Les malheurs de Carole, par Alexis

Jeudi 5 janvier 4 05 /01 /Jan 20:05

Chers lecterus, chères lectrices.

 

Vous attendez avec impatience la suite des mésaventures carcérales de Carole. Votre patience va être récompensée: le 3ème chapitre les contants va être publié demain!

 

Je vous quitte de suite: j'ai du pain sur la planche avec une des petites garces qui sont confiées à ma garde!

 

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Nous vous parraissons peut-être sévères, mais n'oublions pas que c'est pour son bien!

 

Gertrude

 

Gardienne

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Les malheurs de Carole, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Dimanche 1 janvier 7 01 /01 /Jan 21:10

Chapitre 2: Travail, obéissance et chasteté

 

Cette première journée fut consacré à faire connaissance avec ma nouvelle vie de détenue, et après le repas du soir, soupe tiède et pain sec, je fus conduite en cellule. Je partageais cette pièce minuscule avec quatre autres jeunes femmes. Il n’y avait que trois lits. Une fille dormait déjà par terre sur un matelas. Mais pas de matelas pour moi, je dormirais sur les dalles enveloppée dans une couverture. Je n’osais protester.

« Et touchez pas à la nouvelle, bande de salopes, je branche la caméra » prévint la gardienne avant de fermer la lourde porte.

En effet, une caméra fixée dans un angle était braquée sur nous. J’avais ôté ma robe et m’étais enveloppée, nue, dans le drap avant de m’enrouler dans la couverture le plus vite et le plus discrètement possible. Mais mes codétenues avant gardées les yeux sur moi, et leurs regards vicieux ne m’avaient pas échappés. Heureusement que la caméra me protégeait !

Je profitais de cette relative intimité pour demander à ma voisine des explications sur la vie de la prison. Voici en résumé ses propos, échangés à voix très basse, serrée l’une contre l’autre.

« La vie ici est elle vraiment très dure ?

« Plus que tu ne l’imagines… A la privation de liberté s’ajoute le travail et surtout l’abstinence sexuelle, très dure pour des jeunes femmes, ici depuis des mois, voir des années…La moindre relation est impitoyablement punie…et les gardiennes, sadiques, ajoute des aphrodisiaques aux repas…certaines d’entre nous en deviennent folles…surtout avec le travail…Sais tu en quoi il consiste ? Il faut mettre en sachet, douze heures par jour, des godemichets et des vibro masseurs pour une entreprise de VPC. Pendant douze heures on doit manipuler des gros sexes plus vrais que nature, des vibro dont on imagine sans peine le plaisir qu’ils peuvent délivrer…La nuit on ne rêve plus qu’a ça…Certaines craquent, se retrouvent discrètement sous les douches, ou derrière la chapelle… ou encore se caressent seules… Mais il y a toujours une gardiennes dans les parages, quant ce n’est pas une détenue qui dénonce, par jalousie…

« Il paraît que les punitions sont doublées si… enfin, si on est pas restée chaste ?

« Exact, que tu ai fauté volontairement ou que des codétenues t-aient forcée, peu importe. Doublées ou triplées…La directrice est une spécialiste du bondage. Elle nous ligote pendant des heures dans son bureau…la nuit c’est le cachot…on est fouettée matin et soir…on est au pain sec et à l’eau, mais toujours mêlé d’aphrodisiaque…

« Tu as été punie ?

Ma camarade hésita un instant

« Oui une fois…j’étais incarcérée depuis quatre mois…je n’en pouvais plus…je crevais d’envie…j’ai cédée à une amie, sous la douche…Elle m’a fait jouir très fort …Je n’ai pu m’empêchée de gémir de plaisir…Une gardienne est arrivée, et j’ai pris pour un mois de cachot…Tiens, rien que de penser à cet orgasme, je mouille encore…

A l’idée que ma camarade était encore excitée à ce souvenir je sentais une chaleur sourde envahir mon bas ventre. Moi aussi, j’avais envie, je me sentais devenir garce. C’est à cet instant que je compris que dans cet univers reclus et avec les traitements qui étaient infligés aux détenues, j’allai très vite ne plus pouvoir penser qu’au sexe, que j’allai devenir totalement obsédée.

