Le blog de histoires-erotiques-de-soumission-feminine

Chapitre 3 - Après le dîner, Allie est remise à sa place.

 

Lorsqu’elles arrivèrent à la voiture, Nicole se tourna vers Allie et dit :

— J’ai oublié de donner mon numéro de téléphone à Betsy, cours vite la retrouver et donne le lui petite chienne. Je t’attends dans la voiture.

Sur ce, elle se désintéressa de l’adolescente décontenancée et alla à la voiture.

Allie resta sur place un moment à se demander ce qu’elle devait faire. Elle ne pouvait pas se résigner à donner son numéro de téléphone à la serveuse lesbienne, cela aurait été trop révelateur, mais Nicole avait déjà lancé l’invitation. Lentement, elle commença à se diriger vers l’ascenseur.
La seule chose qu’elle désirait était d’être à la maison dans les bras de Nicole. Est-ce que ça faisait d’elle une lesbienne ? Elle se retrouva devant la porte de l’ascenseur et pressa le bouton.

En ayant l’impression d’être une autre personne, elle pénétra dans la cabine et monta jusqu’au restaurant. Arrivée à l’étage, elle se dirigea vers le maître d’hôtel et demanda d’une petite voix si elle pouvait parler à la serveuse qui s’appelait Betsy. Visiblement, cela lui déplaisait, mais il fit venir la serveuse.

Betsy la rejoignit devant l’ascenseur.

— Oui Allie, qu’y a-t-il ? Demanda-t-elle en étudiant l’adolescente. Elle se lécha les lèvres sensuellement en inspectant le corps moulé dans la robe noire sexy.

Allie avala sa salive nerveusement.

— Nous avons oublié de vous donner notre numéro de téléphone.

— Waow, super !

Betsy prit un stylo et un morceau de papier dans son tablier et regarda Allie dans l’expectative. Elle se prit à attendre avec impatience le prochain week-end, pour pouvoir mettre cette petite salope dans son lit.

— 01 44 33 22 11. Dit allie honteusement, en baissant les yeux. Elle était en train de donner son numéro de téléphone à une lesbienne pour qu’elle puisse la rejoindre et abuser d’elle. C’était l’humiliation totale.

— Merci poupée. J’attendrai samedi prochain avec impatience. J’apporterai spécialement quelque chose pour toi.

L’ascenseur remonta et Betsy tint la porte pour laisser sortir un couple. Allie monta dans la cabine et, sur une impulsion, Betsy la suivit s’assurant au passage que ses collègues ne la voyaient pas. Elle attira l’adolescente contre elle et l’embrassa goulûment sur la bouche, faisant pénétrer sa langue entre les lèvres de la petite soumise, en profitant pour peloter ses fesses nues sous sa jupe. Elle rompit le baiser et abandonna l’adolescente hébétée dans l’ascenseur laissant la porte se refermer.

Choquée, Allie appuya sur le bouton de descente. En l’espace de quinze minutes, deux femmes l’avaient embrassée. Elle avait du mal à reprendre ses esprits. Les baisers avaient été très agréables, mais elle les avait concédés presque contre sa volonté. Avant ce jour, elle n’aurait jamais immaginé pouvoir embrasser une femme. Peut-être était-elle une lesbienne. Peut-être même une salope insatiable comme le lui disait Nicole. L’ascenseur s’immobilisa. Elle sortit.

Nicole avait approché la voiture et l’attendait à proximité de l’ascenseur. Allie s’assit à côté d’elle.

— Ca y est ? Tu as donné notre numéro ?

— Oui. Répondit Allie d’une voix à peine audible.

— Qu’est-ce qui ne va pas petite salope ? Demanda Nicole en posant sa main sur sa cuisse.

— Elle m’a forcée à… Dit l’adolescente en baissant les yeux.

— Waow, elle en pince pour toi. Est-ce que tu as aimé ? Demanda la jeune femme en faisant glisser sa main sur la cuisse de la jeune fille, remontant insidieusement vers l’entrejambe.

— Je ne sais pas.

— Est-ce que tu as essayé de l’en empêcher ?

