Lundi 19 mars 1 19 /03 /Mars 20:18

J'imaginais le choc de Laetitia. La scène qui s'offrait a elle. Michael, qui me prenait en levrette, les mains sur mes fesses, moi, qui suçais sa fille pendant que Jean la sodomisait, puis qui happai Jean, hurlant sous ma morsure tandis que le sperme coulait sur mes lèvres, au rythme de l'éjaculation saccadée de mon mari.

Je n'en restai pas la. Veronique avait dégagé le sexe de Jean de son joli petit cul, portant ainsi son doux abricot ouvert et dégoulinant de salive a quelques centimètres de mon nez. Je lui attrapais les fesses et, laissant Jean a sa douleur, je fourrais ma langue blanche de sperme dans sa petite chatte rose, engloutissant le clitoris fragile dans un baiser sincère et gourmand.

Malgré son effroi, Veronique plaqua ma tête contre elle, enfonçant ma langue dardante dans ses grandes lèvres en faisant mine de se dégager. J'étalais le sperme sur le sexe rasé en me repaissant de ce dernier instant de partage.

Laetitia hurlait, elle avait attrapé Michael, qui jouissait encore quand sa bite sortit de ma minette en feu, puis elle poussa Veronique hors de mon étreinte, et gifla Jean, recroquevillé sur sa queue blessée.

Il ne restait plus que moi, agenouillée, nue, épuisée, tremblante et excitée, au milieu de la famille au grand complet, mari de Laetitia compris. Je fis un sourire à Axel, qui avait toujours son caleçon taché de sperme et dont les joues avaient manifestement tâté de la gifle de sa mère...

- Espece de salope !!! hurla cette dernière en attrapant une cravache accrochée près d'autres équipements d'équitation, a l'entrée du mobil-home. Ce n'est pas dix coups que tu vas te prendre cette fois ! Debout ! Montre-moi ton cul !

Je sais que je n'aurais pas du sourire.

- tu n'as aucun droit de me frapper, juste de me peloter...

- Debout, chienne ! sinon je diffuse la vidéo de ton élection a miss camping sur Internet dans dix minutes, avec un lien a tous les collègues dont j'ai les Email, ainsi qu'au patron !

Je palis légèrement et me levais lentement.

- Ton cul, tends-le vers moi !

Je me retournais, et fis ce qu'elle me demandait, tête basse.

Le premier coup tomba, très fort, une brulure soudaine sur le haut des fesses. Je décidais de ne pas crier, et de ne pas pleurer. Un second puis un troisième coups suivirent, sur mon cul nul et déjà douloureux. J'ouvrais les yeux, a l'agonie et remarquais qu'Axel et Michael sursautaient a chaque coup de trique, et que Veronique me regardait intensément, presque amoureusement. Je lui rendis son regard, tandis que les coups se succédaient, terribles, et pus me repaitre de son petit corps jeune, si bien proportionne, de sa taille fine, de sa blondeur, de ses hanches larges, de la délicatesse de ses lèvres... Je me mordais jusqu'au sang pour ne pas hurler.

- Tu vas pleurer, salope ! Tu aimes les coups ? Prends celui-la ! Et celui-la !

Je fermais les yeux, espérant que la douleur cesse, et qu'elle me laisse partir mais les coups tombaient et tombaient encore. Je sentis les larmes monter, rouvrit les yeux et fixait le sexe rasé et les seins parfaits de Veronique, qui serrait les poings et se mordait aussi les lèvres dans une espèce de communion avec moi.

Finalement, Laetitia laissa tomber la cravache et me gifla trois ou quatre fois. Elle attrapa mes seins amples dans ses mains et les griffa très fort, et sans me lacher, elle dit:

- Sors d'ici immédiatement et si je te revois tourner autour de ma famille, je te pourrirai la vie jusqu'à ce que tu me supplie de t'oublier !

Jean se leva et me prit la main, et nous sortimes du mobil-home. Je repoussai sa main, mais, les larmes aux yeux et le cul en feu - elle m'avait fouettée la ou les deux miss perdantes m'avaient tapée sur la plage - je le suivis silencieusement jusqu'aux douches. La, il me laissa prendre une douche seule, ou je pus pleurer en silence et m'apitoyer sur la douleur qui me vrillait les seins, le cul et les joues. Je me massai le sexe, qui n'avait jamais autant connu d'hommes en dix-neuf ans.

Je laissai longtemps l'eau froide couler sur mon corps et me ressaisissais. Ce séjour était une catastrophe mais je sortis de la douche bien déterminée a en profiter.

Jean m'attendait encore, l'air malheureux.

- Coralie, tout est de ma faute, pardonne-moi je...

Je le regardai férocement.

- Enlève ton slip.

- Pardon ?

- Tu veux discuter avec moi ? Enlève ton slip et montre ta queue en public. Je ne veux plus être la seule à me balader cul nul dans le camping. Si tu obéis, on rentre à la tente et on discute. Sinon, je fais ma valise, et tu ne me reverras plus jamais.

