Allie et Nicole, par Annie The Slick

Vendredi 7 mars 5 07 /03 /Mars 21:55

Chapitre 23: Tatouages 1

 

Allie se réveilla avec le bras de Nicole en travers de son buste. Elle avait du mal à se souvenir de la dernière fois qu’elle avait dormi dans un lit. Est-ce que ça remontait à des semaines ? Ou bien des mois ? Elle aprécia son confort et la sensation du corps de Nicole, nue contre son dos.

 
Alors la douleur se réveilla.

 
Ses poignets la faisaient souffrir, à force d’avoir été attachés à la tête du lit et les marques sur ses fesses la cuisaient, mais le souvenir du plaisir qu’elle avait éprouvé la nuit dernière était encore plus fort que toutes les misères qu’elle pouvait ressentir.

 
À ce souvenir, son sexe se mit à mouiller.

**********************************************

Après qu’elle soit rentré à la maison, Nicole l’avait harcelé pour qu’elle lui raconte comment ça s’était passé. Elle avait tout raconté dans les détails : Maîtresse Alex et sa fille Lauren, comment elle avait été forcée à donner du plaisir à l’adolescente récalcitrante, comment elle l’avait préparée à devenir une bonne petite fiancée lesbienne. Nicole avait paru très satisfaite de sa perfomance et de la façon dont elle avait obéi à Maîtresse Alex.
Elles regagnaient la chambre pour se coucher, Allie sur le sol et Nicole dans le lit, quand Nicole l’avait arrêtée et lui avait demandé combien de femmes elle avait sucé ce jour. Habituellement elle dépassait facilement les trois imposées, arrivant même assez souvent à cinq ou six mais aujourd’hui… Le service pour lequel elle avait été vendue n’en comprenait qu’une.Nicole lui jeta un regard assassin. Allie se défendit en prétextant que ça n’était pas de sa faute, qu’elle n’avait pas eu d’autre opportunité. Le revers de la main de Nicole contre sa joue la projeta sur le sol.

— Il y a toujours une possibilité.

Elle se redressa, surplombant l’adolescente entièrement nue de toute sa hauteur. Agrippant l’anneau du collier qu’elle avait autour du cou et le tira méchament.

— Et d’après toi quelle devrait être ta punition pour avoir désobéi à la règle numéro trois ?

— Je vous en prie Maîtresse, rien. J’ai été gentille, j’ai fait mon possible pour faire tout ce qu’on me demandait.

Allie commença à pleurer. Elle s’agenouilla aux pieds de sa Maîtresse et entoura ses bras autour de ses jambes vêtues d’un superbe pantalon en soie.

— Les règles sont claires ma petite lécheuse de chatte, même si je te permets de compter l’adorable petite foufoune de Josie ce matin, il t’en manque quand même une.

Nicole adressa un sourire carnassier à son jouet préféré. Elle attrapa l’adolescente par les cheveux, s’assura que sa prise était suffisament ferme et commença à traîner la jeune fille suppliante et pleurant de toutes ses larmes à travers la chambre.

— Je pensais avoir été suffisamment claire sur les règles. Tu dois les suivre "à la lettre". Masturbation tous les matins au réveil. Épilation intégrale. Respect inconditionnel envers tes supérieures et trois chattes par jour. Tout ça est très important pour ton éducation.

Un sourire condescendant sur les lèvres, Nicole parlait lentement, détachant ses syllabes pour accentuer ses paroles, tout en tirant l’adolescente qui faisait son possible pour échapper à son châtiment.

— Tu aurais du plaider ta cause auprès de Maîtresse Alex, tu aurais du lui expliquer ta situation, je suis sûre qu’elle t’aurait autorisée à sucer une autre paire de chattes.

Elle propulsa la jeune fille par-terre. Allie s’écroula, prostrée, en sanglotant. Nicole se lécha les lèvres, Allie paraissait si vulnérable. Elle mourait d’envie de la prendre sans délai. Lentement, Nicole déboutonna son pantalon et le fit glisser sur ses jambes. Elle baissa sa culotte noire et enjamba l’adolescente en pleurs.

— Retourne-toi et agenouille-toi immédiatement !

Allie se retourna et vit sa Maîtresse au-dessus d’elle, toujours aussi majestueuse avec son entrecuisse luisant d’excitation, prête à être servie. Elle obéit rapidement et enfouit son visage entre les cuisses de sa dominatrice, léchant furieusement, espérant que si elle satisfaisait suffisamment sa Maîtresse, sa punition serait plus légère.

— Bordel, petite pute ! Hurla Nicole. — Tu sais vraiment comment bouffer une chatte maintenant.

Allie poussa sa langue la plus profondément possible au cœur de l’intimité de sa Maîtresse. Elle lécha, suça, aspira les chairs, se régala de la saveur du vagin qu’elle était forcée de vénérer. Elle mordilla le clitoris, faisant pousser un cri de bonheur à sa dominatrice au moment ou l’orgasme la submergeait. Celle-ci écrasa sa tête entre ses cuisses et s’agenouilla de part et d’autre de sa tête, la chevauchant comme s’il ne s’était agit que d’un vulgaire objet sexuel, la clouant contre le sol à l’aide de son sexe, écrasant le visage de l’adolescente, dirigeant elle-même son orgasme contre la langue de l’adolescente.

— BORDEL !! Hmmmm !!!

Elle grogna pendant que les vagues de plaisir parcouraient son corps. Elle adorait maltraiter sa petite salope soumise.

Nicole reprit lentement ses esprits et se dégagea de l’adolescente, s’étendant contre elle de façon à ce que son sexe trempé repose contre l’entrecuisse imberbe de l’adolescente. Elle prit sa tête entre ses mains et se mit à embrasser son adorable visage souillé par les sécretions. En état de choc, Allie ne se déroba pas aux baisers délicats de sa Maîtresse. Il fallut que leurs lèvres se soudent pour qu’elle rende le baiser, d’abord timidement, puis passionnément lorsque la main gauche de Nicole glisse entre leurs deux corps, puis entre ses jambes. Elle poussa un gémissement lorsque les doigts impérieux s’emparèrent de son sexe trempé.

Elle écarta ses jambes et se concentra sur les sensations incomparables que lui procurait sa Maîtresse.

— Ouais, tu y es presque ma petite, supplie-moi de te faire jouir.

Elle la pénétra, enfonçant entièrement son majeur entre les parois lubrifiées par le plaisir, écrasant le cadenas contre son clitoris.

— Adjure-moi de te faire prendre ton pied, petite salope.

Nicole s’écarta un peu, prit appui sur son coude et regarda l’adolescente fermer ses adorables yeux et commencer à gémir.

— Hmm Maîtresse, Oh ! OOh! OOH !! Maîtresse !!! Hmmmmm.

Allie releva ses jambes, mit ses mains derrière ses genoux et écarta les cuisses au maximum de ses possibilités, s’ouvrant comme un livre, faisant preuve de toute la souplesse que lui conférait son âge, livrant toute son intimité à Nicole.

— OOOHH !!! MAÎTRESSE !!! S’il vous plait ! Est-ce que je peux jouir s’il vous plait !

Nicole ne répondit pas, se contentant de continuer à pistonner lentement le sexe de l’adolescente.

— S’IL VOUS PLAIT MAITRESSE !!!! Hmmmm !!! OOOOHHHHH JE VOUS EN PRIE MAÎTRESSE !!!! HMMMMMM !!!

Nicole introduisit un deuxième doigt dans la gaine qui se contractait spasmodiquement. Un clapotis accompagnait le mouvement de ses doigts à l’intérieur du sexe détrempé.

— HHHHMMMMM !!! Maîtresse ! OOOHHHH !!! Maîtresse, MAÎTRRRESSSE !!!!!! AAAAHHHHH !!!

Et un orgasme d’une violence inouie la poussa au paroxisme du plaisir. Un orgasme qui semblait ne jamais vouloir finir ; elle attrapa les bras de sa Maîtresse et s’en servit comme point d’appui pour agiter son bassin contre les doigts qui lui donnaient ce plaisir si violent.

Nicole se s’extirpa de l’adolescente agitée de derniers soubressauts et se releva. Elle se dirigea vers l’armoire placée contre la fenêtre. Elle y prit de la corde et revint près d’Allie qui gémissait toujours. Elle s’empara de ses poignets et les attacha rapidement ensemble. L’adolescente sortit ausstôt de sa torpeur.

Maîtresse ??? Non s’il vous plait ! Je vous en prie ! permettez-moi de vous lécher encore mais ne me punissez pas ! Je ferai tout ce que vous voudrez !

Mais elle ne se débattit pas, se contentant de renifler silencieusement.

— Jeune fille, non seulement tu as enfreint la règle numéro trois en ne bouffant pas ton quota de chattes aujourd’hui, mais pour couronner le tout, tu viens de jouir sans ma permission…

Tirant sur la corde, elle la la tira jusqu’à la tête du lit et y attacha ses poignets. 

— Je pense que tu as besoin que je te rafraichisse un peu la mémoire en ce qui concerne ta condition dans ce monde.

Abandonnant l’adolescente prostrée au pied du lit, elle retourna à l’armoire devant laquelle elle resta un moment, étudiant son contenu et ignornant les plaintes d’Allie. Elle sourit en voyant le godemiché-ceinture que Betsy lui avait offert tant de semaines auparavant et l’enfila. Elle adorait ce moment. Puis elle s’empara de son instrument de coercition préféré, une cravache d’environ un mètre vingt de long, facile à manier, très cinglante qui n’occasionnait pas facilement des blessures permanentes. Elle ôta son chemisier en soie et la suspendit à la porte de l’armoire. Puis elle revint vers sa victime agenouillée, avançant à petits pas pour faire durer son plaisir, s’amusant du sexe factice qui balançait obscènement sur son bas-ventre à chaque pas.

TCHAC !

Sans un avertissement, elle abattit la cravache sur les fesses de l’adolescente.

AAAIIIEEE ! Je vous en prie, Maîtresse, dites-moi ce que je peux faire !

CLAC !!

Elle frappa à nouveau les fesses d’Allie.

— AAIIE ! AAHH !! WOUAAAHHH !

À présent, l’adolescente pleurait à chaudes larmes.

— Je crois que tu mérites dix coups pour chaque chatte que tu n’as pas sucé aujourd’hui et dix coups supplémentaires pour avoir joui sans ma permission. Pour finir je veux que tu me supplie de te fouetter à chaque coup si tu ne veux pas que je double la punition.

À ce moment, Allie avait parfaitement intégré les règles. Aussitôt, d’une petite voix, entre deux sanglots, elle supplia entre ses dents serrées :

— S’il vous plait Maîtresse cravachez-moi.

TCHAC !

— AAIIE ! UN ! S’il vous plait Maîtresse, cravachez-moi.

TCHAC !

La punition continua jusqu’à ce qu’elles aient atteint dix coups.

— C’est bien ma fille, c’était la première partie de ta punition.

Et Nicole enjamba les fesses de l’adolescente, présenta le sexe factice à l’entrée du vagin et poussa.

— Nous allons agrémenter la punition avec un petit plaisir entre chaque session. Je tiens absolument à ce que tu apprécies cette expérience puisqu’une grande partie de ta vie consiste dans les punitions, c’est la moindre des choses de la part d’une esclave.

Le sexe de l’adolescente était encore lubrifié par les manipulations de sa Maîtresse, aussi Nicole la pénétra aisément et commença à aller et venir fermement, propulsant le corps entravé de la jeune fille contre le matelas à chaque poussée.

— Souviens-toi ma fille, la prochaine fois que tu seras sur le point de jouir, demande-moi la permission auparavant, il ne faudrait pas que je sois obligée d’augmenter le nombre de coups encore une fois.

Allie s’arque-bouta dans les cordes reliant ses poignets au lit et s’offrit aux coups de reins de sa Maîtresse, accueillant le sexe factice qui la pilonnait profondément dans son sexe. À chaque poussée, elle se sentait glisser vers l’orgasme. Bientôt, elle accompagnait le mouvement en plaquant son dos contre le bas-ventre de Nicole.

— Hmmm ! Oh ! OOOH ! MMMMH ! Maîtresse… HHHMMMM !

Nicole sentit l’adolescente se tendre, son dos s’arquer.

— Je vais jouir Maîtresse, s’il vous plait… hhhmmm !

C’est le moment que Nicole choisit pour se retirer.

— Pas encore petite chienne.

Allie grogna de frustration :

— Non, s’il vous plait Maîtresse ! Continuez à me baiser !

La frustration était telle qu’elle avait encore plus arqué son dos, comme pour aller à la rencontre du plaisir qui lui était refusé. Le contact avec le bout de la cravache lui fit reprendre sa position. L’adolescente se crispa et serra les dents.

