Comme d’habitude, Allie se réveilla par terre. La première chose qu’elle fit fut d’écarter les cuisses et de se mettre à se masturber, conformémént à la règle n°16. Ses fantasmes n’étaient plus axés que sur des femmes ou des filles qui se servaient de son corps de toutes les façons. Elle n’imaginait jamais un homme ou un vrai pénis. Les seuls phallus qu’elle connaissait étaient en plastique.
Elle se focalisa sur l’un de ses fantasmes préférés. Elle s’imagina attachée et forcée de lécher des femmes inconnues. Néanmoins, ça restait proche de la réalité. Elle provoqua rapidement son orgasme.
Après avoir récupéré, elle rampa en dehors de sa minuscule couverture et se leva. Ce matin-là, Nicole n’était pas seule dans son grand lit. Elle le partageait avec Josie, l’hotesse d’accueil du club de fitness. Elles dormaient toutes deux, enlacées sous la couette. Nicole passait de plus en plus de temps avec Josie et les deux femmes traitaient l’adolescente comme leur jouet sexuel. Si la jeune fille avait pu pleurer sur son sort, ça aurait été une bonne raison. Mais tout ce qu’elle ressentait en assistant à leurs ébats, était un sentiment de jalousie bizarre.
Elle s’agenouilla sur le côté du lit et demanda de sa voix la plus douce possible :
— Puis-je sucer votre minette, Maîtresse ?
Nicole grogna et s’écarta des bras de Josie.
— Mmmm… non petite esclave. Mais peut être que Josie a envie de ta langue ce matin.
Josie roula sur le côté et embrassa Nicole avant de répondre :
— Oui, ça serait merveilleux, petite Allie.
Elle repoussa la couette, exposant leurs deux corps nus, et écarta ses cuisses.
— Viens ici à quatre pattes, petite salope et lèche-moi la chatte.
Allie rampa sur le lit et s’immobilisa entre les jambes de la jeune femme. Elle se prosterna et commença à lui manger voracement l’entrecuisse. Nicole se rapprocha
de sa partenaire et l’embrassa goulument, tandis que l’adolescente léchait son premier sexe de la journée.
Celle-ci eut un sentiment de triomphe en se disant qu’elle avait déjà accompli un tiers de cette obligation qu’elle avait de sucer trois sexes par jour.
— Toutefois petite chienne, dit Nicole. — Ça ne sera pas décompté de tes trois chattes journailières. Tu as déjà sucé Josie tellement souvent que ça ne compte pas. Le seul but de cette règle est d’augmenter ton expérience, afin que tu puisses goûter à quelque chose de nouveau chaque jour. Il te reste donc encore trois petites chattes bien savoureuses à débusquer aujourd’hui.
Allie en fut déçue et une petite larme coula le long de sa joue avant de gouter sur la cuisse nue de Josie. Elle continua pourtant à la mener à l’orgasme.
— MON DIEU que tu es bonne, petite chienne, lèche-moi bien à fond, espèce de sale petite lesbienne !
Et elle poussa un long feulement en jouissant. Allie en ressentit une certaine fierté. Elle était capable de satisfaire n’importe quelle femme avec beaucoup de talent, maintenant.
Josie roula sur elle-même et enlaça Nicole.
— J’adore ta petite esclave.
Elles s’embrassèrent et quittèrent le lit d’un même pas pour se diriger vers la salle de bain. Allie les suivit en traînant les pieds.
Elle dut laver les deux femmes : leurs cheveux, leurs seins tout en accordant une attention toute particulière à leurs sexes. Puis ce fut son tour, elle se frotta rapidement et se rinça. Il lui était interdit de consacrer du temps à son propre corps.
Une fois prêtes, elles se rendirent dans la cuisine et prirent leur petit-déjeuner. Allie prépara un joli plat de fruits pour ses deux Maîtresses et un bol de céréales sèches pour elle. Elle le mangea à même le sol, agenouillée aux pieds de sa Maîtresse.
À la moitié du repas, la sonnette de la porte d’entrée retentit.
— Ça doit être ta limousine, Allie. Va vite t’habiller. Je t’ai préparé des vêtements dans ta chambre.
Allie leva les yeux sur sa Maîtresse, complètement ahurie… Une limousine ?! Quelle limousine ?!
