L'asservissement de Miss Camping, par Alexis

Vendredi 22 juillet 5 22 /07 /Juil 20:25

Je manquai d’éclater de rire. Sarah eut un petit soupir amusé. Je la regardai en coin, puis m’approchai de Jean, et, faisant comme si rien d’anormal ne se produisait, je saluai le campeur.

- Bonjour ! Il travaille bien ?

Le jeune homme cessa de s’activer sur sa pine, l’air gêné.

- Euh… oui…

- Il a été coopératif avec vous ?

- Euh… très coopératif, oui. Il m’a expliqué pourquoi il était à poil dans le camping, et j’ai demandé si je pouvais le regarder travailler… Je crains d’avoir un peu dépassé le stade de l’observation… Faut dire que vous êtes bien isolés des regards, ici…

Il montrait les thuyas hauts, et les oliviers qui ornaient notre nouvel emplacement de camping. Jean semblait avoir avalé un litre d’acide chlorhydrique.

- Allons, ne soyez pas gêné par nous, faites comme si nous n’étions pas là. Vous êtes plutôt homo ?

Jean sursauta.

- Euh… non, pas vraiment. Mais j’ai toujours rêvé de… euh… de masturber un autre homme, et là, comment dire, l’occasion… euh…

Je souris férocement. Mon esprit humilié, mon corps maltraité, mes seins molestés, griffés, mon cul violé sans concession, ma minette fourragée et souillée, tout en moi criait vengeance.

- Ne vous gênez pas, surtout, si vous avez envie de masturber mon mari, servez-vous, approchez, il ne vous mangera pas. Il en tirera peut-être même quelque plaisir…

Jean, penché sur les sardines qu’il plantait, ferma les yeux, et serra son maillet en tremblant, mâchoires serrées. Sarah se tortilla derrière moi en chuchotant à mon oreille :

- Dommage, la place est prise…

Je lui serrai la main brièvement, lui faisant comprendre que je voulais qu’elle reste pour le spectacle.

Mais le jeune homme hochait la tête négativement.

- Oui, je sais, il se laisse bien faire, j’ai essayé tout à l’heure, mais impossible de le faire bander, son… pénis… reste tout mou.

Je regardai Jean d’un air de reproche.

- Oh, Jean, ce n’est pas bien de ne pas assister Monsieur dans son fantasme ! C’est vrai que tu as eu plusieurs rapports sexuels aujourd’hui, mais tout de même, tu pourrais faire un effort ! Tu as vu ceux que j’ai faits avec le gros porc, quand même !

Jean hésita, puis finit par répondre, d’une voix atone.

- Je… j’ai tout fait comme tu as demandé, Coralie, mais ça ne marche pas avec un homme, et je ne m’en plains pas vraiment…

Sarah avança vers mon mari. Elle dégrafa son paréo, dénudant son superbe corps bronzé. Elle ne portait pas de string.

- Je peux peut-être aider… ça ne te dérange pas, Coralie, si je m’octroie un petit plaisir avec ton mari ?

Je n’étais pas trop heureuse qu’une si belle femme puisse s’occuper de Jean, mais après Loïc et sa queue phénoménale, et la perspective de me taper ses vingt petits camarades, je pouvais bien fermer les yeux…

- Sers toi, du moment que notre ami réalise son fantasme…

Sarah m’envoya un petit baiser coquin avec sa bouche parfaite, puis elle prit la main du campeur, qui bandait de plus belle en la voyant nue devant lui. Elle fit s’agenouiller Jean, bite en avant, dans la main du jeune homme.

Puis elle enjamba Jean, plaçant sa chatte rasée et bien dessinée devant son nez, jambes écartées. Il devait avoir une vue en contre-plongée de son beau minou bronzé et de sa poitrine de déesse, et ne pas en croire ses yeux…

Elle était magnifique, je n’en revenais toujours pas. Un vrai mannequin de 50 ans, les dents éclatantes, le cul rebondi sans un gramme de cellulite, des seins fermes, généreux, la peau douce et le sexe glabre, que le gros José aurait adoré… Et ses avec quelques rides, plus charmantes que dégradantes, au coin de ses yeux, sur son cou et sur les côtés de ses nichons, elle était à croquer.

Elle caressa ses seins parfaits d’une main, et écarta son minou de l’autre, se baissant pour que les lèvres de Jean l’effleurent. Elle se masturbait, se frottait sur sa bouche, malaxait ses gros lolos, le tout dans un déhanchement sensuel. Les doigts du campeur s’activaient sur la queue de mon mari, il n’avait d’yeux que pour le sexe qui gonflait, lentement, dans sa main, et ne faisait pas attention aux fesses rebondies de Sarah. Elle avait un tatouage à la naissance de ses fesses, un petit papillon bleu foncé, qui invitait à explorer la raie plus avant, qui semblait demander à ce que les doigts ou la langue – ou un membre masculin – viennent révéler le petit orifice appétissant qui se cachait au creux de ces divins lobes.

Elle haleta discrètement quand la langue de Jean plongea au creux de sa chatte, la baisant aussi sûrement qu’une bite aurait pu le faire. Il ouvrit la bouche au maximum, essayant de planter sa langue jusqu’aux tréfonds de la belle moule avide, la léchait comme un veau tête sa mère, cou tendu, menton en avant, yeux fermés, nez dans son clito. Toujours à genoux, il prit les fesses délicieuses dans ses mains, et les caressa méticuleusement, pouce par pouce, se délectant de leur texture soyeuse et de leur fermeté rebondie. Sarah attrapa sa tête, et enfila la langue plus loin, en gémissant de plaisir. Jean donnait des coups de queue sans s’en rendre compte, oubliant que c’était un homme qui l’astiquait.

Je regardais le spectacle avec un plaisir inouï. Le campeur, souriant comme un ange, se branlait en même temps qu’il masturbait Jean, qui avait maintenant la trique des bons jours, rouge et gonflée d’une semence prête à être récoltée. Plus ça allait, plus le visage du campeur s’approchait de la bite au garde-à-vous, et je voyais arriver le moment où il allait la goûter, emmenant son fantasme vers d’autres horizons.

Mais Sarah en décida autrement. Elle quitta sa place de choix, laissant les deux hommes à leur affaire. Elle me prit la main, et m’attira vers les garçons. Jean semblait moins enthousiaste à la vue du campeur excité qui lui serrait la bite en essayant d’en tirer son précieux jus. Cela ne dura pas. Sarah enjamba de nouveau Jean, lui présentant son cul, cette fois, et m’invita à la rejoindre. J’enjambai mon mari à mon tour, face à la belle princesse, et acceptait son baiser, pendant qu’elle me caressait les seins et la chatte, s’abandonnant aux sensations que lui procuraient ma langue dans sa bouche et celle de Jean dans son cul et dans sa minette offerte.

Le campeur astiquait toujours Jean, mais ne semblait plus vouloir le sucer. A la place, je sentis sa langue sur mes fesses, et son autre main sous mon ventre, doigts entremêlés avec ceux de Sarah, si bien que je ne savais plus lequel des deux me pénétrait ni lequel me caressait. Je malaxai les beaux seins bronzés de Sarah, et, décidée à en profiter au maximum, m’empalait sur les doigts mêlés, en accentuant la force du baiser que j’échangeai avec elle. Elle embrassait vraiment très bien, sa langue était agréable dans ma bouche, elle souriait, heureuse, son parfum enivrant emplissait mes narines. Son expérience de femme d’âge mûr se ressentait dans ses caresses, dans son baiser, dans cet abandon incroyablement simple qu’elle me faisait partager. Ses doigts (ou ceux du campeur ?) tournaient sur mon clitoris, s’enfonçaient délicatement en moi, m’effleuraient les lèvres rasées, tâtaient mon périnée et se permettaient d’entrer dans mon petit trou, que j’offrais de bon cœur aux caresses appuyées.

Jean se tendit, et éjacula dans les doigts du campeur, qui vint dans un râle, projetant du sperme jusque sur la bite qu’il venait de faire jouir, éclaboussant mes jambes au passage, quelques gouttes atterrissant sur les pieds de Sarah.

