Sarah: le dressage

Mardi 6 janvier 2 06 /01 /Jan 22:28

Chapitre 3 : Sarah est punie pour sa vulgarité

Sarah eut un sursaut.

« Mais je suis suffisamment punie . . . », couina-t-elle.

« Tu n’es pas punie, tu es inscrite à un club ! », constata Marion

Les 3 filles pouffèrent.

« Bien, jeunes filles c’est vous qui avaient été insultées, choisissaient la réparation ! »

Marion entrait vraiment dans le rôle !

La petite Raquel jubilait visiblement.

«Nous avons surtout été humiliée, nous ne voudrions pas choisir une punition trop sévère physiquement Madame. . . . Non, l’essentiel est qu’elle soit humiliée aussi, en recevant sa punition dans le couloir en public par exemple . . . », dit-elle.

« Parfait ! », conclu Marion.

«  . . .  5 coups de badines chacune par exemple ».

Je m’esclaffais. Ces petites garces avaient bien la même conception de la modération que moi.

« Soit », dit Marion, « mais nous n’avons pas de badines ».

« Pas grave », dit une de compagne de Raquel, une noire toute mince, « on en a dans la salle du club . . . je vais la chercher ! ».

Et elle partit en courant.

«Il n’y a donc plus qu’à mettre Sarah en position . . . », constata Raquel.

Marion n’avait plus qu’à suivre.

Raquel prit Sarah par la main et la tira hors des toilettes.

« Oh s’il te plait Raquel . . . », tenta de supplier la jeune fille.

« Allons Sarah », répondit celle-ci, « je serai toi je me montrerai bien obéissante . . . Madame pourrait ne pas apprécier »

Raquel conduisit l’adolescente jusqu’au milieu du couloir.

« Voilà, maintenant courbe-toi, jambes bien droite et tiens tes chevilles avec tes mains. », ordonna-t-elle.

Sarah ravala un sanglot et obéit.

Les jeunes filles qui étaient dans le couloir s’attroupaient autour de Sarah, des 2 lesbiennes et de Marion.

« Parfait ! », s’exclama la blonde, en relevant la chemise blanche de Sarah afin de bien dégager son cul et l’offrir à la punition.

Dans cette position émoustillante, l’assemblée avait une vue imprenable sur ses fesses, ses cuisses, et sa chatte dodue.

C’est à ce moment que la 3eme lesbienne revint avec sa badine. Le modèle poids lourds ! Le cul de la rouquine allait recevoir !

La jeune noire inaugura le bal.

« Tu comptes les coups pour que je ne me trompe pas surtout !», dit-elle à sa victime.

Et elle commença la tournée.

D’instinct, Sarah garda la position et maintint ses mains à ses chevilles.

Les coups étaient secs, rapides et drus.

L’adolescente se retenait de crier mais ne pouvait se retenir de couiner et contenir ses sanglots.

Au 5eme coup, sa respiration devint saccadée.

La noire passa ensuite la badine à sa complice, une charmante brune, qui ne put retenir un sourire carnassier.

Raquel arrêta la brune avant qu’elle ne décoche son 1ercoup.

« Attends Annie !  . . . Sarah ne peux plus respirer ! . . . Tu vois bien qu’avec cette position, la chemise et la cravate l’étouffent ! . . . il faut la dégager !

Et tout en parlant, elle s’approcha de la punie, lui défit sa cravate et déboutonna sa chemise.

« Oh pitié Raquel », couina la rouquine.

Les jeunes filles assemblées autour d’elles murmuraient, choquées, ou amusées, parfois moqueuses.

Lorsqu’elle eut déboutonnée la chemise, les 2 gros seins de Sarah tombèrent vers le bas. Le soutien-gorge de ficelle qu’elle portait ne cachait rien de ses larges mamelons et de ses tétines.

« Voilà, maintenant que tout ça est dégagé, tu vas nettement mieux respirer ! », déclara Raquel en tirant sur les seins de Sarah pour bien les allonger.

La brune put alors décocher sa série de 5 coups de badines.

« Surtout continue de compter les coups Sarah ! J’ai trop peur de me tromper ! », lança t-elle.

Sarah n’arriva alors plus à contenir ses cris. Mais elle arriva à tenir le décompte.

