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Chapitre 2 - Le couple va au restaurant.
Nicole était folle de désir ! Elle se trouvait dans sa voiture, avec une adolescente de rêve, blonde aux yeux bleus, qui était assise à côté d’elle et portait une jupe courte très provocante. Elle avait posé sa main sur la cuisse de l’adolescente, à quelques centimètres de son entrecuisse. Allait-elle réussir à se retenir jusqu’au dîner sans la violer ? Avec tous les événements de l’après-midi, elle en avait trempé sa culotte.
Pendant tout le chemin du retour, elle conduisit avec une main posée sur la cuisse d’Allie. Lorsqu’elle fut rentrée dans son garage, elle lui tapota à nouveau la cuisse et descendit de la voiture. Allie aurait voulu qu’elle laisse sa main un peu plus longtemps tant cela titillait sa libido. À regrets, elle suivit son amie dans la maison, portant toujours ses sacs. Elle la rejoignit dans la cuisine.
— Il est cinq heures, j’ai réservé pour six. Le temps de me préparer et on décolle dans une demi-heure. Elle sourit à l’adolescente et se dirigea vers la sortie de la cuisine. Au passage, elle lui tapota les fesses. — Ah au fait ! Dit-elle en traversant l’entrée, — En plus des sous-vêtements, j’ai acheté quelques justaucorps pour la nuit. Ils étaient très chers, mais je veux ce qu’il y a de mieux pour ma petite fille. Nous avons le temps, pourquoi ne les essayerais-tu pas pour montrer comme ils te vont ? Ça me ferait vraiment plaisir.
En posant les sacs sur le bar, Allie sentit son estomac se contracter. Elle attrapa lentement le sac "Victoria Secrets" et l’ouvrit pour regarder ce qu’il y avait à l’intérieur. Elle découvrit trois minuscules bodys, pliés sur ses sous-vêtements neufs : un rouge, un crème et un noir.
— Mets celui qui est couleur crème, je pense que c’est celui qui t’ira le mieux ! Lança Nicole depuis sa chambre.
L’adolescente les sortit du sac, c’étaient de petits justaucorps en soie, vaporeux et très échancrés. Visiblement, ils ne cacheraient
pas grand-chose de son corps. Elle était troublée. D’un côté, elle savait qu’elle aurait dû éprouver de la reconnaissance envers son amie pour s’ être occupée si gentiment d’elle et lui avoir
acheté tout ça, mais d’un autre côté, ça la mettait mal à l’aise de porter des parures aussi indécentes. Perdue dans ses pensées, elle commença à se déshabiller. Elle ôta la robe, puis son
soutien-gorge et sa culotte, quitta ses chaussures et se tint nue, debout dans la cuisine. Elle leva à bout de bras le petit déshabillé crème transparent, cherchant dans quel sens elle devait
l’enfiler.
Sans perdre de temps, elle l’enjamba et le fit glisser le long de ses cuisses jusqu’à sa taille. Elle mit les bretelles en place sur ses épaules et inspecta l’allure que ça lui donnait. Le
vêtement lui semblait un peu trop grand et était si léger qu’il ne dissimulait aucune partie de son corps complètement. L’un ou l’autre de ses petits seins pointaient toujours tour à tour à
l’extérieur et, sa foufoune ou ses fesses se découvraient au moindre mouvement.
Rouge de honte, elle se dirigea vers la chambre de sa tutrice. Lorsqu’elle y entra, Nicole avait déjà revêtu un splendide ensemble tailleur pantalon. Elle paraissait si adulte. Telle la femme d’affaires sûre d’elle qu’elle était. Elle se tourna et sourit à Allie.
— Tu es tellement sexy qu’on en mangerait.
Allie sourit légèrement. Elle ne savait pas exactement comment interpréter l’expression mais, finalement, elle se sentait bien dans la soie.
— Tourne-toi petite dévergondée. Allie pivota lentement sur elle-même. — Non, non, non, sois un peu plus provocante. Pense à ce que tu portes, soit un peu plus aguichante.