Nous enjambâmes les deux hommes, et je laissai Sarah s’agenouiller, leurs bites entre ses mains, récoltant le sperme avec les lèvres, la langue, et me présentant sa croupe attirante, parfaite,  jambes écartées. J’y glissai mes doigts, et la pénétrait sans hâte, avec douceur, n’espérant pas lui procurer une grande jouissance, plutôt un doux plaisir. Elle léchait les membres ratatinés et souillés avec méthode, s’attardant sur les poils, sur le gland, sous les couilles, jusqu’à ce qu’ils soient parfaitement nettoyés. Elle m’encouragea à la fourrer plus fort, mais j’avais peu d’appétit pour les femmes, et je continuai quelques minutes à aller et venir entre ses lèvres, hasardant un doigt dans son anus, par curiosité. Elle donna un grand coup de reins et mon doigt pénétra jusqu’à la paume. Elle se tourna et me regarda pendant que je jouai dans son cul de déesse, en souriant, bouche entrouverte. Elle entama un va-et-vient plus rapide, et me dit en haletant :

- Il faudra que l’on se fasse une petite séance de massage toutes les deux. Tu ne crois pas ?

Je vis Jean lever les yeux au ciel, désespéré.

- J’ai hâte d’y être, dis-je pour le titiller. Tu es si belle que je deviendrai presque lesbienne rien qu’à te regarder.

Elle rit et reprit l’exploration des bites molles en susurrant :

- Ne te prive pas des hommes, une bonne queue dès qu’on le peut, il n’y a rien de tel pour garder la forme…

Je me dis que si baiser à ce rythme pouvait me donner son corps de déesse, je resterais miss camping pour le restant de mes jours sans hésiter…

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'asservissement de Miss Camping, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Vendredi 22 juillet 5 22 /07 /Juil 20:24

Jean me réveilla peu avant la séance de massage. Nous avions mangé en silence, une salade et deux sandwiches, accompagnés d'une bière fraîche, puis je m'étais allongée à l'ombre, à côté de la tente, légèrement cachée par les arbustes secs qui bordaient notre parcelle, mais suffisamment visible pour que les vacanciers qui passaient sur le chemin puissent me mater. Jean ne m'avait pas demandé de le sucer, après l'épisode de la douche, mais je ne savais pas si c'était parce qu'il ne pouvait plus bander après deux rapports sexuels dans la journée, ou parce que, techniquement, le gros José ne m'avait pas sautée. Un doigt dans le vagin, une branlette, une fellation et des bouillons de sperme rance avalés de force n'étaient pas de la baise à proprement parler. Ou peut-être était-il trop dégoûté pour vouloir que je le prenne en bouche... Il n'était pas au bout de ses peines, dans ce cas !

Je m'étais vite endormie, pendant que Jean faisait le tour du camping à la recherche d'un emplacement isolé pour notre tente - afin que je puisse y recevoir discrètement les messieurs et les demoiselles que j'inviterais à disposer de moi au calme.

Avant qu'il ne parte, il m'avait raconté que plusieurs campeurs l'avaient abordé, lui demandant pourquoi il se baladait à poil, et qu'il n'avait pas trop su répondre.

- Si on te pose la question, avais-je dit, tu répondras que tu es le mari de miss camping, et que tu partages sa nudité, parce que je ne veux pas être seule à me faire peloter par tout le monde. Tu leur diras - hommes ou femmes - qu'ils peuvent te toucher comme ils le souhaitent et que si tu n'obéis pas, ils n'ont qu'à me le dire, je ferai ma valise immédiatement. Et s'il y en a un qui t'encule dans une douche ouverte devant une dizaine de campeurs, tu auras une idée de comment je me suis sentie ce matin !

 

Il avait hoché la tête, docile, et était parti, cul nu, pine à l'air, dans son exploration du camping.

Je m'étirai, bien en vue, plus reposée que je ne l'aurais cru possible. Jean déplantait les sardines de la tente. Les sacs étaient déjà chargés dans le coffre de la voiture grand ouvert.

- J'ai trouvé un emplacement qui te conviendra, je pense. C'est le numéro 1. Il est en plein milieu du camping, le long du chemin qui mène à la plage, à côté de sanitaires.

Je ne comprenais pas comment la tente serait isolée dans ces conditions, mais je lui faisais confiance, il avait, lui aussi, toutes les raisons de s'abriter des regards. Je me montrai conciliante.

- Je vais au massage. Prends les sous, tu me montreras en chemin.

Nous arrivâmes vite à l'emplacement qu'il m'avait décrit. Effectivement, il était à peu près au centre du camping, tout proche du chemin de la plage et à dix mètres des douches. C'était une parcelle complètement invisible, entourée de grands thuyas, et ornée de deux oliviers énormes, qui prodiguaient une ombre bienvenue. On y entrait par une trouée dans les thuyas, mais en garant la voiture juste devant, les arbustes protègeraient totalement notre intimité.

- C'est parfait, dis-je sincèrement. Tu peux installer la tente, je te rejoins après la séance de massage - je serai peut-être accompagnée, ne sois pas étonné.

Il hocha la tête, et marcha à mes côtés, sans un mot de plus, jusqu'à la piscine.

Quelques femmes faisaient la queue, installées sur des bancs, près de deux grandes tentes blanches. Parmi elles, Laëtitia, Véronique, et, juste devant, Sarah, toujours aussi belle dans un paréo bleu nuit, qui discutait avec l'une des filles que j'avais vues aux lavabos, après que le gros porc se soit soulagé sur moi.

Sarah m'aperçut, elle sourit en scandant:

- Faites place à notre miss camping ! Viens, Coralie, à toi l'honneur du premier massage !

Je me frayai un chemin, seins hauts, démarche chaloupée, mes belles fesses - marquées des coups de cravache - attirant les regards curieux ou voyeurs des campeuses et de leur maris, mais ce fut ma minette rasée qui contribua certainement à l'effet enivrant que je provoquai sur mon passage. Quand je fus à hauteur de Laëtitia, qui me gratifia d'un "sale pute" très audible, je pus voir le regard intense de Véronique, auquel je répondis par un petit clin d'oeil mutin. Elle eut un sourire en coin, et mon ventre me chatouilla agréablement.

Sarah m'accueillit à bras ouvert, en me faisant deux bises légères.

- Ça n'a pas encore commencé, tu seras la première à te faire dorloter, je te conseille la tente de gauche, le gars qui y est entré est à croquer !

Un panneau à l'entrée indiquait que les scouts du coin massaient pour quinze euro la demi-heure, pour financer un voyage en faveur d'enfants d'une œuvre catholique. Au moins, je n'avais pas trop à m'inquiéter: un massage de scout catho, il y avait sans doute plus érotique...

Elle me fit une place à côté d'elle et me présenta à sa copine, Sylvie, enseignante, une jolie femme, la quarantaine, aux yeux très doux, sourire coquin avec la langue qui tâtait souvent ses dents, en un tic adorable. Je ne pus que remarquer ses petits seins ronds, un peu molassons, et ses fesses amples, rebondies mais pas grosses, dans un maillot de bain blanc très serré. Elle était gentille et agréable, et je passai ainsi les minutes avant 19h à discuter gaiement, oubliant ma nudité.

A l'heure dite, Sarah me fit une bise plus appuyée en me murmurant à l'oreille:

- Si tu le trouves à ton goût, goûte-le, surtout.

Elle me fit un petit clin d'oeil et me poussa à entrer dans la tente de massage.

Un jeune homme finissait de ranger ses crèmes et ses bouteilles d'huiles essentielles - cela sentait très bon déjà. Pour un scout, il était effectivement magnifique !

Il mesurait plus de 1m90, tout en longueur, une musculature très fine mais impressionnante, celle d'un nageur, ou d'un basketteur peut-être. Il portait un short rouge mi-long et un foulard de scout autour du cou.

Il s'aperçut de ma présence et sourit, intimidé par ma nudité.

- Bonjour... Euh... Vous n'êtes pas obligée de vous déshabiller totalement, vous savez...

Je lui expliquai rapidement l'histoire du concours des miss.

- Oh, je comprends.

Il ne semblait pas très à l'aise. Je m'allongeai sur la table, sur le ventre. Il vit les marques rouges sur mes fesses.

