Les nouvelles Souveraines , de KS

Vendredi 1 juillet 5 01 /07 /Juil 22:27

Troisième chronique : Miranda, madame le juge

 

Miranda Ortega à 47 ans, blonde vénitienne, fine et au visage sévère, bien que séduisant. Et pour cause, sa fonction de juge en fait une femme redoutée, avec elle la sentence est toujours sans appel. Aujourd'hui, dans son tribunal, elle traite l'affaire Rousey contre Ortiz, un cas d'accusation de harcèlement sexuel.

 

Juge Ortega: Maître Thomas, je constate l'absence de Mademoiselle Michelle Ortiz, pouvez-vous vous en expliquez…?

 

L'avocate de la défense prend la parole.

 

Me Thomas: Suite à un malheureux incident, sans gravité, mademoiselle Ortiz n'est actuellement pas en mesure de se déplacer. Bien évidement elle s'excuse pleinement de cette absence.

 

Juge Ortega: Bien, du moment que votre défense s'en accommode, je n'en tiendrais pas rigueur. Maintenant commençons, la parole est à l'accusation.

 

Me Heart (se levant): Merci Madame le juge. J'appelle Clara Rousey à la barre.

 

La victime se lève à son tour et vient se placer à la barre. Grande et à la longue crinière blonde cendrée, elle est surtout toute en courbes toniques et bien musclée, une singulière beauté, et le parfait visage de son réseau de salles de fitness à travers le pays. Cette dernière après avoir prêté serment, est invitée par son avocat à raconter les faits dont elle a été la victime de la part de son employée.

 

Clara: Eh bien tout a commencé peu de temps après que j'ai recruté Michelle Ortiz comme assistante personnelle. Nous avons très vite sympathisé, mais très vite aussi elle s'est montrée très tactile envers moi, apposant ses mains sur mon corps plus souvent que nécessaire. Au début je mettais ça sur le rôle de partenaire d'entrainement qu'impliquait aussi son poste et sa rigueur à vouloir bien faire. Mais les gestes sont vites devenus des attouchements, jusqu'à ce que je réalise qu'elle m'entreprenait carrément. Ce n'était pas la première femme qui m'entreprenait, mais comme aux autres avant elle je lui ai expliqué que j'étais mariée et que je ne mangeais pas de ce pain-là. Mais elle n'a pas cessé son comportement déplacé, et un jour…

 

Me Heart (invitant à poursuivre): Un jour…?

 

Clara: Eh bien, un jour elle a été trop loin…

 

Quelques semaines plus tôt…

 

La belle et sportive auto-entrepreneuse appréciait son entrainement du vendredi matin, car dégagée de toutes autres responsabilités durant cette seule journée de la semaine, elle pouvait se permettre de se donner à 100%, jusqu'à ce que ses muscles tendus soient rompus à la tâche, sa peau recouverte de la sueur résultat du labeur accompli. Mais comme depuis quelques temps, elle avait senti le regard lourd de son assistante sur elle, sur son corps en plein effort. Mais Michelle ne s'était pas approchée, plus depuis que Clara lui avait mis les points sur les "i" et qu'elle l'avait exclue de ses entrainements intensifs. Mais il était difficile pour Clara de se concentrer totalement en se sachant observer de la sorte, et de façon aussi peu discrète. Aussi avait-elle mis fin à sa séance trente minutes plus tôt ce jour-là.

 

Mais elle avait surcompensé et l'effort avait été intense, certains de ces muscles avaient presque tétanisé et la tension accumulée tendait l'ensemble de son corps, de ses cuisses toutes en volume, à ses abdos saillants, en passant par ses fesses fermes, donnant à sa silhouette une allure d'animal sauvage, un corps brut et féminin dans sa plus pure expression. La poitrine haletante se soulevant au rythme d'une respiration rapide et profonde, quelques mèches de cheveux collées sur le visage, la transpiration perlant en de fines gouttelettes sur sa peau, le regard assombri par l'effort.

 

Plus que jamais, cette vision avait mise Michelle en transe comme rien d'autre ne le pouvait. Le supplice de ne pas pouvoir l'approcher, la toucher, la respirer, tenait ici du sadique. Mais Michelle avait eu vent de la rumeur qui laissait entendre que sa patronne cherchait à la remplacer. Et après cette séance de voyeurisme non-dissimulée mais au combien stimulante, il était clair pour Michelle qu'il était hors de question de perdre sa place, et sous l'impulsion du désir autant que la détermination, elle suivit l'autre femme dans les vestiaires pour lui faire comprendre que sa place était ici, à ses côtés.

 

De son côté, Clara ne rêvait plus que d'une douche salvatrice, et cette idée avait suffi à occulter l'omniprésence de Michelle. Mais pas longtemps puisque lorsqu'elle s'apprêta à ouvrir son casier pour y récupérer son nécessaire de toilette, elle senti un corps se coller à son dos, la plaquant contre les casiers sans ménagement. Le temps que son cerveau imprime le mouvement, deux mains se positionnèrent de part et d'autre de la tête de Clara, et une tête brune s'enfouit dans sa nuque pour y respirer ses parfums à pleins poumons.

 

Clara (tentant de se retourner): Michelle…!? Mais que faites-vous…?!

 

Empêchant la blonde de se retourner en accentuant la pression de son corps contre le sien, Michelle vint d'une main relever les cheveux de Clara, dégageant un côté de sa nuque pour remonter sa bouche jusqu'à son oreille.

 

Michelle (la voix sombre d'excitation): Je fais ce que vous m'empêchez de faire depuis des jours, je vous assiste Clara.

 

Clara: Je ne vois pas en quoi vous m'assistez de la sorte, cessez vos petits jeux maintenant…!

 

La jolie blonde voulue à nouveau se dégager mais l'autre femme la dominait de sa stature, toute aussi athlétique et plus grande de quelques centimètres. Sa force supérieure et la faiblesse actuelle de Clara, épuisée, lui empêchait tout mouvement que Michelle n'aurait autorisé. Aussi la belle sportive dut se contenter d'écouter en espérant que son "assistante" reprenne ses esprits.

 

Mais la jolie bombe brune n'était plus obnubilée que par le besoin de se repaitre de ce corps en sueur qui la mettait toute entière en chaleur.

 

Michelle (susurrant à son oreille): Je suis votre assistante, et je dois vous assister dans toutes vos tâches. Après tant d'efforts vous méritez du réconfort, c'est mon rôle d'y veiller.

 

Aussitôt, Michelle mordilla le lobe de sa proie et positionna ses deux mains sur les hanches de l'autre femme, puis accentua encore le contact entre leurs deux corps en ramenant le postérieure rebondi et musclé de Clara contre son mon de vénus, augmentant ainsi encore de quelques degrés son niveau d'excitation.

 

La jolie blonde hoqueta de surprise et tenta de raisonner son employée sans savoir jusqu'où cette dernière serait capable d'aller.

 

Clara : Michelle, je vous en prie…

 

Michelle (le timbre suave): J'aime vos supplications, et encore plus vous entendre prononcer mon nom le souffle court. Mais rassurez-vous Clara, vous n'allez pas vous faire prier longtemps.

