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Chapitre 6 : Sarah se retrouve cul et chatte à l’air


Sarah était courbée en deux et se massait les seins


"Attention, Sarah." Dis-je.


Sarah reprit aussitôt sa posture, quoique un peu distraitement. Bien que ses gémissements aient cessé pour  le moment, les larmes ont continué à couler de ses yeux rougis et elle  reniflait périodiquement. Elle semblait sous le choc par ce qu'il s'était passé, alors j'ai attendu un peu pour lui laisser reprendre ses repères et admirer son opulente poitrine se soulever à chaque respiration saccadée.


J’ai noté avec plaisir les empreintes de mains parfaitement formées, rouges, sur le côté de chaque sein frémissant.


Sarah regarda vers le bas et remarqua de nouveau sa culotte mouillée. Avec un petit gémissement elle a avancé ses mains pour se couvrir, mais, pensant mieux me satisfaire, et  avec un soupir, elle les laissa retomber sur ses flancs.

 

La garce m’excitait lorsqu’elle me résistait . . . mais elle m’excitait aussi lorsqu’elle se soumettait ! Elle n’était pas sortie de l’auberge !


«Oui, je suppose que c’est très embarrassant.", ai-je dit d'un ton aimable.

 

«Ici, ma fille, pose toi sur la chaise. ". Après qu'elle fut assise, elle a commencé à plier distraitement ses bras sur sa poitrine saillante, mais à la vue de mon regard a rapidement remis ses bras sus ses côtés.


"Je pense que je vois une certaine amélioration, Sarah. Tu semble comprendre enfin qu’elle est la place d’une élève punie et faire preuve de l'obéissance totale et immédiate que je suis en droit d’attendre. Ai-je raison? »


"Oui Madame la Directrice. Sniff ... Oh, s'il vous plaît laissez-moi mettre mes vêtements ...", regardant nerveusement ses tétons en érection.


«Crois moi, en mon fort intérieur, je ne demande que cela Sarah, mais je manquerais à mes devoirs si je ne tenais pas fermement la direction de cette séance de discipline. . . . Maintenant, voyons, où  en étions-nous? Oh, oui, je me souviens maintenant, mais peut-être que maintenant que tu es bien obéissante va tu me le dire? Pourquoi a t-on invité Ken et Sam à se joindre à nous? »


Le visage de Sarah pâlit: «Oh oui .... Madame la Directrice... Oh, s'il vous plaît ..."


"Et qu'est-ce donc?


Sarah se mit à sangloter: «Ohhhh, vous ... vouliez que je ... oh!"


"Allez!"

«Vous voulait me faire enlever mes sous-vêtements! Oh, Mme Marks, n'y a t-il pas d'autre
façon de me punir? Je suis très pudique, et la m-ma religion ... "


«Sarah, ma chère, tu n’a pas à te préoccuper de moralité et de modestie. Tu n’es plus dans une école religieuse. Tu ne dois apprendre qu’à obéir. "


Sarah a commencé à trembler, "Oh, mais ... ne nous s-même ... Je veux dire que j'ai déjà h-ma
b-soutien-gorge ... "


"Si je dois appeler Sam et Ken, ma chérie, alors, je te laisse seule avec eux pendant une heure. As-tu idée de ce qu’ils ont envie de faire avec toi pendant une heure? . . . Je ne suis pas certaine qu’ils se contentent de te fesser ! Mais peut-être ne t-en plaindrais tu pas ! Permets-moi de les appeler ... "

"Non! Pitié . . .! Oh, mon Dieu, pardonne-moi!" Elle se tordait les mains.


«Eh bien, lèves-toi et enlève ta culotte! De toute façon, elle est trempée de tes sécrétions ! On dirait que tu as pissé ! Tu seras bien plus à l'aise ! », ai-je ajouté en riant.


Le visage sillonné de larmes, Sarah se leva et  a commencé à avancer lentement sa culotte sur ses hanches.

La culotte avait atteint le point critique ou la jeune fille allait exposer ses poils pubiens. La pauvre Sarah a cessé de la pousser vers le bas et me regardait suppliante. Je lui ai souri et fait un mouvement léger mais significatif vers le bouton de mon bureau.


Avec un sanglot étouffé, Sarah a poussé sa culotte vers le bas, passé le point critique et soudain, la culotte tomba à ses pieds. Elle dévoila ainsi une belle chatte dodue, seulement un peu caché par une très légère toison pubienne constituée de poils roux épars qui avaient du mal à cacher de grosses lèvres roses et un clitoris prometteur.

 

Mécaniquement, Sarah tenta de couvrir son sexe de ses mains. Encore une fois, j'ai souri et déplacé mon doigt vers le bouton magique.


Sarah s'écria: «Non!", et par à-coups a retiré ses mains. C'était une lutte homérique, et par deux fois ses mains ont commencé à regagner leur poste, mais la raison l'a emporté.


«Viens ici, ma chérie, à côté du bureau. Bon. Je veux voir à quel point tu t-es laissée allé ! »


La jeune fille fit le tour du bureau et je me tournai vers elle. Je lui ai indiqué de se mettre à environ deux pieds en face de moi, et, merveille des merveilles, elle obéit. En silence, je laissai mes yeux voraces voyager, monter et descendre sur son corps nubile et voluptueux. D’elle-même, elle rejeta les épaules en arrière et tint son dos bien droit. Ses seins me sautèrent presque qu’a la figure. Mon souffle me manqua. Puis j'ai commencé à regarder son con, ce qui, j'en suis sûr, lui a causé une grande souffrance morale, mais elle garda la position.