- J'ai un onguent pour ce type d'irritation. Ça chauffe un peu mais vous n'aurez plus rien au bout de quelques heures.

Je hochai la tête.

- Avec plaisir, alors. Tu m'en étaleras aussi sur les seins, j'ai quelques griffures très désagréables, et c'est une zone assez sensible chez moi... Fais-moi ce qui te paraît le mieux pour me détendre, je suis toute à toi.

Il sourit gentiment et posa ses mains sur mon dos. Et là, ce fut le choc: Ses mains étaient divines, elles m'électrisaient totalement ! Il parcourut mon dos, lentement, massant avec douceur. Mon rythme cardiaque s'accéléra, ma respiration se fit plus rapide, je me sentais mouiller comme une adolescente au printemps. J'essayai de me contrôler, j'avais eu plus de sexe dans cette seule journée qu'en un mois de temps avec Jean, question intensité, je ne pouvais tout de même pas avoir encore envie de me faire prendre ici !

Sans se rendre compte de rien, le scout masseur prit une pommade, s'en mît un peu sur les mains et l'appliqua sur mes fesses blessées. Je grimaçai. Il s'en aperçut et me dit doucement:

- La crème va vous brûler un instant, mais ça ne va pas durer.

Je fermai les yeux. Ses mains me malaxaient les fesses, et la sensation de chaleur s'estompa, pour laisser place à une fraîcheur réparatrice. Les caresses se firent plus prononcées, il s'attardait sur mon cul, ses pouces entrouvrant ma raie, ses mains continuant d'affoler mes sens. J'écartai un peu les jambes, l'incitant à laisser promener ses doigts un peu plus loin entre mes cuisses, consciente d'exposer mon petit trou à son regard.

Il me massa les jambes, les mollets, les pieds, et remonta vers mes fesses, mon dos, je m'abandonnai totalement, gémissant parfois, lorsque, passant sur mes omoplates, ses doigts effleuraient mes seins. Il passa sur le devant de la table, à hauteur de mon visage, pour me masser le cou. Je rouvris les yeux. Son sexe dépassait légèrement de son caleçon, un gland énorme, de la taille de mon poing. Mon ventre se tordit de désir en constatant la force de son érection.

- Je te plais ? demandai-je d'un ton léger. Si j'en juge par ton engin, je dirais que oui...

- Oh je suis désolé, dit-il d'un air gêné, je n'ai pas l'habitude de masser des filles nues... Et vous êtes très belle.

- Ce n'est rien. Tes mains sont merveilleuses, je me demande ce qu'elles me feraient dans des endroits plus intimes... Je peux te toucher pendant que tu me masses ?

Il déglutit. Je pris ça pour un 'oui'. J'abaissai son caleçon, et libérai une bite énorme qui se déroula comme la trompe d'un éléphant. Je la pris à deux mains, mais sa verge était si longue qu'un bon morceau dépassait encore de celles-ci. Je le branlais lentement pendant que, penché sur moi, il me massait le bas du dos. Je l'attirai au bord de la table, et pris son gland dans ma bouche, ouvrant grand les mâchoires pour y parvenir sans qu'il sente mes dents... Ses mains malaxèrent mes fesses, j'écartai les jambes, et sentis ses doigts glisser vers ma chatte trempée, puis la pénétrer toujours avec douceur. Je soulevai les fesses pour m'empaler plus profond sur ses doigts et poussai sa longue bite au fond de ma gorge. Elle était trop grosse, mais je la dégustai réellement, au sens propre du mot, ressentant un plaisir indicible à sentir ce gros membre battre et glisser sur ma langue, taper sur ma gorge, essayant de se frayer un chemin dans ma trachée. Je libérai le sexe délicieux, crachait dessus un flot de salive et le happai à nouveau, mâchoire écartelée, langue enveloppante, toutes papilles dehors. Je ne pouvais pas en avaler plus de la moitié, mais je m'activai pour le branler en l'enfonçant le plus loin possible dans ma gorge. Ses doigts faisaient des merveilles dans ma chatte, je voulais qu'il me prenne et me mette son bâton de joie bien profondément dans mes entrailles, qu'il me lime avec ardeur, qu'il me fasse jouir comme jamais. Je crachais encore un flot de bave sur son sexe immense, et lui souris, haletante, titillant sous le méat avec le bout de ma langue.

- Je ne savais pas que les scouts avaient des bites aussi grosses ! Tu as beaucoup de copains à me présenter ?

Il m'embrassa. Puis Je le repris dans ma bouche, en un baiser passionné. Il hésita et chuchota, excité:

- On est une vingtaine dans ma patrouille...

Je ris en le libérant lentement, évacuant la salive en bavant sur son gland gonflé.

- Baise-moi, déjà, on verra plus tard pour les autres !

Je m'allongeai sur le dos, jambes écartées, chatte ouverte, offerte, abandonnée. Il se mit un peu de crème sur les doigts et malaxa mes seins griffés, qui paraissaient minuscules dans ses grandes mains, en frottant son membre sur ma fente rasée et mouillée, écartant les lèvres, s'humectant de mon jus généreux. C'était divin. Je pensai à Laëtitia et eut une idée démoniaque. Mes seins brûlèrent sous la crème, puis se rafraîchirent, me procurant une sensation très intense, qui se répercuta dans tout mon corps, mon clitoris battant au rythme de mon cœur emballé. Il me fallait ce sexe dans ma chatte, vite !

- Viens !

Je saisis son membre à deux mains et le plantait en moi, en gémissant de bonheur. Je sentis l'énorme engin pénétrer au plus profond dans la chaleur moite de ma minette, puis ressortir presque entier, avant de revenir, puissant et doux à la fois, dans une extase jouissive, je mouillai comme lors de ma première fois. Je lui attrapai les fesses et le tirai en moi, contemplant son corps musculeux, ses traits fins, je le baisais, je le sautais, je m'en servais comme d'un gode vivant, accueillant sa bite divine au fin fond de mon corps, minou déchiré mais affamé.

Je me masturbai, ma main tournoyant sur mon sexe rasé, tandis qu'il me prenait par les hanches et m'empalait, me transperçait, me libérait et m'empalait encore sur son membre énorme dans un va-et-vient bestial et joyeux.

- Viens dans ma bouche, je veux te boire tout entier.

Il sourit, accéléra la cadence dans ma chatte, sortit tout entier et, bite à la main, vint vers mon visage. J'ouvris la bouche en grand et accueillis les jets chauds et odorants sur ma langue, avalant de grosses gorgées crémeuses, gluantes, au rythme de son éjaculation bouillonnante et interminable. Pas de haut-le-coeur cette fois, je buvais son nectar comme un bon vin, me délectant de la moindre goutte, essayant d'en extraire davantage en pressant son sexe entre mes doigts et en le branlant sans répit. Je le suçai encore longtemps après le dernier jet, la dernière gorgée, satisfaite et heureuse, jambes écartées, tandis qu'il me masturbait lentement, tout à son plaisir, à son désir étanché. Je le serrai dans mes bras, pressant mes seins contre son corps musculeux.

- C'était magique.

- Pour moi aussi.

Je pensais un instant à ce que j'allais dire, comment j'allais amener mon idée, et je me lançai, en jouant encore avec son sexe incroyable.

- J'ai un marché à te proposer. Si tu me rends un petit service, tu pourras m'avoir tous les jours si tu le veux.

Il hocha la tête, impatient.

- Quel service ?

- Il y a une nana dehors, brune-rousse, la quarantaine, jolis seins, taches de rousseur.

Il entrouvrit la tente et jeta un oeil.

- Je la vois.

- Elle s'appelle Laetitia, et je voudrais que tu lui fasses dix séances de massage. Tu lui dis que je lui offre pour me faire pardonner.

Il parut étonné.

- C'est tout ?

- Non. Je voudrais que tu la séduises, avec ton beau corps et tes mains merveilleuses, et que tu lui fasses l'amour. Et que tu en aies une preuve, photo ou film. Elle a un film sur moi et m'a violentée, je veux me venger. Avoir un moyen de pression sur elle.

- Je peux faire ça. Mon téléphone permet de filmer, ça peut faciliter les choses.