 

« Et la directrice t’a ligotée ?

« …oui…Pendant trois jours j’ai eu droit à un bondage sévère dans son bureau…Ligotée sans pouvoir faire le moindre mouvement…Et pour me punir, elle m’avait introduit deux boules dans le sexe…Je mouillais comme une folle, sans pouvoir jouir….

« Ca durait longtemps ?

« …la journée entière…en fait elle me préparait…

« A quoi ?

« La directrice est une lesbienne, c’est connue. D’ordinaire, elle a des relations avec les gardiennes. Mais quand l’une d’entre nous est punie, on devient sa proie…

J’étais de plus en plus excitée par le récit de ma camarade

« Ensuite ?

« Elle m’a libérée, m’a fixé une ceinture de chasteté, fermée par cadenas…Elle a voulue que je la lèche toute la nuit….je lui ais donné ainsi de nombreux orgasmes, sans pouvoir jouir moi même…si tu savais comme elle crie quand elle jouit !

« Et tu as gardé longtemps cette ceinture ?

« …je…oui…je l’ai encore…depuis trois mois…je la garderais jusqu’à la fin…encore un mois à tenir…
Elle termina sa phrase dans un soupir de frustration. Soulevant légèrement le drap, elle me montra son ventre, effectivement emprisonné dans une large ceinture de cuir qui lui recouvrait entièrement le sexe…je glissais ma main sur le cuir, tirait sur la boucle de fermeture, appuyait sadiquement sur son pubis prisonnier…Elle gémissait en me suppliant d’arrêter. Je prenais plaisir à la torturer ainsi et à la voir dans cet état, mais moi, je ne valais guère mieux…

Le lendemain, comme toute nouvelle arrivée, je dus passer une visite médicale et je fus conduite, par deux matonnes, jusqu’à l’infirmerie. Outre une jeune infirmière moulée dans une blouse blanche à demi transparente sous laquelle on devinait sans peine sa nudité, il y avait la Directrice, toujours aussi raide, les deux gardiennes, et trois autres jeunes femmes, des détenues comme moi, qui sans doute attendaient leur tour.

L’infirmière me mesura, me pesa, prit ma tension et me fit lire en me cachant alternativement un œil sur un panneau à trois mètres de distance. Jusque là, rien que de très classique. Je m’en tirais bien !

« Enlève ta robe »

L’ordre de la Directrice claqua sec : il fallait obéir. Je dégrafais mon habit, et bien sur, ne portant aucun sous vêtement, j’apparue dans le plus simple appareil devant les sept femmes qui faisaient cercle autour de moi.

« Allonge-toi là » me demanda l’infirmière d’une voix douce, sans doute pour me mettre en confiance. Je m’allongeais donc sur la table de gynécologie vers laquelle elle me poussa. Je glissais de moi même mes pieds dans les étriers prévus à cet effet. Une gardienne me lia immédiatement les chevilles avec des courroies de cuir, pendant que sa collègue, me saisissant les poignets, me ramena les bras au dessus de la tête, et les attacha solidement avec de semblables courroies. La Directrice acheva de m’immobiliser en fixant une dernière courroie autour de ma taille, me maintenant étroitement le bassin plaqué sur la table. Plus aucun mouvement ne m’était possible, et l’infirmière, actionnant une petite manivelle, augmenta l’écartement de mes jambes au maximum : j’étais désormais offerte largement ouverte aux yeux de toutes…

Tous ses préparatifs m’avaient troublée, mais maintenant, ma situation de totale dépendance commençait à m’exciter singulièrement. Ma fente s’ouvrait d’elle même, et je sentais une humidité sournoise autant que délicieuse m’envahir le sexe.

