Chapitre 2
Caroline est heureuse de voir qu'Elodie est encore là. Elle entre immédiatement dans son rôle de maîtresse.
- Je suis heureuse que tu sois restée, mais je t'avais demandée d'être nue. Tu commences déjà à me désobéir ?
Elodie ne sait pas quoi répondre. Elle ne souhaite pas vraiment être la soubrette de sa patronne, mais elle ne souhaite pas partir non plus.
-Euh... Caro attend je..... Je ne veux...
<<CLAK!>>
"- Aie !
-Ta gueule salope!! Je t'ai dit de te mettre à poil!! Et maintenant quand nous sommes toute les deux, tu m'appelle maîtresse!!"
Caroline a violemment claqué Elodie, sa joue est toute rouge. La jeune secrétaire est désorientée, elle ne réagit pas.
<<CLAK!>>
- AAHH!
- Bouge ton cul et met toi à poil !. Sinon c'est moi qui vais le faire et je ne suis pas douée pour la douceur!!
Elodie comprend qu'elle n'a plus le choix. Elle se lève, retire ses chaussures, son jean et son t-shirt. Elle est maintenant juste en string. Ses deux gros seins se dressent fièrement.
- Tu ne portais même pas de soutien-gorge, t'es vraiment une salope, je crois que je vais me faire plaisir avec toi. Enlève ton string!
Elodie hésite puis s'exécute. Elle est nue devant sa patronne. Une petite touffe de poils blonds entoure ses grandes lèvres. La jeune femme se sent honteuse, humiliée, ce qui fait encore plus rougir ses joues déjà marquées par les claques.
-Cela fait deux ans que j’attends ça, je ne suis pas déçue. Je vais te mettre ton collier de chienne. Il y a une clochette dessus pour que je sache où tu es, et un anneau pour que j'attache ta laisse. Je veux aussi que tu mettes ces bas. Le tablier c'est pour les tâches ménagères, je te conseille de prendre soin de tes affaires, sinon tu seras sanctionnée."
Elodie a écouté les consignes en silence. Elle est complètement perdue. Elle prend les bas et les enfiles, en faisant attention de ne pas les filer. Puis Caroline lui mets le collier et y accroche la laisse en cuir.
- Maintenant tu vas me faire du bien. Montre-moi si tu sais donner du plaisir à ta
maîtresse. Si tu fais ça bien tu seras récompensée mais si tu fais ça mal tu subiras ta première punition.
Elodie qui n'a jamais eu de relation lesbienne a peur de mal satisfaire sa maîtresse
- Mais Caro tu sais que je n'ai jamais fait l'amour à une fille.
<<CLAK! CLAK!>>
- AH AH CA FAIT MAL!"
La jeune métisse vient de frapper sèchement les seins de son esclave.
- T'es conne ou quoi?! Je t'ai dit de m'appeler maîtresse et de m'obéir!!
Caroline retire son string et s'assoie au bord du canapé en écartant les cuisses. Son sexe est totalement épilé. Elodie abandonne un peu plus son amour propre en s'agenouillant entre les cuisses de sa dominatrice. Ne sachant pas trop comment s'y prendre, elle décide de faire ce qu'elle même aime se faire lorsqu'elle se masturbe. Délicatement la jeune blonde caresse les seins de sa maîtresse. Puis elle lui caresse les cuisses, remonte sur les seins, les embrassent, suce les tétons, les lèches...
- Arrête de faire durer! Je ne t'ai pas demandée de me faire l'amour, je t'ai dit de me faire jouir. Alors bouffe-moi la chatte blondasse!!"
Elodie obéit. Elle embrasse le mont de vénus de la jeune métisse, elle lui lèche la fente, sa langue cherche le clitoris, le sort de son capuchon, Elodie le masse délicatement avec un doigt. Sa langue glisse le long des lèvres vaginales. Pour une première fois elle se débrouille très bien. Caroline mouille abondante mais elle se retient de jouir. Elodie à maintenant enfoncée un doigt dans la moule rosée de sa maîtresse et commence à la masturber. Caroline se concentre pour ne pas jouir, elle ne veut pas montrer qu'Elodie à réussie. Elodie qui s'en est rendu compte décide de donner le coup de grâce. Elle veut mordiller le bouton de sa maîtresse, mais elle s'y prend mal et le mord trop fort. Ce qui fait mal à Caroline.
