Allie et Nicole, par Annie The Slick

Mercredi 2 novembre 3 02 /11 /Nov 20:10

Tout en travaillant au chapitre suivant de Sarah et Mélanie, KS s'est attaqué à une version alternative du dernier chapitre de "Allie et Nicole" avec une fin ouverte permettant une suite à cette formidable série et de faire vivre ces 2 personnages extraordinaires que sont Allie la soumise et Nicole la dominatrice.

Pour des raisons de simplicité de lecture je classe ce chapitre avec ceux de "Allie et Nicole" d'Annie The Slick, mais si KS arrive effectivement  a écrire une suite je classerai ces chapitres sous une nouvelles rubrique pour bien distinguer les 2 trames

Bonne lecture!

 

Evasion

 

Quelqu’un poussa un cri, déclenchant une panique monstrueuse dans la réception. Des femmes couraient dans toutes les directions. Isis en élimina trois autres qui s’étaient mises à courir à proximité d’elle. L’espace autour d’elle s’éclaircit un peu. Enfin, elle réussit à apercevoir Allie et Nicole à l’opposé de la terrasse et se dirigea aussitôt vers elles.

 

Allie chercha des yeux l’endroit d’où provenait le cri alors que Nicole jetait sa serviette par terre et se levait brusquement.

 

— Suis-moi vite, nous devons partir IMMEDIATEMENT !

 

La salle de réception devint un vrai capharnaüm, raisonnaient les cris des femmes apeurées, blessées, voire mourante, tandis que la petite escouade formée par Isis et ses deux complices faisant feux de tout bois, au propre comme au figuré, tirant sur tout ce qui bougeait.

 

A la tablée de Nicole et d'Allie, la petite fût la première des deux à se rendre compte de ce qui se passait. Surtout, elle savait qui et pourquoi. Tout comme elle se doutait que leur intervention n'aurait certainement pas dû prendre cette tournure.

 

Et elle était dans le vrai, Isis, complétement dépassée par la tournure brutale des évènements, n'avaient pas su réagir et donner les directives adéquates à ses deux subordonnées et fut bientôt entrainée dans ce massacre, là où quelques cibles seulement auraient dû être éliminées. Ce n'est que lorsqu'elle vit Allie au loin et que leur regards se croisèrent qu'elle reprit quelque peu ses esprits. Fixant la jeune fille comme son objectif, elle se dirigea droit sur elle et sur sa maîtresse.

 

Le regard d'Allie, qui n'avait pas bougée à l'injonction de Nicole, alerta cette dernière sur la femme armée qui se précipitait dans leur direction. Elle devait vraiment sortir de toute urgence, quitte à laisser derrière elle son bien le plus précieux pour préserver sa propre vie. Elle tenta donc de l'interpeler une dernière fois.

 

— Je ne sais pas ce qui se passe mais si tu viens avec moi, je peux te mettre à l’abri.

 

La jeune fille resta sans réaction, continuant à observer comme au ralenti l'avancée de celle qui s'était annoncée comme sa sauveuse. Mais était-ce vraiment le cas ? En quelques secondes la tête d'Allie repassa l'historique de sa rencontre avec cette Isis. Elle avait fait tout ce que cette femme, cette parfaite étrangère lui avait demandé, tout. Elle avait fait exactement ce qu'elle avait voulu, sous prétexte qu'elle pourrait la sortir de ce cauchemar qu'était devenue sa vie depuis qu'elle avait rencontré Nicole. Mais au final qu'en avait-elle retiré ? Cette Isis ne l'avait pas sorti des griffes de Nicole, elle ne l'avait pas sauvé, ni Lauren, lui demandant encore et toujours d'attendre ceci et d'attendre cela.

 

Tandis que Nicole prenait les devant, empoignant le poignet de sa propriété pour se diriger avec empressement vers une sortie dérobée à l'opposé de toute cette agitation, Allie sentit à nouveau la peur s'emparer de tout son être. Et si malgré les apparences Isis était vraiment venue pour la sortir de cet enfer ? Ce serait sa seule chance… Pourtant une petite voix dans sa tête continuait de lui chuchoter qu'elle était trop naïve, que cette Isis n'avait fait que se servir d'elle, comme toutes les autres. Vraiment toutes les autres ?

 

Alors qu'elles venaient de franchir les portes du couloir qui menait à la sortie, Allie se rappela que sa bien-aimée, que Lauren elle aussi était quelque part, probablement désemparée. A cette pensée elle comprit qu'il ne lui fallait plus attendre que les autres se batte pour elle, mais qu'elle devait se battre pour ce qu'elle voulait vraiment, pour elle-même, et pour Lauren. Elle se dégagea alors, arrachant son bras de l'emprise de Nicole. Prise par surprise, cette dernière stoppa net et se retourna sur la jeune fille, comprenant tout de suite en voyant son visage que quelque chose ne tournait pas rond.

 

— Allie, c’est notre seule chance, il faut qu’on parte.

 

— Ce… C'est fini Nicole. C’est là que nos chemins se séparent.

 

Peut-être pour la première fois, la peur de réellement perdre sa petite protégée envahie Nicole comme un cauchemar envahirait un rêve, transformant sa vie rêvée en une chute infernale.

 

La maîtresse n'eut rien le temps de répliquer qu'Allie fit volte-face pour repartir en direction des jardins, où elle avait vu tantôt Lauren se précipiter, mue par l'espoir qu'elle pourrait lui venir en aide avant qu'il ne soit trop tard. Mais elle fut stoppée net par Isis, qui se tenait debout de l'autre côté du couloir, son arme braquée dans leur direction. Pendant un instant qui leur sembla une éternité, les trois femmes se tinrent mutuellement en respect du regard, ignorant chacune comment les choses se dérouleraient dès la seconde suivante.

 

— "Allie".

 

Des deux côtés du couloir la jeune fille entendit son prénom résonner. Arrêtant finalement son regard sur la femme armée d'un revolver, elle attendit que celle-ci annonce ses intentions. Nicole n'osant répliquer sous la menace du revolver qui la tenait en respect, dû se contenter d'écouter.

 

— Allie, je suis venue te sortir d'ici, viens, approche. Avec moi tu ne risqueras plus rien.

 

Nicole regarda Allie s'avancer vers cette inconnue qui aussi soudainement qu'elle était apparût venait lui voler son bien. Bon sang, si seulement elle avait son sac à portée de main. Allie était arrivée à côté d'Isis, qui tenait toujours son arme braquée dans la direction de Nicole. Mais au seuil de tout perdre, y compris la vie, ça ne représentait plus une menace suffisante pour rester spectatrice.

 

— Allie, je t'en supplie, ne nous fait pas ça !

 

— La ferme ! Toi et les esclavagistes de ton espèce, votre règne est terminé.

 

S'en était trop pour Nicole qui n'avait pas pu retenir davantage sa parole pour tenter de retenir sa soumise. Mais Allie avait déjà son idée en tête, fini les mensonges et les manipulations, que l'une ou l'autre de ces deux femmes aillent au diable, ça se passerait sans elle. Allie empoigna l'arme d'Isis, sous le coup de l'étonnement, puis utilisant la force de tout son corps s'en empara en envoyant valser Isis contre le mur.

 

— C'est fini j'ai dit. Je ne serais plus l'esclave de personne. Vous n'avez qu'à régler vos comptes seule à seule, moi je reprends ma vie en main.

 

Les deux femmes ne purent que voir la jeune fille se précipiter dehors sans attendre, les laissant seules face à face…

 

Courant à travers les allées des jardins, Allie n'avait qu'à suivre les cris qu'elle reconnaissait comme étant ceux de Lauren pour se diriger dans la bonne direction, augmentant désespérément la vitesse de sa course à chaque nouveau hurlement. Elle s'arrêta net quand enfin elle fit face à Lauren, assise au sol et dominée de toute sa hauteur par cette peste blonde qui occupée à la battre, lui envoya une magistrale gifle.

 

— Tu vas me le payer, espèce de petite conne !

 

Cette vision et ce geste mirent Allie hors d'elle. Elle hurla lorsqu'elle leva le revolver pour le pointer droit sur Tawnee.

 

— Ecarte-toi d'elle tout de suite, sale pute !

 

— Allie, c'est toi !

 

La jeune fille complétement ramassée au sol se redressa sur ses bras, heureuse de voir la fille qu'elle aimait venir lui porter secours. Mais son expression changea lorsqu'elle vit une Elizabeth menaçante apparaître derrière Allie.