Je jubilai.

- Si tu essayes, tu me montres les films chaque jour. En échange, tu peux me prendre où tu veux, quand tu veux, à toute heure du jour ou de la nuit. Je suis à l'emplacement numéro 1 pendant encore trois semaines et je serai heureuse de te retrouver !

Il semblait tout excité.

- Si tu arrives à la baiser, et à avoir le film, je t'offrirai mon petit trou. Une belle sodomie, tu pourras me mettre ta bite entière dans l'anus, et me fourrer jusqu'à ce que tu aies la trique qui fume !

Il déglutit. Aux anges. Je ne savais pas comment je pourrais me faire prendre par une aussi grosse et longue tige, mais je le ferais.

Il réfléchit un instant, et me dit:

- Je suis d'accord, mais je voudrais que tu acceptes aussi de t'occuper de mes copains de la patrouille.

Mon cœur manqua un battement. Vingt mecs ! Il eut un regard d'excuse et expliqua:

- Beaucoup sont encore puceaux, ce serait vraiment sympa...

- Je...

Vingt mecs ! Je pensai à Laetitia, à la cravache, au concours des miss, à Jean, au gros porc, à ma vengeance. Vingt mecs !

- Ils sont majeurs ?

- Si tu veux vraiment savoir, je ne le suis que depuis dix jours.....

Je tressaillais. t:

- Mais... Tu n'es pas obligée, tu sais. J'accepte le marché tel quel: toi à n'importe quel moment, où et quand je veux, et, si j'y arrive, tu m'offres ton... cul. C'est déjà génial pour moi !

Je ne répondais toujours pas. Il était à peine majeur, avec ce corps, ces muscles, cette bite formidable...  Et il voulait que je me tape ses copains, vingt mecs...! Mais en même temps, il n'en faisait pas une condition, et ma minette en avait vu d'autres depuis quelques jours.

J'hésitai.

- Pour tes copains, je vais réfléchir. Si j'accepte, ce ne sera pas les vingt en même temps, en tout cas. Et aucun ne me la mettra dans le cul. Toi seulement. Ok ?

Il exultait.

- Oui, tout ce que tu veux.

- Et aucun de moins de 18 ans.

- Ok.

- C'est important. A cet âge ils sont capables de comprendre ce qu'ils vont faire... C'est à cet âge que j'ai eu mon premier rapport, et je savais très bien ce que ça impliquait...

- ok, ok, tout ce que tu voudras, vraiment.

Il m'embrassa.

- Je m'appelle Loïc, au fait. Et toi ?

On avait baisé comme des bêtes sans même connaître nos prénoms !

- Coralie. Enchantée. Je me mis à genoux, fis un dernier baiser sur son sexe et remontait son caleçon. Rappelle-toi: je veux voir les films, même s'il ne se passe rien, et que tu me racontes tout !

Il me sourit, me passa la main sur les seins, et m'attira à lui en me prenant par les fesses.

- Emplacement numéro 1 et sodomie, je n'oublierai pas.

Je sortis de la tente, un peu désorientée, une douce torpeur dans tout le corps. Sarah m'attendait.

Elle marcha à mes côtés tandis que Laëtitia entrait dans la tente de Loïc. Mon cœur battait dans mon ventre...

- Je me suis fait masser dans l'autre tente, expliqua-t-elle. Approche.

J'obéis. Elle me montra une goutte blanchâtre sur sa langue, et m'embrassa. Je lui rendis son baiser léger et goûtai le sperme qu'elle m'avait gardé sous sa langue.

Je lui souris en disant:

- J'ai été plus gourmande que toi, avec mon scout... J'ai tout avalé...!

Elle rit de bon cœur et m'accompagna un moment, en discutant gaiement, me racontant par le menu ce qu'elle avait fait avec son scout, un blond aux yeux bleus qui avait bandé hors de son caleçon dès qu'elle avait ôté son paréo, et s'était retrouvée nue devant lui. Il ne s'était pas fait prier pour que le massage devienne plus intime !

- En parlant de ça, me dit-elle, comment ça se fait que ton mari se promène le zguègue à l'air ?

J'éclatai de rire et lui expliquai.

- Il a accepté ? Il est plus ouvert qu'il n'en a l'air... Ça ne t'embête pas si je viens le titiller un peu ?

- Pas du tout ! On arrive à mon nouvel emplacement, viens avec moi !

Nous passâmes l'entrée de thuyas et constatâmes que Jean n'était pas seul à monter la tente. Un campeur le matait à poil, son sexe en érection dans sa main...

 

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Vendredi 22 juillet 5 22 /07 /Juil 19:58

Je pris ma trousse de toilette, mon rasoir et mon savon intime, et suivis Jean hors de la tente, nue, serviette de bain dans la main. Le soleil était haut dans le ciel, les cigales chantaient, l'air sentait bon les essences du sud, j'eus soudain l'impression de respirer enfin.

Jean, qui attirait les regards plus que moi sur le sentier qui menait aux sanitaires, semblait moins à son aise, avec son sexe à l'air et ses fesses blanches.

Arrivée à la douche sans avoir subi de sollicitations, je décidai de tester le petit contrat que je venais de passer avec lui.

- Va chercher le gros porc à la piscine, celui qui voulait me "glisser les doigts dans la moule". Tu attendras qu'il n'y ait personne pour vous voir, tu entreras dans ma douche avec lui, et tu me regarderas me soumettre a lui. S'il me baise, tu auras ta récompense, si tu es encore capable de bander aujourd'hui.

Il eut un mouvement de recul. Me fixa un instant, implorant. Je haussai un sourcil. Il hocha la tête et sortit.

Je n'avais aucune envie de toucher au type de la piscine, l'idée me donnait envie de vomir. Mais je voulais me venger de Jean, et ne reculerais devant rien.

Je fis couler l'eau de la douche, froide sur ma peau, me savonnai le sexe, et passai le rasoir une première fois, avec méthodologie et précaution. Je commencai juste à la naissance des poils , une main sous le nombril. Ma minette était peu fournie et le rasoir ne rencontra pas de résistance. Puis la lame longea mes grandes lèvres, en remontant des fesses vers le clitoris, et s'affaira sur les bords intérieurs, le long de ma vulve. Mes doigts écartaient bien mes petites lèvres et glissaient parfois, pénétrant mon vagin irrité.

Je me rinçai. Ma chatte était toute douce, je me rappelai l'abricot délicat de Véronique et sa saveur salée, ressentant une vague de désir dans le bas-ventre. Il faudrait que je parle avec elle au plus tôt, pour comprendre cette attirance et voir si elle était partagée.

Jean chuchota à la porte.

- Coralie, ouvre, vite...

Une onde de dégout m'étreint l'estomac, mais je respirai par le nez, et entrouvris la porte. Le type aux yeux porcins entra en premier, suivi de mon mari.

- Je le crois pas ! chuchota le gros (manifestement Jean lui avait demandé de rester discret) Miss Camping s'est rasé le minou pour José !

Je me demandai si j'allais réellement vomir.

- J'ai fait ce que vous m'avez demandé.

Jean ferma les yeux, au désespoir. Le gros souffla bruyamment, mais il se rappela de chuchoter.

- Oh la jolie salope, elle est bien obéissante n'est-ce-pas ? Montre-moi ton gros cul, ma beauté.

Je collai mes seins contre le carrelage blanc de la douche, retenant ma nausée et tendit mes fesses rouges, cambrée, prête a accueillir sa bite, soumise. Il me reluqua, et se pencha pour me lécher. Sa langue était chaude et grasse, son haleine lourde. Il soufflait, devenant presque violet d'excitation.

- À genoux, maintenant, et monte tes seins bien hauts en te léchant les lèvres.

Je m'agenouillai en silence, la bonne élève obéissant au maître, et le regardai, sentant la bile monter dans ma gorge. Je me caressai les seins et jouai de ma langue sur mes lèvres, craignant qu'il ne me demande une fellation. Je titillai mes tétons et me les pinçai sans exprimer le moindre sentiment, passive.

- Aaaah que tu es gentille, petite Miss. Debout, montre-moi la moule que tu m'as préparée.

Jean me fixait des yeux. Il transpirait presque autant que le gros porc. Je le regardais sans ciller, impavide.