Une fois sa tournée terminée, elle voulut passer la badine à Raquel.

La sonnerie retentit alors et les spectatrices s’égayèrent dans toutes les directions pour retrouver leurs classes.

« Attends Annie, tu ne vois pas que la pauvre Sarah a de nouveau du mal à respirer ! », déclara Raquel en se dirigeant vers la tête de Sarah.

Elle se baissa alors, pris ses seins à pleines mains et les sortis de son soutien-gorge.

Les 2 mamelles pendirent librement.

La blonde s’amusa à franchement tirer dessus, en pinçant les tétines et les mamelons, comme pour traire une vache. Ne résistant pas à ce traitement, les mamelons durcirent et les tétines s’allongèrent.

 « Ça va mieux comme ça ma puce non ? Tu respires mieux ? »

Sarah pleurait et hoquetait sans pouvoir parler.

« Allez, on va passer à tes 5 derniers coups et on te libère ! », dit Raquel en tapotant la joue de l’adolescente.

Elle se releva, prit la badine en main et se positionna derrière Sarah.

Vicieuse, elle ne décocha pas le coup de suite, mais attendit une dizaine de seconde avant. Ce n’est que là qu’elle décocha le coup de badine. Un coup puissant. La badine s’enfonça dans le fessier de Sarah.

La fille en eut d’abord le souffle coupé. Puis un cri déchirant fusa.

Un sourire cruel s’affichait sur le visage de la lesbienne.

« Ça fait combien de coups Sarah ? »

«  . . . un . . . un »

Un 2eme coup tomba de suite, tout aussi puissant.

A chaque coup, Marion sursautait, mais ne disait rien.

Le fessier était maintenant zébré par les coups de badines.

Sarah hurla à nouveau. Mais, courageusement elle gardait la position.

« pitié . . . pitié . . . je n’en peut plus », supplia-t-elle.

Le 3eme coup tomba, sans prévenir, tout aussi impitoyable.

« Ça fait combien après 1, Sarah ? », demanda la blonde.

La tête de Sarah tournait visiblement.

« Deux . . . DEUX ! », cria-t-elle en comprenant qu’elle venait de rater un décompte.

Après une nouvelle pause de 10 secondes, le quatrième coup tomba.

« trois ! », murmura Sarah.

Le coup suivant tomba de suite, mais sue le bas des fesses, zébrant aussi le gras de la chatte.

« Bingo ! », ai-je pensé hilare.

Sarah feula de douleur, tremblant de tous ces membres, un filet de bave lui échappant d’entre les lèvres.

5 secondes après un nouveau coup partit sur les fesses cette fois.

« Oups ! », dit Raquel. « Tu n’avais pas fait le décompte ! Zut alors ! Je vais m’en vouloir toute la journée ! Alors, après trois, c’est quoi ?

« Qua . . . quatre », dit Sarah, brisée.

Le dernier coup tomba alors.

Cette petite Raquel était une dominatrice et une sadique déjà consommée ! Coups sévères. Bien arythmiques. Torture psychologique. . . .Déjà une très bonne technique !

Sarah en avait enfin terminée. Elle put se relever.

Marion reprit la main.

« Et bien j’espère que cette petite correction vous servira de leçon Melle ! Allez-vous rhabiller jeune fille ! »

L’adolescente ne se le fit pas dire 2 fois. Elle remit d’abord son soutien-gorge, puis sa chemise et sa cravate, et partit à petits pas vers les toilettes pour remettre culotte et jupe.

« Pourriez-vous nous raccompagner en classe Madame afin de justifier notre retard ? », demanda la blonde à Marion.

Elle ne perdait pas le nord : si elles revenaient seules sans explications solides, elles étaient bonnes pour une punition !

« Pas de soucis ! », dit Marion.

Sarah revint.

« Dépêche-toi d’aller en cours ! », lui lança Raquel avec perfidie. « Mme Schweinberg n’est pas patiente ! »

Sarah en fut saisie, et détala sans réfléchir.

J’éclatai de rire. Effectivement, Greta Schweinberg, notre prof de sport n’était pas patiente, et allait avoir un prétexte en or pour s’occuper de Sarah !

