorer sans plus attendre. Mais elle se reprit. Elle devait se reprendre. Le plaisir n'en serait que meilleur, surtout avec ce qu'elle avait planifié.
Sarah (se reculant d'un pas sans la lâcher): Je crois que tu n'as pas bien compris ta situation, ni qui tu as en face de toi. Mais puisque les bonnes manières semblent cruellement te faire défaut aujourd'hui, nous allons y remédier avec un rapide rappel à l'ordre, et pas plus tard que tout de suite. Viens par ici.
Agrippant toujours fermement sa belle-fille par les cheveux, Sarah la tira à sa suite et sous les protestations de cette dernière jusque dans le petit salon en bas, situé en face de son bureau, où arrêtant la dénudée Mélanie sur le tapis au centre de la pièce, elle relâcha enfin sa prise.
Sarah (exaspérée): Vas-tu enfin cesser de geindre…?
Mélanie: Mais tu es folle…?! Et si on m'avait vu…!?
Sarah: Ohhh, tu t'en inquiète finalement…? C'est bien, mais c'est un peu tard pour que je ne m'assure pas qu'à l'avenir tu te souviennes que tu ne vis plus seule sous ce toit.
Mélanie (hargneuse): Je me serais bien passé de votre compagnie moi…!
Sarah (exultant): Et moi je me serais bien passé de surprendre ma nouvelle fille dans une position obscène alors que je déambule dans la maison…! Et à ce qu'il m'est déjà arrivé d'entendre, c'est loin d'être la première fois, je me trompe…?
Mélanie (rougissant de gêne, se justifiant): Mais c'est ma vie privée…!
Sarah: Et ça aurait dû le rester, mais apparemment tu ne te soucis guère de nous faire partager ta vie sexuelle. Donc un rappel à l'ordre me semble s'imposer.
Mélanie (râlant): Bin c'est bon, j'ai compris-là, je le ferais plus quand vous êtes là…!
Sarah: Il n'est plus question de ça jeune fille. Il est question du manquement de savoir-vivre dont tu as fait preuve et de la punition qu'implique ce mauvais comportement.
Mélanie (dédaigneuse): Une punition…? Eh puis quoi encore...? Réveille-toi Sarah, on est plus au 18ème siècle, et même en Angleterre ils en sont plus là.
Sarah (caressant délicatement la joue de Mélanie du dos de ses doigts): Ma belle, si tu savais seulement combien tu te trompes…. L'éducation qui est encore inculquée dans les pensionnats respectables n'est que morale et discipline, les règles y sont strictes et les punitions exemplaires. On en ressort en femme digne et respectable. Un enseignement que tu n'as pas reçu malgré ton statut parce que ton cher père mon mari, n'avait aucune idée de la meilleure façon de parfaire ton éducation.
La belle blonde n'avait pas pu résister davantage à goûter ne serait-ce qu'un peu au velouté de cette peau, de ce corps qui lui créait des bouffées de chaleurs. D'autant plus que la jeune et jolie Mélanie n'esquissait aucun geste pour se cacher ou dissimuler ses atouts. Considérait-elle qu'il n'y avait plus grand-chose à cacher aux yeux de sa belle-mère maintenant qu'elle l'avait découverte, ou n'était-elle tout simplement pas consciente de son monstrueux sex-appeal…?
Mélanie (détournant la tête, se renfrognant): Bin on est pas dans un de ces pensionnats ici, alors tu vas devoir te contenter de mes excuses. Eh puis j'ai froid.
La jolie française osa esquisser un pas dans l'idée de remonter à l'étage mais c'était sans compter sur l'athlétique anglaise qui, l'encadrant de ses deux mains sur les épaules, la ramena à sa position de départ.
Sarah: Tu y penseras la prochaine fois avant de te donner chaud en te tripotant sous la douche.
En disant cela la jeune femme s'empara des mains de la belle adolescente et les plaça au-dessus de sa tête.
