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Chapitre 1b : Première punition : Alysson entre en scène

 

Les yeux de la belle française s'agrandirent de surprise en entendant sa belle-mère appeler de la sorte Alysson, qui ne manquerait assurément pas de la voir en passant devant le bureau. Et malgré le regard implorant qu'elle adressait à sa belle-mère, celle-ci ne flanchât pas et ne répondit pas à sa demande silencieuse. Consciente de risquer de s'attirer les foudre de Sarah par son geste, mais dans l'urgence de la situation, la jeune fille en tenue d'Eve quitta sa position et entreprit de rapidement contourner le petit salon pour monter l'escalier opposé à l'entrée, tout en espérant qu'il ne soit pas trop tard pour échapper à la honte d'être vu ainsi par sa demi-sœur. Malheureusement pour elle, la jolie anglaise en robe bleu senti le coup venir et se précipita à la suite de la fuyarde, faisant tonner sa voix comme un coup de canon menaçant.

 

Sarah: Mélanie…!

 

Le sursaut ne l'immobilisa qu'une seconde, mais ce fut suffisant pour que l'autre femme ne l'agrippe au bras et ne la retourne face à elle, visiblement furieuse.

 

Sarah: Qui t'a permis…?! C'est ainsi que tu remercies la clémence dont je fais preuve à ton égard…? En t'enfuyant comme une sale lâche perverse…?

 

Mélanie (justifiant): Mais Alysson allait me voir…!

 

Sarah (la saisissant): Et tu l'auras bien mérité, par ici…!

 

La jeune femme tenta d'entraîner sa jeune belle-fille à rebrousser chemin mais celle-ci, pour qui s'en était trop, ne l'entendit pas de cette oreille et se débâti avec fougue. Ce que la jeune fille ignorait cependant, c'est que plus elle combattait, plus la détermination de sa belle-mère augmentait, ainsi que cette excitation si particulière, du chasseur affrontant sa proie.

 

Sarah: Allons bon, il suffit…!

 

Mélanie (cherchant à se soustraire): Pas question…!!

 

Tout de même surprise par la force de la jeune fille, qui lui tenait tête à taille égale, Sarah sentie que l'adolescente prenait le dessus, ce qui l'a résolue à se montrer plus directe, pour son plus grand plaisir. La jolie prédatrice saisi donc vivement l'un des tétons saillants de la jeune bagarreuse et le pinça violement entre son pouce et son index. La décharge de douleur fit perdre aussitôt toute combativité à la jeune fille, qui fût trainée de force jusqu'au petit salon où toutes deux se retrouvèrent nez-à-nez avec la nouvelle arrivante.

 

Mélanie: Aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe…! Mais lâche-moi à la fin…!!

 

Alysson (surprise): Maman…?

 

Sarah (relâchant légèrement la pression de ses doigts): Si je te lâche, tu vas te tenir tranquille ou tu vas chercher à filer à nouveau…?

 

Bien que moins intense, la douleur parasitant la poitrine de la belle frenchie était toujours présente, et commandait à son esprit de tout faire pour qu'elle cesse.

 

Mélanie (se trémoussant sur place): Je serais sage, je serais sage…! C'est promis, mais lâche-moi s'il te plaît…!

 

Sarah: Tu as certifié être assez mature pour assumer une sanction méritée, pourtant tu as pris la poudre d'escampette à la première occasion…! Que vaut ta parole dans ce cas…? Je commence à croire que tu n'es rien de plus qu'une petite délurée obsédée par sa petite personne…!

 

La jeune Alysson n'en revenait pas de ce qu'elle voyait, sa mère mettant au pas sa nouvelle demi-sœur, dans le petit salon et surtout, entièrement nue. Elle aurait voulue demander à sa mère ce qu'il s'était passé mais celle-ci interrompit son questionnement en s'adressant à elle.

 

Sarah (parlant à sa fille, puis détournant la tête vers Mélanie): Bonjour ma chérie. Excuse mon impolitesse, comme tu le vois j'ai fort à faire avec cette petite insolente. Et toi, ne t'avise pas de fiche le camp…!

