Chapitre 8 : Initiation PonyGirl
Il était deux heures de l'après midi. J'avais passé environ trois heures à nettoyer, astiquer, ranger ... alors que Stéphanie avait pris le temps de lézarder
au soleil, se faire un bon petit repas et une sieste sur un transat. Pour me féliciter de mon travail, elle m'ôta ses horribles chaînes d'esclave et me fit allonger sur une couverture au pieds
des transats, de manière très douce elle me badigeonnât le corps de crème solaire pour éviter que ma peau brûle sous ce beau soleil d'été. Je lui rendis ses gestes à mon tour. Cette situation
nous excitait terriblement toutes les deux. Je ne sais pas pourquoi mais je ressentais l'envie de lui donner du plaisir malgré tout ce qu'elle me faisait subir. Nous nous caressions
sensuellement, elle m'embrassa fougueusement et sa langue mêlée à la mienne me procurait un sentiment des plus agréables. Nos caresses se faisaient plus précises, elle me malaxait les seins,
me tirant légèrement les tétons gonflés de plaisir alors que mes mains fouillaient son intimité. Son sexe était humide de plaisir, je m'attardais sur son clitoris avant d'introduire un
doigt puis deux dans son sexe. Son corps trahissait son plaisir par des petites saccades. Malgré le plaisir que lui procuraient mes mains elle les repoussa et me dit :
- Je veux que tu me fasses jouir avec ta langue comme tu sais si bien le faire.
Elle plaça ses genoux de chaque coté de ma tête, je pouvais ainsi jouer avec son clitoris et ma langue. Mes mains écartaient ses lèvres intimes pour le dégager.
Pendant se temps elle me malaxait la poitrine alternant caresses et pincements. Elle ne tardât pas à jouir tout en s'effondrant sur moi. Une fois qu'elle reprit ses esprits elle s'installa entre
mes jambes pour me rendre mes caresses. Elle me léchait le clitoris tout en me branlant avec deux doigts. Mais elle retira ses doigts pour les présenter devant mon petit trou. Elle continuait son
cunnilingus mais commença à introduire un doigt dans mon étroit orifice. Le plaisir que me procurait sa langue fit que je n'eu même pas envie de lui refuser cette acte si inhabituel pour moi.
Elle commençait des mouvements de va et vient et je ressentais déjà le plaisir se décupler. Je n'aurais jamais cru pouvoir ressentir autant de plaisir dans la sodomie. Quand elle sentit que
j'étais prête, elle introduisit un deuxième doigt, qui me fit ressentir un petit peu plus de douleur. Etrangement cette douleur m'excitait encore plus. C'est au bout de quelques minutes que je
m’abandonnai à un orgasme d'une terrible intensité.
Nous sommes restées de longues minutes collées l'une contre l'autre, récupérant de cette intense jouissance. Après un fougueux baiser qui signifiait la fin de nos
jeux lesbiens, elle me rééquipa de mes habituelles chaînes alors qu'elle enfila un petit short, un débardeur et une paire de tong. Elle me dit :
- Maintenant nous allons nous entraîner pour la surprise que j'ai prévu pour Caroline. Reste à genoux sur la serviette je reviens.
Je l'attendis donc dans cette position, je n'étais pas très rassurée, qu'avait elle encore prévue pour moi ?
Elle revint quelques minutes plus tard munie de différent objets quels posa sur le transat. Elle commença par me libérer de mes entraves pour me faire enfiler les
insupportables gants de bras. Je ressentais encore dans mes épaules la douleur du voyage. Ensuite elle me bâillonnât à l'aide d'un bâillon boule. Mais ce n'était pas fini, elle me fit
asseoir sur le transat puis me présenta une sorte de sabot de cheval surmonté d’une petite semelle en métal. C'était une sorte de chaussure à semelle compensée mais sans talon. Elle me dit
:
- Moi non plus je ne connaissais pas, c'est fou tous les objets inimaginable qu'a Caroline. Mais avec ça tu vas vraiment rentrer dans le personnage.
Elle se mit à rire.
A quel personnage voulait elle que je ressemble ? Elle saisit mon pied droit et enfila l'étrange accessoire. Elle le bloqua ensuite à ma
cheville avec un bracelet en cuir fermé par un petit cadenas. C’était relativement lourd mais ca avait l'air au moins aussi stable que les talons aiguilles que me faisait
porter Maîtresse Caroline. Elle fit de même avec mon pied gauche pour enfin me faire relever. Je n'étais pas vraiment à l'aise surtout que si jamais je chutais je ne pouvais pas me
retenir de mes mains.