Tant pis, j’allai laisser Marion aux bons soins de notre infirmière et passer sur la caméra de la salle de sport !

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Lundi 5 janvier 1 05 /01 /Jan 22:07

Chapitre 2 : Sarah est inscrite au club des lesbiennes

Je me suis dirigée vers le placard de mon bureau et je l’ouvris.

Les tenues étaient pour moi et elles allaient être un peu serrées pour Marion, mais ce n’était pas plus mal.

"Je vais vous prêter une tenue pour cette journée, mais ensuite ce sera à vous de vous vêtir conformément à votre fonction !"

"Oui madame"

"Tout d’abord en sortant de mon bureau, vous passerez à l’infirmerie pour vous faire épiler totalement, raie et chatte, ça déborde de partout et ce n’est pas hygiénique !"

. . . mais que va dire mon mari Madame la directrice?"

"Et bien vous lui direz la vérité ou que c’est pour lui !""

". . . bien madame la directrice"

"Ensuite, plus question de ces tenues de grands-mères ! Vous mettrez de vrais bas avec portes jarretelles ou des bas mi-cuisses ou rien, une culotte laissant les fesses dégagées ou rien, et vos seins tiennent très bien, inutile de mettre un soutien-gorge !"

". . . mais Madame la directrice, je vais avoir l’air d’une pute !"

"Mais non ! D’une femme sûre d’elle-même et de sa féminité, capable d’en imposer à ces petites pestes !"

Je sortis une paire de bottes noires à hauts talons de 10 cm et les lui tendis.

"Mettez-les !"

Elle obtempéra.

Comme attendu, les bottes la grandissait et l’amincissait.

Je lui tendis une mini-jupe noire en stretch, qu’elle enfila.

Elle dut se contorsionner pour y entrer. La mini-jupe lui moulait le cul comme une seconde peau et lui tombait ras des fesses.

Entre les bottes et la mini-jupe noire, on ne voyait que ses cuisses blanches qui ressortaient de façon indécente.

"Comme vous n’avez pas de culotte digne de ce nom, vous n’en porterez pas aujourd’hui."

Je sortis ensuite un corset en stretch noir, le posait sur son torse et nouait les liens dans son dos. Le corset la moulait aussi comme une seconde peau et la couvrait de la jupe aux seins, qu’ils compressaient et faisaient pigeonner outrageusement laissant même deviner les mamelons roses.

"Madame  . . . je suis obscène !"

"Mais non Marion ! Cette tenue met vos charmes opulents superbement en valeur! Vous allez réveiller les morts sur votre passage ! le plus important c’est de porter cette tenue avec assurance ! Les petites garces que vous allez éduquer n’attendent qu’un signe de faiblesse de votre part !"

Je la fis marcher dans le bureau pour qu’elle s’approprie sa tenue. La marche fut mal aisée au début, mais au bout de quelques minutes elle devint plus assurée . . . il faut dire que les bottes l’obligeait à se tenir bien droite ce qui faisait bien ressortir ses seins. Elle avait fière allure.

La voir déambuler me fit penser à une dernière touche.

Je pris une pince à cheveux, je m’approchai, je mis ses cheveux en queue de cheval et posa la pince.

Elle était superbe !

"Vous repasserez à mon bureau ce soir afin de vous changer, ce qui vous permettra de me faire un compte rendu de votre journée de discipline ! . . . Même si l’institut est quadrillé de caméra de surveillance, j’aime avoir des comptes rendus de vive voix afin de connaitre votre ressenti !"

"Oui madame la directrice."

"Si je ne suis pas satisfaite, vous serez de nouveau punie de la façon la plus humiliante possible !"

"Oui Madame la directrice . . . mais qu’elles sont mes fonctions ?"

"Vous êtes directrice adjointe et avez donc tous les droits sur nos élèves ! Votre travail pour l’instant est de patrouiller dans l’école afin de maintenir l’ordre et vous faire identifier et reconnaitre . . . de marquer votre territoire . . . sur les corps et les cervelles de ces petites garces! . . . A vous de vous faire connaitre !"

Marion obtempéra du chef, se dirigea vers la porte et sortit.

Une fois qu’elle eut franchi la porte, je m’assis à mon bureau, et ouvrit le logiciel sur mon ordinateur qui me permettait de me connecter aux caméras.

