Sarah: La punition de Sarah, par Alexis

Lundi 27 juin 1 27 /06 /Juin 21:47

Chapitre 19 : Sarah se soumet totalement

 

Tout juste habillée, on frappait à ma porte

« Entrez ! », je dis

La porte s’ouvrit et les 3 jeunes filles entrèrent, Sarah, apeurée, en tête.

«L’infirmière nous a confiée Sarah, Madame la Directrice », dit Claire

Je toisai la jeune rouquine.

J’eu alors la surprise de la voir enlever avec hésitation son soutien-gorge, libérant ses seins lourds et blancs aux larges aréoles roses, puis son string, dévoilant ainsi sa chatte glabre.

Et toute honte bue, devant ses camarades de classe, elle s’agenouilla, posa ses mains au sol et devant les yeux médusés des 2 préfètes, projeta son torse en avant, et sa croupe en arrière.

Dans cette position obscène, elle exposait ses seins, son cul et sa chatte.

« La mauvaise fille que je suis vous remercie de la punir comme vous le jugez nécessaire Madame La Directrice !», dit-elle enfin d’une toute petite voix.

J’étais aux anges ! La bête courbait enfin l’échine !

Pour les nombreuses petites garces et salopes de cette école, cet acte de contrition impudique n’aurait rien coûté. Mais pour Sarah, qui devait vivre avec sa « pudeur catholique », je savais que cet abandon la torturait !

« Une élève qui prends naturellement la position réglementaire de punition ! », je me suis exclamée, souriante. « Quelle belle surprise . . .  tu sembles enfin prendre une attitude positive Sarah ! »

« Madame la Directrice . . . je ne connais pas les fautes de Sarah, mais je dois vous dire qu’elle semble avoir pris conscience de leur gravité ! . . . Elle nous a demandée d’être ses tutrices afin de veiller à ce qu’elle se comporte correctement ! », dit Claire

« Vraiment ! », je me suis exclamée. «Je ne pense pas que ni elle ni vous connaissiez le plein sens du rôle de tutrice mes demoiselles ! »

Les 2 préfètes n’en menaient pas large.

Je jubilais de déstabiliser ces petites garces

«Ce terme en matière d’éducation a en effet un sens bien précis. D’abord, la jeune fille qui accepte une tutelle, accepte de s’en remettre totalement à sa tutrice ! Elle doit obéir en tout, quel que soit l’ordre, et accepter toute punition jugée nécessaire ! . . . Es-tu certaine de vouloir t-engager à cela Sarah ? », dis-je à la rouquine

« Oui . . .oui Madame », répondit-elle. « J’ai besoin de discipline, de rigueur, d’apprendre l’obéissance. J’en suis consciente . . .  mesdemoiselles les préfètes sauront me l’inculquer. »

La petite y mettait du sien !

 « Et bien, je suis impressionnée Sarah ! Je suis parfaitement d’accord avec ton analyse, mais c’est très courageux de ta part de t’en rendre compte et de le demander ! »

Puis, me tournant vers les 2 préfètes : « Et vous, en acceptant d’être sa tutrice, vous vous engageriez sur les résultats de son éducation ! Si vous veniez à me certifier qu’elle est rééduquée alors que ce n’est pas le cas, c’est sur vous que les punitions retomberaient . . . vous devrez donc ne reculer devant rien pour tester la solidité de son obéissance, de sa soumission, en payant de vos personnes pour vous en assurer . . . y compris la testant par des tests que certains jugeraient immoraux si nécessaires ! »

Les 2 filles sourirent, rassurées, comprenant que je leur tendais la perche

« Oui Madame ! », répondit Claire. « Sarah est une amie, je ne reculerai devant aucun sacrifice personnel pour m’assurer de sa soumission »

« Moi non plus Madame ! », enchaina Sonja

Satisfaite de la réactivité de mes préfètes, je me retournai vers Sarah et lui dis :

« En tout cas Sarah, je te félicite ! Tu es en net progrès ! Une attitude aussi positive donne envie de se montrer clémente, et surtout d’être clémente en ayant des arguments pour l’être ! ».