« Tu es vierge ? demanda la Directrice
« …non…je…non madame…
« Madame qui ? fit elle durement en écartant mes lèvres, maintenant toute mouillée
« …Madame…Madame la…la Directrice

« Vérifiez sa propreté fit elle en s’écartant devant l’infirmière

La jeune femme n’attendait que ça. Profitant de mon impuissance, elle enfonça deux doigts dans mon vagin sans défense. Je poussais un gémissement de surprise et de plaisir. Plus de plaisir d’ailleurs que de surprise.

« Montrez son clitoris demanda la Directrice

L’infirmière, en vrai technicienne (techichienne devrai je dire !) trouva sans peine mon petit bourgeon déjà bien gonflé et le titilla jusqu'à ce que mes gémissements, l’alertant sur mon état, la fissent arrêter.

« Maintenant vérifiez le point G poursuit la Directrice

Je n’en croyais pas mes oreilles. Offerte sans défense, déjà passablement excitée, elle allait me faire jouir à coup sur… Effectivement, ses doigts me pénétrèrent au plus profond, se tendirent, s’agitèrent, et enfin s’immobilisèrent sur la zone sensible. J’étais arrivée au bord de l’orgasme, tendue dans mes liens, haletante. Mais elle se retira, me laissant insatisfaite, pantelante, à demi consciente.

« A vous maintenant ordonna la directrice à l’une des gardiennes. Et je du subir de nouveau les mêmes attouchements de cette femme, moins délicate cependant que l’infirmière, mais qui su cependant s’arrêter à temps avant que mon plaisir n’éclate.

Puis ce fut le tour de la seconde gardienne, et successivement des trois détenues…Toute honte bue, je les suppliais de m’achever, de me faire jouir, de me prendre, puisque j’étais à leur merci. Mais elles s’y refusèrent, obéissant certainement à une consigne de la directrice. Enfin elles se retirèrent, me laissant seule, attachée, frustrée et gémissante.

« On te délivrera quand tu sera calmée » fit la Directrice en fermant la porte.
Combien de temps restais je ainsi, immobile, liée sur cette table, le feu au ventre ? Une heure ? Deux heures ? Peut être trois ? Peu à peu je me calmais, la fièvre retomba, mais une sourde chaleur rayonnait toujours dans mon ventre. Enfin l’infirmière revint et me délivra. Je remis ma robe et une gardienne me conduisit à la chapelle.

Nous pénétrâmes dans la chapelle, obscure et fraîche, aux murs massifs. Face à l’autel, une vingtaine de prie dieu, et dans un angle un confessionnal de bois sombre étaient le seul mobilier.

Sur l’ordre de la gardienne, je me mis à genoux sur les dalles de l’allée centrale. Elle me lia les mains derrière le dos avec des menottes.
« Attend ton confesseur et bouge pas » puis elle partit, me laissant seule dans le silence impressionnant des lieux.
A la vue de la croix d’argent qui brillait toujours à mon cou, la Directrice avait conclue que je devais être catholique pratiquante, et à ce titre, que je devais me soumettre aux obligations de ma foi. Elle avait aussi ajouté que ma conduite se devait d’être irréprochable, et que tout écart serait doublement sanctionné. Voilà pourquoi j’étais là, à genoux depuis maintenant une heure dans cette chapelle silencieuse. Nue sous ma tunique d’uniforme, je commençais à ressentir des frissons, et le froid faisait durcir mes pointes de seins…
D’ailleurs, mon corps n’avait encore oublié le traitement spécial de l’infirmerie, et un sourd désir me taraudait en permanence, rendu plus intense encore par l’état de soumission ou l’on m’avait laissée.

Enfin mon confesseur arriva. Je le vis à peine. Il s’engouffra dans le confessionnal sans un mot. Me redressant avec peine, je l’y rejoignis. Je m’agenouillais dans l’obscurité, les mains toujours liées derrière le dos. La position m’obligeait à cambrer, rendant bien visible les pointes de mes seins qui pointaient sous le nylon.