 

La jeune femme relâcha alors son emprise sur le bourgeon de chair malmené. Immédiatement soulagée, l'envoutante Mélanie porta une main sur son sein meurtri et le massa doucement de la paume pour atténuer les relents de douleur. Ce faisant, elle plaça son autre main devant son intimité dans un ultime geste de pudeur envers sa demi-sœur ainée, un geste qui n'échappa pas à la plus âgée des trois femmes.

 

Alysson (passant de sa mère à Mélanie, puis revenant à sa mère): Bonjour. Mélanie. Que se passe-t-il…?

 

Sarah (s'adressant à Mélanie): Veux-tu lui répondre ou préfères-tu que je le fasse…?

 

Si ce n'est un regard mi-renfrogné, mi-irrité, seul le silence répondit à la jeune femme.

 

Sarah (reprenant): Vois-tu Alysson, j'ai cru entendre une jeune fille entrer en trombe à la maison et filer à l'étage sans même venir me saluer, moi sa propre mère. Et lorsque soucieuse, je me suis rendue au premier pour m'assurer de son état, que tout allait bien, je l'ai trouvé dans la salle de bain occupée à se tripoter la minette comme une obsédée. Sans honte, sans pudeur, là, sous mes yeux. N'est-ce pas la vérité Mélanie…?

 

Mélanie (la voix base): Oui.

 

Alysson (s'exclamant, portant une main à sa bouche): Ohhhhh….

 

Avec un sourire, Sarah poursuivi l'explication.

 

Sarah: Après une altercation où elle a cru bon de me tenir responsable, elle a reconnu être en tort et nous avons finalement convenu qu'elle devait donc se repentir de son manque de considération, en demeurant au piquet avant de venir présenter ses excuses. Et au lieu d'excuses, j'ai eu droit à la vision d'une jolie paire de fesses s'enfuyant à toutes jambes. Toujours d'accord avec moi…?

 

Mélanie (troublée): Heu…. Oui.

 

Entendre sa belle-mère relater les faits calmement remis les choses en perspectives d'une nouvelle façon dans l'esprit de la jeune et belle brune, qui se cachait maintenant aussi la poitrine à l'aide de son bras. Avait-elle vraiment été aussi impolie et méchante que sa belle-mère le laissait entendre…? Elle commença à se sentir coupable de s'être montrée aussi malhonnête avec sa belle-mère, cette femme qui s'était toujours montré si gentille jusqu'ici avec elle et qui n'avait fait que…. qu'essayer de la ramener à la raison, et quoi…? Lui inculquer une leçon…? Mélanie se dit que oui, elle n'était définitivement pas du genre à ne pas se laisser marcher dessus, mais son côté impétueux semblait l'avoir poussé à se montrer méchante avec ce qu'elle devait bien admettre être un membre de sa famille. La jeune Mélanie se souvint alors qu'elle avait même craché au visage de la jeune femme qu'elle aurait préféré qu'elle et sa fille ne débarquent pas dans sa vie. Honteuse de son comportement, elle se dit qu'il n'était peut-être pas trop tard pour tenter de se faire pardonner, se disant qu'au fond, elle aurait finalement bien mérité une paire de gifles ou une bonne fessée, ce qu'elle se serait donné à elle-même dans pareil cas.

 

Mélanie (désolée): Je m'excuse Sarah.

 

Sarah (étonnée): Pardon…?

 

Mélanie (répétant, avec plus de conviction): Je me suis mal conduite avec toi sans aucun raison alors que tu te souciais de moi. Je m'en excuse.

 

Sarah (dubitative, questionnant): J'avais bien compris la première fois, mais crois-tu qu'il t'appartienne de t'excuser…? Et d'ailleurs, sur quoi nous étions mis d'accord à ce propos…?

 

La jolie brune comprit alors de quoi il était question et, pudiquement, détacha ses mains de ses parties intimes et les redressa au-dessus de sa tête pour reprendre sa position, évitant au possible de croiser le regard de cette demi-sœur, à laquelle elle offrait désormais une vue imprenable sur son anatomie toute entière. C'est cette dernière qui intervint alors….