L’adolescente sourit, reprenant espoir

« Merci madame », répondit-elle d’une toute petite voix

« J’abandonne donc la punition en public devant toutes les classes de garçons et filles ! », lui lançais-je.

La rouquine eu un choc

« Oh Merci Madame ! Merci ! », me remercia-t-elle le visage rayonnant.

« Tu recevras une punition en public, mais devant un public restreint : tes tutrices, moi-même, Ken et Sam. Ce sera mortifiant pour ta pudeur, mais pas trop ! »

La jeune fille déchantais !

« Oh . . oh . . . »

Elle n’arrivait pas à articuler.

« Comment ? Tu te révolte à nouveau ? Tu vas me faire regretter de t-avoir accorder un bon point ? », je lui lançais.

« Non . . .non ! », répondit Sarah.

La pauvre fille ne savait plus comment réagir. Elle était paniquée à l’idée d’être punie nue devant son amie, Sonja, et surtout 2 garçons, mais avait peur de récolter pire !

« Ce n’est pas ce que je vois ! C’était trop beau ! . . . Nous allons donc ajouter Sonia l’infirmière, Lin Yi . . . et ton professeur de français », ajoutais-je avec perfidie !

Sarah éclata en sanglos.

« P . . . pardon . . . pardon madame », couina t-elle entre 2 sanglots, ses grosses mamelles tremblantes.

« Bien . . .c’est mieux . . . garde ta position de soumission et d’attente », lui ordonnais-je

Puis, me tournant vers Sonja, j’ajoutais :

« Va donc chercher l’infirmière, Lin-yi et M Claudel, notre professeur de français. A cette heure, il doit être en salle des professeurs ! »

La jeune noire me sourit à pleines dents

« Oui madame », répondit-elle

Puis, elle sortit.

Je me retournais vers ma proie du jour.

« Bien, soyons clair Sarah : tu t’es comporté avec une particulière indécence en mouillant – en bavant de la chatte – pour que ce soit clair pour toi, pendant que tu étais punie. La punition que tu vas recevoir va donc être à la hauteur de cette indécence ! Particulièrement sévère et humiliante surtout pour ta pudeur ! Mais ayant fait preuve de mansuétude vue tes bonnes dispositions, je serai intraitable ! Si tu montres la moindre désobéissance, tu recevras la même punition devant toutes les classes réunies – garçons comme filles ! », la menaçais-je clairement.

La pauvresse continuait de pleurer et trembler d’appréhension.

« As-tu compris ? », ais-je demandé sadiquement.

« O . . . oui, Madame », répondit-elle.

Et sur cette réponse, on frappa à la porte et celle-ci s’ouvrit.

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Mercredi 15 juin 3 15 /06 /Juin 20:27

Chapitre 18 : Sarah est prise en main par les Préfètes

 

Avec la sonnerie, une nuée de jeunes filles en uniforme sortit des classes pour passer dans d’autres classes.

L’intercours ne durant que 5 minutes, les jeunes filles ne trainaient habituellement pas.

Mais cette fois, en sortant, elles étaient interpellées par la vue de Sarah dans sa tenue obscène, entourée de Lin-Yi et de l’infirmière et continuaient donc d’avancer en dévisageant leur pauvre camarade de classe en commentant à voix basse, soit pour la plaindre, soit pour se moquer.

« Ma pauvre Sarah », commenta Sonia, « décidément, tu n’as pas de chance ! . . . Toutes tes camarades de classe vont te voir en sous-vêtements ! »

Sarah était rouge de honte, en sanglots, tétanisée.

Sonia la prit pas le bras et la tira pour la faire avancer.

Sarah suivit, mécaniquement.

Au fur et à mesure qu’elles avançaient, je basculai sur une autre caméra.

« Mon Dieu, Sarah, que fais-tu dans cette tenue ? », lança une fille en approchant.

Je reconnu Claire Duval, une grande fille aux cheveux châtains, mince. Une préfète de discipline de terminale, mais surtout une amie d’enfance de Sarah.