 

— Qui est-ce que tu traites de pute espèce de traînée. Je vais te faire passer l'envie de pourrir la noce !

 

Le regard de Lauren, et ces mots qu'elle entendit venir de derrière… Allie se retourna l'arme toujours à bout de bras et fit feu. Une balle en pleine poitrine et la femme qui les avait prononcés tomba à terre, raide morte. Ce n'est pourtant qu'après avoir tiré qu'Allie reconnue cette femme comme étant la propre mère de Tawnee. Mais peu lui importait, ce n'était pas la première des saintes et elle les avait fait souffrir Lauren et elle plus souvent qu'à leur tour. Au moins maintenant cette jeune conne de Tawnee la prendrait très au sérieux. C'est que s'apprêtait à lui dire Allie au moment où elle se retourna mais elle se sentie poussé au sol, et une explosion de douleur perla dans son crâne.

 

— Les putes tombent comme des mouches aujourd'hui !

 

Debout devant elle, une pelle à la main, Tawnee avait retrouvé son sourire prétentieux alors qu'elle levait son arme improvisée, dans le but de faire taire cette petite salope une bonne fois pour toute.

 

Allie ne pouvait qu'assister impuissante à ce qui allait être le coup de grâce, mais à la place ce fût Tawnee qui se retrouva elle aussi au sol tandis que Lauren s'était jeter sur cette dernière, l'entraînant dans sa chute. Une lutte de courte durée débuta alors entre elles deux, qui prit rapidement fin à l'avantage de Tawnee qui envoya Lauren roulé-boulé à quelques mètres plus loin. Reprenant sa pelle, la jeune fille désormais en furie se précipita vers Allie pour finir ce qu'elle avait commencé. Celle-ci, toujours sonnée par le premier coup qu'elle avait reçu, ne réussit qu'à s'agenouillée difficilement avant de voir arriver le coup qui s'apprêtait à lui être asséné.

 

— Ce n'était qu'un sursis, personne ne te sauvera petite salope !

 

La jeune fille ferma les yeux, se disant que sa dernière heure était finalement arrivée. Mais rien ne vient, à la place elle entendit ces mots raisonner d'une voix qu'elle ne connaissait que trop bien…

 

— N'utilise pas des mots d'adultes, petite écervelée.

 

Ne faisant pas confiance à ses oreilles, Allie rouvrit les yeux, et elle découvrit avec stupeur Tawnee allongée au sol, inerte et surplombée par Nicole qui tenait à la main ce qui ressemblait fortement à un pistolet taser. Nicole s'accroupie prêt d'Allie, s'enquérant de son état avant de l'aider à se relever.

 

— Allie, tu vas bien ? Tu peux te lever ?

 

Peu lui importait la réponse, Nicole l'aurait porté pour l'emmener en sécurité loin d'ici s'il le fallait. Allie regarda Nicole, incrédule de la voir ici à ses côtés après qu'elle l'ait abandonnée à son propre sort. D'ailleurs à bien y regarder, les quelques blessures apparentes que portait Nicole sur son corps et son visage, indiquaient bien qu'elle ne s'en était pas sortie sans heurt. Mais alors qu'elle allait demander pourquoi elle risquait sa vie pour revenir la chercher, la réponse vint d'elle-même…

 

— Personne n'est autorisé à te faire souffrir, sauf moi.

 

Le regard d'Allie passa de Nicole à Tawnee, toujours allongée inconsciente, puis à nouveau sur Nicole. Ses mots était curieusement empreint d'une douceur qu'Allie n'avait jamais perçu jusqu'ici, mais surtout le visage de Nicole lui paraissait soudain comme celui d'une inconnue, aussi soucieux d'elle que paisible de la savoir à ses côtés. Allie réalisa alors quelque chose de très important.

 

— Allons-y, ma soumise chérie.

 

C'était ça. C'était ce qu'elle était, une soumise. Mais entre les mains de Nicole, une soumise chérie, et aimée peut-être ? Une caresse tendre de la main de Nicole sur sa joue vint conforter cette idée. Et c'est presque inconsciemment qu'elle emboita le pas à cette femme qui venait de lui prouver que sa vie n'était rien sans elle.

 

— STOP, Allie ! Pas ça !

 

La jeune fille sembla se rappeler soudain l'existence de Lauren, alors que ses mots raisonnèrent comme un autre coup de feu et qu'elle vit cette dernière pointer le revolver ramassé dans leur direction, ciblant ostensiblement Nicole.

 

— On est libre maintenant. Partons ensemble ! Nous aurons la belle vie ! Je te le promets !

 

— Je ne pouvais pas te le dire parce que je ne l'avais pas encore saisi moi-même, mais j'avais déjà la belle vie Lauren. Mais tu as parfaitement raison, nous sommes libres maintenant. Tu es libre, profite-en, échappe-toi loin d'ici et refais ta vie Lauren.

 

De chaque côté des mots qui raisonnait dans l'air de ces jardins, il y avait de l'étonnement. Nicole qui réalisait la déclaration d'amour d'Allie envers elle, elle qui n'avait pas déchiffré sa propre déclaration d'amour pour sa jeune soumise par son geste de mettre sa vie en jeu pour elle, faisant rempart de son corps entre Allie et Lauren.

 

Cette même Lauren qui se retrouvait désemparée et dépitée de réaliser que la fille dont elle était tombée amoureuse en choisissait finalement une autre. Et pas n'importe qui, la femme-même qui était à l'origine de toutes ses souffrances.

 

— Mais Allie mon amour, je t'aime et tu m'aimes !

 

— J'ai cru t'aimer c'est vrai. Parce que tu as été la première et la seule à me traiter comme la jeune fille que j'aurais voulu être. Avec toi j'ai entraperçu un avenir radieux, un avenir qui aurait pu être le mien si j'avais effectivement été cette jeune fille, cette fille bien qui n'aspirait qu'à être normale. Mais ce n'est pas moi. Je ne pourrais jamais être cette fille-là. Et parce que je ne le comprends que maintenant, tu en souffre et ça me fait de la peine. Mais ce qui me ferait encore plus de peine ce serait de te faire du mal avec des mensonges. Toi tu es cette fille bien que j'ai cru pouvoir être pendant longtemps, et tu peux encore avoir cet avenir radieux Lauren, mais avec une autre que moi.

 

— Va-t'en !

 

Ce fut tout ce que pu dire Lauren, à la fois abattue et résignée. Elle baissa le revolver qu'elle avait ramassé par terre, avant de l'y laisser retomber avec le sentiment de choir avec lui.

 

— Allons-y Allie.

— Oui.

 

Allie acquiesça, et saisissant le bras tendu de Nicole pour se soutenir, entreprit de quitter cet endroit maudit avec les derniers mots qu'elle adressa à Lauren.

 

— Pardonne-moi.

 

Les deux jeunes femmes partirent en pressant le pas, rejoignant le véhicule de Nicole pour s'en aller avant que qui ou quoi que ce soit d'autre ne puissent leur tomber dessus. Une fois sur la route, loin du lieu de carnage de cette réception, Nicole et Allie partagèrent quelques mots, entre acception des réels sentiments que leur relations impliquaient et soulagement des sensations extrêmes vécues durant cette terrible journée.

 

— Tu seras punie pour tout ça.

— Oui, je serais punie.

— Mais pas aujourd'hui.

 

Comme si rien n'avais changé en apparence, les différences se voyant dans les cœurs.

 

Dans les jardins laissés derrière elles, la situation de Lauren trouva son ultime dénouement…

 

— Tawnee !? Oh mon dieu, et Elizabeth… Lauren, que s'est-il passé ici ?! Lauren tu m'entends, réponds !

 

Après la rage et la déception, à l'amertume se mélangea une profonde colère au plus profond de Lauren. Elle resserra entre ses mains l'arme qui trônait entre ses cuisses agenouillées avant de se relever. Sa belle-mère était la source de tous ses malheurs, et elle comptait bien le lui faire payer.