La main de Nicole disparut sous la jupe et entra en contact avec la culotte de l’adolescente. Instinctivement, Allie écarta les jambes pour offrir son sexe à sa tutrice.

— Non.

Inconsciemment, elle espérait que Nicole allait à nouveau jouer avec elle. Le souvenir de son étreinte avec Betsy raviva son désir. La serveuse l’avait embrassée sans lui demander son avis et elle s’était laissé faire avec un plaisir veule.

Lentement, la main de Nicole glissa sous le tissu. Ses doigts caressèrent le pubis, s’emmêlant dans la toison duveteuse.

— Elle veut te sucer la chatte. Est-ce que tu as déjà été léchée par une fille à cet endroit auparavant ?

— Non.

Répondit Allie qui avait de plus en plus de mal à se concentrer sur la conversation. Elle écarta un peu plus les jambes. Nicole continuait à conduire, se contentant de farfouiller dans les poils de son pubis, rien de plus. Allie commençait à devenir folle. Quoi que fasse Nicole, elle mouillait. Sa tutrice conduisait en regardant droit devant elle et semblait l’ignorer totalement. Allie écarta encore un peu les jambes, espérant que Nicole allait en profiter pour déplacer ses doigts jusqu’à sa minette.

— Je t’apprendrai quand nous serons rentrées. Nicole resta silencieuse un moment, faisant tourner les poils épars entre ses doigts.

— Dis-moi, Allie ! Tu as aimé ta salade ?

Frustrée, l’adolescente regarda la conductrice. Qu’avait-elle en tête ? Pourquoi ne la caressait-elle pas mieux que ça ?

— Oui… Nicole… S’il te plaît.

— Qu’y a-t-il petite chienne ? Demanda Nicole en continuant à jouer avec son pubis.

— Est-ce… Est-ce que s’il te plaît… S’il te plaît, est-ce que tu peux jouer avec ma foufoune ? Supplia-t-elle.

— Il faut que tu me demande plus poliment, et tu dois m’appeler Maîtresse. Tu as vraiment du mal à te souvenir de mes requêtes.

Nicole attrapa une mèche et tira. Allie décolla brusquement le bassin en accompagnant le mouvement douloureux. Elle eut l’impression que sa tutrice allait lui arracher les poils.

— Aiiiie… Maîtresse ! Pourriez-vous me caresser s’il vous plaît ?

— C’était mieux. Nicole relâcha la pression. Mais nous sommes presque arrivées, et tu dois comprendre que tu ne peux pas satisfaire tous tes vices.

Elle sourit légèrement. Allie gémit silencieusement et glissa sa propre main dans sa culotte avec l’intention de se satisfaire elle-même.

— Arrête ça immédiatement, petite salope ! Surprise par le ton autoritaire de Nicole, l’adolescente retira sa main de son string.

 

— Est-ce que je t’ai autorisée à te caresser ?

— Non Maîtresse ! Allie avait employé le mot inconsciemment. Le ton autoritaire employé par sa tutrice lui parut naturel.

— J’ai bien l’intention de gérer au plus près tes petites manies de nymphomane. Tu te caresseras UNIQUEMENT quand je te le permettrai.

 

Elle regarda l’adolescente sévèrement.

 

— Me suis-je bien faite comprendre ?

— Oui Maîtresse.

Elles finirent le reste du trajet en silence.

Nicole rangea la voiture dans le garage. Allie se dirigeait vers l’entrée de la maison, lorsque Nicole l’attrapa et la repoussa en arrière, contre la voiture, en l’embrassant. Frustrée par toutes les privations qu’elle avait endurées, Allie lui rendit avidement son baiser. Sans cesser de l’embrasser, Nicole entreprit de lui ôter sa robe. La jeune fille l’aida en faisant glisser les bretelles sur ses épaules. Rapidement, la robe tomba sur le sol. Vêtue uniquement de ses sous-vêtements et de ses talons l’adolescent s’offrit encore plus aux lèvres de son aînée. Elle sentit la main de la jeune femme s’attaquer à la fixation de son soutien-gorge qui ne tarda pas à rejoindre la robe à ses pieds. Ses petits seins se tendaient fermement contre le tailleur de Nicole. Cette dernière se recula brusquement, crocheta la taille du string de l’adolescente et l’arracha presque du corps de la petite blonde. Allie dut s’accrocher désespérément au toit de la voiture pour garder son équilibre.