Juste derrière elle arrivait Sonja, une noire athlétique, préfète de discipline de la classe de Sarah.

Les préfètes de disciplines étaient une autorité que j’ai créé à ma nomination en tant que Directrice. A chaque promotion, je repérai les jeunes filles à potentiel dominateur et sadique et je leur donnais autorité sur leur classe pour maintenir l’ordre. En cas d’infraction, elles avaient la possibilité de punir les récalcitrantes ou de m’en référer. Un excellent moyen de maintenir la pression !

En approchant les 2 préfètes remarquèrent le corps zébré de marques de Sarah

« Mais qu’as-tu fait comme bêtise pour être dans cet état ? », demanda la noire

Sarah, toujours tétanisée, morte de honte d’être ainsi humiliée devant son amie, n’arrivait pas à répondre.

Pendant ce temps, les autres jeunes filles étaient rentrées dans leurs classes.

« Mais tu vas répondre ! », s’exclama Claire.

« Allons mes demoiselles ! », dit Sonia. « Notre pauvre Sarah est impressionnée. Mme La Directrice l’a déjà sévèrement punie mais n’en a pas encore terminée. Nous nous rendions justement à son bureau pour qu’elle reprenne »

Claire dévisageait son amie. Elle se rendit compte que celle-ci était maintenant épilée de près.

Elle jeta un bref coup d’œil à la noire.

« Et bien Mademoiselle, nous allons nous occuper de ça maintenant. En tant que préfète, c’est notre rôle »

Sonia hésita puis sourit.

« Et bien je suis obligée de vous passer le relais . . . », dit-elle

Sarah eu un hoquet.

Ses espoirs de voir l’infirmière essayer de m’amadouer s’évanouissait.

« Lin-Yi, tu peux reprendre tes cours », ajouta l’infirmière.

Dépitée, l’asiatique prit cependant la direction de sa classe sans discuter

« Claire . . . », arriva à articuler Sarah.

Son amie se tourna vers elle.

« Allons Sarah ! Un peu de tenue et de respect ! En ce moment je ne suis pas ton amie, mais une préfète de discipline ! Je dois mériter la confiance de Madame la Directrice ! Je ne peux faire de passe-droit ! Tu dois nous appeler par notre titre !»

La belle rousse ravala un sanglot

«Oui Préfète . . . », répondit-elle d’une petite voix.

Sonia s’éclipsa sans rien dire.

« C’est bon pour cette fois », dit Claire

« Tu es trop bonne avec cette gourde ! », lança la noire en claquant le cul de Sarah

« Je vous en prie . . . préfètes . . . j’ai déjà été durement punie, je n’en peux plus . . . mais Madame la Directrice veut encore me punir . . . devant les garçons  . . . nue », dit Sarah en éclatant en pleurs.

Les 2 filles écarquillèrent les yeux. Pour ce que j’en voyais, l’opulente rouquine ne les avait pas émues, mais au contraire alléchées !. Claire, notamment, ne regardait plus Sarah comme son amie, mais comme quelque chose d’autre . . .

« Et bien ! Tu as du faire de sacrées bêtises ! », dit Sonja en caressant les cheveux de Sarah comme si elles caressai un animal de compagnie.

Claire s’approcha, se colla aussi à son amie, et en lui caressant les fesses, ajouta : « oui, tu as été sacrément punie ! . . . Et ce serait bien humiliant de t’exhiber nue devant les garçons en étant punie »

« Oui, mais Madame la Directrice décide des punitions, nous n’y pouvons rien », reprit la noire en caressant le dos de l’adolescente.

« Il faudrait que tu y mettes du tiens pour l’amadouer ! », enchaîna Claire en caressant les seins de son amie de l’autre main.

« Oui . . . oui », répondit Sarah. « L’infirmière m’a expliqué la position de soumission réglementaire pour la punition »

Visiblement interloquées, les 2 filles se reprirent vite.

