L'asservissement de Miss Camping, par Alexis

Mercredi 27 juillet 3 27 /07 /Juil 20:06

- Allez, habille-toi, si on part trop tard on va se prendre la tête.

C'était drôle: mon coeur battait la chamade à l'idée de porter cette petite culotte échancrée. Assise sur le duvet,  je la passai à travers mes pieds, puis la remontai doucement le long de mes jambes, avant de la caler sur mes fesses encore sensibles des diverses fessées et des gravillons de la veille. La douceur du tissu contre mon sexe fraîchement rasé me fit sourire. J'attrapai un débardeur vert-pomme serré et le mis, sans soutien-gorge. Le coton tendu sur ma poitrine me parut extraordinairement érotique. Je me trouvais bien plus sexy habillée ainsi que nue.

Jean avait mis un short long et un T-shirt rouge, il m'attendait près de la voiture, avec Vincent et Sarah, impatient. Il est vrai que faire un plein de courses à l'hypermarché du coin, c'était embouteillages assurés et queue interminable à la caisse après 11h du matin. Je mis des sandales à talons, et sortis de la tente. J'avais l'impression d'être toute nue, justement, habillée ainsi. Que le fait d'être habillée devant tout le monde était anormal, presque interdit, pour moi.

- Tu es très belle, me lança Sarah. Il faudra que je t'enlève tous ces vêtements moi-même, tout-à-l'heure.

Je montai dans la voiture en rougissant.

- Merci.

Jean jeta un regard inquiet aux alentours pour vérifier que personne ne m'avait aperçue.

- Baisse-toi, il ne faut pas qu'on te remarque toute habillée, me dit Jean. Ce serait un coup à perdre notre prix.

Je hochai la tête en me ratatinant dans mon siège. Je n'avais pas le droit de m'habiller pendant le séjour - sous peine de devoir payer notre hébergement pour le mois de juillet. Résultat stupide de ce concours tout aussi stupide des Miss Camping. Qui m'avait valu de découvrir que j'étais faite pour une sexualité débridée, libre, libertine. Avec hommes et femmes. Sapho incarnée. Je sentis mon bas-ventre réagir, je mouillais à ces pensées. Je souris.

Vincent et Sarah prirent place à l'arrière, et Jean prit le chemin de la sortie du camping, que nous atteignîmes sans que personne ne fasse attention à moi. Quinze minutes plus tard, j'entrai dans le supermarché, derrière Jean qui poussait son caddie, comme une citoyenne normale dans un monde normal. Des larmes me montèrent aux yeux - j'étais émue de renouer avec une vie presque oubliée. Je ne vis pas Sarah et Jean disparaître dans les rayons, et me retrouvai seule avec Vincent, qui me regardait en souriant de manière ironique.

- Allez, ma belle, viens avec moi, on va s'amuser pendant que ton mari fait un peu les courses.

Il me prit par la taille, me fit une bise sur la joue, et m'emmena dans les rayons.

Je le suivis, mi-curieuse mi-inquiète. Si Vincent m'avait procuré du plaisir dernièrement, je savais qu'il ne visait que ses propres buts à lui, et qu'ils pouvaient différer des miens. De plus, j'étais hors du camping, cette fois, et je pouvais donc me comporter normalement, sans avoir à obéir à tout-un-chacun. Il me serra un peu plus la taille en tournant dans le rayon des soutiens-gorge et des culottes.

- Voilà, dit-il. Choisis.

- Euh... Je choisis quoi ?

Il avait les yeux pétillants de malice.

- Ce que tu veux. Prends un soutif et une culotte sexy. Je te les paye.

Je haussai les épaules et commençai à farfouiller dans le rayon. Je pris un bel ensemble de dentelle blanche, soutif et string, très joli.

-  Celui-là me plaît beaucoup, dis-je.

- Parfait. Tiens, je t'ai pris ça, aussi.

Il me montra une nuisette en soie totalement transparente, et deux foulards de soie rose pâle.

- Je... eh bien...Merci.

Il m'embrassa sur les lèvres, et m'attrapa par la taille.

- Viens, tu vas essayer tout ça !

Il se dirigea à grands pas vers les cabines d'essayage, situées entre les rayons vêtements femmes et vêtements hommes, et y entra avec moi. Il tira le rideau et se tourna vers moi en déboutonnant son pantalon.

- Mais... Vincent, qu'est-ce que tu fais ?, dis-je en chuchotant, un peu inquiète qu'il veuille me prendre ici, derrière un rideau aussi fin. Si on nous voyait, j'en mourrais de honte !

- Rien. Tu essayes tes trucs, et je me branle, point.

Je hochai  la tête, incertaine. Il tenait déjà son beau sexe entre ses doigts et se caressait, un sourire aux lèvres. J'ôtai le débardeur, la jupe et la petite culotte. Vincent se masturbait lentement, sans me toucher. Je passai l'ensemble en dentelle blanche. Le soutif me comprimait les seins, les rendant plus gros encore. Mes tétons, dressés malgré moi, dépassaient par les trous de la dentelle, et mon mateur ne s'y trompait pas, il les fixait avec insistance en tirant sur sa queue tendue. Le string épousait parfaitement mes courbes, il ne godait pas, et renforçait le galbe rondelet de mes fesses.

- Je te plais ?

Vincent accéléra le rythme de sa masturbation. Je commençais à être excitée, surtout qu'il ne semblait pas vouloir me toucher, ce qui me rendait d'autant plus désireuse de faire le premier pas.

- Beaucoup. Mmmh, c'est bon. Passe la nuisette.

J'obéis. La soie était douce sur ma peau et chatouillait agréablement mes deux petits tétons, comme un voile presque invisible. La nuisette était lâche, transparente, et s'arrêtait au ras de mes fesses. Elle ne cachait rien de mes sous-vêtements, et me rendait désirable. Je me regardai dans le miroir et me trouvai très belle. Je ressemblais à un ange nimbé de blanc, prêt pour une nuit de volupté.

- C'est très beau, merci, Vincent.

Il s'approcha de moi. Je ressentis des picotements dans mon bas-ventre. Nous échangeâmes un baiser. Je glissai ma main vers son sexe, mais il la retira.

- Tourne-toi et ferme les yeux.

Le coeur battant, je me laissai faire, prête à ma faire prendre dans cette cabine étroite, protégée des regards par un simple petit rideau fin. Il ne me toucha pas, cependant.

- Ne bouge pas.

Je sentis qu'il me bandait les yeux avec le foulard rose. Je souris intérieurement. Le vieux fantasme des hommes, sauter une fille aux yeux bandés. Il m'attacha ensuite les mains dans le dos, avec le second foulard. C'était serré, mais pas désagréable.

- A genoux. Ouvre la bouche.

J'obéis. Son sexe trouva ma langue, et je le léchai avidement. Je fus surprise quand il écarta sa queue, au bout de quelques minutes.

- Ne bouge pas je reviens.

Le rideau s'ouvrit et se referma. Je restai seule, dans la cabine, à genoux, en nuisette et soutien-gorge très érotique, yeux bandés, mains attachées dans le dos. Mon coeur recommença à battre la chamade. Si un client entrait, qu'allait-il penser !!! Je chuchotai:

- Vincent...? Vincent ...?

Je comptai les secondes. Une minute. Deux minutes. Je tirai sur mes liens, pour voir si je pouvais m'en libérer, au cas où ce soit une mauvaise blague de cet amant à l'humour particulier. Trop serré, j'étais coincée. Je respirai plus difficilement, commençant à paniquer un peu. Trois minutes. Le rideau s'ouvrit et se referma.

- Vincent !

- Je suis là, excuse-moi de t'avoir fait patienter. Pas un bruit, surtout !

Je ne compris pas pourquoi il me demandait de ne pas faire de bruit, mais je ne dis rien. Je le sentis s'approcher, son sexe effleura ma bouche. J'ouvris grand les mâchoires, soulagée, et le suçai avec plaisir. Les mains attachées dans le dos m'empêchaient de me caresser, je serrai les jambes pour compresser un peu mon petit bourgeon. Quelque chose frôla ma joue. Je tournai la tête par réflexe et sentis une seconde bite se frotter contre mon nez. Je relâchai la pine que j'avais dans la bouche et sursautai:

- Hé ? C'est qui ? C'est Jean ?

La voix de Vincent vint de derrière moi. Ce fut un choc: ce n'était donc pas lui que j'avais pris en bouche !

- Suce-les, ne pose pas de questions. Je me branle en te regardant, tu ressembles à un ange tombé du ciel.

- Mais...

Un troisième sexe me toucha le nez, à gauche. Je reculai légèrement. Trois inconnus ! Il avait amené trois inconnus dans la petite cabine d'essayage ! Je comprenais maintenant que ce n'était pas à moi qu'il s'était adressé quand il avait dit de ne pas faire de bruit, mais à ces hommes ! Les mains de Vincent me caressèrent le visage.

- Coralie, fais plaisir à mes amis.

Ses mains descendirent le long de mon dos, je le sentis se pencher sur moi, son souffle près de mes oreilles, et ses doigts se frayèrent un chemin sur mes fesses, plongeant dans ma chatte trempée, m'inondant d'un plaisir soudain.

- Allez, belle Coralie, ça m'excite de te voir les sucer...

J'hésitai. Que devaient penser ces hommes, de me voir en nuisette transparente, avec mes tétons qui dépassaient de mon soutif trop serré, les yeux bandés, prêt à tailler des pipes à n'importe qui, sans même voir les mecs que je pompais ?

- Je...

Les mains d'un des inconnus me prirent doucement la tête et l'amenèrent vers la bite du milieu. Je secouai la tête imperceptiblement, puis ouvris la bouche. La pine y pénétra avec délicatesse, gonflée entre mes lèvres. Je l'enveloppai de ma langue, et donnai un coup de menton, avalant le bâton de chair tendu à craquer jusque dans ma gorge.

- C'est bien, Coralie, je te regarde et je me branle, continue.

Je soupirai en hochant la tête. Je léchai le gros gland du milieu, avant de passer à celui de droite, un sexe long et fin au goût salé, que j'engloutis jusqu'à sentir le pubis très poilu de l'inconnu. Je tirai la langue et léchai les couilles moites, la trique dans la gorge, à peine gênante, puis je le relâchai pour m'occuper du troisième homme, qui avait un membre normal, plutôt court. Je le suçai longuement, il avait une odeur épicée très agréable. La respiration de l'homme devint profonde, sa pine réagissait à mes coups de langue, elle battait au rythme de mes coups de menton. Je changeai de bite, happant celle du milieu, tandis que le gars que je venais de relâcher se masturbait bruyamment près de ma joue, puis je gobai  le sexe fin de l'homme de droite, que je pompai avec application. Vincent s'agenouilla derrière moi, je cambrai le cul pour qu'il me prenne, mais il posa juste son sexe entre mes mains attachées et je le branlai gentiment, en le frottant contre mon dos et en ouvrant le cul. Je commençai à gémir discrètement, j'étais excitée comme une chienne en chaleur. Quand les mains de Vincent entourèrent mes hanches et vinrent se poser sur ma chatte mouillée, j'écartai les jambes pour qu'il y entre les doigts, ce qu'il ne tarda pas à faire, m'emplissant de sensations particulièrement puissantes.

