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Deuxième chronique : Tara, aspirante

 

 

Tara a 19 ans, de longs cheveux ondulés et une appétissante peau chocolat, sa poitrine n'excède pas le bonnet B mais avec sa taille fine et son minois parfait, l'ensemble vaut plus que largement le détour. Dans sa vie d'avant, elle se vouait à faire carrière dans la médecine. C'était avant qu'elle retrouve une mystérieuse carte de visite dans son sac après une soirée. La carte en question était au nom d'un club ultra select où personne de sa connaissance n'avait jamais pu entrer. Elle y était donc allée, et sa vie avait changé du tout au tout. On l'y avait initié à un monde de vices et de luxures, un monde où les femmes étaient Reines, littéralement, et un monde dissimulé aux yeux du commun des mortels où l'on pouvait acquérir un statut et un pouvoir que ni l'argent, ni la célébrité, ni de bonnes relations, ne pouvaient acheter.

 

Mais pour espérer gravir les échelons et peut-être un jour devenir l'une de ces Souveraines, il fallait d'abord faire ses preuves, et pour ça, Tara avait tout quitté; ses études, son petit appart en coloc, et même son copain. Et elle était devenue officiellement une aspirante du clan Quinlan, de la Comtesse Elizabeth Quinlan, qui règne sur l'état de Virginie tout entier. C'est pour ça qu'elle est là ce soir, assise sur une chaise dans le petit salon de la luxueuse propriété de la Comtesse, car c'est ici que Tara va prouver que des trois aspirantes qui ont passé toutes les épreuves jusqu'ici, c'est elle qui mérite sa place parmi elles.

 

Comtesse Elizabeth: Toi, aspirante De Santos, combien…?

 

Aspirante De Santos: Vingt-et-une, Comtesse Quinlan.

 

La jolie Tara ne peut empêcher un sourire discret de naître sur son visage en entendant le nombre énoncé par sa concurrente; 21… ridicule. Son sourire n'échappe toutefois pas à la Comtesse, assise sur son fauteuil ancien face à la petite assemblé des aspirantes et des quelques membres nécessaires à la cérémonie qui a lieu ce soir.

 

Elizabeth: Bien, vérifions ça. Stephanie.

 

La femme debout à ses côtés qu'elle vient d'invectiver soustrait à la première aspirante la carte SD que la fille lui tend, pour aussitôt l'introduire dans l'ordinateur portable relié au projecteur de la salle. Bientôt, des fichiers vidéo se succèdent, laissant apparaître cette même-fille, plus ou moins visible, en train de sucer des chattes. Une, deux, trois, dix, quinze, vingt, et vingt-et-une vidéo défilent, le compte y est. Mais il ne suffit pas.

 

Elizabeth: Bien, le compte est avalisé, ça nous fait donc vingt-et-une chattes de sucées dans le temps imparti d'une semaine. Voyons si ce sera suffisant.

 

La Comtesse sait que non, et elle n'est pas la seule. Lorsque la question du nombre est posée à la seconde aspirante, assise à la gauche de Tara, la fille répond sûre d'elle, trop sûre d'elle.

 

2ème aspirante: Cinquante-trois, Comtesse Quinlan.

 

Elizabeth (satisfaite): Bien, voilà un nombre autrement plus sérieux, et largement suffisant pour disqualifier votre petite camarade de jeu… après vérification. Stephanie, à toi de jouer.

 

Une fois de plus la femme aux ordres de la Comtesse s'exécute, et récupère la carte informatique préalablement fourni pour l'ultime épreuve, afin que les aspirantes y stockent les vidéos de leurs ébats pour avaliser chaque sexe de femme ayant honoré leur bouche. A nouveau, les vidéos défilent sur l'écran du projecteur et les chiffres sont confirmés, enfin presque.

 

Elizabeth: Stephanie, rappelle à nos chères amies ici présentes quelle était la règle de limitation.

 

Stephanie: Les parties à plusieurs ne comptent que pour une fois.

 

Elizabeth: Autrement dit, ton plan à trois ne compte que pour une seule chatte, aspirante Hamby. Ce qui nous fait donc cinquante-deux pour toi. Ce qui est déjà suffisant pour exclure miss De Santos.

 

D'un geste de la main, la Comtesse donne l'ordre à Stephanie, qui le fait suivre à ses deux subalternes.

 

Stephanie (ordonnant): Diane, Gloria, veuillez raccompagner notre invitée à la sortie. Les festivités sont finies pour elle.