Allie tourna sur elle-même avec un peu de réserve et de sensualité. Elle voulait faire plaisir à sa tutrice, mais elle n’avait jamais
pratiqué quoi que ce soit de ce genre auparavant.
Nicole adorait ça. Elle avait devant elle une adolescente dont le corps ressemblait à celui d’une fillette à peine pubère. Celle-ci s’exhibait en lingerie devant elle, dans sa chambre, faisant
son possible pour paraître sexy. Elle attendait avec hâte le moment où elle la dominerait sexuellement, ce qui ne saurait tarder.
— Bien, il y a encore du travail. Comment te va-t-il ? Sans attendre la réponse, elle s’approcha, et avant que la jeune fille ait pu faire un geste, elle avait mis ses mains en coupe autour de ses seins. — N’es-tu pas un peu trop serrée ici ? La jeune femme en bavait presque lorsqu’elle glissa une main sous le tissu pour, enfin, toucher les petits seins aux formes parfaites. Les tétons de l’adolescente se tendaient déjà, tant elle était soumise à une excitation constante, mais ils devinrent encore plus rigides avec le massage qu’ils reçurent.
— Tu es à l’aise ? non ? Demanda Nicole sur un ton qui sonnait faux.
— Oui, je pense que ça va. Répondit Allie en poussant un soupir rauque.
— Et par ici ? Demanda Nicole en faisant glisser sa main à l’intérieur de l’ourlet qui bordait l’entre jambe. Elle pouvait sentir les poils de l’adolescente lui chatouiller le dos des doigts. Allie ferma les yeux en retenant son souffle. Tout son être se concentrait sur les mains de Nicole : Celle sur son sein qui la caressait gentiment et l’autre, tout contre sa féminité. Elle aurait aimé que la jeune femme s’enhardisse, qu’elle fasse glisser son doigt dans son sexe, à l’intérieur.
— Ça v… va b… bien. Répondit-elle d’une voix presque inaudible.
Nicole fit glisser ses doigts lentement à l’intérieur de l’ourlet, poussant Allie à écarter légèrement les jambes pour lui livrer l’accès à ses organes génitaux.
— Même là-dessous ? Demanda-t-elle alors que ses doigts se trouvèrent à quelques millimètres de l’intimité de la jeune fille.
— Oouuii.
Les doigts de Nicole entrèrent en contact avec sexe de l’adolescente. Elle était très humide.
— Dis donc, tu es trempée ! Bien, mais nous verrons ça plus tard. Pour l’instant, nous n’avons pas vraiment le temps de nous occuper de tes pulsions sexuelles.
Elle retourna sa main et inséra rapidement son majeur entre les lèvres étroites et lubrifiées de l’adolescente. Allie laissa échapper un gémissement et eut presque un orgasme. Elle ferma les yeux et crispa ses paupières, au bord de l’extase.
"Nous verrons ça plus tard." C’était la chose la plus dure à laquelle Nicole eut jamais dû se résoudre, mais elle retira son doigt de l’innocent tendron, et lui demanda d’aller chercher les deux autres justaucorps pour les essayer pendant qu’elle finissait de se préparer. Lorsque Allie se fut exécutée, elle renifla son doigt et en lécha les traces humides. Si jolie et si jeune, elle allait se régaler avec ce nouveau jouet.
Les jambes chancelantes, Allie regagna la cuisine. Elle y prit les deux déshabillés restants et retourna dans la chambre. La tête lui tournait sous les émotions conflictuelles qui l’habitaient. Elle aurait bien voulu que Nicole l’emmène au bout de son plaisir, mais, au fond d’elle-même, une petite voix lui murmurait que ça n’était pas possible. De plus, son accoutrement l’embarrassait. Elle n’aimait pas les filles et n’était pas lesbienne. Mais alors, pourquoi était-elle si excitée ?
Lorsqu’elle fut de retour dans la chambre, Nicole l’inspecta à nouveau en tournant autour d’elle.
— Super, cette couleur te va à merveille.
Allie se sentait exhibée comme un objet, c’était si gênant.