« Bénissez moi mon Père, j’ai beaucoup péchée… (ça c’était bien vrai…)
« Je t’écoute fit il d’une voix sourde
Je décidais de jouer le jeux et d’être sincère dans ma confession. Je pensais que ma franchise me vaudrait l’indulgence, et peut être assouplirait quelque peu ma condition dans cette prison.
« J’ai commis le péché de chair…
« Seule ou avec d’autres ?
« …Seule…et avec d’autres…
« Quand la première fois ?
Il me fallut donner tous les détails, préciser les circonstances, les lieux…
« Et les autres fois ?
Je dus parler des garçons avec qui j’avais couché, toute jeune fille, et chaque fois mon confesseur voulait plus de précisions : comment j’avais jouis, combien d’orgasmes, quelles positions j’avais prise.
« As tu connu des femmes ?
Il me fallu bien avouer que, oui, effectivement, je m’étais donnée également à des femmes, et là encore, décrire avec minutie mes aventures.
A ce stade de la confession, j’étais devenue brûlante entre les cuisses, je coulais sans retenue, et je comprenais pourquoi on m’avait laissé les menottes : sinon je me serais déjà sûrement caressée…
« Et avec ton amant ?
« Oui…je fais l’amour presque toutes les nuits…Parfois plusieurs fois dans la nuit…C’est un étalon insatiable »

Il sentait combien toutes ces souvenirs me troublaient, et il prenait un plaisir sadique à exiger un luxe de détails, sachant que leur évocation ne pouvait que m’exciter davantage. Je dus donner toutes les précisions, et effectivement, j’étais maintenant bien allumée. Mais je dus encore avouer que je me masturbais très souvent et finalement le tableau que je donnais de moi était celui d’une parfaite salope qui ne vit que pour et par le sexe.

« Tu es vraiment une grande pécheresse, me dit il, je ne sais pas si je peux t’absoudre si facilement. En attendant va te mettre à genoux au pied de l’autel et attends ma décision »

Ce que je fis en silence. Et je me retrouvais sur les dalles de granit, agenouillée, droite et tendue au pied de l’autel. J’avis les poignets endoloris par les menottes que je portais depuis deux heures maintenant. Mais surtout, ma confession m’avait mis dans un état d’excitation incroyable : je crois bien qu’un simple attouchement sur les seins ou le ventre m’aurait fait jouir immédiatement. Une mouille chaude coulait sans arrêt de mon sexe embrasé, inondant mes cuisses que laissait nues ma blouse trop courte. J’étais morte de honte d’avoir tellement envie. Je dus attendre près d’une heure dans cet état.
Enfin mon confesseur revint.
« Je vais t’absoudre, petite salope, mais ta pénitence sera sévère. Tu acceptes ? »
Je n’avais pas le choix si voulais retrouver la paix avec ma conscience teessayer d’amadouer le prêtre pour m’en faire un allié…
« Tu seras transférée au cachot pour la totalité de ta peine et fouettée matin et soir par les gardiennes : tu es bien trop sensuelle pour rester en cellule. Nous verrons ensuite quelles mesures prendre à ton égard. »

La sentence, car ce n’était pas autre chose me laissa sous le choc.

 

Il me confia aux bons soins d’une gardienne, qui m’emmena aussitôt sous la douche glacée pour me calmer…..

Je passais une dernière nuit en cellule, ou l’on me laissa menottée, par sécurité. Malgré la caméra, mes compagnes, me voyant sans défense, ne se privèrent pas de se livrer à des attouchements impudiques. Surtout la jeune Nathalie, celle qui portait en permanence une ceinture de chasteté. Elle se vengea en laissant des heures ses doigts caresser mon pubis, et descendre à vers mes grandes lèvres inondées de nouveau, refusant de me faire jouir…Je dormis très mal et j’en vins à être satisfaite d’être isolée au cachot pour la suite de ma peine!