-Allez la petite touche finale et tu seras prête.
La "touche finale" était en fait une sorte d'harnais qui entourait mes seins, passait par mon entrejambe et était fermé autour de mon coup. Mais à l'entrejambe il y
avait un petit plug anal fini par une longue queue de cheval. L'instrument qui était rentré en moi sans difficulté était plutôt fin donc pas très douloureux mais gênant.
Une fois complètement équipée elle admira son travail et d'un air très satisfait se félicita. Elle me fit un peu avancer et prit plusieurs photos avec un
appareil numérique que je ne l'avais pas vu apporter.
Les différents clichés faits, elle m'expliqua se qu'elle attendait de moi :
- Tu dois sûrement te demander pourquoi je t'ai accoutrée ainsi.
Je fais un signe de tête pour dire oui.
-Et bien parce que j'ai promis à ta Maîtresse que j'apporterai une touche personnelle à ton dressage. Et après m'etre un peu renseigné sur le Web j'ai
découvert plusieurs photos de pony grils, et ça m'a fascinée. Je dois dire que je n'ai pas plus d'expérience dans ce domaine que toi mais nous allons apprendre !! Allez suis moi j'ai préparé un
terrain d'entraînement derrière la ferme.
Elle fixa une corde à mon collier à l'aide d'un crochet et me conduisit jusqu'au "manège". Mes premiers pas étaient difficiles car j'appréhendais beaucoup de
tomber. Je fixais mes pieds pour voir où je les posais. Le point positif c'est que j'oubliais temporairement l'objet planté en moi.
- Et bien tu ne t'en sors pas si mal, mais tu vas voir tu vas prendre de l'expérience.
Enfin nous sommes arrivées, cela ressemblait vraiment à un manège pour entraîner les chevaux : je pense d'ailleurs que c'est Maîtresse Caroline qui avait fait
construire ça et non Stéphanie.
Stéphanie se plaça au centre et lâcha du mou sur la longe pour que je puisse commencer à tourner. Elle me fit faire un premier tour sans rien me dire puis me fit
arrêter et alla saisir un fouet qui était entouré sur la barrière.
- Il va falloir que tu écoutes attentivement et que tu t'appliques. Je pense que ceci va t'aider.
Elle fini claquer la lanière dans l'air. Je commençais à frémir.
- Je veux que tu arrêtes de regarder tes pieds. Lève la tête et regarde droit devant toi. Allez, on recommence.
Je me remis à avancer en essayant de regarder au maximum devant moi. Mais à chaque fois que je me sentais déséquilibrée je regardais le sol. Ce qui lui déplu
terriblement car elle fit claquer la lanière mais sur le bas de mes fesses cette fois. La douleur fut terrible mais elle eut l'effet escompté car je fis plusieurs tours qui satisfirent ma
Dresseuse.
- Bon c'est très bien pour le regard, maintenant lève plus les genoux quand tu avances une jambe.
Je m'exécutais redoutant qu'elle ne me fouette à nouveau. Mais c’est ce qu'elle fit quand même a chaque fois qu'elle sentait que je fatiguais et que je levais
moins les genoux. En plus l'objet enfoncé dans mon anus se faisait à chaque fois ressentir quand je levais la jambe car ça tendait le harnais.
Au bout de plus d'une heure d'exercices, je commençais à être très fatiguée et mes fesses et mes cuisses me brûlaient terriblement à cause du fouet. Quand elle
sentit que je n'en pouvais plus elle me fit arrêter me fit m'agenouiller devant un abreuvoir, m'ôta mon bâillon et me fit boire en lapant l'eau.
Elle passa ses mains sur les marques rouges du fouet, ce qui me fit sursauter.
- Tu vois si tu n'es pas très attentive ce qui arrive ?
- Oui Maîtresse - lui répondis je pour lui faire plaisir.
Quand j'eu fini de boire elle me conduisit dans l'étable collée a la ferme. Elle ouvrit un boxe dont le sol était jonché de paille. Elle me fit m'allonger par
terre reliant mon collier à un anneau fixé dans le mur et relia mes chevilles. Elle sorti du box, referma la porte. Elle me dit :
- Allez repose toi, ta Maîtresse rentre se soir normalement.
Elle me laissa la, sans avoir pris la peine de m'ôter mon "déguisement". Je ne me suis pas vraiment endormi mais je me suis bien reposée, de toute façon je ne
pouvais pas faire grand chose d'autre.