Je me relevai et appuyai mon dos contre le carrelage blanc. L'eau de la douche coula sur mes épaules, mes seins, mon ventre, mon sexe nu et ma fente fine, bien dessinée. Là encore, je me cambrai pour qu'il me prenne devant Jean. J'écartai les lèvres rasées de ma chatte, attendant le sexe du maître avec soumission, exposant mon clito rose à sa vue.

Les yeux porcins me reluquèrent encore, mais le type ne semblait pas vouloir me baiser tout de suite. Il prenait son temps. Il abaissa son maillot et en sortit un petit boudin rose, dépassant a peine des plis de son ventre, qu'il commença a masturber.

- C'est ca, ma belle, touche-toi. Branle-toi devant José, et jouis pour moi.

Je caressai mes seins d'une main et explorai ma minette soyeuse de l'autre, surmontant à peine mon aversion pour ce gros pervers. Mes doigts vinrent chatouiller mon clitoris, index et majeur tournoyant dessus à l'unisson. Je ne ressentais rien, comme si mon minou était soudain devenu insensible. Le gros s'astiquait joyeusement, son morceau épais disparaissant dans sa main boudinée. Son autre main approcha de ma vulve.

- Cambre-toi encore, et griffe-toi les seins pendant que je t'emmène au ciel.

Je déglutis, au supplice, mais je fis ce qu'il me demandait. Jean fulminait, poings serrés.

Je plantais mes ongles dans mes nichons avec force, espérant que la douleur me ferait moins ressentir le boudin quand il me pénétrerait, et les griffais, des mamelons jusqu'aux côtes.

Mais le gros ne me sautait toujours pas. Il écrasa mon clito entre son pouce et son index, et m'empala sur son majeur qui entra dans ma minette en me faisant un mal de chien. Il se masturbait en soufflant, enfonçant son doigt avec violence entre mes lèvres épilées. Les allers et retours se succédaient, sans douceur, durs et violents, me vrillant la chatte à chaque passage. Le gros soufflait de plus en plus fort.

- À genoux, chuchota-t-il, ouvre ta bouche et montre-moi comment tu te branles.

J'obéissai. Je me campai bien droite, sur mes genoux, cuisses écartées, une main sur ma minette. J'approchai mon autre main de sa bite, pour l'aider à se finir, mais il la repoussa, à mon grand soulagement.

- Non ma belle, je connais mieux ma queue que toi - tu ne me branleras jamais aussi bien que moi ! Ouvre grand la bouche, je vais te la remplir jusqu'à ras-bord ! Ta langue, vite !

J'approchai, langue dehors, mais bouche fermée, il colla son gland sur mon visage et vint dans un râle. Un gros bouillon de sperme jaillit sur mes lèvres, suivit d'un second, qui m'entra dans les narines. J'ouvris la bouche pour respirer, un troisième jet finit sur mon palais, baignant mes dents d'une crème gluante. Je tournai la tête, avec un haut-le-coeur. Il éjacula sur mes joues, mon nez, mes yeux, mes lèvres, ça n'en finissait pas. Des gouttes de sperme coulaient de mon visage sur mes seins, il les regardait avec lubricité. Un dernier spasme, une coulée de sperme sur sa main, qu'il essuya dans mes cheveux, sans tendresse, comme on s'essuie sur un kleenex.

- Tu n'as pas bien ouvert la bouche, méchante fille, tu en as partout sur ta frimousse. Récupère le sperme de José et avale-le jusqu'à la dernière lichette. Et n'arrête pas de te fouiller la moule, j'adore voir les putes se caresser toutes seules.

Je ne cachai plus mon dégout, mais j'obéissais, sous les yeux de Jean, qui ne bandait pas, et qui avait des envies de meurtre dans les yeux.

J'essuyai le sperme de mon front et de mes joues avec les doigts, aspirai la récolte avec les lèvres, et eus un haut-le-cœur en avalant. Son sperme avait un goût rance de poisson pas frais. J'introduisis mon majeur dans mon vagin sec, cambrée en avant, comme une pisseuse. Je récupérai la semence glauque sur mon menton et la portait a la bouche, avec un nouveau haut-le-cœur en fixant mon mari des yeux. J'avalais encore. Le gros frottait sa bite sur mon visage, raclant son sperme et l'offrant à mes lèvres. Je léchai son gland collant, espérant que ma nausée n'allait pas me voir vomir à ses pieds.

- Sur tes seins, regarde.

Je grattai les gouttes agglomérées sur mes nichons et les gobai a contre-cœur.

- Et sur le carrelage, là, dans le coin.

Quelques jets jaunis étaient collés là, mais je n'étais pas sure qu'il s'agissait de son foutre à lui - plus probablement celui d'un ado qui s'était soulagé en prenant sa douche plus tôt dans la journée. Le gros semblait penser de même, se repaissant d'avance de mon refus, espérant peut-être me frapper si je ne me soumettais pas à ses désirs. Mais je ne protestai pas, et ramassai un peu du liquide à moitié congelé et très gluant sur un carreau, puis le portai à mes lèvres. Pas le même goût. Ce sperme n'était pas le sien. Je fis une grimace en l'avalant.

- Oh la coquine, elle aime le foutre...! Il en reste, régale-toi !

 Je me baissai, et léchai le mur, fesses en l'air, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de traces jaunâtres sur les carreaux blancs. Mes doigts tournoyaient dans mon vagin, bien en vue sous mon cul, plus pour faire enrager Jean que pour plaire au gros pervers. Je me remis à genoux, toujours aussi soumise.

 Il me présenta encore sa queue boudinée, que je nettoyai totalement avec ma langue, retenant la bile qui menaçait de jaillir de ma gorge. Il remonta son maillot mouillé en me tapotant la tête comme à une bonne petite chienne.

- C'était parfait, tu es une belle salope bien sage, tu as bien sucé José.. Tu y reviendras, tu verras !

Il se pencha en avant, me saisit les seins et m'embrassa brutalement. Le baiser souillé dura une éternité. Il se redressa en tapotant ma joue.

- Bonne petite salope, ouaip.

Il me fit un clin d'oeil porcin et il quitta la douche avec Jean, discrètement.

Je m'appuyai contre le carrelage frais, en respirant difficilement. J'entendis Jean parler au type en chuchotant toujours:

- Si je te revois parler à ma femme ou même la regarder, je t'emmène dans un coin et je t'explose les couilles. Compris ?

Je n'entendis pas la réponse du gros porc, mais je souris intérieurement. Ça, c'était mon Jean !

Je me lavai les dents plusieurs minutes, pour éliminer les relents d'haleine et de sperme pas frais du gros José. Je me nettoyai aussi complètement, et pensai avec soulagement au massage aux huiles essentielles que j'allais me faire payer dans la soirée. En attendant, j'allais manger et passer le reste de l'après-midi à faire la sieste.

Je sortis de la douche, ma serviette autour de moi, et me rendis aux lavabos pour me maquiller un peu. Trois femmes étaient là. Elles me virent, me reconnurent et me sourirent avec bienveillance - ces sourires me firent le plus grand bien. Je commençais à me refaire une beauté quand je vis l'une des femmes se pencher vers moi en susurrant a mon oreille:

- Miss camping doit être nue en toute circonstance...

Elle me sourit gentiment et ouvrit ma serviette. Elle contempla mon minou rasé et mes seins, sans hâte, sans jugement, sans perversité. Elle était très belle, la cinquantaine, très peu ridée, très bronzée, et habillée d'un paréo magnifique, rouge-orange. Elle avait un sourire de publicité, une grande bouche aux dents très blanches. Des cheveux bruns, mi-longs. Et des yeux en amande, bruns et verts, très jolis.

Elle fit glisser la serviette à mes pieds.

Me passa la main dans les cheveux en disant:

- Alors, cette expérience de miss, c'est comment ?

Je balbutiai, ne sachant trop que répondre, les images de cravache, de pénétration anale, de sperme dans ma chatte, dans mon cul, sur mon visage, sur le carrelage, et de sexes d'hommes et d'ados me prenant dans toutes les positions assaillirent mon esprit, mais elle retira la main de mes cheveux, une goutte collante entre ses doigts. Elle la porta à sa bouche.