 

Les deux femmes s'exécutent, et devant la réticence de la jeune femme qui se débat, elles l'empoignent fermement, habituées à ce genre d'exercices; crises de larmes et d'hystérie vont souvent de pair avec ce genre d'exclusion définitive. Mais arrivées à la porte, sont prononcés les seuls mots qui ne sont pas pardonnés…

 

Aspirante De Santos (crachant): J'ai tout laissé tomber pour vous, je n'ai plus rien, je ne suis plus rien et vous me jetez…!? Vous n'êtes que des sales putes…! La Comtesse n'est qu'une vulgaire pute…! Je te crèverais salope, t'entend…?!

 

Aussitôt, les deux gardes s'immobilisent et ramènent séance tenante l'impertinente devant la Comtesse. Elles n'ont nullement besoin d'ordre pour exécuter ce qui va suivre, elles le savent.

 

Stephanie (attrapant l'aspirante à la gorge, la mâchoire serrée): Ignare. Dans sa grande mansuétude, notre bien-aimée Comtesse pardonne ce genre de débordements affectifs, y compris les insultes à son égard, et parce que nous lui sommes ici toutes fidèles, nous ne punissons pas les exclues lorsqu'elles osent se le permettre. Par contre, menacer la vie de notre suzeraine est un crime que, sur notre vie, aucune d'entre-nous ne seraient-prête à laisser passer. Diane, Gloria, conduisez De Santos dans la réserve.

 

Diane: Quels châtiments avant l'exécution, Madame…?

 

Stephanie: Qu'avez-vous ressentie en l'entendant vociférer ces menaces contre notre Comtesse, toutes les deux…?

 

Diane (échangeant un regard avec Gloria): De la haine, Madame.

 

Stephanie: Bien, donnez-lui en le goût.

 

Aussitôt, les deux gardes se retirent prestement avec l'ex-aspirante en sursis, remerciant le ciel de pouvoir lui faire payer ses mots en l'étripant elles-mêmes.

 

Elizabeth: Revenons-en à nos moutons. Combien de chattes as-tu sucé cette semaine aspirante Siff…?

 

La Comtesse est vraiment curieuse de le savoir, car très rare sont les recrues à atteindre la cinquantaine, et même là, la petite Tara Siff n'avais pu dissimuler complétement son sourire de joie. Ce qui voulait dire qu'elle était au-delà, mais de combien…?

 

Tara: J'en ai sucé cent-quarante-sept, Comtesse Quinlan.

 

La petite assemblée ne peut retenir un hâle de stupeur, même la Comtesse affiche sa surprise. Jamais aucune fille n'a ne serait-ce qu'approché la centaine, alors un tel score est tout à fait hors du commun. S'il n'y a pas tricherie, bien entendu.

 

Pour la troisième fois, l'écran s'anime et Tara y apparait en compagnie d'une autre fille, plutôt jeune et bien fichue. Elles sont dans une chambre à coucher cosy. A la demande de Tara, l'autre fille dégrafe sa jupe plissée qu'elle pose sur un fauteuil, puis elle retire sa petite culotte qui rejoint sa jupe et reste plantée dans la pièce. Tara la guide jusqu'au bord du lit où elle la fait assoir et où elle lui fait écarter largement les cuisses. Elle s'écarte un instant pour laisser bien en vue de la caméra dissimulée, les charmes de sa partenaire, qui eux ne le sont pas du tout. Tara s'accroupie alors devant cette chatte au duvet naturel et foncé complétement offerte. Sans plus attendre, elle plonge la tête entre les cuisses ouvertes et se jette avec une avidité peu retenue sur le sexe de la fille, pour qui c'est une première. Tara doit faire vite, elle doit rentabiliser au maximum sont temps si elle veut sucer le plus de chattes possible, et parce qu'il faut agir avant que la fille ne change d'avis au dernier moment, sait-on jamais, et enfin parce qu'elle a interdiction de faire quoi que ce soit d'autre que d'utiliser sa bouche pour cette épreuve. Et comme tout plaisir sexuel lui est interdit en permanence en dehors des affaires du clan Quinlan, sa propre excitation de manger des chattes ne peut pas être rassasiée, alors elle tente de raccourcir ce diabolique calvaire.

 

Ainsi Tara va droit au but et butine la chatte fraîche qui s'échauffe doucement au rythme de plus en plus rapide de sa langue insidieuse. Elle lèche les grandes lèvres, suce les petites, presse le clito du plat de la langue et s'enfonce dans les chairs de plus en plus luisante. Elle darde sa langue comme une petite bite et s'enfonce le plus profondément possible, avant de repartir à l'assaut du clitoris durement bandé de la jeune fille qui n'est pas capable de retenir son plaisir et qui s'écroule sur le lit.