— S’il vous plait Maîtresse, cravachez-moi !

 

— Brave fille !

CLAC !

— OUAAAIIIIE !!! UN ! S’il vous plait Maîtresse, cravachez-moi.

Les larmes se remirent à couler sur les joues de l’adolescente.

— TCHAC !

 

— AIIE-AAIIE-AAAIIIE ! DEUX ! MMhh… S’il vous plait Maîtresse, cravachez-moi !

À nouveau, Nicole frappa son esclave dix fois, dix coups cinglants qui la firent hurler, avant de la prendre à nouveau en levrette, rapidement et violemment jusqu’à ce qu’elle soit sur le point de jouir. Puis, elle se retira une nouvelle fois, abandonnant la jeune fille frustrée par le vide qu’elle ressentait, la suppliant de continuer à la pénétrer avec son phallus si dur et si bon.

De la sueur ruisselait sur son dos, la douleur et la frustration d’être abandonnée au bord de l’orgasme la rendait folle, elle souhaitait que la correction reprenne aussitôt pour endurer aussi vite que possible les dix coups afin que sa Maîtresse la pénètre encore avec son gros sexe bien dur.

— Maîtresse, cravachez-moi s’il vous plait.

TCHAC !

— Un, s’il vous plait Maîtresse, cravachez-moi !

À présent, elle ne criait plus, la douleur n’était plus qu’un passage obligé vers le plaisir, chaque coup de cravache la rapprochait de l’orgasme qu’elle espérait si intensément, chaque coup la rapprochait de la pénétration du merveilleux phallus de sa Maîtresse.

TCHAC !

— Ahhh… Deux, Maîtresse. S’il vous plait cravachez-moi.

CLAC !

La douleur était un passage incontournable vers la délivrance.

— Trois, Maîtresse, s’il vous plait cravachez-moi !

TCHAC !

— Ohhh… Quatre, Maîtresse cravachez-moi s’il vous plait !

Sa délivrance.

TCHAC !

— Cinq, Maîtresse, cravachez-moi s’il vous plait !

CLAC

— Six, Maîtresse s’il vous plait cravachez-moi !

À cet instant, les marques rouges s’entrecroisaient sur son dos.

TCHAC !

— MMHHH !! … Sept, Maîtresse s’il vous plait cravachez-moi !

Elle arqua son dos.

TCHAC !

— AHHHH !! … Huit, Maîtresse s’il vous plait cravachez-moi !

CLAC !

— NEUF !! Allie cria le numéro. NEUF, MAÎTRESSE S’IL VOUS PLAIT CRAVACHEZ-MOI !

Nicole était folle de désir en se repaissant de son esclave sexuelle entravée.

CLAC !

— DIX !

Nicole jeta la cravache et s’accroupit derrière l’adolescente, la pénétrant entièrement d’un mouvement doux mais ferme. Immédiatement, elle se mit à pistonner violemment la jeune fille.
Allie hurla tant son extase était forte, de se faire empaler par sa Maîtresse.
Elle jouit presque instantannément, ses yeux roulaient dans ses orbites. Elle se mit à pendre dans ses liens, s’accrochant fermement à la corde qui la liait à la tête du lit et se concentra sur les vagues de plaisir qui parcouraient son corps à chaque aller-retour du sexe en plastique.
Puis elle s’évanouit.

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Nicole s’était endormie sans quitter le godemiché. Elle se blotit contre le dos de l’adolescente et joua délicatement avec l’un de ses tétons, lui laissant le temps de bien sentir la pression de son phallus contre le bas de ses reins. Le sexe d’Allie s’humidifia encore plus. Elle pencha sa tête en arrière vers sa Maîtresse et l’embrassa de tout son cœur, y mettant une telle fougue qu’elle finit par la réveiller complètement.

— S’il vous plait Maîtresse, pénétrez-moi encore avec votre merveilleux sexe. Quémanda-t-elle en ouvrant ses jambes pour s’offrir.

Nicole sourit :

— C’est d’accord, ma petite salope préférée, comme tu veux.

Et elle attrapa l’objet et le réinséra à l’entrée du sexe de l’adolescente, força un peu jusqu’à ce que l’épais gland en caoutchouc jusqu’à ce qu’il fasse son chemin. Elle l’enfonça d’une dizaine de centimètres et se mit à aller-et-venir délicatement. Elles continuèrent à se caliner et à faire l’amour pendant environ vingt minutes, chacune profitant de l’autre à sa manière.
Finalement, Nicole chuchotta dans son oreille :

— Est-ce que tu as apprécié ta punition la nuit-dernière, ma petite pute adorée ?

Allie avait les paupières closes.

— Oui Maîtresse, vraiment.

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Conformément à l’ordre de sa Maîtresse, Allie était agenouillée, les genoux écartés, exhibant son petit cadenas qui pendait librement le long de son sexe. Ses fiers petits seins pointaient, mettant en valeur les petits anneaux qui les ornait et, comme d’habitude, un gadget en caoutchouc obstruait son anus.

— Tu te souviens de ça ma fille ?

Nicole tendit une feuille de papier à la jeune fille nue à ses pieds.

Allie y jeta un coup d’œil. C’était le document qu’elle avait eu comme cadeau pour son anniversaire. Il y était renseigné qu’elle avait droit à un tatouage gratuit. Son cœur fit un bon. Elle avait oublié ce présent singulier. Sans quitter sa position agenouillée, elle leva les yeux vers sa Maîtresse et lui rendit le document.

— Oui Maîtresse. Répondit-elle d’une toute petite voix.

Elle souriait mais au fond de son ventre, son estomac faisait des nœuds, redoutant la journée qui l’attendait et qui venait à peine de commencer.

— Non garde-la. Finalement, je me suis décidée pour un tatouage approprié… ou deux.

Elle eut un petit sourire diabolique vers sa "pupille".

— Je t’ai pris un rendez-vous dans une demi-heure. Il faut qu’on se presse si nous ne voulons pas être en retard.

Elle se pencha, attrapa Allie par la nuque et força ses lèvres contre les siennes, embrassant passionnément sa fille-objet. Allie rendit le baiser avidement tandis que sa Maîtresse s’emparait d’un des anneaux qui pendaient à ses tétons et se mettait à jouer avec lui. Nicole rompit le baiser et se leva en tirant sur l’anneau dans le même mouvement, étirant le téton douloureusement, puis elle sortit de la cuisine. Pour Allie, cela signifiait qu’il était temps de nettoyer les restes du petit-déjeuner puis d’aller mettre les vêtements de la journée que sa Maîtresse avait choisi pour elle. L’adolescente s’empressa de mettre la vaisselle dans le lave-vaisselle et trottina, toujours nue, vers son ancienne chambre.

Elle trouva une paire de caleçons blancs très légers posés sur le lit. Un débardeur tout simple, des chaussettes blanches et une paire de chaussures de tennis. Elle commença par enfiler le caleçon. C’était un peu comme si elle ne portait rien, son sexe imberbe était presque aussi visible que s’il avait été nu, tant il était moulé par le vêtement léger. Allie se dit que sa taille était au maximum du huit-ans pour la serrer autant, sans compter que le tissu était presque transparent. Il épousait les formes de ses fesses, révelant leurs courbes à qui voudrait bien les regarder. Son caleçon descendait à peine en dessous de son entrejambe. Allie savait bien qu’il ne lui servirait à rien de discuter avec sa Maîtresse à propos de ce qu’elle était supposée porter. Après tout, pour positiver, au moins elle ne l’obligeait pas à sortir entièrement nue…
Elle enfila le mini-débardeur. Le tissu était fait dans une matière rappelant celle des bas-résilles. Ses tétons et leurs anneaux étaient clairement visibles à la lumière du jour. Elle se dépêcha de mettre les chaussettes et les chaussures.

— Allons-y petite chienne, ne soyons pas en retard.

L’adolescente s’avança sous le regard de se dominatrice qui la détaillait des pieds à la tête.

— Je te prendrai bien encore tout de suite et sur place, tu es si sexy.

Elle attira la jeune fille contre elle, forçant la jambe de son jean entre les cuisses de sa soumise et l’embrassa impérieusement sur la bouche, écrasant le piercing contre son clitoris.
Allie haleta lorsque leurs lèvres se séparèrent, Nicole ne laissa pas reprendre ses esprits et la guida hors de la maison en lui prenant la main.
Une fois dans la voiture, elle ordonna à sa soumise de se caresser à travers son caleçon.

— Je veux que tu mouilles un maximum pendant le trajet jusqu’au salon.

Allie posa sa main sur son sexe et se mit à frotter lentement le petit cadenas. À l’usage, elle avait remarqué que le meilleur moyen et aussi le plus rapide pour se donner du plaisir était de caresser le piercing qui perçait le capuchon de son clitoris. Le tirer et lui donner de petites pichenettes l’excitait énormément, quel que soit le degré d’avilissement qu’elle subissait.

— Ecarte l’empiècement de ton short et mets-toi un doigt en même temps.

 Allie s’empressa d’obéir, faisant pénétrer son index entre les tendres parois de son vagin, sans cesser de jouer avec son petit cadenas.

— Attention ! Interdiction de jouir tant que je ne t’y aurais pas autorisée.

Ouu… Ouuiii… Maîtresse. Répondit Allie.

Les manipulations auxquelles elle se livrait commençaient à la faire mouiller.

Elles arrivèrent au salon et Nicole se gara sur le parking réservé aux clients.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Mercredi 1 janvier 3 01 /01 /Jan 21:31

Chapitre 22 : Allie, prostituée pour femmes.

 

Comme d’habitude, Allie se réveilla par terre. La première chose qu’elle fit fut d’écarter les cuisses et de se mettre à se masturber, conformémént à la règle n°16. Ses fantasmes n’étaient plus axés que sur des femmes ou des filles qui se servaient de son corps de toutes les façons. Elle n’imaginait jamais un homme ou un vrai pénis. Les seuls phallus qu’elle connaissait étaient en plastique.

Elle se focalisa sur l’un de ses fantasmes préférés. Elle s’imagina attachée et forcée de lécher des femmes inconnues. Néanmoins, ça restait proche de la réalité. Elle provoqua rapidement son orgasme.

Après avoir récupéré, elle rampa en dehors de sa minuscule couverture et se leva. Ce matin-là, Nicole n’était pas seule dans son grand lit. Elle le partageait avec Josie, l’hotesse d’accueil du club de fitness. Elles dormaient toutes deux, enlacées sous la couette. Nicole passait de plus en plus de temps avec Josie et les deux femmes traitaient l’adolescente comme leur jouet sexuel. Si la jeune fille avait pu pleurer sur son sort, ça aurait été une bonne raison. Mais tout ce qu’elle ressentait en assistant à leurs ébats, était un sentiment de jalousie bizarre.

Elle s’agenouilla sur le côté du lit et demanda de sa voix la plus douce possible :

— Puis-je sucer votre minette, Maîtresse ?

Nicole grogna et s’écarta des bras de Josie.

— Mmmm… non petite esclave. Mais peut être que Josie a envie de ta langue ce matin.

Josie roula sur le côté et embrassa Nicole avant de répondre :

— Oui, ça serait merveilleux, petite Allie.

Elle repoussa la couette, exposant leurs deux corps nus, et écarta ses cuisses.

— Viens ici à quatre pattes, petite salope et lèche-moi la chatte.

Allie rampa sur le lit et s’immobilisa entre les jambes de la jeune femme. Elle se prosterna et commença à lui manger voracement l’entrecuisse. Nicole se rapprocha de sa partenaire et l’embrassa goulument, tandis que l’adolescente léchait son premier sexe de la journée.
Celle-ci eut un sentiment de triomphe en se disant qu’elle avait déjà accompli un tiers de cette obligation qu’elle avait de sucer trois sexes par jour.

— Toutefois petite chienne, dit Nicole. — Ça ne sera pas décompté de tes trois chattes journailières. Tu as déjà sucé Josie tellement souvent que ça ne compte pas. Le seul but de cette règle est d’augmenter ton expérience, afin que tu puisses goûter à quelque chose de nouveau chaque jour. Il te reste donc encore trois petites chattes bien savoureuses à débusquer aujourd’hui.

Allie en fut déçue et une petite larme coula le long de sa joue avant de gouter sur la cuisse nue de Josie. Elle continua pourtant à la mener à l’orgasme.

— MON DIEU que tu es bonne, petite chienne, lèche-moi bien à fond, espèce de sale petite lesbienne !

Et elle poussa un long feulement en jouissant. Allie en ressentit une certaine fierté. Elle était capable de satisfaire n’importe quelle femme avec beaucoup de talent, maintenant.

Josie roula sur elle-même et enlaça Nicole.

— J’adore ta petite esclave.