 

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Mardi 27 décembre 2 27 /12 /Déc 23:49

Chapitre 1 : Condamnée

 

Debout dans le box des accusés, j’avais encore du mal à réaliser ce qui m’arrivait. Mais je restais confiante. Mon avocate m’avait assuré que pour un délit aussi mineur, je ne risquais qu’une condamnation de principe, sans doute une amende, ou un travail d’intérêt général.

Les faits remontaient à la semaine précédente. A la suite d’un pari stupide avec Luc, mon amant, je devais voler une parure de lingerie sexy dans un magasin spécialisé. Si je le réalisais, il me promettait de me faire l’amour revêtu de cette parure une nuit entière ! « Pas chiche », m’avait il dit, et j’ai relevé le défi !

Je n’ai guère eu de mal à choisir un ensemble noir très osé, soutien gorge à balconnets, laissant libre la pointe des seins et la culotte fendue assorti. J’imaginais sans peine l’effet que ferais cet ensemble sur mon corps. Du haut de mes 25 ans, je suis une belle brune plutôt grande (1m75), dotée de longue jambes, mince mais avec des formes placées là ou il faut, notamment avec une poitrine généreuse (95 D) mais ferme, et je ne doutais pas de l’impact de cet ensemble sur Luc.

 

Je dissimulais mon larcin dans mon sac, mais à la sortie, une alerte se déclencha! Le vigile voulu ouvrir mon sac. Prise de panique je refusais. Il appela la direction qui ne me fit pas de cadeau et porta plainte. Et me voici devant ce tribunal, en comparution immédiate.

Sur les conseils de mon avocate, je la jouais profil bas. Sagesse et discrétion : je portai un petit tailleur tout simple sur un chemisier blanc impeccable. Et autour du cou, une croix d’argent, gage de moralité !!

Voilà maintenant c’est mon tour. Le procureur fait l’interrogatoire d’identité :
« Carole S……. née le ……………demeurant à …………….reconnaissez vous les faits ? »
Je me fais la plus humble possible et répond en baissant les yeux.
« Oui…..je demande pardon…….je regrette…….. »
Le silence s’établit dans le prétoire. Soudain le procureur se lève.
« Vous reconnaissez avoir dérobé cela ? »
Et il jeta sur la table, au vue de tous, le soutien gorge et le string….
Je n’avais pas prévue cela, et je me sentais perdre pied.
« Répondez ! » tonitrua le procureur « vous avez volé ces sous vêtements pour votre usage personnel ? »
Je commençais à paniquer. Je cherchais du regard mon avocate, mais elle détourna les yeux.
« . . . oui… » fis je dans un souffle. Chacun pouvait imaginer sans peine ma poitrine, malgré le tailleur qui tentait de la dissimuler, parée de ce soutien gorge dont les généreuses échancrures auraient laissées pointer mes tétons durcis. Et je ne parle pas de la culotte fendue, dont le minuscule triangle de tissus noir aurait à peine caché mon sexe . . .

 

« Et c’était pour utiliser en privé ou pour exercer une activité plus . . . publique ? », demanda le procureur.

 

Le public éclata de rire. Je ne savais plus ou me mettre.

 

Mon avocate pris alors la parole.

 

« Votre honneur, ma cliente a agit sous l’emprise d’un coup de folie ! Son casier judiciaire est vierge, c’est son 1erlarcin, qui je le répète a été commis non par soucis de lucre, mais plus par soucis de . . . luxure ! Tout ce que l’on peut reprocher à ma cliente est d’avoir le sang trop chaud».

 

L’assemblée éclata à nouveau de rire. Je piquais un fard.

 

« Ma cliente reconnaît cependant les faits, les regrette et est consciente qu’une juste punition est méritée. Nous en appelons donc à votre clémence votre honneur. », reprit-elle.