- Ahhh... ouiiii.

- Branlez-vous sur son visage, dit Vincent aux autres hommes. Coralie, donne-leur ta langue, ma belle.

J'ouvris grand la bouche, levant le visage jusqu'à toucher les trois bites que les types secouaient en rythme, léchant le dessous des glands gonflés tour à tour. Je les encourageai en chuchotant.

- Allez, couvrez-moi de jute, je veux la boire, la goûter... oui... allez, regardez comme je suis belle, venez sur ma grosse langue bien humide... mmmh, Vincent, enfonce tes doigts plus loiiin... mmmh... je veux vos queues, venez-là que je vous suce tous les trois ensemble...

Les trois sexes se rencontrèrent sur ma langue, je souris en soufflant par le nez. Je m'amusais comme une folle, même si je ne pouvais voir les amants que Vincent m'avait trouvé. Les mains s'activaient sur les bâtons tendus, les glands me caressaient la bouche, y entraient parfois, je masturbais fermement Vincent derrière-moi, je me plantais sur ses doigts qui entraient et sortaient délicieusement de ma petite chatte rasée, ou qui en titillaient le bourgeon avec habileté.

Le gars de gauche éjacula sur ma langue, puis pointa son sexe sous mon menton, inondant mon cou et ma nuisette de jute, juste sur mes seins. Je me redressai en me cambrant, pointant mes tétons trempés de sperme vers lui, tandis que je léchai les deux sexes qui restaient, appliquant soigneusement sur les gros glands la jute que j'avais récoltée sur ma langue. Vincent s'écarta de moi, le second type, celui du milieu, éjacula à son tour, m'aspergeant le nez, puis, visant, lui aussi, ma nuisette. Ses jets de sperme strièrent mes nichons, pénétrant la soie fine, et humectant ma peau. Vincent revint, il m'attrapa le cul et y frotta son sexe, avant d'écarter la ficelle du string et de s'humecter le gland entre mes lèvres trempées, déclenchant des spasmes agréables dans mon bas-ventre. Je sentis sa trique se frayer un chemin dans ma chatte, plus grosse que ce dont je me souvenais. Je gémis un peu plus fort, en réaction au plaisir intense qui montait de mon ventre, quand la troisième bite entra dans ma bouche, bloquant tout son qui aurait pu en sortir.

- Sois discrète Coralie, après ce sera mon tour.

C'était la voix de Vincent, devant moi ! C'est lui que je suçais ! Qui était en train de me sauter, alors ?

Très vite, ça ne m'intéressa plus, je voulais juste jouir, me faire plaisir  ! Le type de derrière accéléra les coups de queue, et je l'accompagnai, pressante, je sentis une jouissance diffuse m'agripper, je n'étais plus dans une cabine d'essayage les yeux bandés, j'étais une déesse jouisseuse, une droguée de sexe, une nymphomane consentante. Je pompai la bite de Vincent avec bonheur et me plantai sur la grosse pine qui me fourrageait les entrailles, qui me déchirait la fente, qui me défonçait de manière si divine. Je mordis légèrement la queue dans ma bouche lorsque je jouis, sauvagement, serrant les jambes pour mieux ressentir l'énorme bite autour de ma fente. Le type semblait apprécier, je lui massai la queue avec mes grandes lèvres nues, et le sentis venir en moi, une décharge puissante qui gonfla son sexe, accroché à ma grotte intime. Il retira sa queue de ma chatte et éjacula sur ma nuisette, arrosant mon dos de grands jets tièdes et gluants, je frottai mes fesses sur sa queue d'inconnu pour l'exciter et prolonger son plaisir, tout en continuant à happer Vincent au fond de ma gorge. 

- A mon tour, maintenant.

Vincent quitta mes lèvres, non sans appuyer son sexe sur ma langue en le sortant de ma bouche. Il m'embrassa longuement. J'entendis le dernier type tirer le rideau pour sortir et le refermer.

- Ah ! Vous êtes là ! Que... Coralie ?  Qu'est-ce que c'est que cette histoire ! Tu dégoulines de sperme ! Tu ne peux pas t'empêcher de baiser partout, maintenant ? Quelle SALOPE ! Je te DETESTE !

Je sursautai. C'était Jean, qui avait l'air furieux  ! Vincent avait un sourire dans la voix en répondant:

- Allons, Jean, elle avait envie de s'amuser un peu... Viens, Coralie.

Il me releva, écarta ma culotte en dentelle avec deux doigts et me planta sa bite dans la chatte, par devant, sans prévenir. Elle glissa toute seule dans le mélange de jus intime et de sperme. J'imaginai ce que devait penser Jean, me voyant ainsi, en nuisette, habillée comme une actrice porno, les seins et le dos couverts de jute, les mains liées, les yeux bandés. Et Vincent, debout, en moi, qui me sautait en haletant.

- Allez, continua-t-il, viens, prends lui le cul, elle est bien chaude.

Je fermai les yeux. Je ne pouvais pas refuser la double-pénétration, j'avais trop honte.

- Oui, Jean, viens, pardonne-moi... prends-moi...

- Tu es une salope.

- Oui, je suis désolée, prends-moi par derrière, si ça peut te faire me pardonner ?

Jean se colla à mon cul, releva mes mains sur mon dos, écarta les lobes de mes fesses rebondies, et appuya son sexe modeste sur ma pastille souple. Vincent cessa de me gamahucher, la bite de Jean tourna un instant sur l'anus moite de sueur, de sperme et de cyprine, et me pénétra sans souci. Je gémis de plaisir et m'enfonçai sur les deux queues, qui se mirent à me marteler la chatte et le cul à l'unisson.

Je me laissai aller, toute au plaisir indicible, je sentis soudain les mains de Sarah me pétrir les seins, j'aurais dû me douter qu'elle était là aussi. Elle me délia le bandeau, et je m'aperçus que deux autres hommes nous regardaient en se branlant silencieusement, regardant alternativement Sarah, qui avait ôté ses vêtements et se masturbait d'une main, et moi, qui me faisait prendre par tous les trous.Je fermai les yeux et m'abandonnai au plaisir.

Jean vint en premier dans mon cul, il éjacula lentement dans mes intestins, pressant ses abdos contre mes fesses, contrôlant sa jouissance, essayant de faire durer l'ensemencement le plus longtemps possible. Vincent accéléra la cadence, des éclairs me parcouraient le corps, et il jouit, retirant sa queue d'un seul coup, inondant ma chatte, mon string et le bas de ma nuisette de son sperme épais et abondant. Les deux types s'approchèrent de moi et jouirent sur mes hanches, un de chaque côté, frottant leurs sexes tendus qui projetaient des flots de jute sur le haut de mes cuisses, sur mes fesses, sur mon ventre. Je dégoulinais littéralement de sperme.

Jean sortit de mon cul, sa bite ayant à peine dégonflé. Des gouttes grasses se mirent à couler le long de mes cuisses. Il prit ma jupe, ma culotte et mon haut vert pomme et sortit de la cabine.

- Puisque tu sembles aimer cette tenue, tu vas rentrer comme ça. Tiens, je te file 50 euros pour payer tes... vêtements. Sarah, Vincent, on va à la caisse.

Je le regardai, horrifiée, me tendre le billet.

- Jean... je ne peux pas...

- Tais-toi, salope. Si tu n'es pas à la voiture quand nous aurons fini, tu rentres par tes propres moyens. Tu rencontreras sans doute un routier sympa que tu pourras baiser en chemin.

Vincent mit la main sur l'épaule de Jean.

- Allons, mon ami, ne sois pas trop sévère avec elle, tout est de ma faute.

Sarah hocha la tête d'un air réprobateur, tandis qu'elle se rhabillait sommairement. Mais Jean semblait vraiment furieux.

- Ne vous mêlez pas de ça. C'est entre ma femme et moi. Venez.

Ils sortirent tous, Vincent et Sarah avec un air d'excuse, me laissant seule dans la cabine, en petite tenue, couverte de jute, et honteuse.

- Jean ! Jean !

 

Il ne se retourna pas. Je tirai le rideau pour me cacher et sentis les larmes me monter aux yeux. Qu'allais-je pouvoir faire !?

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'asservissement de Miss Camping, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Mardi 26 juillet 2 26 /07 /Juil 20:27

Je me réveillai en sursaut. J'étais seule dans la tente, Jean, Loïc et l'adolescente étaient partis, et, à en juger par la luminosité, la nuit tombait.  Je compris en tendant l'oreille que c'étaient les bruits de pas et les chuchotements à l'extérieur qui m'avaient réveillée.

- C'est ici, je vous dis, c'est ce qu'a dit la brune. Je me la serais bien tapée, la pute, aussi Z'avez vu ses petits nibards ?

- T'as raison, chuis sûr que c'est une perverse ! Mais y paraît que celle-là, c'est de la bombe, tout le camping lui est passé dessus.

- Et si elle est pas seule ?

- Ho, tu vas pas faire ta fiote. S'il y a un mec avec elle, on le tiendra à l'écart pendant qu'on la baise, et s'il fait le mariole, on lui fait sa fête. Et si c'est une nana... elle y passera aussi !

- Ranatreuf', t'façon, on n'est pas du camping, y nous retrouveront pas.

Encore du sexe en perspective. Je m'étirai, dans l'expectative, espérant que les gars de dehors seraient mignon et doux.

- Allez, on y va.

La fermeture éclair de la tente s'ouvrit d'un coup et des mains m'attrapèrent par les jambes et me tirèrent au dehors.

- Ouh... doucement, les garçons, il y en aura pour tout le monde

Un gars se colla à mon oreille en pressant mes seins.

- Je l'avais bien dit que t'étais une salope...

Ils étaient 4 ou 5, ils m'entouraient de tous les côtés, je les distinguais à peine dans l'obscurité, mais ils avaient l'air jeune et bien foutus.

- Je commence par qui ?

Un des gars s'allongea sur moi et me planta sa bite dans la chatte encore pleine du sperme de Loïc.

- Elle est toute mouillée, la salope !

Je sentis les bites des deux types à ma droite et à ma gauche se caler dans mes mains, je les branlai sans attendre Deux autres sexes se frottèrent sur mon visage et sur ma bouche.

- Mmmmh...

Je sortis ma langue et léchai les membres tendus.

Le premier gars me baisait avec une énergie féroce, sa bouche sur mes seins gonflés, il écrasait mon cul contre le sol et guidait sa pine d'une main dans mes chairs. J'aurais pu apprécier la brutalité et la tiédeur de son engin en moi s'il n'y avait pas tant que cailloux et d'épines sur le sol contre mes fesses.

Les mecs que je suçai s'enhardirent, la bite d'un des deux se fraya un chemin sur mon palais et ma langue, jusque dans ma gorge.

- Mmmmmh mmmmh mmmmh....

- Tu aimes sucer, hein, salope !