— Et si tu essayais le rouge, maintenant, tu dois probablement être très sexy avec lui.
Nicole resta debout devant l’adolescente pendant qu’elle quittait le body et se dénudait devant elle. Ses seins étaient parfaits. Sa minette était ornée d’un fin duvet. La jeune fille attrapa le sous-vêtement rouge et commença à l’enfiler.
La jeune femme consulta sa montre et dit :
— Zut, nous allons être en retard, il faut y aller.
Elle prit fermement la main de sa protégée qui en laissa échapper la lingerie sur le sol et la guida, toujours nue, jusqu’à la cuisine.
Nicole entra la première, impressionnante dans son splendide tailleur bleu marine, suivie par Allie, complètement nue.
— Dépêche-toi, petite vicieuse, il faut qu’on y aille. Mets ta robe noire et la lingerie assortie. Nous allons dans un endroit chic et je ne veux pas avoir honte de toi. Tiens, je vais t’aider.
Elle attrapa le soutien-gorge, se positionna derrière l’adolescente hébétée et lui fit passer le sous-vêtement, sans omettre d’empaumer les petits seins fièrement dressés pour s’assurer qu’ils étaient bien en place. Puis elle se saisit du string et le fit glisser avec délices le long des jambes minces de l’adolescente.
Lorsqu’il fut en place, elle tira sur le sous-vêtement, le faisant adhérer étroitement aux chairs tourmentées de sa victime.
— Comment te sens-tu ?
Elle crocheta un doigt sous le string et le fit glisser entre les cuisses d’Allie qui écarta les cuisses complaisamment. Son doigt se faufila aisément dans le sexe humide de l’adolescente. Elle s’appuya contre son dos. Devant l’absence de réponse, la jeune femme se servit de son autre main pour empaumer un petit sein et commença à la caresser.
— Je t’ai demandé comment tu te sentais.
Chuchota-t-elle dans l’oreille d’Allie.
— Hmmm… J… Je… Ils me vont bien. Bredouilla la jeune fille.
Nicole fit doucement glisser son doigt d’avant en arrière dans la conque humide tout en massant le sein de l’adolescente. Elle la tenait fermement plaquée contre elle.
— Tu veux que j’arrête ? Demanda-t-elle.
— Non… S’il te plaît, fais-le moi. Demanda la jeune fille dans un souffle.
— J’aimerais bien avoir le temps, mais nous devons partir.
Au même moment, elle enfonça entièrement son doigt dans le sexe sans défense. Submergée par une vague de plaisir, Allie serra les dents. Elle était au bord de l’orgasme. Mais Nicole en avait décidé autrement et se retira brusquement.
— Mets vite ta robe, petite cochonne, je ne veux pas être en retard.
Au comble de la frustration, Allie laissa échapper un soupir de désir. Elle en resta étourdie un moment avant de réaliser que Nicole lui redemandait de mettre sa robe.
Elle la fit passer par-dessus sa tête. La noire lui allait mieux que les autres. Au moins ses fesses ne seraient pas visibles à chaque pas. Nicole l’amena jusqu’à la voiture et démarra dès qu’elle fut assise.
— Peut être que nous pourrons nous occuper de cette démangeaison pendant le trajet. Baisse ta culotte petite salope.
Allie se dit que même si elle obéissait, ça ne lui ressemblait pas. Elle était une fille bien, pas une salope obsédée sexuelle. Mais pour l’instant, elle était trop excitée pour ne pas le faire. Elle attrapa l’ourlet de sa jupe et la souleva, exposant son entrejambe à la vue de sa tutrice, puis glissa ses doigts dans la ceinture de sa culotte, souleva les fesses de quelques centimètres, et fit glisser sa culotte jusqu’à ses genoux.
— Tu as un joli minou Allie.
L’adolescente sourit un peu, on ne l’avait jamais complimentée sur son sexe, mais il était vrai que, jusqu’à aujourd’hui, jamais personne ne l’avait vu. Elle resta immobile sans savoir trop quoi dire ou quoi faire.