Il y eu une suspension de séance de quelques minutes, durant lesquelles j’étais sur les charbons ardents. Je me faisais aussi discrète que possible, gardant les yeux baissés, les genoux serrés, bien droite sur le banc des accusés. Inquiète, j’étais cependant optimiste : le juge était une femme et comprendrais surement un moment d’égarement.

 

Puis le procureur revint. Je me levais pour entendre la sentence. Elle tomba comme un couperet :
« Carole S….. vous êtes reconnue coupable de vol avec préméditation. Mais comme vous avez reconnu les faits et fait amende honorable . . . vous n’êtes condamnée qu’à six mois de prison ferme. Affaire suivante ! »

Je sentis mes jambes se dérober. J’essayais de voir mon avocate mais elle avait déjà disparue. Je croisais le regard de mon amant dans le public et une bouffée de chaleur m’envahie. Il m’avait encore fait l’amour pendant la nuit précédente, et l’avais jouie encore plus fort que d’habitude. Maintenant quand allons nous de nouveau nous étreindre ? Une violente poussée de désir me nouait le ventre, je senti que ma vulve s’ouvrait malgré moi et que mon slip devenait humide…Mais brusquement deux gendarmes m’encadrèrent, et avant que je n’ai pu esquisser le moindre geste, me passèrent les menottes et me lièrent les poignets derrière le dos.

 

Je sorti du tribunal sous les quolibets du public. J’entendis distinctement des « salope », « garce », « chaud au cul », « vont la dresser en tôle »

 

Je me suis retrouvé dans le fourgon cellulaire qui m’emmenait à la maison d’arrêt sans m’en rendre compte. Après une demi-heure de route, le fourgon arriva en vue de la prison pour femmes de C………. Des murs d’une grande hauteur, des barreaux aux fenêtres, je reconnu le bâtiment devant lequel j’étais passée plusieurs fois, sans imaginer y venir un jour, sans une pensée pour les femmes qui y étaient détenues. C’était mon tour de me retrouver retrancher du monde. Combien de temps allait-il falloir à mes amis, à ma famille pour m’oublier ?

 

Toujours menottée, je fus conduite devant la directrice.

Je dus attendre près d’une heure dans un couloir sombre, debout, toujours mains liées derrière le dos, silencieuse. Une envie pressante commençait à me tenailler, mais personne en vue pour me conduire. L’attente devenait de plus en plus pénible. Enfin la directrice arriva et me fit entrer dans son bureau. Elle était vêtue d’un tailleur de cuir noir très strict, paraissait la quarantaine, avait des traits fins et réguliers, et des yeux très clairs, que je n’osais regarder en face. Deux gardiennes arrivèrent également et se placèrent respectueusement debout de part et d’autre de la directrice.

Je restais debout, toujours menottée, n’osant souffler mot. J’essayais de faire bonne figure, me tenant bien droite gardant les yeux baissés. Les bras et les épaules maintenus très en arrière pas les menottes faisaient saillir ma poitrine. Ma croix d’argent brillait dans l’échancrure de mon chemisier. La directrice me détailla du regard puis se plongea dans mon dossier que lui avaient transmis les gendarmes. Evidemment elle prit connaissance de mon inculpation, et ricana. Elle montra du doigt une feuille aux deux matonnes, qui ricanèrent à leur tour. La description de mon vol devait les amuser. Enfin la directrice m’adressa la parole.

« Chère Carole, tu es ici pour six mois et tu vas en baver ! »

Ca commençait bien !

« Ici la règle est simple et se résume en trois mots : Travail Obéissance Chasteté ! Répète !! »

« …Travail…obéissance….Chaste….Chasteté »

« Plus fort salope ! »

« Travail Obéissance Chasteté… »

« Travail : lever six heure, douche froide, pain sec et café, et à l’atelier travail en silence de six heure trente jusqu’à dix neuf heure. Quinze minutes pour déjeuner et quinze minutes de pause. 6 jours sur 7 Vu ?

« …oui… »

« Oui qui ? salope »

« Oui Madame la directrice »

« Obéissance : c’est la soumission absolue au personnel de l’établissement. Vu ?