 

Alysson (le teint rosissant): Eh bien, je ne peux pas dire que je n'ai pas été surprise. Mais bon, je t'adore Ninie. Même si à ta place j'aurais un peu honte d'être pardonnée par maman sans l'avoir mérité, pas toi…?

 

La jeune brune au corps dénudé et maintenant sec, regarda la jeune blonde à la crinière tressée en une longue natte, mais ne pipa mot.

 

Sarah. Eh bien, jeune fille…? Aurais-tu perdu ta langue…?

 

Alysson (plaidant): Laisse maman, ce n'est rien.

 

Sarah: Non, ce n'est pas rien justement. Tu te montres gentille et compatissante à son sort et elle n'a même pas la politesse de te répondre.

 

La jeune Mélanie fronça les sourcils, se demandant si elle faisait vraiment tout de travers aujourd'hui. Que lui arrivait-il…? Etait-ce la frustration de ne pas avoir pu atteindre l'orgasme en revenant de son cours, et qu'elle avait l'habitude de se donner en pensant à son beau professeur…?

 

Mélanie (soufflant): T'as raison Alysson, c'est un peu la honte c'est vrai. Et j'ai pas vraiment cherché à me faire pardonner je l'admets.

 

Sarah (saisissant la balle au bond): Heureusement il n'est jamais trop tard pour bien faire.

 

Les yeux de Mélanie s'ouvrirent en grand en direction de sa belle-mère, attendant la suite. Mais la gentille Alysson intervint encore.

 

Alysson: C'est ok maman, je ne veux pas lui attirer des problèmes.

 

Mélanie (intervenant): Non, laisse, Alysson…. Tu n'as rien fait de mal, c'est moi. C'est à moi de me faire pardonner pour avoir mal agis. Qu'est-ce que je peux faire pour que tu m'excuses Sarah..? J'accepterais n'importe quelle punition que tu me dicteras, promis.

 

Sarah: Et si nous laissions Alysson en décider pour le coup, qu'en dis-tu…? Elle a reçu mon éducation, à l'anglaise, elle. Alors chérie, quelle punition mériterait le pardon…?

 

Alysson (rébarbative): Mais maman, je veux pas….

 

La jolie blonde de deux ans plus âgée que la jolie brune comprit en regardant sa mère qu'il valait sans doute mieux pour elles qu'elle choisisse la punition sans discuter. Elle ne voulait pas s'attirer des ennuis, aussi et connaissant sa mère, elle choisit ce qu'elle savait que cette dernière devait attendre comme type de réponse, et adressa avant de se prononcer un regard désolé à l'intention de sa demi-sœur.

 

Alysson: Je pense qu'une bonne fessée ferait l'affaire.

 

Sarah: Une fessée alors…? Classique mais juste. Mélanie…?

 

La jeune fille sentit une boule se former dans son estomac face à l'appréhension de subir une telle punition. Mais n'avait-elle pas reconnue elle-même qu'elle était justifiée…? Et quand bien même c'était une sanction enfantine, ne paraitrait-elle pas plus infantile à rechigner à l'idée de la recevoir…? Il était temps pour Mélanie de prouver à sa belle-mère qu'elle était bien cette jeune fille mature qu'elle lui soutenait être, et non pas cette gamine au comportement insultant qui s'était illustrée jusqu'ici semblait-il. Oui, elle allait accepter son sort comme une adulte. La jeune et jolie française, déterminée, se décida donc à hocher la tête avec un air résolu en guise de réponse et d'acceptation.

 

Sarah (frémissant intérieurement, enthousiaste): A la bonne heure…! Installons-nous.

 

La jeune femme désigna d'un geste la jolie banquette rouge de style Louis XV située derrière elles dans le petit salon. Sans attendre davantage de réponse, elle y guida la jeune fille avant de s'y assoir et de l'inviter à s'installer à son tour, après avoir retroussé sa robe pour éviter de trop la froisser.