Si cette fille ne virait pas lesbienne après pareil traitement, c'est qu'elle devait l'être déjà. Tara lui fait profiter de toute l'expertise qu'elle a accumulé au fil des mois et elle en est récompensée quand un puissant orgasme éclate dans sa bouche, l'abreuvant d'une nouvelle coulée de jus tiède et goûteux qu'elle s'empresse d'aspirer, avant de nettoyer consciencieusement ce sexe savoureux à peine majeur.

 

La jeune Tara se souvient que déjà après la première fille, les muscles de sa mâchoire la tiraillait, tout comme sa libido. Et comme le montre la seconde vidéo alors, elle n'avait pas perdu son temps avant de remettre ça, encore, et encore, et encore. Des blondes, des brunes, des rousses, des noires, des asiatiques, des naturelles, des épilées, des odorantes, et des bien baveuses – surtout après – et au milieu de ça probablement une bonne quantité de chattes vierges. Sur l'écran, les minettes juvéniles défilent alors que Tara passe d'entre-jambes en entre-jambes, le time code de l'enregistrement indiquant le passage des jours autant que des cunnilingus interminables qui ont rythmés cette insupportable semaine, qui a maintenu tout ce temps le sexe de la jolie Tara liquéfié sans interruption.

 

Ce soir encore, sa culotte n'est qu'une éponge détrempée, et son niveau d'excitation permanant est si élevé qu'elle pourrait jouir simplement si on lui ordonnait de le faire, là, tout de suite, sans même le moindre attouchement. L'enregistrement se coupe enfin, il y a bien eu cent-quarante-sept bouffages de chatounne comptabilisé.

 

Elizabeth (impressionnée): Eh bien, eh bien. Je suis autant ébahie par la performance que rendue curieuse. Comment t'y es-tu prise pour faire ton compte d'autant de petites chattes désirables…?

 

Tara: J'ai fait le tour des campus universitaire en annonçant des castings pour un shooting de mode, et j'ai proposé le job à chaque fille qui m'accorderait l'accès à son minou. Elles ont été nombreuses à accepter.

 

Elizabeth: C'est le moins que l'on puisse dire… Tu détiens maintenant officiellement le record de cette épreuve, ce qui fait de toi notre incontestable gagnante.

 

La Comtesse Elizabeth Quinlan est ravie, cette fille est tout bonnement géniale, et elle fera un parfait tribut pour la commémoration royale annuelle à venir. Elizabeth met dans un coin de sa tête qu'il lui faudra remercier sa première servante, Stephanie, d'avoir recruté cette fille. Mais pour l'heure, c'est une autre qui lui faut récompenser pour sa peine.

 

Elizabeth (se levant): Viens à moi aspirante, et ici devant témoins, jure-moi fidélité et obéissance, à moi, Elizabeth Quinlan, la Comtesse de Virginie, dès à présent ta Souveraine exclusive. Jure sur ta vie m'offrir ton corps et ton âme.

 

La jeune aspirante se redresse pour s'approcher de la Comtesse, sa Comtesse. Tara est euphorique, presque en transe, elle a réussi. Tous ces mois entiers passés à prouver sa valeur dans la dévotion la plus totale, et elle est enfin acceptée comme une des leur.

 

Tara (s'agenouillant, relevant la tête): Je jure.

 

Devant ses yeux ébahis, Tara vois la Comtesse de Virginie donner l'ordre, et deux servantes viennent se placer à ses côtés pour relever les pants de sa robe haute-couture, avant que Stephanie, sa première servante ne vienne respectueusement baisser la fine étoffe qui enveloppait le noble sexe de sa Maîtresse jusqu'aux genoux de cette dernière. Plus rien ne sépare alors Tara de son grand moment, enfin elle va être honorée par la douche d'Or, ultime récompense entre toutes, et peu importe qu'elle n'ait pas encore gagné le droit d'en boire, de recevoir en elle ce qui venait du plus profond de sa Maîtresse, elle est aujourd'hui reconnue par cette dernière comme membre de son clan, de sa famille, et digne de porter son nom.

 

La jeune fille se place alors solennellement aux pieds de la Comtesse, redresse la tête en gardant les yeux bien ouverts, car elle ne veut rien louper de ce moment. A quelques centimètres à peine de ce temple sacré du plaisir, Tara observe le jet soudain apparaître et jaillir sur son visage pour l'arroser vivement. Elle est éclaboussée et ses yeux lui piquent, mais la chaleur se repend en elle sur son visage comme dans son propre sexe qui n'a pas fini de couler depuis des jours. L'urine dégringole sur elle comme un torrent venu étancher une soif inextinguible, entourant les sens de Tara de son odeur enivrante et caractéristique. Puis une main empoigne ses cheveux alors que le jet se coupe, et Tara entend des mots qu'elle n'arrive pas à croire.