— Tu pourrais dire merci quand on te fait un compliment. Lui dit Nicole d’un ton sévère.
— Merci Nicole. Répondit timidement l’adolescente.
— Est-ce que tu es toujours aussi mouillée ?
— Oui Nicole.
— Touche-toi et dis-moi à quel point tu es humide, mais ne te caresse pas.
L’adolescente tint sa jupe de sa main droite et plongea l’autre entre ses cuisses. Elle positionna son majeur contre sa fente et le fit pénétrer entre les parois de ses lèvres. C’était glissant et honteusement humide. Son doigt fut immédiatement couvert de sécrétions.
— Je suis très mouillée Nicole.
— Tu as envie de te caresser ? Demanda la conductrice.
Elle aussi recommençait à s’exciter en regarder l’adolescente s’exhiber.
— Oui Nicole.
Allie avait fermé les yeux, son doigt était resté contre son clitoris, l’appuyant sur sa fente, profitant de la pression. Une irrésistible envie de se caresser l’obsédait, tant elle s’était retenue jusqu’à présent.
— Si tu me le demande poliment, je te laisserai te caresser petite cochonne. Dit Nicole sérieusement.
— Est-ce que je peux me caresser s’il te plaît ? Supplia Allie.
— Demande encore, mais cette fois… en me vouvoyant et en m’appelant Maîtresse.
L’envie qu’éprouvait Allie était trop impérieuse pour qu’elle aie l’idée de remettre en question son aînée, elle répéta simplement :
— Est-ce que je peux me caresser s’il vous plaît Maîtresse ?
— D’accord petite salope, mais tu ne jouira pas tant que je ne t’y aurai pas autorisée.
Aussitôt, Allie commença à se masturber sur le siège de la BMW.
— Soulève un peu plus ta jupe, petite salope, je veux te voir faire.
Allie obéit en continuant à se caresser de plus en plus frénétiquement. Elle avait les yeux fermés et sa lèvre inférieure était serrée contre ses dents pendant qu’elle tentait furieusement de se soulager.
— Je te rappelle que je ne veux pas te voir jouir tant que je ne t’en ai pas donné la permission. Alors tu ferais mieux de ralentir un peu.
Allie gémit de frustration, s’il fallait qu’elle retienne sa jouissance, il fallait presque qu’elle arrête les mouvements de son doigt.
— Allie ! Tu m’entends ? La voix de Nicole se fit impérieuse.
— Oouuii. Dit la jeune fille en ralentissant son mouvement.
— Oui qui petite salope ? Demanda la jeune femme sévèrement.
— Oui Maîtresse. Répondit l’adolescente sans y penser en tentant désespérément de ralentir la rotation que son doigt effectuait autour de son clitoris.
— Je préfère ça. Écarte un peu plus tes jambes, petite cochonne. Je veux mieux voir ta minette.
Allie écarta ses cuisses autant que lui permettait l’élastique de sa culotte étiré au maximum. Nicole pouvait voir la finesse du tissu qui ressemblant à une bande élastique, les parois humides du sexe de la jeune fille que leur jus rendait luisantes. Assise au fond de son siège, l’adolescente avait immobilisé sa main et haletait à travers ses dents serrées. Le simple fait de garder son doigt appuyé sur son clitoris était déjà trop pour elle. Nicole était au paradis, l’obéissance de l’adolescente l’enchantait.
Elles approchaient du restaurant dans lequel Nicole avait réservé une table. En arrivant dans l’avenue, Allie gémissait de frustration.
— OK petite salope, tu peux jouir maintenant.
Allie recommença à remuer sa main en recherchant furieusement son orgasme. Au même moment, Nicole baissa sa vitre et dirigea sa voiture vers l’entrée du parking surveillé. À ses côtés, l’adolescente gémissait sans discontinuer, la culotte aux genoux, les jambes aussi écartées que possible, les yeux clos, la jeune fille agitait ses doigts aussi vite que possible. Nicole s’arrêta à côté de la guérite du gardien. C’était un jeune homme dont la mâchoire resta ouverte sous l’effet de la surprise qu’il éprouva en voyant la jeune fille qui se caressait sur le siège passager.