— Allez jeune fille, presse-toi un peu, tu as un rendez-vous.
D’un bond, l’adolescente se releva et trottina jusqu’à sa chambre. Elle trouva son string rouge et une paire de sandales à talons aiguilles. Elle regarda frénétiquement autour d’elle pendant qu’elle enfilait la culotte mais ne vit rien d’autre. Elle resortit torse nu et se rendit à la porte d’entrée en faisant claquer ses talons sur le sol. Sa Maîtresse l’y attendait.
— Allie ! Allez, presse-toi un peu, ma fille.
L’adolescente plaça ses bras devant sa poitrine, tentant de dissimuler ses seins nus.
— Maîtresse ?! Mais je ne peux pas sortir comme ça ! Supplia-t-elle.
— C’est exactement comme ça que tu as été présentée sur le site web, ma fille, alors maintenant tu y vas… Immédiatement !
Et elle tira l’adolescente à travers la porte d’entrée, jusqu’à la limousine où elle la poussa fermement sur le siège arrière.
Quel site web ? Se demanda l’adolescente à moitié nue, en s’asseyant à l’arrière de la gigantesque voiture. Lorsque la porte fut refermée, elle constata qu’elle ne pouvait pas voir le chauffeur, elle se consola en pensant que lui non plus ne pouvait pas la voir. Elle tenta de se calmer, effrayée et transie, pendant que la voiture se mettait en route.
En regardant à travers les vitres teintées, elle constata qu’ils quittaient la ville. Ils s’engagèrent sur l’autoroute et parcoururent la campagne. Finalement après une vingtaine de minutes au cours desquelles rien ne se passa, elle réussit à se détendre un peu et ôta ses bras de devant sa poitrine. Ses petits seins, recouverts de chair de poule, pointaient leurs tétons durs comme du bois dans l’air frais de l’habitacle.
Elle se laissa aller contre le dossier. C’était la première fois qu’elle se retrouvait livrée à elle-même. Elle se mit à pleurer silencieusement, se demandant ce qui allait encore lui arriver et comment sa Maîtresse pouvait avoir aussi peu de considération pour elle.
La limousine roula silencieusement pendant vingt autres minutes avant de quitter l’autoroute et se glisser silencieusement dans un quartier huppé de banlieue. Enfin, ils pénétrèrent dans une longue allée en graviers et s’arrêtèrent devant une superbe demeure aux dimensions impressionnantes.
Elle entendit le chauffeur descendre et le crissement de ses chaussures contre les graviers se rapprocha de sa porte tandis qu’il contournait la voiture.
Clic-clac, la porte s’ouvrit. À nouveau, Allie cacha sa poitrine derrière ses bras. Elle osa un coup d’œil honteux vers le chauffeur, mais il l’ignora.
— Pardon ? Demanda-t-elle d’une toute petite voix.
— Vas-y, sale pute. Dit-il d’un ton blasé en désignant la maison.
Choquée par le ton dédaigneux de l’homme, elle courut vers la maison, des larmes de honte embuaient ses yeux. La porte de la voiture claqua, le bruit du moteur rugit et elle la vit s’éloigner rapidement. Restant un instant immobile devant l’entrée, impressionnée et honteuse d’être dans une tenue aussi impudique, elle finit par actionner le bouton de la sonnerie, tentant par la même occasion de dissimuler sa poitrine derrière son autre bras.
Ding-dong.
Elle attendit. Comme personne ne répondait, elle se décida à sonner de nouveau, et attendit encore. Toujours pas de réponse.
Elle balança un moment, d’un pied sur l’autre, regarda autour d’elle et sonna une nouvelle fois.
Enfin, la porte d’ouvrit brusquement, la faisant sursauter. Une femme en uniforme de soubrette se tenait devant elle, dévisageant l’adolescente à moitié nue de la
tête aux pieds, comme si elle cherchait à estimer à qui elle avait affaire.
— C’est pour quoi ?
Rouge de honte, Allie ne savait pas quoi dire.
— Heu… J’ai rendez-vous…
— Un moment s’il vous plait.
Et elle referma la porte au nez de l’adolescente.
Allie était choquée. Le seul bruit qu’on pouvait entendre dans le calme de ce matin d’été était celui d’une tondeuse à gazon lointaine. Elle attendit pendant ce qui lui parut être des heures avant que la porte ne s’ouvre à nouveau.
