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Chapitre 1 : Condamnée
Debout dans le box des accusés, j’avais encore du mal à réaliser ce qui m’arrivait. Mais je restais confiante. Mon avocate m’avait assuré que pour un délit aussi
mineur, je ne risquais qu’une condamnation de principe, sans doute une amende, ou un travail d’intérêt général.
Les faits remontaient à la semaine précédente. A la suite d’un pari stupide avec Luc, mon amant, je devais voler une parure de lingerie sexy dans un magasin spécialisé. Si je le réalisais, il me
promettait de me faire l’amour revêtu de cette parure une nuit entière ! « Pas chiche », m’avait il dit, et j’ai relevé le défi !
Je n’ai guère eu de mal à choisir un ensemble noir très osé, soutien gorge à balconnets, laissant libre la pointe des seins et la culotte fendue assorti. J’imaginais sans peine l’effet que ferais
cet ensemble sur mon corps. Du haut de mes 25 ans, je suis une belle brune plutôt grande (1m75), dotée de longue jambes, mince mais avec des formes placées là ou il faut, notamment avec une
poitrine généreuse (95 D) mais ferme, et je ne doutais pas de l’impact de cet ensemble sur Luc.
Je dissimulais mon larcin dans mon sac, mais à la sortie, une alerte se déclencha! Le vigile voulu ouvrir mon sac. Prise de panique je refusais. Il appela la
direction qui ne me fit pas de cadeau et porta plainte. Et me voici devant ce tribunal, en comparution immédiate.
Sur les conseils de mon avocate, je la jouais profil bas. Sagesse et discrétion : je portai un petit tailleur tout simple sur un chemisier blanc impeccable. Et autour du cou, une croix d’argent,
gage de moralité !!
Voilà maintenant c’est mon tour. Le procureur fait l’interrogatoire d’identité :
« Carole S……. née le ……………demeurant à …………….reconnaissez vous les faits ? »
Je me fais la plus humble possible et répond en baissant les yeux.
« Oui…..je demande pardon…….je regrette…….. »
Le silence s’établit dans le prétoire. Soudain le procureur se lève.
« Vous reconnaissez avoir dérobé cela ? »
Et il jeta sur la table, au vue de tous, le soutien gorge et le string….
Je n’avais pas prévue cela, et je me sentais perdre pied.
« Répondez ! » tonitrua le procureur « vous avez volé ces sous vêtements pour votre usage personnel ? »
Je commençais à paniquer. Je cherchais du regard mon avocate, mais elle détourna les yeux.
« . . . oui… » fis je dans un souffle. Chacun pouvait imaginer sans peine ma poitrine, malgré le tailleur qui tentait de la dissimuler, parée de ce soutien gorge dont les généreuses échancrures
auraient laissées pointer mes tétons durcis. Et je ne parle pas de la culotte fendue, dont le minuscule triangle de tissus noir aurait à peine caché mon sexe . . .
« Et c’était pour utiliser en privé ou pour exercer une activité plus . . . publique ? », demanda le procureur.
Le public éclata de rire. Je ne savais plus ou me mettre.
Mon avocate pris alors la parole.
« Votre honneur, ma cliente a agit sous l’emprise d’un coup de folie ! Son casier judiciaire est vierge, c’est son 1erlarcin, qui je le répète a été commis non par soucis de lucre, mais plus par soucis de . . . luxure ! Tout ce que l’on peut reprocher à ma cliente est d’avoir le sang trop chaud».
L’assemblée éclata à nouveau de rire. Je piquais un fard.
« Ma cliente reconnaît cependant les faits, les regrette et est consciente qu’une juste punition est méritée. Nous en appelons donc à votre clémence votre honneur. », reprit-elle.
Il y eu une suspension de séance de quelques minutes, durant lesquelles j’étais sur les charbons ardents. Je me faisais aussi discrète que possible, gardant les yeux baissés, les genoux serrés,
bien droite sur le banc des accusés. Inquiète, j’étais cependant optimiste : le juge était une femme et comprendrais surement un moment d’égarement.
Puis le procureur revint. Je me levais pour entendre la sentence. Elle tomba comme un couperet :
« Carole S….. vous êtes reconnue coupable de vol avec préméditation. Mais comme vous avez reconnu les faits et fait amende honorable . . . vous n’êtes condamnée qu’à six mois de prison ferme.