Elles s’embrassèrent et quittèrent le lit d’un même pas pour se diriger vers la salle de bain. Allie les suivit en traînant les pieds.

Elle dut laver les deux femmes : leurs cheveux, leurs seins tout en accordant une attention toute particulière à leurs sexes. Puis ce fut son tour, elle se frotta rapidement et se rinça. Il lui était interdit de consacrer du temps à son propre corps.

Une fois prêtes, elles se rendirent dans la cuisine et prirent leur petit-déjeuner. Allie prépara un joli plat de fruits pour ses deux Maîtresses et un bol de céréales sèches pour elle. Elle le mangea à même le sol, agenouillée aux pieds de sa Maîtresse.

À la moitié du repas, la sonnette de la porte d’entrée retentit.

— Ça doit être ta limousine, Allie. Va vite t’habiller. Je t’ai préparé des vêtements dans ta chambre.

Allie leva les yeux sur sa Maîtresse, complètement ahurie… Une limousine ?! Quelle limousine ?!

— Allez jeune fille, presse-toi un peu, tu as un rendez-vous.

D’un bond, l’adolescente se releva et trottina jusqu’à sa chambre. Elle trouva son string rouge et une paire de sandales à talons aiguilles. Elle regarda frénétiquement autour d’elle pendant qu’elle enfilait la culotte mais ne vit rien d’autre. Elle resortit torse nu et se rendit à la porte d’entrée en faisant claquer ses talons sur le sol. Sa Maîtresse l’y attendait.

— Allie ! Allez, presse-toi un peu, ma fille.

L’adolescente plaça ses bras devant sa poitrine, tentant de dissimuler ses seins nus.

— Maîtresse ?! Mais je ne peux pas sortir comme ça ! Supplia-t-elle.

— C’est exactement comme ça que tu as été présentée sur le site web, ma fille, alors maintenant tu y vas… Immédiatement !

Et elle tira l’adolescente à travers la porte d’entrée, jusqu’à la limousine où elle la poussa fermement sur le siège arrière.

Quel site web ? Se demanda l’adolescente à moitié nue, en s’asseyant à l’arrière de la gigantesque voiture. Lorsque la porte fut refermée, elle constata qu’elle ne pouvait pas voir le chauffeur, elle se consola en pensant que lui non plus ne pouvait pas la voir. Elle tenta de se calmer, effrayée et transie, pendant que la voiture se mettait en route.

En regardant à travers les vitres teintées, elle constata qu’ils quittaient la ville. Ils s’engagèrent sur l’autoroute et parcoururent la campagne. Finalement après une vingtaine de minutes au cours desquelles rien ne se passa, elle réussit à se détendre un peu et ôta ses bras de devant sa poitrine. Ses petits seins, recouverts de chair de poule, pointaient leurs tétons durs comme du bois dans l’air frais de l’habitacle.

Elle se laissa aller contre le dossier. C’était la première fois qu’elle se retrouvait livrée à elle-même. Elle se mit à pleurer silencieusement, se demandant ce qui allait encore lui arriver et comment sa Maîtresse pouvait avoir aussi peu de considération pour elle.

La limousine roula silencieusement pendant vingt autres minutes avant de quitter l’autoroute et se glisser silencieusement dans un quartier huppé de banlieue. Enfin, ils pénétrèrent dans une longue allée en graviers et s’arrêtèrent devant une superbe demeure aux dimensions impressionnantes.

Elle entendit le chauffeur descendre et le crissement de ses chaussures contre les graviers se rapprocha de sa porte tandis qu’il contournait la voiture.

Clic-clac, la porte s’ouvrit. À nouveau, Allie cacha sa poitrine derrière ses bras. Elle osa un coup d’œil honteux vers le chauffeur, mais il l’ignora.

— Pardon ? Demanda-t-elle d’une toute petite voix.

— Vas-y, sale pute. Dit-il d’un ton blasé en désignant la maison.

Choquée par le ton dédaigneux de l’homme, elle courut vers la maison, des larmes de honte embuaient ses yeux. La porte de la voiture claqua, le bruit du moteur rugit et elle la vit s’éloigner rapidement. Restant un instant immobile devant l’entrée, impressionnée et honteuse d’être dans une tenue aussi impudique, elle finit par actionner le bouton de la sonnerie, tentant par la même occasion de dissimuler sa poitrine derrière son autre bras.

Ding-dong.

Elle attendit. Comme personne ne répondait, elle se décida à sonner de nouveau, et attendit encore. Toujours pas de réponse.
Elle balança un moment, d’un pied sur l’autre, regarda autour d’elle et sonna une nouvelle fois.
Enfin, la porte d’ouvrit brusquement, la faisant sursauter. Une femme en uniforme de soubrette se tenait devant elle, dévisageant l’adolescente à moitié nue de la tête aux pieds, comme si elle cherchait à estimer à qui elle avait affaire.

— C’est pour quoi ?

Rouge de honte, Allie ne savait pas quoi dire.

— Heu… J’ai rendez-vous…

— Un moment s’il vous plait.

Et elle referma la porte au nez de l’adolescente.

Allie était choquée. Le seul bruit qu’on pouvait entendre dans le calme de ce matin d’été était celui d’une tondeuse à gazon lointaine. Elle attendit pendant ce qui lui parut être des heures avant que la porte ne s’ouvre à nouveau.

C’est alors qu’elle entendit le bruit de moteur d’une voiture retentir dans l’allée interminable qui venait de la route. Une jaguar XJ6 apparut devant la maison. Inconsciement, Allie tenta de se dissimuler dans l’embrasure de la porte d’entrée. La luxueuse voiture se rangea sur le côté de la résidence. L’adolescente entendit les portes claquer et se pencha légèrement pour apercevoir ce qui se passait. Deux femmes contournaient la maison. Elles portaient toutes les deux des tenues de tennis : Tee-shirts blancs serrés et mini-jupes blanches et riaient en échangeant des propos qu’elle ne comprit pas. À son grand soulagement, les deux femmes se dirigèrent vers l’arrière de la maison. Heureusement car elle n’aurait su quoi faire si elles s’étaient aperçues de sa présence.

— Vous devez être Allie. Lança une voix qui la fit sursauter.

Elle n’avait pas entendu la porte s’ouvrir et se retourna en dissimulant sa poitrine derrière ses bras croisés. Stupéfaite, elle se trouva face à une jolie femme brune aux yeux verts perçants qui portait un pantalon noir, une chemise blanche et un collier en or unique. Les yeux perçants de l’arrivante donnèrent à l’adolescente l’impression qu’ils allaient la pétrifier sur place. Les bras lui en tombèrent, révélant ses seins pointus aux tétons percés.

— Hmmm… Je vois que tu es vêtue comme sur la publicité, par ici jeune fille. Allie s’avança maladroitement. Dès que l’adolescente fut à portée de main, la femme se saisit de sa culotte et la tira vers le bas. Allie haleta pendant que la femme regardait sans cérémonie ce qu’elle cachait derrière son string et déclarait en souriant :

— Je ne l’aurai pas cru si je ne l’avais pas vu. Tu as vraiment un cadenas sur ton clitoris.

— Oui M’dame. Répondit timidement l’adolescente.

Elle était tellement impressionnée qu’elle ne trouva rien d’autre à dire.
La brune relâcha l’élastique de la culotte qui claqua en reprenant sa place.

— Tu dois me dire "Maîtresse" comme tu en as l’habitude, je suppose.

— Oui Maîtresse. Répondit automatiquement l’adolescente.

— Allez rentre, maintenant. Fit-elle avec un petit mouvement d’impatience de la tête.

Impressionnée par le luxe, Allie pénétra dans la demeure. Elle laissa obligemment son hôtesse lui prendre gentiment le poignet gauche et ensuite le droit. Avant même qu’elle ait pu réagir, toujours sous le coup des évênements, ses mains furent emprisonnées dans son dos par une paire de menottes.

— Nous-y voilà, exactement comme tu devrais toujours être n’est-ce pas ?

Allie tenta sans conviction de se libérer, mais, évidemment, il était trop tard. Elle baissa les yeux.

— Maintenant,  Je vais t’apprendre quelles sont tes obligations… Continua la femme en fixant un collier autour du cou de l’adolescente.

Un déclic, et une laisse complétèrent l’attirail avant qu’elle soit entrainée à travers l’entrée entièrement en marbre jusqu’à un salon luxueux. Un splendide tapis persan recouvrait entièrement le sol et une décoration somptueuse garnissait les étagères dégageant une ambiance fortunée. Allie ne pouvait rien faire pour dissimuler sa nudité. La Maîtresse de maison l’entraina jusqu’au centre de la pièce.

— A genoux !

L’adolescente s’agenouilla.

Sans un mot, la Maîtresse quitta la pièce, repartant par où elles étaient arrivées. Allie tourna la tête pour la regarder partir, mais resta agenouillée comme il lui avait ordonné, les mains attachées dans le dos et sa laisse traînant par terre devant elle.

Des voix lui parvinrent depuis l’entrée.

— Va me la chercher et ammène-la-moi-la-moi au salon, j’ai un cadeau pour elle.

Allie reconnut la voix de la brune mais elle ne put savoir à qui elle s’adressait.
La Maîtresse de maison la rejoignit en faisant claquer ses talons sur le sol en marbre.
Sans un mot, elle s’assit dans un grand fauteuil en cuir, face à l’adolescente, et attendit en l’ignorant.
La position agenouillée qu’occupait l’adolescente était inconfortable. Elle commençait à désespérer en attendant les instructions, lorsqu’elle entendit quelques éclats de voix et des bruits de pas en haut des escaliers. Puis un grand bruit retentit, comme si un grand meuble avait été retourné. Aussitôt un cri éclata, et ce fut à nouveau silencieux. Elle leva les yeux vers la brune dans le fauteuil et, pour la première fois, se sentit un peu effrayée. La Maîtresse de maison avait un sourire cruel et regardait attentivement l’entrée de la pièce d’un regard hautain dans lequel on pouvait lire un plaisir évident.
Des sons étouffés parvinrent de l’étage et une porte s’ouvrit véhiculant des bruits de lutte qui se rapprochaient en provenance des escaliers. Allie tendit la tête derrière elle, au moment même où une jeune fille chutait sur le sol à l’entrée de la pièce. Elle paraissait avoir le même âge qu’elle et était vêtue de ce qui ressemblait à un uniforme d’écolière avec une jupe plissée et des chaussettes longues. Alors qu’elle se redressait sur ses mains et se retournait, Allie entrevit pendant un court instant ses yeux marons juste avant que n’apparaissent ses tourmenteuses. Deux soubrettes et une femme blonde, impeccablement vêtue d’un tailleur chic.
Chaque servante attrapa la jeune fille par un bras afin de la remettre sur pied. L’autre femme tira sur sa cravate d’écolière et la traîna au milieu du salon.

— Alex ! Je ne le ferai pas, je vous ai dit que non. Plaida la jeune fille en s’immobilisant au centre de la pièce, devant la femme qui était assise près d’Allie.

— S’il te plait, dit la brune, — Appelle-moi maman. Et elle sourit à nouveau, mais ça n’était pas du tout un sourire de complaisance.

— Vous n’êtes pas ma maman, vous êtiez juste mariée avec mon papa. Rétorqua la jeune fille en hurlant.

— Ah jeunesse… Et elle se leva, dominant la jeune fille d’au moins une tête.

— Mettez là dans son fauteuil. Dit-elle en désignant sa droite de l’index.

La jeune fille se mit à se débattre avec vigueur, mais la femme blonde, après un sourire entendu à la Maîtresse de maison, l’attrapa vicieusement par les cheveux, la faisant crier de douleur. Les trois femmes la poussèrent, de force, sur la gauche d’Allie et l’obligèrent à prendre place sur le fauteuil. En y regardant de plus près, l’adolescente remarqua qu’il ne s’agissait pas d’un fauteuil ordinaire. Chaque accoudoir était équipé de bracelets et les pieds comportaient un système sophistiqué de fixations pour les chevilles.

— Ton père, qu’il repose en paix, était un brave homme. Il ne voulait que le bonheur de sa fille unique. Et bien, mon enfant, c’est aussi ce que je veux.

Elle ricana discrètement tandis que les deux soubrettes attachaient la jeune fille sur le fauteuil avec une aisance qui trahissait leur habitude.

— Lauren ! Lorsque tu te rendras compte que l’avenir de cette famille, ton avenir devrais-je dire, dépend entièrement de ton union avec les Cantrell, tout sera bien plus facile pour toi.

— Je ne me marrierai pas avec Tawnee ! Vous ne pouvez pas me forcer à me marier avec une fille !

— Oh mais nous pouvons vous marier de façon légale, les filles. Il suffit d’aller à Hawaii… Maintenant assez de parlotte.