« Oui Madame la directrice »

« Chasteté : pas de douceur, pas de câlins, pas de caresses seule ou avec d’autres. Abstinence totale. Vu ? »

« Oui Madame la directrice »

 

« Chaque manquement à l’une de ses règles : punitions. C’est le cachot, les chaînes, le fouet, ou toute punition que je juge nécessaire. Tarif double pour manquement à la chasteté. Vu les dernières lois répressives adoptées et les résultats de cet établissement, j’ai carte blanche en la matière ! Vu ?

« Oui Madame la directrice »

 

« Pas de visite au parloir avant un mois ! Vu ? »

 

« Oui Madame la directrice »


« Fais gaffe. Jeune et jolie comme tu es, tu va exciter tes copines. Et vu ce que tu as volé . . . ça m’étonnerais que tu puisses rester sage longtemps. Vous l’aurez à l’œil.» ajoute t elle en direction des deux gardiennes, qui approuvèrent servilement
Elle précisa encore :
« Pour elle vous doublerez la dose d’aphrodisiaque : je veux qu’elle en bave cette salope »

L’entretien était terminé. L’une des gardiennes m’empoigna sans ménagement et m’entraîna dans le couloir.

« Pourrai- je aller aux toilettes » demandais je à voix basse à la gardienne qui m’accompagnait.

Elle s’arrêta et me regarda droit dans les yeux :
« N’adresse jamais la parole au personnel, salope. Tu pisseras quand je le déciderai. Et baisse les yeux »
Elle me dirigea vers les douches et me laissa seule encore un quart d’heure dans le vestiaire. Elle ouvrit un robinet et laissa couler un filet d’eau. Je sentais que ma vessie allait éclater : je n’avais pas fait depuis le matin et je n’en pouvais plus. Enfin la gardienne revint et me libéra des menottes.

« A poil et vite ! Salope !»

Rapidement j’ôtais mon tailleur BCBG, mon chemisier, mes chaussures, mes bas et restais en slip et soutien gorge (bien sage celui là !)

« J’ai dis a poil, t’as pas compris ? », hurla ma gardienne.

Je m’exécutais. Avec rudesse, elle me poussa dans une cabine de douche et ouvrit le jet. L’eau froide failli me couper le souffle et, réaction immédiate j’urinais violemment. Mais j’étais enfin soulagée et je restais quelques minutes sous l’eau glacée. Je sorti et la gardienne m’attendait avec une serviette, une bombe de mousse à raser et un rasoir.
« Mets toi là et écarte les cuisses en grand » ordonna t elle en me désignant une table. «Et surtout ne bouge pas ! je vais te raser, c’est le règlement. »
Avec une dextérité qui trahissait une grande expérience, elle ma rasa prestement la toison autour du sexe, qu’en quelques minutes elle laissa lisse et tendre. Je m’étais déjà fait épiler « le maillot », mais jamais entièrement. J’avais l’impression d’être encore plus nue et vulnérable.

Elle me sécha elle même, me frictionnant vigoureusement, puis avec plus de douceur sur les seins, et avec insistance cette fois, entre les cuisses, qu’elle m’obligea à garder écartées. Malgré moi une douce chaleur commença à envahir mon bas ventre devenu glabre. Malgré la situation, ou peut être à cause d’elle, j’avais envie de caresses sur cette zone qui était devenue hyper sensible.
« Ah tu aimes ça hein salope ! la directrice avait raison !! mais fait gaffe, ça pourrait te coûter cher ! »
Elle insista cependant sur ma fente, jusqu’à presque l’ouvrir, sans que je me défende…
« Bon Dieu ! qu’es ce qu’elle en veut celle là » murmurera t elle. Puis à haute voix : « Allez grouille au vestiaire ! »

Elle m’emmena toujours nue, dans un long couloir, poussa une porte et s’adressant à une collègue :

« Des fringues pour cette salope ! » et se retira, nous laissant seules.

