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Chapitre 4- Le salon de beauté
Le matin suivant, Allie se réveilla dans le lit de Nicole. Elle s’étira et s’assit.
Elle était nue.
Elle attrapa un drap et l’enroula autour d’elle en cherchant Nicole. Elle n’était pas dans la chambre. Elle se leva et se dirigea à pas feutrés vers le salon, toujours pas de Nicole.
— Nicole ? Appela-t-elle sans réponse.
Elle croisa son reflet dans un miroir et remarqua qu’elle portait un épais collier. Elle tenta de l’ôter et le drap tomba par terre. Bien, de toute façon, elle était seule dans la maison. Elle l’enleva et l’examina. C’était un collier de chien noir et moche. Elle commença à se remémorer les évènements de la dernière nuit et de la veille. "Oh non." Elle avait fait l’amour avec une autre femme. Pendant des heures, la nuit dernière, elle avait exécuté tous les ordres de Nicole. Elle avait sucé ses seins, son sexe et même "Oh mon dieu" son anus. Que lui arrivait-il? Elle s’assit sur le canapé, mais se redressa aussitôt comme si elle s’était brûlée, c’était là qu’elle avait sucé le sexe de sa Maîtresse pour la première fois.
Allie resta debout, elle avait, pour la première fois, employé dans sa tête, le mot "Maîtresse" en parlant de Nicole. Lentement elle se rassit sur le canapé et y resta quelques minutes en repensant aux dernières 24 heures. Elle avait changé, il n’y avait aucun doute là-dessus, mais restait convaincue qu’elle pouvait encore reprendre le contrôle des évènements. Elle n’aurait qu’à dire à Nicole qu’elles ne pouvaient plus avoir de rapports sexuels toutes les deux, et qu’elle aimait les garçons, pas les filles. De plus elle n’était absolument pas une salope et encore moins, de quelque façon que ce soit, la propriété de Nicole. Elle était indépendante et certainement pas une salope avec laquelle on pouvait s’amuser.
Allie venait juste de faire le point lorsque le téléphone sonna.
Elle décrocha le combiné. — Allo
— Bonjour petite chienne, as-tu passé une bonne nuit ? Demanda Nicole à l’autre bout de la ligne.
— Oui Maîtresse. Elle avait tenté de ne pas prononcer ce mot, mais il était sorti tout seul, si naturellement. À l’évidence, la conversation ne se déroulait pas comme elle aurait voulu.
— Bien. Tu semblais si paisible ce matin avec mon jus qui séchait sur ton visage que j’ai décidé de te laisser dormir pendant que j’allais travailler.
Allie ne répondit pas.
— Dis donc, petite salope, il va falloir que tu apprennes les bonnes manières. Tu pourrais me remercier. Dit Nicole d’une voix sévère.
— Merci Maîtresse. Zut, elle avait encore prononcé le mot.
— Ok, c’est mieux. Je t’ai pris un rendez-vous chez l’esthéticienne à 12h30, sois ponctuelle s’il te plaît. La patronne est une de mes
amies. Ne t’inquiète pas pour le règlement, c’est déjà payé.
Son salon est à deux pas, au coin de la rue.
— Merci Maîtresse. Elle n’attendit pas de se faire réprimander une deuxième fois.
— Pour changer de sujet : Je sais que tu n’es qu’une petite fille vicieuse, alors je vais t’autoriser à te masturber ce matin mais attention : UNE SEULE FOIS. J’ai laissé les magazines que tu as achetés hier sur mon bureau. Tu peux t’en servir pour te stimuler.
Allie aurait bien voulu lui dire qu’elle se trompait, qu’elle n’avait pas envie de se masturber mais Nicole continua à parler.
— En échange, comme je ne peux pas assister à la scène, je veux que, ce soir, tu me dises quelles sont les photos qui t’ont le plus plu et quelles sont les filles que tu trouves les plus excitantes.