- Mais je ne peux pas... Que vont penser les... enfin...

- Décide-toi. Je ne serai plus la seule à faire la pute dans ce camping pour payer tes dettes. Tu n'imagines pas combien de fois on m'a baisée et humiliée aujourd'hui.

Il suffoquait, pale comme un linge.

Je pris le chemin de la tente, sous les regards voyeurs des campeurs de tous âges qui rentraient de la plage et venaient se doucher.

- Jolis seins, Coralie.

Une main me frôle les tétons, une autre me tâte franchement. Je fais un sourire forcé et continue d'avancer.

- La belle croupe !

Deux mains me frottent douloureusement, un index s'attarde sur mon anus en fleur sans le pénétrer. Sourire et larmes à peine retenues.

- Rase-toi la moule, miss camping, mes doigts glisseront mieux !

Un gars énorme essaye de fourrer ses doigts dans mon vagin. J'écarte les cuisses en regardant autour de moi, paniquée. Je vois Jean, nu comme un vers, repousser le type et me prendre la main.

- Désolé, mon vieux, ma femme a envie d'un plaisir avec son homme, dit-il en forme d'excuse. Le gros a un sourire porcin et éructe:

- Baise la bien, et envoie-la moi après, j'aime les moules quand elles sont bien préparées, et encore toutes chaudes...! Je serai à la piscine !

Et il éclate d'un rire gras.

Nous continuâmes à marcher vers la tente, moi, nue, seins rouges et gonfles, fesses en feu, lui, piteux, bite pendante, rougissant a chaque fois que nous croisions des campeurs au regard interloqué. Sa présence eut au moins un avantage: personne n'osa me toucher en chemin.

Nous entrâmes dans la tente, je m'écroulais littéralement sur le duvet, fermais les yeux en réfléchissant a ce que j'allais dire maintenant. Il fallait que ce soit ferme, sans appel, cruel, vengeur, et jouissif pour moi.

J'ouvris les yeux et me tournai vers Jean, l'air résolu.

- Bien, dis-je. Soyons très clairs: Tu m'as transformée en femme-objet du camping pour quelques centaines d'euros. Une pute bon marché pour des vacances à l'œil. Tu vas donc payer tes dettes de la même manière que moi: a poil tout le temps, tu accepteras les avances de tous les campeurs - les femmes, s'il y en a, mais les hommes aussi.

- Coralie...

- Deuxièmement: Tu m'accompagneras partout ou je te demanderai de venir. Aux toilettes. Aux douches. A la plage. Partout..

- Coralie je...

- Troisièmement: tu m'aideras à me venger de Laetitia. Cette salope a un film qu'elle veut utiliser pour me ridiculiser au boulot, je veux ce film ou un autre moyen de pression pour l'en empêcher.

- Coralie...

- Quatrièmement: J'entends profiter de MES vacances. Si je dois subir les assauts de tous les mecs du camping, si je dois dépuceler tous les adolescents qui connaissent leurs premiers émois, si je dois sucer toutes leurs sales bites, et me faire violer par tous les trous sous tes yeux, je veux en tirer le plus grand plaisir. Tu vas déplacer la tente dans un endroit isolé du camping, des ce soir, pour que je puisse recevoir au calme les gars qui me plairont le plus, ou avec lesquels je réaliserai les fantasmes qui me viendront a l'esprit.

- Coralie, tu...

- Enfin, si tout se passe comme JE le décide, que tu supportes les trois semaines a venir, et que notre couple survit a la débauche de sexualité qui m'a vue me faire éjaculer dessus en deux jours plus qu'en toute une vie, me faire vriller l'anus, frapper, insulter, remplir de foutre et de jus de moule, comme dirait le gros porc qui m'attend a la piscine, alors je te donnerai une deuxième chance et nous essayerons de reconstruire une vie commune... Sinon tout s'arrête maintenant. Je fais mon sac, je me rhabille, et tu ne me revois plus.

Jean respirait difficilement.

Il geignait sans s'en rendre compte.

Se balançait d'avant en arrière.

Je me relevai. Sortis ma trousse de toilette, et farfouillai dedans. J'y trouvais ce que je cherchais.

- Coralie...

- Je t'écoute.

Il baissa les yeux.

- Je t'aime. Je ne veux pas te perdre. Même à ce prix, j'accepte.

Je souris méchamment. Je montrai l'objet que j'avais pris dans ma trousse de toilette. Un rasoir.

- Parfait. Nous allons donc ressortir ensemble, aller aux douches, et, je me raserai la minette pour qu'elle soit bien appétissante pour ces messieurs. A dix-neuf heures, à la piscine il y a une séance de massage aux huiles essentielles pour 15 euros la demi-heure. Tu vas me payer une heure. Pendant ce temps, tu déplaceras la tente. Je vais commencer à prendre du bon temps !

 

 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'asservissement de Miss Camping, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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