 

La suppliciée senti une main se poser sur son ventre et se frayer un passage jusqu'au niveau de son intimité, et quand elle ressenti cette main presser son précieux fruit à travers ses vêtements, elle tenta une nouvelle fois et avec plus de fougue de se dégager. Et si Clara n'y réussi pas vraiment, elle empêcha en tout cas la belle brune de poursuivre ses agissements en bloquant son bras, et sa main, contre les casiers. Michelle en prit son parti et retournant soudainement Clara, elle la saisi vivement à la gorge et se rapprocha dangereusement d'elle en la plaquant dos à la paroi, son visage maintenant presque en contact avec celui de la blonde.

 

Michelle (souriant dangereusement): Fougueuse… J'aime ça…!

 

La jeune patronne eu froid dans le dos en voyant l'air quasi diabolique qu'arboraient les traits du visage de Michelle, et un long frisson lui parcouru l'échine. Diable, cette fille avait su attendre le pire moment pour s'en prendre à elle, et Clara maudit sa faiblesse et ses muscles déjà refroidis qui la torturaient à la moindre sollicitation.

 

La main enserrant son cou défit de son emprise, et une autre vint décoller quelques mèches collées au visage ruisselant de la jolie blonde, avant de redescendre prendre sa place sur le sexe chaud de Clara, se faufilant cette fois sous les fins remparts de tissus que constituaient son short moulant et son sous-vêtement trempée de sueur.

 

Dans un ultime sursaut, l'ignoble geste poussa Clara à tenter de repousser vivement l'autre femme, dans un cri de rage et d'effroi mêlés. Mais ce fut une fois de plus peine perdue, Michelle défaisant rapidement et avec force la prise des mains de Clara sur ses bras avant de la plaquer durement contre les casiers, maintenant sa proie en place ses mains sur les épaules moites de la belle blonde. Refermant l'espace ainsi créé entre elles, la bombe latine encra son regard dans celui de l'autre femme. Et quand cette dernière se senti instantanément repoussée contre les casiers lorsqu'elle tenta de se dégager, elle sut que jamais elle n'aurait le dessus dans ces conditions, et que quoi qu'il arrive, elle devrait se contenter de subir. Bon sang, mais que lui avait-il pris d'engager une telle athlète à son service…?

 

Michelle (joignant les poignets de Clara au-dessus de sa tête): Ce n'est pas ce genre d'excitation que j'ai l'intention de provoquer en vous. Alors maintenant, ou vous vous contentez de laisser réagir votre corps, et ce sera la manière douce, ou vous tenter encore de vous soustraire, et vous finirez à quatre pattes la tête entre mes cuisses. Compris…?

 

L'horreur qui figea le visage de Clara à ces mots fut plus éloquent qu'un long discourt et si la brune sut que désormais la blonde se tiendrait tranquille, celle-ci de son côté se fustigea de se retrouver en position de victime, elle qui pourtant était une femme forte, et plus que capable de se défendre d'ordinaire. Seulement voilà, plus rien ici n'avait d'ordinaire.

 

Michelle (saisissant le visage de Clara d'une main): Maintenant je vais t'embrasser, et gare à toi si tu ne joues pas le jeu.

 

Malgré les larmes qui coulèrent de ses yeux, Clara ne détourna pas la tête lors que Michelle vint déposer ses lèvres contre les siennes, et elle consenti même, de mauvaise grâce, à ouvrir le passage à la langue intrusive de Michelle lorsque celle-ci la sollicita, et les traits tirés d'amertume et de dégoût Clara dut subir ce tout premier baiser lesbien. Un baiser finalement loin d'être vorace, mais plutôt doux et tendre en réalité, comme si sa tortionnaire essayait de la rassurer, une idée insensée. Mais un baiser qui n'en finissait pas, qui par petites touches se stoppait, et reprenait sans jamais s'arrêter vraiment, un baiser comme une danse collée-serrée dans laquelle Clara était devenue bien malgré elle proactive. Et tandis que Clara faisait baver le léger rose à lèvres qui parait sa bouche sur celle de Michelle autant que cette dernière partageait avec elle son glose au parfum sucré, la main insidieuse avait repris son chemin pour finalement reprendre place à l'endroit privilégier d'où plus personne ne serait en mesure de la déloger. Et confiante de se savoir la situation bien en mains, la bombe brune laissa ses doigts libres danser sur la cerise du mont des plaisirs de cette femme, qu'elle avait dans la peau.

 

De longues minutes passèrent ainsi, Clara faiblissant de plus en plus sous les assauts de son assistante tandis que le plaisir montait de son côté de plus en plus dans son corps. Attendez, quoi…?! Du plaisir…? C'était impossible, elle ne pouvait pas ressentir du plaisir. Pas ici. Pas comme ça. Pas avec elle. Seulement le corps a ses pulsions que la raison ignore. Et alors qu'un gémissement guttural remonta dans sa gorge, Clara dut se résoudre à réaliser qu'elle allait jouir sous les attouchements de cette femme, et que pour la première fois en trois ans de mariage, elle allait devoir partager un orgasme avec un autre que son mari, ou plutôt une autre.

 

Cette image dégradante qui l'enveloppa de culpabilité la poussa à rompre le baiser et détourner la tête pour supplier pour son sort.

 

Clara (une nouvelle larme coulant le long de sa joue): Michelle, s'il te plaît… Je… Je suis ta patronne.

 

Michelle (plongeant un doigt dans la moiteur du sexe de Clara): Tu n'es qu'une chatte… Comme moi.

 

Accueillant le doigt inquisiteur en elle d'un nouveau râle de plaisir, sa chatte n'en dégoulina que davantage et ce fruit maintenant gorgé de plaisir accueillit le pousse venu achever son plaisir d'une puissante décharge d'extase, qui vint cambrer le corps de Clara tout entier. Cette dernière pouvait désormais sentir les doigts de Michelle bouger sur et en elle comme une chatte se lovait sur vos genoux, avec une chaleureuse délicatesse, quelque chose de lent et qui vous gagnait insidieusement – que vous aimiez ou non les chattes –, un vrai plaisir coupable. Et il semblait que les caresses du pouce de la belle brune avaient le pouvoir de la faire ronronner telle cette chatte à laquelle venait de la résumer Michelle.

 

Et cette culpabilité fut justement le seul sentiment qui l'étreignit quand Clara plongea sa tête dans le cou de Michelle au moment où elle concéda cet orgasme arraché à son gré, et qui ne se traduisit en franchissant la barrière de ses lèvres que par un seul mot…

 

Clara (haletant dans son orgasme): Saaa-lll-oope.

 

La belle assaillante compris aussitôt que sa proie était en train de jouir, Michelle accéléra donc les mouvements de sa main sur les chairs juteuses de Clara tout en augmentant la pression exercée par ses doigts, démultipliant ainsi d'autant l'orgasme qui submergea la belle blonde, qui ne contrôlant rien, vint planter ses dents dans la chair dénudée du cou de son agresseur féminin pour y imprimer la marque de ses dents, et taire son odieux plaisir.