- AAHHH!!! Salope tu m’a mordu le clito!! Tu as osé me faire mal!! Tu vas me le payer sale traînée!!
- Pardon, je suis désolée, je n'ai pas fait exprès, pardonnez-moi maitresse. S'il vous plaît!
Caroline se lève, remets son string, prend la laisse de sa chienne et la tire pour la faire se lever. Puis elle prend une clé dans un tiroir et emmène sa chienne, en tirant sur la laisse, devant la pièce fermée au premier. Caroline ouvre la porte avec la clé. Dans la petite pièce il y a un lit d'une place, une petite armoire et surtout deux bracelets accrochés au mur.
- Voilà ta chambre petite pute!!
Elodie veut dire quelque chose mais le choc psychologique l'empêche de parler. Elle se sent encore plus humiliée. Elle comprend qu’elle va devoir vivre dans cette pièce comme une vulgaire esclave. Caroline tire sur la laisse pour la forcer à avancer et l'installe dos au mur puis lui accroche les poignets avec les bracelets. Elodie est terrorisée, elle est immobilisée, les bras en croix, complètement offerte. Caroline va chercher dans sa chambre un martinet. Puis elle se place en face de sa soubrette et commence à lui asséner des coups sur ses gros seins.
<<CLAK! CLAK!! CLAK!!! CLAK!!!>>
- AAAAHHHHH!! PUTAIN!!! OOOOHHHH!! AAAAHHHH!!
- Tu vas sentir ta douleur ma grosse!! Je vais t'apprendre à me faire mal, salope!!
<<CLAK!! CLAK!! CLAK!!...>>
- AAAHHHH!! STOP!!! OOOHHH!! PARDON!! AAAAHHH!!
- Je vais défoncer tes mamelles de vache laitière!!"
<<CLAK!!! CLAK!!! CLAK!!! CLAK!!!...>>
- AAAAAHHHH!!! STOP!!!! AAAAHHHH!!! Aie!!!"
Au total Caroline assène une vingtaine de coups sur les seins de sa secrétaire. Ils sont marqués par les lamelles de cuir du martinet. Une fois la punition terminée, Caroline détache son esclave qui se laisse tomber par terre épuisée.
- Maintenant enlève tes bas et va te coucher. Bien sûr tu n'as pas le droit de te caresser sans mon autorisation. Demain matin je te réveillerais, mais en attendant je ferme ta porte à clé.
Elodie obéit et Caroline quitte la petite chambre en fermant derrière elle. Elodie a
honte d'elle-même. Tout s'est passée si vite, la voilà esclave sexuelle de sa patronne. Elle ne sait pas ce qui l’attend demain et s'endort en pleurant de honte et de douleur à cause de ses seins
très endoloris.
Le lendemain matin à 6h la maîtresse métisse vient réveiller son esclave. Elle ouvre la porte de la petite chambre et vient secouer sa soubrette encore endormie.
- Lève-toi ma grosse cochonne!!! Debout, lève ton gros cul!!!
Elodie sursaute et mets quelques secondes à réagir et à se rappeler de sa situation. Caroline tire les cheveux de la blonde pour l’obliger à descendre du lit. Celle-ci se retrouve au sol à genoux aux pieds de sa maîtresse.
- On ne t’a pas appris à dire bonjour?! Tu veux me mettre de mauvaise humeur dès le matin?!
- Non pardon, bonjour maîtresse, vous allez bien?
- C’est bien ma coquine. Ça va merci, et toi tu aimes ta chambre d’esclave?"
Il est évident qu’Elodie déteste cette pièce mais elle ne souhaite pas être punie pour commencer la journée. Alors elle répond en souriant:
- Oui, merci maîtresse de m’offrir tant de confort.
- Bien, je t’ai amenée ton petit déjeuner, là-bas dans deux gamelles.