Je la vis marcher dans le couloir, cherchant l’infirmerie.

C’était l’intercours et les couloirs grouillaient de filles discutant entre-elles en attendant le cours suivant ou passant d’une salle à une autre.

La vue de l’altière Marion les intriguait visiblement, mais aucune d’entre elle n’osait l’aborder !

Il faut dire que la mère de Sarah présentait bien : elle marchait le dos droit, les hanches bien courbées, les seins projetés en avant, sure d’elle-même, le regard impérieux !

Je la vit subitement s’arrêter. Elle prit la direction des toilettes et entra.

Je basculai sur la caméra intérieure des toilettes et mit le son.

Ma nouvelle directrice adjointe fût visiblement surprise par la configuration des lieux : la salle était spacieuse, propre, carrelée de blanc, avec de nombreux lavabos, mais les toilettes étaient à la turc, sans cabines !

Comme je dirige une école pour jeunes filles, je n’ai en effet pas vue l’intérêt de faire de frais supplémentaires à ce titre ! Et puis, c’était une façon supplémentaire de marquer la différence de rang entre élèves et enseignants, qui eux, avaient droit à des cabines individuelles.

A côté de chaque toilette, il y avait une paterne pour que les filles puissent y accrocher leur veste, mais aussi leur jupe et leur culotte.

En effet, elles étaient bien placées pour savoir que le règlement exigeait qu’elle conserve leur uniforme immaculé, et elles avaient vite compris, après quelques incidents sévèrement réprimés il est vrai, qu’il était plus prudent d’enlever le bas de l’uniforme en allant uriner ou déféquer.

Marion scruta les lieux et vit une fille accroupie, cul, chatte et cuisses à l’air. Elle était entourée de 3 filles, dont l’une avait un papier à la main.

« Qui a lancé cette insulte ? », tonna la rouquine.

Elle entrait décidément à fonds dans son rôle !  . . . Le fait que je lui ai dit que j’allai l’espionner ne devait pas y être pour rien !

Les filles sursautèrent.

Celle avec la feuille de papier prit la parole.

« C’est Sarah Mc Cluskey, Madame! Elle nous a traités de sales gouines! », dit-elle en désignant la fille accroupie.

Celle-ci se releva d’un bond, tel un ressort.

Marion eu visiblement un choc en reconnaissant sa fille.

Quel coup du sort ! J’avoue que j’étais aux anges !

L’adolescente s’apprêtait à prendre la parole en bégayant.

« Sors de la petite gourde ! Qu’est-ce que c’est que cette vulgarité jeune fille ? », lança Marion en se reprenant.

Sarah sortit da carré de toilette, exposant son imposant fessier et sa chatte appétissante à toutes.

« C’est à cause d’elles . . . elles veulent me faire inscrire au club de lesbiennes mam . . . », commença à répondre Sarah.

« Madame !, petite gourde », coupa Marion avant que Sarah n’ai terminée par l’appeler Maman.

« Réaction intéressessante » !, ai-je de suite noté. Il est vrai que si l’on savait que Sarah était sa fille, sa position serait plus délicate . . . elle devrait être encore plus intransigeante pour ne pas être accusée de favoritisme ! . . . A ne ps oublier !

« Oui . . . Madame », se reprit l’adolescente.

« Et alors ? », demanda Marion, implacable.

« Je ne suis pas lesbienne, Madame. Ça ne m’intéresse pas. Je leur ai dit, mais elles ne me laissaient pas tranquille. »

Marion se tourna vers la fille avec le papier.

Une très jolie petite blonde, aux cheveux mi- longs qui lui tombaient sur les épaules.

« C’est que Sarah n’est pas encore inscrite à un club Madame et Madame la Directrice tient à ce que chaque élève le soit ! C’était dans son intérêt ! Et en plus, on peut s’inscrire en tant qu’hétéro, uniquement pour s’instruire et s’informer ! », répondit la blonde.

Son nom me revint ! Raquel Bauer. Une petite pétasse de bonne famille, mais avec un bon potentiel de sadique.

Marion prit le papier en main et le lu.

« C’est le formulaire d’inscription ? »

La blonde opina du chef.

