Le dressage de Sophie, par Alexis

Samedi 4 mai 6 04 /05 /Mai 11:01

Fidèles lecteurs et lectrices, vous venez de lire le dernier chapitre écrit à ce jour de cette histoire. Je suis d'accord, c'est une belle mise en bouche . . . mais qui mériterait d'être continuée! J'essayerai de m'y appliquer, mais j'ai déjà lancé tellement de choses sur ce site et ailleurs que je ne peux garantir de délais! Si vous vous sentez une âme d'écrivain, n'hésitez pas à m'envoyer vos propositions de suites!

 

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Samedi 4 mai 6 04 /05 /Mai 10:53

Chapitre 8 : Initiation PonyGirl

 

Il était deux heures de l'après midi. J'avais passé environ trois heures à nettoyer, astiquer, ranger ... alors que Stéphanie avait pris le temps de lézarder au soleil, se faire un bon petit repas et une sieste sur un transat. Pour me féliciter de mon travail, elle m'ôta ses horribles chaînes d'esclave et me fit allonger sur une couverture au pieds des transats, de manière très douce elle me badigeonnât le corps de crème solaire pour éviter que ma peau brûle sous ce beau soleil d'été. Je lui rendis ses gestes à mon tour. Cette situation nous excitait terriblement toutes les deux. Je ne sais pas pourquoi mais je ressentais l'envie de lui donner du plaisir malgré tout ce qu'elle me faisait subir. Nous nous caressions sensuellement, elle m'embrassa fougueusement et sa langue mêlée à la mienne me procurait un sentiment des plus agréables. Nos caresses se faisaient plus précises, elle me malaxait les seins, me tirant légèrement les tétons gonflés de plaisir alors que mes mains fouillaient son intimité. Son sexe était humide de plaisir, je m'attardais sur son clitoris avant d'introduire un doigt puis deux dans son sexe. Son corps trahissait son plaisir par des petites saccades. Malgré le plaisir que lui procuraient mes mains elle les repoussa et me dit :

- Je veux que tu me fasses jouir avec ta langue comme tu sais si bien le faire.

Elle plaça ses genoux de chaque coté de ma tête, je pouvais ainsi jouer avec son clitoris et ma langue. Mes mains écartaient ses lèvres intimes pour le dégager. Pendant se temps elle me malaxait la poitrine alternant caresses et pincements. Elle ne tardât pas à jouir tout en s'effondrant sur moi. Une fois qu'elle reprit ses esprits elle s'installa entre mes jambes pour me rendre mes caresses. Elle me léchait le clitoris tout en me branlant avec deux doigts. Mais elle retira ses doigts pour les présenter devant mon petit trou. Elle continuait son cunnilingus mais commença à introduire un doigt dans mon étroit orifice. Le plaisir que me procurait sa langue fit que je n'eu même pas envie de lui refuser cette acte si inhabituel pour moi. Elle commençait des mouvements de va et vient et je ressentais déjà le plaisir se décupler. Je n'aurais jamais cru pouvoir ressentir autant de plaisir dans la sodomie. Quand elle sentit que j'étais prête, elle introduisit un deuxième doigt, qui me fit ressentir un petit peu plus de douleur. Etrangement cette douleur m'excitait encore plus. C'est au bout de quelques minutes que je m’abandonnai à un orgasme d'une terrible intensité.

Nous sommes restées de longues minutes collées l'une contre l'autre, récupérant de cette intense jouissance. Après un fougueux baiser qui signifiait la fin de nos jeux lesbiens, elle me rééquipa de mes habituelles chaînes alors qu'elle enfila un petit short, un débardeur et une paire de tong. Elle me dit :

- Maintenant nous allons nous entraîner pour la surprise que j'ai prévu pour Caroline. Reste à genoux sur la serviette je reviens.

Je l'attendis donc dans cette position, je n'étais pas très rassurée, qu'avait elle encore prévue pour moi ?

Elle revint quelques minutes plus tard munie de différent objets quels posa sur le transat. Elle commença par me libérer de mes entraves pour me faire enfiler les insupportables gants de bras. Je ressentais encore dans mes épaules la douleur du voyage. Ensuite elle me bâillonnât à l'aide d'un bâillon boule. Mais ce n'était pas fini, elle me fit asseoir sur le transat puis me présenta une sorte de sabot de cheval surmonté d’une petite semelle en métal. C'était une sorte de chaussure à semelle compensée mais sans talon. Elle me dit :

- Moi non plus je ne connaissais pas, c'est fou tous les objets inimaginable qu'a Caroline. Mais avec ça tu vas vraiment rentrer dans le personnage.

Elle se mit à rire.

A quel personnage voulait elle que je ressemble ? Elle saisit mon pied droit et enfila l'étrange accessoire. Elle le bloqua ensuite à ma cheville avec un bracelet en cuir fermé par un petit cadenas. C’était relativement lourd mais ca avait l'air au moins aussi stable que les talons aiguilles que me faisait porter Maîtresse Caroline. Elle fit de même avec mon pied gauche pour enfin me faire relever. Je n'étais pas vraiment à l'aise surtout que si jamais je chutais je ne pouvais pas me retenir de mes mains.

-Allez la petite touche finale et tu seras prête.

La "touche finale" était en fait une sorte d'harnais qui entourait mes seins, passait par mon entrejambe et était fermé autour de mon coup. Mais à l'entrejambe il y avait un petit plug anal fini par une longue queue de cheval. L'instrument qui était rentré en moi sans difficulté était plutôt fin donc pas très douloureux mais gênant.