 

Michelle (susurrant à son oreille): Tu vois comme il est bon de me laisser faire mon travail…

 

La brune voulut défaire l'étreinte et se reculer, mais elle constata que maintenant doublement épuisée, Clara, encore sous les effets de l'orgasme, allait alors s'écrouler sur le sol. Et ce n'est que lorsqu'elle se recula d'elle après l'avoir assise sur l'un des bancs du vestiaire que Michelle aperçu le rouge vif perlant sur la bouche de la blonde, et qui n'avait rien d'un rouge à lèvres. Ce n'est qu'alors qu'elle réalisa la douleur, et baissa les yeux sur la blessure qu'elle ne put que sentir du bout des doigts. La morsure était profonde.

 

Michelle (autant impressionnée qu'étonnée): Ais-je vraiment été aussi bonne…?

 

Seul un regard noir de colère, si ce n'est de haine, ne vint lui répondre en se braquant sur elle, la tête de Clara à moitié détournée. Seule défense que pouvait avoir Clara encore trop faible et abattue pour parler. Trop épuisée mentalement aussi pour se rendre compte qu'avec cette réponse muette, elle confirmait à Michelle à quel point celle-ci l'avait faite jouir.

 

Mêlés ainsi de son propre sang et des sucs féminin de l'autre femme, Michelle porta sa main à sa bouche et appât ses doigts parfumés pour les en ressortir immaculés. Emplie de fierté, la bombe brune sourie alors à pleine dents, heureuse de son accomplissement.

 

Michelle (tournant les talons): Ma journée est fini madame. A lundi…!

 

Ce n'est que lorsqu'elle déverrouilla la porte des vestiaires qu'elle entendit Clara lui adresser finalement la parole…

 

Clara: Tu ne l'emporteras pas au paradis.

 

La belle latine tourna la tête dans sa direction, et Clara vit que le sourire de Michelle, loin de l'avoir quitté, s'était encore agrandi, ce qui déstabilisa Clara quelque peu.

 

Michelle: Je sais. Toi et moi chérie, ce sera une histoire d'enfer.

 

Quand enfin Clara se retrouva seule, au milieu de l'indignation, de la culpabilité et de la honte, émergea dans son esprit une horrifiante pensée : qu'allait-elle dire à son mari…?

 

Retour au tribunal…

 

Me Heart: Et donc, après vous avoir coincé contre les casiers, qu'à fait mademoiselle Ortiz…?

 

Clara: Eh bien, comme je l'ai dit,  elle a tenté de m'embrasser de force.

 

Me Heart: Et ensuite, qu'avez-vous fait…? Que s'est-t-il passé…?

 

Clara: Ensuite, je l'ai repoussé et je suis partie directement vous entretenir de l'affaire, comme vous le savez Maître Heart.

 

Me Heart: Bien, merci madame Rousey, ce sera tout.

 

L'homme se rassoit et c'est à l'avocate de la défense de poser les questions.

 

Me Thomas: Votre témoignage fut très instructif madame Rousey. Toutefois il y a un point que j'aimerai éclaircir. Vous dites êtes partie directement après avoir repoussé ma cliente, n'est-ce pas…? Faut-il comprendre que vous l'avez laissé derrière vous…?

 

Clara: Heu… Oui, c'est exact. Je suis partie directement sans me retourner.

 

Me Thomas: Et c'est bien sûr sans proférer la moindre menace envers mademoiselle Ortiz…?

 

Clara: Pardon..? Je, je ne comprends pas…?

 

Me Heart: Objection votre honneur. L'audience porte sur l'agression physique subit par ma cliente et certainement pas d'une agression verbale inventée de toutes pièces.

 

Juge Ortega (recadrant): Vous vous avancez sans doute un peu trop sur la forme Maître Heart, mais je vous donne raison sur le fond. Si votre défense repose sur le procès d'intention de l'accusation Maître Thomas, il va falloir la revoir.

 

Me Thomas: Madame le juge, je ne fais que relever un simple point qui mettra en lumière que non-seulement ma cliente est en réalité la victime de cette agression, et non la coupable, mais que de plus, celle-ci fut formellement menacée après que madame Rousey ait été repoussée par mademoiselle Ortiz, qui par la suite fut injustement renvoyée et mise en accusation à tort pour le seul motif de ne pas avoir céder aux avances de sa supérieure hiérarchique.

 

Clara (s'indignant): Mais c'est insensé…! C'est totalement faux…!

 

Juge Ortega: Madame Rousey, vous n'êtes autorisée à prendre la parole que lorsque vous y êtes invitée. Encore une injonction de la sorte Maître Heart et je me verrai dans l'obligation de sanctionner votre cliente. Bien, vous avez l'autorisation de poursuivre Maître Thomas.

 

Me Thomas: Je vous le demande donc à nouveau madame Rousey, vous confirmez comme vous l'avez précédemment affirmez n'avoir proférer aucunes menaces envers ma cliente…?

 

Clara: Je… Peut-être que certains mots ont pu m'échapper effectivement. Mais je ne vois pas ce…

 

Me Thomas (la coupant): Et quels-étaient ces mots exactement madame Rousey, dites-moi…?

 

Clara: Je crois lui avoir dit qu'elle ne s'en tirera pas comme ça, quelque chose du genre.

 

Me Thomas (saisissant un document, récitant): "Tu ne l'emporteras pas au paradis." N'est-ce pas là les mots exacts que vous avez utilisé…?

 

Clara (concédant): Oui. Mais c'était sous le coup de la colère et j'avais de bonnes raisons après…

 

Juge Ortega: Veuillez-vous contenter de répondre aux questions madame Rousey. Dernier avertissement.

 

Me Thomas: Bien, vous avouez donc avoir menti. Mais sur quoi d'autre avez-vous menti madame Rousey.

 

Clara (exhortant): Tout ce que j'ai dit est vrai.

 

Me Thomas (brandissant le document): Et vous venez pourtant de démontrer le contraire. Madame le juge, j'ai ici le témoignage certifié de mademoiselle Ortiz, qui s'il décrit bien l'agression en question, nous compte un tout autre son de cloche. Dans sa déclaration sous serment ma cliente explique être victime d'un harcèlement sexuel de longue date de la part de madame Rousey, des déclarations confirmées par plusieurs clientes témoins de ses agissements. Un comportement face auquel ma cliente a toujours opposée un ferme refus, ce qui lui a valu jusqu'à cette agression sexuel sur son lieu de travail.

 

Me Heart: J'objecte Madame le juge, l'avocate de la défense essai douteusement de remettre en cause le bien-fondé de la démarche judiciaire de ma cliente alors que c'est bien elle ici la seule victime.

 

Juge Ortega (élevant la voix): Et c'est à moi seule d'en juger Maître Heart. Je rejette votre objection. Mais il va vous falloir plus que le témoignage de votre cliente, fut-ce-t-il corroboré pour de précédentes situations d'harcèlements, pour prouver vos dire concernant l'agression au centre de cette affaire Maître Thomas.

 

Me Thomas: Comme par exemple une preuve physique et concrète de l'agression qu'à subit ma cliente…? Madame Rousey, vous avez stipulé jusqu'ici qu'aucunes blessures n'avaient été déplorées ce jour-là, vous maintenez cette déclaration…?