« Je vois qu’on peut s’inscrire en tant qu’hétéro, dominante, soumise ou mascotte. Pour les 3 premières, je vois à quoi ça correspond, mais la 3eme ? »

«La mascotte est la soumise de tous les membres, dominantes et soumises . . . la soumise n’est soumise qu’aux dominantes Madame ! »

«Et vous en avez beaucoup de mascottes en ce moment ? »

« Encore aucune, Madame ! »

Marion était pensive. Parfois son regard trainait sur les murs ou le plafond . . . elle cherchait les caméras ! La petite curieuse !

« Voilà qui est incompréhensible ! . . . Ça me semble pourtant le meilleur moyen pour découvrir tous les aspects du lesbianisme ! », finit-elle par lancer.

Raquel sourit à pleines dents.

« En effet Madame ! Et connaitre le lesbianisme est essentiel, même si on n’est pas lesbiennes ! Je dirai même surtout ! Car comment être tolérante avec quelque chose que l’on ne connait pas ! . . . Et si on n’est pas lesbienne, le seul moyen de découvrir tous les aspects du lesbianisme, c’est d’y être obligée, de ne pas pouvoir se dérober, sinon on prend n’importe quel prétexte pour arrêter ! . . . Mais tout le monde n’est pas de mon avis ! »

« Et c’est bien regrettable, car c’est tout à fait sensée Melle ! », répliqua Marion.

« Raquel, Madame »

Marion se tourna vers Sarah, visiblement de plus en plus inquiète de la tournure des évènements.

«Et bien jeune fille, avant toute chose, nous allons vous faire prendre conscience de votre stupidité : vous aviez l’occasion de vous inscrire en tant qu’hétéro à ce club de découverte . . . et vous allez devoir le faire en tant que mascotte ! »

Les 3 lesbiennes du club sourirent à pleines dents à cette annonce : elles n’en attendaient visiblement pas tant, même si je n’ai pas cru un seul instant qu’elles allaient se contenter que Sarah soit une simple spectatrice en tant qu’hétéro une fois au club !

« Oh . . . non . . .mam . . . », commença Sarah

« Silence petite gourde ! Je ne veux entendre que -oui Madame- ou nous allons de ce pas dans le bureau de Mme la directrice afin qu’elle soigne comme il le faut votre vulgarité et votre désobéissance ! », la coupa sa mère.

Les larmes coulèrent sur les joues de l’adolescente qui réprimait ses sanglots, mais elle se tu. Sous le choc, son opulente poitrine se soulevait et retombait délicieusement.

« Oui . . . Madame », finit par dire la petite.

A cet acquiescement, les 3 lesbiennes regardèrent la chatte et le cul à l’air de Sarah d’une façon toute différente ! Encore un peu et elles allaient saliver les garces !

« Bien, faites remplir le formulaire Raquel ! », ordonna Marion

La blonde posa le formulaire sur un lavabo et tendit un stylo à Sarah.

L’adolescente s’avança, prit le stylo en main, et renseigna son prénom, son nom, et sa classe.

Au moment de cocher « mascotte », elle hésita.

« Oh pitié Madame, je ne serai plus jamais vulgaire ! »

«Remplissez, petite sotte ! »

La jeune fille cocha, mais s’arrêta au moment de signer.

Elle trépignait de la plus adorable des façons.

« Oh non . . . . Je ne peux pas . . . c’est si sale de faire l’amour avec des filles !

Raquel posa sa main droite sur son cul et se mit à le caresser, comme pour la rassurer.

« Allez, signe Sarah . . . Madame la directrice adjointe te l’ordonne . . . et on va bien t’éduquer . . . »

Sarah sursauta à la caresse et s’écarta.

« NON ! Je ne peux pas ! »

Marion s’avança et lui décocha une claque retentissante.

«Petite bécasse ! Vulgaire et désobéissante ! Et bien non seulement tu seras une mascotte, mais tu ne pourras quitter le club que sur décision des dominatrices du club, qui seront seules à pouvoir décider si tu es assez au fait de tous les aspects du lesbianisme. Et pour être certaine qu’il n’y ait pas de doute sur ton éducation, il faudra bien l’unanimité des dominatrices ! . . .  Alors maintenant signe, à moins que tu ne veuille encore plus de contraintes !