Une fois complètement équipée elle admira son travail et d'un air très satisfait se félicita. Elle me fit un peu avancer et prit plusieurs photos avec un appareil numérique que je ne l'avais pas vu apporter.

Les différents clichés faits, elle m'expliqua se qu'elle attendait de moi :

- Tu dois sûrement te demander pourquoi je t'ai accoutrée ainsi.

Je fais un signe de tête pour dire oui.

-Et bien parce que j'ai promis à ta Maîtresse que j'apporterai une touche personnelle à ton dressage. Et après m'etre un peu renseigné sur le Web j'ai découvert plusieurs photos de pony grils, et ça m'a fascinée. Je dois dire que je n'ai pas plus d'expérience dans ce domaine que toi mais nous allons apprendre !! Allez suis moi j'ai préparé un terrain d'entraînement derrière la ferme.

Elle fixa une corde à mon collier à l'aide d'un crochet et me conduisit jusqu'au "manège". Mes premiers pas étaient difficiles car j'appréhendais beaucoup de tomber. Je fixais mes pieds pour voir où je les posais. Le point positif c'est que j'oubliais temporairement l'objet planté en moi.

- Et bien tu ne t'en sors pas si mal, mais tu vas voir tu vas prendre de l'expérience.

Enfin nous sommes arrivées, cela ressemblait vraiment à un manège pour entraîner les chevaux : je pense d'ailleurs que c'est Maîtresse Caroline qui avait fait construire ça et non Stéphanie.

Stéphanie se plaça au centre et lâcha du mou sur la longe pour que je puisse commencer à tourner. Elle me fit faire un premier tour sans rien me dire puis me fit arrêter et alla saisir un fouet qui était entouré sur la barrière.

- Il va falloir que tu écoutes attentivement et que tu t'appliques. Je pense que ceci va t'aider.

Elle fini claquer la lanière dans l'air. Je commençais à frémir.

- Je veux que tu arrêtes de regarder tes pieds. Lève la tête et regarde droit devant toi. Allez, on recommence.

Je me remis à avancer en essayant de regarder au maximum devant moi. Mais à chaque fois que je me sentais déséquilibrée je regardais le sol. Ce qui lui déplu terriblement car elle fit claquer la lanière mais sur le bas de mes fesses cette fois. La douleur fut terrible mais elle eut l'effet escompté car je fis plusieurs tours qui satisfirent ma Dresseuse.

- Bon c'est très bien pour le regard, maintenant lève plus les genoux quand tu avances une jambe.

Je m'exécutais redoutant qu'elle ne me fouette à nouveau. Mais c’est ce qu'elle fit quand même a chaque fois qu'elle sentait que je fatiguais et que je levais moins les genoux. En plus l'objet enfoncé dans mon anus se faisait à chaque fois ressentir quand je levais la jambe car ça tendait le harnais.

Au bout de plus d'une heure d'exercices, je commençais à être très fatiguée et mes fesses et mes cuisses me brûlaient terriblement à cause du fouet. Quand elle sentit que je n'en pouvais plus elle me fit arrêter me fit m'agenouiller devant un abreuvoir, m'ôta mon bâillon et me fit boire en lapant l'eau.

Elle passa ses mains sur les marques rouges du fouet, ce qui me fit sursauter.

- Tu vois si tu n'es pas très attentive ce qui arrive ?

- Oui Maîtresse - lui répondis je pour lui faire plaisir.

Quand j'eu fini de boire elle me conduisit dans l'étable collée a la ferme. Elle ouvrit un boxe dont le sol était jonché de paille. Elle me fit m'allonger par terre reliant mon collier à un anneau fixé dans le mur et relia mes chevilles. Elle sorti du box, referma la porte. Elle me dit :

- Allez repose toi, ta Maîtresse rentre se soir normalement.

Elle me laissa la, sans avoir pris la peine de m'ôter mon "déguisement". Je ne me suis pas vraiment endormi mais je me suis bien reposée, de toute façon je ne pouvais pas faire grand chose d'autre.

Vers, à mon avis 19h-19h30, j'entendis un bruit de voiture. Puis une discussion entre les deux femmes. Quand soudain Maîtresse Stéphanie vint ouvrir la porte du box. Elle avait l'air toute excitée, si enthousiaste de me présenter à Maîtresse Caroline. Elle me détacha puis me fit me lever, me replaça le bâillon boule dans la bouche et me frotta le corps pour enlever les brindilles de pailles. Ensuite elle fixa une laisse à mon collier et me murmura à l'oreille :

- Tu as intérêts à être une bonne jument si tu ne veux pas subir une petite séance de fouet.

Elle me montra comme pour me menacer un plus petit fouet que celui qu'elle avait utilisée tout a l'heure mais qui avait l'air tout aussi dangereux.

Je fis donc un signe de la tête pour lui dire que j'avais bien compris. Elle tira sur ma laisse pour me faire avancer, je m'appliquais à garder la tête haute et à monter les genoux. Quand Maîtresse Caroline me vu, elle jubila :

- C'est pas vrai, tu l'as fait. Haha haha

- Et oui je t'avais promis ma petite touche personnelle.

- Vas y fait la un peu marcher !