 

Clara: Oui. Enfin pas de blessures physiques du moins.

 

Me Thomas (dévoilant): Bien. La cour constatera que les mensonges s'accumulent. J'ai ici les photographies tirées du rapport médical de ma cliente et datant du jour en question. Elles ont été prises à l'hôpital Cedars-Sinai par le personnel qui a hospitalisée ma cliente, à peine mois d'une heure après l'agression dont madame Rousey se dit la victime. Vous pouvez y voir la nature particulièrement violente de la morsure infligée à mademoiselle Ortiz. L'empreinte dentaire y est si nette, qu'après expertise, elle a pu être comparé à l'empreinte dentaire de madame Rousey, laquelle révèle une parfaite concordance.

 

Juge Ortega (soufflant, le rouge lui montant aux joues): Maître Heart veuillez approcher je vous prie…!

 

Ce dernier s'approche et le juge Ortega reprend.

 

Juge Ortega (contenant l'orage qui gronde intérieurement): Je ne sais pas comment vous avez monté votre dossier mais il vient de vous éclater au visage dans mon tribunal. Considérant que c'est ma dernière affaire de la journée avant le week-end, je suis encore prête à ne pas enfoncer votre cliente pour en finir au plus vite après ce fiasco, alors faites le nécessaire avant que je ne change d'avis et fasse de votre vie un enfer.

 

Pris au dépourvu d'une affaire semblant gagnée d'avance et qui vient de totalement lui échapper, l'avocat de l'accusation fait comprendre à sa cliente où se situent ses intérêts – qui concordent avec les siens lui qui voit se profiler de gros nuages professionnels à l'horizon. Clara, réalise alors avec horreur toute la profondeur de la perfidie de son ancienne employée. Elle consent contrainte à se rétracter, et attend maintenant assise aux côtés de son avocat la décision du juge, qui ne se fait pas attendre.

 

Juge Ortega: Bien, il est temps pour moi de mettre fin à cette mascarade. Une mascarade cruelle dont Mademoiselle Michelle Ortiz aura été la victime, et je me réjouis qu'elle n'ait pas assisté à cette mauvaise farce. Quant à vous madame Rousey, je vous condamne à suivre une thérapie pour apprendre à gérer vos pulsions auprès d'un spécialiste choisi par la cour et qui, soyez-en sûre, me rendra compte. Aussi, à partir de ce jour vous êtes sommée de rétablir mademoiselle Ortiz dans ses fonctions et êtes condamnée à lui verser une somme de trois-mille dollars au motif de son renvoi abusif, et de cinquante-mille dollars en dédommagement des préjudices corporels et matériel subis. Affaire classée. Maintenant fichez le camp de mon tribunal.

 

Choquée par tout ce que ça signifie, Clara se lève pour quitter l'endroit en se demandant si elle n'aurait pas mieux fait de dire toute la vérité en avouant le viol qu'elle avait subi. Elle avait stupidement pensé que parler d'une simple tentative lors de cette agression serait suffisant pour éloigner cette odieuse femme définitivement. Comme elle s'est trompée. Et en même temps, que ce serait-il passé si elle avait tout déballé…? Elle aurait peut-être gagné, ou pas. La seule chose qui la rassure en quittant les lieux reste que sa honte d'avoir été prise de force, par une femme, et d'en avoir eu du plaisir, restera son vilain petit secret, et c'était l'essentiel – après tout son image est le cœur de son business. Maintenant, lui reste seulement à trouver comment composer avec le retour de Michelle…

 

Quelques minutes plus tard, le juge Miranda Ortega peut enfin apprécier le silence de la salle vide, presque vide.

 

Miranda (s'avachissant dans son fauteuil): Tu peux sortir de là maintenant.

 

Se redressant alors assise en position du chien, la jeune femme qui se trouvait jusque-là installée sous le pupitre, la tête entre les cuisses d'une Miranda fesses nues sous sa robe cérémoniale, relève son sublime minois à la bouche et au menton brillant de sécrétion. Michelle donc, qui à l'insu de tous était bien présente depuis le début.

 

Michelle (faisant la moue): Tu ne veux pas que je finisse de te faire jouir d'abord…?

 

Miranda (épuisée, les yeux clos): Très chère, c'est précisément parce que tu m'as faite jouir une bonne demi-douzaine de fois que j'ai dû expédier les choses avec ta chérie. J'admets donc que tu as de très solides arguments pour faire pencher la balance en ta faveur. Maintenant, comme je ne veux pas aller jusqu'à réellement mourir de plaisir, tu vas m'aider à me lever et à marcher jusque dans mon bureau pour que je puisse récupérer, j'en ai plus que besoin.

 

 

Michelle (se levant, avec un grand sourire): Avec plaisir Madame le juge…!

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Les nouvelles Souveraines , de KS - Communauté : Soumissions féminines
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Jeudi 3 décembre 4 03 /12 /Déc 22:08

Deuxième chronique : Tara, aspirante

 

 

Tara a 19 ans, de longs cheveux ondulés et une appétissante peau chocolat, sa poitrine n'excède pas le bonnet B mais avec sa taille fine et son minois parfait, l'ensemble vaut plus que largement le détour. Dans sa vie d'avant, elle se vouait à faire carrière dans la médecine. C'était avant qu'elle retrouve une mystérieuse carte de visite dans son sac après une soirée. La carte en question était au nom d'un club ultra select où personne de sa connaissance n'avait jamais pu entrer. Elle y était donc allée, et sa vie avait changé du tout au tout. On l'y avait initié à un monde de vices et de luxures, un monde où les femmes étaient Reines, littéralement, et un monde dissimulé aux yeux du commun des mortels où l'on pouvait acquérir un statut et un pouvoir que ni l'argent, ni la célébrité, ni de bonnes relations, ne pouvaient acheter.

 

Mais pour espérer gravir les échelons et peut-être un jour devenir l'une de ces Souveraines, il fallait d'abord faire ses preuves, et pour ça, Tara avait tout quitté; ses études, son petit appart en coloc, et même son copain. Et elle était devenue officiellement une aspirante du clan Quinlan, de la Comtesse Elizabeth Quinlan, qui règne sur l'état de Virginie tout entier. C'est pour ça qu'elle est là ce soir, assise sur une chaise dans le petit salon de la luxueuse propriété de la Comtesse, car c'est ici que Tara va prouver que des trois aspirantes qui ont passé toutes les épreuves jusqu'ici, c'est elle qui mérite sa place parmi elles.

 

Comtesse Elizabeth: Toi, aspirante De Santos, combien…?

 

Aspirante De Santos: Vingt-et-une, Comtesse Quinlan.

 

La jolie Tara ne peut empêcher un sourire discret de naître sur son visage en entendant le nombre énoncé par sa concurrente; 21… ridicule. Son sourire n'échappe toutefois pas à la Comtesse, assise sur son fauteuil ancien face à la petite assemblé des aspirantes et des quelques membres nécessaires à la cérémonie qui a lieu ce soir.

 

Elizabeth: Bien, vérifions ça. Stephanie.