- Retournez-la !

Le gars qui était en train de me baiser me fit rouler dans la terre, je me retrouvai au-dessus de lui, haletante, crachant des flots de bave.

- Encore une autre queue ! Mmmh ! Mmmh !!!

Une bite se glissa immédiatement dans ma bouche, je la suçai machinalement, pour  reprendre ma respiration.

- Abdel, prends-la dans le cul, la brune a dit qu'elle aimait se faire enculer.

Je me tendis vers l'arrière, et présentai mon cul sans protester. Qui que soit cette brune, elle avait raison.

Un type attrapa mes cheveux, bascula ma tête en arrière et fourra sa queue dure comme du bois dans ma bouche, me l'enfonçant jusque dans la gorge. Le gars qui me baisait me serra la taille et cessa de bouger dans ma chatte. Un troisième type écarta les lobes de mes fesses égratignées et plaça son gland sur mon anus, trempé de sperme, de sueur et de cyprine. Il me pénétra facilement, glissant la bite dans mes boyaux sans rencontrer de résistance.

- mmmmmmh...

Les deux types se déhanchaient en moi, me baisant tour à tour, une fois le cul, une fois la chatte, je sentais leurs sexes s'entrechoquer en moi, c'était moins désagréable que la première fois, peut-être parce que Loïc m'avait pratiquée peu avant avec sa pine XXL. Une seconde bite se fourra dans ma bouche, je suçai les deux en même temps, espérant que leur jouissance serait aussi douce que le plaisir qu'ils me procuraient. Je léchai les deux glands tour à tour avec ma langue, essayant de leur dispenser un plaisir efficace - une fois que ces deux-là auraient joui, je finirais les autres. Je donnai des coups de hanches et de cul pour exciter mes deux baiseurs nocturnes de dessous et de derrière, et les faire jouir comme jamais.

- Hé, elle y prend goût, la miss, la brune avait raison, c'est une vraie nympho !

Et là, avec les quatre pines qui me baisaient, j'eus un éclair de lucidité: la brune dont ils parlaient devait être...

- Aah ouiii... Aaaaaah la saloooope ouiii !

Le gars vint dans mon cul, déchargeant un sperme acide qui me brûla les intestins, il colla ses abdos à mes fesses et se délivra en grands jets lents. Il me mordit le dos et s'extirpa d'un coup, en écartant mon cul avec ses mains. J'imaginai le trou béant de mon anus emplit de sperme, l'image m'excita, j'en voulais davantage.

- Samy, elle est prête pour toi. Prends la d'un coup, elle a l'air d'être gourmande, ce soir...!

Le Samy en question ne se le fit pas dire deux fois. Sa grande queue pénétra mon cul inondé du sperme de son pote comme une motte de beurre, je le sentis à peine passer. La valse des queues reprit, le type du dessous m'embrassait les seins en accélérant le rythme.

- Tu vas jouir, ma belle, tu vas voir !

Je crachai les deux sexes de ma bouche et montrai que  je prenais mon pied, pour les encourager.

- Ah, oui, encule-moi plus profond, aaah, encore, c'est trop bon.

Je dus bien m'avouer que je commençais à ressentir du plaisir. Je m'accrochai à cette vague sensation, un bien être vide qui se faisait dans mon ventre et autour de mon anus, et je donnai encore de grands coups de cul pour inciter Samy à me prendre plus fort - et à venir plus vite.

Je me mis à sucer les deux queues devant moi avec plus d'ardeur, les avalant  tour à tour, et branlant celle qui n'était pas dans ma bouche avec énergie lorsque je m'occupais de l'autre. Les mains qui me tenaient la tête se firent caressantes, pressantes, je pompai plus voluptueusement, comptant les secondes jusqu'à la délivrance, j'appliquai bien ma langue sous les glands qui enflaient sur ma langue, qui battaient sur mon palais.

Le type de droite commença a gémir furieusement, je m'activai sur sa queue, le branlant en le titillant avec la pointe de ma langue. Le premier jet de sperme m'aspergea le fond de la gorge, et je mordillai son gland avec douceur pendant qu'il éjaculait entre mes dents.

- AAH ! LA PUTE ! AH ! C'EST BON !

Je continuai à le branler entre mes incisives serrées, récoltant les flots de crème baveuse sous ma langue et sur mes dents, je remuai le cul, insensible, toute au plaisir qui montait dans mon bas-ventre. Enfin, je le laissai sortir de ma bouche et chopai l'autre queue que je me remis à sucer comme une vraie professionnelle.

- Trooop bon !

Le gars que je suçais m'attrapa la tête à deux mains et me baisa la bouche comme s'il s'agissait de ma chatte. Je l'accompagnai en donnant des coups de menton appuyés, le forçant plus loin dans ma gorge, lui faisant bien ressentir les caresses de ma langue experte.

Le gars sous moi se tendit et déversa sa semence dans ma chatte irritée, me serrant plus fort contre lui.

- Aaah, oui... aaaah, ça c'est bon... ah... la puuuutaiiiiin, lààààà.... ouiiii.

Le sperme qui jaillit dans ma bouche me surpris, je relevai la tête et mordillai le gland, goûtant la chair dure avec délectation.

- Ouoh oussssshhhh.... yeeees....

J'avalai la jute légère et ne relâchai pas mon emprise, branlant la queue efficacement, distribuant plaisir et caresses à l'unisson. Le gars parvint à s'arracher à mes dents et finit de jouir sur mon visage en tenant sa queue comme un oiseau blessé. Son odeur m'excita incroyablement, je jouis merveilleusement en remuant le cul contre le pubis du Samy qui me sodomisait.

- Oh, ouiouiouioui....!

Je sentis son corps se tendre sous mes coups de boutoir, et sa semence m'inonder, me remplir, pendant qu'il gémissait de manière incohérente.

Et soudain la voix de mon Jean, furieux, résonna dans la nuit.

- MAIS QU'EST-CE QUI SE PASSE ICI ?

- Ouh, Jean, viens me baiser aussi, ils ne sont que cinq, j'ai encore faim...

Des bruits de pas précipités.

- TIRONS -NOUS !

Les types se mirent à courir dans tous les sens, me laissant, pantelante, sur le sol,  le corps et la bouche dégoulinant de sperme. Jean et Vincent disparurent dans la nuit à leur poursuite.

Je me rendis compte de la présence de Sarah à mes côtés. Elle me prit dans ses bras et me nettoya amoureusement. Je pris conscience de l'odeur de pizza qui montait dans l'air. Je la laissai m'embrasser et me lécher, incapable de me contrôler.

-On était partis chercher de quoi manger, tu dormais, Jean n'a pas voulu te réveiller. Tu n'as pas faim ?

- Si, j'ai un peu faim. Mais pas comme ça, je suis dans un état... faut que je me douche.

Elle me lécha le visage, goûtant le sperme, aspirant mes lèvres en souriant.

-  Une petite douche et tu viens manger avec nous, OK ?

J'attrapai une serviette éponge sur le fil à linge, je pris ma trousse de toilette et me dirigeai vers les douches en titubant. Mes jambes et mon cul me brûlaient.

- Tu veux que je t'accompagne ?

J'eus un petit rire.

- Non, assez de sexe pour ce soir, je pense.

J'arrivai aux sanitaires sans encombres. Je m'engouffrai dans une cabine de douche, accrochai ma serviette et commençai à faire couler l'eau sur mon visage quand quelqu'un frappa doucement à la porte.

- Coralie... chuchota une voix. Coralie, c'est moi, Axel.

Le fils de Laetitia.

- Axel, pas maintenant.

- Ouvre-moi, quoi, je ne pense plus qu'à toi depuis qu'on a... que je t'ai... euh... je... je veux juste te regarder... pas... euh... juste un câlin, quoi.

Je pris conscience que j'avais justement grandement besoin de tendresse en ce moment précis. Un câlin, des bras doux qui m'enserrent, des paroles réconfortantes.

- Juste un câlin ?

- Promis... je ne te touche même pas, juste te regarder. Tu... tu es tellement belle.

Je levai lentement le loquet et entrouvris la porte. Le jeune ado était là, les yeux suppliants. Je lui attrapai la main et l'attirai à moi

- Viens, prends-moi juste dans tes bras.

Il me serrait délicatement sur sa poitrine quand j'entendis la voix de Véronique.

- Je peux venir aussi ?

La blondinette était à la porte que nous n'avions pas refermée. Elle souriait, l'air mutin. Son frère sursauta en entendant sa voix et me repoussa gentiment, l'air coupable.

- Vé... Véro... euh...

L'adolescente entra et ferma le loquet.

- Maman te cherche, dit-elle. Et je t'ai entendu: tu veux regarder Coralie nue sous la douche.... pendant que tu te masturbes, c'est ça ? Je peux tout raconter à maman... elle sera furieuse...

Je m'approchai d'Axel et lui caressai la joue.

- Ne t'inquiète pas, Véronique, il voulait juste un petit câlin - et c'est justement ce dont j'ai besoin tout de suite.

Véronique vint me prendre dans ses bras et m'embrassa sur le visage et les lèvres. Sa bouche était fraîche, ses mains douces sur mon corps . Je respirai ses cheveux avec reconnaissance.

- Je vais te câliner, Coralie, et mon coquin de petit frère va l'avoir, sa branlette.

Elle enleva son T-Shirt blanc et son short en jean, puis dégrafa son petit soutien-gorge, dénudant ses seins parfaits aux aréoles roses. Enfin, elle fit glisser sa culotte le long de ses jambes révélant son petit minou rasé et son cul rond.

Axel paraissait aussi étonné que moi de la voir se déshabiller ainsi. Quand elle s'agenouilla devant lui et commença à lui retirer slip et caleçon en même temps, je ne pus me retenir:

- Euh... Véronique... C'est ton frère, tu n'es pas sensée avoir ce genre de relations avec lui...

Elle sourit lorsque la bite déjà dure jaillit du caleçon.

- Oh, ne t'inquiète pas, je ne vais pas le toucher...juste le faire mourir de désir...

Elle ôta complètement le caleçon et le slip du pauvre Axel, les yeux fixés sur le sexe fin en érection, puis se releva en longeant le corps de l'ado. Elle l'attrapa par le col et lui déboutonna sa chemisette, lentement, bouton par bouton.

- Laisse-toi faire... voilà... c'est mieux, tout nu, hein...?

Elle fit mine de passer la main sur la queue dressée, sans jamais l'effleurer. Elle se pencha à l'oreille de son frangin et chuchota:

- Depuis le temps que tu 'astiques le poireau en cachette en me matant, je pense que tu seras heureux de le faire devant moi pendant que je t'allume... hein, petit frère ?

Axel déglutit. Véronique lui prit une main et la porta juste devant ses seins. Elle s'approcha très lentement, et effleura la paume avec ses tétons, tour à tour.

- Tu sens comme ils sont dressés...? Et si tu savais comme je suis excitée en voyant ta bite pointée vers moi... Prends-la dans ta main... tu sais comment t'y prendre, cochon... hein ? ... Voilàààà, c'est bien, astique-toi bien...