Je commentais d’un petit rire, "Hmmmm, je vois que nous avons besoin de l'utilisation d'une serviette ou un sèche-cheveux,! ».


En effet, les poils roux arrosés avec les gouttelettes de Sarah étaient luisants.


J’ai contourné mon bureau jusqu’au et j’ai ouvert un tiroir de l’armoire, qui contenait différentes tailles de serviettes. J'ai pris une serviette blanche, moelleuse.


"Ohhh, Madame la Directrice ..." gémit Sarah, comme elle a vu ce que je faisais.


J'ai décidé que c'était un bon point de paraître clémente.

 

Je tendis la serviette à l’adolescente.


«Hmm, je peux imaginer qu'il serait très dommageable pour ta pudeur que je te touche là, Sarah. Sèche-toi toi-même. N'oublie pas, cependant, que je vais vérifiez par la suite ta propreté ».



Elle saisit la serviette, la regarda sans comprendre, et hésita.


«L'obéissance, Sarah, . . . »


Rapidement, la pauvre fille a commencé à appliquer la serviette sur sa chatte humide. Elle a commencé  plutôt mollement, comme trop timide pour se frotter devant moi. C'était plutôt charmant.

"Tu ferais mieux de t-assurer et faire un nettoyage approfondi Sarah, parce que je serai intraitable à l’inspection », dis-je. « Evidemment, cela serait plus simple si tu étais épilée comme presque toutes tes camarades !


La jeune fille se mit à se nettoyer chatte et cuisses avec application.


«Je vais prendre ça.", lui dis-je une fois qu’elle eu terminée, pour reprendre la serviette.


La serviette était définitivement humide. J’ai porté la serviette à mes narines et je me suis mis à la renifler. Sarah courba l’échine sous la honte.


«Je ne veux maintenant plus détecter la moindre trace d'humidité ou tout autre signe d’excitation sexuelle ! Tu dois apprendre à réprimer tes bas instincts.»


«Oui, Madame la Directrice."


J'ai dit: «Eh bien, il m'a semblé que tu as fait un travail approfondi, donc je vais renoncer à tout examen pour l'instant. Eh bien, ma chérie, où en étions-nous? »


«Je ne sais pas de Madame la Directrice ». Elle renifla.


«Eh bien, je veux dire, tu es venue ici pour la punition, n’est-ce pas ? Je pense que nous devons ne pas l’oublier. Maintenant, je crois que nous étions en train de commencer une fessée, à l’origine sur ta jupe. Puis, grâce à ton entêtement, elle allait être donnée sur ta culotte. Maintenant, ma chérie, toujours grâce à ton propre comportement, elle va l’être sur les fesses nues, alors que tu es complètement nue. "


Le regard d'horreur qui a traversé son visage en ce moment était merveilleux, certainement le
genre de chose qui me maintient dans le goût du travail bien fait.


"Ohhh, s'il vous plaît, Madame la Directrice, n'ai-je pas été assez puni? Ces garçons... ce qu'ils ont fait à mes ... et je suis toute nue ... j’ai trop honte, . . . s'il vous plaît laissez-moi ... mettre ma culotte et ensuite vous fessez moi comme je le mérite "


J'ai ri aux éclats.

 

«Sarah, ma chérie, tu ne semble pas comprendre à quel point j'ai été clémente. Maintenant, laisse là ces billevesées. Voyons, où vais-je te . . . ? Oh, bien sûr, . . . sur la chaise . . .  et courbe toi juste dans la position ou tu étais auparavant. Maintenant, Sarah !"


La fille savait qu'elle devait obéir, et elle marcha lentement, avec angoisse, vers la chaise qui l'attendait en face de mon bureau. Elle reprit sa position, mais en se rendant compte qu’elle exposait ainsi sa raie fessière, son anus et sa chatte avec impudeur. Cerise sur le gâteau, ses seins libérés pendaient maintenant lourdement vers le sol.

 

Le tableau était absolument magnifique !


J'ai posé doucement ma main droite sur les fesses et entendu  son souffle. Alors j’ai frotté doucement pendant qu’elle gémissait sous l’humiliation.


Elle se mit à pleurer. Je l'ai aidée à atteindre le bas de la chaise et à saisir les  pieds de chaise aussi bas que possible. Puis je me suis déplacé autour d'elle.


«Eh bien, Sarah, je peux voir pourquoi tu étais si peu disposés à assumer cette position. Tu expose en effet absolument toute ton intimité! Heureusement que je suis une femme ! Il ne faudrait pas que Sam et Ken soient obligés d’entrer !» La pauvre fille gémit de désespoir.


«Maintenant Sarah, tu va devoir garder cette position sans faillir ! »


"Oui, Madame la Directrice."


J’étais aux anges. Le cul de Sarah était splendide ! Je me promis de ne pas relâcher ma proie tant que je ne me serais pas occupé de son cul, ses seins, sa chatte et son anus comme ils le méritaient ! Mes deux « Boys » allaient être à la fête.


J'étais fascinée, subjuguée. Mon cœur bondissait à chaque petit clin d'oeil de l’anus provoqué par les tics nerveux compréhensible de Sarah.

Jeu 2 fév 2012 Aucun commentaire