L’adolescente voulait protester, dire qu’il n’était pas question qu’elle se masturbe et encore moins en regardant des photos de femmes nues, qu’elle n’était pas une lesbienne. Mais Nicole ne lui en laissa pas le temps.
— Je t’aime petite chienne, j’ai passé une nuit fantastique avec toi et je n’en peux plus d’attendre d’être de nouveau nue avec toi.
Allie fut touchée par les paroles de sa tutrice, peut-être que Nicole lui avait fait une farce hier au soir, peut-être que les choses rentreraient dans l’ordre à partir de maintenant.
— Moi aussi, Maîtresse.
— Une dernière chose : Je me suis débarrassée de tous tes vieux vêtements. Ils étaient complètement usés et miteux. Je ne veux pas que ma petite salope préférée porte ce genre d’habits.
Allie en fut toute déconfite, il allait falloir qu’elle porte l’une des robes provocantes pour aller à l’institut de beauté
— Merci Maîtresse. Le mot lui avait encore échappé, il allait falloir qu’elle se reprenne en main. Ok, ce soir, elle dirait à Nicole que tout cela avait suffisamment duré, qu’elle n’était pas une salope et encore moins une lesbienne.
— Nous parlerons de tout ça ce soir petite vicieuse. Et elle raccrocha.
Allie resta sans faire un geste, nue, dans la cuisine, avec le combiné à la main avant de raccrocher et retourner jusqu’à son lit. Elle s’y assit comme dans un rêve. Devant ses yeux, sur le bureau de Nicole, se trouvaient les quatre magazines porno. Elle saisit le Penthouse sans y penser et, presque sans s’en rendre compte, commença à le feuilleter. C’était tellement absurde de s’imaginer qu’elle allait se masturber devant un magazine porno. C’était la première fois qu’elle en ouvrait un et elle se demandait ce qu’il y avait à l’intérieur qui pouvait tant fasciner les garçons et les hommes. Évidemment, les filles comme elle ne pourraient jamais s’intéresser à de telles photos.
La première photo, en noir et blanc, montrait une jeune fille qui ôtait ses vêtements et exhibait son sexe écartelé entre ses doigts.
Elle l’ouvrait tant qu’Allie pouvait voir l’entrée de son vagin. Ce fut une surprise, elle ne s’était jamais imaginé que les poses puissent être aussi osées. Quelques pages plus loin, la page
centrale présentait une femme splendide, initialement habillée d’une chemise de nuit. Fascinée par sa beauté, Allie eut l’impression que son regard la fixait droit dans les yeux. Elle feuilleta
encore. Au fur et à mesure des poses, la femme effectuait un strip-tease qui se termina lorsqu’elle ne portait plus que sa paire de grosses bottes. Elle exhibait fièrement son sexe face à
l’objectif, ce qui fit saliver l’adolescente.
Sans avoir vraiment conscience de son excitation, elle laissa sa main se faufiler insidieusement entre ses cuisses, faisant coulisser son majeur entre ses lèvres. L’exhibition s’achevait sur une
double page au centre de laquelle la femme s’offrait intégralement à ses admirateurs dans une magnifique pose, étendue sur le côté, offrant son sexe à deux mains, exhibant son intimité rose et
humide.
Venait ensuite un couple de lesbiennes. La jeune fille prit une inspiration profonde, ces deux femmes faisaient l’amour. Hypnotisée,
elle étudia attentivement chaque photo : Quand elles se déshabillaient mutuellement, quand elles s’embrassaient, comment elles se servaient de leurs bouches pour se donner mutuellement du
plaisir.
Son Majeur se posta à l’entrée de son vagin, lui faisant émettre un petit halètement. Elle feuilleta la revue lentement, jusqu’à arriver à la dernière photo montrant les deux femmes en position
tête-bêche, se léchant mutuellement le sexe. L’index de l’adolescente pénétra profondément sa vulve, lui procurant un orgasme, tandis que ses yeux n’arrivaient pas à se détacher du tableau
obscène que formaient les deux femmes.
