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Chapitre 4 : Sarah perd sa jupe et se fait malaxer le cul et la chatte !


C'en était trop pour Sarah, comme je m'y attendais et . . . l’espérait, pour pouvoir aggraver sa punition. Elle hurla et immédiatement se retrouva debout, se protégeant la poitrine des mains.


"Comment osez-vous! . . . Vous ne pouvez pas faire ça! Oh! Aidez-moi! A l'aide! ", hurlait-elle.

 

Sarah était hors de contrôle. Elle criait à pleins poumons.


Elle sauta en avant, frappa la chaise. Sa jupe est tombé vers le bas (dommage),
et elle-même était appuyée à la porte. Ses mains étaient toujours derrière elle,
essayant de protéger son anatomie arrière d’une insulte supplémentaire. C'était très amusant de voir
le moment où elle se rappela que son haut était presque nu, avec seulement son soutien-gorge
pour prévenir l'exposition complète de ses gros seins. Les deux mains maintenant en vinrent à
nouveau à protéger son haut de mes yeux.


 J'ai attendu patiemment que son état de crise se calme. Ce qui finit par arriver, la jeune fille finissant par comprendre que personne n'allait venir à son aide.


A la fin, j'ai demandé: «Sarah, qu'est-ce qui te prends?"


«Vous . . . vous . . . vous avez t-touché mes ... mes ... fesses! . . . Vous ne pouvez pas faire
ça, je sais que vous ne pouvez pas! ». Elle était presque hystérique.


"Sarah, Sarah, là tu remets à nouveau en cause mes actes et mon jugement ! Avoir la prétention de me juger quand tu es la coupable, placée sous ma Dominion pour le temps de ta punition. Je crains que je n'ais comme recours que de te montrer la folie de tes actions. "


Sarah avait assez d'expérience maintenant pour soupçonner que je ne bluffais pas.  Cette remarque a cassé net sa tirade et l'a amenée à regarder, tremblante, dans l'attente de voir ce que je ferais. Elle savait très bien qu'elle avait à craindre les conséquences de ses actes. Elle avait l'air tout à fait charmante, à ce moment - sa belle chevelure rouge dans le désarroi, le visage rouge de honte, ses beaux yeux bleus larges et fixes. Sa poitrine se soulevait par saccades, en partie exposée.


"Sarah, Sarah, tu use ma patience. Pourtant, je me sens encore décidée à être patiente
et miséricordieuse. Sans doute parce qu’en tant que femme je compatis à ta détresse. Normalement, je devrais appeler nos amis Sam et Ken pour te mettre totalement nue devant eux! Cependant, je vais te proposer un choix afin de te permettre de me démontrer que ton voeux d'obéissance n'est pas vain. D'abord, ma fille, es-tu enfin prête à être réellement  obéissante? »


Sa fureur hautaine avait été remplacée par la peur. Elle savait très bien qu’entre Sam, Ken, et moi, il  ne serait pas question de résistance possible. Elle s'imaginait sans doute nue et à notre merci. Elle était donc prête à saisir à n'importe quelle perche que  je pouvais offrir. Voilà, chers lecteurs qui est un bon état d'esprit pour une «victime», je vous assure!


L'une des choses merveilleuses à propos de Sarah, c'est que malgré ses craintes, une grande partie de son attention a été exclusivement consacrée à conserver sa pudeur et pas du tout
à éviter la douleur physique qui devait faire partie de sa punition. Ce fut, je crois, pour deux raisons. La première était qu’elle était une fille très pudique qui n'avait jamais été nue devant une autre personne que sa mère, et la seconde qu’elle n'avait jamais connu de châtiments corporels, surtout de moi, et qu’elle n’avait donc aucune idée jusqu’ou ils pouvaient aller !


«J'attends, Sarah."


"Oui, Madame la Directrice ... je serai obéissante». Elle me répondit d'une voix si basse que je pouvais à peine entendre.


«Je suis contente de l'entendre.  Maintenant, je ne peux pas laisser cette explosion de folie furieuse sans aucune conséquence. . . .  Tu es une fille pudique, n'est-ce pas? "


Tout ce que j'ai entendu en réponse ont été de doux sanglots comme elle se tourna vers moi.