Cette nouvelle gardienne était assez jeune, le visage ouvert et sympathique, encadré de cheveux blonds, mais je n’osais lui adresser la parole. Elle prenait tout son temps pour me détailler. Je restai nue devant elle, droite et fraîche, vêtue de ma seule croix d’argent qui ornait toujours ma gorge, la poitrine raffermie par l’eau froide, les cheveux mouillés tombant sur les épaules, le sexe désormais entièrement rasé. Je me savais jolie, et je devais offrir à cette jeune femme un tableau charmant, genre Vénus sortant du bain !! Mais je gardai le silence et les yeux sagement baissés.

Enfin elle me tendit mes vêtements ou plutôt mon vêtement : une robe d’uniforme gris clair en nylon assez fin.
« Essaye la » me dit-elle d’une voix douce. Tiens elle ne m’avait pas appelée salope !
« Pardon, mais il n’y a pas de sous vêtement » murmurai je timidement, toujours les yeux baissés.
« Comme ceux que tu as volé ? » ironisa t elle « Avec le corps que tu as, ça serait dommage » ajouta t elle gentiment. Je me mis donc en devoir d’enfiler cette robe à même la peau. Elle me paru un peu juste, moulant bien mes forme malgré la coupe assez quelconque.
« Ho ! C’est bien trop grand ! » reprit la gardienne « Essaye plutôt celle là »
Je fis un nouvel essai, et cette fois, cette robe était visiblement deux tailles en dessous de la mienne. J’ai eu du mal à la boutonner et je fus obligé de comprimer mes seins. Le tissu, me moulait littéralement. Elle était très courte, j’avais peur de la faire craquer ! et qu’en me baissant on voit mes fesses…
« C’est parfait » fit la gardienne. «laisse le col ouvert, qu’on voit ta croix : ça te donne l’air si sage » ajouta t elle rêveuse.
Malgré moi je me suis senti excitée d’être si impudique dans cet uniforme simple mais collant comme une seconde peau et si court. Surtout, je prenais conscience maintenant que j’allais être totalement privée d’amour pendant six mois, alors que je me sentais déjà en manque…

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Mardi 27 décembre 2 27 /12 /Déc 23:46

L'histoire qui va suivre se situe dans un futur proche.

 

Dans l'ensemble des pays occidentaux, des partis politiques rétrogrades prônant le retour aux valeurs morales sont arrivés au pouvoir. Un ensemble de lois coercitives ont été adoptées, particulièrement à l'encontre des femmes, considérées comme « licencieuses » par nature. A l'encontre de celles-ci, les pouvoirs de la police, des juges et des autorités pénitentiaires ont été renforcés pour devenir quasi-discrétionnaires.

 

Le système éducatif a totalement été repris en main. L'uniforme est obligatoire. Les garçons et les filles suivent de nouveau un enseignement séparé. Pour égaliser les chances de réussite, le pensionnat est devenu une obligation. Les châtiments corporels, y compris publics, sont de nouveaux permis.

 

Le racolage sur la voie publique est interdit, mais les maisons closes sont légalisées.

 

Dans cet avenir proche, la vie d'une femme peut basculer du jour au lendemain de la normalité à « l'enfer ».

 

L'histoire de Carole en est un exemple.

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Mardi 27 décembre 2 27 /12 /Déc 23:28

Les malheurs de Carole est ma 2ème histoire publiée sur le net. Elle aussi a visiblement été appréciée, même si elle n'a pas suscité les mêmes vocations que Miss Camping!

 

 

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  • : "Histoires érotiques de soumission féminine" est le blog des histoires érotiques de soumission de jeunes filles et jeunes femmes (éducation anglaise, dressage, punition, fessées, BDSM, etc)par des hommes ou des femmes dominatrices, écrites par Alexis, administrateur de ce blog. Ce blog se veut aussi le reflet de ses goûts en matière d'érotisme (récits d'autres auteurs, photos, dessins,etc).
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