Après s’être calmée, l’adolescente rejeta brusquement le magazine, comme si il lui brûlait les doigts. Était-elle homosexuelle ?
Elle venait de se masturber en lisant un Penthouse. Finalement, peut-être que Nicole avait raison et qu’elle n’était qu’une petite lesbienne salope en chaleur.
L’adolescente remua la tête de gauche à droite, à la fois pour recouvrer quelque peu ses esprits après l’orgasme et par refus de ce qui lui arrivait.
Elle prit une douche et alla s’habiller. Peu importe la robe qu’elle mettrait, elles étaient toutes aussi provocantes les unes que les autres. Elle choisit celle des motifs en formes de fleurs, au moins elle n’était pas rouge criard. Elle enfila d’abord la lingerie assortie, le string qui lui comprimait la fente si impudiquement, puis le soutien-gorge en dentelles qui recouvrait à peine ses tétons. Elle fit glisser la robe sur ses formes, avec le sentiment qu’elle ne cachait pas grand chose de ses charmes.
Elle se mit en route pour le salon.
En entrant dans l’institut de beauté, elle s’immobilisa devant l’accueil. La vendeuse était une jeune femme impeccablement vêtue d’un tailleur noir. Elle ne portait pas de blouse et lisait un Penthouse. Elle la regarda entrer à travers une paire de lunettes élégantes. Allie se surprit à regarder le décolleté de la jeune femme.
J’ai un rendez-vous au nom de Allie Smith.
La jeune femme se pencha pour consulter son registre, offrant à la jeune fille un aperçu de la courbe agréable de ses seins. Elle releva la tête en niant :
— Non non, je n’ai rien à ce nom-là. Peut-être sous un autre nom ?
Son regard exprimait la désapprobation.
— Bien, alors j’imagine que ça doit être au nom de Nicole Johnson.
La vendeuse baissa à nouveau les yeux sur son registre, son geste fit s’écarter les pans de sa veste, ce qui permit à l’adolescente de voir un peu mieux ses seins, comme si elle faisait exprès de la taquiner.
— Êtes-vous la petite chienne de Maîtresse Nicole ?
— Oui ! Répondit Allie avant de se mordre les lèvres.
— Hmmm, je vois. Derrière un sourire moqueur, les yeux de la jeune femme étincelaient d’un air différent. Elle fixa l’adolescente avec un regard presque coléreux, la dévisageant de la tête aux pieds.
— Non ! Attendez ! J… Je v… Je veux dire que… Bégaya Allie.
Mais la jeune femme l’interrompit en agitant sa main dédaigneusement.
— Pas besoin de te justifier, nous avons l’habitude de nous occuper des filles dans ton genre. En fait, c’est même notre spécialité.
Elle la fixa et eut un sourire arrogant.
— Assied-toi là, salope.
Elle tendit le doigt vers une rangée de chaises alignées contre le mur.
— Jackie va s’occuper de toi.
Se désintéressant de l’adolescente déconfite, elle se replongea dans la lecture de son magazine.
— Je ne suis pas une salope. Répondit Allie en restant plantée devant la jeune femme.
— Pas une salope ? Ricana la jeune femme.
— En tout cas, tu t’habilles comme une salope. Tous les hommes que tu as croisé en venant devaient avoir envie de se jeter sur toi et t’arracher tes vêtements pour te baiser comme une chienne. En tout cas, moi, c’est l’envie que tu me donnes. Maintenant va t’asseoir si tu ne veux pas que j’appelle quelqu’un pour t’y aider.
Résignée, Allie s’assit sur la chaise. Le contact du plastique froid contre ses fesses nues la fit frissonner. La jupe ne couvrait pas grand-chose.
Au même moment, une jolie femme, vêtue d’une robe superbe, entra. C’était une grande brune très élégante, suivie par une jeune fille blonde, vêtue d’un short en jean découpé très court et d’un haut de bikini qui recouvrait à peine ses seins minuscules.