 

— Toi, tout est de ta faute…

 

 

 

Dans la chambre plongée dans la peine-ombre raisonnaient des cris extatiques provenant de la silhouette d'une femme assise dans un fauteuil au milieu de la pièce, le corps recroquevillé à quatre-pattes d'une jeune fille entre ses cuisses écartées. La jeune fille, Allie, était occupée à ses bonnes œuvres buccales, art dans lequel elle était devenue si bonne. Sa langue, experte du plaisir orale s'il en était, extirpant un plaisir qui menait sa partenaire droit aux portes du paradis après seulement quelques instants de ce traitement divin.

 

— Il suffit, termine…!

 

L'ordre était claire mais avait résonné de cette voix au ton légèrement agacé que la jeune Allie avait appris à connaître dernièrement. Celui qui signifiait qu'elle devait en finir vite, car sa maitresse se jalousait de ses faveurs. La jalousie de Nicole était quelque chose de nouveau pour Allie, une chose qui la valorisait intérieurement et qui ne rendait sa soumission que plus humiliante parce qu'elle se dégradait par amour.

 

Allie remplaça aussitôt sa langue de ses doigts, fussent-ils encore plus expert dans l'art de mener une femme à l'orgasme lorsqu'on lui intimait de ne plus satisfaire de sa langue une autre chatte que celle de sa maîtresse. La jeune fille y alla vite et bien, trois doigts dans la fente baveuse d'une main, et de l'autre des pressions expertes sur le mont de vénus. Moins de trente secondes de ces attouchements et s'en fut trop pour celle qui subissait les assauts de la jeune soumise.

 

Et pendant que les feulements de jouissance de la femme de chambre retentissaient dans la pièce, Nicole se gaussait intérieurement d'avoir si bien dressée la gamine qu'elle pouvait désormais faire jouir la plus frigide des femmes en moins de temps qu'il ne fallait pour le dire. A-t-elle point que cela l'énervait presque, Allie apprenait si bien et si vite qu'il lui fallait la mettre à l'œuvre toujours plus avant, auprès de toujours plus de partenaires. Et pour autant que Nicole se délectait d'offrir sa complète propriété pour son bon plaisir, cela devait rester pour son bon plaisir à elle seule. Aussi obligeait-elle désormais Allie à faire venir ses partenaires de coïtes d'un jour plus vites qu'elle ne le voudrait cette dernière, l'empêchant de profiter vraiment des chairs et des charmes de ces dames.

 

Invariablement, il n'y avait plus qu'entre les cuisses de sa maîtresse qu'Allie était autorisée à se perdre plus que de raison, là où partout ailleurs sur corps de Nicole.

 

Bien sûr, Allie savait. Et Nicole savait que sa petite jalousie était connue, mais elle ignorait que pour Allie il n'y avait nul supplice à devoir écourter ces séances de baises avec toutes ses inconnues, pour la plupart. Il n'y avait que l'honneur que lui faisait sa maîtresse à se réserver ses charmes les plus secrets, et à ne lui autoriser à se repaitre de chairs à sa faim, que de celles qu'elle avait appris à aimer… à coups de fouet et de cravaches.

 

La jeune bonne fut congédiée aussitôt son plaisir venu, c’est-à-dire bien vite. Elle ne s'en formalisa pas, ce n'était pas la première fois que son pourboire lui était donné en nature. Qui puis-est, un mot de la part d'un cliente aussi importante que l'était Nicole en défaveur d'un employé, et c'était la porte assuré. Et ici ce n'était pas la main d'œuvre qui manquait.

 

Ici, c'était la Barbade, l'endroit calme ou Nicole avait décidé de se replier le temps de se faire oublier après les remous de l'affaire du "Massacre Cantrell", comme l'avait appelé les médias. Quelques semaines de repos qui lui permettrait de finaliser la délocalisation de ses affaires dans une nouvelle ville, pour repartir à zéro loin de tout ça. Surtout, lui laisser aussi le temps d'appréhender la nouvelle facette de sa relation dominante-dominée d'avec sa petite chienne chérie, de tâtonner à la mise en œuvre de nouvelles règles. Une petite chienne dont elle s'était découverte étonnamment éprise. Mais pas plus que de voir Allie l'a choisir elle à la fin. Jamais elle n'aurait pensé que la dévotion qu'elle imposait à sa jeune protégée pouvait cacher plus que cela. Du désir était né chez Allie pour elle, parce qu'elle l'avait voulu, Nicole le savait. Mais que du désir naisse de lui-même de l'amour ? Non, décidément, jamais elle n'aurait osé le croire. Car cela ne faisait-elle pas d'elle l'esclave de la jeune fille à son tour ? Eh bien peu lui importait, du moment qu'elle restait gagnante, qu'elle conservait sa parfaite petite servante à ses côtés. Et ce genre de faiblesses, c'était nouveau pour elle. S'adapter ou mourir disait le dicton. Elles avaient survécus, leur restaient maintenant à s'adapter.

 

Se levant du lit où assise elle avait tout observé de la scène jusqu'à maintenant, Nicole se plaça debout au milieu de la pièce, attendant ce que sa seule position ordonnait. Allie ne se le fit pas dire deux fois et se déplaçant lentement à quatre pattes jusqu'à Nicole, elle mut son corps gracile de jeune plante savoureuse avec sensualité, ce qui avait la fâcheuse tendance d'exacerber l'envie d'une Nicole qui ne manquerait pas de le lui faire payer. La jeune fille termina sa course aux pieds de sa maîtresse, s'agenouillant entre la paire de jambes qui s'étaient écartées à son arrivée et apposa ses mains sur les cuisses de Nicole. Puis elle releva le visage pour planter ses yeux dans ceux de sa diabolique maîtresse, attendant patiemment qu'on lui donne le signal. Et une fois encore depuis ce jour où son amante avait fait rempart de son corps entre elle et une arme, Allie vit dans son regard ce trouble qui faisait frémir tout son être. Et une fois encore elle ne put s'empêcher d'y réagir…

 

— Je vous aime maîtresse.

 

La gifle qui suivit cette déclaration fut immédiate, presque instantanée. Nicole n'aimait pas qu'on lui rappelle qu'elle avait un cœur. A la gifle succéda le mouvement instinctif de la main de Nicole, qui répondant au regard empli d'amour et de dévotion de la jeune fille qui n'avait pas cessée de la fixer, lui caressa tendrement la joue à l'endroit même où elle avait laissé son empreinte un instant plus tôt.

 

Et une seconde gifle vint mordre la chair d'Allie, rougissant une pommette déjà rosie par la première. Non, Nicole n'aimait décidemment pas qu'on lui rappelle qu'elle avait un cœur. Et encore moins qu'il battait pour cette petite catin.

 

— Je sais.

 

Mais c'était le cas. Et lorsque sous la langue d'Allie elle se délivrait de son mal, la jeune fille pouvait enfin entendre Nicole lui dire son amour, et ne l'en aimer que davantage en retour.

 

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Lundi 22 décembre 1 22 /12 /Déc 22:03

Une longue et belle histoire pleine de sexe et de fureur viens de se terminer.

Vous venez de lire le dernier chapitre des "terribles" aventures d'Allie.

L'épilogue ouvre cependant bien des portes: quels sont les projet de l'implacable ALex? Maitresse Jytte va t-elle se contenter de se faire dorer sur la plage en se faisant brouter le minou? Allie et Lauren vont-elles filer le parfait amour alors qu'elles sont si désirables sous la contrainte? La démoniaque Nicole est-elle morte? . . .

Tant de questions, pour l'instant sans réponses car Annie n'a pas encore tentée une suite.

Et vous ça vous tente de l'écrire? . . .

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Lundi 22 décembre 1 22 /12 /Déc 22:01

Épilogue

L’air de l’après-midi était frais mais pas froid. Lauren conduisait la Porsche décapotable et Allie se détendait sur le siège passager, les yeux clos. Toutes les deux étaient vêtues de jeans, pulls à cols roulés et de gilets. Face à elles, le soleil brillait de mille feux.

— Lauren ? Demanda Allie.

— Mmmm ?

— Où allons-nous ?

— Loin.

À 110 Km/heure, le moteur produisait un ronronnement rassurant et le vent caressait leur visage. Lauren resta silencieuse pendant plusieurs minutes tandis que les kilomètres s’enchaînaient. Les sons répétitifs de l’autoroute leur faisaient oublier leurs malheurs.

Finalement, Lauren demanda :

— À quoi penses-tu ?

— À mes parents. Elle se tourna et regarda Lauren un long moment avant de tendre sa main à la conductrice qui s’en saisit aussitôt. Ne m’abandonne pas Lauren, j’ai besoin de quelqu’un maintenant, j’ai besoin de toi.