Elle recula de quelques pas et se plaqua au carrelage mural, cambrée en avant. Elle écarta les jambes et révéla son sexe rose au bourgeon gonflé, y plantant deux doigts fins qu'elle ressortit, humides de cyprine.

- Regarde comme je mouille...

Je l'observais, hypnotisée. Son manège était très efficace, je sentis ma tête tourner rien qu'à la voir jouer à l'incestueuse.

- Oh... dit-elle, comme surprise, il y a des poils qui repoussent sur mon petit minou... c'est si doux et tendre quand c'est rasé de frais.... Coralie, tu veux bien me raser devant Axel ?

Entrant dans son jeu, j'attrapai un rasoir dans la trousse de toilette, et pris un savon.

- Non, pas de savon... tu humidifieras avec ta langue, comme cet après-midi...

Elle me fit un clin d'oeil. Je souris. Axel avait commencé à se masturber sans s'en rendre compte. Je pris le sexe de l'adolescent entre mes doigts et le secouai gentiment. Ses mains me touchèrent les seins, tâtant leur texture ferme. Je lui déposai un baiser sur la joue et lui dis:

- Fais durer ton plaisir. Merci pour le câlin.

Je m'agenouillai en cambrant le cul en arrière et entrepris d'humidifier les lèvres aux petits poils naissants à peine visibles. Je passai ma langue le long de sa vulve, en remontant vers sur le clitoris, allant chercher un maximum de liquide intime pour humecter les zones à raser. Véronique fixait son frère du regard en se mordant la lèvre inférieure de plaisir. Elle fit rouler ses petits tétons roses entre ses doigts en ondulant lentement sa chatte sur ma bouche.

- Ouh, Axel, si tu savais comme elle suce bien... Mmmh... c'est bon...

J'enfonçai ma langue entre ses petites lèvres, entrant profondément dans la grotte intime.

- Ouuuh, mmmh, avec la langue, comme ça... ohhh.

Je sentis Axel s'approcher de moi, il pointa sa pine dressée juste à côté de mon visage et de la cuisse de sa soeur.

- Non non non, petit frère... mmmh... tu regardes seulement.... ils te plaisent  mes petits seins pointus ? Allez, recule... Coralie va me raser...

Je donnai dernier coup de langue à Véronique et, toujours à genoux devant elle, je commençai à passer le rasoir sur ses lèvres délicates. Axel se masturbait lentement, espérant peut-être une fellation de ma part ou de celle de sa soeur, bien que je ne pensais pas qu'elle irait jusque -là, sa main parcourait sa queue de son bas-ventre à son gland en un grand mouvement régulier. Il n'avait d'yeux que pour mes doigts sur le sexe de l'adolescente, et pour la lame qui crissait délicatement du pubis au périnée. Pour éviter de blesser la petite chatte fragile, je mis mes doigts sur le clito rose et sur la fente bien dessinée, ce qui provoqua des petits spasmes de plaisir chez ma jeune amante. Je rasai méticuleusement chaque petit poil blond naissant, en humectant régulièrement avec ma langue chargée de salive. Quelques minutes d'extase passèrent, Axel se branlait silencieusement, Véronique se pressait les nichons comme pour en faire sortir du lait, ne quittant pas son frère du regard et je m'appliquais à épiler la petite chatte au plus près.

Quand j'eus fini, je caressai entièrement l'abricot tendre pour vérifier qu'aucun poil ne m'avait échappé, et, contente de moi, je plongeai mes doigts dans la fente trempée.

- J'ai terminé, dis-je presque à regrets.

Véronique se pencha sur moi et m'embrassa, tandis que je me relevais maladroitement, les jambes ankylosées.

- Merci Coralie, dit-elle en empaumant mes seins. Axel, ça t'a plu ?

L'ado, sexe fin et gonflé entre ses doigts, rougit légèrement en hochant la tête. Elle glissa ses doigts sur sa chatte et en tâta la douceur, enfonçant ses doigts un à un entre ses lèvres humides.

- Oh. Et ça te plairait de voir ta grande soeur sucer la belle Coralie ? Mmmh, ça me plairait à moi... mmh... de sentir son minou sur ma bouche...

Nouveau hochement de tête timide.

- Ne tire pas trop sur ta queue, tu jouiras quand je l'aurai décidé... Regarde comme je me régale de la chatte de notre Miss Camping.

Elle prit le rasoir de mes mains, et s'agenouilla devant moi, me poussant légèrement contre le mur et m'incitant à écarter les cuisses. Elle plongea sa bouche dans mon intimité, trouvant le chemin de ma vulve avec une expertise que je ne lui connaissais pas. Elle se cambra au maximum, faisant ressortir sa croupe arrondie, ses deux jambes repliées sous elle, comme en prière. L'effet fut immédiat, Axel, qui ne la quittait pas des yeux, parcourut le jeune corps du regard en se masturbant de plus belle. Le baiser pénétrant dont elle me gratifiait se prolongea, déclenchant des sensations agréables dans mon bas-ventre. Je me tendis légèrement, et appuyai mon sexe contre la bouche gourmande, tout en faisant signe à Axel de s'approcher. Je me saisis de sa bite et commençai à le branler avec douceur, observant, avec un amusement mêlé de plaisir, qu'il tenait parole: il avait mis les mains dans son dos, comme un écolier bien rangé, et se laissait masturber en nous matant, sans essayer de nous toucher.

- Ouh, tu triches, petit frère, reste bien sage, surtout, tu remercieras Coralie d'être si gentille avec toi... et n'approche pas tant de ma bouche, je ne sais pas si je pourrai résister... Maman ne serait pas très contente que tu essayes de te faire sucer par ta grande soeur...Déjà que tu me prends en photo en cachette quand je suis toute nue...

Axel se mit à gémir de plaisir, je ralentis le rythme sur sa queue, je ne voulais pas qu'il vienne trop tôt, et j'étais bien, là, à me faire câliner gentiment.

Véronique colla à nouveau sa bouche contre ma chatte, insistant sur mon clitoris, accentuant mon plaisir. Elle me rasa avec précision, ce qui m'étonna un peu - à son âge, je n'avais certainement jamais épilé ma chatte et aurait été bien incapable de le faire à une autre fille. A vrai dire, l'idée même m'aurait choquée. Mais la blondinette humecta mes grandes lèvres (en insistant chaque fois plus sur mon petit bouton qui  dardait  sur sa langue chaude) et me rasa en un tour de main. Elle se releva, posa le rasoir, et se serra contre moi.

- Viens, que je te câline.

Nous nous embrassâmes tendrement, mes seins pressés contre les siens, dont je percevais les tétons dressés qui dardaient délicieusement contre ma peau. Je sentis sa main glisser le long du bras avec lequel je masturbai son frère, ses doigts entourèrent les miens et nous le branlâmes ensemble, sans qu'elle ne touche véritablement la bite turgescente. Axel s'approcha et nous entoura de ses bras, j'embrassai successivement la soeur et le frère, qui avait nonchalamment posé sa main droite sur le haut des fesses de la petite, sans qu'elle ne le repousse. Elle s'écarta soudain de moi, lâcha ma main qui continuait à le masturber, et enlaça son frère qu'elle embrassa sur la joue. J'observai cette marque de tendresse sans lui lâcher la queue, qui battait contre ma main. Enfin, Véronique brisa l'étreinte en souriant.

- Ouh... il fait chaud tout-à-coup...

Elle s'agenouilla devant lui et exposa ses petits nichons, les pointant vers son frère.

- Viens... viens sur mes seins. Je veux que tu me montres comme je t'excite.

Je me plaçai derrière Axel, le serrai contre moi, lui embrassai le cou et le masturbai énergiquement, à quelques centimètres de la tête de sa soeur. Sa respiration s'accéléra, il se mit à gémir en chuchotant, bras en arrière, mains agrippant mes fesses. Véronique ouvrit grand la bouche, tirant la langue vers la pine excitée, pointant ses seins vers le ciel, prête à recevoir la semence.

Axel jouit dans un râle, en saccades, aspergeant de plusieurs jets de sperme la langue de sa soeur, toute proche de son sexe, puis son menton, ses petits seins roses Je le masturbai longuement, pressant la queue pour en faire sortir tout le jus précieux. Véronique approcha sa bouche ouverte pour en recueillir un maximum, sans doute étonnée elle-même de ce désir impérieux. Elle avait fourré ses doigts dans sa chatte et se branlait activement.  Je récoltai les dernières gouttes sur mes doigts et les portai à la bouche de l'adolescente mutine, qui les recueillit  en souriant, joua un instant avec le sperme sur sa langue, et l'avala ostensiblement. Elle était superbe, couverte du jute crémeuse, agenouillée devant nous, une vraie petite bombe sexuelle sans retenue. Je lui caressai le visage.

- Tu vois, petit frère, ce n'est pas bien compliqué de me faire plaisir... Mmmh, c'était bon.

Elle se releva et nous prit dans ses bras.

- La prochaine fois que l'on se fait câlin, je te laisserai me prendre en photo, pour que tu te branles en fantasmant sur moi, si tu veux. Maintenant, dehors, j'ai besoin de me doucher.

 

Axel se rhabilla rapidement, encore sous le choc, et nous laissa seules. Véronique appuya sur le bouton de la douche, et nous nous lavâmes longuement sous l'eau chaude, en continuant de se câliner sans hâte, puis, rassérénée, je rentrai à la tente, affamée et épuisée...

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'asservissement de Miss Camping, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Mardi 26 juillet 2 26 /07 /Juil 20:26

Cela faisait des heures que nous étions à la plage, Véronique et moi. J'avais insisté pour qu'elle mette son bikini, finalement, je pensais qu'ainsi elle ne serait pas sollicitée outre mesure, et, d'une certaine manière, que je serais moi aussi protégée des velléités sexuelles des messieurs du camping. Le maillot de bain noir qu'elle portait sur sa peau rose dorée la rendait plus désirable à mes yeux, ses petits seins ronds bien pleins lovés dans le tissu moulant m'attiraient, mais je me réfrénai avec plus ou moins de succès - durant l'après-midi, nous avions encore échangés quelques baisers et exploré quelque zones intimes à l'abri des regards, perdues dans les dunes.

- Je dois rentrer, dis-je, Loïc ne devrait pas tarder à venir me voir, je veux être là. Tu devrais peut-être rentrer à l'improviste dans ton mobil-home, tu me raconteras...

Elle me regarda d'un air interrogateur, j'embrassai ses petites lèvres roses et ramassai ma serviette. Elle hésita puis déclara:

- Je reste encore un peu, j'ai chaud, je vais me baigner. Je viens te voir dès que je peux échapper à mes parents.

- Ok, amuse-toi bien.

Je la regardai s'éloigner, ses courbes parfaites et sa taille fine s'ouvrant sur ses fesses fermes et rondes, bien dessinées sous le maillot noir, je la trouvai magnifique.