- Merci maîtresse.
Elodie voit dans un coin de la pièce, deux gamelles en plastique, avec dans l’une d’elle, du café et dans l’autre, deux tartines de confitures. Elle sent les larmes monter, comment peut-elle accepter une telle situation. Mais au fond d’elle un sentiment de reconnaissance envers sa patronne l’empêche de se révolter.
Caroline regarde son esclave avec un sourire jubilatoire.
- Mange! Et ne laisse rien dans les gamelles!! Je viendrais te chercher pour te préparer à aller travailler.
Caroline quitte la pièce et referme derrière elle. Puis elle va prendre son petit déjeuner dans le salon. Une fois qu’elle a fini elle remonte chercher sa secrétaire qui a vidé ses deux gamelles.
- C’est bien, tu as tout mangé. Maintenant viens avec moi dans la douche. Tu vas me laver.
- Avec plaisir maitresse.
Les deux femmes entrent dans la salle de bain. Elodie est déjà nue, les marques du martinet sont encore légèrement visible sur ses gros seins. Caroline retire son peignoir et entre dans la douche. Elodie en profite pour mater le corps bronzé de sa maîtresse. Puis elle entre à son tour dans la douche.
- Maintenant tu vas me laver. Fait ça bien, délicatement, sans rien oublier. Et je t’interdis de me masturber, c’est clair?
- Oui maîtresse, j’ai compris."
Elodie fait couler de l’eau sur le corps parfait de sa dominatrice, puis elle la savonne le plus délicatement possible sur toutes les parties du corps. Enfin elle la rince et l’essuie avec application.
Caroline jubile de la domination qu’elle a réussi à imposer à Elodie. Mais elle sait que si elle veut la garder, et la faire tomber amoureuse, elle ne doit pas seulement la dominer, mais aussi lui donner, de temps en temps, du plaisir.
- Puisque tu m’a bien lavée et que depuis ce matin tu es une bonne salope soumise, je vais te faire un cadeau. Je vais t’apprendre à faire jouir une femme. Va t’allonger sur le canapé du salon et attend moi.
Elodie obéit, tellement heureuse de savoir qu’elle va prendre du plaisir. Caroline la rejoint quelques minutes plus tard avec dans la main, un gode en plastique dur. Il fait une vingtaine de centimètre de long mais semble d’une épaisseur supérieure à celle d’un sexe humain. Elodie est un peu inquiète, elle a peur d’avoir mal, car son ex copain n’était pas monté comme un âne.
- Je vais te faire jouir. Je te conseille d’être attentive à ce que je vais te faire, car les autres fois c’est toi qui devras me faire jouir! Écarte les cuisses et laisse toi faire.
- Oui maîtresse. Merci maîtresse.
Caroline dépose beaucoup de salive dans sa main et l’étale sur le vagin de son esclave.
Puis elle masse légèrement son clitoris pour le faire sortir de sa capuche, ce qui fait frémir la jeune blonde.
Puis Caroline présente le gode à l’entrée de la fente, Elodie lance un regard effrayé à sa maîtresse, avec si peu de préliminaires elle est sûre d’avoir mal. Mais Caroline n’en tient pas compte,
et pousse d’un coup sur la verge en plastique. Le gros gland plastifié force l’entrée de la grotte d’Elodie, qui grimace, et le gode s’introduit d’un coup sec dans sa fente, en lui dilatant les
chairs et tapant au fond de son trou. Ce qui arrache un cri à Elodie qui manque de s’évanouir sous le coup de la douleur.
- AAAAHHHHHH!!!
- T’inquiète pas, tu vas finir par aimer ça!
La jeune métisse entame des vas et vient très intense. A chaque fois elle retire entièrement le gode et le renfonce d’un coup sec, faisant hurler Elodie.
-OOOOHHHH!! J’ai mal!!! C’est trop gros!! AAHHHH!!
Mais au bout de plusieurs minutes d’un tel traitement, le sexe d’Elodie s’habitue à la dilatation. La jeune femme commence à ressentir du plaisir. Caroline qui s’en aperçoit, utilise sa main libre pour lui peloter ses grosses mamelles.