— Quitte tes chaussures petite salope. Allie s’exécuta aussi vite que possible. Elle était complètement nue devant sa maîtresse. Cet état de fait lui paraissait maintenant tout à fait naturel. C’était sa Maîtresse.

Nicole la traîna vers l’avant de la voiture et la renversa, le dos sur le capot de la BMW. Elle la força à écarter les jambes et plaça sa main sur son sexe.

— Je vais te baiser, et te dévorer. Dorénavant, tu m’appartiens corps et âme.

Allie laissa échapper un petit glapissement lorsque Nicole enfonça son doigt dans son intimité. La jeune femme s’accroupit et se mit immédiatement à lécher expertement le sexe de l’adolescente. Elle avait attendu si longtemps pour goûter la jeune fille qu’elle ne pouvait plus se contenir. Rapidement, la mince adolescente se mit à gémir et à ruer sur le capot de la voiture.

— Ohh… Maîtresse… Hmmm ! Nicole avait introduit sa langue dans fente de l’adolescente et s’en servait pour la pénétrer. Elle avait écartelé les lèvres de la petite blonde au maximum de leur possibilité pour avoir accès à l’entrée du vagin et au clitoris. Allie porta sa main sur sa bouche et eut un orgasme. Nicole se recula un instant.

— Est-ce que tu aimes être léchée par une femme ?

Elle continuait à la pénétrer avec son doigt en la questionnant.

— Oui, je vous en prie Maîtresse ! Sucez ma minette s’il vous plaît. Elle employait le mot "Maîtresse" sans même s’en rendre compte. La jeune femme se pencha entre les cuisses nues et recommença à la lécher sans cesser de la pénétrer avec son doigt. Allie eut un nouvel orgasme presque instantanément.

Avant que l’adolescente ait repris ses esprits, Nicole la fit rentrer dans la maison. Choquée par l’orgasme, intégralement nue, Allie la suivit comme dans un rêve. La jeune femme la tenait fermement par la main. Elle lui fit monter l’escalier et l’emmena dans le séjour.

— Ferme tes yeux petite salope, j’ai une surprise pour toi. Allie obéit. Elle attendit, nue, l’esprit embrumé, au milieu du salon, ondulant légèrement sur ses pieds. Elle entendit Nicole quitter la pièce et se diriger vers la chambre. Elle garda les yeux fermés jusqu’au retour de sa Maîtresse.

Lorsqu’elle revint, Nicole traversa la pièce et vint se placer derrière elle, tout contre. Elle plaça une main sur ses fesses et fit cheminer son doigt lentement le long de la raie de ses fesses. Allie poussa un petit cri de surprise.

— Mets tes mains dans ton dos.

L’adolescente s’exécuta. Rapidement, Nicole referma une paire de menottes sur ses poignets. La jeune fille haleta, ouvrit les yeux et essaya de se libérer.

— Arrête de gigoter petite chienne, ça n’est qu’un jeu. Elle secoua la chaîne reliant les menottes. Allie se calma et s’immobilisa à nouveau.

 

— Je ne t’ai pas autorisée à ouvrir les yeux petite salope, la surprise n’est pas finie.

Allie ferma les yeux.

— Bien, maintenant reste tranquille un moment. Toujours exposée, nue et menottée, Allie attendit pendant que Nicole la contournait. Elle sentit une main effleurer un de ses seins et sursauta. Nicole lui frappa les fesses.

 

— Ne bouge pas, salope.

Allie tenta à nouveau de rester immobile tandis que Nicole continuait à tourner autour d’elle. Elle réussit à se contenir lorsqu’elle sentit la main de son aînée s’emparer d’un de ses petits seins et le masser délicatement.