Vers, à mon avis 19h-19h30, j'entendis un bruit de voiture. Puis une discussion entre les deux femmes. Quand soudain Maîtresse Stéphanie vint ouvrir la porte du
box. Elle avait l'air toute excitée, si enthousiaste de me présenter à Maîtresse Caroline. Elle me détacha puis me fit me lever, me replaça le bâillon boule dans la bouche et me frotta
le corps pour enlever les brindilles de pailles. Ensuite elle fixa une laisse à mon collier et me murmura à l'oreille :
- Tu as intérêts à être une bonne jument si tu ne veux pas subir une petite séance de fouet.
Elle me montra comme pour me menacer un plus petit fouet que celui qu'elle avait utilisée tout a l'heure mais qui avait l'air tout aussi dangereux.
Je fis donc un signe de la tête pour lui dire que j'avais bien compris. Elle tira sur ma laisse pour me faire avancer, je m'appliquais à garder la tête haute et à
monter les genoux. Quand Maîtresse Caroline me vu, elle jubila :
- C'est pas vrai, tu l'as fait. Haha haha
- Et oui je t'avais promis ma petite touche personnelle.
- Vas y fait la un peu marcher !
Elle s'adressait à ma Dresseuse comme si je ne comprenais pas. Elle me fit donc faire quelque pas pour admirer leur nouveau "jouet".
- Et bien je suis très contente de toi Stéphanie, tu as vraiment fait du bon boulot.
- Merci Caroline, ça m'a vraiment beaucoup amusée. Allez, on a qu'a rentrer maintenant, je t'ai préparé à manger.
- Bonne idée je meurs de faim. Tu vas voir j'ai une idée, on va se faire servir par notre jument.
Quand elles étaient toutes les deux, elles ne me portaient plus aucune attention. Je redevenais la servante à qui on ne s'adresse pas.
A l'intérieur le bruit de mes sabots ressemblait vraiment à un bruit de cheval qui se déplace. Pour que je fasse le service et comme mes mains étaient prisonnières,
Maîtresse Sophie me fixa le plateau pincé sur les seins et accroché autour du coup. Les pinces me mordaient terriblement la chair tellement elles serraient fort. Maîtresse Sophie prit place
à la table du salon alors que Maîtresse Stéphanie me conduisit à la cuisine ou elle déposa un premier plat sur mon plateau. Le poids amplifiait la douleur sur mes tétons. Je n'avais peur que
d’une chose : que ça lâche d'un coup, mais je pu terminer d'apporter une par une chaque assiette.
Je dus rester debout toute la durée de leur repas écoutant le récit de tout ce que Maîtresse Stéphanie m'avait fait subir. Maîtresse Sophie la félicita. Cette
dernière me regarda et me dit :
- Je dois dire que le récit de Stéphanie m'a plutôt excitée. Viens par ici et a genoux.
Je m'avançai vers elle et je m’agenouillai maladroitement à cause des sabots. Elle me tritura les mamelons et m'ôta le bâillon. Elle força l'entrée de ma
bouche avec sa langue et m'embrassa goulûment. Puis elle se leva et fit glisser sa jupe et sa culotte.
- Fait moi jouir !! Me dit-elle.
Elle maintenait ma tête à l'intérieur de ses jambes. Je m’appliquais rigoureusement malgré ma douleur au cou et l'odeur forte qui émanait de son sexe. Il ne lui
fallut pas longtemps pour quel jouisse et heureusement pour moi car j'avais l'impression qu’elle allait me briser le cou à appuyer comme ça. Une fois ses râles de plaisir terminés elle dit à
Stéphanie :
- C'est bon, elle peut débarrasser.
Maîtresse Stéphanie me libéra les bras, mes épaules étaient très endolories mais je dus débarrasser la table. Ensuite elle me reconduisit dans le box ou elle était
venue me chercher. Mais je sentais une envie pressente de mes faire mes besoins et lui demanda :
- Oui bien sur tu n'as qu’à faire pipi devant, dans la pelouse.
Je crois que c'était ce que je détestais le plus, faire ça dehors devant elle. Mais j'avais très envie et ne pouvais me retenir. Une fois terminé elle enchaîna ma
cheville aux murs de ma "nouvelle chambre" et me fit quitter mes sabots et le harnais. J'étais soulagé, mon intimité état libéré. Ensuite elle me jeta une vulgaire couverture et
m'abandonna ici.
Je devais passer la nuit ici. Ca n'allait pas être très agréable car la paille me grattait énormément.