- Mmmh. Apparemment, ça se passe plutôt bien... Ce n'est pas avec du shampooing que tu t'es lavée les cheveux... Encore que celui-ci n'avait pas très bon goût

Les deux autres femmes présentes gloussèrent sans malice, d'un air complice.

- Je crois que toi, c'est Coralie ? Je suis Sarah. Ravie de faire ta connaissance.

Elle sourit en passant la main sur mes seins et la laissant glisser vers mon ventre, tâtant mon sexe épilé.  Je me sentis rougir mais ne reculai pas, certaine qu'il ne s'agissait pas d'une avance, plutôt de curiosité.

- Tu peux aussi me regarder et me toucher, Coralie. Tu as de sacrés seins, je comprends que mon mari craque pour toi.

Son mari ?

Elle dégrafa son paréo et me montra sa poitrine, énorme et parfaite. Ses gros seins étaient bronzés, les mamelons brun foncé. Leur galbe appelait la main, la caresse, elle avait les nichons que toute nana rêve d'avoir, que tout homme rêve de peloter.

Son paréo tomba à ses pieds, elle ne portait pas de culotte, et exhiba sa chatte rasée de frais, bronzée intégralement. Une de ces femmes qui écartent leurs jambes sur la plage à la vue de tous, les hommes qui la croisaient devaient se venir dessus rien qu'à la regarder !

J'en eus le souffle coupé et, à en juger par leur silence, les deux autres femmes aussi.

- Vous êtes magnifique, Sarah.

- Merci. Mais c'est toi, la miss camping, c'est toi que nous envions toutes.

Ses paroles me laissèrent sans voix. Elle posa un baiser chaste sur mes lèvres, et réajusta son paréo, avant d'entrer dans une douche.

Je sortis des sanitaires, perplexe, et trouvai Jean, en pleine discussion avec un campeur. Ils se turent à mon approche.

- Allons manger, dis-je d'un ton léger.

Jean me pris la main, et nous revînmes à la tente, nus sous le soleil.

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Lundi 19 mars 1 19 /03 /Mars 20:18

J'imaginais le choc de Laetitia. La scène qui s'offrait a elle. Michael, qui me prenait en levrette, les mains sur mes fesses, moi, qui suçais sa fille pendant que Jean la sodomisait, puis qui happai Jean, hurlant sous ma morsure tandis que le sperme coulait sur mes lèvres, au rythme de l'éjaculation saccadée de mon mari.

Je n'en restai pas la. Veronique avait dégagé le sexe de Jean de son joli petit cul, portant ainsi son doux abricot ouvert et dégoulinant de salive a quelques centimètres de mon nez. Je lui attrapais les fesses et, laissant Jean a sa douleur, je fourrais ma langue blanche de sperme dans sa petite chatte rose, engloutissant le clitoris fragile dans un baiser sincère et gourmand.

Malgré son effroi, Veronique plaqua ma tête contre elle, enfonçant ma langue dardante dans ses grandes lèvres en faisant mine de se dégager. J'étalais le sperme sur le sexe rasé en me repaissant de ce dernier instant de partage.

Laetitia hurlait, elle avait attrapé Michael, qui jouissait encore quand sa bite sortit de ma minette en feu, puis elle poussa Veronique hors de mon étreinte, et gifla Jean, recroquevillé sur sa queue blessée.

Il ne restait plus que moi, agenouillée, nue, épuisée, tremblante et excitée, au milieu de la famille au grand complet, mari de Laetitia compris. Je fis un sourire à Axel, qui avait toujours son caleçon taché de sperme et dont les joues avaient manifestement tâté de la gifle de sa mère...

- Espece de salope !!! hurla cette dernière en attrapant une cravache accrochée près d'autres équipements d'équitation, a l'entrée du mobil-home. Ce n'est pas dix coups que tu vas te prendre cette fois ! Debout ! Montre-moi ton cul !

Je sais que je n'aurais pas du sourire.

- tu n'as aucun droit de me frapper, juste de me peloter...

- Debout, chienne ! sinon je diffuse la vidéo de ton élection a miss camping sur Internet dans dix minutes, avec un lien a tous les collègues dont j'ai les Email, ainsi qu'au patron !

Je palis légèrement et me levais lentement.

- Ton cul, tends-le vers moi !

Je me retournais, et fis ce qu'elle me demandait, tête basse.

Le premier coup tomba, très fort, une brulure soudaine sur le haut des fesses. Je décidais de ne pas crier, et de ne pas pleurer. Un second puis un troisième coups suivirent, sur mon cul nul et déjà douloureux. J'ouvrais les yeux, a l'agonie et remarquais qu'Axel et Michael sursautaient a chaque coup de trique, et que Veronique me regardait intensément, presque amoureusement. Je lui rendis son regard, tandis que les coups se succédaient, terribles, et pus me repaitre de son petit corps jeune, si bien proportionne, de sa taille fine, de sa blondeur, de ses hanches larges, de la délicatesse de ses lèvres... Je me mordais jusqu'au sang pour ne pas hurler.

- Tu vas pleurer, salope ! Tu aimes les coups ? Prends celui-la ! Et celui-la !

Je fermais les yeux, espérant que la douleur cesse, et qu'elle me laisse partir mais les coups tombaient et tombaient encore. Je sentis les larmes monter, rouvrit les yeux et fixait le sexe rasé et les seins parfaits de Veronique, qui serrait les poings et se mordait aussi les lèvres dans une espèce de communion avec moi.

Finalement, Laetitia laissa tomber la cravache et me gifla trois ou quatre fois. Elle attrapa mes seins amples dans ses mains et les griffa très fort, et sans me lacher, elle dit:

- Sors d'ici immédiatement et si je te revois tourner autour de ma famille, je te pourrirai la vie jusqu'à ce que tu me supplie de t'oublier !

Jean se leva et me prit la main, et nous sortimes du mobil-home. Je repoussai sa main, mais, les larmes aux yeux et le cul en feu - elle m'avait fouettée la ou les deux miss perdantes m'avaient tapée sur la plage - je le suivis silencieusement jusqu'aux douches. La, il me laissa prendre une douche seule, ou je pus pleurer en silence et m'apitoyer sur la douleur qui me vrillait les seins, le cul et les joues. Je me massai le sexe, qui n'avait jamais autant connu d'hommes en dix-neuf ans.

Je laissai longtemps l'eau froide couler sur mon corps et me ressaisissais. Ce séjour était une catastrophe mais je sortis de la douche bien déterminée a en profiter.

Jean m'attendait encore, l'air malheureux.

- Coralie, tout est de ma faute, pardonne-moi je...

Je le regardai férocement.

- Enlève ton slip.

- Pardon ?

- Tu veux discuter avec moi ? Enlève ton slip et montre ta queue en public. Je ne veux plus être la seule à me balader cul nul dans le camping. Si tu obéis, on rentre à la tente et on discute. Sinon, je fais ma valise, et tu ne me reverras plus jamais.

- Mais je ne peux pas... Que vont penser les... enfin...

- Décide-toi. Je ne serai plus la seule à faire la pute dans ce camping pour payer tes dettes. Tu n'imagines pas combien de fois on m'a baisée et humiliée aujourd'hui.

Il suffoquait, pale comme un linge.

Je pris le chemin de la tente, sous les regards voyeurs des campeurs de tous âges qui rentraient de la plage et venaient se doucher.

- Jolis seins, Coralie.

Une main me frôle les tétons, une autre me tâte franchement. Je fais un sourire forcé et continue d'avancer.

- La belle croupe !

Deux mains me frottent douloureusement, un index s'attarde sur mon anus en fleur sans le pénétrer. Sourire et larmes à peine retenues.

- Rase-toi la moule, miss camping, mes doigts glisseront mieux !

Un gars énorme essaye de fourrer ses doigts dans mon vagin. J'écarte les cuisses en regardant autour de moi, paniquée. Je vois Jean, nu comme un vers, repousser le type et me prendre la main.

- Désolé, mon vieux, ma femme a envie d'un plaisir avec son homme, dit-il en forme d'excuse. Le gros a un sourire porcin et éructe:

- Baise la bien, et envoie-la moi après, j'aime les moules quand elles sont bien préparées, et encore toutes chaudes...! Je serai à la piscine !