Et sur ces mots, la femme blonde inséra un baîllon en plastique dans la bouche de la jeune fille.

— Ça te va comme ça Susan ?

— Oui Maîtresse. Répondit la femme blonde.

— Deshabille la… Et fais en sorte que ce soit intéressant.

— Oui Maîtresse. Répondit Susan en souriant. — Apporte-moi les ciseaux ! Ordonna-t-elle à l’une des deux servantes, la congédiant d’un geste de la main.

Lauren gémit à travers son baîllon et se débatit brièvement, puis elle se calma. Elle savait depuis longtemps que ça ne servait à rien. Elle avait été attachée sur ce fauteuil suffisamment souvent pour savoir qu’il n’y avait aucun moyen de s’en libérer.

— Maintenant, ma chérie, puisque tu refuses toujours de comprendre quelle est ta place dans cette famille. Continua la brune. — J’ai été obligée d’acheter les services d’une putain pour t’aider à mieux comprendre les choses.

Lauren regarda directement Allie et la fixa d’un regard perçant. Elle secoua légèrement la tête négativement.

— Je vais te laisser seule avec elle, pendant quelques heures. Nous verrons si tu n’as pas changé d’avis à la fin de la séance.

— Toi ! Fit-elle en se tournant vers Allie. — Ton boulot est de donner du plaisir à ma belle fille. Fais-la jouir aussi souvent et aussi fort que tu peux. Si tu échoues… Elle attrapa Allie par le menton et lui fit lever les yeux. — Alors je m’occuperai personnellement de vous deux et je t’assure que tu me supplieras d’arrêter.

— Bien Maîtresse. Répondit Allie d’une petite voix.

D’expérience, elle savait quel plaisir la brune tirerait de leur douleur.

La bonne revint et tendit une paire de ciseaux à Susan. Celle-ci s’en empara et commença à découper et arracher les vêtements de la captive. Elle se servait des ciseaux pour créer une découpe qu’elle s’empressait de déchirer avec enthousiasme en tirant à deux mains. Rapidement le corps de Lauren apparut, entièrement nu, devant les yeux d’Allie.

L’adolescente admira les seins de sa compagne d’infortune. Ils étaient plus gros que les siens qui semblaient minuscules avec leurs bonnets A. Ceux de Lauren étaient parfaits. Ils faisaient au moins une taille B, peut-être même C.
Elle ressentit le début d’une excitation. Le fait qu’elle ait les mains attachées dans le dos ne la gênait pas, au contraire. Et puis cela faisait un moment qu’elle s’y etait habituée.

La femme blonde finit de déchirer les vêtements de Lauren, puis se redressant, commença à pomper sur une pédale située sur le côté, au pied du fauteuil. Les jambes de la captive se soulevèrent en s’écartant l’une de l’autre et son bassin glissa vers l’avant du siège. La fonction de l’instrument ne faisait aucun doute. Allie comprit tout de suite qu’il était prévu pour que le sexe de la jeune fille soit intégralement accessible, sans défense.

— Toi, la pute, à toi de jouer. Ordonna la Maîtresse de maison en poussant Allie par la nuque, présentant son visage entre les cuisses écartelées de sa jeune belle-fille.

Allie rampa sur ses genoux et s’arrêta à quelques centimètres de la peau laiteuse des cuisses de la jeune fille. Elle se pencha en avant et embrassa gentiment la peau délicate de chaque côté de l’entrecuisse offert. Elle remarqua les poils duveteux, l’odeur acide et l’humidité qui luisait malgré les protestations. Elle était bien placée pour savoir que certaines réactions du corps étaient difficiles à contrôler. Les lèvres de sexuelles de la jeune fille étaient gonflées et légèrement rougies. L’adolescente se surprit à se délecter de la situation avant même d’avoir goûté le sexe de la jeune fille.

Lauren poussa un gémissement qui ressemblait clairement à un "Noooonnnn" mais Allie continua son jeu autour de l’entrecuisse moite, frottant son nez contre le duvet de pêche de ses poils pubiens. Lorsque sa langue prit le relais et se mit à titiller les alentours de la fente, elle sentit la prisonnière se contracter. Elle continua à l’agacer, prenant soin de ne jamais toucher aux lèvres sexuelles, les effleurant avec une science consommée, les frôlant avec une agilité diabolique. Jamais elle n’avait ressentit autant de bonheur à procurer du plaisir qu’à ce moment. La moiteur de l’intimité de Lauren s’accentua, se transformant en rosée, et l’odeur musquée s’intensifia.

— mmmnnnnn…

Cette fois-ci, le gémissement que poussa la prisonnière fut incompréhensible, à mi-chemin entre le refus et le plaisir.

Allie se dit qu’il était temps de goûter à l’objet de sa convoîtise. Elle souffla doucement sur la fente de la jeune fille, la faisant se cabrer dans ses liens, puis elle approcha tout doucement ses lèvres et déposa un baiser très léger sur la protubérance du clitoris.

— mmMMMPPPHHAAAaaa !!!

Ensuite, elle passa délicatement sa langue sur le clitoris de la fille, effleurant le petit muscle du bout de la langue. Le corps de Lauren se tendit comme un arc. L’adolescente sourit en se félicitant de son habilité à mener une femme à l’orgasme. Elle était sans conteste la meilleure, elle était une bonne petite salope lesbienne, sa Maîtresse serait fière d’elle.

— Visiblement, tu vaux chacun des Euros que tu m’as coûté, chaque centime d’euro. Déclara Maîtresse Alex en se penchant sur le visage de sa belle-fille et en y lisant les signes de l’orgasme qui montait à l’assaut de son corps.

Allie réunit ses lèvres autour du petit bouton et aspira la petite protubérance, la taquinant à une cadence de plus en plus rapide.
La Maîtresse de maison tendit la main vers une de ses servantes et commença à la deshabiller.

— Je n’avais pas l’intention de rester, car j’ai beaucoup de travail qui m’attend, mais je pense que je peux m’accorder quelques instants. La petite robe de la soubrette chuta sur le sol.

— Approche Coquette, regarder comment cette petite hypocrite prend sournoisement son plaisir m’a donné des idées. Viens satisfaire ta Maîtresse pendant que je regarde ma belle-fille prendre sa leçon.

Elle attira la soubrette, uniquement vêtue de son soutien gorge, sa petite culotte et ses escarpins noirs jusqu’à son fauteuil dans lequel elle se laissa aller.

— Ôte la culotte de ta Maîtresse.

Coquette s’agenouilla entre les cuisses de sa Maîtresse, dégraffa le pantalon de soie et l’abaissa, le tire-bouchonnant aux pieds d’Alex.

La brune avança un peu son bassin, écarta largement ses cuisses et tira l’empiècement en dentelle de sa culotte noire sur le côté en faisant un geste pour signifier à la soubrette qu’elle pouvait commencer à lui rendre hommage.

— Et tâche de faire un aussi bon travail que la petite pute.

La brune regarda Allie se déchaîner entre les cuisses de sa belle-fille. Elle attrapa fermement sa servante par les cheveux et pressa son visage contre son sexe sans perdre une miette du spectacle que lui offraient les deux adolescentes.

— Susan, tu peux te servir de Miranda si tu veux. Oh, ouiii, juste ici, petite chienne, oui comme ça, continue. Clama-t-elle, tandis que la soubrette se mettait à mordiller le clitoris.

— Merci Maîtresse. Répondit Susan. — Miranda ! Viens par ici, et donne-moi du plaisir.

La blonde et l’autre soubrette tombèrent dans les bras l’une de l’autre et se deshabillèrent rapidement. Elles attendaient desespérément que leur Maîresse leur accorde cette permission et elles n’avaient pas l’intention de gâcher cette opportunité.
Allie continua à œuvrer sur Lauren léchant l’intégralité de son corps, des doigts de pieds jusqu’au bout de ses doigts. Parfois, elle remontait jusqu’à son visage et embrassait ses yeux et ses joues, puis elle appuyait sa bouche contre la petite boule rouge en plastique qui obstruait sa bouche et embrassait à pleine bouche celle de la prisonnière, écrasant ses lèvres contre les siennes avec passion. Lauren rendit le baiser et leurs lèvres s’étirèrent autour de la sphère en plastique.
La Maîtresse de maison explosa dans la bouche de Coquette, elle ramena ses jambes au-dessus de sa poitrine, attrapa la tête de sa bonne à deux mains et l’écrasa contre son bas-ventre, se frottant ardemment contre la bouche de la soubrette pendant qu’elle jouissait.

— Oh mon  dieu… Mon dieu… OUIIII !!

Elle perdit presque connaissance et laissa ses jambes retomber sur le dos de la soubrette, plaquant la jeune femme contre son sexe, tandis que ses soubressauts se calmaient et qu’elle reprenait ses esprits.

— Hmmm, eh bien… Alex toussa et sembla se reprendre.

Elle se leva, rajusta sa culotte en dentelle noire, et claqua des doigts à l’attention de la soubrette.

— Rhabille-moi !

Coquette aida sa Maîtresse à remettre son pantalon noir.
Puis la brune s’approcha de sa belle-fille. La jeune fille ondulait dans ses liens. Allie redescendait en léchant le long du ventre de la jeune fille, jusqu’à son sexe sur lequel elle décida de se concentrer encore quelques instants. Avec satisfaction, elle constata que le sexe ruisselait et plongea pour en déguster le jus épicé.

— Maintenant, ma chère enfant, nous allons voir quelle chanson tu vas nous chanter lorsque je t’aurais laissé entre les mains de cette professionnelle pendant une heure.

Et sans ajouter un mot, elle se dirigea vers la sortie.

— Venez, nous nous sommes suffisament amusées et il y a du travail qui nous attend.

Elle sortit très dignement, suivie par les trois beautés, nues et échevelées.

Allie se retrouva seule avec Lauren.

— Lauren ? Murmura-t-elle.

Lauren gémit. — Mmmphhh.

— Je veux que tu aies du plaisir.

Lauren gémit à nouveau. — Mmmmmmm

Allie introduisit sa langue dans le sexe de la fille, aussi profondément que possible, appuyant fortement ses lèvres contre les chairs déliquescentes. Une décharge de plaisir cambra le dos de Lauren. Elle promena sa langue de haut en bas, l’introduisant et la retirant de l’intérieur du vagin, sucant, buvant presque, les sécretions qu’elle y trouvait. Cette fois, Lauren eut un orgasme si puissant qu’elle donna l’impression qu’elle allait arracher les fixations des bracelets qui la maintenaient sur le fauteuil.

— Est-ce que tu as aimé ? Demanda Allie en levant son visage détrempé par les sécrétions.

— Mmmph. Fut tout ce que la jeune fille put répondre, mais Allie y entendit clairement une approbation.

— Il faut que je continue, Lauren. Je ne veux pas être fouettée, je n’aime pas ça. Alors, s’il te plait, essaye d’en profiter, je ferai de mon mieux pour te donner du plaisir.

Lauren approuva de la tête et Allie recommença à la lécher. Faire jouir cette fille lui plaisait.
L’adolescente avait senti son excitation augmenter depuis le début de la séance. Elle avait essayé de s’asseoir sur ses pieds et se frotter sur ses talons, mais cela n’avait pas suffi. Elle avait besoin de quelque chose de plus concret.
Elle se releva et enjamba les jambes de Lauren, pour frotter son entrejambe contre les cuisses de la jeune fille, à travers sa culotte.Lauren releva la tête et regarda l’adolescente qui se laissait aller en se frottant convulsivement contre ses cuisses. Allie se pencha sur elle et attrapa l’un de ses tétons entre ses lèvres.

— Je n’y arrive pas Lauren, ça ne suffit pas. J’ai besoin de ta langue sur mon sexe.

Elle se releva et se replaça à côté de la prisonnière.

— Penche-toi le plus possible en avant.

Lauren obéit, écartant le plus possible sa tête du fauteuil de contention. Allie fit de même. Avec ses mains attachées dans le dos, elle ne pouvait pas faire mieux. Elle tenta de défaire la boucle qui maintenait le baîllon en place derrière la tête de Lauren.

— Un peu plus, un tout petit peu plus.

Lauren s’étira un peu plus. Enfin Allie réussit à saisir la couroie entre ses dents et à la repousser en arrière dans la boucle métalique qui la maintenait en place. Après quelques errements, elle réussit à dégager complètement la couroie. Avec un soulagement victorieux, elle libéra enfin le baîllon et Lauren le recracha.

— Merci. Dit Lauren.

Allie ne prit pas le temps de répondre, elle tentait maladroitement d’escalader le fauteuil. D’abord le pied gauche sur l’accoudoir droit, puis l’autre pied. Ensuite, elle monta à nouveau son pied gauche, cette fois sur le dossier du fauteuil et inclina son bassin vers le visage de Lauren. Son entrecuisse se trouvait maintenant tout près de la captive.