— Petite Gouine ! Assieds-toi à côté de la pute.
La jeune fille s’empressa de s’asseoir à côté d’Allie.
— Je ne suis pas une pute. Plaida Allie
La femme s’immobilisa. La petite blonde regarda Allie avec effarement.
— Oh oh ! La vendeuse s’empara du combiné téléphonique et déclara en ricanant :
— Les filles ! ça vous dit un petit spectacle ? Maîtresse Jyte est sur le point de donner une leçon à une petite salope arrogante.
Maîtresse Jytte se retourna lentement et fixa la Allie.
— Tu as dit quelque chose petite pute ?
Allie regarda autour d’elle nerveusement, plusieurs femmes venant du fond du salon étaient entrées dans la pièce. Il y avait maintenant 5 jolies coiffeuses, quelques superbes clientes, plus la jeune fille à côté d’elle, la vendeuse et Maîtresse Jytte réunies dans la petite entrée. Allie n’en revenait pas.
— Je t’ai posé une question, petite pute. Dit la femme en insistant lourdement sur l’insulte.
— Tu m’as dit quelque chose, espèce de petite traînée ?
Maîtresse Jytte s’approcha jusqu’à être contre l’adolescente, la dominant de sa hauteur. Les yeux d’Allie n’arrivaient pas à la hauteur de l’arrogante poitrine qui touchait presque son front en gonflant fièrement la robe.
— J’ai dit que je n’étais pas une pute. Répondit la jeune fille d’une toute petite voix. Elle avait baissé les yeux et, inconsciemment, son regard s’était posé sur ses jambes dont les pieds étaient chaussés d’une superbe paire de chaussure qui devait coûter, au bas mot, plus de 300 €.
— C’est bien ce que j’avais compris. Et qui t’a autorisée à m’adresser la parole ?
Elle tendit le bras et attrapa une pleine poignée des cheveux d’Allie, la forçant à lever la tête. Allie grimaça de douleur.
— Alors je t’écoute !
— Aaiiie, non Maîtresse.
La femme s’assit à côté de l’adolescente sans lâcher ses cheveux. D’un geste ferme, elle tira sans ménagement sur la tête de la jeune fille la forçant à se coucher en travers de ses genoux. Avant qu’Allie ait pu réagir, sa robe fut rabattue sur son dos, révélant ses fesses presque nues à la petite assemblée. Maîtresse Jytte lâcha la mèche de cheveux et attrapa les poignets de la jeune fille. Elle était beaucoup plus forte que l’adolescente et n’eut pas besoin de forcer beaucoup pour les tenir étroitement dans son dos à l’aide d’une seule main.
— Petite gouine, baisse la culotte de la pute, elle a besoin d’une bonne leçon pour apprendre à bien se tenir. La petite blonde court-vêtue se pencha, tira le string jusqu’aux chevilles de l’adolescente, qu’elle enserra nerveusement dans ses bras. Allie était maintenant "cul-nu" devant toutes ses femmes exposant sa petite chatte qui pointait entre ses jambes.
— Lâchez-moi s’il vous plaît. Je ne le ferai plus. Pleurnicha Allie avec une voix de toute petite fille.
— Je suis désolée ma fille, mais tu as parlé sans y être autorisée, ça mérite une fessée. Je pense que 15 claques devraient être suffisantes pour apprendre à une petite salope comme toi le respect de ses supérieures.
Et, elle claqua une première fois les fesses nues. Allie laissa échapper un cri.
— Silence, petite pute. Je ne veux pas que tu déranges les autres clientes. Ça serait impoli. Si tu cries encore une fois, je recommence à zéro.