Elle s'adressait à ma Dresseuse comme si je ne comprenais pas. Elle me fit donc faire quelque pas pour admirer leur nouveau "jouet".

- Et bien je suis très contente de toi Stéphanie, tu as vraiment fait du bon boulot.

- Merci Caroline, ça m'a vraiment beaucoup amusée. Allez, on a qu'a rentrer maintenant, je t'ai préparé à manger.

- Bonne idée je meurs de faim. Tu vas voir j'ai une idée, on va se faire servir par notre jument.

Quand elles étaient toutes les deux, elles ne me portaient plus aucune attention. Je redevenais la servante à qui on ne s'adresse pas.

A l'intérieur le bruit de mes sabots ressemblait vraiment à un bruit de cheval qui se déplace. Pour que je fasse le service et comme mes mains étaient prisonnières, Maîtresse Sophie me fixa le plateau pincé sur les seins et accroché autour du coup. Les pinces me mordaient terriblement la chair tellement elles serraient fort. Maîtresse Sophie prit place à la table du salon alors que Maîtresse Stéphanie me conduisit à la cuisine ou elle déposa un premier plat sur mon plateau. Le poids amplifiait la douleur sur mes tétons. Je n'avais peur que d’une chose : que ça lâche d'un coup, mais je pu terminer d'apporter une par une chaque assiette.

Je dus rester debout toute la durée de leur repas écoutant le récit de tout ce que Maîtresse Stéphanie m'avait fait subir. Maîtresse Sophie la félicita. Cette dernière me regarda et me dit :

- Je dois dire que le récit de Stéphanie m'a plutôt excitée. Viens par ici et a genoux.

Je m'avançai vers elle et je m’agenouillai maladroitement à cause des sabots. Elle me tritura les mamelons et m'ôta le bâillon. Elle força l'entrée de ma bouche avec sa langue et m'embrassa goulûment. Puis elle se leva et fit glisser sa jupe et sa culotte.

- Fait moi jouir !! Me dit-elle.

Elle maintenait ma tête à l'intérieur de ses jambes. Je m’appliquais rigoureusement malgré ma douleur au cou et l'odeur forte qui émanait de son sexe. Il ne lui fallut pas longtemps pour quel jouisse et heureusement pour moi car j'avais l'impression qu’elle allait me briser le cou à appuyer comme ça. Une fois ses râles de plaisir terminés elle dit à Stéphanie :

- C'est bon, elle peut débarrasser.

Maîtresse Stéphanie me libéra les bras, mes épaules étaient très endolories mais je dus débarrasser la table. Ensuite elle me reconduisit dans le box ou elle était venue me chercher. Mais je sentais une envie pressente de mes faire mes besoins et lui demanda :

- Oui bien sur tu n'as qu’à  faire pipi devant, dans la pelouse.

Je crois que c'était ce que je détestais le plus, faire ça dehors devant elle. Mais j'avais très envie et ne pouvais me retenir. Une fois terminé elle enchaîna ma cheville aux murs de ma "nouvelle chambre" et me fit quitter mes sabots et le harnais. J'étais soulagé, mon intimité état libéré. Ensuite elle me jeta une vulgaire couverture et m'abandonna ici.

Je devais passer la nuit ici. Ca n'allait pas être très agréable car la paille me grattait énormément.

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Vendredi 8 février 5 08 /02 /Fév 20:52

Chapitre 7 : Première soirée en compagnie de Maîtresse Stéphanie

 

Il était environ 18h quand Maîtresse Caroline quitta la ferme.

Je me retrouvais maintenant seule, encore nue car les deux femmes n'avaient pas trouvé important de me rhabiller. De 18h à environ 20h Stéphanie m'envoya ranger ses affaires et celles de Maîtresse Caroline dans leurs placards respectifs, ensuite je dus faire leurs deux lits, nettoyer un peu la poussière et passer l'aspirateur. Pendant que je m'exécutais elle ne me porta aucune attention, elle m'ignorait totalement. Elle prit une douche changea de tenue s'installa sur la terrasse. Une fois mes activités terminées elle voulut que je lui prépare le dîner. Ce que je fis volontiers pour en profiter pour manger en douce car depuis le début de la journée je n'avais eu droit qu'à une petite collation au réveil. Je lui servis son repas et pendant ce temps je fus invité à rester à genoux à coté de sa chaise, comme quand Maîtresse Caroline prenait son repas. J'avais bien fait de me servir sans sa permission avant elle, car elle ne me proposa pas de manger quelque chose. Elle prit son temps pour finir et vers 21h30 elle me fit débarrasser et laver la vaisselle. Elle pendant se temps, avait rejoint le salon et s'était installée dans un fauteuil pour fumer une cigarette. Ce n'est que je l'ai rejoint après mes taches terminées, qu'elle m'adressa la parole. Elle voulut que je lui raconte en détail ce que m'avait fait subir Maîtresse Caroline depuis que j'étais à son service. C'était vraiment très désagréable de me retrouver dans cette situation debout, complètement nue face à cette fille qui n'était qu'une copine de classe encore hier et qui était devenue ma Maîtresse. Tout au long de mon explication je remarquais que ce que je lui disais l'excitait beaucoup et j'étais d'autant plus mal à l'aise. Cela dura environ trois quarts d'heures car elle n'arrêtait pas de me poser des questions.