«N'est-ce pas, Sarah?


"O-Oui ... Madame la Directrice ..."


«C'est commode. Je pense que nous allons donc te retirer ta jupe à titre de punition."


"Ohhhh!"

«Maintenant, souviens-toi de Ken et Sam, et plus vite que ça. Maintenant!" Je durcis ma voix juste pour  produire l'effet que j'attendais. La pauvre jeune fille, démoralisée, a été forcée de choisir entre deux maux, et elle était assez intelligente pour réaliser qu’être en soutien-gorge et culotte en face de moi, c'était mieux que d'être nue devant moi et deux jeunes gens en rut. Elle ouvrit la fermeture éclair de sa jupe, sanglots au coeur, et l'a laissé tombée avec un profond soupir.


Quel moment merveilleux de triomphe!


Bien sûr, le calvaire de la demoiselle ne faisait que commencer! Plus elle me résistait, plus elle m’excitait et me donnait envie de pousser le bouchon plus loin !


Comme Sarah était là dans son soutien-gorge et sa culotte, elle semblait trop confuse pour faire grand chose. De toute évidence elle avait besoin d'être dirigée. "Très bien, Sarah. Je vois que
tu apprends enfin  le bien-fondé de l'obéissance. Maintenant, voyons, où en étions-nous? Oh!
Oui, j'étais sur le point de donner une fessée sur le cul . . . que tu as très impressionnant je dois dire! »


Un sanglot étouffé répondit à cette remarque cruelle, mais juste.


"Retourne sur la chaise et reprends ta position! Allez!"


C'est avec une réticence angoissée que notre pauvre chérie se força à revenir à sa position honteuse - à cheval sur l'assise de la chaise, les mains tendues vers le bas et les pieds de chaise, et l'arrière train  bien fléchis et délicieusement bien présenté. Comme auparavant, l'horreur de sa position sembla arrêter ses larmes, et ainsi ses sanglots ont été remplacés par un silence apeuré.


J'ai replacé ma main, si innocemment à nouveau, sur la courbe supérieure de son cul. Elle haletait. Par les contractions de ses muscles je pouvais dire qu'une partie d'elle était paniquée et voulait s'échapper, tandis que son côté plus rationnel la  mettait en garde que ce qu'elle éprouvait était le moins élevé des maux potentiels.


J'ai repris mon discours dans un ton calme et nonchalant, «Eh bien, ma chère, il semble que
tu étais opposé à ce que je faisais avec mes doigts. N'est-ce pas? "


Tout ce que je pouvais entendre était sa respiration rapide et étranglée. Le tremblement semblait 
augmenter.

"Sarah! Réponds-moi quand je te parle! Quand je te pose une question, tu réponds! Maintenant, je vais répéter. Tu semblais avoir une objection à mon toucher de certaines parties de ton corps qui doit pourtant lors d’une punition être entièrement à ma disposition?  Est-ce vrai? Réponds! »


«Oh lala ... oui ... Madame la Directrice ...", murmura t-elle avec une toux dans sa voix.


«Il est important que tu comprenne que je suis la responsable ici. Quoi que je fasse, c'est
pour ton bien, que tu le comprennes ou non. Pour montrer que tu comprends
cela, je veux que tu me demande de reprendre ce que je faisais ».


Un soupir.


"Oh s'il vous plaît, Madame la Directrice! S'il vous plaît! Je ferais n'importe quoi! Oh ...."


"Sarah ... si Sam et Ken reviennent dans cette pièce, tu va souhaiter m'avoir obéi! Demande!"


"Uhmmm . . . euh  .. . Ah, je ne peux pas ... S'il vous plaît, Madame la Directrice, s'il vous plaît ! Mettez vos mains . . .  dans ma culotte! Ohhhhh .... !


« Eh bien, étant si joliment demandé, ce serait bien discourtois de refuser! »

 

Pour ajouter à la torture, c’est très lentement et  légèrement que je fis pénétrer mes doigts puis mes mains dans la culotte de Sarah, pétrissant ses fesses palpitantes. La respiration de la jeune fille sifflait entre ses dents. Puis, toujours aussi lentement ma main droite bascula devant la culotte, mais toujours à l'intérieur, prenant sa chatte à pleine main.