Et elle claqua une nouvelle fois les fesses de la pauvre fille en disant calmement :
CLAC — Un…
Allie mordit ses lèvres pour bloquer les cris dans sa gorge. Elle sentit sa robe légère remonter sur son dos jusqu’à ce qu’elle soit coincée par ses poignets que Maîtresse Jytte maintenait dans son dos. La fessée se poursuivit.
CLAC — Deux… trois… quatre…
À Chaque claque que lui assenait Maîtresse Jytte, une empreinte rouge s’imprimait sur ses fesses.
Le petit groupe de femmes commença à compter à voix haute :
CLAC — Cinq… CLAC — Six…
Leur chœur augmentait à chaque coup, visiblement réjoui par la punition.
A sept, Maîtresse Jytte s’interrompit.
— Alors petite pute ! Comment t’appelles-tu ?
— Je suis une pute Maîtresse. Répondit l’adolescente d’une toute petite voix en sanglotant d’humiliation.
— C’est exact, et les putes n’ont pas besoin de vêtements. N’est-ce pas petite pute ?
— Non Maîtresse.
— Ne bouge pas, petite pute.
Jytte relâcha les bras d’Allie qui resta sans bouger et lui ôta sa robe, défit son soutien-gorge et jeta le tout au sol. L’adolescente était étendue, nue, sur les genoux de la jeune femme. Elle pleurait, autant à cause de l’humiliation que de la douleur qu’elle éprouvait.
— Maintenant, je veux que ce soit toi qui compte jusqu’à la fin pour moi, petite pute.
CLAC — Huit ! Compta Allie en serrant les dents.
Les spectatrices scandèrent le décompte avec elle.
CLAC — Neuf !
— Bien petite pute, maintenant compte plus fort, comme ça ma petite gouine pourra t’entendre.
CLAC — Dix ! Allie comptait plus fort, maintenant.
— C’est mieux. Maintenant, petite pute, je veux que tu dises "Merci Maîtresse" après chaque claque.
— Oui Maîtresse.
Malgré sa position, Allie pouvait sentir son sexe devenir humide. Pourquoi mouillait-elle ? Etait-elle une salope de lesbienne en chaleur, comme disait Maîtresse Nicole ? Non, certainement pas.
CLAC Sa rêverie fut interrompue.
— Onze ! Merci Maîtresse.
CLAC — Douze ! Merci Maîtresse
La fille appelée "Petite gouine" avait une vue imprenable sur la petite minette d’Allie : Ses lèvres humides étaient légèrement entrouvertes par l’émotion et tremblaient convulsivement à chaque claque. Elle passa sa langue sur ses lèvres et se pencha lentement sur l’entrecuisse de l’adolescente, comme si elle était incapable de résister à un sexe de femme. Maîtresse Jytte l’avait entraînée à sucer des chattes depuis sa plus tendre adolescence. Elle en adorait le goût, la sensation poisseuse qu’elle ressentait sur sa langue. Tout ce qui touchait aux vulves lui plaisait infiniment. Elle interrogea sa Maîtresse du regard :
— Maîtresse. Est-ce que Petite Gouine peut lécher la chatte de Petite Pute s’il vous plaît ?
— Hmmm… Petite Gouine, c’est demandé si gentiment… C’est d’accord. Petite Pute, écarte tes jambes, que Petite Gouine ait accès à ton sexe. Tu sais bien que tu en as envie, je peux sentir l’odeur de ton excitation d’ici.
Allie exécuta l’ordre de la Maîtresse, et écarta les jambes.
— Bien Petite Pute, allez vas-y Petite Gouine.
La petite blonde se pencha et plaça sa langue contre le sexe d’Allie. Celle-ci eut immédiatement un orgasme.
CLAC. Toute à son orgasme, Allie eut du mal à articuler.
— Trrrrreeeeiiizzze ! Merci Maîtresse.
Les femmes se déplacèrent derrière Allie, pour avoir une meilleure vue de la scène. Elles se mirent à encourager la petite blonde :
— Suce-la !
— Enfonce ta langue…
— Baise-la avec ta langue !