 

La femme debout à ses côtés qu'elle vient d'invectiver soustrait à la première aspirante la carte SD que la fille lui tend, pour aussitôt l'introduire dans l'ordinateur portable relié au projecteur de la salle. Bientôt, des fichiers vidéo se succèdent, laissant apparaître cette même-fille, plus ou moins visible, en train de sucer des chattes. Une, deux, trois, dix, quinze, vingt, et vingt-et-une vidéo défilent, le compte y est. Mais il ne suffit pas.

 

Elizabeth: Bien, le compte est avalisé, ça nous fait donc vingt-et-une chattes de sucées dans le temps imparti d'une semaine. Voyons si ce sera suffisant.

 

La Comtesse sait que non, et elle n'est pas la seule. Lorsque la question du nombre est posée à la seconde aspirante, assise à la gauche de Tara, la fille répond sûre d'elle, trop sûre d'elle.

 

2ème aspirante: Cinquante-trois, Comtesse Quinlan.

 

Elizabeth (satisfaite): Bien, voilà un nombre autrement plus sérieux, et largement suffisant pour disqualifier votre petite camarade de jeu… après vérification. Stephanie, à toi de jouer.

 

Une fois de plus la femme aux ordres de la Comtesse s'exécute, et récupère la carte informatique préalablement fourni pour l'ultime épreuve, afin que les aspirantes y stockent les vidéos de leurs ébats pour avaliser chaque sexe de femme ayant honoré leur bouche. A nouveau, les vidéos défilent sur l'écran du projecteur et les chiffres sont confirmés, enfin presque.

 

Elizabeth: Stephanie, rappelle à nos chères amies ici présentes quelle était la règle de limitation.

 

Stephanie: Les parties à plusieurs ne comptent que pour une fois.

 

Elizabeth: Autrement dit, ton plan à trois ne compte que pour une seule chatte, aspirante Hamby. Ce qui nous fait donc cinquante-deux pour toi. Ce qui est déjà suffisant pour exclure miss De Santos.

 

D'un geste de la main, la Comtesse donne l'ordre à Stephanie, qui le fait suivre à ses deux subalternes.

 

Stephanie (ordonnant): Diane, Gloria, veuillez raccompagner notre invitée à la sortie. Les festivités sont finies pour elle.

 

Les deux femmes s'exécutent, et devant la réticence de la jeune femme qui se débat, elles l'empoignent fermement, habituées à ce genre d'exercices; crises de larmes et d'hystérie vont souvent de pair avec ce genre d'exclusion définitive. Mais arrivées à la porte, sont prononcés les seuls mots qui ne sont pas pardonnés…

 

Aspirante De Santos (crachant): J'ai tout laissé tomber pour vous, je n'ai plus rien, je ne suis plus rien et vous me jetez…!? Vous n'êtes que des sales putes…! La Comtesse n'est qu'une vulgaire pute…! Je te crèverais salope, t'entend…?!

 

Aussitôt, les deux gardes s'immobilisent et ramènent séance tenante l'impertinente devant la Comtesse. Elles n'ont nullement besoin d'ordre pour exécuter ce qui va suivre, elles le savent.

 

Stephanie (attrapant l'aspirante à la gorge, la mâchoire serrée): Ignare. Dans sa grande mansuétude, notre bien-aimée Comtesse pardonne ce genre de débordements affectifs, y compris les insultes à son égard, et parce que nous lui sommes ici toutes fidèles, nous ne punissons pas les exclues lorsqu'elles osent se le permettre. Par contre, menacer la vie de notre suzeraine est un crime que, sur notre vie, aucune d'entre-nous ne seraient-prête à laisser passer. Diane, Gloria, conduisez De Santos dans la réserve.

 

Diane: Quels châtiments avant l'exécution, Madame…?

 

Stephanie: Qu'avez-vous ressentie en l'entendant vociférer ces menaces contre notre Comtesse, toutes les deux…?

 

Diane (échangeant un regard avec Gloria): De la haine, Madame.

 

Stephanie: Bien, donnez-lui en le goût.

 

Aussitôt, les deux gardes se retirent prestement avec l'ex-aspirante en sursis, remerciant le ciel de pouvoir lui faire payer ses mots en l'étripant elles-mêmes.

 

Elizabeth: Revenons-en à nos moutons. Combien de chattes as-tu sucé cette semaine aspirante Siff…?

 

La Comtesse est vraiment curieuse de le savoir, car très rare sont les recrues à atteindre la cinquantaine, et même là, la petite Tara Siff n'avais pu dissimuler complétement son sourire de joie. Ce qui voulait dire qu'elle était au-delà, mais de combien…?

 

Tara: J'en ai sucé cent-quarante-sept, Comtesse Quinlan.

 

La petite assemblée ne peut retenir un hâle de stupeur, même la Comtesse affiche sa surprise. Jamais aucune fille n'a ne serait-ce qu'approché la centaine, alors un tel score est tout à fait hors du commun. S'il n'y a pas tricherie, bien entendu.

 

Pour la troisième fois, l'écran s'anime et Tara y apparait en compagnie d'une autre fille, plutôt jeune et bien fichue. Elles sont dans une chambre à coucher cosy. A la demande de Tara, l'autre fille dégrafe sa jupe plissée qu'elle pose sur un fauteuil, puis elle retire sa petite culotte qui rejoint sa jupe et reste plantée dans la pièce. Tara la guide jusqu'au bord du lit où elle la fait assoir et où elle lui fait écarter largement les cuisses. Elle s'écarte un instant pour laisser bien en vue de la caméra dissimulée, les charmes de sa partenaire, qui eux ne le sont pas du tout. Tara s'accroupie alors devant cette chatte au duvet naturel et foncé complétement offerte. Sans plus attendre, elle plonge la tête entre les cuisses ouvertes et se jette avec une avidité peu retenue sur le sexe de la fille, pour qui c'est une première. Tara doit faire vite, elle doit rentabiliser au maximum sont temps si elle veut sucer le plus de chattes possible, et parce qu'il faut agir avant que la fille ne change d'avis au dernier moment, sait-on jamais, et enfin parce qu'elle a interdiction de faire quoi que ce soit d'autre que d'utiliser sa bouche pour cette épreuve. Et comme tout plaisir sexuel lui est interdit en permanence en dehors des affaires du clan Quinlan, sa propre excitation de manger des chattes ne peut pas être rassasiée, alors elle tente de raccourcir ce diabolique calvaire.

 

Ainsi Tara va droit au but et butine la chatte fraîche qui s'échauffe doucement au rythme de plus en plus rapide de sa langue insidieuse. Elle lèche les grandes lèvres, suce les petites, presse le clito du plat de la langue et s'enfonce dans les chairs de plus en plus luisante. Elle darde sa langue comme une petite bite et s'enfonce le plus profondément possible, avant de repartir à l'assaut du clitoris durement bandé de la jeune fille qui n'est pas capable de retenir son plaisir et qui s'écroule sur le lit.