— Puis-je avoir un ticket s’il vous plaît.
Nicole avait légèrement haussé la voix pour se faire entendre à travers les gémissements de plaisir de la jeune fille. Sa question tira le jeune homme de sa rêverie.
— Hmmm… ouais.
Il lui tendit distraitement un billet et Nicole redémarra immédiatement tandis qu’Allie continuait inconsciemment à se masturber. Le gardien en resta bouche bée.
Lorsque la jeune fille atteignit le point culminant de sa volupté, elle éprouva le plus merveilleux orgasme de sa vie. Elle se mit à haleter et son corps se tendit comme un arc lorsque sa jouissance explosa. Elle continua à caresser son sexe jusqu’à ce que son plaisir diminue suffisamment pour qu’elle puisse ouvrir les yeux. Elle remarqua qu’elles se trouvaient dans un parking souterrain, et n’eut même pas le souvenir d’y être descendu. Le moteur était éteint et Nicole l’observait en restant assise derrière son volant.
— Ca fait du bien petite salope ? Demanda Nicole.
Allie était complètement hébétée et elle s’entendit à peine répondre :
— Oui Maîtresse.
Venait-elle d’appeler Nicole "Maîtresse" ? Comment était-ce possible ?
Alors, elle commença à se souvenir de leur trajet, comment elle s’était masturbée, Nicole qui avait exigé qu’elle l’appelle "Maîtresse"… Y avait-il autre chose ? Oh mon dieu, pensa-t-elle, le gardien qui avait du tout voir.
— Nicole… est-ce que j’ai… est-ce que le gardien m’a vue ?
— Ah c’est sûr, petite cochonne, tu étais si indécente. Et je ne pouvais pas t’interrompre, tu semblais tant aimer ça. Tu lui a offert un tel spectacle qu’il va certainement en parler à ses collègues pendant des années. Maintenant remet ta culotte, petite nymphomane et allons-y, il va être tard.
Avant qu’Allie ait pu répondre, Nicole descendit de la voiture. La jeune fille resta sous le choc quelques instants. Que lui arrivait-il, elle n’était pas comme ça, elle ne pouvait pas s’être masturbée dans la voiture de Nicole, il n’y avait que les salopes pour se comporter ainsi. Et elle n’en était pas une… Non, elle ne pouvait pas être comme ça.
Nicole ouvrit la porte de sa passagère.
— Allez ma jolie, tu n’as pas le temps de recommencer sinon tu vas nous mettre en retard.
Allie sortit de la voiture, elle avait oublié que sa culotte était baissée et dut se tortiller pour la remonter pendant que Nicole l’avait attrapée par le bras et la guidait jusqu’à l’ascenseur. Sa robe remonta et elle renfila tant bien que mal sa culotte. Elle n’arriva pas à la remettre correctement et son sexe ne fut pas entièrement recouvert par le tissu du string. Elle dut renoncer à ses efforts pour ménager sa pudeur car elles arrivaient à l’ascenseur et elle ne voulait pas que quelqu’un la surprenne.
Elles pénétrèrent dans la cabine.
— C’est un restaurant chic ici, petite cochonne, alors je veux que tu te tiennes correctement et que tu contrôles tes manies de petite nymphomane en herbe.
La porte coulissante s’ouvrit et Nicole poussa la jeune fille, qui était encore sous le coup de l’émotion, devant elle. Un couple habillé avec classe entra en même temps qu’elles. Nicole poussa Allie dans le fond de l’ascenseur et relâcha son bras.