— Je t’en prie, Lauren. Il faut que je jouisse. Lèche-moi s’il te plait, je n’en peux plus.

Et elle s’accroupit un peu plus, plaçant l’empiècement de sa culotte contre le visage de la jeune fille. Lauren n’eut pas le choix. L’entrecuisse d’Allie se retrouva contre sa bouche. Elle se mit à lécher à travers le sous-vêtement.

— Aaahhh. Bon dieu… Tire ma culotte sur le côté avec tes dents, je t’en supplie.

Elle s’écarta un peu et Lauren crocheta le côté de la culotte entre ses dents et le déplaça latéralement. Le piercing d’Allie apparut soudain devant ses yeux, lui faisant pousser un petit cri de surprise. Mais Allie ne s’interrompit pas. Elle colla son sexe imberbe contre la bouche de sa compagne, incapable d’attendre plus longtemps.

Lauren commença timidement à lécher. Au début, elle était plutôt maladroite, mais petit à petit, elle y mit un  peu plus d’entrain. Au-dessus d’elle, Allie qui s’employait, tant bien que mal, à préserver son équilibre précaire ne cessa de l’encourager.

— Oouuuiiii !! VAS-Y !!!  ENCORE !!! OUUUIIIII !! Cria-t-elle en jouissant brutalement.

Son excitation était telle que son orgasme éclata dans la minute qui suivait.
Lauren continua à la lécher un moment, mais Allie avait une autre idée en tête. Avec une multitude de précautions, elle se pencha vers les cuisses de la prisonnière. Puis elle opéra une reptation de tout son corps et parvint, après de multiples efforts, à se retrouver en position de 69 avec la jeune fille. Avec les mains attachées dans le dos, ce ne fut pas facile, mais sa motivation était telle qu’elle finit par arriver à ses fins.
Avec une coopération mutuelle, les deux jeunes filles réussirent l’une et l’autre à mettre sa bouche en contact avec le sexe qui s’offrait à quelques centimètres de leur visage.

Allie avait coincé ses genoux sur le dossier du fauteuil, de chaque côté de la tête de Lauren, la coincant entre ses cuisses, et les deux filles purent laisser libre cours à leur plaisir réciproque. Elles se léchèrent et se sucèrent frénétiquement jusqu’à ce qu’elles soient terrassées par l’épuisement.

Lorsque Maitresse Alex revint, deux bonnes heures et demi plus tard, les deux filles s’étaient endormies dans la position incommode qu’elles avaient eu tant de mal à réaliser. La tête de chacune étaient encore emprisonnée entre les cuisses de l’autre et leurs deux visages étaient impregnés de sécrétions. Alex ne manqua pas de les photographier sous toutes les coutures avant de les réveiller.

******************

La porte d’entrée s’était refermé derrière Allie qui attendait sur le seuil. Elle tenait une enveloppe remplie d’argent. Il faisait sombre sans que le temps soit froid, mais comme elle avait beaucoup transpiré, la petite brise qui soufflait la fit frissonner. La limousine l’attendait. Elle descendit les escaliers d’une démarche incertaine et s’engouffra à travers la porte ouverte. Avant même qu’elle l’ait réalisé, elle avait quitté le chemin en graviers et reprit la route.
Elle était encore sous le coup des émotions de la journée et glissa inconsciemment sa main entre ses cuisses, pensant à la quarantaine de minutes qu’il restait avant d’arriver à la maison. Elle ne cessait de voir et revoir Lauren, attachée et offerte à tout ce qu’elle avait bien voulu faire subir. Elle jouit en enfonçant son majeur au plus profond de son sexe trempé.
Lorsqu’ils arrivèrent, elle avait joui quatre fois et était sur le point d’avoir un cinquième orgasme lorsque, brusquement, le chauffeur déclara avec un ton dégoutté :

— T’es arrivée, sale pute.

L’adolescente recouvrit rapidement sa nudité et quitta la voiture en courant jusqu’à la porte d’entrée. À peine avait-elle frappé, que la porte s’ouvrit.

— Ahh, Allie, j’espère que tu t’es bien amusée ? Déclara Nicole.

— Oui Maîtresse. Répondit la jeune fille en pénétrant dans la maison.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Dimanche 8 décembre 7 08 /12 /Déc 22:43

 

Chapitre 21: Allie rentre à l’école privée 2.

 

— Bonjour mesdemoiselles !

— Bonjour Madame Jones.

Dans un parfait ensemble, Allie et ses douze camarades de classe accueillirent leur professeur. L’adolescente n’était pas assise aussi confortablement que les autres élèves car elle portait son gadget anal. Cependant elle parvenait à s’habituer à sa présence devenue si habituelle. En fait, son bas-ventre et son entrefesse l’obstinaient en permanence, lui rappelant continuellement sa condition d’esclave soumise à sa Maîtresse.
L’école privée pour filles Trinité était fière du petit nombre d’élèves qu’elle affichait dans chaque classe ; cela permettait de garder une attention constante sur chaque écolière.
Leur professeur, Madame Jones, était une superbe blonde. Elle portait une paire de lunettes qui lui donnait un air très sérieux, un joli pantalon et un pull-over noir. Elle appréciait énormément son travail. Enseigner à ces jouvencelles lui apportait beaucoup de satisfaction. Parmi les différents cours qu’elle dispensait, celui-ci était son préféré : Le cours d’éducation sexuelle.

— Soyez les bienvenues dans mon cours, mesdemoiselles. Il s’agit du cours d’éducation sexuelle 2, si vous êtes enregistrées pour un autre cours, c’est le moment de le dire.

Madame Jones sourit à quelques-unes des filles qui, mal à l’aise, se tortillaient sur leur chaise.

—  Ce cours traite de l’homosexualité et particulièrement l’homosexualité féminine, ou plus communément de lesbianisme.

Un long silence se fit dans la salle.

— Pour lesquelles d’entre-vous ce terme est-il familier ?

Sans réfléchir, Allie leva le doigt. Elle réalisa aussitôt qu’elle était la seule à l’avoir fait. Toutes ses camarades de classe se tournèrent vers elle, tandis qu’elle rougissait jusqu’à la racine des cheveux.

— Oui Mademoiselle Smith, vous pouvez nous donner une explication ?

Allie se dressa lentement et fit face à son professeur.

— Une lesbienne est une femme qui est attirée par les autres femmes, elle aime avoir des rapports sexuels avec d’autres femmes ou d’autres filles et elle se sert de godemichés pour satisfaire sa partenaire. Mais l’un des principaux moyens qui lui permet de satisfaire sa ou ses partenaires est de sucer leur sexe…

Elle fut interrompue par Madame Jones.

— Merci Allie, pour cette profusion de détails.

Elle sourit en regardant l’adolescente se rasseoir avec gêne. Le reste de la classe ricana ; des histoires avaient commencé à circuler à son propos. Elles semblaient trop grossières pour être vraies, mais, quoi qu’il en soit, il était trop amusant de se moquer des nouvelles.

Les joues d’Allie s’embrasèrent et ses yeux s’écarquillèrent lorsque le mouvement qu’elle fit pour se rasseoir fut un peu trop brusque et fit naître une décharge de plaisir douloureux au creux de ses reins.

Mais l’intérêt de Madame Jones avait été excité, elle aussi avait entendu les rumeurs qui circulaient à propos de l’adolescente, et se doutait bien qu’elles ne pouvaient être réelles. Franchement, ça n’était pas possible. En tout cas, elle entendait bien tirer ça au clair.

— Maintenant Mesdemoiselles, continua-t-elle, le propos de ce cours est de vous cultiver et vous apporter des informations sur d’autres pratiques et d’autres mœurs.

Elle arpenta les rangées de tables, tournant autour d’elles, observant ses élèves derrière leurs pupitres. La plupart d’entre elles semblaient gênées par le sujet du cours, mais elle remarqua qu’Allie ne semblait éprouver aucun embarras.

— Nous allons aborder différents types de relations sexuelles, à la fois classiques et "dominantes /dominées" ainsi que d’autres. Nous verrons comment ces rapports sont traités dans les médias et l’industrie pornographique. Nous consulterons différents supports, vidéos, livres ou tout autre représentation. La moitié de votre résultat final dépendra de l’exposé que vous présenterez à la fin du trimestre. Je vous laisse le choix du sujet que vous développerez.

Elle regagna nonchalamment la tête de classe.

— Aujourd’hui, nous nous contenterons de définir les bases. Elle sourit. — Pour bien comprendre le lesbianisme, il faut, bien entendu, comprendre comment est constitué le corps de la femme.

Madame Jones s’était bien rendu compte que 50 minutes ne lui laisseraient pas suffisamment de temps pour rentrer dans les détails comme elle l’aurait souhaité, mais elle avait préparé un diaporama sous PowerPoint à l’aide des dernières photographies qu’elle avait trouvé sur Internet. Chacune des photos était spécifique. Elles montraient sans détour les parties anatomiques du corps féminin dont elle avait besoin pour son cours, et l’enseignate avait pris soin de les mettre en forme dans une mise en page érotique.
Ainsi, les élèves de sa classe pourraient consulter des photos de mamelons en gros plan, mais aussi des tétons humides, ou bien portant des traces de rouge à lèvres. Il y avait aussi des photos de sexes montrant les détails de l’anatomie féminine sur lesquelles de jolies filles écartaient leurs lèvres intimes devant l’objectif ou inséraient leur index dans un simulacre de masturbation.

 

— A la fin de l’heure, elle ralluma les lumières sur une classe d’adolescentes stupéfaites.

— Voici pour l’introduction. Demain nous aborderons les techniques de langue basiques. Voici votre programme, remarquez que votre première interrogation aura lieu dans 4 semaines, donc vous avez du pain sur la planche. Je vous suggère de choisir une partenaire d’étude car la plupart des sujets de cette matière nécessitent des travaux pratiques.

La sonnerie retentit, annonçant la fin de la journée. Les filles se levèrent et quittèrent la salle de cours sans désordre.

— Mademoiselle Smith ! Dit alors le professeur au moment où Allie allait sortir.

— Oui Madame Jones ?

 

— J’aimerais que vous me consacriez quelques instants s’il-vous-plait.

L’adolescente attendit, debout à côté de sa table, pendant que les autres élèves s’en allaient. Durant tout ce temps, Miss Jones la fixa attentivement. Une fois que la salle de classe fut vide, elle alla à la porte et la ferma à clé.

— Asseyez-vous donc, Mademoiselle.

Allie allait s’asseoir derrière son pupitre lorsque l’enseignante l’interrompit.

— Non, non, ici, sur mon bureau s’il-vous-plait.

L’adolescente s’exécuta et s’approcha du bureau sur le coin duquel elle s’assit.

— Mais non ! Jeune fille. Ici, devant moi. Autrement, comment voulez-vous que je puisse vous voir correctement ?

Allie fit glisser ses fesses sur le bureau jusqu’à ce qu’elle soit positionnée en face de Madame Jones. Elle avait les jambes croisées et n’osa plus bouger, de peur que l’enseignante puisse voir sous sa jupe. Nicole lui avait interdit de porter sa culotte et elle avait passé la journée à redouter qu’une rafale de vent soulève sa jupe et exhibe ses fesses nues à ses camarades d’école. Sans compter que Miss Jones aurait pu découvrir son gadget anal par la même occasion.

— On dirait que tu en connais un bout sur cette matière non ?

— Oui… Je veux dire non… Je veux dire… Je ne sais pas M’dame. Répondit la jeune fille en s’emmellant les pinceaux.

— Alors jeune fille ! Qu’en est-il exactement ? Tu es homosexuelle ?

Demanda Madame Jones en ôtant ses lunettes et approchant son visage à quelques centimètres d’Allie.

L’adolescente était pétrifiée. On ne lui avait jamais posé la question aussi directement que ça auparavant. Elle avala tant bien que mal sa salive et répondit comme elle y avait été conditionnée, se réfugiant derrière sa confortable condition de soumise.

— Oui. Répondit-elle d’une toute petite voix.

— Je n’ai pas entendu !

— Oui Madame, je suis homosexuelle. Et elle se mit à pleurer silencieusement, toujours assise sur le bureau de son professeur.

Madame Jones sourit et plaça son bras dans le dos de l’adolescente.

— Ok, Allie, c’est bon. Tu sais, il y a beaucoup de lesbiennes dans le monde.

Comme la jeune fille relevait la tête, elle la regarda droit dans les yeux.
Allie renifla un peu et sourit timidement. Miss Jones en profita pour l’embrasser délicatement sur les lèvres.

— Il y a beaucoup de femmes qui aiment les femmes, Allie. Beaucoup.