Elle me dit enfin :

- Je crois que tu as remarqué que cela m'excitait beaucoup, je ne pensais pas éprouver tant de jouissance face à une telle situation. D'ailleurs je suis moi aussi novice dans le domaine de la domination mais j'ai vraiment envie de me perfectionner. En attendant j'ai envie que tu me donnes du plaisir.

Elle m'avait saisie par le poignet et m'a tirée jusque dans sa chambre, là elle me fit m'allonger sur le ventre. Elle ouvrit un tiroir et en sortit plusieurs bouts de cordes. Elle me dit :

- Je ne suis peut être pas très expérimenté mais Caroline m'a expliquée deux trois trucs.

Elle m'attacha les poignets dans le dos, lia mes chevilles avant de les remonter au niveau de mes fesses pour les attacher aux poignets. Elle passa une corde entre mes cuisses et mes mollets pour que je ne puisse plus déplier mes jambes. Elle venait de m'immobiliser en "hogtied". Je ne pouvais bouger que mon coup. Ensuite elle se déshabilla et vint s'allonger sur le dos, je me retrouvais entre ses jambes, le visage limite collé contre son sexe. Dans la main elle tenait un petit martinet aux lanières de cuir avec lequel elle me menaça si je ne lui donnais pas de plaisir à l'aide ma langue. Ce que je fis aussitôt de crainte d'être fouetté. Ceci ne l'empêcha pas de m'appliquer quelque coup sur le dos et la plante de pieds. Il ne lui fallu pas très longtemps pour jouir. C'était un impressionnant orgasme vu les secousses qui faisaient bouger son corps. Je fus contrainte de recommencer plusieurs fois de suite avant qu'elle ne s'endorme épuisée par la violence de chacun de ses orgasmes. Moi je fus réduite à dormir attachée et malgré la position inconfortable, ce ne fut pas long avant que je m'endorme à mon tour épuisée par cette journée difficile.

Il était environ 9 heures quand Maîtresse Stéphanie me réveilla en me libérant de mes liens. J'étais toute enquilosée et les cordes avaient laissé de grosses traces sur mes membres. Elle me regarda amoureusement et me dit :

- Tu as vraiment été merveilleuse, je n'ai jamais pris autant de plaisir que hier soir.  D'ailleurs pour te remercier je t'autorise à prendre le petit déjeuner avec moi, je sais que Caroline veut que tu ne manges pas à table mais on va faire une exception.

-Merci Maîtresse

Maîtresse Stéphanie enfila une robe de chambre mais moi je n'y eu pas droit, la nudité ne me gênait presque plus et je préférais ne rien porter plutôt que d'être obligé de porter la tenue de soubrette.

Je du préparer le café, mettre le pain, le beurre et la confiture sur la table et je pu enfin m'asseoir à table avec ma Maîtresse J'avais vraiment très faim et n'était pas sur d'avoir le droit de manger à midi. Je dévorais mes tartines quand Maîtresse Stéphanie me dit :

-Et ben, elle ne devait pas te nourrir souvent, je vois que je t'ai fait un beau cadeau et je pense avoir droit à des remerciements.

-Oui Maîtresse, merci beaucoup.

-Je pense avoir droit à plus qu'une simple phrase.

Elle posa ses pieds sur la table et se les badigeonna avec de la confiture. Et me dit :

-Tu as l'air de vraiment aimer ça alors lèche, vas y !

-Mais Maîtresse je n'ai pas fini de manger.

-Ah oui tu refuses et bien . . . si, tu as fini de manger.

-Non Maîtresse, ce n’est pas ce que je voulais dire . . . je vais le faire.

Mon appétit était plus fort que ma fierté, je préférais donc abdiquer. Je m’occupai donc de lui nettoyer les pieds avec ma langue. Je ne sais pas pourquoi mais je voyais que cela l'excitait beaucoup comme à chaque fois. Cette fille ressentait du plaisir à se faire adorer les pieds. Ce petit jeu dura environ 15 minutes avant qu'elle juge que j'avais léché toute la confiture. Je me remis donc immédiatement à dévorer mes tartines avant que Stéphanie me stoppe net et me dise :

-Est ce que je t'ai permis de manger ? Non il ne me semble pas. En plus je n'ai pas aimé le fait que tu ne t’exécutes pas immédiatement quand je t'ai donnée un ordre.

Elle se leva me saisit pas les cheveux et me fit agenouiller par terre.

-Il faut que tu comprennes quand je te dis de faire quelque chose ce n'est pas une proposition. Est ce que tu comprends ça ?

-Oui Maîtresse

-Bien, donc tu veux absolument les manger tes tartines et bien . . . d'accord.

Elle s'empara de mes tartines les jeta par terre et les piétina sauvagement jusqu'à ce qu'elles ne ressemblent plus à rien, écrasées sur le sol.

-C'est bon tu peux maintenant les manger.

Elle me ressaisit les cheveux et m'appuya le visage contre le sol, je sorti ma langue et commença à nettoyer le carrelage. Elle s'était rassise et contemplait le spectacle. Je du recommencer à lui nettoyer les pieds eu fois le sol propre.

-Et bien voila, tu auras prit un bon petit déjeuner, n'est ce pas ?

-Oui Maîtresse

-Bon j'espère que tu as compris. On va aller faire un brin de toilette toutes les deux. Lève toi et va dans la salle de bain je te rejoins.

Que de bonne chose ce matin : un bon déjeuner, une bonne douche.