 

Sarah (avec entrain, tapotant ses cuisses): En place jeune fille…!

 

La jeune fille en question n'était pas sûre de comprendre…. Sa belle-mère voulait-elle réellement qu'elle se mette en travers de ses genoux…? Ne devait-elle pas plutôt comme Mélanie le pensait, se contenter de claquer ses fesses une paire de fois, et debout, pour marquer la sanction et passer à autre chose. La jeune fille osa à se risquer de poser la question pour la forme.

 

Mélanie: Mais heu…. sur tes genoux…? Tu es sûre que….

 

La jolie française n'eut pas le temps de terminer sa phrase, interrompue par sa belle-mère dont l'excitation allant croissante dicta un certain empressement.

 

Sarah (attrapant l'un des poignets de Mélanie pour la tirer sur ses genoux): Aller, cesse dont de faire l'enfant maintenant.

 

C'est pourtant ce qu'elle se donnait l'impression d'être, désormais allongée de la sorte en travers des genoux de sa belle-mère, ses jambes repliées vers le haut et son buste reposants des deux côtés de la large banquette. La docile Mélanie se dit que ça devait être le but de la punition, et effectivement, elle prit la résolution de faire en sorte que plus jamais elle ne se retrouve dans cette position infantilisante. La jolie blonde de son côté, peinait à dissimuler son excitation. Elle bouillonnait littéralement de l'intérieur alors que sa superbe belle-fille se trouvait allongée sur elle, totalement nue et son divin postérieur à sa seule merci. Un cul rebondi divin et juvénile, qu'elle pouvait enfin dévorer du regard sans aucun obstacle à sa vue. Elle remercia intérieurement toutes les divinités de l'univers d'avoir répondu à ses prières avec tant de générosité. La petite décharge électrique qu'elle perçue lorsque, n'y tenant plus, elle déposa sa main sur le délicat séant de la jeune fille ne l'électrisa que davantage.

 

Sarah (questionnant, sur un ton posé): Alors jeune insolente, combien de coups pour effacer tes écarts de conduite crois-tu être justes…?

 

L'esprit de la pénitente fut ramené à la réalité par la question qui lui avait été posé. En effet, plus que la surprise, c'est par la petite décharge d'électricité qui lui fit contracter instinctivement ses deux jolies globe fessier que Mélanie réalisa que la main de sa belle-mère se trouvait désormais sur son derrière, son esprit occupé à constater que celle-ci était plus douce que ce à quoi elle s'était attendue. La belle et jeune brune dut tout de même peser la question, et surtout ses conséquences. Se doutant maintenant qu'il y en aurait plus d'une, elle ne voulait pas énoncer un nombre qui paraitrait ridicule aux yeux de sa belle-mère. Mais elle ne voulait pas non-plus souffrir de trop.

 

Mélanie (arrêtant son choix, anxieuse): Dix…?

 

Très lentement et comme animée de sa volonté propre, la main de la belle anglaise, au buste cambré par la position, s'était mise en mouvement sur le derrière rebondi de la jeune fille. Appréciant la sensation du velouté de la peau soyeuse sous la pulpe de ses doigts, la jeune femme considéra la réponse avant de se prononcer.

 

Sarah: Dix dis-tu…? Te voilà devenue raisonnable. Cependant….

 

La jeune femme laissa sa phrase en suspend l'espace d'un instant, uniquement pour torturer sa si appétissante belle-fille. Ce qui fonctionna à merveille, comme put le constater Sarah alors qu'elle sentit sous sa main les deux jolies rondeurs de chair se contracter à nouveau d'anticipation.

 

Sarah: ….cinq me semble suffisantes.

 

La jolie française sentit un vent de soulagement la parcourir. Oui, vraiment, sa belle-mère se montrait clémente envers elle. C'est donc avec une reconnaissance non-feinte qu'elle accueillie ce chiffre.

 

Sarah (élevant sa main dans les airs, au comble de l'excitation): Prête…? Et de une.

