Le blog de histoires-erotiques-de-soumission-feminine
Terri finit par revenir chez elle à minuit et demi, heureuse que cette journée horrible soit finie. Elle venait de quitter l'hôtel une demi-heure plus tôt.
Elle y était arrivée à huit heures comme Danielle lui avait ordonné. Là, elle ne rencontra pas seulement les trois laveurs de carreaux, mais aussi les deux hommes qui l'avaient "violée" elle et Danielle ce matin-là. Ces vêtements lui furent enlevés en cinq seconds chronos, puis elle fut pelotée, enfournée, éperonnée par ces queutards. Ils la prirent en tournante essayant chaque combinaison possible, à l'exception (heureusement, soupira-t-elle) de son trou du cul encore vierge. Par chance, chaque fois qu'un des hommes avait exprimé de l'intérêt pour les plaisirs de la porte arrière elle avait été capable de faire commerce de sa bouche, ses mains, ses nichons ou sa chatte pour le combler. Après tout, elle était une cadre commerciale, et une sacrément bonne!
Sans surprise, les deux "racailles" de ce matin avaient débarqué avec leur caméra vidéo, et il en était résulté encore davantage d'enregistrements de Terri : Terri suçant une queue tout en se faisant prendre en levrette. Terri sur le dos, une bite dans la bouche, une dans chaque main, une entre ses nichons - bonnet 95D- et une lui martelant la chatte. Terri au centre d'un cercle de cinq hommes à la queue bien dure. La jeune femme -vêtue simplement d'espadrilles- allant sur ses genoux d'une bite à l'autre. Terri étendu sur un lit grande taille, les cinq hommes en train de s'astiquer à genoux autour d'elle et finir par la couvrir de leur foutre de la tête au pied. Terri sous la douche, et les hommes passant l'un après l'autre pour se laver et tirer un dernier coup. Finalement après avoir passé une demi-heure sous la douche à essayer de se laver de l'humiliation de s'être fait prendre en tournante, Terri sortit de la douche portant sur elle une des robes de chambre de l'hôtel. Ce fut pour s'apercevoir qu'en l'attendant, les mecs avaient tous déchargé dans une coupe de champagne, un dernier verre pour la route... Terri prenant le verre offert avala les cinq doses de sperme en une gorgée, laissant un petit filet de foutre s'écouler du coin de sa lèvre jusque sur sa joue.
Après que les hommes furent partis, Terri récupéra ses vêtements, pour découvrir que tous les boutons de son chemisier avaient été découpés. Ça voulait dire qu'elle allait devoir tenir serrés les pans de son chemisier à la main si elle ne voulait pas exposer ses seins nus. Heureusement, le hall de l'hôtel était presque vide. De retour dans sa voiture Terri avait trouvé les vitres ouvertes. Regardant au-dedans elle vit l'intérieur parsemé de capotes usagées. Avec une note aussi :
" Chère Terri, j'espère que tu te souviens du nombre de fois qu'ils t'ont baisé, car c'est le nombre de capotes que tu trouveras. Tu ne voudrais pas en manquer une, et risquer que Steven la trouve!
Amitié, ta nouvelle patronne, Danielle. " En pleurs, la jeune femme passa une heure à fouiller la voiture pour chercher les préservatifs remplis de sperme. Cela offrait aux passants une superbe vue sur son cul sans culotte, surtout quand elle se penchait pour regarder sous les sièges (là où la plupart des capotes avaient caché justement.) La voiture sentait le foutre et Terri dut faire un arrêt à la station de lavage pour vaporiser l'intérieur d'air de désodorisant au citron.
De retour en sécurité à la maison, Terri éprouva le besoin de se doucher à nouveau, bien qu'elle pressentit qu'aucune quantité de savon ne la ferait se sentir à nouveau propre. Elle sanglota pendant toute la douche, se demandant comment elle s'était fourrée dans ce pétrin. Après s'être séchée, la femme épuisée alla coucher.
Steven à moitié réveillé murmura « Dure journée?