La porte se referma et Nicole entama une conversation banale sur la pluie et le beau temps avec le couple. Pendant tout ce temps, sa main resta sur les fesses dénudées de la petite blonde, la caressant doucement. Elle glissa lentement un doigt entre les jambes de l’adolescente et le fit coulisser délicatement entre les lèvres de son sexe. Allie aspira une grande goulée d’air. Sa tutrice continua à discuter avec le couple, parlant de la bourse, tout en insérant progressivement son doigt dans son sexe. Une phalange d’abord, puis deux et enfin jusqu’à la dernière phalange. Elle se mit à la masturber tout en conversant avec le couple. Allie était en feu, une odeur d’excitation commença à se répandre dans l’ascenseur. Dedans et dehors, dedans et dehors.
C’est en arrivant à l’étage du restaurant que la femme avec qui Nicole discutait commença à remarquer l’odeur musquée qui émanait d’Allie, elle lui jeta un regard suspicieux. Elle avait deviné que la petite salope était excitée, elle pouvait sentir l’odeur de ses émois. Nonchalamment, Nicole retira sa main de l’entrecuisse de l’adolescente et l’accompagna jusqu’au maître d’hôtel qui les accueillit à l’entrée. Le couple fut installé avant elles et Allie dut attendre debout, devant tout le monde, avec sa culotte de travers et son sexe ruisselant d’humidité, ne souhaitant plus qu’une chose : que Nicole achève ce qu’elle avait commencé. Elle souhaitait désespérément se rendre aux toilettes pour assouvir au plus vite le besoin qui la taraudait.
Le maître d’hôtel revint vers elles et leur demanda si elles avaient une réservé.
— Oui, au nom de Johnson.
Il regarda rapidement son carnet de réservations et leur déclina un sourire de commande avant d’appeler une hôtesse d’accueil pour les installer à leur table. Elle s’appelait Cheri. C’était une jolie femme blonde qu’Allie regarda différemment après les événements de la journée. En la suivant, elle observa la façon dont sa démarche faisait danser son postérieur. Elle se la représenta, sans aucun vêtement. Que lui arrivait-il ? Elle n’était pas lesbienne, elle aimait les garçons, non ? C’était très embarrassant. Cheri les guida à travers la salle jusqu’à une table située contre une fenêtre et s’apprêtait à installer Nicole lorsque celle-ci l’interrompit en lui parlant à voix basse :
— Je suis désolée d’avoir à vous demander ça, mais je ne voudrais pas cette petite nymphomane détériore vos sièges. Elle est trempée… Là-dessous… Vous savez… Intimement. Elle vient de se masturber pendant tout le trajet et j’ai peur qu’elle tache vos beaux sièges. Pourriez-vous nous apporter une serviette sur laquelle elle pourrait s’asseoir ?
L’hôtesse parut choquée, elle jeta un regard de désapprobation à Allie et les abandonna pour aller chercher ce qu’on lui demandait. Allie n’avait pu entendre les paroles de sa tutrice mais au moment où elle allait s’asseoir, Nicole exigea qu’elle attende le retour de la jeune femme. Elle s’assit tandis qu’Allie attendait debout, embarrassée, et se demandant ce que cheri était parti faire. L’hôtesse revint avec un torchon à vaisselle, elle poussa l’adolescente sans ménagement, murmurant "salope" entre ses dents et étala avec précaution la serviette sur le siège d’Allie. Plusieurs personnes attablées à proximité en furent témoins et dévisagèrent l’adolescente fille en chuchotant entre elles.
Allie était profondément humiliée : attendre debout pendant que la blonde plaçait la serviette protectrice sur son fauteuil la mortifiait. Elle aurait voulu ramper dans un trou à l’intérieur duquel elle aurait pu se cacher, mais Nicole lui ordonna de s’asseoir. Elle obéit et s’assit sur le torchon rêche. Le tissu usé lui fit une impression bizarre en entrant en contact avec ses cuisses.
L’hôtesse déclara que leur serveuse allait rapidement arriver et s’en alla.
Nicole fixa Allie d’un air grave.
— Je ne veux pas que tu boudes, ma jolie, nous sommes ici pour nous amuser. Mais, d’un autre côté, je ne peux pas non plus te laisser détériorer le beau mobilier de ce restaurant. Si tu ne te comportais pas comme une chienne en chaleur, il n’y aurait pas de problème.