Je finis de me laver les dents quand Maîtresse Stéphanie me rejoint. Elle posa un sac sur le sol, elle se déshabilla et s'introduisit dans la baignoire, fit couler de l'eau puis me demanda de la frotter et de la masser en même temps. J'étais munie d'une éponge avec laquelle je m'appliquais à la satisfaire le mieux possible en étant la plus doux possible. Elle avait l'air satisfaite. Je me disais que j'étais devenue très docile car je m'appliquais à rendre heureuse ma maîtresse mais ce qui me paraissait le plus bizarre c'est que cela ne m'effrayait pas, je trouvais ça normal. Elle se réserva juste sa toilette intime puis se rinça. Je dus la sécher comme un enfant qui sort du bain puis enfila un peignoir. Elle me dit :

-Je savais que tu avais une langue merveilleuse pour me donner du plaisir mais tu as aussi des mains de fée.

-Merci Maîtresse

-Bien, maintenant c'est à toi, mais toi tu vas dans la douche et pas dans la baignoire.

J'étais un peu déçue par ce qu'elle venait de dire mais je m'exécutais. Elle récupéra le sac qu'elle avait laissé tout a l'heure et en sortit deux bracelet d'entrave qu'elle me fixa autour des poignets reliés par une chaîne qu'elle fixa en hauteur au dessus du pommeau de douche. Elle me fixa une barre d'écartement aux chevilles ce qui lui permettait de disposer de mon intimité sans problème. Et pour finir elle me bâillonna avec le bâillon non pas à boule mais à anneau. J'étais le dos contre le carrelage de la douche. Elle commença par faire couler de l'eau froide, j'étais pétrifiée, je gigotais comme pour essayer d’éviter chaque goutte, mais rien n'y faisait. Ensuite elle alterna chaud et froid, la torture était terrible, j'avais l'impression d'avoir le corps entièrement brûlé. Puis elle ferma les robinets et, munie d'un martinet, elle me fouetta le corps. Aucune partie de la face a sa merci n'était épargnée, l'entre jambe, les cuisses, les seins, le ventre ... Je la suppliais d'arrêter mais aucun mot compréhensible ne sortait de ma bouche a cause du bâillon. Quand elle estima que ma peau était devenue assez rouge elle stoppa les flagellations pour me caresser, d'abord les seins puis le clitoris gonflé par les coups. A ma grande surprise l'excitation et les halètements ne mirent pas longtemps à arriver, mais quand elle vit que j'allais jouir elle stoppa les caresses pour recommencer les "chauds-froids", ce qui me coupa net le plaisir. Et enfin elle recommença les coups de martinets, mais uniquement sur les lèvres de mon sexe. La douleur était immense mais en même temps agréable.

Elle s'amusa plusieurs fois à varier plaisir et douleur pour enfin me faire jouir. Mon plaisir était immense et je me sentais épuisée.

Une fois mes esprits repris elle me savonna énergiquement et me rinça. Elle me libéra de mes liens et me tendis une serviette pour que je me sèche, ce ne fut pas chose facile car mon corps me faisait horriblement mal.

Pour m'humilier un peu plus, je dus faire mes besoins devant elle. Pour seule tenue elle me fixa les chaînes que je portais chez Maîtresse Caroline celles qui reliaient mes poignets, mes chevilles et ma taille.

Ensuite elle me donna une liste de toutes les taches ménagères que je devais faire (en quelques sorte, tout nettoyer !!) ce qui allait bien m'occuper pour plusieurs heures alors qu’elle allait se pavaner.

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Lundi 11 juin 1 11 /06 /Juin 20:14

Chapitre 6 : Aux ordres de 2 maîtresses

 

J'avais enfin compris comment je m'étais retrouvée là et qui était derrière ce complot. Mais ma situation restait inchangée si ce n'est que j'étais devenue l'esclave de deux femmes au lieu d'une.

J'appris le jour même ou Stéphanie nous a rendu visite que nous allions partir toutes les trois pour la maison de campagne de Maîtresse Caroline. Je pensais que j'allais peut être avoir moi aussi un peu de vacances et que je récupérerai quelques libertés. Pour préparer le voyage je dus faire la valise de Maîtresse Caroline. Moi je n'eu pas le loisir de préparer un sac pour moi si ce n'est que joindre une brosse a dent dans sa trousse de toilettes. Elle vérifia tout ce que j'avais prévu et fut satisfaite. Ma tenue pour le voyage fut une petite robe blanche ultra courte, sans sous vêtements et une paire d'escarpins noir a talons vertigineux. C'était la première fois que je portais autre chose que cette tenue de bonne. J'appréciais la robe malgré la vulgarité mais j'avais toujours un peu de mal avec les talons de plus de 10 centimètres.

Une fois que j'eu chargée leurs bagages dans la voiture, Maîtresse Sophie me fit venir dans le salon. Maîtresse Caroline tenait dans sa main le petit plug anal qui lançait des décharges électriques. Horreur, j'avais vraiment un mauvais souvenir de la première fois.  Maîtresse Stéphanie me dit :

- Tu as la chance, tu ne vas pas t'ennuyer pendant le voyage.

- Allez Sophie penche toi en avant, jambes tendues, pose les mains sur la table basse.

Dans cette position et vu la taille de la robe je leur offrais mon anatomie.