 

La main fendit l'air d'un mouvement assuré pour venir rencontrer de plein fouet une jolie fesse dans un geste tonique. Mais loin de vouloir bâcler sa si plaisante besogne, la main de Sarah resta fixée sur la fesse de la jeune fille, en appréciant le galbe d'une légère pression de la main alors qu'elle l'empoignait de toute sa paume une fois le coup donné. Mon dieu comme ce petit cul pouvait être délicieux frémit la jeune femme intérieurement, sentant le brasier de son sexe en feu brûler comme jamais.

 

Sarah (la voix un peu moins assurée): Et de deux.

 

Sa main claqua une nouvelle fois sur le petit cul docile de sa belle-fille, et à nouveau Sarah en palpa la chair avec un contentement déjà plus difficile à contenir. Comme elle aurait voulu lui malaxer son magnifique petit cul de Marianne avec force. Son sexe en palpitait d'envie sous la maigre barrière que représentait l'étoffe de sa robe et de son dessous trempé. Ravalant un râle de plaisir qui lui noua la gorge, l'anglaise en perdition se fit force de refreiner sa fougue, séparant avec difficulté sa main de son support de soie.

 

La jeune fille de son côté, tentait de ne pas penser à ce qu'il se passait, à ce qu'elle était en train de vivre. Ce qui paradoxalement lui fut difficile puisque loin d'être aussi douloureuse que ce à quoi elle aurait pu s'attendre, Mélanie n'eut pas à faire d'effort pour s'évader d'une douleur que sa belle-mère semblait vouloir lui épargner. Ce devait certainement être pour cette raison qu'à chaque nouvelle frappe, Sarah lui massait les fesses un peu plus longuement. "C'est pour s'assurer que je ne souffre pas", pensa naïvement l'adolescente lorsque pour la troisième fois la main s'abattit sur ses fesses.

 

De son côté Sarah était au comble de l'excitation, quelques gouttes de sueurs étaient même apparut à son front, témoin extérieur de son émoi sexuel. Ou de son tourment. Car elle le sentait, aussi incroyable que ça puisse lui paraître, elle allait très probablement jouir au prochain coup.

 

Sarah (la voix sourde, le souffle erratique): Et de cinq.

 

Et inévitablement, en prononçant ces mots et en abattant sa main, ce fût comme si la belle anglaise au bord de la rupture avait libéré son orgasme, qui explosa en elle alors que sa main rencontrait une dernière fois le cul de sa belle-fille. La jeune femme en plein extase s'y accrocha cette fois sans plus de retenu pour masser et pétrir la chair joliment rougie par ses soins, pressant le corps tout entier de la jolie française contre le sien, prise de légers spasmes incontrôlables. Se mordant fortement les lèvres pour réprimer un gémissement profond et guttural, Sarah acheva d'être emportée par une pure vague de plaisir incontrôlée.

 

La jeune blonde, Alysson, qui de son côté demeurait en observatrice silencieuse n'en revenait tout simplement pas du spectacle qu'elle avait sous les yeux. Sa demi-sœur, à laquelle elle s'était si facilement attachée, nue comme un ver sur les genoux de sa mère, à recevoir la fessée. Mais comme si l'image n'était pas suffisamment incongrue comme ça – et bouleversante d'érotisme, dû bien admettre intérieurement la jeune fille – est-ce que sa mère ne venait pas à l'instant de prendre son pied, comme le suggérait l'expression extatique qu'arborait son visage…?

 

 

C'était tout bonnement impensable pour la jolie blonde de voir sa mère prendre un pied si évident simplement en fessant Mélanie, et jouir sous ses yeux comme la vraie salope qu'elle l'a savait être en réalité. Et comment Alysson ne l'aurait-elle pas su…? Elle qui avait elle-même poussé sa mère à explorer les plaisirs saphiques lorsque Sarah avait découvert que sa propre fille était lesbienne, et qu'elle avait échoué à lui faire découvrir l'amour des hommes.

Mer 29 jui 2015 Aucun commentaire