Sarah éclata franchement en sanglots. Mais elle commençait à connaitre l’institution, et savait maintenant qu’elle n’avait aucun secours à attendre de sa mère . . . . elle signa donc d’une main tremblante.

« Quand vous dites - tous les aspects du lesbianisme- Madame, vous voulez bien dire tous ? Car il y a des aspects assez hard, comme le BDSM, ou encore plus . . . crad. », dit la blonde.

Marion eut une hésitation, mais prit vite sur elle.

« C’est bien une mascotte non ? »

Les 3 filles sourirent de plus belles.

« Bon, et bien voilà ce problème d’inscription réglée ! », s’exclama Marion. Nous allons pouvoir passer à la punition ! »

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Mardi 19 août 2 19 /08 /Août 21:43

Chapitre  1: Mme la directrice rencontre Marion Mc Cluskey

 

Au retour de week-end de Sarah, j’eu la surprise de la voir accompagnée de sa mère, qui me demanda une entrevue immédiate.

Je la fis attendre quelques minutes pour le principe et je la fis entrer avec sa fille.

Sarah portait la tenue réglementaire de l’école et je ne doutais pas qu’elle portait maintenant aussi les sous-vêtements prescrits, tout indécents quels les jugeaient !

La mère était vêtue d’un tailleur strict, la jupe lui tombant sagement au-dessus des genoux. C’était une superbe rousse à la crinière fournie, bien en chair sans être en surpoids, avec des hanches charnues et une poitrine opulente. On sentait la femme qui avait eu plusieurs maternités mais qui avait fait des efforts pour rester belle.

Merci de m’avoir reçue si rapidement Madame la Directrice, me dit-elle de but en blanc.

Mais c’est bien normal Mme Mc Cluskey! répondis-je.

Je serais directe avec vous Madame : Sarah m’a avoué les punitions qu’elle a reçues en fin de semaine dernière, en vue de me demander de quitter votre école.

Voyez-vous ça !  . . . Elle a sans doute été plus rapide sur  les causes de ces punitions ! Et suite à cet aveu vous souhaitez la retirer ?

Mme Mc Cluskey était visiblement interpellée.

Mais pas du tout Madame ! Mon mari et moi-même avons inscrits Sarah en connaissance de cause dans votre établissement ! Ma sœur nous avait clairement expliquée que l’on ne transigeait pas avec la discipline ici ! Nous avons signés la décharge qui vous donnait toute licence pour les punitions.

Je souris intérieurement, l’entretien se présentait très bien.

Personnellement, je trouve que vous avez été un peu dure, mais peu importe, vous êtes seule juge ! Je suis ici pour que Sarah ne se fasse pas d’illusions : mon mari et moi-même soutenons l’équipe pédagogique et ses méthodes sans réserves ! J’ai été scandalisée de la conduite de Sarah . . . vous détenez l’autorité dans cet établissement et elle vous doit respect et obéissance !  J’ai profondément honte et je suis consciente que Sarah a besoin de la plus grande discipline !

La jeune fille ravala un sanglot, tout espoir de retourner dans son ancien établissement brisé.

Je vous en remercie. L’équipe pédagogique de cet établissement a besoin du soutien des parents dans son action. Nos plus grandes difficultés viennent souvent du manque de relais de notre action dans les familles !

La rouquine piqua un fard.

Vous me dites que vous étiez fixée sur les méthodes de notre établissement grâce à votre sœur ?

Oui, Beth Mc Callagan.

Ah oui, je la remets !

Effectivement, à partir du moment où elle me donna son nom d’épouse, je la remis très bien. Elle avait inscrit sa fille chez nous sur les conseils d’une amie en nous recommandant la plus extrême rigueur. Elle était elle-même adepte d’une éducation stricte à base de punitions corporelles humiliantes et il a donc été assez facile de prendre en main sa fille.

Je saisi la perche de suite.

Oui, sa fille était un cas assez difficile mais nous avons réussis à redresser la barre grâce à la vigilance de votre sœur au sein de la famille! . . . je ne vous cache pas que je ne vous sens pas aussi énergique mais un peu plus laxiste !