Je me dépêchai de rentrer à la tente, sans répondre aux appels des quelques hommes qui sifflaient sur mon passage. Il n'était pas tout-à-fait désagréable de susciter de l'intérêt chez tous ces garçons, même si le nu intégral, s'il aidait à capter leur attention, n'en était pas moins un souci pour les repousser lorsque l'envie d'introduire leur petite saucisse entre deux tranches d'abricot bien humide les prenait.

Il était presque 18h, Loïc viendrait-il immédiatement après le massage crapuleux - du moins espérai-je qu'il l'ait été - ou me faudrait-il attendre ?

- Oh, ouiii, Jean, Jean, baise-moi plus fort, han, c'est bon !

Je ressentis un pointe de jalousie en m'approchant de la tente. Apparemment, la libido de mon mari se portait bien.

Il n'avait pas fermé la tente, aussi jetai-je un oeil pour voir qui avait choisi de me le voler, cette fois.

Une toute jeune fille au corps fin et délicat , yeux fermés, se faisait prendre en levrette par un Jean extatique, qui souriait comme un gosse. Il tenait le cul étroit à pleines mains et donnait des grands coups de reins, pénétrant sauvagement la petite chatte. L'adolescente, brune, cheveux longs, seins minuscules, totalement nue, couinait comme un cochon d'Inde en respirant difficilement. Jean me vit et ne ralentit pas la cadence, gamahuchant toujours le sexe de sa  jeune naïade.

- Oh, aah, Coralie, hiin, tu es là ? Ah, je te... aah... présente... aaah oui... Annabelle... aah...

L'ado ouvrit les yeux, me sourit, et gémit.

- Aaah aaah bonjour aah mmmh aaah !

Elle souriait, ingénue, toute à son plaisir, ne se rendant pas compte que j'aurais dû la fumer sur place pour la punir de baiser mon mari  dans mon dos. Il lui caressa le cul et remonta sur ses seins - elle était grande, la salope -continuant à la pistonner comme si je n'étais pas là.

- Elle... aah... m'a demandé... hiiin... de la dépuceler pour... aah... fêter ses 18 ans... ! Aaah, j'ai..obéi... oh que c'est bon ! Oh la cochonne !

- Aah Jean, encore ! Encore ! Je vais souffler ta bougie, aaah, tu vas voir ! Viens dans ma bouche !

Il sortit de sa chatte, sa bite était striée de sang. Elle chercha à prendre la bite entre ses lèvres lorsqu'il la retourna, mais il se dégagea, l'allongeant devant lui, écarta les longues jambes et la pénétra sans ménagements. Il s'allongea sur elle et entama une danse rapide, transperçant la petite de ses coups de bite ravageurs. Il avait plus de résistance maintenant, lui qui avait toujours été plutôt rapide à jouir... Je me penchai en avant, déposai un baiser sur les lèvres de la pucelle, puis embrassai Jean qui s'en aperçut à peine, et les laissai à leurs jeux amoureux. La vengeance viendrait plus tard. Je pris le porte-monnaie et décidai d'aller boire un soda au bar de la piscine en attendant Loïc.

Je n'eus pas à attendre longtemps. J'étais à peine assise sur le siège plastique du bar - les yeux du jeune serveur me laissaient à penser que le pourboire serait à payer en nature - que je le vis, immense, musculeux, short noir, foulard de scout autour du cou, qui se dirigeait vers mon emplacement. Renonçant à ma boisson - au grand regret du serveur - je le suivis discrètement -je ne voulais pas prendre le risque que Laetitia nous voit ensemble - et le rattrapai lorsqu'il tourna dans les thuyas qui cachaient ma tente.

- Hello, beau brun !

- Coralie... enfin !

Je me mis sur la pointe des pieds et l'embrassai sur la bouche. Il sentait l'huile de massage. Il me prit dans ses bras et me serra contre lui, ses mains sur mes fesses qui commençaient à bronzer. Je mordillai ses lèvres, sentant à nouveau mon ventre hurler de désir pour lui, une sensation qui me fit tourner la tête - et mouiller ma petite chatte glabre. Je montrai la tente, d'où s'échappaient toujours des gémissements, des "Oh, Jean !" et des "Remue le cul, petite salope !" qui me firent grincer des dents. Je m'en voulais de ressentir encore cette jalousie après tout ce par quoi j'étais passée..

- C'est occupé, on les rejoindra après su tu veux. Tu as des choses pour moi ?

- Oui, ça avance plutôt bien... Regarde !

Il sortit son téléphone portable d'une poche, choisit la vidéo et j'appuyais sur la touche "play".

- J'ai déclenché le portable avant d'entrer, j'ai bien fait, tu vas voir.

Sur la vidéo, on voyait Loïc frapper à la porte.

"Entrez..."

Laetitia était debout, totalement nue, son corps bronzé exhalant  l'arrogance des top-models, ses beaux seins bruns appelant la caresse, sa chatte brune coupée court ne cachant rien de ses lèvres bien dessinées. Je pris conscience que Véronique lui ressemblait beaucoup, mais en blonde à la peau pâle.

"Oh, dit Loïc, il ne fallait pas vous déshabiller, ce n'est pas..."

"Ça te gêne ? Je peux mettre un string, si tu le souhaites. Tu me l'enlèveras si nécessaire... "

"Je.. euh...Non, allongez-vous, c'est bien comme ça."

"C'est ce que je pensais - les jeunes hommes préfèrent les femmes nues."

Laetitia s'allongea sur le dos, jambes légèrement écartées, suffisamment pour que Loïc ait une vue imprenable sur la chatte entrouverte.

"Masse-moi les épaules et... les seins."

Loïc posa le portable sur une étagère et prit ses onguents dans sa mallette.

- Là, je bandais déjà, me chuchota-t-il à l'oreille en m'embrassant les épaules. Regarde comme elle mate mon caleçon.

Effectivement, Laetitia suivait des yeux l'entrejambe de son masseur privé, et je  devinai que, comme lorsqu'il m'avait massé, sa bite devait dépasser légèrement de son caleçon, un gland gros comme mon poing, appétissant à souhait.

Laetitia parlait d'une voix suave.

"Tu masses divinement bien, tu sais... Descends vers mon ventre, jusqu'à...là..."

Elle écarta les jambes. Loïc, à hauteur de la tête, se pencha au-dessus d'elle, caressant ses seins, ses hanches, ses cuisses, le regard rivé sur le sexe scintillant d'humidité.

"Tu peux toucher, tu sais..."

Laetitia entrouvrit la bouche et se cambra, et, attrapant les mains de Loïc, les guida vers sa chatte. Loïc passa gentiment ses doigts sur le clitoris offert, et remonta ses mains lascivement sur le ventre et les seins. Laetitia haletait de désir.

"Je te plais, je le sais," dit-elle dans un râle, "tu bandes, tu as envie de me baiser, petit cochon..." elle souriait.

Loïc feignit d'être gêné.

"Je...c'est que... vous êtes très belle... "

"Et je suis aussi très bonne... viens-là".

Laetitia se retourna sur le ventre, toujours allongée et fit lentement descendre le short court de Loïc, révélant le sexe immense dans toute sa splendeur.

"C'est ça, viens, petit scout, laisse faire Tata Laetitia...."

Elle happa la bite avec sa bouche et entreprit une fellation hâtive, mue par un désir incontrôlable. Loïc prit la tête de Laetitia entre ses mains et la guida sur sa pine, afin qu'elle avale le plus possible de l'énorme morceau. Laetitia, une main sous elle fourrageant sa chatte, geignait comme si elle n'avait pas eu de sexe sur sa langue depuis des années, elle donnait de grands coups de menton et enfonçait la bite dans sa gorge à s'en étouffer. Loïc relâcha son étreinte mais elle lui attrapa le membre à deux mains et le masturba frénétiquement en lui léchant goulûment le gland, tandis que le jeune scout lui caressait le dos et les fesses.

"Raah, viens, mets tes doigts dans ma chatte, et donne-moi ta queue !"

Continuant à le masturber, elle engloutit le gros gland et le poussa dans sa trachée, tandis que Loïc enfonçait ses doigts dans l'antre humide.

- Là, chuchota-t-il dans mon oreille, on ne voit pas sur la vidéo, mais j'ai un doigt sur son anus aussi...

Il me caressait les seins de manière insistante.

"Raah, oui, comme ça, c'est bon..."

Laetitia, le cul cambré, branlait toujours activement Loïc, qui, n'y tenant plus, éjacula sur sa langue et son menton en jets puissants. Laetitia cracha le liquide poisseux sur le sexe encore turgescent, déçue.

"Je... suis désolé..." dit-il, "je ne pouvais plus tenir."

Laetitia se releva et vint frotter sa chatte ouverte contre la pine dégoulinante de sperme. Elle était clairement frustrée.

"Demain soir, même heure, ici,  je te sauterai et après m'avoir baisée toutes les autres femmes te paraîtront insipides."

- Voilà, il n'y a rien d'intéressant après, si ce n'est qu'une fois que je me suis rhabillé, elle m'a roulé une pelle d'enfer.

Je posai un baiser sur ses lèvres tandis que ses mains descendaient délicieusement sur mon ventre.

- Pourquoi tu ne l'as pas sautée ? Tu n'as pas pu te retenir ?

Il me fit un clin d'oeil malin.

- Je voulais la frustrer. Déjà, c'est ton ennemie, je ne vais pas lui faire du bien comme ça, elle peut attendre un peu - mais c'est une vorace, ta copine ! Deuxième raison, je veux qu'elle soit complètement folle quand je lui cèderai, et que ça se voit sur la vidéo. Enfin... la récompense que tu m'as promise vaut bien quelques efforts de ma part pour te contenter...

Je l'embrassai à nouveau. Jelui avais promis une sodomie lorsqu'il me donnerait un film au moins aussi compromettant pour Laetitia que celui qu'elle avait du concours des Miss l'était pour moi. Chantage pour chantage. L'heure de la vengeance froide approchait. J'allais me la payer cette poufiasse.

- Tu es mignon. Viens.

Je le guidai vers la tente, juste à l'entrée, attrapai une serviette, et lui enlevai son short.

- Tu sais, je viens juste de... Je veux dire... Ça va être un peu mou.

- Oh, petit poussin... Je vais te le faire grandir, ton bâton de joie...

Je le fis s'agenouiller sur la serviette, de manière à ce qu'il me tourne le dos et que son sexe pendouille dans la tente où s'ébattaient toujours mon mari et sa vierge déflorée.

J'entrouvris le battant en tissu, et saisis le grand braquemard de Loïc.

- Jean, retourne la petite, j'ai une sucette pour elle...

Jean comprit mon idée et allongea Annabelle, complètement surexcitée, sur le dos et la pénétra à nouveau aussitôt, il semblait la trouver vraiment à son goût, la petite pute. La bouche de l'adolescente se trouvait ainsi juste sous le sexe grandiose, elle rit en haletant toujours.

- Ouh, la grosse bougie, mmmh.

Elle ouvrit grand les mâchoires et entreprit de sucer Loïc tandis que, juste derrière lui, je dirigeai la queue à deux mains en le masturbant.