— Je ne te laisserai pas Allie. Répondit-elle en serrant sa main. Je t’aime.

Elles se sourirent et Allie se laissa à nouveau aller dans le fauteuil en fermant les yeux, leurs deux mains serrées l’une dans l’autre.

Le ruban goudronné se déroulait derrière elles au fur et à mesure qu’elles accumulaient les kilomètres qui les séparaient des évènements odieux qu’elles avaient toutes deux endurés. Le ronflement du moteur, le souffle du vent et le soleil brillant restaient leurs seuls compagnons.

****

Alex:

Alex fut enfermé dans une prison pour femmes qui convenait parfaitement à sa personnalité. Elle s’assura d’abord la complicité de la direction et monta une affaire de prostitution. Puis sa nature la poussa à devenir de facto la vraie Maîtresse de l’établissement pénitentiaire. Elle louait les services de ses filles à l’intérieur et à l’extérieur des murs de la prison. Les gains étaient faciles et elle ne se privait pas d’embaucher certaines des délinquantes qu’Isis et son organisation faisaient incarcérer.

Bien sûr, les gardiennes empochaient le plus gros des revenus, mais Alex s’en contentait. Elle avait, de toute façon, des projets les concernant lorsqu’elle serait libérée. Malheureusement pour elles, celles-ci n’avaient pas encore appris à la craindre.

****

L’institut de beauté.

Suite à cette affaire, le salon de Main Street fut entièrement rasé. Ce n’est plus aujourd’hui, qu’un grand parking. Jackie se trouva un nouvel emploi dans un nouveau salon de beauté, mais elle fut licenciée et convaincue de molestation sur la personne d’une petite fille à qui elle lavait les cheveux. Elle est aujourd’hui l’une des meilleures "gagneuse" d’Alex.

****

Dernières nouvelles des Bermudes : Maîtresse Jytte.

— Et oui, ma chère petite pute, j’adore les Bermudes et c’est toujours aussi agréable quand tu me lèches la chatte. Déclara la femme appelée "Maîtresse Jytte" en portant paresseusement son verre de Pina Colada à ses lèvres.
Ses cheveux parfaitement coiffés étaient recouverts d’un somptueux chapeau aux larges bords. Elle était étendue sur une chaise longue au beau milieu d’une véranda, et, entièrement nue, profitait d’une vue parfaite sur le bleu de l’Océan Atlantique, tandis qu’une petite blonde, entièrement nue elle aussi, était agenouillée entre ses cuisses et lapait ardemment le sexe qu’elle vénérait.

— Que la vie est belle, ma chérie… OOOOHHH c’est si bon !

Les vagues s’échouaient sur le rivage alors qu’un autre orgasme menaçait d’atteindre celui de Maîtresse Jytte.

****

Allie et Lauren:

La fuite des deux jeunes filles les avait menées jusqu’à San Francisco. Isis y travaillait avec un cabinet d’avocats qui défendaient les deux jeunes femmes asservies par leurs Maîtresses. Grâce à ça, Lauren put hériter d’une somme considérable des deux familles. D’une part la propriété des Jacobs et d’autre part les dividendes versés par les Cantrells pour son mariage forcé (qui représentèrent plus que quelques hectares de terres).

De son côté, Allie reçut des sommes importantes en indemnisation des dommages que lui avait causés Nicole. Elle devint une jeune fille riche et entièrement libre de tous ses mouvements.

Les deux amoureuses vivaient ensemble, bien décidées à lier leurs vies.

Lauren est tombée enceinte d’un garçon qu’elle doit à Tawnee et les deux jeunes filles ont décidé de le garder.

Un beau matin :

— Allie ? Demanda Lauren en enlaçant son dos.

Les deux jeunes filles étaient étendues dans leur lit.

— Oui ma chérie ? Répondit Allie encore somnolente.

— Je suis heureuse que ma belle-mère ait loué tes services le jour où nous nous sommes rencontrées l’année dernière.

— Mmmm, ta chatte était certainement l’une des plus savoureuses. Elle se retourna et embrassa Lauren.

— Je garde un bon souvenir des épreuves que j’ai enduré ce jour, toutes les humiliations… Poursuivit Lauren.

— Pourquoi ? Demanda Allie, complètement réveillée maintenant.

Elle se retourna complètement et regarda Lauren dans les yeux. Ceux-ci étaient embués par les larmes.

— Parce que je t’ai rencontrée grâce à tous ces tourments ma chérie.

— Je t’aime Lauren. Déclara Allie en l’embrassant.

 

Ainsi se termine l’histoire d’Allie et Nicole.

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Lundi 22 décembre 1 22 /12 /Déc 21:59

Évasion.

La violence du choc renversa Tawnee sur le dossier de sa chaise et un brouhaha commença à monter parmi les invitées. Lauren resta un moment interdite, mesurant la gravité de son geste, puis elle bondit sur la terrasse, dévala l’escalier aussi vite que possible, traversa la pelouse en courant et s’engouffra dans le labyrinthe de houx avant que qui que ce soit réagisse. Seuls, ses escarpins qu’elle avait abandonnés au milieu de l’herbe témoignaient encore de sa présence.

— Mince ! Dit Isis

— Merde, ça alors. Murmura Allie.

— Bordel ! Lança Alex.

Toute l’assemblée parlait en même temps.

Elizabeth aida sa fille à se redresser.

— Ca va Tawnee ?

— Ouais ! Répondit celle-ci en se tenant le nez.

— Vas-y ! Rattrape-la et donne-lui une bonne leçon. Il lui faudra une bonne correction pour qu’elle sache où est sa place.

Tawnee ne perdit pas un instant et s’élança à la poursuite de sa "femme".

Le toast n’était plus d’actualité. Certaines invitées burent leurs verres mais la plupart d’entre elles l’avaient reposé sans même en avoir pris une gorgée. Le champagne drogué n’aurait pas les effets escomptés. La réception virait à la catastrophe.

— Aurora ! On se rabat sur le plan B. Le plan B ! Déclara Isis en collant ses lèvres contre son bracelet.

Elle sortit prestement un revolver noir de son sac à main et abattit les trois femmes qui étaient attablées avec elle avant même qu’elles comprennent ce qui se passait. Au même moment, Aurora et son équipe procédèrent de même avec le reste des invitées.

— AAAAAHHHH !!!

Quelqu’un poussa un cri, déclenchant une panique monstrueuse dans la réception. Des femmes couraient dans toutes les directions. Isis en élimina trois autres qui s’étaient mises à courir à proximité d’elle. L’espace autour d’elle s’éclaircit un peu. Enfin, elle réussit à apercevoir Allie et Nicole à l’opposé de la terrasse et se dirigea aussitôt vers elles.

Allie chercha des yeux l’endroit d’où provenait le cri alors que Nicole jetait sa serviette par terre et se levait brusquement.

— Suis-moi vite, nous devons partir IMMEDIATEMENT !

Mais Allie avait bien compris qu’elle n’aurait pas d’autre opportunité de s’échapper. Elle roula sous la table pour esquiver la poigne de Nicole.

— Allie, c’est notre seule chance, il faut qu’on parte. Je ne sais pas ce qui se passe mais si tu viens avec moi, je peux te mettre à l’ abri.

— Va te faire voir Nicole. C’est là que nos chemins se séparent.

— Espèce de petite conne ingrate. AUX PIEDS !… IMMÉDIATEMENT ! Hurla Nicole en faisant le tour de la table. Mais Allie continua à se faufiler entre les pieds de la table pour lui échapper.

— Je m’en fous, c’est fini Nicole. Elles sont là pour toi, pas pour moi.

La déclaration d’Allie mit la puce à l’oreille de Nicole. Elle regarda autour d’elle et remarqua le groupe de femmes qui s’approchait d’elles. Bordel, que se passe-t-il ici ?

— Qu’est-ce que tu as fait, espèce de petite MERDEUSE !

Elle se pencha sous la table et lança un regard furieux à son esclave qui se retranchait à l’autre bout de la table.

— Ce que tu mérites !

— Je t’aurai pour ça, Allie. Je te jure que tu me le paieras espèce de sale petite CONNE !

Et elle fit volte-face et s’éloigna au pas de course, abandonnant Allie sous la table.