Affaire suivante ! »
Je sentis mes jambes se dérober. J’essayais de voir mon avocate mais elle avait déjà disparue. Je croisais le regard de mon amant dans le public et une bouffée de chaleur m’envahie. Il m’avait
encore fait l’amour pendant la nuit précédente, et l’avais jouie encore plus fort que d’habitude. Maintenant quand allons nous de nouveau nous étreindre ? Une violente poussée de désir me nouait
le ventre, je senti que ma vulve s’ouvrait malgré moi et que mon slip devenait humide…Mais brusquement deux gendarmes m’encadrèrent, et avant que je n’ai pu esquisser le moindre geste, me
passèrent les menottes et me lièrent les poignets derrière le dos.
Je sorti du tribunal sous les quolibets du public. J’entendis distinctement des « salope », « garce », « chaud au cul », « vont la dresser en tôle »
Je me suis retrouvé dans le fourgon cellulaire qui m’emmenait à la maison d’arrêt sans m’en rendre compte. Après une demi-heure de route, le fourgon arriva en vue de la prison pour femmes de C………. Des murs d’une grande hauteur, des barreaux aux fenêtres, je reconnu le bâtiment devant lequel j’étais passée plusieurs fois, sans imaginer y venir un jour, sans une pensée pour les femmes qui y étaient détenues. C’était mon tour de me retrouver retrancher du monde. Combien de temps allait-il falloir à mes amis, à ma famille pour m’oublier ?
Toujours menottée, je fus conduite devant la directrice.
Je dus attendre près d’une heure dans un couloir sombre, debout, toujours mains liées derrière le dos, silencieuse. Une envie pressante commençait à me tenailler, mais personne en vue pour me
conduire. L’attente devenait de plus en plus pénible. Enfin la directrice arriva et me fit entrer dans son bureau. Elle était vêtue d’un tailleur de cuir noir très strict, paraissait la
quarantaine, avait des traits fins et réguliers, et des yeux très clairs, que je n’osais regarder en face. Deux gardiennes arrivèrent également et se placèrent respectueusement debout de part et
d’autre de la directrice.
Je restais debout, toujours menottée, n’osant souffler mot. J’essayais de faire bonne figure, me tenant bien droite gardant les yeux baissés. Les bras et les épaules maintenus très en arrière pas
les menottes faisaient saillir ma poitrine. Ma croix d’argent brillait dans l’échancrure de mon chemisier. La directrice me détailla du regard puis se plongea dans mon dossier que lui avaient
transmis les gendarmes. Evidemment elle prit connaissance de mon inculpation, et ricana. Elle montra du doigt une feuille aux deux matonnes, qui ricanèrent à leur tour. La description de mon vol
devait les amuser. Enfin la directrice m’adressa la parole.
« Chère Carole, tu es ici pour six mois et tu vas en baver ! »
Ca commençait bien !
« Ici la règle est simple et se résume en trois mots : Travail Obéissance Chasteté ! Répète !! »
« …Travail…obéissance….Chaste….Chasteté »
« Plus fort salope ! »
« Travail Obéissance Chasteté… »
« Travail : lever six heure, douche froide, pain sec et café, et à l’atelier travail en silence de six heure trente jusqu’à dix neuf heure. Quinze minutes pour déjeuner et quinze minutes de
pause. 6 jours sur 7 Vu ?
« …oui… »
« Oui qui ? salope »
« Oui Madame la directrice »
« Obéissance : c’est la soumission absolue au personnel de l’établissement. Vu ?
« Oui Madame la directrice »
« Chasteté : pas de douceur, pas de câlins, pas de caresses seule ou avec d’autres. Abstinence totale. Vu ? »
« Oui Madame la directrice »
« Chaque manquement à l’une de ses règles : punitions. C’est le cachot, les chaînes, le fouet, ou toute punition que je juge nécessaire. Tarif double pour
manquement à la chasteté. Vu les dernières lois répressives adoptées et les résultats de cet établissement, j’ai carte blanche en la matière ! Vu ?
« Oui Madame la directrice »
« Pas de visite au parloir avant un mois ! Vu ? »
« Oui Madame la directrice »
« Fais gaffe. Jeune et jolie comme tu es, tu va exciter tes copines. Et vu ce que tu as volé . . . ça m’étonnerais que tu puisses rester sage longtemps. Vous l’aurez à l’œil.» ajoute t elle en
direction des deux gardiennes, qui approuvèrent servilement
Elle précisa encore :
« Pour elle vous doublerez la dose d’aphrodisiaque : je veux qu’elle en bave cette salope »
L’entretien était terminé. L’une des gardiennes m’empoigna sans ménagement et m’entraîna dans le couloir.
« Pourrai- je aller aux toilettes » demandais je à voix basse à la gardienne qui m’accompagnait.