Si cette fille ne virait pas lesbienne après pareil traitement, c'est qu'elle devait l'être déjà. Tara lui fait profiter de toute l'expertise qu'elle a accumulé au fil des mois et elle en est récompensée quand un puissant orgasme éclate dans sa bouche, l'abreuvant d'une nouvelle coulée de jus tiède et goûteux qu'elle s'empresse d'aspirer, avant de nettoyer consciencieusement ce sexe savoureux à peine majeur.

 

La jeune Tara se souvient que déjà après la première fille, les muscles de sa mâchoire la tiraillait, tout comme sa libido. Et comme le montre la seconde vidéo alors, elle n'avait pas perdu son temps avant de remettre ça, encore, et encore, et encore. Des blondes, des brunes, des rousses, des noires, des asiatiques, des naturelles, des épilées, des odorantes, et des bien baveuses – surtout après – et au milieu de ça probablement une bonne quantité de chattes vierges. Sur l'écran, les minettes juvéniles défilent alors que Tara passe d'entre-jambes en entre-jambes, le time code de l'enregistrement indiquant le passage des jours autant que des cunnilingus interminables qui ont rythmés cette insupportable semaine, qui a maintenu tout ce temps le sexe de la jolie Tara liquéfié sans interruption.

 

Ce soir encore, sa culotte n'est qu'une éponge détrempée, et son niveau d'excitation permanant est si élevé qu'elle pourrait jouir simplement si on lui ordonnait de le faire, là, tout de suite, sans même le moindre attouchement. L'enregistrement se coupe enfin, il y a bien eu cent-quarante-sept bouffages de chatounne comptabilisé.

 

Elizabeth (impressionnée): Eh bien, eh bien. Je suis autant ébahie par la performance que rendue curieuse. Comment t'y es-tu prise pour faire ton compte d'autant de petites chattes désirables…?

 

Tara: J'ai fait le tour des campus universitaire en annonçant des castings pour un shooting de mode, et j'ai proposé le job à chaque fille qui m'accorderait l'accès à son minou. Elles ont été nombreuses à accepter.

 

Elizabeth: C'est le moins que l'on puisse dire… Tu détiens maintenant officiellement le record de cette épreuve, ce qui fait de toi notre incontestable gagnante.

 

La Comtesse Elizabeth Quinlan est ravie, cette fille est tout bonnement géniale, et elle fera un parfait tribut pour la commémoration royale annuelle à venir. Elizabeth met dans un coin de sa tête qu'il lui faudra remercier sa première servante, Stephanie, d'avoir recruté cette fille. Mais pour l'heure, c'est une autre qui lui faut récompenser pour sa peine.

 

Elizabeth (se levant): Viens à moi aspirante, et ici devant témoins, jure-moi fidélité et obéissance, à moi, Elizabeth Quinlan, la Comtesse de Virginie, dès à présent ta Souveraine exclusive. Jure sur ta vie m'offrir ton corps et ton âme.

 

La jeune aspirante se redresse pour s'approcher de la Comtesse, sa Comtesse. Tara est euphorique, presque en transe, elle a réussi. Tous ces mois entiers passés à prouver sa valeur dans la dévotion la plus totale, et elle est enfin acceptée comme une des leur.

 

Tara (s'agenouillant, relevant la tête): Je jure.

 

Devant ses yeux ébahis, Tara vois la Comtesse de Virginie donner l'ordre, et deux servantes viennent se placer à ses côtés pour relever les pants de sa robe haute-couture, avant que Stephanie, sa première servante ne vienne respectueusement baisser la fine étoffe qui enveloppait le noble sexe de sa Maîtresse jusqu'aux genoux de cette dernière. Plus rien ne sépare alors Tara de son grand moment, enfin elle va être honorée par la douche d'Or, ultime récompense entre toutes, et peu importe qu'elle n'ait pas encore gagné le droit d'en boire, de recevoir en elle ce qui venait du plus profond de sa Maîtresse, elle est aujourd'hui reconnue par cette dernière comme membre de son clan, de sa famille, et digne de porter son nom.

 

La jeune fille se place alors solennellement aux pieds de la Comtesse, redresse la tête en gardant les yeux bien ouverts, car elle ne veut rien louper de ce moment. A quelques centimètres à peine de ce temple sacré du plaisir, Tara observe le jet soudain apparaître et jaillir sur son visage pour l'arroser vivement. Elle est éclaboussée et ses yeux lui piquent, mais la chaleur se repend en elle sur son visage comme dans son propre sexe qui n'a pas fini de couler depuis des jours. L'urine dégringole sur elle comme un torrent venu étancher une soif inextinguible, entourant les sens de Tara de son odeur enivrante et caractéristique. Puis une main empoigne ses cheveux alors que le jet se coupe, et Tara entend des mots qu'elle n'arrive pas à croire.

 

Elizabeth: Ouvre la bouche, que je récompense ta ferveur.

 

S'exécutant, Tara ne se fait pas prier, elle sent alors sa bouche être collée au sexe aristo par sa propriétaire, et comme dans un rêve, Tara observe la Comtesse Quinlan planter ses yeux dans les siens en même temps qu'elle lui envoie une grosse et longue rasade de pisse dans la bouche. Quand l'orifice buccal est prêt à déborder et que se met à en couler quelques gouttes, la Comtesse Elizabeth coupe les vannes, et Tara peut enfin étancher sa soif en avalant la pisse encore brûlante et goûteuse de sa Maîtresse, son palais envahis par la saveur forte de ce champagne millésimé. Ses papilles s'agitent dans tous les sens et les stimuli sont tellement forts et intenses que Tara en ressent carrément un orgasme. Un bon et agréable petit orgasme des sens, ultime cadeau que lui offre indirectement sa Souveraine absolue. Ce qui vient doucement clôturer sa cérémonie d'introduction.

 

Elizabeth: Tu as été lavé des pêchés de ta vie passée par mon absolution, je te baptise donc dans ta nouvelle vie de servante. Lève-toi, Tara Quinlan de Virginie, et sois la bienvenue dans ma famille.

 

Tara (se levant): C'est un honneur, Comtesse Quinlan.

 

Elizabeth: Ta-ta-ta, tu es une Quinlan dorénavant, ce sera donc Comtesse que tu me nommeras à présent, comme tes sœurs. Maintenant pour apaiser le feu de ton ardeur, ou devrais-je dire tes ardeurs, et pour récompenser à juste titre ce nouveau record, choisi dans au sein du clan celle que tu souhaiteras, et elle te satisfera jusqu'au matin.

 

Ca ne serait pas de trop pense Tara, car sa libido la tenaille si fort et depuis si longtemps qu'elle en a joui rien qu'en posant sa bouche sur une chatte, enfin, par n'importe qu'elle chatte tout de même. D'ailleurs si elle osait…

 

Tara (hésitante): Celle que je souhaite, vraiment…?

 

Elizabeth (riant): Oui, vraiment…! C'est le privilège que je t'accorde, nulle ne se défilera. Dis-moi donc, à qui va ta préférence mon enfant…?

 

Tara: Je… A vous, Comtesse.

 

Elizabeth (étonnée): Voilà qui a le mérite d'être franc. Soit. Stephanie, emmène notre nouvelle sœur faire sa toilette et mène-là dans ma chambre. Tu feras passer le mot, personne ne nous dérangera jusqu'au matin. Disons plutôt jusqu'au midi, j'ai été choisi, et je compte bien faire honneur à ce choix.