— Je ne suis pas une salope. Répondit l’adolescente à voix basse.
— Pas une salope !? Je t’en prie, tu m’as suppliée de te pénétrer avec mon doigt avant que nous partions, ensuite tu t’es masturbée dans ma voiture pendant tout le trajet, tu crois que c’est un comportement normal pour une adolescente de ton âge ? Moi, je ne crois pas. Maintenant, il suffit avec cette mesquinerie, si tu arrives à garder tes mains hors de ton sexe, nous allons pouvoir commander à manger.
En levant les yeux, elles constatèrent que la serveuse se tenait à côté de leur table. Depuis quand ? Allie n’aurait su le dire, mais visiblement elle était là depuis suffisamment longtemps puisqu’elle se pencha vers elle et dit :
— Ne vous inquiétez pas mesdames, je ne vais pas vous poser de problèmes. Je suis lesbienne moi aussi, alors je comprends parfaitement à quel point il peut être compliqué d’assumer sa sexualité dans une société qui prône l’hétérosexualité.
Allie aurait voulu se défendre, mais Nicole répondit à sa place.
— Merci, nous apprécions votre compréhension, par moments cette jeune fille est tellement obsédée qu’elle a du mal à garder ses mains hors de sa culotte.
Ce fut Nicole qui passa la commande, ne laissant même pas à Allie le loisir de consulter le menu. Elle lui commanda une salade légère à la sauce vinaigrette et choisit un veau marsala et du vin pour elle.
Dès que la serveuse fut partie, Nicole lui demanda si elle la trouvait jolie.
— Ouais, j’imagine. Répondit Allie sèchement.
— Allie, qu’est-ce que c’est que cela signifie ? Ne m’es-tu pas reconnaissante de t’avoir emmenée dans un restaurant chic ? N’apprécies-tu pas tout ce que j’ai fait pour toi ? Décidément tu es bien ingrate.
Allie fût stupéfaite. Il ne lui était pas venu à l’idée qu’elle pouvait contrarier Nicole. Elle était la seule à l’aider et, par-dessus tout, elle ne voulait pas la décevoir. Elle tenta de se justifier confusément. Elle ne voulait pas passer pour une nymphomane, mais c’était peut-être ce qu’elle était. Quoi qu’il en soit, elle souhaitait de tout son cœur ne rien faire qui puisse déplaire à Nicole.
— Je suis désolée, Nicole, j’essayerai de faire de mon mieux.
— Je préfère ça, petite chienne. Maintenant sourit et amuse-toi.
Betsy, leur serveuse apporta les plats et s’attarda un peu à côté du fauteuil d’Allie. Nicole fit en sorte qu’elle porte son attention sur l’adolescente. Betsy paraissait avoir dans les 19 ans. C’était une brune plutôt athlétique. L’adolescente fut embarrassée quand la serveuse commença à s’intéresser à elle.
Plus tard, au cours du dîner, Betsy vint s’enquérir de leur confort. Nicole lui demanda s’il lui plairait d’avoir un aperçu des jambes d’Allie.
— Oui, ça serait génial. Dit la serveuse à voix basse. Nicole hocha la tête et sourit.
— Soulève un peu ta robe pour ta nouvelle amie, petite chienne, qu’elle puisse te voir un peu mieux.
Allie ne savait pas quoi faire, elle ne voulait pas montrer ses jambes à la serveuse mais elle ne voulait pas non plus faire d’esclandre. Alors elle se résigna à remonter l’ourlet de sa jupe de quelques centimètres sur ses cuisses, préservant sa pudeur autant que possible.
— Est-ce que cela vous suffit ?
Betsy se pencha en avant et regarda les genoux de l’adolescente.
— Non, je ne vois rien.
— Allie, soulève ta robe jusqu’à la taille afin que Betsy puisse voir ta culotte. Tu es une jeune fille polie avec des bonnes manières n’est-ce pas ?