« C’est bien », commenta Claire, « mais je pense qu’il faudrait peut-être rassurer Madame la Directrice pour l’avenir . . . pour qu’elle ne craigne pas que tu reprennes tes bêtises quelles qu’elles soient ! »

Tout en parlant, Claire avait sorti un sein du soutien-gorge et le palpait. Le 2eme suivi.

« Oui », renchérit la noire. « Visiblement tu ne sais pas te tenir ! . . . Il faudrait que tu sois cadrée, suivie . . . »

« Oui . . . il te faudrait des tutrices », conclu Claire.

Sarah ouvrait de grands yeux vides.

« Des . . . des tutrices ? », bafouilla-t-elle.

Claire sourit.

« Oui . . Quand une élève ne sait pas se régler, il faut la confier à une élève plus maitresse d’elle même à qui elle doit obéir en tout, qui peut la punir librement, afin de la cadrer et l’éduquer », expliqua t-elle.

La garce avait de l’imagination ! Elle était en train de prendre en main son amie d’enfance

« Oui », ajouta la noire, « je pourrai être ta tutrice en classe et dans l’école et Claire en dehors de la classe dans le reste de l’école et en dehors de l’école. . . . Ce serait un gage de sérieux ! »

« . . . qui devrait permettre de mettre madame la Directrice en confiance et permettre de lever la punition publique . . . », tenta Claire.

Les salopes étaient douées !

Je recommençai à me branler la moule

«  . . . ou au moins de réduire le nombre de garçons », modula la noire, perfide

« Mais ce serait sans doute trop humiliant pour toi que je sois tutrice, moi ta meilleure amie », corrigea Claire

Sarah sursauta

« Oui . . . oui, mais je suis prête . . . j’obéirai . . . tout plutôt que de me faire punir devant des garçons ».

L’adolescente était maintenant plautée en règle par les 2 préfètes. Leurs mains palpaient cuisses, fesses, seins, chatte, passant dans le string.

Sarah, totalement concentrée sur le fait d’échapper à sa punition devant les garçons ne bronchait pas

« C’est une très bonne résolution . . . qu’il faudra tenir, car en cas de défaillance nous devrons être intraitables avec toi ! », constata Sonja

« Oui . .  .oui », promis, Sarah, haletante sous les caresses.

« Bien . . . bien . . . mais je pense que pour que madame la Directrice se laisse convaincre il faudra que ce soit toi qui la persuade de ton besoin de discipline, et donc d’être placée sous tutelle ! . . On amènera la discussion, mais après ce sera à toi d’être convaincante ! », dit Claire

Et sur ce, elle lui décocha une grande claque sur le cul

« Allez, on y va », lança la noire en poussant la rouquine

Je jouis à nouveau, épuisée !

Sarah avança en remettant ses nichons dans ses balconnets de ficelles. Ses tétons pintaient outrageusement.

Reprenant mon souffle, je me rhabillai mais en enfilant une minijupe de cuir, des hauts talons et un bustier noir me laissant les épaules et les bras nus et faisant pigeonner mes seins.

 

J’étai en tenue pour la suite !

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Mercredi 15 juin 3 15 /06 /Juin 20:22

Après une longue interuption, j'ai enfin pu degager un peu de temps pour écrire la suite de "La punition de Sarah", une des histoires les plus populaires du blog.

 

La punition sur les parties intimes "coupables" de notre belle rouquine continue de se préparer . . . 

 

N'hésitez pas à relire l'histoire depuis le début, car le chapitre 18 reprends pile à la suite du 17 sans résumé!

 

2009 hooking up 001[1]

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Vendredi 7 juin 5 07 /06 /Juin 17:09

Chapitre 17: Sonia met Sarah en « condition »:

 

Sonia sourit.

 

« Et bien pour cela, il va falloir convaincre Madame La Directrice de ta totale obéissance ! »

 

« Oui madame ! »

 

« Allez, je vais te rendre service . . . », lâcha t-elle.

 

« Oh merci, madame ! », s’exclama Sarah.