 

Le nouveau membre du clan Quinlan n'en revient pas, la Comtesse en personne a accepté, la Comtesse va se dévouer à son seul plaisir pour le durant de la nuit entière, et même au-delà…! Décidément, les efforts ne sont pas vains, elle en redoublerait donc pour elle aussi faire honneur à sa suzeraine. Tara suit donc Samantha et quitte le petit salon sous les yeux de la Comtesse Quinlan, qui a encore un dernier cas à régler, comme elle n'a pas encore donné l'ordre qu'on la rhabille.

 

Elizabeth: Quant à toi, aspirante Hamby, tu arrives seconde. Tu sais ce que ça signifie… as-tu quelques choses à dire…?

 

Aspirante Hamby: Oui Comtesse Quinlan. Ca signifie que je vais devoir partir définitivement dès ce soir. Je suis triste. Mais je vous remercie de m'avoir accepté durant tout ce temps, et je suis très heureuse de vous avoir servie. Mon seul regret est de ne pas avoir été à la hauteur de vos attentes. Mais je reconnais que Mademoiselle Tara méritait cette victoire et qu'elle vous servira aussi bien que je ne l'aurai fait.

 

Oui, Elizabeth Quinlan ne s'était pas trompée non-plus sur le compte de cette plantureuse rouquine. Cette année, la famille Quinlan accueillerait donc deux nouveaux membres.

 

 

Elizabeth: Même devant ta défaite tu restes digne et tu me fais honneur. Félicitation Déborah. Approche donc, que je fasse de toi… l'une des nôtres.

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Lundi 21 septembre 1 21 /09 /Sep 22:03

Première chronique : Jenny, reporter

 

Jenny à 26 ans, elle est blonde, plutôt jolie. Elle est photo-reporter free-lance. Elle a tout fait, l'Iran, l'Irak, la Somalie, même la Corée du Nord. Là où il y a un dictateur, ou le peuple est tyrannisé, elle se rend au péril de sa vie pour prendre des images. Pour afficher à la face du monde les horreurs perpétrées par leur régime barbare.

 

Pourtant c'est ici, sur le sol américain, qu'elle est sur le point de percer à jour l'existence d'une secte tentaculaire qui s'étendrait dans tout le nord de l'Etat de Virginie. Après deux années d'investigations intensives, elle est parvenue à localiser l'une des hautes dirigeantes de cette organisation sous-terraine, Becky Lowell, surnommée "La Duchesse de Richmond". Et c'est avec l'intention d'en apprendre plus qu'elle s'introduit dans sa propriété isolée au nord de la ville.

 

Entrée en pleine journée, après le départ de sa cible, elle fouille un bureau et découvre des documents sur le réseau de cette organisation. C'est encore plus important que ce qu'elle croyait, cette révélation sera énorme…! Elle prend des photos, quand elle entend des bruits de pas dans les escaliers. Mince, elle n'a entendu personne entrer pourtant…! Il n'y a aucune cachette dans la pièce et impossible de fuir par la fenêtre. Jenny tente de se dissimuler derrière les portes qui s'ouvrent pour sortir dans le dos de la propriétaire des lieux, mais c'est peine perdue. Car la femme en question est accompagnée de quatre autres filles, qui ont tôt fait de la coincer.

 

La reporter crie et ordonne qu'on la laisse partir. Mais un coup violent dans l'estomac la faire taire et elle s'écroule au sol. Sa cible, la dénommée Becky Lowell, prend la parole.

 

Becky (toisant): Tu t'introduis dans ma propriété et tu crois que tu vas pouvoir en sortir aussi facilement…? Tu te goure sur toute la ligne ma petite.

 

Jenny (toussotant, les yeux rougies par la douleur): J'use de la liberté de la presse en étant ici. Vous devez me laisser partir, où les autorités de la ville sauront ce qui se passe ici. Je suis reporter, vous êtes prévenues…!

 

Becky: C'est bon, ramassez-là et asseyez-là sur une chaise.

 

Jenny pense leur avoir fait peur, elle se trompe.

 

Becky: Je sais très bien qui tu es; Jenny Barnes, 26 ans, née à Austin, photo-reporter engagée prête à violer la loi pour faire éclater la vérité au grand jour. Tu as même passé neuf semaines en captivité au Mexique en t'impliquant dans un trafic de traite de femmes. Je sais même que c'est là-bas que tu as entendu des rumeurs à propos de nous. Je connais bien ton travail, et je sais que c'est inutile de te menacer.

 

Jenny (écarquillant les yeux): Vous savez qui je suis…?

 

Becky: Tu crois être la seule à pouvoir enquêter…? Tu prends beaucoup de risques mais tu n'es pas très discrète. On t'a repéré y'a longtemps. Et quand on a compris qui tu étais, on t'a tendu ce petit piège.

 

Jenny: Me piéger…? Pourquoi faire, vous voulez me faire taire…?

 

Becky: Non ma chère, au contraire, je veux que tu ouvres ta bouche en grand. Pour venir honorer ta nouvelle Maîtresse la Duchesse pour commencer.

 

Becky donne l'ordre à ses subalternes et deux d'entre elles amènent Jenny à ses pieds pendant qu'elle dégrafe sa jupe et la laisse choir à terre, dévoilant un sexe nu à la toison finement entretenu à la blonde.

 

Jenny: Vous êtes cinglée…! Vous voulez quoi, que je vous bouffe la chatte…!? C'est hors de question, bande de malades…!

 

Becky (s'accroupissant devant elle): Tu ne comprends pas bien ta situation. Quand tu es entrée ici, tu as cessé d'exister pour le monde extérieur, et tu ne quitteras jamais ma propriété. Maintenant je vais te laisser choisir où je vais te garder. A mon service en tant que bonne chienne docile, ou enterrée dans les jardins pour servir d'engrais aux plantes…? C'est toi qui vois, petite.

 

La reporter est terrifiée mais elle se dit que morte, elle n'a plus aucune chance de s'échapper.

 

Jenny (versant des larmes de rages et de hontes): C'est d'accord, je vais vous lécher.

 

Becky (se relevant): Tu as fait le bon choix. Maintenant scelle ce pacte de soumission en venant honorer mon noble sexe. Et fait ça bien…!

 

Vaincue et humiliée, Jenny vient timidement poser sa bouche sur le sexe de sa nouvelle Duchesse, qui lui colle le nez dans sa touffe frisée d'une main plantée dans ses cheveux.

 

Becky (ordonnant): Suce-moi comme si t'as vie en dépendait….! Tiens, d'ailleurs, c'est le cas…!

 

La Duchesse de Richmond – un terme qui prend soudain tout son sens pour Jenny – éclate de rire. Jenny est maladroite, sa langue encore plus. Mais Becky mouille toujours beaucoup d'assujettir une nouvelle fille, et contre son gré encore plus. Alors elle laisse faire sa nouvelle petite blonde quelques minutes, jouissant de son pouvoir. Et sachant que Jenny n'a pas encore l'expérience requise pour la faire venir, elle agrippe plus fermement ses cheveux blonds et se sert de son visage comme celui d'une poupée sexuelle pour se faire jouir dessus.