— Affreuse, soupira Terri. »
Steven aurait été ravi de la lui rendre meilleure, et il commença à lui caresser la taille. Terri enleva gentiment la main.
« Je suis trop fatiguée, mon cœur... » chuchota-t-elle. Un mensonge. Terri savait qu'elle n'allait pas trouver le sommeil. La vérité était qu'elle souffrait de partout après avoir servi de garage à bites. Steven ne fit pas de commentaire et retourna dormir.
Le téléphone sur la table de nuit sonna peu après, le réveil indiquait 01 h 17. C'était Danielle.
« Salut, je voulais savoir comment allait ma toute nouvelle employée.
— Bien, soupira Terri.
— Le mari est endormi?
— Oui, dit Terri, les dents serrées.
— Je suis juste devant ta porte d'entrée. Laisse-moi entrer » murmura la voix de l'autre côté de la ligne.
Sachant qu'elle n'avait pas le choix, Terri enfila une robe de chambre et descendit. Elle fit une pause alors que sa main était sur le verrou de la porte. Et si sa rivale -- correction, sa PATRONNE se rappela-t-elle -- l'avait piégée, et s'était arrangée pour que d'autres hommes soient de l'autre côté de la porte, prêt à la violer encore davantage?
Mais réalisant que même s'il y avait tout un gang d'hommes attendant de la baiser, elle n'avait pas son mot à dire, elle ouvrit doucement la porte.
Danielle était debout devant elle, seule. Elle aussi avait passé une robe de chambre. Elle ne devait pas avoir réussi à dormir et avait résolu le problème en venant faire souffrir Terri un peu plus. « Tu t'attendais à quoi - un gang qui viendrait te violer? elle se mit à rire. Ça peut se faire, tu sais.
— Qu'est-ce que vous voulez? demanda Terri.
— Je veux que tu sortes dehors, ordonna Danielle. Puis, je veux que tu retires ta robe de chambre.
— Danielle... Madame... et si les voisins...
—...s'aperçoivent qu'ils vivent à côté d'une pute? Je m'en fiche. Je ne vis pas dans le coin.
— Madame... s'il vous plaît! Ne me faites pas faire ça!
— D'accord. Je dois juste déposer quelque chose pour Steven... Une cassette vidéo. Et ensuite je repars.
Danielle fit demi-tour et se dirigea vers sa voiture.
— Attendez... Madame... » Danielle se retourna, nota avec satisfaction que la plantureuse Terri avait retiré sa robe de chambre, la laissant tomber par terre.
— Bonne fille » murmura, la nouvelle patronne de Terri tout en appréciant la vue. Détachant la ceinture de sa robe de chambre pour laisser voir sa chatte, elle ajouta : « Tu connais le turbin. »
Terri connaissait. Tremblante à la pensée de pouvoir être vu par ses voisins, elle se mit à genoux sous le clair de lune et se mit à lécher Danielle. Espérant qui si elle parvenait à faire rapidement jouir la garce, elle repartirait sans faire de scandale.
Danielle ferma les yeux, elle profitait pleinement des sensations engendrées par la langue récalcitrante de Terri. La jeune femme devenait une meilleure brouteuse de chatte à chaque fois qu'elle avait la tête entre les jambes de sa patronne.
« Oh... OUI!!!!! hoqueta Danielle. Fourre-moi avec tes doigts! » Terri obéit, et mit deux de ses doigts dans la fente de la femme la surplombant. « Je ne t'ai pas dit d'arrêter de lécher... » Obéissante, la langue de Terri repartit à l'assaut du clitoris de Danielle.
« Dis-moi... gémit Danielle. Steven t'a baisée ce soir?
— Non... marmonna Terri entre deux lèchements. Trop douloureux. »
— QUOI? avec une horreur feinte, Danielle repoussa le visage de Terri loin de son con. Tu n'as pas eu la DÉCENCE de SATISFAIRE TON PROPRE MARI? demanda-t-elle en haussant le ton. Après avoir sucé et baisé COMBIEN D'INCONNUS aujourd'hui? Six, c'est ça? Où était-ce vingt-six? »
Terri regardait nerveusement autour d'elles. Des lumières s'allumaient dans quelques maisons du voisinage.