— Brave petite. Maintenant, écarte les jambes pour moi petite chienne.

Nicole fit courir ses mains le long des fesses de la jeune fille et explora l’intérieur de ses cuisses. Les jambes écartées, l’adolescente avait du mal à conserver son équilibre. Sans cérémonie, la brune introduisit son majeur dans la fente offerte, les lèvres humides épousèrent la forme de son doigt.

— Encore humide n’est-ce pas ?

Allie était complètement désorientée, elle était au comble de l’humiliation mais en même temps, son corps la brûlait d’un désir ardent. Nicole ôta son doigt.

Elle sortit un collier de chien de derrière son dos. Il était épais et noir, avec des petits clous sur sa circonférence et une plaque métallique sur laquelle était inscrit : "Allie la salope". Elle le passa délicatement autour du cou de l’adolescente qui ne comprit pas tout de suite de quoi il s’agissait.

— Voilà, je te l’ai acheté il y a quelques semaines et j’étais impatiente de voir comment il t’irait. Maintenant tu es la parfaite petite salope, nue, avec un collier sur lequel il est écrit "salope".

Allie fut horrifiée et eut les larmes aux yeux. Comment en était-elle arrivée là. Elle était une fille sage, pas une salope.

Nicole attacha une laisse au mousqueton du collier et poussa la jeune fille au milieu de la pièce.

— A genoux ! Allie obtempéra, elle était trop abasourdie par les événements pour faire autre chose. — Ouvre les yeux petite chienne.

Elle fit ce qu’on lui disait et vit Nicole debout devant elle, les jambes légèrement écartées, resplendissante. Elle ressemblait à une jeune femme de haute société dans son splendide ensemble bleu marine. Ses cheveux noirs parfaitement coiffés, tenant la laisse de sa petite chienne nue. Allie se sentit toute petite devant tant de perfection.

Nicole continua :

— Je veux que tu me regarde me déshabiller, je veux que tu puisse bien voir le corps que tu vas adorer cette nuit et pour toujours. Tu vas lécher mes seins, mon sexe et te servir de ta bouche pour me donner du plaisir de toutes les façons dont j’aurai envie.

Elle tira sur la laisse de sa jeune soumise et se pencha en avant pour l’embrasser, introduisant sa langue dans la bouche de l’adolescente.

— Me suis-je bien faite comprendre ?

— Oui. Répondit Allie dans un soupir en levant les yeux sur sa Maîtresse.

— Oui qui petite chienne ?

— Oui Maîtresse. Répondit l’adolescente d’une petite voix, baissant les yeux sur le sol en signe d’allégeance.

Nicole sourit.

 

— C’est mieux, nous allons bientôt faire de toi une parfaite petite esclave sexuelle lesbienne. Tiens-moi ta laisse quelques instants. Elle se pencha derrière la jeune fille et plaça la laisse dans ses mains menottées.

 

— Pendant que je me déshabille pour toi. Allie prit le lien de cuir dans sa main.

 

— Souviens-toi bien que je veux que tu étudies tout mon corps, je veux que tu en apprenne par cœur toutes les courbes et cavités.

Elle ôta sa veste et la plia précautionneusement sur l’accoudoir du canapé, bientôt suivie par son pantalon. Allie voyait sa Maîtresse la surplomber avec ses bas, porte-jarretelles et culotte noirs plus un chemisier blanc. Le chemisier ne tarda pas à rejoindre la veste et Nicole se tint debout devant sa soumise en sous-vêtements. Elle s’avança jusqu’à ce que son bassin soit au niveau du front de l’adolescente.

— Sens-moi, salope. Je veux que tu connaisses mon odeur.

Son sexe se trouvait juste à la hauteur du nez de la jeune fille, Allie respira l’odeur musquée.

— Tu m’excites, je mouille. Allez, au travail, je ne peux plus attendre de sentir ta langue en moi.

Elle fit un pas en arrière et ôta sa culotte en l’extirpant de sous son porte-jarretelles, dégrafant et re-fixant rapidement chaque bretelle. Puis elle se replaça devant l’adolescente.

— Tu vois ma chatte ?