Sarah (dictant): Paumes jointes sans toucher la tête. Et tu tiens la position. J'ai à faire à mon bureau, d'où je pourrais parfaitement te voir. Tu restes là jusqu'à mon signal et tu pourras venir me présenter tes excuses. Ensuite seulement tu pourras aller t'habiller.
Mélanie (plaignante): Mais si on me voit…?
Sarah: Le but est de condamner ton impudeur gratuite. Mais si ça peut te rassurer, Alysson n'est pas encore rentrée et Helen est afférée en cuisine. Maintenant prouve-moi que ton repentir est sincère en observant cette réprimande comme une fille mature et nous n'en parlerons plus. En es-tu capable…?
La jeune fille réfléchit rapidement à la question autant qu'à sa situation présente. Après tout, ce n'était pas si terrible, et ça irait sûrement plus vite pour se débarrasser de Sarah que d'obtempérer. Elle qui s'attendait presque à un châtiment corporel…. Qui sait, elle aurait peut-être même le temps de finir ce qu'elle n'avait pas pu achever sous la douche avant de passer à table, pendant qu'elle avait encore l'image de son adonis de professeur de tennis en tête. Aussi la jeune fille dénudée se décida à obtempérer.
Mélanie: Oui.
Sarah: Pardon…?
Mélanie (répétant avec les formes): Oui Sarah, je suis capable d'accepter cette sanction comme une adulte.
Sarah (satisfaite): Bien.
La jeune femme s'éloigna alors avec une pointe de regret de sa jolie belle-fille, sublime dans son plus simple appareil, et s'installa derrière son bureau en ayant pris soin de laisser la porte de la pièce ouverte. Ainsi assise, la jeune Mélanie apparaissait pile en face de son champ de vision. Il se passa quelques paires de minutes durant lesquelles Sarah dû faire semblant de s'afférer à la tâche avant que la tentation ne devienne trop forte, et que cachée derrière son bureau, elle ose enfin glisser une main sous sa robe. La vue de ce corps nu élancé et sexy comme nul autre lui faisait un effet du tonnerre, la culotte de dentelles qu'elle portait, et trempée de son jus intime pouvait en attester. A peine la femme en chaleur avait atteint sa pièce de lingerie qu'il lui suffit de presser légèrement ses grandes lèvres de ses doigts pour que ceux-ci en deviennent instantanément poisseux. Elle franchi ensuite les frontière du tissu et insinua les premières phalanges de ses doigts dans les replis de son sexe pour débuter une lente masturbation. La simple idée qu'elle était ici en train de se donner du plaisir en matant la jeune fille sans que celle-ci ne se doute de rien redoubla ses ardeurs, rendant difficile sa respiration. Elle savait pourtant qu'elle ne devrait pas, qu'il ne fallait pas se laisser emporter, mais c'était plus fort qu'elle, cette fille-là lui faisait perdre tout contrôle d'elle-même. Relevant ponctuellement le regard à hauteur du visage de la jolie brune pour lui signifier qu'elle l'avait à l'œil, Sarah senti petit à petit sa volonté faiblir tandis que son plaisir augmentait dangereusement.
Heureusement pour Sarah, c'est ce moment que choisi sa fille Alysson pour rentrer à la maison, comme elle l'entendit de l'entrée, la ramenant ainsi sur terre alors qu'elle était au bord du gouffre orgasmique. La jeune pénitente l'entendit aussi, et un sursaut de panique la traversa sans pour autant qu'elle ne quitte la pose. Mais Sarah pouvait lire le stress dans le regard de la délicieuse Mélanie, ainsi que son combat intérieur pour savoir si elle devait fuir à l'étage ou non. La jeune femme dut prendre sur elle pour fournir l'effort intense de parler, tant elle revenait de loin.
Sarah (se reconcentrant, avertissant): N'y pense même pas.
Alysson (ôtant ses chaussures, depuis l'entrée): C'est moi les filles, je suis rentrée…!
Sarah (gardant ses yeux fixés dans ceux de Mélanie): C'est toi ma chérie…? Viens donc me saluer, je suis dans mon bureau.