Isis progressait en direction d’Allie, elle aperçut Nicole qui s’enfuyait en courant. Pourvu qu’il y ait une fille là-bas pour l’arrêter. Se dit-elle en atteignant la table et se baissant pour donner des instructions à Allie.

— Allie, il faut que tu ailles porter secours à Lauren. Toutes les filles sont occupées avec cette bande de salopes et je pense que nous en avons encore pour un moment avant de pouvoir aller l’aider. Allie bondit de sous la table comme un diable de sa boîte. N’écoutant que son cœur, elle allait s’élancer lorsqu’Isis l’arrêta. « Prends ce pistolet au cas où ça se compliquerait ». Dit-elle en lui tendant le révolver.

Allie vérifia la sécurité et l’ôta.

— Maintenant file ! Lança Isis en lui assenant une claque sonore sur les fesses.

Aussitôt, Allie s’élança en direction du labyrinthe.

***

Lauren courait aussi vite que ses pieds nus le lui permettaient. Elle essayait de s’enfoncer le plus profondément possible dans le dédale. Elle le connaissait parfaitement bien, mais sa dernière expérience pour fuir Tawnee l’obsédait. La perspective de se retrouver à nouveau piégée et sodomisée de force par Tawnee après l’affront qu’elle venait de lui faire subir, provoquait en elle une peur panique.

Alors elle courait… À en perdre haleine.

Gauche-droite, droite-gauche ; plus ses pensées s’accéléraient plus elle courait vite. Sa robe en dentelle n’était plus qu’un chiffon informe dont les lambeaux avaient été arraché par le houx. Son seul objectif était d’arriver à la sortie, de rejoindre l’autoroute et de voler une voiture pour s’enfuir avant que Tawnee ne réussisse à la rattraper. Cette salope est très forte, elle doit courir plus vite que moi… Se dit-elle en ayant de plus en plus de mal à respirer.

Sa fuite éperdue l’avait un peu désorientée, mais elle allait bientôt retrouver son chemin. Gauche-gauche, droite-gauche, droite ; voilà, encore un angle et c’est la sortie. Elle franchit le dernier coin et, enfin la découvrit. Elle y était, la sortie n’était plus qu’à une trentaine de mètres devant.

— MERDE !!!

Elle s’immobilisa en dérappant.

C’était là que Tawnee l’attendait ! Elle avait fait le tour du labyrinthe en courant pour en bloquer la sortie.

Le souffle coupé, Lauren fit aussitôt demi-tour et s’enfuit dans l’autre sens. Tawnee ricana et la poursuivit.

Terrifiée, elle refaisait le chemin en sens inverse. Droite-gauche, gauche droite ; la peur lui donnait des ailes. Mais elle pouvait entendre les foulées de sa "femme" se rapprocher à chaque enjambée. Elle court plus vite que moi ! Et soudain, elle sentit une main la frapper dans le dos, déchirant un autre morceau de sa robe.

— NOOOON !

Elle poussa un cri et tenta d’accélérer mais ses forces l’avaient quittée. Quelques secondes plus tard, une main crocheta sa taille et la tira en arrière, une autre l’agrippa par le ventre et elle se sentit projetée sur le sol. Les deux filles roulèrent sur le sol en luttant.

Lauren se défendit avec toute l’énergie qu’il lui restait, mais Tawnee était lui était supérieure dans tous les domaines : La taille, l’endurance et surtout la force. Rapidement elle se trouva clouée au sol, sur le dos, tandis que l’autre s’était assise sur son ventre.

— Bon sang Lauren ! Ça t’arrive de te servir de ta cervelle ?

— Va te faire voir ! Et elle lui cracha au visage.

Tawnee la gifla et s’essuya avec le revers de sa manche.

— Tu vas me le payer, espèce de petite conne ! Et elle la gifla une nouvelle fois.

— Non, c’est terminé tout ça, sale vicieuse ! Lança une nouvelle voix.

Tawnee leva les yeux au moment où le pied d’Allie la fauchait à la hauteur de la joue. Elle s’écroula sur le côté, assommée.

Allie s’agenouilla aux côtés de sa bien-aimée et lui parla doucement.

— Ca va Lauren ?

Au bord de la crise de nerf, la jeune fille n’en croyait pas ses yeux.

— Oh Allie ! Tu m’as sauvée… Mais comment c’est possible ?

Et elles tombèrent dans les bras l’une de l’autre, Allie entièrement nue et lauren dont la robe était dans un état si piteux qu’elle n’était pas loin de l’être.

— Allez, viens. Il faut rejoindre les autres, maintenant elles doivent avoir la situation en main.

Et elles se mirent à courir vers la sortie du labyrinthe, comme si elles avaient été amoureuses depuis toujours.

Elles échangeaient des regards et un sourire commençait à apparaître sur le visage de Lauren.

— Est-ce que tout ça est terminé Allie, vraiment terminé ? Demanda-t-elle d’une petite voix.

Elles contournaient un coin de végétation lorsque…

TCHAC !

Allie sentit un choc puissant sur la main avec laquelle elle tenait le révolver, le faisant rebondir sous la haie, hors de portée. Dans un mouvement réflexe, Lauren la poussa hors de portée au moment où la pelle que brandissait Nicole fendait une nouvelle fois l’air et la percutait en plein ventre. La jeune mariée s’écroula, le souffle coupé.

Allie fit volte-face. Agenouillée, face contre terre, Lauren se tenait le ventre en recherchant désespérément sa respiration. Nicole lui faisait face, le visage déformé par une rage si intense qu’Allie ne l’avait jamais vue dans cet état.

Du regard, l’adolescente balaya le sol afin de repérer l’arme. Impressionnante dans sa beauté démoniaque, Nicole lui barrait l’acces au pistolet. Elle n’avait plus d’autre solution que l’affrontement si elle voulait sauver Lauren.

— Et non Allie, ça n’est pas encore fini. Déclara Nicole d’un ton malveillant.

Nicole était resplendissante dans sa tenue de soirée : pantalon noir et chemisier crème. À nouveau, Allie se sentit aussi vulnérable qu’une petite fille nue devant la déesse au corps parfait d’amazone qui se dressait devant elle.

— Est-ce que tu te rends compte de tout le tort que tu m’as causé, petite salope ! Son sourire fugitif se transforma en une grimace de rage. BORDEL ! Est-ce que tu mesures ce que tu as fait de ma vie PARFAITE espèce de sale petite pute !

— Je te promets que tu vas me le payer au centuple ! Et elle brandit à nouveau la pelle qu’elle tenait par le manche.

Soudainement, Lauren bondit et bloqua le mouvement circulaire de la pelle.

Surprise, Nicole se retourna pour comprendre ce qui se passait. Jaugeant immédiatement la situation, ses yeux lancèrent des éclairs et elle la frappa à nouveau à l’estomac. Celle-ci poussa un cri de douleur et s’effondra à nouveau en position fétale.

Alors quelque chose de nouveau se produisit, quelque chose que Nicole n’avait pas prévu…

Allie CRAQUA !

Voir Nicole faire du mal à sa bien-aimée lui causa une émotion qui submergea sa peur. Une colère formidable coula dans ses veines. La rancune qu’elle accumulait depuis des mois au fond de son subconscient, la haine profonde qu’elle nourrissait envers la femme en qui elle avait eu confiance et qui l’avait rabaissée au rang d’esclave, l’avait humiliée, abusée, battue, baisée, sodomisée, torturée, qui lui avait volé sa vie ; se transforma en une pulsion de fureur incontrôlable qui l’emporta.

— HHHHIIIIAAAAHHHH !!!

Le cri formidable qui s’échappa de sa gorge véhiculait toute la colère qui brûlait son esprit comme un fer rouge. À une vitesse incroyable, elle se jeta sur Nicole et se jeta sur ses jambes, la plaquant au sol. Incapable de s’imaginer que sa petite chienne lesbienne si docile puisse l’attaquer, elle bascula en arrière. La brutalité de l’assaut lui coupa le souffle et la pelle lui échappa. Allie la chevaucha. Telle une chatte sauvage, elle frappait, griffait et cognait sur le visage détesté de toutes ses forces.