Elle a sursauté et gémit mais a réussi à tenir sa position. Je me mis à
travailler sa vulve. Cette fois, je malaxais la chatte de l’adolescente avec  ma main toute entière et mit à donner à la sacro-sainte moule de Sarah une caresse tout à fait approfondie.


La pauvre fille se tortillait, souffle coupé, et grinçait, "Ohh! Ahh! Oh, s'il vous plaît Madame la Directrice, arrêtez!"


« Tu n'étais pas sur le point de contester Sarah ? Quand je te dis qu'il n'est plus  question
de contredire mes actions, je ne plaisante pas! Ma patience et ma clémence ont des limites !"


«Oh! Ah! O-Oui s. .. Ah ... Madame la Directrice Ohhhh! . . . Excusez-moi Madame la Directrice ", me répondit  la jolie chose.


Impitoyablement, je continuais de presser, caresser, malaxer sa chatte sur toute sa longueur. Je lui dis: «Maintenant, juste pour rattraper tes écarts de comportement, je veux que tu me remercie pour avoir caressé ton sexe. Maintenant, Sarah! "


Son âme en proie au désespoir, la belle me répondit: "Ohhhhh ... ohhhh .... Je vous remercie, Madame la Directrice, pour  .... ohhhh- me caresser mes parties intimes ... Ah .... Ah! "

 

Juste pour tester sa soumission, j'ai lui ai pincé les fesses. Surprise, elle couina de douleur, mais garda sa position.


J'ai alors changé mon approche. Aux caresses et au malaxage, j’ajoutai les chatouilles et taquinait le clitoris. Sarah tremblait de plus en plus, mais j'ai aussi détecté un mouvement subtil - un léger balancement des hanches - Comme si elle voulait me faire appuyer plus fort.


«Maintenant, j'espère que tu comprends que je n'ai pas d’obligation à expliquer l'une de mes action, ma chérie. Cependant, j'ai de nouveau envie de faire preuve de clémence, alors je vais expliquer la raison parfaitement légitime de ce que je fais. Comme tu le sais, je suis sur le point de te donner une fessée. Ce sera une fessée très sévère, particulièrement énergique qui pourrait te blesser j'en ai peur."


Sarah respira rapidement et contracta ses hanches.


"Tu peux constater que ta chatte, euh, c'est à dire tes « parties intimes » sont un peu exposés dans cette position. En conséquence, il y a toujours une possibilité que des doigts errants frappent par inadvertance cet endroit fragile. Ainsi, je  teste la résistance et la fermeté de ces parties. Eh bien, je te rassure, j'ai constaté que je n'ai pas besoin d'être particulièrement prudente, parce que tu es particulièrement bien dodue et ferme à cet endroit, et une fessée occasionnelle ne va pas te faire de mal. Mon devoir me commande donc d’y aller franchement"


"Oh ... Oh ... s'il vous plaît ... st-stop! », implora ma victime.

 

 J’ai alors commencé à remarquer une certaine réaction que j'avais escomptée. Effectivement, je pouvais sentir l'humidité sourdre sur ma main qui continuait à triturer le sexe de Sarah.


« Mais, il y a une autre raison. Tu vois, ma chérie, il y a des filles qui sont si indisciplinées et sans honte qu’elles en viennent à éprouver du plaisir pendant la discipline. Je vais ... vérifier . . . hmmm ... qu'avons-nous ici? Sarah! Je suis vraiment choquée! », me suis-je exclamée d’un voix pleine de fausse indignation.

 

Après avoir retiré ma main de sa culotte, j'ai sniffé mon doigt à haute voix, et a annoncé, "Sarah! ma parole, tu mouille !"


«Oh, non, Madame la Directrice ..."


"Silence! Cela est inacceptable. Quelle vulgarité ! C’est flagrant ! J’ai la main trempée ! Je suis choquée, surtout d’une fille comme toi, qui prétend être une fervente catholique ».

Sarah ne pouvait que pleurer et ma tirade a continué: «Eh bien, ma chère, tout ce que je peux dire, c'est que ta punition prendra ce comportement scandaleux en compte. "

Mar 17 jan 2012 Aucun commentaire