Elle l’embrassa à nouveau en y mettant un peu plus de passion. L’adolescente gémit sans fuir la bouche de son professeur et rendit le baiser. Elle écarta légèrement ses jambes et ne se rebella pas lorsque la femme, beaucoup plus âgée qu’elle, s’avança et se glissa entre ses genoux. Elle en profita même pour crocheter ses genoux à l’aide de ses chevilles.
Encouragée, l’institutrice se colla contre son élève et l’embrassa profondément, langoureusement.

Progressivement, la petite jupe courte d’Allie remonta sur ses cuisses tandis que la prof pressait son corps contre le sien. L’adolescente ouvrit les yeux et poussa un gémissement à travers les lèvres de Madame Jones..

— Mmnnoonn…

Mais le son qui parvint aux oreilles de la femme ressemblait plutôt à un gémissement de passion. Elle accentua sa pression contre le corps de son élève jusqu’à ce que son pantalon entre en contact avec l’entrecuisse de l’adolescente. La jupe était maintenant entièrement bouchonnée sur la taille d’Allie et ses jambes étaient fermement croisées derrière les fesses fermes de l’enseignante.

Avant que la jeune fille réagisse, Madame Jones avait déboutonné le chemiser de son élève. Elle inséra la main dans le soutien-gorge qui s’offrait à elle.

— Non, s’il-vous-plait… Protesta faiblement l’adolescente lorsqu’elle sentit la main de sa prof entrer en contact avec son petit sein à la peau douce comme celle d’un bébé.

— S’il vous plait. Non… Se défendit de plus en plus faiblement l’adolescente.

Les doigts de Madame Jones firent connaissance avec l’anneau qui transperçait la chair tendre de son téton.

— Oooooh, mais tu es une petite fille vicieuse. Souffla l’enseignante en manipulant délicatement le piercing entre le pouce et l’index.

Elle continua à embrasser l’adolescente dont les protestations perdaient en intensité. Puis elle ôta sa main du soutien-gorge de l’adolescente et la glissa sous sa jupe. Avec râvissement, elle remonta le long des cuisses découvertes et trouva le sexe nu de l’adolescente. Ses doigts entrèrent en contact avec le cadenas qui ornait la fente de la jeune fille.

— Oh mon dieu ! Mais tu es réellement une petite gouine vicieuse.

Et, joignant le geste à la parôle, du bout des doigts, elle parcourut l’intimité d’Allie dont l’humidité trahissait l’excitation. L’enseignante s’amusa étaler le jus gras sur toute la fente.

L’attouchement fit haleter l’adolescente.

— Ce que tu peux être vicieuse… Tu es complètement trempée. Dit la prof en insérant le bout de son doigt à l’intérieur du sexe offert.

Elle fit une petite halte à hauteur de la première phalange, puis rapidement elle enfonça l’intégralité de son médius dans les chairs lubrifiées de sa jeune élève.

La violence du plaisir fit pousser un grognement profond à Allie.

— MMMMhhhh !!!! Sa prof d’éducation sexuelle était en train de viioler son initimité. — Oh Mon Dieu ! Dit-elle en criant presque.

En quelques minutes seulement, Madame Jones mena expertement l’adolescente au plaisir.

Ma parole, cette petite vicieuse est vraiment excitée comme une chienne. Se dit l’enseignante.

— Maintenant, jeune fille, il faut que tu me rendes la pareille.

Elle ressortit ses doigts du sexe imberbe de son élève et les lécha consciencieusement pour les nettoyer.

— Mmmm, tu as un goût super, viens jusqu’à mon bureau s’il te plait.

Elle aida l’adolescente à se remettre tant bien que mal sur pied et la guida jusqu’à son pupitre avant de fermer la porte de la classe.

— A genoux ! Dit-elle en pointant son index sur le sol, tout près de ses pieds.

Allie s’avança dans un état second. Son chemisier était ouvert jusqu’à la taille et sa cravate défaite pendait à son cou. Elle s’agenouilla aux pieds de sa prof.

— Baisse mon pantalon, espèce de petite pute.

L’adolescente tendit les bras en se pourléchant les lèvres. Au moins ça sera décompté des trois minettes par jour que je dois sucer. Pensa-t-elle. Elle détacha la ceinture de l’enseignante, dégraffa son pantalon et, d’un geste expérimenté, l’abaissa délicatement sur les chevilles de sa prof.

Madame Jones s’assit et attendit qu’Allie ait complèment baissé son pantalon. Puis elle regarda l’adolescente ramper entre ses jambes écartées. Visiblement, c’était une position qui lui convenait.

Elle mit son index sous le menton de l’adolescente et le souleva en disant :

— Regarde-moi, jeune fille, je veux voir tes yeux pendant que tu suceras ma chatte.

Allie leva les yeux et appliqua hermétiquement sa bouche contre le sexe de sa prof. Elle se mit à lécher en se concentrant sur son clitoris.

— Oh BORDEL, que c’est bon. Dit la femme en jetant sa tête en arrière, alors que l’adolescente léchait son sexe avec gourmandise. — Mon dieu, quelle petite salope vicieuse tu fais !

Des deux mains, elle plaqua de plus en plus étroitement le visage de son élève contre son sexe, au fur et à mesure qu’elle approchait de l’orgasme.
Allie n’arrivait plus à respirer convenablement. Elle tenta d’échapper à la poigne de son enseignante qui s’était mise à frotter violemment son sexe contre son visage en poussant des gémissements de plus en plus hystériques.

— Mmmmhhhh ! Oh ouiiii !! Uuuhmmm !!! Vas-y… ENCORE !!! AAAHHHH !!!

Elle agripa brutalement les cheveux de l’adolescente et la guida sans aucune concession jusqu’à ce que la jouissance la submerge, la faisant se tordre convulsivement contre la langue de la jeune fille.
Les spasmes semblaient durer éternellement pendant qu’Allie tentait vainement d’échapper à l’étreinte qui la plaquait contre le sexe détrempé de sa prof.

Finalement, celle-ci se détendit, relâcha Allie et reprit une respiration profonde.

— C’était génial, jeune fille, il faudra qu’on recommence ça demain.

Elle se leva et renfila rapidement son pantalon, puis elle força l’adolescente à se redresser et l’embrassa passionnément. Enfin, elle claqua ses fesses nues et l’entraîna hors de la classe.

— A demain, Allie.

— Bien Madame Jones. Répondit Allie qui reboutonnait son chemisier avant de s’éloigner

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Samedi 16 novembre 6 16 /11 /Nov 23:09

Chapitre 20 : Allie rentre à l’école privée 1.

 

— C’est une école très sérieuse, vous comprenez.

Derrière son bureau, la directrice, Madame Smith, regarda sévèrement Allie à travers ses lunettes.

— Bien sûr. Répondit Nicole, assise sur une chaise à côté de l’adolescente intimidée.

— Toutes les filles qui suivent leur scolarité ici, à Trinité, respectent un code de conduite et portent un uniforme.

Elle jeta un œil inquisiteur vers elles.

— Vous avez le niveau nécessaire pour être admise, vous avez donc mon accord pour suivre nos cours.

— Merci Madame Smith,dit Nicole.

— Bien. Je pense que Tammy va pouvoir vous faire visiter l’école.

La directrice pressa un bouton sur son inter-com.

— Janet, pouvez-vous m’envoyer Tammy s’il vous plait.

Quelques instants plus tard, une petite brune semblant avoir le même âge qu’Allie se présenta à l’entrée du bureau. Pourtant, elle était plus petite et ressemblait d’avantage à une petite fille, ses petits seins semblaient à peine formés. Lorsque Nicole l’aperçut, elle ne put retenir une violente attirance envers la jeune fille. Elle imaginait aisément son sexe vierge et imberbe et la trouvait adorable dans son uniforme d’écolière, sa jupe plissée, sa chemise, ses chaussettes blanches et ses chaussures noires. Nicole se lécha les lèvres. L’uniforme était l’une des deux raisons pour lesquelles elle avait décidé de faire admettre Allie dans cette école pour filles si coûteuse. L’idée de la voir habillée en écolière tous les jours et d’abuser d’elle dans cet uniforme la séduisait énormément.

— Tammy ! Veuillez faire visiter l’école à nos invitées s’il vous plait.

— Bien Madame. Répondit la jeune fille avant d’ajouter en s’adressant à Nicole et Allie.

— Veuillez me suivre s’il vous plait.

Nicole se leva en entrainant Allie avec elle. Celle-ci avait du mal à se concentrer. Son sexe et son anus étaient empalés par les godemichés et marcher normalement lui posait beaucoup de problèmes. Bien entendu, son gadget anal était enfoncé en permanence entre ses fesses, mais lorsqu’elle avaient garé la voiture sur le parking, Nicole avait soulevé sa jupe, baissé sa culotte et inséré un godemiché d’une quinzaine de centimètres entre ses cuisses. Puis elle lui avait sourit et avait exigé qu’elle se comporte comme si de rien n’était sous peine d’être punie sévèrement une fois rentrée à la maison. Allie devait marcher tout en subissant la double pénétration. Elle se trouvait dans un état second, et ne pensait qu’à son entrecuisse tandis que Tammy les guidait jusqu’au couloir central de l’école. Si sa jupe se soulevait sur ses fesses, elle révélait l’extrémité du godemiché qui dépassait sous le cordon du string. Il y avait à peine suffisamment de tissu pour le maintenir en place à l’intérieur de son vagin. Au comble de la honte, elle devait visiter une école privée pour fille tout en subissant une double pénétration.

C’était l’entre classe et les couloirs étaient remplis de jeunes filles vêtues de leurs uniformes d’écolières. Au paradis, Nicole suivit Tammy jusqu’à la bibliothèque en se délectant du spectacle.

— En quelle classe es-tu Tammy ? Demanda Nicole en approchant de l’entrée.

— Je suis en terminale. Répondit-elle en se retournant face à la séduisante jeune femme pour lui sourire en rougissant.

— Je sais que j’ai l’air jeune mais je vous assure que je suis bien en terminale.

L’intérêt que lui portait Nicole augmenta. Elle pourrait être la parfaite candidate pour la première leçon de séduction d’Allie. Il fallait qu’elle en apprenne un peu plus sur cette fille.

Tammy leur fit visiter tous les locaux. Les halls débordaient de jeunes lycéennes. Elle leur montra la cafétéria, l’auditorium, le gymnase, la piscine et quelques classes vides. Après environ vingt minutes, Nicole demanda à Tammy où se trouvaient les toilettes.

La lycéenne les guida jusqu’aux sanitaires. Comme les cours avaient repris, ils étaient vides. Tammy s’apprêtait à attendre dehors, mais Nicole insista pour qu’elle les accompagne. La jeune fille obtempéra. Nicole sourit en admirant avec quelle spontanéité la jeune fille obéissait à cette simple directive. Pour l’instant, tout se déroulait à merveille. Elles pénétrèrent entre les portes battantes. Obsédée par les olisbos qui obstruaient ses parties intimes, Allie se contenta de suivre sa Maîtresse et l’étudiante dans les sanitaires.

— Allie, tu devrais faire pipi.

Tammy eut l’air choquée par la déclaration de Nicole. Allie se retourna et regarda Nicole avec le regard d’une petite fille pétrifié sur son visage, mais elle ne dit pas un mot et se contenta de se dandiner jusqu’aux cabinets.

Sans quitter Tammy des yeux, Nicole s’adressa à son esclave.

— Laisse la porte ouverte et fais en sorte que notre amie Tammy puisse bien voir ce que tu fais.

Complètement choquée, Tammy ne savait quoi faire. Elle resta bêtement au milieu de la salle d’eau à regarder Allie pénétrer dans une cabine et se tourner face à elles, soulever sa jupe et baisser sa culotte, exhibant son piercing avec une indécence incroyable.

La respiration de la petite brune s’accéléra.

— Et oui, elle porte un piercing à cet endroit, et aussi des anneaux à ses tétons. Peut-être qu’elle te les montrera… Plus tard…

Nicole continua de parler calmement à la lycéenne tout en continuant à avilir son esclave.

— D’habitude, je ne l’autorise pas à porter de sous-vêtements, mais aujourd’hui, il a bien fallu puisque cette petite salope a son godemiché enfoncé dans la chatte et qu’il fallait bien quelque chose pour le maintenir en place.

Nicole sourit à la jeune fille ébahie. Allie baissa les yeux en rougissant et attendit les ordres de sa Maîtresse, debout avec la culotte sur les genoux.

— Ôte donc ton gode, petite salope et montre à cette charmante jeune fille à quoi une petite salope de lesbienne en chaleur se livre à longueur de journée.

Allie retira délicatement le phallus en plastique de son sexe et le tendit à bout de bras devant elle pour le montrer à Tammy.