C’est alors qu’elle entendit le bruit de moteur d’une voiture retentir dans l’allée interminable qui venait de la route. Une jaguar XJ6 apparut devant la maison. Inconsciement, Allie tenta de se dissimuler dans l’embrasure de la porte d’entrée. La luxueuse voiture se rangea sur le côté de la résidence. L’adolescente entendit les portes claquer et se pencha légèrement pour apercevoir ce qui se passait. Deux femmes contournaient la maison. Elles portaient toutes les deux des tenues de tennis : Tee-shirts blancs serrés et mini-jupes blanches et riaient en échangeant des propos qu’elle ne comprit pas. À son grand soulagement, les deux femmes se dirigèrent vers l’arrière de la maison. Heureusement car elle n’aurait su quoi faire si elles s’étaient aperçues de sa présence.
— Vous devez être Allie. Lança une voix qui la fit sursauter.
Elle n’avait pas entendu la porte s’ouvrir et se retourna en dissimulant sa poitrine derrière ses bras croisés. Stupéfaite, elle se trouva face à une jolie femme brune aux yeux verts perçants qui portait un pantalon noir, une chemise blanche et un collier en or unique. Les yeux perçants de l’arrivante donnèrent à l’adolescente l’impression qu’ils allaient la pétrifier sur place. Les bras lui en tombèrent, révélant ses seins pointus aux tétons percés.
— Hmmm… Je vois que tu es vêtue comme sur la publicité, par ici jeune fille. Allie s’avança maladroitement. Dès que l’adolescente fut à portée de main, la femme se saisit de sa culotte et la tira vers le bas. Allie haleta pendant que la femme regardait sans cérémonie ce qu’elle cachait derrière son string et déclarait en souriant :
— Je ne l’aurai pas cru si je ne l’avais pas vu. Tu as vraiment un cadenas sur ton clitoris.
— Oui M’dame. Répondit timidement l’adolescente.
Elle était tellement impressionnée qu’elle ne trouva rien d’autre à dire.
La brune relâcha l’élastique de la culotte qui claqua en reprenant sa place.
— Tu dois me dire "Maîtresse" comme tu en as l’habitude, je suppose.
— Oui Maîtresse. Répondit automatiquement l’adolescente.
— Allez rentre, maintenant. Fit-elle avec un petit mouvement d’impatience de la tête.
Impressionnée par le luxe, Allie pénétra dans la demeure. Elle laissa obligemment son hôtesse lui prendre gentiment le poignet gauche et ensuite le droit. Avant même qu’elle ait pu réagir, toujours sous le coup des évênements, ses mains furent emprisonnées dans son dos par une paire de menottes.
— Nous-y voilà, exactement comme tu devrais toujours être n’est-ce pas ?
Allie tenta sans conviction de se libérer, mais, évidemment, il était trop tard. Elle baissa les yeux.
— Maintenant, Je vais t’apprendre quelles sont tes obligations… Continua la femme en fixant un collier autour du cou de l’adolescente.
Un déclic, et une laisse complétèrent l’attirail avant qu’elle soit entrainée à travers l’entrée entièrement en marbre jusqu’à un salon luxueux. Un splendide tapis persan recouvrait entièrement le sol et une décoration somptueuse garnissait les étagères dégageant une ambiance fortunée. Allie ne pouvait rien faire pour dissimuler sa nudité. La Maîtresse de maison l’entraina jusqu’au centre de la pièce.
— A genoux !
L’adolescente s’agenouilla.
Sans un mot, la Maîtresse quitta la pièce, repartant par où elles étaient arrivées. Allie tourna la tête pour la regarder partir, mais resta agenouillée comme il lui avait ordonné, les mains attachées dans le dos et sa laisse traînant par terre devant elle.
Des voix lui parvinrent depuis l’entrée.
— Va me la chercher et ammène-la-moi-la-moi au salon, j’ai un cadeau pour elle.
Allie reconnut la voix de la brune mais elle ne put savoir à qui elle s’adressait.
La Maîtresse de maison la rejoignit en faisant claquer ses talons sur le sol en marbre.
Sans un mot, elle s’assit dans un grand fauteuil en cuir, face à l’adolescente, et attendit en l’ignorant.