« S'il vous plaît, Danielle... mes voisins vont entendre...
— Eh bien, d'accord, répondit-elle avec bon sens, continuons dans ta maison. »
Danielle entra dans le pavillon, Terri n'avait pas d'autre choix que de suivre.
Heureusement, Danielle baissa la voix jusqu'à n'être plus qu'un chuchotement une fois à l'intérieur.
« Puisque tu ne prends pas soin des besoins de ton mari... je vais devoir le faire à ta place.
— Il ne voudra... commença Terri, la voix pleine de défi.
— Il ne saura pas que c'est moi, car ma tête sera sous les draps. À moins que tu ne préfères que je le réveille pour l'inviter à regarder un film? J'en ai un très sympa dans la voiture, un porno torride. Ça s'appelle "Terri la traînée."
— Tu n'oserais pas.
— Mets-moi au défi, salope, suggéra calmement Danielle. Non? Alors je vais m'amuser un peu avec ton petit mari. Il va probablement rester à moitié endormi et penser que c'est toi. Tu resteras au pas de la porte à regarder. »
— JE T'EN SUPPLIE, brailla Terri, avant de chuchoter avec insistance. S'il vous plaît, ne faites pas ça... Je t'en supplie... Je ferais tous ce que... Je coucherais avec qui tu veux... Danielle... Madame... S'IL VOUS PLAÎT... Mon mariage représente tellement pour moi... PITIÉE ne faites pas...
Danielle se contenta de rire « À onze heures, ce matin, ton mariage ne représentait rien pour toi, si ça te permettait de me rabaisser et de m'humilier. C'est ton tour d'être humiliée, Terri. »
Laissant tomber sa robe de chambre, elle monta l'escalier sur la pointe des pieds. Terri était impuissante, elle ne pouvait rien faire d'autre que de regarder, et c'est ce qu'elle fit. Elle vit avec horreur la tête brune de Danielle disparaître sous les couvertures, et bien vite son contour sous les draps se mit à s'activer dans un mouvement régulier de haut en bas. Comme si un fantôme pervers hantait son lit. Des bruits de succion obscènes se firent entendre de sous les draps, combinés aux gémissements de plaisir croissant de Steven. Terri sentit son cœur se fendre en deux.
Alors que les larmes coulaient abondamment des yeux de Terri, d'autres fluides ruisselaient de Danielle. Sa bouche était bien remplie par la bite considérable de Steven, mais une autre partie d'elle réclamait son attention. Se servant de la main qui ne massait pas les bourses de Steven, elle commença à se caresser doucement le berlingot.
Steven ne se doutait de rien. « Mmmmmmmmm, tu as changé d'avis hein? » Il gémissait rêveusement, pensant que c'était sa femme sous les draps en train de le pomper.
Danielle murmura un "mmmm hmmmm..." bien naturellement étouffé. Quelque part derrière elle, elle parvint à entendre Terri sanglotant discrètement. En réponse, elle augmenta la quantité de bruits de succion. Ce n'était pas un problème pour Danielle, elle avait toujours été une "soupeuse bruyante", que sa bouche soit occupée par une bite ou par une chatte.
C'était le moment du coup de grâce, pensa méchamment Danielle. Se saisissant des draps, elle les bascula pour recouvrir la partie supérieure de Steven. Éjectant la queue de sa bouche dans un bruit mouillé, Danielle enfourcha l'époux de Terri tout en lui tournant le dos (et fit face à Terri, qui la suppliait silencieusement de s'arrêter.) Et en dépit de la supplique de la légitime compagne, Danielle s'empala lentement sur la queue de Steven.
C'était merveilleux. Voir l'expression de misère sur le visage de Terri, ce genre de chose ne s'achetait pas. Et pour ajouter un autre coup de poignard dans son cœur brisé, Danielle lui imposa silencieusement de se doigter la chatte.