Nicole dut rassembler toutes ses forces pour bloquer les bras d’Allie et la faire basculer sur le côté d’un puissant mouvement de rein. À son tour, elle se jeta sur l’adolescente. Mais Allie avait rassemblé ses genoux contre son buste, elle banda ses muscles et se servit de ses pieds pour repousser Nicole de toutes ses forces. Celle-ci fit un vol-plané en arrière et se reçut sur le dos. Elle roula sur le côté et tenta de se relever, mais Allie fut plus rapide et sauta sur son ventre, recommençant à la frapper avec toute l’énergie dont elle disposait.

Nicole tenta de ramper pour échapper aux coups, mais Allie l’agrippa par les cheveux et se mit à lui cogner la tête contre le sol. Les idées de Nicole commençaient à se mélanger. L’adolescente s’acharnait sur son ventre et cognait, cognait… Son visage, déformé par la fureur, trahissait la férocité qui s’était emparée d’elle. Chaque coup rapide lui coupait de plus en plus le souffle. Elle se mit à gémir de douleur.

— Je te quitte, Nicole. TU M’ENTENDS, espèce de sale perverse ! Moi et Lauren, on se BARRE d’ici et tu ne nous en empêcheras pas…

Elle hurlait en se déchaînant sur son ancienne Maîtresse qui gisait entre ses jambes.

Nicole roula comme elle put sur le côté et regarda Allie.

— Tu m’appartiendras toujours, Allie. Tu n’arriveras jamais à m’extirper de ton âme.

Ces mots mirent l’adolescente dans une rage folle. Elle frappa à nouveau le ventre sans défense, puis regarda autour d’elle. Ses yeux s’arrêtèrent sur la pelle qui se trouvait à quelques mètres d’elle. Calmement, elle se releva et s’en empara.

— ESPÈCE DE GROSSE SALOPE !!! Je vais te tuer SALE FILLE DE PUTE !!!

Et elle s’avança froidement vers le corps sans défense de son ex-Maîtresse. Plaçant ses pieds de chaque côté d’elle, elle brandit la pelle par son manche et s’apprêta à l’abattre sur le crâne de cette femme maudite pour mettre fin à ce cauchemar une fois pour toutes.

C’est alors que Lauren apparut devant elle. Elle bloqua son mouvement en levant ses deux bras.

— STOP Allie ! Pas comme ça !

Les yeux d’Allie, écarquillés par la folie, se détournèrent de sa victime pour se fixer sur Lauren. Elle tenta de parler mais tout ce qui réussit à franchir ses lèvres fut un halètement rauque.

— Pas comme ça Allie, tu n’es pas comme elles.

Lauren tendit sa main et la referma sur la pelle.

— Donne-moi cette pelle s’il te plaît.

La poigne d’Allie se relâcha et la pelle tomba sur le sol. Lauren la jeta plus loin et s’agenouilla devant sa bien-aimée.

— C’est bon. Tu as fait le bon choix.

Elle enlaça les jambes d’Allie. Leur nudité ne les dérangeait pas, seul le fait d’être réunies comptait pour elles. Les halètements de la jeune fille se calmèrent et se transformèrent en sanglots. Elle pleurait de tout ce qu’elle avait enduré pendant ces derniers dix-huit mois au cours desquels on avait abusé d’elle, on l’avait prostituée… Elle pleurnicha jusqu’à ce que l’épuisement la submerge.

Lauren s’était redressée et l’aidait à se tenir debout. Elles se mirent en route, non sans qu’Allie ait récupéré le révolver au passage, et repartirent vers la sortie du Labyrinthe.

— AAAAAAAHHHH !!!

Le cri les fit toutes les deux sursauter. Allie fut projetée hors de l’étreinte de Lauren. Nicole s’était remise et contre-attaquait. Terrorisée, Lauren poussa un long hurlement.

— SALOPE ! PETITE SALOPE ! SALE CHIENNE ! PUTAIN INGRATE !

Tout se passa très vite. Allie se retrouva plaquée par terre par une Nicole déchaînée qui ne cessait de hurler. Elle avait passé ses mains autour de son cou et l’étranglait. L’adolescente commençait à manquer d’air. Par réflexe, elle avait passé ses jambes autour du bassin de son assaillante et des zones sombres commençaient à envahir son champ de vision.

— PETITE SALOPE ! VICIEUSE ! ESPÈCE DE DÉVERGONDÉE.

Nicole continuait à crier et ponctuait chaque mot d’un accroissement de la pression de ses doigts autour du cou de sa victime.

Lauren attrapa un des bras de Nicole et tenta de lui faire lâcher prise, mais ses muscles étaient aussi durs que du fer. Une folie diabolique s’était emparée de son esprit et elle bavait en pastillant à chacun des mots que sa bouche éructait. Elle étranglait de plus belle, en cognant la tête d’Allie contre le sol.

— NON NON NON STOP NON !!!

Lauren hurlait elle aussi en frappant le dos de Nicole.

— SALOPE ! SALOPE ! SALOPE ! SALOPE ! SALOPE ! Criait Nicole.

BANG ! L’arme qu’Allie avait en main venait de tonner.

BANG ! À nouveau.

— SALOPE ! SALOPE ! SALOPE ! SALOPE ! Continuait Nicole.

BANG ! Encore.

— Bordel ! Merde…

Les doigts de Nicole se desserrèrent. Elle secoua sa tête, comme si elle essayait d’éclaircir ses idées.

Allie tira une dernière fois.

— Tu…

Ses poignets se relâchèrent complètement et elle s’écroula sur Allie. Lauren continuait à frapper son dos en pleurant sans se contrôler.

— Petite… Salope… Murmura une nouvelle fois Nicole, dans un dernier souffle.

Elle était morte. Allie sentait le sang des plaies mortelles se répandre sur son corps. Elle était au bord de l’évanouissement, un voile obstruait sa vision et ses membres ne répondaient pas. Lauren repoussa le corps de la défunte de celui d’Allie et l’attira dans ses bras en pleurant à chaudes larmes.

— Allie ! Est-ce que ça va ? Mon dieu… Faites qu’elle aille bien !

Ses larmes coulaient sur les joues d’Allie. Celle-ci esquissa un petit sourire et leva une main pour lui caresser tendrement la joue.

— Je vais bien mon amour. C’est fini.

Elles restèrent étendues sur le sol pendant qu’Allie reprenait des forces. Puis Lauren l’aida à se redresser, la prit par la main et l’éloigna des restes de sa Maîtresse, loin de toute cette horreur.

— C’est fini.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Dimanche 21 décembre 7 21 /12 /Déc 15:16

La réception

Lauren avançait vers la salle de  réception à côté de Tawnee. Elle essaya de cacher son mouchoir mais il n'y avait nulle part où le mettre. Elle pouvait sentir le sperme couler de sa chatte, et elle ne savait pas si quelqu'un pouvait le voir, elle ne savait pas si c’était rouge de son sang ou blanc.

Elle baissa les yeux et ne vit rien, mais Tawnee avait rempli sa chatte d’une telle quantité de sperme qu'elle pouvait le sentir couler sur l’intérieur de sa cuisse. Elle avait vraiment besoin de quelques minutes pour nettoyer. Elle essaya de garder le sperme à l'intérieur d’elle mais il semblait prendre un malin plaisir à trouver son chemin hors de sa chatte.

Elle se tourna vers Tawnee pour lui dire qu'elle avait besoin de prendre une pause et se rendre dans une salle de bains mais elles arrivèrent devant la file des invitées venues les féliciter. La première personne de la file serra la main de Tawnee.

 «Puis-je embrasser la mariée?", demanda la femme à Tawnee pointant Lauren du doigt en souriant.

«Bien sûr.» répondit celle-ci

La femme prit Lauren dans une étreinte serrée et l'embrassa, forçant sa langue dans sa bouche. Le baiser dura cinq bonnes secondes. Les bras de Lauren pendaient mollement le long de son corps, ses yeux agrandis de surprise.

La surprise provoqua une secousse à travers son corps et Lauren sentit un peu plus de sperme suinter de son vagin. Les coulées poussaient plus loin. Elle pouvait jurer qu'il y avait des gouttes jusqu'à ses genoux.

Le baiser terminé, elle fut immédiatement reprise en main par la femme suivante de la file qui la reprit en bouche pour un baiser passionné. La suivante attrapa un de ses seins et le massa en l’embrassant. La suivante glissa une main dans son dos puis sous sa robe pour lui pétrir les fesses.