Maîtresse Caroline eu la bonté de m'enduire l'entrée de mon anus avec un produit lubrifiant ensuite Maîtresse Stéphanie se chargea d'introduire le petit objet en moi. Pour faciliter l'insertion elle me caressa le sexe puis inséra deux doigts dans ce dernier. Elle était très douce et je pris du plaisir à ces caresses. Ceci facilita l'entrée du petit instrument de torture. Une fois complètement enfoncé elle cessa ses caresses et violement, tira sur les lèvres de mon sexe. Je ne pus retenir un petit de douleur. Ma tortionnaire me dit :

-Il va falloir travailler sur la dilatation.

Ce mot m'effrayait terriblement que voulait elle me faire ?

-Bon Sophie, ce n'est pas tout à fait le même instrument que l'autre fois cette fois : il est télécommandé. Me dit Maîtresse Caroline.

Elle me fixa sur la cuisse un petit récepteur sous formes de boîtier plastique noir. Et dans ça main elle tenait la télécommande. Elle pressa le bouton et je senti une décharge électrique en moi très désagréable. Je fis une petite grimace qui visiblement rendit les deux femmes contentes d'elles.

-Bon et pour que tu n'essayes pas d'enlever ton jouet nous allons te lier les mains.

Elles m'enfilèrent des gants de bras, c'était la première fois que je voyais ça et la première fois que j'en portais. C'était pas du tout agréable car ça tirait sur les épaules. Une fois que je fus équipée on monta dans la voiture de maîtresse Caroline et prirent le chemin de sa maison de campagne.

Nous avons fait une première halte dans une station essence. Il y avait trois voitures en plus de la notre. Maîtresse Caroline descendit du véhicule pour faire le plein d'essence. Pendant ce temps Stéphanie prit un malin plaisir à me lancer plusieurs décharges. Je gigotais de douleur mais luttais pour ne pas attirer l'attention de l'homme qui était juste à coté. Par chance il ne se rendit compte de rien. Au bout de 10 minutes de torture, Maîtresse Caroline remonta dans la voiture. Je priais pour que la caissière de la pompe ne remarque pas ma situation quand nous nous sommes avancées pour payer. Heureusement, elle était plus concentrée sur la carte bleu de ma maîtresse que sur le spectacle que je lui offrais. Une fois éloignées Maîtresse Stéphanie se retourna et me dit :

- Je t'avais dis que tu n'allais pas t'ennuyer!!

Les deux femmes se mirent à rire.

Tout au long du trajet je n'eu droit à aucune attention de leur part si ce n'est que des décharges répétés. Le plus étonnant c'est qu'au bout d'une heure de route je me mis à ressentir de plus en plus de sensations agréables à l'intérieur de mon ventre. D'ailleurs je sentais mon sexe se lubrifier et pouvais constater une tache humide sur le siège. Cela me gênait d'ailleurs beaucoup, j'essayais tant bien que mal de la cacher. Ma honte ne cessa pas pour autant l'excitation que je ressentais. Une heure plus tard Maîtresse Caroline fit part à sa comparse que nous étions bientôt arrivées. Stéphanie se retourna pour me dire :

- Alors comment as tu trouvé le voyage ?

Et c'est à ce moment qu'elle aperçu la tache qui c'était formée entre mes cuisses. Elle dit à Maîtresse Caroline :

-Wouah, regarde cette petite salope. Tellement qu'elle a apprécié le trajet elle a mouillé sur toute la banquette.

Maîtresse Caroline stoppa la voiture sur le coté pour constater les fait et je pense qu'a ce moment mon teint était devenu rouge comme une tomate.

- Tu as raison -dit elle- elle a vraiment adorée ça ! Augmente donc l'intensité et calme lui sa libido, en attendant que je trouve quelque chose pour la punir.

A partir de ce moment et pendant environ 20 minutes les décharges que je recevais étaient vraiment très douloureuses et j'avais perdu toute excitation. Maitresse Caroline tourna à droite et s'enfonça dans un petit chemin de terre caillouteux. 100 mètres plus loin elle stoppa la voiture et dit :

- J'ai trouvé sa punition, fait la descendre s'il te plait.

Elles sortirent toutes les deux de la voiture et pendant que Maîtresse Caroline fouillait dans le coffre du 4x4, Maîtresse Stéphanie me fit descendre à mon tour.

Quand elle revint vers nous elle jeta une corde à mes pieds et à l'aide d'un opinel coupa ma robe pour que je puisse la quitter sans enlever mes gants de bras. Ensuite elle me fit me déchausser et m'attacha la corde autour de la taille et l'autre extrémité à l'attache caravane de notre véhicule. Maîtresse Stéphanie dit :

- Je viens de comprendre ce que tu lui réserves. Très bonne idée.

-Oui, ça va lui dégourdir les jambes.

Et sur un éclat de rire elles remontèrent en voiture. Rapidement Maîtresse Caroline démarra la voiture et se mit à rouler à faible allure. Je me retrouvais bien obligée de les suivre alors que les cailloux sur ma plante de pieds nus me faisaient souffrir horriblement. Mais comme si cette douleur n'était pas suffisante pour me faire payer mon "plaisir" Stéphanie continuait à envoyer des déchargent. J'eu beau essayer de les supplier d'arrêter mais elles faisaient comme si je n'étais pas la. Ma marche forcée dura environ une demi-heure quand nous sommes arrivées à une magnifique ferme ancienne retapé. La, elles stoppèrent la voiture devant l'entrée et je me suis écroulé sur le sol tellement mes pieds me faisaient souffrir. J'eu droit à quelques minutes de répits le temps que les deux femmes se dégourdissent les jambes.