- T’aime ça traînée?
Oui maîtresse… Oh oui, c’est bon…Hum oui!!
Caroline intensifie encore plus la pénétration et utilise maintenant sa deuxième main pour jouer avec le clitoris de sa soubrette. Celui-ci est gorgé de sang, à chaque caresse Elodie reçoit une décharge électrique. Elle sent la jouissance monter en elle.
- Ouii maitresse, oui encore, ouii!!! Ouiiiiiiiiiii!!!!
Elodie jouit comme jamais ça ne lui est arrivé. Mais Caroline continue de la pénétrer toujours sur le même rythme. Elle continue de masser et de pincer son petit bouton, qui est maintenant tellement sensible que chaque caresse fait mal à Elodie.
- S’il vous plait doucement avec mon clito….…Ohh putain ouiii!! Ouii encore!! Ouiiiiii!!!!
Elodie jouit une deuxième fois, et Caroline continue encore de la baiser. La jeune blonde est épuisée, elle a du mal à garder les yeux ouverts, les lèvres de son vagin lui font mal, tellement les va et vient les irrites.
- Je vous en prie, maitresse stop. Je vais m’évanouir, stop!
Caroline ne répond pas, elle continue de faire rentrer et sortir le gode de la chatte de sa secrétaire, et de maltraiter son clitoris. Elodie est au bord de l’évanouissement. Mais malgré tout elle sent une fois de plus le plaisir monter dans son ventre. Elle jouit encore une fois, mais sans pouvoir crier, tellement elle est épuisée. Puis elle s’évanouie de plaisir.
Caroline arrête alors sa pénétration. Elle retire le gode et le lèche pour le nettoyer. Elle aime le gout des sécrétions vaginales de sa soumise. Puis elle la réveille en lui tapotant les joues. Elodie ouvre les yeux, elle à du mal à reprendre ses esprits tellement la baise fut intense.
- J'espère que ton appétit sexuel de nymphomane est satisfait !
- Oui merci beaucoup maitresse. Je n'ai jamais autant joui.
- J'espère que tu t'en souviendras car la prochaine fois c'est à toi de me faire jouir. Maintenant va prendre une douche et va te raser la moule intégralement. C'est dégueulasse tes poils sur la chatte!!
- Oui maitresse, merci maitresse.
- Dépêche-toi, dans 40 minutes on part travailler. Je vais te prêter des affaires à moi et ce soir en sortant nous passerons récupérer tes affaires chez toi.
Elodie va prendre une douche rapide et s'épile la fente intégralement. Elle trouve qu'elle ressemble à une pute, mais elle n'a pas le temps de pleurer sur son sort. Lorsqu'elle sort de la salle de bain, Caroline lui tend une robe noire et un chemisier blanc.
- Tu mettras également les bas et les chaussures que je t'ai données hier soir. Tu ne mets pas de sous-vêtements, les salopes comme toi n'en ont pas besoin.
- Mais si je ne mets pas de sous-vêtements tout le monde va le voir. Je vais passer pour une putain.
- Et alors tu en es une!!
Elodie enfile ses vêtements. La robe étant une taille trop petite, elle moule outrageusement les fesses de la jeune blonde, on distingue clairement la raie de ses fesses et l'on voit qu'elle ne porte rein en dessous; Idem pour le chemisier, il presse ses gros seins et même si il n'est pas transparent, il laisse deviner ses mamelles non cachées. Elodie est rouge de honte, elle a peur de la réaction de ses collègues.
- Les autres employés vont se moquer de moi.
- N'ai pas peur, tu m'appartiens, je te protégerai si il te touche . . . trop. Pour hier, tu leur dit juste que tu ne te sentais pas bien. Au travail, quand tu viens dans mon bureau et que nous ne sommes que toute les deux, tu redeviens ma soumise. C'est bien compris?
- Euh... oui maitresse.
Les deux femmes partent dans la voiture de Caroline, direction leur travail. Elodie est très inquiète pour cette première journée de travail comme soumise.
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