Lauren eu alors un bref répit, mais seulement pour se rendre compte que la file semblait serpenter à l’infini. La femme suivante se retrouva alors sur elle pour un autre baiser passionné. A peine avait-elle repris son souffle qu’une autre était sur elle. La femme fit serpenter une main à l'intérieur de sa robe pour lui pétrir le cul nu et avec l'autre main, tira un téton et l'embrassa.

La suivante pinça son mamelon en l'embrassant.

La femme suivante pétrit ses deux seins en l’embrassant.

Et cela continua ainsi. Elle embrassa vingt, puis trente femmes. Elle poursuivit en automatique. L’expérience sensuelle de se faire embrasser et plauter par tant de femmes a commencé à l'affecter. Elle a commencé à gémir. Ses mamelons durcirent et elle commença à mouiller.

Lauren sentit son propre jus se mélanger avec le sperme de son épouse, sa chatte devenir un cloaque ou mijotaient ses chairs sous la mince pellicule de la robe qu'elle portait.

La maîtresse d’Allie, Nicole, était là. "J’espère qu’Allie fournit un bon service pour la somme généreuse qu’Alex me paie.", dit-elle.

"Mais oui, je crois qu'on peut dire qu'elle était une partie intégrante de tout le mariage," répondit Tawnee..

"C’est un merveilleux mariage, je suis sûr que la nouvelle Mme Cantrell fera une femme merveilleuse. Mais je l'embrasse aussi? "

"Bien sûr."

Nicole attrapa Lauren et l'embrassa à pleine bouche. Lauren ne lutta même plus. Que pouvait-elle faire?

Il fallut 45 minutes pour remonter toute la file des invitées. Lauren perdit la trace de combien de baisers elle avait été l’objet.

Susan est alors venue et parla dans l'oreille de Tawnee.

"Excusez-moi Mme Cantrell, mais le timing doit être tenu. Vous et votre femme devaient passer au point suivant de l'ordre du jour." Il a fallu Tawnee une seconde ou deux pour se rendre compte que Susan lui parlait. Elle était mariée maintenant, elle était Mme Cantrell.

"Oui, oui, Susan, je vous remercie." Elle saisit la main de Lauren et la conduisit dans la maison précédant le reste des invitées.

«Attendez, où allons-nous ?," a déclaré un Lauren inquiète. Son cerveau était en bouillie. S’habiller le matin, voir Allie prise en otage, le stress de la noce, son viol dans la limousine, les embrassades de masse de la file des invitées . . . . Lauren n’arrivait plus à penser, ses yeux étaient vitreux, elle faillit trébucher.

"Ne t’inquiète pas Lauren, c’est juste une autre formalité."

****

"Aurora, le plan est en place, l'équipe est prête?", dit Isis alors qu’Aurora serpentait dans les jardins impeccablement habillée et apparemment parfaitement à l'aise.

"Oui madame, tout le champagne est drogué. Nous serons en mesure de nous déplacer peu de temps après les toasts. Tout doit-être simple, comme à l'exercice ".

"Ne soyez pas trop confiante Arro," répondit Isis, «J’ai fait des dizaines de ces sauvetages, petits et grands, et j’ai vu beaucoup finir par foirer à l’arrivée."

«Oui Madame, tout le monde est formé pour les plans d'urgence que vous avez énoncés.".

«Attention," dit Isis en regardant autour d’elle, "Ne soyez pas trop confiante.

"Oui Madame."

Elles continuèrent leur marche nonchalante vers la réception. Isis était préoccupé par Allie, qu’elle n’avait pas vue.

****

Tawnee traîna Lauren dans le salon principal du manoir des Jacobs ou se déroulait la réception. Lauren vit que les meubles de la chambre avaient été déplacés. Les chaises étaient alignées dans un rectangle de deux rangées de sorte que les invitées présents auraient toutes une belle vue dégagée du centre de la pièce.

Et dans le centre de la chambre, il y avait un lit.

Lauren secoua la tête  et a commencé à lutter contre Tawnee, "non, non, NON NON NON NON NON Putain!"

Susan a laissé tomber son dossier et a aidé Tawnee glisser la mariée luttant jusqu'au lit.

"NONONONONONON"

Après avoir traversé le salon, Lauren eu une pleine vue sur le lit. Il y avait trois caméras placées autour. Elles allaient filmer!

Les 50 ou 60 invitées présents ont lancées une belle salve d'applaudissements en apprenant que la mariée allait être « engrossée » par Tawnee. Plusieurs femmes se levèrent et contraignirent Lauren à monter sur le lit.

Lauren fût trainée de force sur le lit, criant et maudissant ses tortionnaires.

Un collier lui fut fixé autour du cou. Le collier fut relié par une chaine courte à un anneau fixé à la tête du lit. Elle ne pouvait plus lever la tête que de quelques pouces du matelas. Ses poignets fixés à des chaînes les coins supérieurs du lit Les bras minces de l'adolescente étaient étirés au maximum. Ses chevilles furent fixées à une barre d'écartement, elle-même reliée à une chaine fixée au plafond. Cela avait pour effet de soulever son cul et d’exposer son vagin pour sa consommation "officielle".

Une fois Lauren attachée au lit, tous les invités s’assirent. Lauren lutta pour se libérer puis s’effondra sur elle-même.

Au pied du lit, avec une vue imprenable sur le cul de Lauren, étaient assises Alex et Elizabeth, à une grande table en chêne. Chacune d'elles avait son avocate à ses côté et une pile de paperasse prête pour les signatures.

Susan se dirigea vers le lit et souleva soigneusement la robe de Lauren. La foule se tut en voyant sa chatte pour la première fois. Le public pouvait voir les traces de sperme séché couvrant ses jambes et de nouvelles gouttes de sperme de Tawnee émergents de son vagin. Il y eu des murmures dans l’assemblée, Lauren ne était pas vierge.

Elizabeth se leva en colère et la douce Lauren pleura sans retenue, au comble de l’humiliation.

"Tawnee, qu’as-tu fait!" Furieuse, elle s’approcha de sa fille et lui gifla la joue. "Tu connaissais l’existence de la cérémonie et pourtant tu l’as baisée !."

Tawnee regarda sa mère, furieuse.

Alex se leva et dit: «Elizabeth, ne nous arrêtons pas à ce détail et allons de l’avant ! Nous devons la consommation de ce mariage à nos invitées même si cette garce n’est plus vierge ! "

Elizabeth se calma un peu et Tawnee, Elizabeth, Alex et les avocats se mirent autour de la table pour signer les documents nécessaires.

L'affaire était faite. Lauren était effectivement vendue pour $ 187 000 000 de prise de participation dans les exploitations Cantrell. Alex Jacobs avait maintenant une participation de 28% dans le Hedge Fund International LLC Cantrell. Les deux familles étaient désormais liées ensemble financièrement et par le mariage.

«Eh bien», a déclaré Elizabeth, "Susan avez-vous une seconde vessie de sperme. Il semble que ma fille a éjaculé prématurément ».

Toute la foule se mit à rire à la blague d'Elizabeth. Sauf bien sûr Lauren qui pleurait sur le lit, presque ignorée par les invitées.

Susan a quitté la salle mais est revenu peu de temps après avec une seconde vessie pleine de sperme. Elle la tendit à Elizabeth.

Elle la tendit bien haut pour les invitées. «Les époux ont effectué l'acte conjugal à la fois comme un symbole et une réalité du mariage depuis des temps immémoriaux. Nous nous réunissons ici aujourd'hui pour voir ce rite ancien poursuivi. Aujourd'hui, nous allons regarder ma fille Tawnee Cantrell prendre la virginité de sa femme (enfin, ce qu’il en reste) et donc consommer la relation conjugale".

Elle tendit la vessie à sa fille. Tawnee l’attacha rapidement.

"Apportez la putain, je veux que cette chatte soit nettoyée avant que ma fille la baise à nouveau."

Coquette et Miranda traînèrent Allie derrière la rangée de chaises. Elle était nue et ses mains étaient attachées derrière elle, étroitement jusqu'aux coudes. Les deux servantes la soulevèrent sur le lit et la placèrent devant la chatte dégorgeant de foutre.

"Récure cette chatte la pute ! Je veux qu’elle soit comme neuve et prête pour la queue de ma fille ".

Allie ne voulait pas participer à la parodie de consommation. Elle s’est assise sur ses talons et secoua la tête en refusant de nettoyer la chatte de Lauren.

Elizabeth balayé la foule du regard rapidement et repéré Nicole. "Nicole, votre chienne est récalcitrante, voulez-vous la fouetter ou je m’en occupe?"