 

Elizabeth: Ouvre la bouche, que je récompense ta ferveur.

 

S'exécutant, Tara ne se fait pas prier, elle sent alors sa bouche être collée au sexe aristo par sa propriétaire, et comme dans un rêve, Tara observe la Comtesse Quinlan planter ses yeux dans les siens en même temps qu'elle lui envoie une grosse et longue rasade de pisse dans la bouche. Quand l'orifice buccal est prêt à déborder et que se met à en couler quelques gouttes, la Comtesse Elizabeth coupe les vannes, et Tara peut enfin étancher sa soif en avalant la pisse encore brûlante et goûteuse de sa Maîtresse, son palais envahis par la saveur forte de ce champagne millésimé. Ses papilles s'agitent dans tous les sens et les stimuli sont tellement forts et intenses que Tara en ressent carrément un orgasme. Un bon et agréable petit orgasme des sens, ultime cadeau que lui offre indirectement sa Souveraine absolue. Ce qui vient doucement clôturer sa cérémonie d'introduction.

 

Elizabeth: Tu as été lavé des pêchés de ta vie passée par mon absolution, je te baptise donc dans ta nouvelle vie de servante. Lève-toi, Tara Quinlan de Virginie, et sois la bienvenue dans ma famille.

 

Tara (se levant): C'est un honneur, Comtesse Quinlan.

 

Elizabeth: Ta-ta-ta, tu es une Quinlan dorénavant, ce sera donc Comtesse que tu me nommeras à présent, comme tes sœurs. Maintenant pour apaiser le feu de ton ardeur, ou devrais-je dire tes ardeurs, et pour récompenser à juste titre ce nouveau record, choisi dans au sein du clan celle que tu souhaiteras, et elle te satisfera jusqu'au matin.

 

Ca ne serait pas de trop pense Tara, car sa libido la tenaille si fort et depuis si longtemps qu'elle en a joui rien qu'en posant sa bouche sur une chatte, enfin, par n'importe qu'elle chatte tout de même. D'ailleurs si elle osait…

 

Tara (hésitante): Celle que je souhaite, vraiment…?

 

Elizabeth (riant): Oui, vraiment…! C'est le privilège que je t'accorde, nulle ne se défilera. Dis-moi donc, à qui va ta préférence mon enfant…?

 

Tara: Je… A vous, Comtesse.

 

Elizabeth (étonnée): Voilà qui a le mérite d'être franc. Soit. Stephanie, emmène notre nouvelle sœur faire sa toilette et mène-là dans ma chambre. Tu feras passer le mot, personne ne nous dérangera jusqu'au matin. Disons plutôt jusqu'au midi, j'ai été choisi, et je compte bien faire honneur à ce choix.

 

Le nouveau membre du clan Quinlan n'en revient pas, la Comtesse en personne a accepté, la Comtesse va se dévouer à son seul plaisir pour le durant de la nuit entière, et même au-delà…! Décidément, les efforts ne sont pas vains, elle en redoublerait donc pour elle aussi faire honneur à sa suzeraine. Tara suit donc Samantha et quitte le petit salon sous les yeux de la Comtesse Quinlan, qui a encore un dernier cas à régler, comme elle n'a pas encore donné l'ordre qu'on la rhabille.

 

Elizabeth: Quant à toi, aspirante Hamby, tu arrives seconde. Tu sais ce que ça signifie… as-tu quelques choses à dire…?

 

Aspirante Hamby: Oui Comtesse Quinlan. Ca signifie que je vais devoir partir définitivement dès ce soir. Je suis triste. Mais je vous remercie de m'avoir accepté durant tout ce temps, et je suis très heureuse de vous avoir servie. Mon seul regret est de ne pas avoir été à la hauteur de vos attentes. Mais je reconnais que Mademoiselle Tara méritait cette victoire et qu'elle vous servira aussi bien que je ne l'aurai fait.

 

Oui, Elizabeth Quinlan ne s'était pas trompée non-plus sur le compte de cette plantureuse rouquine. Cette année, la famille Quinlan accueillerait donc deux nouveaux membres.

 

 

Elizabeth: Même devant ta défaite tu restes digne et tu me fais honneur. Félicitation Déborah. Approche donc, que je fasse de toi… l'une des nôtres.

Jeu 3 déc 2015 Aucun commentaire