Au bord de la panique, la lycéenne fit mine de se diriger vers la porte de sortie, mais Nicole l’attrapa par le poignet et la tira vers elle, la maintenant fermement. Tammy se calma légèrement lorsque Nicole lui parla gentiment. Incapable de se sauver, elle laissa la jeune femme l’enlacer langoureusement.

— Tu n’es pas un peu curieuse Tammy ? Tu ne voudrais pas savoir pourquoi elle fait ça ?

Et effectivement, Tammy se demandait comment une fille pouvait s’enfoncer quelque chose comme ça entre les cuisses et ensuite se déplacer dans l’école comme si de rien n’était.

Nicole se pencha contre l’oreille de la jeune fille, elle dut se courber fortement du fait de leur différence de taille.

— Tu ne veux pas que je te montre quelque chose qui sort de l’ordinaire ? Chuchota-t-elle.

Tammy regardait Allie qui tenait toujours le godemiché à bout de bras. Nicole se félicita du comportement de sa petite soumise.

— Dis-moi ma jolie, est-ce que tu aimerais que cette petite chienne te montre quelque chose de spécial ?

Elle chuchotait langoureusement à l’oreille de la lycéenne abasourdie qui avala difficilement sa salive en acquiesçant sans vraiment s’en rendre compte.

— Mmmmouais.

Allie fut parcourue par un frisson. Elle savait que Nicole allait l’obliger à s’humilier devant cette fille, elle le savait.

Nicole enroula son bras autour de l’épaule de la lycéenne, et s’agrippa à elle pour lancer à sa soumise :

— Remonte ta culotte, petite chienne.

Allie était au bord des sanglots, elle savait que Nicole lui réservait une de ces humiliations dont elle avait le secret. C’était encore plus dur devant cette fille qui avait le même âge qu’elle et qui, par-dessus le marché, allait bientôt être une future camarade de classe. Elle était perdue, tout le monde allait savoir à quel point elle était vicieuse, une sale lesbienne vicieuse, avant même son inscription à l’école. Incapable de désobéir à sa Maîtresse, elle remonta son petit string, effrayée à l’idée de ce qui risquait de lui arriver si elle n’obéissait pas.

— Regarde bien ça, ma jolie, chuchota Nicole en ne tenant aucun compte de la détresse d’Allie.

— Pisse dans ta culotte, petite salope. Et elle eut un sourire de satisfaction lorsque Allie se plia à son caprice.

Des larmes commençant à couler sur ses joues, Allie s’assit sur la cuvette. Comment en était-elle arrivée là ? Elle détestait ça, elle voulait jute être normale, pas entrain de faire pipi dans sa culotte devant une fille de son âge qu’elle ne connaissait pas la veille.

— Et n’oublie pas de lever ta jupe comme la petite salope que tu es afin qu’on puisse bien voir comment tu souilles tes sous-vêtements.

Allie souleva sa jupe, exposant son entrecuisse à peine recouvert par la culotte à sa Maîtresse et à Tammy.

La respiration de Tammy était devenue plus rauque. Ses yeux fixaient le spectacle surréaliste qui se produisait juste devant elle. Elle vit une tache humide se former sur le devant de la culotte de l’adolescente avant de se répandre sur tout le tissu au fur et à mesure qu’Allie se pissait dessus.

Allie relâcha complètement sa vessie, elle s’était déjà soulagée devant de nombreuses femmes dans de nombreuses situations, toutes plus embarrassantes les unes que les autres. Nicole adorait l’humiliation abjecte qu’elle lui imposait à chaque fois qu’elle se souillait. Elle sentit l’urine traverser le tissu et commencer à dégouliner avec un tintement irrégulier dans les toilettes. Rapidement, sa culotte fut complètement imbibée, se teintant de jaune en adherant à son sexe. Un petit jet jaune fusa à travers le string, ressemblant à celui d’un robinet qu’on aurait placé contre le fin tissu du sous-vêtement de l’adolescente. Accablée par la honte, Allie baissa la tête.

Nicole continua à maintenir Tammy par le cou pendant que son jouet sexuel s’abandonnait honteusement à sa miction. La lycéenne était muette de stupéfaction. Elle ne savait pas quoi penser. Elle voyait une autre fille faire pipi dans sa culotte, et juste devant elle, et maintenant, elle sentait la main de la femme glisser contre ses fesses et les masser délicatement. Elle gémit légèrement. À aucun moment, ses yeux ne quittèrent la culotte souillée de l’autre salope.

— Renfile ton godemiché dans ta chatte, esclave.

Nicole avait parlé tout doucement, sans regarder Allie, chuchotant lascivement les mots dans l’oreille de Tammy. La lycéenne gémit une nouvelle fois en voyant l’adolescente réinsérer le phallus artificiel noir dans son sexe. Elle sentit Nicole soulever le devant de sa jupe et faire glisser tout doucement sa main vers sa culotte. Elle écarta les jambes pour permettre à la femme d’avoir un meilleur accès à son sexe et se mit à geindre lorsque celle-ci commença à là toucher à travers sa culotte.

— Viens jusqu’ici à quatre pattes, salope et agenouille-toi entre les jambes de Tammy. Ordonna Nicole, sans cesser de murmurer doucement dans l’oreille de la lycéenne.

Allie s’avança sur ses genoux et vint se prosterner entre les jambes de Tammy. Aussitôt, sa Maîtresse tira la culotte de la lycéenne sur le côté. Immédiatement, l’adolescente sut quoi faire, elle se pencha en avant et se mit à lécher le sexe de l’adolescente. C’était un goût musqué et un peu salé. D’une langue experte, elle s’appliqua sur sa tâche. Tout en maintenant la petite culotte de la lycéenne à sa place, Nicole se pencha sur la jeune fille et l’embrassa passionnément pendant que son esclave la léchait. Tammy se mit à gémir pendant qu’on la violait virtuellement dans les sanitaires.

Elle jouit dans la bouche d’Allie. Cette espèce de vicieuse avait pris en entier son sexe dans sa bouche et enfonçait sa langue dans son intimité aussi profondément que possible.

Tammy s’effondra dans les bras de Nicole, assommée par le plus fabuleux orgasme qu’elle eut éprouvé dans sa jeune vie. Nicole continuait à l’embrasser fougueusement et le blanc de ses yeux roula dans ses orbites. Allie continuait à la lécher, elle savait par expérience qu’elle ne devait pas s’arrêter avant que sa Maîtresse l’y autorise.

Finalement, Nicole s’écarta de la lycéenne.

— Tu peux t’arrêter, ma petite lécheuse de chatte.

Elle lui tapota la tête comme elle l’aurait fait s’il s’était agit d’un animal.

— Je sais bien que tu adores sucer les chattes, mais, à mon avis, elle n’en peut plus.

La jeune femme relâcha la jupette de la jeune fille, sans réajuster sa culotte. Le sexe de la lycéenne resta dévoilé par la culotte rabattue sur le côté. Puis elle s’empara d’une des mains de la jeune fille, saisit un stylo dans son sac et y écrivit : Allie 01 23 45 67 89.

Elles aidèrent la jeune fille à reprendre ses esprits. Celle-ci ne cessait de gémir et ses yeux papillonnaient sans discontinuer.

Tammy était encore sous le coup de son orgasme lorsque Nicole guida les deux adolescentes des sanitaires. Elle se dit que cette école privée allait être parfaite pour sa petite esclave.

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Dimanche 22 septembre 7 22 /09 /Sep 21:58

Chapitre 19 : Une danse innatendue.

 

Nicole se tenait devant la porte d’entrée. Elle portait son pantalon noir en cuir serré et son chemisier blanc, attendant Allie pour partir. Finalement, l’adolescente sortit de la chambre. Elle portait une robe rouge très légère maintenue par de petites lanières aux épaules. C’était preque transparent et ça ne recouvrait qu’à peine ses fesses. En plus de la robe indécente, elle portait des escarpins rouges avec des talons d’une dizaine de centimètres et de petites chaussettes en dentelle assorties à son string. Le moindre mouvement exhibait son derrière à tous et à toutes.

— Allez, petite salope, n’oublies-pas que tu es l’attraction principale de cette fête. Dit-elle en flattant la croupe d’Allie qui passait la porte.

Elles traversèrent le centre ville en direction du Campus universitaire.

— Où va-t-on Maîtresse ?

Allie s’inquietait beaucoup de ce qui allait lui arriver cet après-midi. Nicole ne lui avait rien dit, seulement qu’elles allaient à une fête.

— Du calme, du calme, petite salope.

Nicole eut un sourire carnassier et lâcha à nouveau une bribe d’information.

— Bien, tu sais que tu doit gagner de l’argent pour me rembourser ta dette, alors je t-ai proposé à un groupe universitaire. Je leur ai vendu un strip-tease. 500 €, pas mal pour environ deux heures non ? Et puis on pourra peut-être leur proposer quelques extras quand ce sera terminé.

Les yeux d’Allie s’écarquillèrent.

— Mais je ne peux pas faire ça. Dit-elle d’une petite voix effrayée.

— Bien sûr que si, j’ai tout arrangé. Ne t’inquiète pas, je serai là et je ne laisserai pas un seul de ces horribles garçons en chaleur te faire quoi que ce soit.

Nicole eut un sourire diabolique.

— En tout cas rien que je n’aurai pu te faire moi-même.

Le visage d’Allie devint pâle comme un linge. Durant les dernières semaines de sa vie, Nicole lui avait tout fait subir. Elle l’avait humiliée, l’avait obligée à lécher un nombre incalculable de sexes féminins, l’avait pénétrée par tous ses trous, l’avait forcée à tourner dans une séance de photos porno, l’avait attachée et livrée en patûre à un groupe de quinze femmes pour son anniversaire. Qu’allait-il lui arriver maintenant ? L’adolescente était vraiment effrayée.
Elles quittèrent l’autoroute et entrèrent dans le campus, se dirigeant directement vers les chambres d’étudiants.

Elle se garèrent dans une allée derrière les batiments et Nicole alla frapper à une porte latérale. Elle tenait fermement Allie par la main et l’adolescente frissonnait dans la fraicheur de la nuit, se tenant debout à côté de sa Maîtresse qui la dominait d’une bonne tête. Ses tétons pointaient à travers le tissu fin de la robe. Un souffle de vent souleva sa robe. Elle avait l’impression d’être nue et se sentait complètement exposée.

La porte s’ouvrit sur trois jeunes filles. Deux blondes et une brune qui se tenaient dans l’entrée en pull et Jean. Chacune d’entre elles tenait une biere dans sa main.

— C’est pourquoi ? Demanda la jolie petite blonde qui venait d’ouvrir la porte.

Nicole désigna du doigt sa soumise qui tentait de dissimuler son indécence et déclara :

— C’est la strip-teaseuse, elle a été louée par l’association des étudiantes de l’internat.

— Loupé. Vous êtes bien à l’association, mais c’est un garçon que nous avons loué pour le strip-tease de cette nuit.

— Zut, mon assistante a dû faire une erreur.

Bien entendu, la prétendue assistante n’existait pas et le plan de Nicole se déroulait exactement comme prévu. Il ne lui restait qu’à convaincre les filles d’accepter qu’Allie remplace le garçon.

— Ecoutez, voilà ce que je peux faire : Samedi prochain, je vous fournirai un stip-teaseur gratuitement. Mais, en attendant, qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire d’elle ?

Nicole pointa avec mépris son index, en direction d’Allie, par-dessus son épaule.

— Sa nuit était déjà organisée autour de ce spectacle, et il est trop tard pour lui trouver une autre soirée. Et vous les filles ! Vous ne voulez pas voir son spectacle ? Vous ne vous demandez pas ce que les garçons aiment chez nous ?

Puis, en chuchotant :

— Elle a un corps de rêve et, en plus, elle préfère les filles.

— Je ne sais pas. Attendez ici, on va demander aux autres.

Et les trois filles refermèrent la porte, abandonnant Nicole et son esclave dans le froid. Allie frissonna.

Dès qu’elles furent seules, l’adolescente s’approcha du dos de Nicole et attrapa son bras.

— Maîtresse, je ne peux pas me deshabiller devant ces filles. S’il vous plait, ne m’y obligez pas.

— N’importe quoi ! Tu n’es qu’une petite chienne en chaleur et tu t’en tireras très bien. Tu n’as qu’à imaginer que tu tentes de me séduire. Et elle ajouta d’un ton glacial qui fit frissonner l’adolescente de plus belle. — Et si ça ne fonctionne pas, souviens-toi bien que je te fouetterai jusqu’au sang si tu n’arrives pas à exciter toutes ces filles.

Les trois jolies jeunes filles revinrent.

— Vous pouvez nous promettre un strip-teaseur gratuit pour la semaine prochaine ?

— Le meilleur que je trouverai.