La position agenouillée qu’occupait l’adolescente était inconfortable. Elle commençait à désespérer en attendant les instructions, lorsqu’elle entendit quelques
éclats de voix et des bruits de pas en haut des escaliers. Puis un grand bruit retentit, comme si un grand meuble avait été retourné. Aussitôt un cri éclata, et ce fut à nouveau silencieux. Elle
leva les yeux vers la brune dans le fauteuil et, pour la première fois, se sentit un peu effrayée. La Maîtresse de maison avait un sourire cruel et regardait attentivement l’entrée de la pièce
d’un regard hautain dans lequel on pouvait lire un plaisir évident.
Des sons étouffés parvinrent de l’étage et une porte s’ouvrit véhiculant des bruits de lutte qui se rapprochaient en provenance des escaliers. Allie tendit la tête
derrière elle, au moment même où une jeune fille chutait sur le sol à l’entrée de la pièce. Elle paraissait avoir le même âge qu’elle et était vêtue de ce qui ressemblait à un uniforme d’écolière
avec une jupe plissée et des chaussettes longues. Alors qu’elle se redressait sur ses mains et se retournait, Allie entrevit pendant un court instant ses yeux marons juste avant que
n’apparaissent ses tourmenteuses. Deux soubrettes et une femme blonde, impeccablement vêtue d’un tailleur chic.
Chaque servante attrapa la jeune fille par un bras afin de la remettre sur pied. L’autre femme tira sur sa cravate d’écolière et la traîna au milieu du
salon.
— Alex ! Je ne le ferai pas, je vous ai dit que non. Plaida la jeune fille en s’immobilisant au centre de la pièce, devant la femme qui était assise près d’Allie.
— S’il te plait, dit la brune, — Appelle-moi maman. Et elle sourit à nouveau, mais ça n’était pas du tout un sourire de complaisance.
— Vous n’êtes pas ma maman, vous êtiez juste mariée avec mon papa. Rétorqua la jeune fille en hurlant.
— Ah jeunesse… Et elle se leva, dominant la jeune fille d’au moins une tête.
— Mettez là dans son fauteuil. Dit-elle en désignant sa droite de l’index.
La jeune fille se mit à se débattre avec vigueur, mais la femme blonde, après un sourire entendu à la Maîtresse de maison, l’attrapa vicieusement par les cheveux, la faisant crier de douleur. Les trois femmes la poussèrent, de force, sur la gauche d’Allie et l’obligèrent à prendre place sur le fauteuil. En y regardant de plus près, l’adolescente remarqua qu’il ne s’agissait pas d’un fauteuil ordinaire. Chaque accoudoir était équipé de bracelets et les pieds comportaient un système sophistiqué de fixations pour les chevilles.
— Ton père, qu’il repose en paix, était un brave homme. Il ne voulait que le bonheur de sa fille unique. Et bien, mon enfant, c’est aussi ce que je veux.
Elle ricana discrètement tandis que les deux soubrettes attachaient la jeune fille sur le fauteuil avec une aisance qui trahissait leur habitude.
— Lauren ! Lorsque tu te rendras compte que l’avenir de cette famille, ton avenir devrais-je dire, dépend entièrement de ton union avec les Cantrell, tout sera bien plus facile pour toi.
— Je ne me marrierai pas avec Tawnee ! Vous ne pouvez pas me forcer à me marier avec une fille !
— Oh mais nous pouvons vous marier de façon légale, les filles. Il suffit d’aller à Hawaii… Maintenant assez de parlotte.
Et sur ces mots, la femme blonde inséra un baîllon en plastique dans la bouche de la jeune fille.
— Ça te va comme ça Susan ?
— Oui Maîtresse. Répondit la femme blonde.
— Deshabille la… Et fais en sorte que ce soit intéressant.
— Oui Maîtresse. Répondit Susan en souriant. — Apporte-moi les ciseaux ! Ordonna-t-elle à l’une des deux servantes, la congédiant d’un geste de la main.
Lauren gémit à travers son baîllon et se débatit brièvement, puis elle se calma. Elle savait depuis longtemps que ça ne servait à rien. Elle avait été attachée sur ce fauteuil suffisamment souvent pour savoir qu’il n’y avait aucun moyen de s’en libérer.
— Maintenant, ma chérie, puisque tu refuses toujours de comprendre quelle est ta place dans cette famille. Continua la brune. — J’ai été obligée d’acheter les services d’une putain pour t’aider à mieux comprendre les choses.