 

« Evidemment le B.A.B.A est d’enfin porter la tenue réglementaire de l’école . . .  et donc les sous-vêtements réglementaires ! »

 

«Mais . . . Je les ai laissé chez moi ! », soupira Sarah.

 

Sonia se dirigea vers son bureau, ouvrit un tiroir et sorti un soutien-gorge et un slip.

 

« Tiens, je les ai confisqués . . . ils ne sont pas à ta taille, mais c’est mieux que rien ! »

 

Sarah ne s’interrogea pas sur le fait que l’infirmière ait pu confisquer les sous-vêtements d’une élève. Elle se leva et les pris en main.

 

Elle enfila d’abord le slip.

 

Effectivement ; il était une taille en dessous ! Le petit triangle ne lui cachait que les grandes lèvres et le clitoris. Le reste de la motte débordait de façon obscène. La ficelle s’enfonçait entre ses fesses et s’y perdait.

 

Elle enfila ensuite le soutien-gorge. Ses seins volumineux entrèrent difficilement et se retrouvèrent complètement compressés par le jeu de ficelles. Les tétons et les mamelons roses comprimés ressortaient de façon vulgaire et . . . fort excitante !

 

« C’est un peu court, mais ça te va très bien ! », persifla Lin-Yi.

 

Sarah se dirigeai vers ses vêtements pour se rhabiller.

 

« Tu as maintenant la tenue réglementaire, mais je doute que cela soit suffisant pour convaincre Mme Marx de revenir sur sa punition ! », lâcha Sonia en souriant.

 

Sarah s’arrêta net.

 

«Après tout, il n’y a rien de bien extraordinaire à respecter le règlement ! »

 

«Et que dois-je faire, madame ? », demanda Sarah, implorante.

 

« Pour Madame Marx, la qualité essentielle d’une jeune fille bien éduquée est l’obéissance, à ses parents, ses enseignants, son mari . . . C’est ainsi qu’elle a été éduquée : à son époque, les jeunes filles punies devaient en guise de soumission de déshabiller devant leur camarades de classe, bien plier leurs vêtements et se rendre en sous-vêtements dans le bureau du Directeur et prendre la position de soumission réglementaire pour recevoir leur punition ! Une fois punies, elles retournaient dans cette même tenue dans leur classe et se rhabillaient, seulement après être restée dans cette tenue au coin, main sur la tête pendant le reste du cours le plus souvent»

 

C’était la stricte vérité . . . . Sauf que les jeunes filles de l’époque portaient des culottes enveloppantes de gros coton blancs et des soutiens-gorge à l’avenant ! Sonia se garda bien de le préciser !

 

Sarah était devenue livide.

 

« Et vous pensez que si je fais cela . . . » 

 

«Cela devrait la mettre dans d’excellentes dispositions de voir qu’une jeune fille est prête à subir la rigueur d’une vraie discipline ! », conclu Sonia.

 

La respiration de la rouquine était oppressée.

 

Les idées se bousculaient visiblement dans sa tête.

 

« Alors, il faut que je me rhabille, que je retourne dans ma classe, que je me déshabille et aille dans le bureau de Madame La Directrice ! », demanda t-elle.

 

Sonia éclata de rire.

 

« Non, je crois, que tu peux partir d’ici ! Si tu avais été déjà dans ta classe, cela aurai été différent ! »

 

Sarah sembla soulagée.

 

Elle remit ses souliers vernis.

 

« Tu es parfaite ! », constata Sonia. «Et n’oubli pas de prendre la pose réglementaire devant la directrice ! »

 

« Mais . . . je ne la connais pas Madame ! »

 

« Tu te déshabille, tu t-agenouille, pose tes mains au sol, cambre tes hanches au maximum en écartant tes cuisses et en projetant ton buste en avant . . . le but de cette position est d’offrir chaque portion de ton corps à la punition discrétionnaire de la Directrice : fesses, cuisses, chatte, seins, dos, etc. »

 

La mâchoire de Sarah se mit à trembler.

 

« Mais, Madame . . . . C’est . . . . »

 

Sonia en rajouta encore.