 

La blonde subit, impuissante, les bras retenus dans le dos par les deux femmes qui ne l'ont pas lâché. Elle sent ses narines être envahis par l'odeur du sexe de l'autre femme à chaque respiration, quand son nez tout entier ne finit pas dans la chatte ruisselante de Becky, qui sur le point de jouir redouble d'efforts.

 

Becky (orgasmant): Oh putain….! Oh putain ma salope…! Oh oui je vais jouir….!! Je viens, je viennnns…!!!

 

L'orgasme qu'elle ressent est fort, elle vacille sur ses jambes, mais ses deux autres subalternes la soutiennent par les bras pour ne pas qu'elle chute. Becky peut donc finir d'étaler sa jouissance sur le visage collant de Jenny.

 

Les sécrétions qui recouvrent son visage ont été si importantes que les paupières de Jenny se retrouvent collées, engluées dans la cyprine visqueuse. Mais ce n'est rien comparé au goût du jus de chatte qui a envahis son palais. Jenny est sûre à cet instant qu'il faudra des jours pour que l'odeur imprimée sur sa langue disparaisse. Mais au moins la séance de torture est finit. Du moins, c'est ce qu'elle croit.

 

Becky: Maintenant jure-moi fidélité et obéissance devant témoins, à moi, la Duchesse de Richmond, désormais ta Maîtresse exclusive. Jure sur ta vie m'offrir ton corps et ton âme…!

 

La blonde sait que sa vie est en jeu. Les deux femmes qui la tiennent manquent de lui déboîter les épaules, ce qui finit de la décider.

 

Jenny (priant pour que ça ne recommence pas): Je jure…! Je jure sur ma vie que je vous obéirais, que je vous serais fidèle. Je le jure sur mon âme, sur mon corps. Je vous appartiens…! Je le jure Duchesse…!

 

Becky (satisfaite): Bien, maintenant que tu as juré et que tu as été bénie par ma jouissance, je te lave des pêchés de ta vie passée de mon eau, de ma purificatrice urine, et je te baptise comme mon enfant dans ta nouvelle vie de soumise.

 

La blonde n'en croit pas ses oreilles, et à travers ses yeux encore embués du jus de la femme à qui elle vient de jurer loyauté et appartenance, elle arrive à peine à voir la cascade du liquide doré et bouillant qui vient s'abattre furieusement sur sa figure.

 

La Duchesse jubile, ça c'est le vrai pouvoir…! Celui de changer l'humiliation en honneur, car elle le sait, les quatre autres femmes dans la pièce tueraient père et mère pour recevoir la douche suprême, à laquelle seules les favorites des souveraines ont encore droits après leur baptême. Jenny n'en ait pas encore là, mais ça viendra, Becky le sait. Pour l'heure, la blonde se sent avilie comme jamais. Une autre femme lui pisse dessus, et sur le visage…! Le liquide chaud mouille ses cheveux, éclabousse ses vêtements, et même s'il la débarrasse d'une bonne partie des sucs sexuels de sa tortionnaire, il lui brûle aussi les yeux.

 

La reporter remercie quand même le ciel de pouvoir fermer la bouche et respirer par le nez, se disant que le goût d'une chatte valait toujours mieux que celui de la pisse. Soulagée de ne pas en avoir avalé, et encore plus quand ça s'arrête, Jenny déchante quand elle entend l'ordre claquer.

 

Becky: Maintenant que je t'ai lavé, c'est à ton tour. Nettoie-moi avec ta langue, et applique-toi, que ce soit aussi propre qu'avant que je me salisse pour toi.

 

C'est est trop pour elle, plonger sa tête dans une minette poisseuse et encore gouttelante de pisse, au-delà de la raison, elle ne peut pas. Un signe de tête de la Duchesse et un violent coup de pieds dans les reins la font rapidement changer d'avis. Jenny étoufferait misérablement sa douleur écroulée sur le sol si on ne la tenait pas. Sa tête retrouve le sexe ruisselant de Becky et elle active sa langue pour laper le plus vite possible. Elle veut que ça s'arrête pour souffrir en paix. Alors elle lutte contre la nausée et le goût pas si atroce de l'urine dans sa bouche, le sens du goût en partie anesthésié par le jus de sa nouvelle Maîtresse. Quelques douloureuses pressions sur ses bras la font accélérer le mouvement, et Becky la repousse brusquement ensuite d'un geste de la main.

 

Becky: Ca suffit, mouchoir…!

 

La Duchesse attrape le mouchoir en tissu qu'on lui tend et s'essuie méticuleusement les reliquats de ses sécrétions. Le geste est prémédité. Plus longtemps, et Jenny la salirait avec son visage dégoutant. Surtout, en récupérer comme ça lui permet de faire un de ces présents qui font l'immense joie de ses subalternes. Et Becky sait qu'une étoffe réunissant sa mouille et son champagne est le cadeau le plus prisé de ces dames. Elle offre donc le bout de tissu à celle qu'elle estime la plus méritante. Les filles ne savent jamais quand c'est leur tour, et la fille qui le reçoit laisse éclater un grand sourire avec des étoiles dans les yeux, plus aimante que jamais envers sa souveraine. Les autres sont réduites à baver d'envie, jusque dans leur culottes.

 

Becky (refermant sa jupe): Te voilà devenue l'un de mes sujets, Jenny Barnes de Richmond. Tu apprendras les lois et les honneurs qu'impliquent ce privilège. Emmenez-là…!

 

"A vos ordres Duchesse. Devons-nous l'emmener dans la dépendance…?"

 

Becky: Non, celle-là me plaît. Installez-là dans mes quartiers.

 

 

C'est vrai, Jenny lui plaît. Ca faisait des mois qu'elle l'avait à l'œil, depuis que la Comtesse de Virginie lui avait fait savoir qu'une fouineuse remontait vers sa ville, son territoire, Richmond. Et maintenant, elle était enfin sa propriété. Oui, Jenny allait devenir sa favorite, que ça lui plaise ou non. Et la Duchesse Becky allait faire en sorte que sa lui plaise, autant que lui plaisait cette petite blondinette, énormément…!

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Lundi 21 septembre 1 21 /09 /Sep 22:02

Il y a eu un âge fort peu connu, entre l'avènement du feu et la fin de l'âge des pyramides, où les femmes régnaient sur le monde et pliait l'humanité à leur volonté. Une époque de Souveraines absolues et de Maîtresses totalitaires.

 

De nos jours et à l'abri des regards, dans certains endroits du monde, des sociétés secrètes vouant un culte aux descendantes de ces souveraines continuent de vivre avec leur précepte ancestral; les femmes sont seules détentrices du vrai pouvoir.

 

 

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Lundi 21 septembre 1 21 /09 /Sep 21:54

Pour nous faire patienter alors qu'il termine le chapitre 2 de "Sarah et Mélanie", KS lance une 2ème série "Les nouvelles Souveraines": une série de chroniques courtes et choc relatives à une société secréte de dominatrices sévères.

Je vous laisse découvrir!

Bonne lecture!

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