Je lui mordillai les épaules et le creux du dos.

- Laisse-toi faire, petit amour, on va te régaler.

Le membre fatigué se réveilla bien vite, je le poussai dans la gorge vierge, en le branlant sur toute sa longueur. Je plaquai mes seins sur le dos musclé, jambes écartées par dessus ses mollets, essayant difficilement d'y frotter ma chatte trempée.

Je dus bien avouer que la petite en avait sous le capot. Elle avala facilement les trois-quarts du sexe terrible de Loïc, la tête renversée en arrière, et appréciait manifestement de lécher ses couilles poilues - qui pendaient juste au-dessus de son nez - en le branlant habilement - il y avait la place pour nos quatre main sur la pine enchanteresse.

Jean, de son côté, n'avait aucun problème à la satisfaire, il en redemandant, plongeant dans la jeune chatte comme dans du beurre. Il s'allongeait parfois totalement sur elle, la plombant de coups de bite ravageurs, ses yeux ne quittaient pas la fellation majestueuse que sa conquête offrait à mon scout. Il lui mordit  la joue d'un air salace.

- Tu... aah... ne veux pas...aaah... sucer la mienne aussi ?

- Aah...mmmh...ouiiii...

Jean extirpa son engin de l'antre chaud et le présenta à la belle, qui le happa, en rythme, alternant l'une et l'autre des bites avec un entrain frais.

Loïc se pencha en arrière et me dit à l'oreille:

- Va la sucer, je veux te mater.

- ça t'exciterait ?

- Oui.

Je me glissai dans la tente et, le cul bien en vue de Loïc et de Jean, j'entrepris de lécher l'intimité de la donzelle. Je posai ma langue sur son clitoris et enfonçai mon nez entre ses grandes lèvres. Le parfum fort de son excitation me satura vite les narines, je suçai fébrilement l'antre doux, à grands coups de langue et la pénétrant avec mon nez menu. L'adolescente frissonnait, gémissait, défaillait de plaisir, et, lorsqu'elle passait d'une bite à l'autre, elle couinait:

- Oh oui oui oui, plus vite, plus vite, mmmmh.

Elle engloutissait alors une pine, et me tenait la tête à une main pour que je descende plus bas, que ma langue se trouve à hauteur de sa vulve, et s'y enfonce profondément. Je léchai son périnée et son petit trou, et fus satisfaite de l'entendre s'écrier:

- AH, oui, là, comme ça !

La pression de sa main sur mes cheveux s'accentua, elle  se tendit comme un arc et me guida sur son anus, que je dégustai avec un plaisir, remarquant à peine les doigts de l'un des deux garçons qui jouaient dans mon vagin. Je m'activai plus précisément entre le bas de sa fente, son périnée et son petit trou, langue en pointe, et y promenai un doigt pour accentuer le torrent de sensations.

- Aooh, oui, comme ça, comme ça...!

J'avais le nez trempé de jus, je salivai abondamment, et embrassai la zone intime comme j'aurais embrassé la bouche d'un amant que je n'aurais pas vu depuis une éternité. Je souris de sentir le sexe de Loïc se frayer un chemin en moi. Je remontai sur le ventre de la petite, mes doigts virevoltant habilement dans la touffe pubère, et jetai un oeil en arrière. Jean se masturbait dans la bouche grande ouverte, les yeux rivés sur la cambrure  de mon cul et sur Loïc qui me pistonnait de plus en plus rapidement, les mains sur mes seins.

La petite m'appuya à nouveau sur la tête, écarta les jambes et me plaqua la bouche sur sa chatte, imprimant un mouvement pour que je suce anus et périnée au passage.

Loïc se crispa en moi, je devinais qu'il éjaculait le reste de sperme non récolté par Laetitia, puis sortit de mon sexe humide et s'affala dans la tente.

L'adolescente se tendit soudain, en exprimant des râles étouffés. Je ne ralentis pas ma caresse buccale, espérant prolonger sa jouissance, certainement la première du genre - je la comprenais, n'ayant ressenti moi-même ces sensations pour la première fois que quelques jours auparavant.

Lorsqu'elle se détendit, je donnai encore deux-trois coups de langue pour faire bonne mesure, puis quittai l'antre chaud. Je remontai le long du long corps sylphide, et comme Jean se masturbait toujours au-dessus de son visage, je vins m'allonger à côté d'elle, l'embrassai sur la bouche, et me serrai contre elle, les yeux sur la queue qui s'agitait au-dessus de nous. C'en fut trop pour mon mari, qui jouit enfin, le sperme tomba en gouttes épaisses sur nos visages, et la petite se mit à rire en chantonnant  la mélodie "Joyeux anniversaire".

Jean approcha son sexe souillé des lèvres fines de l'adolescente, la bouche s'entrouvrit, elle attrapa le sperme congelé avec sa petite langue et s'en régala, grimaçant à peine.

- Ma première bougie, dit-elle en riant.

Il vint se coucher à ses côtés, se serrant contre elle.

- Joyeux Anniversaire, Annabelle, dit-il en chuchotant.

- Merci pour le cadeau, je reviendrai souvent , répondit-elle sur le même ton.

 

Je sentis Loïc se lover contre mon dos et m'embrasser les épaules. Je  fermai les yeux et m'endormis  sans m'en rendre compte.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'asservissement de Miss Camping, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Mardi 26 juillet 2 26 /07 /Juil 20:22

Nous nous promenions dans le camping, perdues et hésitantes comme deux adolescentes amoureuses. Main dans la main avec Véronique, je me sentais sur un petit nuage, la tête légère, prise d'une ivresse que je chérissais un peu plus à chaque fois que nos doigts entrecroisés se caressaient tendrement. Le sol brûlant sous nos pieds ne me dérangeait pas, pas plus que le vent chaud qui accentuait la morsure du soleil étouffant de chaleur. J'avais la chair de poule, mes tétons étaient dressés d'un désir frais, ce que ne manquaient pas de remarquer les hommes que nous croisions, et dont les regards affamés nous suivaient longtemps après que nous les ayons dépassés. Véronique me mordilla l'oreille en chuchotant:

- La plage risque d'être un peu chaude à cette heure-ci. Suis-moi, je sais où nous trouverons de l'ombre ici.

Elle m'emmena jusqu'à l'espace de jeux, un peu en retrait du chemin, qui s'étendait sur une cinquantaine de mètres, à l'ombre de grands arbres et de buissons odorants.

- Par ici, on ne nous dérangera pas.

Serrant ma main, elle me guida vers les tables de ping-pong, à l'abri des regards, derrière de grands lauriers roses.

- Voilà. En général, il n'y a personne ici l'après-midi.

Elle se tourna vers moi, posa ses yeux bleu-vert sur mes seins, et me prit dans ses bras. Nos lèvres se trouvèrent immédiatement, un baiser urgent, passionné, affamé. Elle mordillait mes lèvres tout en me caressant du dos jusqu'aux fesses. Je lui rendis ses caresses, me délectant du contact de ses petits seins contre les miens, de sa taille fine, de son cul ample et ferme, de la douceur des lèvres de sa chatte imberbe.

Elle me poussa vers la table de ping-pong sans relâcher son étreinte, et me fit m'asseoir dessus. J'écartais les jambes pour l'attirer à moi, elle m'embrassa le cou, les épaules, pris mes nichons entre ses mains et en mordilla les tétons, puis s'accroupit et fourra sa tête blonde entre mes cuisses.

Elle leva les yeux vers moi, sa langue écarta mes grandes lèvres et trouva mon clitoris, elle sourit.

- Laisse-toi faire, et apprends-moi où tu aimes.

Je pris sa tête entre mes mains et sentis sa langue s'enfoncer en moi. Je relevai les jambes pour ouvrir plus grand l'accès à ma grotte intime, l'incitant, par de petits coups de reins accompagnés de gémissements sincères, à me lécher plus fort, plus loin.

- mmm oui... oui...

Ses doigts entrèrent dans la danse, l'index, le majeur, l'annulaire, trois doigts dans mon vagin, puis quatre, et le pouce qui tournait sur mon clito avec sa langue endiablée, je me déhanchai pour l'accompagner, imaginant qu'un gode ou une bite viendrait me prendre pour me remplir complètement, je me retins de crier de justesse.

Je la relevais d'un coup et l'embrassai passionnément. Elle me regarda en souriant encore.

- Tu sais Coralie, je crois que je t'aime, pour de bon.

Je lui rendis son sourire.

- je t'aime aussi. Je crois.

- Avant de te rencontrer... Je ne savais pas que... que je suis une... une lesbienne.

 Je changeai de place avec elle, et l'assis sur la table, me lovant entre ses cuisses écartées. Je m'accroupis entre ses jambes et la léchai lentement. Elle gémit. Je plantai ma langue entre ses lèvres humides, elle ferma les yeux et se caressa les seins en rythme pendant que je la suçai amoureusement.

Son sexe avait un léger goût salé, la douceur d'un abricot tendre et mûr, je prenais autant de plaisir à y promener ma langue que si je me léchais moi-même. Je glissai une main vers ma chatte et me masturbai délicieusement, m'abandonnant aux sensations que me procurait son vagin sur ma bouche, dans ma bouche, son clito dardant chaudement sur mon nez, son humidité féminine qui me faisait tourner la tête.

Deux mains d'hommes se posèrent sur mes épaules et descendirent sur mes seins. J'ouvris les yeux, sans cesser de sucer ma blondinette, qui se retournait pour voir qui lui avait aussi empaumé ses petits nichons.

Deux mecs plutôt mignons nous caressaient avec douceur. Véronique m'interrogea du regard, je lui fis un clin d'oeil. Elle laissa le mec derrière elle lui malaxer la poitrine, en fermant les yeux. Une bouche s'approcha de mon oreille et me susura:

- Laissez-vous faire, les filles.

Les mains du mecs m'incitèrent à me relever, ce que je fis. Il se frotta à mon cul un instant et me retourna face à lui. Je m'assis sur la table de ping-pong. Les deux garçons s'accroupirent entre nos jambes et y plongèrent leurs langues, nous suçant énergiquement en soupirant d'aise. Je tournai mon visage vers Véro, juste à côté de moi, et l'embrassai avec fougue. Elle me rendit mon baiser en enfonçant la tête de son suceur entre ses cuisses fines grandes ouvertes. Je l'imitai, forçant le jeune pervers dans ma grotte humide. Son nez écrasait mon petit bouton, tournait dessus, entrait dans ma chatte, me violait délicieusement, déclenchant de divins éclairs dans tout mon ventre.

Je chuchotai à l'oreille de Véronique:

- Merci de partager ça avec moi.

Elle m'embrassa encore.

- je t'aime, Coralie.

Je souris et lui répondis dans un souffle:

- je t'aime aussi. Viens.

Je lui pris la main et descendis de la table, relevant les deux gars et leur baissant leurs caleçons. Le mien avait une bite épaisse, très brune. Celui de Véro avait un long sexe rosâtre, au prépuce circoncis. Je saisis ce membre et le portai à la bouche de ma blondinette, qui le têta dans un sourire timide. Le mec à la pine brune la frotta contre mon nez. Je l'embouchai d'un coup, heureuse de la sentir battre contre ma langue.