. . . Je le crains madame . . . j’ai lâchée trop la bride à mes enfants  . . .

C’est en effet regrettable . . . je comprends mieux l’état de délabrement moral de votre fille Mme Mc Cluskey.

Elle rougit de plus belle.

J’ai toujours manqué d’autorité et préféré les méthodes douces, la persuasion.

Ce qui fonctionne rarement avec les adolescentes d’aujourd’hui et le mépris pour toute autorité  qui marque notre époque et qu’elles ne savent pas gérer !

Oui . . . je suis d’accord Madame . . . c’est pour cela que je m’en remets à vous totalement.

Je réfléchi à toute vitesse et vis une opportunité originale.

Je vous en remercie Mme Mc Cluskey, mais je vais devoir refuser de donner suite à cette  confiance car en l’absence de relais familial à notre pédagogie le cas de Sarah est visiblement désespéré et je ne voudrai pas qu’une pomme pourrie gangrène tout le panier !

La mère de Sarah était saisit et sa fille visiblement soulagée.

Madame Marx, je vous en prie, Sarah a besoin  de votre aide! . . .  D’autant que je n’ai pas votre volonté, ni celle de ma sœur !

Je fis mine de réfléchir.

Est-ce que vous travaillez Mme Mc Cluskey ?

Non je suis femme au foyer

Bien . . . dans ce cas, j’accepte que Sarah puisse continuer sa scolarité chez nous . . .

OH merci . . .

Mais à une condition . . .

Laquelle ?

Que vous vous formiez aussi chez nous à être une éducatrice irréprochable et intraitable . . . comme l’est votre sœur!

Sur ce, la sonnerie retentit.

Je me tournai vers Sarah :

Allez en cours petite péronnelle, nous reparleront de votre fourberie plus tard !

Sarah ne demanda pas son reste et partit en cours.

Alors . . . Marion, que décidez-vous ?

Marion Mc Cluskey était sur les chardons ardents. Elle était intiment convaincue que Sarah avait besoin de discipline mais de là à accepter mon offre, il y avait un pas . . . !

Mais elle se décida à sauter le pas pour le bien de sa fille.

J’accepte Madame Marx .

Bien ! Vous ne pouviez pas le savoir, mais pour les employés de l’école, c’est toujours Madame ou Madame la Directrice ! De plus je dois vous préciser que la discipline et la rigueur qui s’impose à nos élèves s’impose aussi aux employés ! La seule différence, c’est que je ne vous punirai pas devant une élève pour sauvegarder votre autorité !

Marion déglutit, mais ne dit rien.

Bien, nous allons d’ailleurs commencer par une punition afin de sanctionner des années de laxisme et vous donner un aperçu de ce qui vous attend si vous ne prenez pas vos responsabilités à cœur ! . . . déshabillez-vous !

Nue, madame ?, demanda Marion, visiblement choquée.

Bien entendu ! les punitions ne s’appliquent pas autrement !

Madame la Directrice, je suis catholique pratiquante . . . je pourrai relever simplement ma jupe . . .

Totalement nue Marion !

Marion se leva et enleva avec réticence sa veste dévoilant un chemisier blanc.

Elle enleva ensuite ses chaussures puis sa jupe qui tomba a ses pieds, dévoilant ses jambes gainées de bas couleur chair. Ses cuisses étaient en effet charnues, mais agréables à regarder.

Elle enleva ses bas, libérant ses jambes et sa culotte blanche de grand-mère !

Elle enleva son chemisier, dévoilant un soutien-gorge assortit à la culotte, mais dénudant un ventre encore plat !

Puis vint le plus difficile : elle dégrafa son soutien-gorge, libérant 2 superbes seins lourds aux larges aréoles roses et aux grosses tétines, puis sa culotte, exhibant une chatte recouverte d’une toison rousse abondante mais qui laissait deviner des lèvres proéminentes et un cul aux fesses charnues. Un corps aux appâts de salope en puissance qu’il fallait aider à s’épanouir !

Marion se couvrit pudiquement  les seins d’une main et le sexe de l’autre !

Vous êtes encore une superbe femelle, Marion, pour votre âge !, lui lançais-je. Monsieur Mc Cluskey ne doit pas s’ennuyer !

Elle rougit jusqu’aux oreilles.