Et il éclate d'un rire gras.

Nous continuâmes à marcher vers la tente, moi, nue, seins rouges et gonfles, fesses en feu, lui, piteux, bite pendante, rougissant a chaque fois que nous croisions des campeurs au regard interloqué. Sa présence eut au moins un avantage: personne n'osa me toucher en chemin.

Nous entrâmes dans la tente, je m'écroulais littéralement sur le duvet, fermais les yeux en réfléchissant a ce que j'allais dire maintenant. Il fallait que ce soit ferme, sans appel, cruel, vengeur, et jouissif pour moi.

J'ouvris les yeux et me tournai vers Jean, l'air résolu.

- Bien, dis-je. Soyons très clairs: Tu m'as transformée en femme-objet du camping pour quelques centaines d'euros. Une pute bon marché pour des vacances à l'œil. Tu vas donc payer tes dettes de la même manière que moi: a poil tout le temps, tu accepteras les avances de tous les campeurs - les femmes, s'il y en a, mais les hommes aussi.

- Coralie...

- Deuxièmement: Tu m'accompagneras partout ou je te demanderai de venir. Aux toilettes. Aux douches. A la plage. Partout..

- Coralie je...

- Troisièmement: tu m'aideras à me venger de Laetitia. Cette salope a un film qu'elle veut utiliser pour me ridiculiser au boulot, je veux ce film ou un autre moyen de pression pour l'en empêcher.

- Coralie...

- Quatrièmement: J'entends profiter de MES vacances. Si je dois subir les assauts de tous les mecs du camping, si je dois dépuceler tous les adolescents qui connaissent leurs premiers émois, si je dois sucer toutes leurs sales bites, et me faire violer par tous les trous sous tes yeux, je veux en tirer le plus grand plaisir. Tu vas déplacer la tente dans un endroit isolé du camping, des ce soir, pour que je puisse recevoir au calme les gars qui me plairont le plus, ou avec lesquels je réaliserai les fantasmes qui me viendront a l'esprit.

- Coralie, tu...

- Enfin, si tout se passe comme JE le décide, que tu supportes les trois semaines a venir, et que notre couple survit a la débauche de sexualité qui m'a vue me faire éjaculer dessus en deux jours plus qu'en toute une vie, me faire vriller l'anus, frapper, insulter, remplir de foutre et de jus de moule, comme dirait le gros porc qui m'attend a la piscine, alors je te donnerai une deuxième chance et nous essayerons de reconstruire une vie commune... Sinon tout s'arrête maintenant. Je fais mon sac, je me rhabille, et tu ne me revois plus.

Jean respirait difficilement.

Il geignait sans s'en rendre compte.

Se balançait d'avant en arrière.

Je me relevai. Sortis ma trousse de toilette, et farfouillai dedans. J'y trouvais ce que je cherchais.

- Coralie...

- Je t'écoute.

Il baissa les yeux.

- Je t'aime. Je ne veux pas te perdre. Même à ce prix, j'accepte.

Je souris méchamment. Je montrai l'objet que j'avais pris dans ma trousse de toilette. Un rasoir.

- Parfait. Nous allons donc ressortir ensemble, aller aux douches, et, je me raserai la minette pour qu'elle soit bien appétissante pour ces messieurs. A dix-neuf heures, à la piscine il y a une séance de massage aux huiles essentielles pour 15 euros la demi-heure. Tu vas me payer une heure. Pendant ce temps, tu déplaceras la tente. Je vais commencer à prendre du bon temps !

 

 

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Lundi 27 février 1 27 /02 /Fév 23:09

 

Elle fixa Michael d'un œil mauvais.

- Toi, mon salaud, tu t’assieds sur ce tabouret et tu ne bouges pas !

- Mais Véro, laisse-moi au moins...

- Tais-toi ! (elle se tourne vers moi en pointant Jean du doigt) C'est votre mari ?

Je hochai la tête, l'air innocent, en portant mes doigts plein de sperme à la bouche, puis en les léchant un à un. J'essayais d'en faire sortir un maximum de mon anus dégoulinant et trouvais amusant de jouer le jeu de la salope ingénue, contente de boire du sperme d’où qu’il sorte – bien que le goût un peu fort de la semence qui me venait aux narines n’avait rien d’agréable.

Elle plissa les yeux et poussa Jean sur l'autre tabouret.

- Très bien ! dit-elle. Vous avez baisé mon mec devant le vôtre, je vais baiser le vôtre devant le mien !

Michael, la queue encore pendante, gémit de désespoir et je la regardai en introduisant mon majeur au bord de mon petit trou, raclant la moiteur du sperme de son mec en affectant un détachement étudié. Jean n'était plus rien pour moi – du moins essayais-je de m’en convaincre - et si Laëtitia arrivait et trouvait sa fille qui baisait en public, devant celle qu’elle venait d’humilier, qui plus est, tout serait encore plus délicieux !

Véronique ondula lascivement des hanches, la main dans sa culotte, devant les yeux horrifiés de Michael, qui avait sans doute espéré qu'elle perdrait sa virginité avec lui...

Elle avait un corps taille mannequin, petite blondinette aux hanches fines qui s'ouvraient sur un superbe cul, ferme et ample dans son maillot de bain échancré. Elle ôta son bikini, révélant deux beaux seins bronzés aux mamelons minuscules, frottant son cul sur le caleçon de Jean, qui n'osait pas me regarder.

La blondinette tira les ficelles de son bas de maillot et l'enleva, écartant les jambes, un air de défi dans les yeux.

Son sexe était totalement et parfaitement rasé, ses lèvres délicates, un peu molles, son clitoris bien visible, érigé bien au-dessus de son vagin humide. Elle était très appétissante, et je me surpris à mouiller en la regardant se dandiner de droite à gauche, s’arc-boutant sur le chibre de mon mari. Je ne sais pas ce qui me prit, mais j'avançai la main et caressai l'abricot délicat. Elle eut un mouvement de recul et je pus voir la bite de Jean, sous elle, qui dépassait de son caleçon et frottait les superbes fesses de l'adolescente.

- Ne me touche pas, salope !

Je retirai ma main et me dirigeai vers Michael à quatre pattes, fesses en l'air, nichons pendouillant, frottant l'un contre l'autre à chaque pas.

- Très bien, dis-je, mais si tu veux faire tout ce que j'ai fait à ton copain, il va falloir t'accrocher... J'ai d'abord pris son beau sexe fin dans ma bouche. Sa pine est plus grosse que celle de ton frère, et bien plus nerveuse…

Je me plaçai derrière Michael, à genoux, mes seins contre son dos, et lui caressai les épaules, le torse et le bas-ventre, j'embrassai son dos et y frottai mon visage, mes seins, mon ventre. Sa main descendit discrètement vers ma chatte. Je me laissai faire.

La petite se retourna, s'agenouilla et attrapa la bite de Jean avec ses lèvres roses, enfonça le membre dans sa bouche et commença un mouvement de va-et-vient en poussant des petits gémissements de dégout. Ses lèvres s’écartaient en rythme, la langue apparaissant parfois, faisant le tour du gland gonflé. Les dents de perles de la gamine mordillaient de temps-à-autre la pine, Jean fermait les yeux, grimaçant quand elle le mordait de manière trop appuyée. Il attrapa la tête de Véronique entre ses mains et appuya sur sa nuque, forçant la jeune blonde à l’avaler tout entier. La petite lutta un moment, puis ouvrit sa gorge, happant la verge jusqu'à la garde, avant de la libérer, langue dehors, et de s'attarder sur le gland gonflé de plaisir. Jean ne la laissa pas respirer. Il lui baisa la gorge à plusieurs reprises, ne tenant pas compte des petits cris de panique de l’adolescente qui protestait en bavant sur la pine des flots de salive à chaque fois qu’il la libérait, avant de lui pénétrer la bouche, de la lui baiser en soufflant comme un bœuf. La petite se masturbait, pétrissant ses lèvres délicates, enfonçant ses doigts dans son jus intime, gémissant parfois de désespoir, parfois de plaisir.