Lauren regarda directement Allie et la fixa d’un regard perçant. Elle secoua légèrement la tête négativement.
— Je vais te laisser seule avec elle, pendant quelques heures. Nous verrons si tu n’as pas changé d’avis à la fin de la séance.
— Toi ! Fit-elle en se tournant vers Allie. — Ton boulot est de donner du plaisir à ma belle fille. Fais-la jouir aussi souvent et aussi fort que tu peux. Si tu échoues… Elle attrapa Allie par le menton et lui fit lever les yeux. — Alors je m’occuperai personnellement de vous deux et je t’assure que tu me supplieras d’arrêter.
— Bien Maîtresse. Répondit Allie d’une petite voix.
D’expérience, elle savait quel plaisir la brune tirerait de leur douleur.
La bonne revint et tendit une paire de ciseaux à Susan. Celle-ci s’en empara et commença à découper et arracher les vêtements de la captive. Elle se servait des ciseaux pour créer une découpe qu’elle s’empressait de déchirer avec enthousiasme en tirant à deux mains. Rapidement le corps de Lauren apparut, entièrement nu, devant les yeux d’Allie.
L’adolescente admira les seins de sa compagne d’infortune. Ils étaient plus gros que les siens qui semblaient minuscules avec leurs bonnets A. Ceux de Lauren
étaient parfaits. Ils faisaient au moins une taille B, peut-être même C.
Elle ressentit le début d’une excitation. Le fait qu’elle ait les mains attachées dans le dos ne la gênait pas, au contraire. Et puis cela faisait un moment qu’elle
s’y etait habituée.
La femme blonde finit de déchirer les vêtements de Lauren, puis se redressant, commença à pomper sur une pédale située sur le côté, au pied du fauteuil. Les jambes de la captive se soulevèrent en s’écartant l’une de l’autre et son bassin glissa vers l’avant du siège. La fonction de l’instrument ne faisait aucun doute. Allie comprit tout de suite qu’il était prévu pour que le sexe de la jeune fille soit intégralement accessible, sans défense.
— Toi, la pute, à toi de jouer. Ordonna la Maîtresse de maison en poussant Allie par la nuque, présentant son visage entre les cuisses écartelées de sa jeune belle-fille.
Allie rampa sur ses genoux et s’arrêta à quelques centimètres de la peau laiteuse des cuisses de la jeune fille. Elle se pencha en avant et embrassa gentiment la peau délicate de chaque côté de l’entrecuisse offert. Elle remarqua les poils duveteux, l’odeur acide et l’humidité qui luisait malgré les protestations. Elle était bien placée pour savoir que certaines réactions du corps étaient difficiles à contrôler. Les lèvres de sexuelles de la jeune fille étaient gonflées et légèrement rougies. L’adolescente se surprit à se délecter de la situation avant même d’avoir goûté le sexe de la jeune fille.
Lauren poussa un gémissement qui ressemblait clairement à un "Noooonnnn" mais Allie continua son jeu autour de l’entrecuisse moite, frottant son nez contre le duvet de pêche de ses poils pubiens. Lorsque sa langue prit le relais et se mit à titiller les alentours de la fente, elle sentit la prisonnière se contracter. Elle continua à l’agacer, prenant soin de ne jamais toucher aux lèvres sexuelles, les effleurant avec une science consommée, les frôlant avec une agilité diabolique. Jamais elle n’avait ressentit autant de bonheur à procurer du plaisir qu’à ce moment. La moiteur de l’intimité de Lauren s’accentua, se transformant en rosée, et l’odeur musquée s’intensifia.
— mmmnnnnn…
Cette fois-ci, le gémissement que poussa la prisonnière fut incompréhensible, à mi-chemin entre le refus et le plaisir.
Allie se dit qu’il était temps de goûter à l’objet de sa convoîtise. Elle souffla doucement sur la fente de la jeune fille, la faisant se cabrer dans ses liens, puis elle approcha tout doucement ses lèvres et déposa un baiser très léger sur la protubérance du clitoris.
— mmMMMPPPHHAAAaaa !!!