Parfait ! Mains contre le mur, à l’équerre, cuisses bien écartées !

Marion se dirigeât vers le mur face au bureau, posa ses mains dessus puis recula pour  pouvoir se baisser et se mettre à l’équerre. Ravalant un sanglot, elle écarta les cuisses, consciente qu’elle m’exposait sa chatte.

Je me levai et pris paddle dans un tiroir de mon bureau. Un paddle un peu spécial, bien épais, couvert de gros piquots, que je coinçais sous mon bras droit.

Je pris position à côté de la mère de Sarah et pris ses fesses à pleines mains, les malaxant, les triturant, les écartant pour dévoiler la raie et la pastille rose et la vulve offerte.

Comme vous le voyez Marion, avant d’administrer une punition, il faut repérer le terrain, en prendre possession . . .

Je palpai les cuisses sans vergogne, claquant les fesses de temps en temps afin de tester leur élasticité.

Je repris ensuite en main le paddle et envoyait le 1er coup en pleines fesses. Comme prévu, le paddle frappa sur la totalité des fesses, les piquots pénétrants bien dans les chairs

Marion hurla de douleur

Un peu douillette !

Je recommençai, prenant le rythme.

Marion hurlait mais gardait la position.

Au bout de 10 coups, le cul était rouge vif, strié de marques par les morsures des piquots. La dame marquait facilement, comme toutes les rousses.

C’était suffisant . . . pour aujourd’hui.

Comme vous devez le savoir Marion, une bonne punition pour être efficace, doit marquer la mémoire, doit faire mal, très mal, mais aussi être humiliante. C’est pour cela que les punitions sont données nues et souvent en public. Mais sur ce dernier point, nous devons déroger pour sauvegarder votre autorité. Que faire pour compenser ?

Je laissai le silence s’installer.

Marion haletait.

Comment humilier une fervente catholique comme vous Marion ?

La mère de Sarah ne répondit pas.

Et bien je sais ! Vous allez me lécher la chatte pour me remercier !

Marion qui avait gardé sa position se releva d’un coup en reculant.

Non Madame ! Je ne peux pas ! C’est trop dégoutant !

Voyez-vous ça ! . . . Mon idée est donc excellente !  . . . Ce n’est pas compliqué Marion . . . ou vous acceptez votre punition . . . ou vous devrez trouver une autre école pour Sarah . . . en espérant qu’elle soit capable de gérer ses perversions !

Marion blêmit.

Oh Madame, je vous en prie . . .

Vous souhaitez peut-être que je convie en plus au spectacle certains de vos collègues . . .

Non, Non Madame . . .

Elle s’avança enfin.

Je laissai tomber ma jupe, dévoilant ma chatte nue.

Elle s’agenouilla devant moi, tête à hauteur de ma moule.

Elle ne se décidait pas à attaquer. Je n’en pouvais plus.

Je la saisi à 2 mains par la tête et lui plaqua le visage sur ma chatte lui frottant la bouche contre mes lèvres et mon clito

Bouffe salope !

Elle se mit enfin à lécher et sucer le clito

Pour une 1ere ce n’était pas trop mal

Excitée, je jouie très vite sur son visage.

Je la libérai et remis ma jupe.

Parfait Marion . . . vous léchez comme une gouine  . . . j ‘espère que vous avez bien honte de vous !

Oui Madame, oui

 

Bien, nous allons donc vous mettre en tenue pour votre prise de poste

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Sarah: le dressage - Communauté : Soumissions féminines
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Mardi 19 août 2 19 /08 /Août 21:39

Bonjour lecteurs et lectrices assidus.

 

Cet été, mon imagination a pris un tour inattendu. Bien que j'ai plusieurs histoires à terminer (je l'avoue), j'ai replongé dans l'histoire de Sarah, en imaginant ce qui pourrait arriver après sa punition!

 

Rassurez-vous, je terminerai l'histoire de sa punition par la terrible Mme Marx!

 

Mais en attendant, je n'ai pas résisisté à écrire la suite! Et qu'elle suite logique pouvait-il y avoir à part l'implication de sa douce Maman?

 

Bonne lecture!

 

 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Sarah: le dressage - Communauté : Soumissions féminines
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