 

« Et tu prononce la phrase rituelle : la mauvaise fille que je suis vous remercie de la punir comme vous le jugez nécessaire Madame La Directrice !»

 

Sarah déglutit.

 

Mais elle était prête à tout pour échapper au pire !

 

«  . . . Et vous pourriez m’accompagner Madame, pour essayer de conduire Mme Marx à plus de clémence», questionna t-elle.

 

« Mais oui, ma jolie !  . . . Et Lin-Yi aussi ! Si la punition est trop dure, elle pourra t-aider à la supporter pour ne pas que s’en rajoute de nouvelles . . . »

 

« Je ne voudrais pas m’imposer et gêner Sarah . . . . », minauda l’asiatique avec perfidie.

 

« Non . . . Je vous en prie . . . venez toutes les 2 . . . si j’ai du mal à subir la punition, il faut me forcer, pour qu’elle soit la plus courte possible . . . je n’en peux plus ! », supplia la jeune fille.

 

Sonia prit la direction de la porte.

 

Sarah la suivit et sortit.

 

Sonia regarda une énième fois l’horloge en souriant.

 

Elle me fit signe pouce en l’air.

 

Lin-Yi sortit à son tour.

 

C’est alors que la sonnerie retentit.

 

Et je compris : Sonia avait parfaitement calculé son « timing » pour faire sortir Sarah au moment de l’intercours !

 

J’eu mon dernier orgasme et basculait sur la caméra du couloir !

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Lundi 28 mai 1 28 /05 /Mai 20:13

Chapitre 16 : Sonia teste l’élasticité du vagin de Sarah :

 

« Oh non, Madame, je vous en supplie ! », supplia Sarah en se remettant à pleurnicher.

 

La petite dinde avait retrouvé sa voix !

 

« Il le faut bien ma jolie ! . . . Mme La Directrice a été très claire : je dois te faire un examen médical complet pour vérifier que tu es apte à subir une punition qui s’annonce très douloureuse et humiliante . . . à la hauteur de tes écarts de conduites ! . . . C’est d’ailleurs une chance pour toi de peut-être y échapper partiellement si je constate une contre-indication ! », sermonna la sculpturale Sonia.

 

Sarah, peut-être peu convaincue par la dernière affirmation, se mit à pleurer franchement.

 

« Bon, j’espère que tu va arrêter tes enfantillages et de prêter à l’examen de bonne grâce ou je vais devoir en référer à Mme La Directrice . . . qui avisera ! », conclu Sonia.

 

Sarah se contraignit à arrêter de pleurer.

 

« Oui, madame . . . Je suis à votre disposition ».

 

« Bien ! », s’exclama Sonia, en la saisissant par le bras et en la traînant jusqu’à un appareillage étrange.

 

Sur un gros pied métallique était fixé une sorte de siège également métallique en forme de corps humain. On reconnaissait distinctement la forme du tronc, des bras et des jambes.

 

Sonia indiqua à Sarah de s’allonger sur le « siège ».

 

La peur visiblement au ventre, la jeune fille s’exécuta.

 

Une fois allongés, Sonia boucla des attaches aux chevilles et aux poignets.

 

Sarah était livide de terreur.

 

Sonia tourna alors une manivelle et les « jambes » du siège se mirent à s’écarter, écartant par la même les jambes de Sarah.

 

Ces dernières remontèrent de plus en plus haut jusqu’à se retrouver à la perpendiculaire du torse de la jeune fille !

 

Sarah grimaça et hurla de douleur.

 

Sonia tourna une seconde manivelle et c’est les bras de Sarah qui se mirent à remonter jusqu’à se retrouver dans l’alignement du torse, ce qui eu pour effet, voulu, de soulever les seins plantureux de la jeune fille.

 

Sonia tourna une troisième manivelle et le siège se mit à basculer à 45°, mettant Sarah dans une position idéale pour son examen.

 

Sonia enfila une nouvelle paire de gants en latex blancs et se plaça entre les cuisses de l’adolescente.

 

Elle écarta ses grandes lèvres et dégagea complètement son clitoris.