Elle s’arrêta et me regarda droit dans les yeux :
« N’adresse jamais la parole au personnel, salope. Tu pisseras quand je le déciderai. Et baisse les yeux »
Elle me dirigea vers les douches et me laissa seule encore un quart d’heure dans le vestiaire. Elle ouvrit un robinet et laissa couler un filet d’eau. Je sentais que ma vessie allait éclater : je
n’avais pas fait depuis le matin et je n’en pouvais plus. Enfin la gardienne revint et me libéra des menottes.
« A poil et vite ! Salope !»
Rapidement j’ôtais mon tailleur BCBG, mon chemisier, mes chaussures, mes bas et restais en slip et soutien gorge (bien sage celui là !)
« J’ai dis a poil, t’as pas compris ? », hurla ma gardienne.
Je m’exécutais. Avec rudesse, elle me poussa dans une cabine de douche et ouvrit le jet. L’eau froide failli me couper le souffle et, réaction immédiate j’urinais violemment. Mais j’étais enfin
soulagée et je restais quelques minutes sous l’eau glacée. Je sorti et la gardienne m’attendait avec une serviette, une bombe de mousse à raser et un rasoir.
« Mets toi là et écarte les cuisses en grand » ordonna t elle en me désignant une table. «Et surtout ne bouge pas ! je vais te raser, c’est le règlement. »
Avec une dextérité qui trahissait une grande expérience, elle ma rasa prestement la toison autour du sexe, qu’en quelques minutes elle laissa lisse et tendre. Je m’étais déjà fait épiler « le
maillot », mais jamais entièrement. J’avais l’impression d’être encore plus nue et vulnérable.
Elle me sécha elle même, me frictionnant vigoureusement, puis avec plus de douceur sur les seins, et avec insistance cette fois, entre les cuisses, qu’elle m’obligea à garder écartées. Malgré moi
une douce chaleur commença à envahir mon bas ventre devenu glabre. Malgré la situation, ou peut être à cause d’elle, j’avais envie de caresses sur cette zone qui était devenue hyper sensible.
« Ah tu aimes ça hein salope ! la directrice avait raison !! mais fait gaffe, ça pourrait te coûter cher ! »
Elle insista cependant sur ma fente, jusqu’à presque l’ouvrir, sans que je me défende…
« Bon Dieu ! qu’es ce qu’elle en veut celle là » murmurera t elle. Puis à haute voix : « Allez grouille au vestiaire ! »
Elle m’emmena toujours nue, dans un long couloir, poussa une porte et s’adressant à une collègue :
« Des fringues pour cette salope ! » et se retira, nous laissant seules.
Cette nouvelle gardienne était assez jeune, le visage ouvert et sympathique, encadré de cheveux blonds, mais je n’osais lui adresser la parole. Elle prenait tout son temps pour me détailler. Je
restai nue devant elle, droite et fraîche, vêtue de ma seule croix d’argent qui ornait toujours ma gorge, la poitrine raffermie par l’eau froide, les cheveux mouillés tombant sur les épaules, le
sexe désormais entièrement rasé. Je me savais jolie, et je devais offrir à cette jeune femme un tableau charmant, genre Vénus sortant du bain !! Mais je gardai le silence et les yeux sagement
baissés.
Enfin elle me tendit mes vêtements ou plutôt mon vêtement : une robe d’uniforme gris clair en nylon assez fin.
« Essaye la » me dit-elle d’une voix douce. Tiens elle ne m’avait pas appelée salope !
« Pardon, mais il n’y a pas de sous vêtement » murmurai je timidement, toujours les yeux baissés.
« Comme ceux que tu as volé ? » ironisa t elle « Avec le corps que tu as, ça serait dommage » ajouta t elle gentiment. Je me mis donc en devoir d’enfiler cette robe à même la peau. Elle me paru
un peu juste, moulant bien mes forme malgré la coupe assez quelconque.
« Ho ! C’est bien trop grand ! » reprit la gardienne « Essaye plutôt celle là »
Je fis un nouvel essai, et cette fois, cette robe était visiblement deux tailles en dessous de la mienne. J’ai eu du mal à la boutonner et je fus obligé de comprimer mes seins. Le tissu, me
moulait littéralement. Elle était très courte, j’avais peur de la faire craquer ! et qu’en me baissant on voit mes fesses…
« C’est parfait » fit la gardienne. «laisse le col ouvert, qu’on voit ta croix : ça te donne l’air si sage » ajouta t elle rêveuse.
Malgré moi je me suis senti excitée d’être si impudique dans cet uniforme simple mais collant comme une seconde peau et si court. Surtout, je prenais conscience maintenant que j’allais être
totalement privée d’amour pendant six mois, alors que je me sentais déjà en manque…