Nicole se leva et se dirigea nonchalamment au pied du lit. "Oh, j’aimerais aider les festivités. S’il vous plaît permettez-moi de corriger cette gourde ".

Susan lui tendit un martinet à grosses lanière, puis recula. Nicole se pencha vers sa soumise.

"Allie, tu sais combien j’apprécie de te corriger ! Est-ce donc bien raisonnable de m’embarrasser à ce point?  . . .  ».

Nicole n'attendit pas la réponse d’Allie et fit tomber le fouet sur ses fesses

Sthwissssh ... SNIICK!

"AAEEEEeeee!", cria Allie en se tortillant sous la douleur.

Nicole sourit au public.

"Allie, Allie, Allie, tu devrai savoir maintenant que je peux te punir bien plus que ce que tu peux supporter ! Et crois-moi, je suis d’humeur à te donner plus que ce que tu as reçue depuis le début de notre relation ! ".

Swiiish. PHHHAAACK!

"OOOOWWEEEEeeeeeeee!"

"Maintenant, Allie, tire la langue et commence le nettoyage de la belle chatte de Lauren.".

Allie fit serpenter sa langue et a commenca à lécher la chatte de Lauren. Le sperme de Tawnee lui donnait  une saveur différente. Elle lécha le sperme et l’avala, se forçant à ne pas régurgiter.

"Plus d'enthousiasme!" SWishhh ... PHWACKKK!

"Ouuuuuuuiiiiiiiiiiii . . .."

******

Isis et Aurora se tenaient à l'extérieur sur la terrasse avec le reste des invités qui n’étaient pas sur la liste "A" et donc pas admis à la cérémonie privée à l'intérieur. Elles durent se contenter de la diffusion en circuit sur les quatre écrans plasma mis en place autour du patio.

Isis ne se demandait plus où était Allie. Elle pouvait la voir très clairement en train de récurer le vagin de la jeune mariée.

À bien des égards, elles avaient une bien meilleure vue que celles qui assistent à l'intérieur. Elles pouvaient voir clairement la langue d’Allie entrer la chatte de Lauren, ses lèvres se presser contre les lèvres intimes de la jeune mariée, et même dans les moindres détails la mince traînée de salive reliant la lèvre inférieure d’Allie à la vulve de la jeune fille.

Les plusieurs centaines d'invités réunis à l'extérieur se mêlaient, buvaient du vin, parlaient.

*****

Enfin Elizabeth tira Allie loin de la chatte de Lauren par les cheveux. Lauren était maintenant correctement nettoyée et son entrejambe brillait.

"Merci Nicole, votre animal de compagnie a terminé son travail !" déclara Alex, en poussant Allie sur le flanc, qui perdant l'équilibre, glissa hors du lit pour tombe au sol douloureusement.

Tawnee grimpa alors sur le lit et s’agenouilla derrière Lauren. Lauren sentait Tawnee derrière elle et la tête de la queue de Tawnee embrasser son vagin. Elle essaya de se dégager afin d'empêcher l'inévitable. Tawnee attrapa les hanches de Lauren et par plaça sa bite sur la chatte de sa femme.

Lauren tourna la tête sur le côté et a vit Allie gisant sur le sol. Leurs yeux verrouillés l’une sur l’autre, soudain Lauren se calma. Allie articula les mots «Je t’aime." Lauren su alors que tout cela n'a pas d'importance. Allie était là avec elle, elle pouvait supporter. Elle se laissa flotter en dehors de son corps et laissa ce qui allait se passer tout simplement arriver.

Elle articula une réponse, «Je t’aime."

Juste à ce moment Tawnee était prête. "Avec cette poussée, je t’épouse," dit-elle, puis elle empala la mariée avec sa bite. Il glissa en douceur à 5 cm grâce au travail de la langue experte d’Allie. Lauren ferma les yeux et chuchota à elle-même, «Je t’aime Allie, je t’aime Allie, je t’aime Allie."

La foule applaudit avec quelques applaudissements polis d’approbation.

Tawnee poussa, forçant le passage des lèvres de Lauren afin de faire entrer la bite sur toute sa longueur. Les écrans à l'extérieur montrèrent en gros plan de la verge factice entrer pleinement dans la chatte de Lauren. Tawnee commença un rythme lent de va et vient dans la chatte de Lauren.

Lauren chuchotait "Allie ... .Allie ... Allie.".

Tawnee accéléra. La scène entière avait le caractère d'un rituel pour elle. Les invitées buvaient en regardant le spectacle obscène. Elizabeth et Alex finalisaient les documents. Allie restait sur le sol à côté du lit, observant le viol de son amour. Nicole jouissait de l’humiliation de sa soumise.

Et tous attendaient avec impatience le Final de cette mise en scène.

La foule a commencé à chanter : "Tawn-ee-ee ... Tawn ... Tawn-ee"

L’excitation montait.

Ils ont tous senti l'approche du moment.

"Tawnee"

"Allie ..."

Tawnee tira le sperme de sa vessie remplie.

"Tawnee," elle poussait "Tawnee," elle poussait "Tawnee," elle poussait ...

Elizabeth leva les mains pour demander le silence.

La foule se tut. Même le public en dehors de la salle regarda les télévisions en arrêtant leurs conversations, les serveurs et les serveurs cessèrent de bouger.

"Allie.", murmura une fois de plus Lauren alors que Tawnee se fichait en elle.

Tawnee serra la balle de sperme, la vidant dans le ventre de sa femme.

La foule éclata en applaudissements. Dehors, le petit orchestre a commencé à jouer de la musique de chambre et les invités reprirent leur conversation où ils l’avaient interrompue.

Allie et Lauren continuèrent à pleurer Tawnee pressa et pressa encore la vessie jusqu'à ce qu'elle soit vide. Elle baisa ensuite Lauren farouchement pendant quelques minutes. Puis sorti.

Elle se dirigea vers le côté du lit où était Allie et la mit à genoux. Allie su quoi faire avant qu’elle le lui demande et commença à lécher et nettoyer sa bite.

Les invités sont toutes venus autour Tawnee pour la féliciter. Elles se tenaient autour d'elle, ignorant Allie en train de lécher le gode-ceinture de Tawnee. Tawnee serrait la main en remerciant. Elle se pencha et nonchalamment poussa Allie au loin. Allie tomba sur le côté à nouveau, nue et oubliée, aux pieds des femmes qui parlaient à Tawnee.

Lauren fut détachée du lit. Ses yeux étaient rouges de larmes.

Tawnee se tourna vers Coquette et Miranda, "Redonnez lui bonne apparence rapidement, nous devons aller à l'extérieur pour le reste des festivités."

Coquette et Miranda conduisirent Lauren à la salle de bain, refirent son maquillage et lissèrent à nouveau sa robe.

Nicole détacha les bras d’Allie et la fit sortir de la maison pour le reste de la soirée. Allie était dans un état second.

C’est alors qu'elle repéra Isis. Son cœur se souleva de joie par l’espoir que cette vision suscita. Isis mit un doigt sur ses lèvres. Allie acquiesça légèrement et suivit Nicole sur le pavillon. Personne ne commenta la nudité d’Allie.

Après quelques minutes Tawnee et son épouse Lauren sortirent de la maison. Lauren était encore sous le choc, mais Tawnee sourit, appréciant la soirée plus que tout.

Le reste de la réception se déroula comme une caricature d'une soirée normale. On dansa, dégusta le gâteau tira le bouquet au sort. Bientôt tout le monde était assis autour des tables et le champagne a été versé en prévision du toast fait par Alex, la mère de la mariée.

Le cortège était assis à la tête de la table. Alex se tenait avec un verre de champagne et a commencé son toast au jeune couple de marié.

«Je tiens à vous remercier tous d'être venus aujourd'hui,".

Alex attendit que les applaudissements se calment.

«En tant que mère de la mariée, je tiens à ajouter que l’on ne connait jamais pleinement sa fille tant que l’on ne l’a pas baisée !". La salle rit de la plaisanterie.

"Nous avons beaucoup de gens ici dans la salle ..." Alex se tu tout d'un coup alors que Lauren cria, "AAeEEAAAE!"

Ôte tes sales pattes de moi, espèce de SALE PUTE !!! Et dans le même temps, Lauren décrocha un coup de poing au visage de Tawnee.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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