- Suce, salope.

J'obéis, imaginant les bites de Loïc et de Vincent me transpercer la gorge, déverser leur crème délicieuse sur le menton. Je pressai mes lèvres contre le membre ferme, au goût de chlore, me fourrant deux doigts dans le vagin, ne boudant pas mon plaisir. Du coin de l'oeil, je vis Véronique gober le gland de son gars, qui lui tenait la tête et lui caressait les cheveux. Elle avait l'air heureuse. Je pris sa main dans la mienne, tout en léchant la bite épaisse avec gourmandise, encouragée par le mec qui prenait son pied.

- Continue comme ça avec ta langue, c'est ça, goûte-la bien... Mmm

Véronique vint m'embrasser dans le cou et me caresser les seins, je souris et lui donnai la pine sortie de ma bouche à sucer tandis que je gobai celle de son gars, l'aspirant comme un gros spaghetti. Je le pompai énergiquement, jusqu'à ce qu'il me prenne les cheveux dans ses doigts serrés et empêche ma tête de bouger. Il souffla lentement, contracta ses abdos pour se retenir d'éjaculer dans ma gorge. Sa bite battit furieusement contre ma langue immobile, je le laissai décompresser, ravie de l'avoir fait jouir si vite. Deux petites gouttes de sperme perlèrent de son méat dans ma gorge, puis il se détendit, soulagé de n'être pas venu si tôt. Il retira doucement son membre de ma bouche, j'appuyai ma langue dessus au passage, de manière à prolonger son plaisir. Je le taquinai:

- tu as aimé, mon beau ?

- ouais, tu suces comme une déesse. Assieds-toi sur la table et écarte bien les jambes.

Je m'exécutai, imitée par Véronique qui embrassait son gars à pleine bouche en me regardant d'un air coquin. La bite pénètra mon vagin par à-coups, et s'y enfonça comme dans du beurre. Mon blondinet attrapa mes seins et  les serra dans ses mains douces, j'ondulai du cul pour lui faire comprendre que j'appréciai et lui dis à l'oreille:

- tu as intérêt à bien me faire jouir. Fais-moi crier...

Il m'embrassa à pleine langue en me fourrageant la chatte, je me laissai emporter par les sensations très agréables. Je m'amusais beaucoup.

- aaah oui... Aaah...

J'ouvris les yeux pour regarder Véro, penchée sur la table, le cul en arrière, qui se faisait limer en levrette. Elle souriait en me regardant, écartant ses fesses avec ses mains, exposant son petit trou aux yeux gourmands de son amant improvisé.

Il mouilla son pouce d'un grand filet de salive et humecta l'anus rose, incertain, s'attendant sans doute aux protestations de mon adorable adolescente. Mais Véronique l'encouragea, plaquant sa poitrine sur la table de ping-pong et poussant sur le doigt coquin pour qu'il la pénètre. Elle me fit un clin d'oeil, je me serrai contre le mec qui me gamahuchait pour mieux voir le spectacle qu'elle m'offrait. Il me prit dans ses bras, m'étouffant presque, et poussa son sexe gonflé le plus profond possible en ahanant comme un buffle.

L'amant de Véronique s'enhardit. Il sortit sa bite épaisse de la chatte rasée et, crachant sur le petit trou précieux, la prit à pleines mains pour forcer la pastille qui lui était offerte.

- Non, gémit-elle, elle est trop grosse, tu vas me faire mal ! Continue avec ton pouce.

- Tu m'as bien chauffé, salope, alors laisse-toi faire.

Elle hocha la tête négativement, mais se cambra, docile.

A mesure que l'engin la pénétrait, l'adolescente ferma les yeux, aidant de ses mains, écartant son cul, ondulant ses hanches.

- Aaïe...Aaa...aaa... Arrête, je ne peux pas, c'est trop gros...!

La bite s'arrêta à mi-longueur, ressortit lentement, le gars cracha un nouveau filet de salive dessus, et enfonça fermement son engin, tandis que Véro, soumise, l'accompagnait pour l'aider, la langue sur les lèvres, bouche entrouverte.

Je me dégageai de l'étreinte de mon amant de l'après-midi, me retournai et lui présentai mon cul en écartant mes fesses. Je guidai sa bite vers mon petit trou moite, tout en embrassant ma blondinette, qui se faisait baiser en haletant de plaisir juste à côté de moi, sur un côté de la table de ping-pong.

Il me pénétra en deux coups, et entama ses va-et-vient ses deux mains sur mes hanches. Je glissai une main sous la chatte de Véronique, et sentis la sienne venir me caresser. La jouissance arrivait très vite, je fermai les yeux et m'abandonnai au sexe qui me labourait la voie étroite, bien habituée maintenant à ce qu'on l'emprunte avec ardeur...

Bien vite, les garçons échangèrent leurs places. Je m'allongeai sur le dos, jambes écartées, et laissai mon mignon petit brun insérer sa grosse bite brune dans mon petit trou, par devant. Il n'avait d'yeux que pour mes seins bronzés zébrés de rouge, et se penchait de temps à autres pour les téter. J'entendais Véronique hahaner, gémir, soupirer d'aise. Je levai la tête et vit qu'elle et son blondinet étaient en position de 69.

- Oh oui, chuchotait-elle, suce-moi comme çaaaa, mmm, viens dans ma bouche...mmm

Ses lèvres se fermèrent parfaitement sur le gland fin, qui fut avalé jusqu'à la garde. Elle le pompa jusqu'à ce qu'il éjacule dans sa gorge, et l'y garda un instant avant de recracher la bite, blanche de sperme.

Je me concentrai sur les sensations que je ressentais, heureuse, me laissant baiser comme une reine, sans fournir d'effort. Le gars sentit que j'étais tout à lui, il me pressa les seins et vint dans mon cul en saccades incontrôlées, je l'accompagnai dans son plaisir, et le serrai contre moi lorsqu'il s'effondra de tout son long, vidé, en m'embrassant le visage au passage. Le dos large et musclé roulait sous mes doigts. Je sentis Véronique m'embrasser le front et les lèvres, un filet de sperme sur son menton. Je lui rendis son baiser, me dégageai de l'étreinte de mon amant essoré et enlaçai ma blondinette. Lorsque nous nous relevâmes, les deux gars étaient partis... Mais il y en aurait bien d'autres ! Elle sourit.

 

- Alors, on y va à cette plage ?

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'asservissement de Miss Camping, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Dimanche 24 juillet 7 24 /07 /Juil 14:22

- Aah... mmm... oui... hmmm

J'étais seule, cul en l'air, les bras dans le dos, menottée, à moitié écrasée sur une table branlante, un gode vibrant dans ma moule, et je n'éprouvais aucune honte, ne cherchant qu'à intensifier le plaisir qui montait de mes reins, serrant et desserrant les jambes en rythme. Je parvins à glisser le doigt d'une main menottée juste sur mon petit trou souple, et l'y fis pénétrer, décuplant les sensations déjà fortes. Un filet de bave coula de mes lèvres souriantes.

- Eh, les tourtereaux, vous venez manger ?

Dehors, Vincent avait la voix amusée.

- Vous terminerez de dévorer les seins de Sarah après le repas, Jean, vous verrez qu'elle est bien plus cochonne avec un coup dans le nez !

Le plaisir montait, j'étais au seuil de la jouissance, puissante, douloureuse. Je gémis, priant pour qu'elle explose au plus vite, mais elle se dérobait. Si seulement j'avais pu me masturber, je serais venue très vite ! Je me redressai, serrant les genoux sur la table branlante, ce qui déclencha des vagues de spasmes hurleurs dans mon ventre.  Mains dans le dos cherchant toujours à explorer ma raie le plus loin possible, j'écartai les jambes et m'empalai sur le godemichet enragé tâchant de guider sa course vers le paradis,

- Aah ! Aah ! Mmm ! Oui !

- Je vais chercher le pain, je reviens.

Sarah entra dans le mobil-home, nue, magnifique. Elle sourit en me voyant me tortiller sur le gode, seins étouffés sous le haut de soie et visage tourné vers le ciel.

- Vincent t'a prêté mes jouets préférés, à ce que je vois... Il est très coquin, parfois...

Je la suppliai:

- Sarah ! Aah ! Aide-moi ! Mmm ! Aah ! Aide-moi à jouir ! Branle-moi !

Elle s'approcha, caressa mes nichons dardant sous la soie et plongea la main vers ma chatte, où elle actionna quelque chose sur le godemichet, qui se mit à vibrer deux fois plus vite. Je me noyais dans une agonie de plaisir.

- Tu verras, me chuchota Sarah, c'est meilleur quand ça vient très lentement... Baisse-toi.

Reconnaissante, j'obéis, me recouchant à moitié sur la table, croupe en l'air. Elle fouilla dans la boîte un instant et me montra un godemichet plus fin, en métal doré. Elle m'embrassa l'oreille en chuchotant:

- Tu le veux, celui-là aussi ? Tu veux jouir vraiment ?

- Aah ! Oui ! Je t'en prie !

Elle caressa mes épaules, mon dos, flatta ma croupe, je gémis plus fort encore, puis elle écarta mes fesses et planta le gode doré dans mon anus, l'y enfonçant d'un coup. J'ouvris grand les yeux en hurlant. La main apaisante de Sarah vint caresser mes seins.

- Désolée si je t'ai fait un peu mal, ça va passer - je te parle en toute connaissance de cause, ma chérie, tu verras...

Elle actionna le gode doré, qui vibra de concert avec celui planté dans mon vagin. La douleur se transforma en plaisir, qui irradia dans mes reins, je haletai en couinant d'une voix aigüe:

- Oui ! Oui ! Ouiouiouiouioui !

Sarah me donna un dernier baiser, puis sortit, le pain à la main, me laissant lutter dans la tornade de sensations violentes qui m'assaillait.

Je ne pouvais plus bouger, affalée sur la table, prisonnière des deux godes et des menottes, perdue dans un ouragan de plaisir diabolique, qui crissait sur mon système nerveux, incapable de mener la jouissance à son terme, je restais là, pleurant d'un plaisir douloureux, suppliante, implorante. Je ne sais combien de temps s'écoula avant que j'entende Vincent revenir, manifestement ravi du spectacle que je lui offrais.

- Tu es en avance sur le programme, ma belle... Viens là !

Il attrapa ma tête à deux mains et glissa sa bite dans ma bouche. Je le suçai en soufflant comme une furie, désespérée de ne pas trouver le chemin de l'orgasme qui n'en finissait pas de se refuser à moi. Je saisis le gode qui me sodomisait et essayai d'accentuer la jouissance qu'il me procurait.

Vincent se retira de mon étreinte buccale, vint se placer derrière moi et arrêta la vibration des deux godes. Je gémis:

- Nooon, s'il-vous-plaît, laissez-moi jouir !

- On y vient, on y vient...