Ensuite, elle passa délicatement sa langue sur le clitoris de la fille, effleurant le petit muscle du bout de la langue. Le corps de Lauren se tendit comme un arc. L’adolescente sourit en se félicitant de son habilité à mener une femme à l’orgasme. Elle était sans conteste la meilleure, elle était une bonne petite salope lesbienne, sa Maîtresse serait fière d’elle.
— Visiblement, tu vaux chacun des Euros que tu m’as coûté, chaque centime d’euro. Déclara Maîtresse Alex en se penchant sur le visage de sa belle-fille et en y lisant les signes de l’orgasme qui montait à l’assaut de son corps.
Allie réunit ses lèvres autour du petit bouton et aspira la petite protubérance, la taquinant à une cadence de plus en plus rapide.
La Maîtresse de maison tendit la main vers une de ses servantes et commença à la deshabiller.
— Je n’avais pas l’intention de rester, car j’ai beaucoup de travail qui m’attend, mais je pense que je peux m’accorder quelques instants. La petite robe de la soubrette chuta sur le sol.
— Approche Coquette, regarder comment cette petite hypocrite prend sournoisement son plaisir m’a donné des idées. Viens satisfaire ta Maîtresse pendant que je regarde ma belle-fille prendre sa leçon.
Elle attira la soubrette, uniquement vêtue de son soutien gorge, sa petite culotte et ses escarpins noirs jusqu’à son fauteuil dans lequel elle se laissa aller.
— Ôte la culotte de ta Maîtresse.
Coquette s’agenouilla entre les cuisses de sa Maîtresse, dégraffa le pantalon de soie et l’abaissa, le tire-bouchonnant aux pieds d’Alex.
La brune avança un peu son bassin, écarta largement ses cuisses et tira l’empiècement en dentelle de sa culotte noire sur le côté en faisant un geste pour signifier à la soubrette qu’elle pouvait commencer à lui rendre hommage.
— Et tâche de faire un aussi bon travail que la petite pute.
La brune regarda Allie se déchaîner entre les cuisses de sa belle-fille. Elle attrapa fermement sa servante par les cheveux et pressa son visage contre son sexe sans perdre une miette du spectacle que lui offraient les deux adolescentes.
— Susan, tu peux te servir de Miranda si tu veux. Oh, ouiii, juste ici, petite chienne, oui comme ça, continue. Clama-t-elle, tandis que la soubrette se mettait à mordiller le clitoris.
— Merci Maîtresse. Répondit Susan. — Miranda ! Viens par ici, et donne-moi du plaisir.
La blonde et l’autre soubrette tombèrent dans les bras l’une de l’autre et se deshabillèrent rapidement. Elles attendaient desespérément que leur Maîresse leur
accorde cette permission et elles n’avaient pas l’intention de gâcher cette opportunité.
Allie continua à œuvrer sur Lauren léchant l’intégralité de son corps, des doigts de pieds jusqu’au bout de ses doigts. Parfois, elle remontait jusqu’à son visage
et embrassait ses yeux et ses joues, puis elle appuyait sa bouche contre la petite boule rouge en plastique qui obstruait sa bouche et embrassait à pleine bouche celle de la prisonnière, écrasant
ses lèvres contre les siennes avec passion. Lauren rendit le baiser et leurs lèvres s’étirèrent autour de la sphère en plastique.
La Maîtresse de maison explosa dans la bouche de Coquette, elle ramena ses jambes au-dessus de sa poitrine, attrapa la tête de sa bonne à deux mains et l’écrasa
contre son bas-ventre, se frottant ardemment contre la bouche de la soubrette pendant qu’elle jouissait.
— Oh mon dieu… Mon dieu… OUIIII !!
Elle perdit presque connaissance et laissa ses jambes retomber sur le dos de la soubrette, plaquant la jeune femme contre son sexe, tandis que ses soubressauts se calmaient et qu’elle reprenait ses esprits.
— Hmmm, eh bien… Alex toussa et sembla se reprendre.
Elle se leva, rajusta sa culotte en dentelle noire, et claqua des doigts à l’attention de la soubrette.
— Rhabille-moi !
Coquette aida sa Maîtresse à remettre son pantalon noir.
Puis la brune s’approcha de sa belle-fille. La jeune fille ondulait dans ses liens. Allie redescendait en léchant le long du ventre de la jeune fille, jusqu’à son
sexe sur lequel elle décida de se concentrer encore quelques instants. Avec satisfaction, elle constata que le sexe ruisselait et plongea pour en déguster le jus épicé.