Allie était au bord des larmes, mais dans sa confusion, elle ne savait pas quoi faire. Elle souleva sa jupe jusqu’à sa taille pour montrer sa culotte à la serveuse. Ce fut à ce moment qu’elle se souvint qu’elle s’était mal reculottée et que la jeune femme allait avoir une vue imprenable sur son sexe. Honteusement, elle baissa la tête et exhiba son entrecuisse à la serveuse.
— Vous en montre-t-elle suffisamment maintenant ? Demanda Nicole.
— Oh ouais !
Répondit Betty en regardant avec insistance l’entrecuisse de l’adolescente dont le string noir était entièrement visible. Il était de travers et légèrement sur le côté, si bien que quelques poils duveteux, ainsi qu’une lèvre intime dépassaient sur le côté du sous-vêtement et étaient exposés à la vue de la jeune femme. Elle pouvait voir à quel point Allie était trempée et la tache d’humidité qui commençait à imbiber le torchon à vaisselle qui était étalé sous ses fesses.
— Heureusement que Cheri lui a donné une serviette, elle est en train de la tacher.
Nicole et Betsy rirent de bon cœur au grand désespoir d’Allie.
— Betsy, c’est peut-être un peu prématuré, mais aimeriez-vous venir à la maison ce week-end ?
Allie était effarée, qu’est-ce que Nicole avait en tête ?
— Je n’ai pas l’habitude de sortir avec mes clients, mais cette petite adolescente m’a réellement excitée. Ouais, j’aimerais vous rendre visite. À quelle heure ?
Les deux jeunes femmes mirent les détails au point et Betsy partit chercher leurs desserts.
— Je pense que tu lui a fait beaucoup d’effet ma chérie. Dit Nicole.
— Tu ne trouves pas qu’elle est mignonne ?
Allie ne sut quoi répondre, elle n’avait jamais éprouvé d’attirance pour une femme, et elle n’avait jamais pensé qu’elle pourrait en éprouver un jour. Mais Nicole insista et lui dit qu’elle avait certainement des tendances cachées qu’elle lui révèlerait plus tard.
Lorsqu’elles eurent fini leur repas, Betsy les raccompagna jusqu’à la sortie en les remerciant d’avoir passé la soirée dans le restaurant. Nicole lui rendit la politesse et emmena Allie jusqu’à l’ascenseur. Une fois dans la cabine, elle attendit la fermeture des portes pour se jeter sur l’adolescente et la clouer contre la paroi.
Allie lut dans les yeux de sa tutrice tout le désir animal qu’elle lui inspirait. Elle ne se défendit pas lorsque Nicole posa ses lèvres sur les siennes et l’embrassa sauvagement.
— Je me suis retenue toute la journée. Tu m’as provoquée en permanence avec tes manières de petite chienne en chaleur.
Elle saisit la jeune fille dont ses bras et l’embrassa profondément. Allie avait les yeux grands ouverts, Nicole l’embrassait, ça la
rendait si confuse, elle n’était pas une lesbienne… Elle n’aimait pas les femmes…
Mais le baiser et l’étreinte qui l’accompagnait étaient si agréables. Rapidement, elle rendit son étreinte à la jeune femme et ferma les yeux en s’abandonnant. Nicole la souleva et lui écarta les
jambes en la maintenant contre la paroi. Allie entoura ses jambes autour de celles de la jeune femme et lui l’embrassa avec passion.
Soudain, alors qu’elles approchaient de leur étage, Nicole interrompit brusquement son baiser. L’adolescente émit un gémissement de frustration lorsque sa tutrice la reposa par terre et entreprit de remettre un peu d’ordre dans sa tenue. Lorsque les portes s’ouvrirent, elle attrapa l’adolescente hébétée par la main et la fit sortir de l’ascenseur.
— Tu seras ma petite salope lesbienne. N’est-ce pas ?
Allie aurait bien voulu dire que non, elle n’était pas attirée par les femmes et qu’elle n’était certainement pas une salope. Mais elle venait à l’instant d’embrasser Nicole passionnément dans un ascenseur et tout ce qui comptait maintenant était de faire l’amour avec elle. Son esprit d’adolescente était bouleversé.