Honteuse, Terri fit comme on lui demandait. Par moment elle ouvrait la bouche pour articuler le mot « Pitié » vers la femme qui prenait son pied avec son mari.
Mais Danielle n'avait aucune intention de s'arrêter ; au contraire. Elle envoya un baiser à Terri et doubla la cadence. Elle fut capable de jouir trois fois avant que Steven ne se contracte et lui remplisse son con de foutre chaud. Terri, le cœur broyé baissait la tête de honte.
Sans rien ajouter, la briseuse de ménage mit pied à terre et quitta la chambre à coucher. Tirant Terri derrière elle, elle descendit les escaliers.
Terri était hystérique, elle semblait partie à la dérive. Danielle ne put s'empêcher d'avoir un peu pitié. Gentiment, elle l'attira vers elle et l'enlaça, lui caressant ses cheveux blonds pour la calmer. Elle l'embrassa doucement sur les lèvres, suivit d'un baiser plus pressant et plus passionné. Terri rendit le baiser, sa langue glissant dans la bouche qui juste quelques minutes plus tôt avait sucé la queue de son époux.
Terri sentit une vague de soulagement la parcourir. Peut-être que Danielle allait décider d'en finir, pensa-t-elle avec espoir. Peut-être que c'était sa vengeance pour toutes les fois où elle avait été méchante avec Danielle, et maintenant c'était terminé.
Leur langue ferraillant toujours, Danielle la conduisit vers le sofa, et tira Terri sur elle. Sans qu'on lui dise, Terri déplaça ses mains sur la petite, mais ferme, poitrine de Danielle, lui pressant délicatement les seins.
Danielle rompit le baiser : « Tu aimes mes nichons?
— Oui, chuchota Terri
— Dommage que tu es passée tant de temps à t'en moquer, répliqua-t-elle, la sévérité revenant peu à peu dans sa voix.
— Je sais, Danielle... je suis...
— Madame... la corrigea Danielle
— Madame... Je sais... je suis désolée, je... »
— Broute-moi la chatte jusqu'à ce qu'elle soit propre, l'interrompit Danielle. Lèche le foutre de ton mari hors de mon con. »
Les yeux de Terri suppliaient. Sa bouche s'ouvrit pour faire de même, mais l'autre femme la coupa.
« Fais-le maintenant, ou je vais au-dessus lui demander de le faire pour moi... » Terri n'avait pas besoin de plus d'incitation. Pour ce qui lui sembla la centième fois, elle baissa la langue jusqu'à la chatte de Danielle.
Danielle resta encore une heure avant partir. Durant tout ce temps, Terri ne se contenta pas de vider la chatte de Danielle, elle alla aussi à l'étage et suça les sécrétions qu'une autre femme avait laissées la queue de son mari endormi. Cette fois, ce fut Danielle qui regarda de la porte, et excitée, se caressa l'abricot. Steven banda à nouveau, et Terri dut traire le sperme contenu dans ses couilles, n'avalant pas, mais gardant le foutre dans sa bouche. Elle alla alors vers Danielle, l'embrassant tout en livrant la semence de son mari dans la bouche de sa rivale comblée.
Danielle finit par partir, Terri dut l'accompagner jusqu'à sa voiture. Elle espérait que la garce n'irait pas plus loin, en avait fini avec ses jeux cruels. Ses espoirs furent rapidement réduits à néant quand Danielle lui dit : « Je te vois demain à neuf heures. Tu as une journée chargée qui t'attend. »
En pleurs, Terri retourna vers la maison, toujours nue. Pour découvrir que Danielle avait fermé la porte. Elle paniqua avant de se rappeler qu'elle cachait un double des clefs sous une statue à côté de la véranda. Terri déverrouilla la porte et remit les clefs à leur place avant d'entrer.
Un demi-pâté de maisons plus loin, Danielle regardait, notant mentalement la cachette de la clef. « Bonne nuit, Terri, » murmura-t-elle. Puis, « Bonne nuit, Steven... »