Petite Gouine commença à lécher le sexe d’Allie avec entrain. L’adolescente continua à jouir pendant que la langue de la fille entrait en elle comme une petite bite, s’enfonçant dans sa chatte.
CLAC
— Aiieee ! Quatorze ! Merci Maîtresse
Après un long et dur apprentissage, la jeune fille était devenue une experte des rapports lesbiens. Elle s’appliquait à maintenir l’adolescente au sommet de son plaisir. Allie était proche des convulsions lorsque le dernier coup tomba.
CLAC
— Quinze ! Merci Maîtresse.
Jytte poussa Allie sur le sol sans ménagements. Petite Gouine se retira à temps pour ne pas être entraînée dans sa chute. Jytte s’empara des vêtements d’Allie et les tendit à la vendeuse.
— Tu les-lui rendras lorsqu’elle s’en ira, je ne vois pas pour quelle raison elle en aurait besoin tant qu’elle est ici, tu ne crois pas ?
— Si M’dame. Répondit la jeune femme en souriant.
Allie resta étendue par terre, aux pieds des femmes qui s’affairaient en l’ignorant. Elles retournèrent toutes vers l’arrière du salon en riant et en parlant de la façon dont "cette salope avait eu ce qu’elle méritait". Deux femmes enjambèrent même l’adolescente prostrée par terre en s’en allant.
— J’ai pris un rendez-vous pour Petite Gouine. Elle doit recevoir le traitement "A+". N’hésitez pas à me signaler si elle est rétive. Il y a un bon moment qu’elle n’a pas été fouettée et j’ai l’impression qu’elle en profite pour prendre ses aises.
— Oui M’dame. Répondit la vendeuse, sachant que la petite blonde était piégée.
Il y aurait sûrement quelque chose à lui reprocher. Petite Gouine le savait aussi, bien entendu. Mais elle aimait être punie et ferait tout son possible pour recevoir une punition de sa Maîtresse. La simple idée d’une séance de fouet la faisait mouiller.
Maîtresse Jytte se retourna et regarda Allie qui était en train de ramper vers sa chaise pour s’asseoir, pressée de masquer autant que possible sa nudité aux autres femmes présentes dans la pièce.
— Qui est ta Maîtresse Petite Pute ? Il va falloir que je l’informe de l’impardonnable manque de respect dont tu as fait preuve aujourd’hui.
— Nicole Johnson Maîtresse.
Elle s’assit en couvrant ses seins d’une main et en tentant de masquer son entrejambes de l’autre.
Maîtresse Jytte se tourna vers la vendeuse:
— Peux-tu appeler la Maîtresse de cette petite pute pour moi s’il te plaît.
— Tout de suite M’dame.
— Merci.
— Petite Gouine !
— Oui Maîtresse.
— Tu peux jouer avec Petite pute pendant que je discute avec sa Maîtresse.
La jeune femme se détourna d’elles et se mit à discuter avec la vendeuse, ignorant les deux jeunes filles assises dans l’entrée.
Petite Gouine enjamba immédiatement les cuisses nues d’Allie pour s’asseoir à califourchon face à elle. Elle se pencha en avant pour l’embrasser. Surprise, Allie ouvrit de grands yeux. La petite blonde se livrait à elle sans aucune pudeur à l’entrée du salon. Elle forçait ses lèvres à l’aide de sa langue inquisitrice, enroulant ses bras derrière le cou d’Allie.
— Mmmfff…
L’adolescente tenta d’émettre un refus, mais ses lèvres étaient déjà vaincues et la langue pénétrait triomphalement dans sa bouche. Elle ressentit le mouvement de balancier que la petite blonde effectuait d’avant en arrière sur ses cuisses, frottant sa petite chatte sur elle. D’une main, Petite Gouine entreprit de déboutonner son short. Puis elle se recula de quelques centimètres.
— S’il te plaît, Petite Pute, joue avec moi…