 

« Et bien, tu as des lèvres sacrément grosses ! . . . Et un clitoris à l’avenant ! Cela ne m’étonne pas que tu sois aussi sensible ! »

 

Sarah couina de honte.

 

Lin-Yi s’approcha.

 

« Mon Dieu ! », s’exclama-t-elle. « Pardonnez-moi, Madame, mais dans mon pays, on considère que les jeunes filles qui ont des chattes avec de tels attributs sont des jouisseuses et des salopes par nature ! »

 

« Oh non, ce n’est pas vrai ! », s’exclama Sarah.

 

Sonia prit le clitoris de l’adolescente entre 2 doigts. Il était aussi gros que la phalange d’un pouce !

 

« Ah bon ! », s’exclama l’infirmière. « Et comment traite-t-on leur cas dans ton pays ? »

 

« Avant la révolution, elles devenaient des concubines princières ou on les envoyait dans des bordels à soldats. Depuis la révolution, on les éduque avec la plus extrême rigueur afin  de les maintenir dans le droit chemin ! »

 

Sonia fit pénétrer 2 doigts dans le vagin de Sarah.

 

« Oh non . . . Madame, je vous en prie . . . », supplia-t-elle.

 

Sonia releva la tête, visiblement surprise.

 

« Et bien Lin-Yi, je crois que tu ne te trompais pas tout à l’heure . . . les parents de cette demoiselle auraient mieux fait de la placer dans un bordel plutôt qu’à notre école ! . . . elle n’est plus vierge ! »

 

« Oh la salope ! », s’exclama la jeune asiatique.

 

« Alors, tu t’es fait gamahucher à quel âge petite garce ? », questionna Sonia.

 

Sarah éclata en sanglots.

 

« Jamais Madame ! . . . C’est un accident !. . . . Je jouais avec une bougie . . . « 

 

« Tu te mettais une bougie dans la chatte ! . . . de mieux en mieux ! . . . Et tu fais de telles manières lorsque tu te fais punir  . . . Madame La Directrice va apprécier ! »

 

Tout en parlant, l’infirmière tournait ses doigts dans le conduit de la jeune fille, qui commençait à lubrifier sérieusement.

 

Elle les retira et saisit un spéculum d’environ 20 centimètre de long, pour un de large.

 

Elle l’enfonça dans la chatte de Sarah.

 

L’engin pénétra comme dans une motte de beurre fraiche !

 

Plus d’une bougie avait déjà du passer dans cette chatte !

 

Une fois enfoncé, Sonia se mit à tourner la molette du spéculum pour l’écarter.

 

Peu à peu, Sarah se mit à gigoter, puis à grimacer et enfin à hurler.

 

Sonia regarda son appareil.

 

«5 centimètres ! . . . Pas mal pour une péronnelle de 17 ans ! »

 

Elle revissa la molette du spéculum et le retira, puis remit les jambes et les bras du siège en place et libéra l’adolescente.

 

Toute courbaturée, celle-ci descendit à grand peine.

 

« Et bien tu es en parfait état pour subir ta punition ! . . . Et comme tu n’es plus vierge, Madame La Directrice ne sera pas gênée ! », conclu Sonia.

 

Sarah tomba au sol et s’agenouilla devant elle en éclatant en sanglots.

 

« Oh pitié Madame ! . . . Je ne le supporterai pas  . . . d’être à nouveau punie . . . »

 

« Allons, un peu de tenue ! Mme Marx a promis de laisser tes fesses tranquilles . . . . C’est un mauvais moment à passer. Soit courageuse ! Et obéissante ! Et elle te renverra vite à tes chères études ! »

 

«Mais, elle a promis de me punir par ou j’ai péché . . . et devant les garçons de l’école des garçons ! », hurla Sarah

 

Lin-Yi éclata de rire.

 

« Voilà qui est assez mortifiant ! », releva la jeune fille. « Je connais quelques amis qui vont bien s’amuser ! »

 

« Conseillez-moi, Madame, je vous en prie . . . je suis prête à tout pour éviter cette punition ! »

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