Allie regarda le triangle de poils noirs, elle pouvait à peine voir le haut des lèvres de la jeune femme.

— Je t’ai posé une question petite chienne !

— Oui Maîtresse. Répondit-elle en veillant à employer un ton respectueux.

— Est-ce que tu veux la sucer ? Allie baissa les yeux et ne répondit pas tout de suite. — Il ne peut vraiment y avoir qu’une seule réponse à cette question pour une lesbienne nymphomane comme toi. Si je me souviens bien, tu as invité ici une serveuse lesbienne pour samedi prochain. Alors est-ce que tu veux sucer la chatte de ta Maîtresse, la chatte que tu vas vénérer, la chatte dont tu rêveras en t’endormant, la chatte que tu vas nettoyer et dont tu prendras le plus grand soin… MA CHATTE…

— Oui Maîtresse.

Répondit l’adolescente, les yeux replis de larmes. Elle pleurait parce qu’elle était devenue ce genre de fille si rapidement, parce que, bien qu’elle se sente humiliée et maltraitée, elle avait envie de sucer le sexe de Nicole. Il lui paraissait naturel d’être nue devant sa Maîtresse (c’est ainsi qu’elle l’identifiait maintenant), que l’on décide à sa place de la façon dont elle devrait se comporter.

— Parfait

Nicole s’assit sur le bord du canapé, écarta ses jambes et dit :

— Rampe jusqu’ici et tend-moi ta laisse, petite chienne.

Annie se déplaça à quatre pattes jusqu’à se trouver entre les jambes de sa tutrice. Son nombril se trouvait à eu près à la hauteur du sexe sa Maîtresse. Nicole se pencha dans son dos et s’empara de la laisse.

— Bien petite salope. Dit-elle en lui tapotant la tête avec condescendance.

— Maintenant, baisse-toi un peu plus et contemple mon sexe.

Allie s’assit sur les talons et regarda la fente de la jeune femme.

— Regarde comme il luit pour toi, je suis très humide pour toi.

Allie plongea son regard dans les chairs moites du sexe de Nicole.

— Viens plus près ma fille, colle-toi contre moi afin bien me sentir et ne plus rien voir d’autre que mon sexe.

Allie s’inclina jusqu’à ce que son nez soit à quelques centimètres de l’intimité de sa Maîtresse.

— Alors que penses-tu de ma chatte ?

— Elle est très mouillée Maîtresse. Répondit l’adolescente d’une toute petite voix.

— Tu ne trouves pas qu’elle est d’un joli rose ?

— Si Maîtresse.

— Je veux que tu l’embrasse tout doucement, avec amour, que tu poses tes lèvres très délicatement.

Allie se pencha lentement, fronça les lèvres et embrassa le sexe offert avec douceur. Nicole regardait avec fascination cette adolescente de rêve pousser sa bouche admirable entre ses lèvres intimes. Son rêve devenait réalité. Puis, Allie embrassa le clitoris de sa Maîtresse avec la même dévotion. Nicole ressentit une secousse lorsque son sexe qui la démangeait depuis si longtemps lui procura un plaisir inouï au contact des doux baisers de la petite. Elle rejeta la tête en arrière et poussa un gémissement. L’adolescente embrassa le côté des lèvres sexuelles de Nicole. Le goût musqué et salé la fit frissonner. La saveur était plus agréable que ce qu’elle s’était imaginé. Elle embrassa l’autre côté. Nicole raffermit sa prise sur la laisse de son esclave et s' en servit pour attirer la jeune fille encore plus fort contre son sexe.

— Maintenant, petite chienne, lèche !

Allie sortit sa langue et s’exécuta.
Elle n’était pas très experte mais Nicole pensa qu’elle allait devenir la meilleure lécheuse de chattes du coin lorsqu’elle en aurait fini avec elle. Rapidement la jeune femme se trouva au comble du plaisir en frottant convulsivement son sexe contre le visage de l’adolescente, et contre sa langue.

Elle allait vraiment se régaler avec son nouveau jouet.

Lun 20 fév 2012 Aucun commentaire