Il sortit les deux objets de mes orifices, je frissonnai d'aise quand il plaça le plus gros des deux, le gode bite-de-Loïc, à l'entrée de ma rondelle, tout en la mouillant avec le jus de ma chatte. Je ne pouvais imaginer comment il comptait faire entrer un si gros objet par mon petit trou, mais, lorsqu'il se mit à me masturber, trois de ses doigts se démenant comme des diables sur mon clitoris, je me penchai davantage en couinant comme un hamster, priant silencieusement pour qu'il me le mette bien profond.

Il poussa sur le gode lentement. Mon anus embrassa le bâton de caoutchouc et lui céda le passage sans protester, je ne ressentis aucune douleur, juste un plaisir démultiplié, chaque centimètre parcouru m'électrisant les reins. Ses doigts tournaient toujours sur mon clitoris, et je sentis enfin que la délivrance arrivait, une vague lointaine qui viendrait déferler de la pointe de mes pieds jusqu'à la racine de mes cheveux.

- Ah ! Oui ! Plus loin !

Je poussai sur mon cul, et sentis bientôt les couilles du gode XL buter contre mon vagin. Vincent actionna le bouton magique et l'engin vibra dans mes boyaux, déclenchant un tremblement de nerfs dans tout mon être.

- Suce !

Je n'avais pas réalisé qu'il était passé à côté de moi. Je tournai la tête en pleurant de joie et, tandis qu'il me masturbait toujours et me pressait les seins avec force à travers le haut de soie blanche, je l'engloutis tout entier en soufflant par le nez. Il enfonça ses doigts dans mon vagin, accentuant la déferlante. Je jouis en hurlant contre la bite bloquée au fond de ma gorge, remuant le cul et la chatte pour guider les sensations qui s'entrechoquaient entre mon ventre et mes reins, et ne fus pas surprise lorsqu'il attrapa ma tête à deux mains et éjacula dans ma trachée, étouffant mes hurlements de bonheur.

Il sortit lentement sa pine de ma bouche, je laissai ma langue sortie en gémissant, accueillant les jets de sperme chaud avec une joie salace. Il se branla avec douceur, guidant la crème juteuse sur mes lèvres et mon nez, amenant sa queue jusque sur mon palais pour que je le pompe encore et encore.

- Relève-toi, vite.

Il m'aida à me mettre à genoux, je dus écarter les jambes pour que le gode ne me déchire pas le derrière, j'oscillais toujours entre plaisir et douleur. Il se souleva sur la pointe des pieds et frotta sa bite dans ma fente rasée, tout en fourrant son visage dans mes seins, qu'il renifla à travers le haut de soie blanche.

- Vincent est là ? demanda une voix d'homme au-dehors.

- Dans le mobil-home, oui, répondit Sarah, un sourire dans la voix.

L'homme entra, et s'immobilisa sur le seuil.

S'il était étonné, il ne le montrait pas. Vincent me mordilla les deux seins, avant de me laisser, et de venir lui serrer la main.

- Elle est à toi.

Je protestai.

- Quoi ? Non !

L'homme, plutôt bedonnant, me sourit, me retourna sur la table, me fit descendre, dos à lui, enleva le gode de mon cul, sans ménagement et y fourra sa pine déjà dure sans prononcer un mot. Il m'attira à lui par les menottes, et me malaxa les seins à travers la soie tout en me limant férocement, sous le regard appréciateur de Vincent.

- Arrêtez ! Aah !

Après le contact âpre et caoutchouteux du gode, la texture soyeuse du sexe qui allait et venait dans ma voie étroite avait quelque chose d'infiniment agréable, couplé aux caresses appuyées sur mes nichons. Je rejetai la tête en arrière en haletant, écartant le cul pour mieux ressentir le chibre qui l'explorait.

- Aah, oui...

Il lâcha mes seins et s'activa sur mon clitoris lové au creux de mes lèvres rasées. La sensation était orgasmique, je me mordis les lèvres en couinant de plaisir. J'essayai de tourner la tête pour embrasser l'inconnu, et vis qu'il regardait son sexe entrer et sortir de mon cul d'un air ravi. Il m'attrapa la tête à deux mains et fourra sa langue dans ma bouche en jouissant bruyamment. Je sentis son sperme chaud inonder mes intestins et serrai les fesses pour lui donner un maximum de plaisir tout en continuant à l'embrasser goulûment.

Il retira sa bite mollissante de mon cul et la glissa dans ma chatte, ses doigts chatouillant toujours mon petit bouton rose. Je sentis Vincent s'approcher de moi. Il m'ôta les menottes - mes bras et  mes épaules me faisaient mal - et passa la main sous la soie pour caresser encore mes seins. Je remuai le cul en rythme, j'espérai pouvoir déclencher un nouvel orgasme - l'idée de ces deux hommes qui s'occupaient de moi et y prenaient un plaisir certain me faisait partir à nouveau, je me concentrai sur le sexe qui se réveillait dans le mien, sur les deux doigts qui faisaient rouler délicieusement mon clito, et sur la main qui pinçait mes tétons sous la douce soie du haut trop étroit.

- ouiouiouiouioui !

Les mains sur mes seins se firent plus pressantes.

- Elle aime ça la cochonne...!

Je m'empalai sur la bite en souriant, au bord de la jouissance. Sylvie entra dans le mobil-home.

- Tu as fait connaissance avec mon mari, à ce que je vois...

J'écoutais à peine, donnant des coups de reins de plus en plus marqués, m'abandonnant à la levrette et aux mains sur mon corps.

Sylvie vint me caresser le visage et les cheveux, je mordillai ses doigts en gémissant, accélérant encore mes ondulations. Sa bouche rencontra la mienne, une onde de jouissance me traversa le corps de la croupe aux lèvres, je criai de plaisir dans le baiser saphique de la jolie brune.

Son mari ne mit pas longtemps à venir, il éjecta son sexe de mon vagin sensible et Sylvie branla sa semence sur ma croupe rebondie - j'accompagnai l'éjaculation avec douceur, me frottant à la bite écarlate, qui déversait des larmes de sperme blanchâtre et épais sur le haut de mon cul.

Sylvie me serra dans ses bras, je l'embrassai encore, avant de prendre Vincent par la main et d'échanger un nouveau baiser avec lui.

- Merci, dis-je sincèrement. C'était une expérience... intéressante...

Il me bécota dans le cou et exposa mes seins en tirant le haut de soie. Il les téta un moment avant de dire:

- Deux beaux gros seins, un cul à faire se venir dessus un moine tibétain, une chatte toujours bien mouillée  prête à engloutir une bonne pine, une vraie petite bouche de pute, tu me fais penser à Sarah il y a 30 ans... Si tu veux passer tes vacances dans notre mobil-home, tu es la bienvenue.

Je lui caressai la joue en souriant.

- Nous verrons...

Je ramassai les deux godes et les menottes, puis enlevai le haut de soie à regrets. Je les lui tendis.

- Garde-les précieusement, j'aurai peut-être encore des occasions de les utiliser...

Il me fit un clin d'œil. Je pris Sylvie par la main et sortis du mobil-home, sans faire attention au sperme qui coulait de mon cul. J'étais la gentille pupute du camping, comme disait mon mari, tout le monde le savait, un peu de sperme en plus ou en moins sur mon corps nu ne ferait pas une grande différence.

Je remarquai à peine Jean qui se faisait sucer intégralement par Sarah pendant qu'un autre type - le voisin ?- la baisait par derrière. Je croisai les doigts dans ceux de Sylvie et dit:

- je meurs de faim !

Je me servis un morceau de viande grillée et le dégustai en regardant mon amie se faire baiser. Même prise par deux hommes, et avec une pine dans la bouche, elle gardait sa grâce naturelle, une princesse aux courbes parfaites accordant ses faveurs à deux serviteurs indignes de ses charmes si sensuels. Les deux garçons le sentaient, manifestement, et essayaient donc de se surpasser, tant en douceur qu'en qualité, pénétrant ses orifices avec attention, caressant son dos, ses seins ou sa croupe, tâchant de donner plus de plaisir qu'ils n'en ressentaient eux-mêmes. Je me promis de travailler cette attitude lors de mes prochains ébats, presque surprise de les attendre avec impatience...

 

Il était presque 14h30 et Véronique ne se montrait toujours pas. J'avais déjeuné rapidement, la compagnie de Vincent, de Sylvie et Rémi, son mari, et de Sarah s'était avérée très sympathique. Nous avions parlé des pratiques sexuelles préférées des deux filles, et, en dehors du fait que je n'avais jamais expérimenté la moitié d'entre elles (comme de se mettre nue à la vitre d'une voiture et de laisser les hommes qui le voulaient se masturber et étaler leur semence sur les carreaux, et parfois ouvrir la vitre et sucer tous ceux qui se présentent...!), j'avais promis de m'initier avec elles et de partager leurs pratiques favorites. Jean n'avait pas protesté, il avait passé le gros du repas à malaxer la poitrine opulente et parfaite de Sarah, et semblait maintenant impatient de me voir retourner chez elle. Il était d'ailleurs resté 'pour la sieste' ce qui m'arrangeait bien pour la suite de mon après-midi.

J'étais revenue à la tente, espérant déjà y trouver Véronique, ma blondinette. Mon cœur se mit à battre plus fort. Et si Laëtitia n'allait pas en courses ? Je respirai plus difficilement. Et si Véronique avait réfléchi et réalisé que son petit ami avait mieux à lui proposer que moi ? Je voulais explorer le sentiment que j'avais ressenti en l'embrassant, en plongeant ma langue entre ses lèvres au goût de pêche, en écrasant son clitoris sur mes papilles émoustillées... Je déglutis, ravie et effrayée par l'excitation qui me fit tourner la tête à ces pensées coupables.

- Coralie.

Le chuchotement venait des thuyas. La voix de Véronique.

- Viens, je suis seule !

Elle apparut. Elle était vraiment magnifique, dans son petit bikini vert amande, ses deux seins pointant à travers l’étoffe, ses longs cheveux blonds tombant en cascade sur ses épaules, sa bouche rose tendre, sa taille mannequin… des papillons se mirent à voler dans mon ventre, mon cœur battit la chamade… je marchai vers elle comme sur un nuage. Nos nez frottèrent l’un contre l’autre. Je me noyai dans ses yeux bleus. Elle m’embrassa, troublée. Pris un de mes nichons dans sa main aux doigts fins. Le baiser se prolongea, infini, je fermai les yeux et me laissai porter par les sensations très exotiques que je ressentais.

Je la respirai dans le cou, elle eut un petit rire coquin en mordillant une de mes oreilles.

- On va à la plage ? demandai-je.

- Je te suis, juste une seconde.

Elle s’écarta, et ôta son haut de maillot, puis tira sur la cordelette de son string, qui tomba à ses pieds. Sa nudité angélique m’émoustilla. Je la regardai sans comprendre.

- Et voilà, dit-elle. Je suis aussi une miss camping maintenant… tu viens ?

 

Nous sortîmes de mon emplacement et prîmes le chemin de la plage, nues sous le soleil.

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