Je pris le sexe de Michael entre mes doigts, quand elle se retourna pour me regarder, l'air vengeur, branlant la queue inondée de salive blanchâtre de Jean à pleines mains.

- Tu vois, me dit-elle d’un air moqueur, comme ton mec aime que je le suce, espèce de poufiasse !

- Oui, je dois dire que tu l’as sucé bien mieux que je n’ai sucé ton copain... Mais pour me rattraper, je lui ai demandé de me mettre sa petite queue dure bien au fond du vagin, mais avec douceur... je ne voulais pas qu’il éjacule en moi avant que je n’aie pris largement mon quota de coups de pine…

Jean, Véronique et Michael gémirent tous les trois, mais pas pour les mêmes raisons. Jean, parce que je me montrais parfaitement capable d’être la pute qu’il voulait que je devienne, mais pas avec lui. Véronique, parce qu’elle allait devoir offrir sa virginité à un homme qu’elle ne connaissait pas et n’aimait pas. Et Michael parce qu’il allait voir sa nana se faire déflorer par un inconnu sans pouvoir rien y faire.

L'adolescente se releva, se tourna vers moi, ses seins ronds pointant vers le ciel, comme deux seins de nonne.

- Si tu as bien baisé mon mec, ce n’est rien à côté de ce que va vivre le tien avec moi, sale pute. Regarde mon corps de déesse. Tous les hommes rêvent de me mettre dans leur lit depuis que mes seins ont poussé – et ton mari sera le premier à me baiser !

Elle enfourcha Jean et glissa la grosse bite dans sa fente bien humide. Je m'approchai à nouveau, tout près d'elle et dut admettre qu’elle ne se vantait pas : elle était vraiment taillée comme une déesse. Elle ferma les yeux, et guida la verge enduite de salive dans son abricot rasé.. J'en profitai pour ouvrir le verrou du mobil-home discrètement et la regarder perdre sa virginité. Un filet de sang abondant goutta sur le lino de Laetitia. Je souris intérieurement en imaginant Laëtitia en string rouge et seins nus frottant le sol souillé en pestant contre miss camping… Je lui avais pris l’innocence de son fils et de sa fille, ce qui valait toutes les vengeances du monde !

J’empaumai tendrement un des seins de la blondinette dans ma main, tâtant sa douce texture, sa fermeté et, sentant une chaleur curieuse dans mon bas-ventre, j'approchai mes lèvres des siennes. Elle accepta mon baiser en couinant. Jean la fourrageait avec douceur, ses mains la caressant partout, avec une préférence pour ses hanches fines et son cul magnifique. Il la soulevait, écartant la chatte rasée avec ses doigts, et s'enfonçait en elle, en un râle satisfait. Il la reluquait, les yeux sur son cul doré, sur son ventre plat, son sexe nu, ses épaules parfaites. Il l'embrassait dans le cou, et la respirait tout entière. Sa bite avait la taille et la force des bons jours, et la pénétrait avec ardeur.

Elle finit par repousser mon baiser, à regret.

- Ne me touche pas ! répéta-t-elle d’un ton incertain. tu es une pute et je vais faire hurler ton mari de plaisir !

Elle joignit le geste à la parole, sautant littéralement sur le membre excité, le montant comme un cheval au galop, en gémissant un peu plus fort chaque fois que Jean l’accompagnait de ses coups de reins de plus en plus fermes, de ses coups de bite de plus en plus violents, pénétrant la minette inexpérimentée le plus loin possible.

Michael se masturbait en nous regardant, l'air à la fois désolé et excité. Je revins vers lui, et guidai sa main libre vers mes seins généreux. J'attendis que l'adolescente me défie à nouveau du regard, empalée sur mon mari, sexe écartelé bien visible pour son petit copain, qui me touchait à nouveau le minou par derrière, discrètement, un doigt plongé dans mon vagin crémeux.

Elle cria :

- Le spectacle te plaît, espèce de trainée ?

- Plus que tu ne le crois, belle blondinette... mais pourras-tu aller jusqu’au bout ? Parce que j'ai aussi demandé a Michael de me sodomiser... J'ai eu trois ou quatre beaux mecs qui m'ont prise par derrière depuis que je suis miss camping, tu sais, on y trouve du plaisir quand la pine est bien dure. Il n’a pas résisté à ma demande, je dois dire, il m’a enfoncé sa trique dans le cul en pleurant de joie, le petit. Encore une virginité à perdre pour toi aujourd’hui…

L'adolescente pâlit. Jean aussi. Je l’avais rarement vu aussi choqué.

Véronique regarda Michael d’un air incrédule.

- Tu as fait ÇA !!!?

Le pauvre déglutit en hochant piteusement la tête. Je m'assis sur lui, plaçant son sexe sous moi, le frottant tendrement contre ma chatte toujours collante et humide. Il s'accrocha a mes seins généreux, tout honteux.

Véronique se souleva pour dégager la verge de Jean de son abricot rasé et la plaça à l'entrée de son beau cul bronzé.

- Eh bien s’il faut qu’il m’encule, il m’enculera !

Elle força l'anus à s'ouvrir, s'y reprenant à plusieurs fois, en haletant et couinant de douleur. Jean lui écartait les fesses pour l'aider, osant à peine respirer. Je lâchai la bite de Michael et me relevai lentement. Je m’approchai de la belle, et vins enduire de salive le petit trou étroit et la pine au garde-à-vous, en crachant sur le petit cul rond. La pastille céda d'un coup, la blondinette s'empala en hurlant, visage et tétons pointant vers le ciel, implorants.

Elle entama son va-et-vient douloureux, bras à mi-chemin entre le ciel et la terre, yeux fermés. Je l'embrassai langoureusement, elle me rendit mon baiser sauvagement.

- C’est ça, embrasse-moi, petite fille, mange ma langue et mes lèvres pendant que tu te fais prendre, ça va t’aider…

Je caressai sa chatte toute ouverte, m'attardant sur son clitoris dressé tout en l'embrassant goulûment. Cette petite blondinette allumait un feu en moi qui n'avait plus rien à voir avec ma vengeance sur Laetitia. Jean se cambra, pour l'enculer plus profond, tandis qu'elle hésitait entre la fuite et le besoin de sentir la trique se frayer un chemin dans ses boyaux vierges.

- Laisse-moi te sucer, j’ai envie de te goûter, moi aussi…

Je m'agenouillai et commençai à la lécher, profitant de chaque coup de langue pour admirer ses lèvres écartées au goût de pêche et observer la bite qui l'empalait, sans concession, dans des mouvements de plus en plus durs, au fur et à mesure que l'excitation de Jean montait. Je sentis Michael venir derrière moi et glisser sa verge molle dans mon fruit intime. Je l'aidai, avec douceur, et fermai les yeux, savourant le bonheur de l'instant. Je n'avais jamais sucé de femme de ma vie, ni ressenti une telle attirance. Chacun de mes coups de langue sur le clitoris délicat, sur les petites lèvres trempées, sur le périnée déchiré par le chibre avide qui pénétrait les entrailles de l'adolescente, des éclairs et des vagues de cyprine me chatouillaient la chatte, dans laquelle Michael s'affairait, accélérant le rythme en matant sa petite copine se faire sodomiser. Véronique se tenait les seins, me caressait les cheveux en alternant les "oui, oui" et les "non, non", elle secouait la tête, gémissait, me prenait dans ses bras, m'embrassait le cou, les lèvres, la langue. Je mis mes doigts dans son bel abricot ouvert et la suçai encore et encore, la sentant s’abandonner enfin.

Tout arriva très vite.

La porte s'ouvrir d'un coup, Laetitia entra en hurlant.

- Que faites-vous ICI !?

Véronique dégagea la bite de Jean de son cul, Jean commença a éjaculer, je l'attrapai entre mes dents et lui mordit très fort le bout de son gland tandis qu’il venait dans ma bouche en criant de douleur .

- Maman ?

Véronique, chatte écartée, cul dégoulinant de sperme, avait un regard horrifié.

Michael enfonça sa pine en moi, grappillant sa dernière chance de venir avant la tempête, et jouit en saccades brûlantes...

 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'asservissement de Miss Camping, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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