C'est Stéphanie qui me détacha et me libéra des horribles gants de bras. Je ressentis une grande douleur dans les épaules à ce moment là. Mais je n'eu pas le temps de faire passer la douleur qu'elle m'ordonna de vider la voiture et de poser les affaires à l'intérieur. La seule chose que j'appréciais était la sensation agréable de l'herbe sur mes plantes de pieds encore endoloris.

La ferme comportait un bâtiment principal où se trouvaient les chambres et les pièces de vie et d'une grange juste à coté. Le bâtiment principal était vraiment très joli, et l'intérieur tout aménagé. Je mis les bagages de mes maîtresses dans leurs chambres avant de leur servir l'apéritif à l'extérieur sur des lits de jardins.

- Enlève-moi ces horribles baskets qui me serrent les pieds, me dit Maîtresse Caroline.

Je m’exécutai et fut surprise par l'odeur particulièrement forte de ses pieds. Elle avait porté ses chaussures sans chaussettes toute la journée.

-Ce que ca fait du bien. Masse les moi, ça me fera le plus grand bien.

Je me trouvais à genoux aux pieds de son transat à la masser  pendant que les deux femmes discutaient tranquillement en buvant un verre. Mais le pire c'est que je commençais à m'habituer à cette situation et le plus déroutant c'était que j'avais l'impression que c'était normal.

Je m'appliquais beaucoup en espérant pouvoir être récompensée. Ce qu'elle fit, de son point de vue, puisqu'elle vida le fond de whisky de son verre sur son pied gauche et me le fit lécher "généreusement". Moi qui n'aime pas particulièrement l'alcool, je fus plutôt contente car l'odeur et le goût fort de ses pieds étaient plus ou moins cachés par ceux de cette boisson.

Je dus m'occuper ensuite des pieds jaloux de Maîtresse Stéphanie qui eux ne sentaient pas particulièrement car elle avait passé la journée avec ses tongs. Elle m'obligea par contre à effectuer le massage juste avec ma langue, cette fille appréciait vraiment qu'on lui lèche les pieds.

A ma plus grande surprise j'appris en fin d'après midi que Maîtresse Caroline ne passait pas la soirée avec nous et qu'elle ne rentrerait pas avant le lendemain. J'étais plutôt déçue de cette annonce car avec elle je savais ce qu'il pouvait m'arriver mais je ne savais pas du tout ce que pouvais me réserver Stéphanie...

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Le dressage de Sophie, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Jeudi 12 avril 4 12 /04 /Avr 19:45

Chapitre 5 : L'invitée surprise

 

Une fois cette toilette terminé il était environ 13h. Maîtresse Caroline me dit :

- Maintenant tu vas aller te préparer, j'ai une surprise pour toi.

Une surprise pour moi ? Je n'avais aucune idée de ce que cela pouvait être. Elle me conduisit à la salle de bain. Dedans ce trouvait la tenue de soubrette que j'avais déjà portée : une micro robe et un tablier blanc, bien sur pas de sous vêtement, il y avait aussi les sandales à talons hauts. Elle me détacha puis me dit :

- Allez enfile tout ça.

Une fois la tenue enfilée, elle me maquillât légèrement et me sécha les cheveux.  Elle me rattacha immédiatement une fois fini. J'avais les poignets enchaînés dans le dos reliés à mes chevilles elles aussi liées.

- Bien te voila prête.

Dans ma tête je me dis : Oui, mais pour quoi ?

Je n'eu pas le courage de lui poser la question et me comportais très docilement.

Elle me conduisit devant l'entrée, me fit agenouiller face a la porte et me bandât les yeux à l'aide d'un foulard. Elle me fit ouvrir la bouche pour m'introduire le terrible bâillon boule.

Je du rester dans cette position une vingtaine de minutes sans que maîtresse Caroline ne s'occupe de moi quand soudain on sonna à la porte. Un frisson me parcourut tout le corps. Je ne pouvais pas rester dans cette position et ainsi vêtu. Je voulu me relever mais Maîtresse Caroline qui se trouvait à coté de moi me saisit par les cheveux et me dit :

-Tu n'as pas intérêt à bouger petite garce, voilà ta surprise !

Elle me jeta violemment la tête en arrière. J'étais terrifiée à l'idée que quelqu'un me voit ainsi mais ma condition d'esclave soumise avait pris le dessus sur mon comportement.

La porte s'ouvrit et j'entendis une voie de femme s'écrier :

-Wouaaah !

- Surprise !!

Mais qui était ce ? J'étais paniquée et honteuse de me retrouver dans cette position.

-Je vois que tu as su exercer ton talent de dominatrice, dit l'inconnue.

-Oui, je t'avais dit que nous avions fait le bon choix.

Mais, cette voie ne me semblait pas inconnue...

Soudain l'inconnue me saisit le menton d'une main et de l'autre dénoua le foulard : c'était Stéphanie, la fille qui m'avait fait me retrouver là, la cause de mon malheur. Mais que faisait-elle ici ?

-Alors petite chienne, je vois que tu as enfin trouvé ta place, me dit elle.

-Voilà ta surprise Sophie, comme tu le vois j'ai invité ton amie de classe à te rendre  une petite visite, me dit Maîtresse Caroline.

Je compris vite que c'était un complot car les deux femmes avaient l'air de bien se connaître.