— C’est d’accord, vous pouvez la faire rentrer.

Nicole attrapa la sono portative que portait Allie et entraina son esclave à travers l’entrée. L’adolescente n’arrivait pas à y croire, comment pouvait-elle être devenue une strip-teaseuse lesbienne ?

Nicole l’abandonna au milieu du vestibule, à côté de la salle télévision et alla saluer ses clientes.

— Je sais que vous vous-attendez à un spectacle super sexy ce soir, alors j’en ai un pour vous. Je vous présente Allie la salope !

Elle appuya sur bouton de la stéréo et une musique tonitruante s’egrena à travers les hauts-parleurs au rythme des percussions sensuelles du morceau.

Puis elle glissa sa tête dans l’entrebaillement de la porte derrière elle et dit :

— Magne-toi esclave, tes admiratrices t’attendent avec impatience.

Elle garda la porte ouverte, ne laissant aucun autre choix à Allie que d’obéir. La jeune fille pénétra dans la pièce et fut accueillie par un concert de sifflets. Les étudiantes avaient consommé quelques verres en attendant le spectacle et, même si elles avaient attendu "Un strip-teaseur", elles accueillaient tout de même l’adolescente avec enthousiasme.
Une fois au milieu de la pièce qui faisait office de salle-télévision, elle commença à se contorsionner lascivement au rythme des basses qui faisaient vibrer le foyer. Elle faisait glisser voluptueusement ses mains sur son corps et à travers ses cheveux. Elle tournoyait sur elle-même et fit virevolter l’arrière de sa mini-jupe, ce qui lui valut quelques acclamations supplémentaires. Visiblement, les spectatrices appréciaient beaucoup.

Allie tenta de faire taire ses sentiments et d’oublier qu’elle s’exhibait devant une assemblée d’étudiantes en chaleur dont certaines étaient à peine plus âgées qu’elle. Un instant, sa conscience lui dicta de stopper tout et de s’enfuir en courant mais elle sentit le regard perçant de Nicole sur son dos, et la musique l’aida à oublier ces véléités de rebellion. De plus en plus impudique, elle continua à danser devant les trente filles.

La musique vida son esprit et elle se concentra sur le rythme, oubliant sa misérable condition. Une sorte de transe s’empara d’elle et elle se mit à onduler en prenant des pauses de plus en plus provocantes.

Ennivrée par la musique, elle dansa et tournoya en faisant glisser ses mains sur sa poitrine, massant ses petits seins dont les pointes étaient dures comme du bois. Brusquement, elle fit face à la foule et exhiba l’un d’entre eux, provoquant un concert de sifflements. L’adolescente en profita pour exhiber l’autre avant de pivoter sur elle-même, cachant son impudicité à l’assemblée surchauffée. Toujours de dos, elle fit glisser ses bretelles sur ses épaules et cacha sa poitrine derrière ses bras, avant de faire à nouveau face à ses spectatrices, les provocant de façon obscène, faisant glisser sa langue sur ses lèvres brillantes.
Puis elle écarta largement ses bras, fit glisser sa petite robe le long de son corps et découvrit son derrière à peine voilé par le string incrusté entre ses cuisses.

Elle oublia jusqu’à sa propre identité et s’identifia entièrement à son nouveau rôle. C’était comme si elle assistait à l’exhibition impudique d’une adolescente obscène et vicieuse qui lui ressemblait. Elle perdait peu à peu le contrôle de son corps, mais eut quand même la présence d’esprit de sourire en s’exhibant de plus belle.

Leur faisant face, elle commença à se pavaner, cachant ses petits seins nus derrière ses deux mains. Elle se contorsiona devant l’une des filles qui étaient au premier rang, une jolie petite blonde aux yeux bleus, s’accroupit devant elle et fit glisser très lentement ses mains, dévoilant une petite partie de sa gorge devant les yeux ébahis de l’étudiante qui s’écarquillèrent dès qu’elle entrevit les piercing.

— Oh mon dieu ! s’exlama la jeune fille alors qu’Allie se redressait et exhibait sa poitrine à la totalité des spectatrices.

— Elle a des piercing !

— Regardez ses tétons !

— Des anneaux !

Les exclamation fusaient, tandis que toutes les filles pouvaient remarquer la présence des petits anneaux qui traversaient les tétons. Elle regarda autour d’elle et vit que quelques unes des jeunes filles commençaient à respirer plus rapidement, visibement impressionnées par son exhibition. Un mélange d’odeurs de transpiration et de musc vint chatouiller ses narines. Un immense sentiment de fierté l’envahit lorsqu’elle réalisa l’impact qu’elle avait sur ces filles. Cette constatation ne l’aurait jamais effleurée quelques semaines plus tôt, mais aujourd’hui, elle en était fière. Elle réalisa qu’elle était en train de devenir la petite salope lesbienne que Nicole voulait qu’elle soit.

Elle se déplaça vers une autre des filles du premier rang. C’était une jolie rouquine et Allie ne pouvait empêcher ses yeux de se fixer ses magnifiques jambes mises en valeur par son pantalon en jean. Elle semblait vraiment captivée par le spectacle. L’adolescente s’approcha d’elle et ondula lascivement devant elle pendant un moment avant de se pencher sur elle, laissant ses cheveux recouvrir complètement le visage de la fille, plaçant ses seins à quelques centimètres de son nez.

— Est-ce que tu aimes mon odeur ? Chuchota-t-elle doucement à l’étudiante.

Elle fit quelques pas en arrière avant de revenir à la charge, effleurant le plus délicatement possible son nez avec le bout de ses seins. Elle chuchota à nouveau dans son oreille.

— Est-ce que tu mouilles ?

Elle sentit la respiration de la fille s’accélérer contre la chair humide de ses seins.

Puis, reproduisant les mêmes gestes, elle plaça fermement son décolleté contre le visage de la petite rousse, attrapant cette fois ci sa nuque pour rafermir sa position et écrasa le visage de la fille contre sa poitrine sans que celle-ci n’ait un seul geste de refus.

— J’ai envie de lécher ta petite foufoune.

Puis elle relâcha la tête de la fille et regagna le centre de la pièce en se contorsionnant de plus belle. Les autres acclamaient sa performance et se moquaient ouvertement de la petite rousse. Elle s’appelait Sue.

Elle baissa la lanière de sa culotte sur ses fesses, la laissant pendre par la ficelle du string prise entre les deux globes parfaitements ronds. Des spectatrices tendaient leurs mains vers elle désespérant de pouvoir toucher l’adorable fessier. Puis elle se mit à faire onduler son petit derrière poussant ses admiratrices au paroxysme de la frustration.

Se tournant face à elles, elle tira sur l’empiècement de sa culotte tout en jouant avec l’un de ses seins. Elle baissa les yeux et jeta un regard sur son sexe glabre, fit un clin d’œil au groupe d’étudiantes et relâcha l’élastique qui vint claquer sur son pubis en reprenant sa place.
Elle pivota à nouveau sur ses talons, présenta son dos à la foule et baissa lentement son string jusqu’à mi-cuisse. Puis elle leur fit face, exhibant son pubis imberbe, exposant sa fente mutilée par le petit bijou qui transperçait la peau délicate.

Toutes les filles se mirent à pousser des cris en aperçevant le piercing.

— Quelle salope !

— Waow, ça a dû lui faire mal.

— Oh mon dieu !

La culotte à mi-cuisses, Allie continua à danser un long moment, exhibant nettement son pubis tout lisse, sous lequel le petit bijou rebondissait à chaque mouvement de rein. Elle dansa un moment devant une petite blonde qui semblait presque plus jeune qu’elle, se redressa devant elle, écarta un peu ses jambes et lui dit :

— Baisse-le chérie.

La fille avala difficilement sa salive, mais ne fit pas un geste. Allie dut se pencher en avant et attraper la main de la jeune fille pour la placer sur le string minuscule étiré entre ses jambes écartées. Alors elle referma ses cuisses sur la main de la petite blonde et serra fortement. Les autres filles l’acclamèrent alors que la jeune fille gigotait et tentait de retirer sa main. L’adolescente s’empara fermement du poignet de la fille et fit remonter la main récalcitrante jusqu’à son bas-ventre. À nouveau, elle serra, se régalant du contact des petits doigts contre son sexe humide. Puis elle se mit à agiter son bassin d’avant en arrière, approchant petit à petit de l’orgasme. La fille était au bord de la panique. Cette espèce de salope de strip-teaseuse lesbienne se donnait du plaisir contre ses doigts devant toutes ses copines, et le pire était qu’elle commençait, elle aussi, à ressentir une certaine excitation. Les yeux clos, au bord de l’inconscience, Allie imaginait le regard de toutes ces filles braqué sur elle pendant qu’elle s’approchait à grands pas de l’orgasme. Cela la fit jouir avec une violence inhabituelle.

La musique s’interrompit et Allie relâcha la main de la fille. Elle fit un pas en arrière, se retourna, et quita entièrement sa culotte, donnant à l’assemblée un aperçu de son derrière admirable et elle se pencha en avant, procurant une vue imprenable de son sexe et ses lèvres trempées à la jolie petite blonde. Elle lui jeta son string et se dirigea d’un pas nonchalant vers la porte d’entrée sous un tonnerre d’applaudissements. Avant de sortir, elle eut le temps d’apercevoir la petite blonde tenir sa culotte du bout des doigts et la jeter derrière elle. Plusieurs filles se précipitèrent pour s’en emparer. Après une brève empoignade, l’une d’entre elles tendit fièrement à bout de bras le tissu rouge et humide déclenchant les applaudissements de ses copines.

Restée seule avec les étudiantes, Nicole s’avança vers le centre de la pièce et leur demanda si elles voulaient prolonger la représentation. Un concert d’approbations lui répondit.

Nicole alla ouvrir la porte et la fit revenir dans la salle de spectacle.

— Allie la salope est la meilleure suceuse de chattes de la ville. Je sais que vous êtes toutes hétéros les filles mais c’est votre seule et unique chance de l’essayer. Pour un petit billet de 50 Euros par tête, ou par chatte devrais-je dire, elle sucera toutes celles qui voudront l’essayer.

Allie se tenait à côté d’elle, entièrement nue. Elle attrapa la manche de Nicole et chuchota à son oreille :

— Je ne peux pas faire ça.

Nicole ignora ses plaintes.

— Si quelqu’un peut nous trouver un lit, on va pouvoir commencer.

Rapidement, plusieurs filles les précédèrent dans la grande bâtisse. Nicole trainait son esclave entièrement nue à travers la maison et la plupart des étudiantes les suivaient. Elles arrivèrent dans une chambre et Nicole y poussa l’adolescente.

— Ok, ma petite pute lesbienne, ça devrait nous rapporter environ 1000 € supplémentaires. Je pense qu’il y en a une trentaine qui sont intéressées. Si tu en suces une toutes les 10-15 minute, ça devrait se finir vers 4 heures du matin et nous pourrons être à la maison vers 5 heures.

Allie se résigna à son sort.

— Ok. Maintenant, à genoux devant le lit et je te les envoie une par une.

L’adolescente obéit et Nicole sortit dans le couloir pour organiser quelque peu la file d’attente.
La première fille à passer la porte était la jolie blonde qui leur avait ouvert la porte. Une fois la porte fermée, elle se débarrassa de son pantalon et sa culotte, s’assit devant Allie et écarta ses cuisses. Allie s’inclina entre ses jambes et commença à lécher son premier sexe de la soirée.

-------------------------

Elle n’eut pas fini avant six heures du matin, 50 des étudiantes s’étaient décidées soit pour un essai, soit parce qu’elles avaient déjà des tendances homosexuelles. Allie était exténuée. Nicole la coucha dans le lit et la recouvrit avec une couverture. Puis elle descendit au rez-de-chaussée pour prendre un petit-déjeuner avec les étudiantes.
Allie resta étendue dans le lit, nue, négligée, le visage souillé par les sécrétions de ses 50 clientes et s’endormit comme une masse.

Lorsqu’il fut enfin temps de rentrer, elles ne purent trouver les vêtements d’Allie. Une des étuidantes lui prêta un sweatshirt qui ne couvrait qu’à peine ses fesses.

Lorsque l’adolescente se fut assise dans la BMW de sa Maîtresse, elle s’endormit aussitôt sur le siège passager. Son sweatshirt s’était soulevé, Nicole eut une vue imprenable sur le sexe de l’adolescente pendant tout le voyage de retour. Elle était au paradis, Allie était vraiment la parfaite petite esclave dont elle avait rêvé.

Nicole avait aussi donné son numéro à certaines des filles qu’elles venaient de rencontrer. Elle espérait ainsi qu’elle pourrait prostituer Allie occasionellement. Cette gamine allait lui rapporter encore pas mal d’argent, c’était sûr.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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