-Bon et si nous allions nous installer au salon ?, dit Maîtresse Caroline.

Elle me fit me relever et me fit m'avancer jusqu'au salon pour enfin me faire agenouiller à côté de son fauteuil, j'avais l'impression d'être le toutou que l'on emmène partout. Stéphanie était assise en face de moi sur le canapé.

-Sophie, Stéphanie, est dorénavant ta deuxième Maîtresse. Tu devras te conduire aussi docilement qu'avec moi. Tu as compris ?

-Oui Maîtresse.

Je n'en revenais pas, je venais de jurer allégeance à cette fille que je connaissais dans le contexte des études depuis quelques années maintenant et qui avait le même âge que moi. Ma situation n'allait pas en s'améliorant : j'étais maintenant l'esclave personnelle de deux femmes!

-Je pense qu'il faut qu'elle te prouve son obéissance Stéphanie, qu'en penses-tu ?

-Je suis tout à fait d'accord ! Qu'est ce que tu proposes Caroline ?

-Je pense que le meilleur acte de soumission est l'adoration des pieds de sa maîtresse.

-Ah oui ! Très bonne idée !

Je regardais Maîtresse Caroline abasourdie ! Je n'allais quand même pas lui lécher les pieds! Elle passa ses mains derrière ma tête et me détacha le bâillon. Elle me fixa ensuite et me dit :

- Tu as très bien compris ce qu'on attend de toi alors exécute toi !

-Mais Maîtresse . . . je vous en prie je ne vais quand même pas lui lécher les pieds ??

Elle n'apprécia pas du tout ma réponse, me saisit les cheveux et me conduisit face aux pieds de Stéphanie, ou plutôt de Maîtresse Stéphanie. Toujours en me maintenant la tête elle me dit:

-Allez fait ce que l'on te dit !!

Maîtresse Stéphanie déchaussa son pied droit, elle portait des petites tongs (bien de saison), et le leva jusqu'a mon visage. Horreur : sa plante de pieds était noire de crasse.

- Comme tu le vois ma petite Sophie, j'ai marché tout le matin et je n'ai pas eu le temps de me laver les pieds. Mais je crois qu'une esclave est la pour ça ! , me dit Stéphanie en souriant.

-Allez Sophie, elle a tout à fait raison, enchaîna Maîtresse Caroline.

-Mais Maîtresse je ne peux pas, c'est dégoûtant.

-Ah oui tu ne peux pas ? Et bien tu aurais dû ! Me dit Maîtresse Caroline d'une voix énervée

Elle me fit me relever en me tirant les cheveux et me tira jusqu'à  la terrasse. Elle me fit m'agenouiller sur le sol en béton et me dit de ne pas bouger. Stéphanie venait de nous rejoindre et elle lui dit de me surveiller le temps qu'elle aille chercher quelque chose. Elle revint avec un martinet et un petit sot rempli d'eau qu'elle versa sur le sol. Ensuite elle se déchaussa et frotta ses plantes de pieds nus sur la flaque. Puis elle me dit :

- Tu aurais mieux fait de ne pas discuter maintenant tu vas devoir nettoyer nos plantes de pieds à toutes les deux et si tu refuses encore tu auras droit au martinet.

Elle me montra un de ses pieds et je me rendis compte qu'il avait récupérer tout le mélange de poussière, terre, eau et diverses saletés. Elle me fit m'allonger sur le dos et me posa son pied droit sur le visage. Par réflexe je tournis ma tête, ce qui me value une dizaine de coup de martinet à l'intérieur des cuisses.

-Arrêtez Maîtresse . . . s'il vous plait, lui suppliais je.

-C'est à toi de choisir : soit tu fais ce que je t'ai demandé, soit tu as mal, me dit Maîtresse Caroline.

Elle savait être très persuasive, c'est pourquoi je lui fis comprendre que j'abdiquais.

-Tu vois, dis Maîtresse Caroline à Stéphanie, il faut savoir être ferme et autoritaire et on obtient tout ce qu'on veut.

-Je vois ça, lui répondit-elle.

Elle reposa son pied sur mon visage mais cette fois je n’essayai même pas de refuser. Elle frotta chaque une de ses plantes de pieds sur mon visage puis me fit ouvrir la bouche pour que je les lui lèche. Je sentais le mélange granuleux de saletés sur ma langue et j'étais écœurée. Cela dura de longues minutes. Elle me fit stopper quand elle estima que ses pieds étaient redevenus propres. Je n'avais qu'une envie c'étais de me laver la bouche mais elle me dit :

-Très bien, tu vois que ce n'est pas si dur. Tu vas maintenant pouvoir faire ce que je t'avais demandé.

Maîtresse Stéphanie c'était assise sur une chaise sous laquelle je dus m'allonger, le haut du corps entre les pieds de la chaise, la tête juste dessous les pieds de Stéphanie et pendant qu'elles prirent le thé je lui ai lavé la plante des pieds avec ma langue. Elles prirent leur temps et mon supplice dura, je pense, plus d'une heure.

Une fois que Stéphanie jugea mon travail satisfaisant elle me fit m'installer à genoux à coté d'elle et me dit :

-Et bien Sophie je suis contente que tu ais trouvée ta place . . .  j'ai l'habitude de marcher pieds nus tu vas m'être très utile!!

Les deux femmes se mirent à rire et moi je n'osai même pas relever la tête...

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