— Maintenant, ma chère enfant, nous allons voir quelle chanson tu vas nous chanter lorsque je t’aurais laissé entre les mains de cette professionnelle pendant une heure.
Et sans ajouter un mot, elle se dirigea vers la sortie.
— Venez, nous nous sommes suffisament amusées et il y a du travail qui nous attend.
Elle sortit très dignement, suivie par les trois beautés, nues et échevelées.
Allie se retrouva seule avec Lauren.
— Lauren ? Murmura-t-elle.
Lauren gémit. — Mmmphhh.
— Je veux que tu aies du plaisir.
Lauren gémit à nouveau. — Mmmmmmm
Allie introduisit sa langue dans le sexe de la fille, aussi profondément que possible, appuyant fortement ses lèvres contre les chairs déliquescentes. Une décharge de plaisir cambra le dos de Lauren. Elle promena sa langue de haut en bas, l’introduisant et la retirant de l’intérieur du vagin, sucant, buvant presque, les sécretions qu’elle y trouvait. Cette fois, Lauren eut un orgasme si puissant qu’elle donna l’impression qu’elle allait arracher les fixations des bracelets qui la maintenaient sur le fauteuil.
— Est-ce que tu as aimé ? Demanda Allie en levant son visage détrempé par les sécrétions.
— Mmmph. Fut tout ce que la jeune fille put répondre, mais Allie y entendit clairement une approbation.
— Il faut que je continue, Lauren. Je ne veux pas être fouettée, je n’aime pas ça. Alors, s’il te plait, essaye d’en profiter, je ferai de mon mieux pour te donner du plaisir.
Lauren approuva de la tête et Allie recommença à la lécher. Faire jouir cette fille lui plaisait.
L’adolescente avait senti son excitation augmenter depuis le début de la séance. Elle avait essayé de s’asseoir sur ses pieds et se frotter sur ses talons, mais
cela n’avait pas suffi. Elle avait besoin de quelque chose de plus concret.
Elle se releva et enjamba les jambes de Lauren, pour frotter son entrejambe contre les cuisses de la jeune fille, à travers sa culotte.Lauren releva la tête et
regarda l’adolescente qui se laissait aller en se frottant convulsivement contre ses cuisses. Allie se pencha sur elle et attrapa l’un de ses tétons entre ses lèvres.
— Je n’y arrive pas Lauren, ça ne suffit pas. J’ai besoin de ta langue sur mon sexe.
Elle se releva et se replaça à côté de la prisonnière.
— Penche-toi le plus possible en avant.
Lauren obéit, écartant le plus possible sa tête du fauteuil de contention. Allie fit de même. Avec ses mains attachées dans le dos, elle ne pouvait pas faire mieux. Elle tenta de défaire la boucle qui maintenait le baîllon en place derrière la tête de Lauren.
— Un peu plus, un tout petit peu plus.
Lauren s’étira un peu plus. Enfin Allie réussit à saisir la couroie entre ses dents et à la repousser en arrière dans la boucle métalique qui la maintenait en place. Après quelques errements, elle réussit à dégager complètement la couroie. Avec un soulagement victorieux, elle libéra enfin le baîllon et Lauren le recracha.
— Merci. Dit Lauren.
Allie ne prit pas le temps de répondre, elle tentait maladroitement d’escalader le fauteuil. D’abord le pied gauche sur l’accoudoir droit, puis l’autre pied. Ensuite, elle monta à nouveau son pied gauche, cette fois sur le dossier du fauteuil et inclina son bassin vers le visage de Lauren. Son entrecuisse se trouvait maintenant tout près de la captive.
— Je t’en prie, Lauren. Il faut que je jouisse. Lèche-moi s’il te plait, je n’en peux plus.
Et elle s’accroupit un peu plus, plaçant l’empiècement de sa culotte contre le visage de la jeune fille. Lauren n’eut pas le choix. L’entrecuisse d’Allie se retrouva contre sa bouche. Elle se mit à lécher à travers le sous-vêtement.
— Aaahhh. Bon dieu… Tire ma culotte sur le côté avec tes dents, je t’en supplie.
Elle s’écarta un peu et Lauren crocheta le côté de la culotte entre ses dents et le déplaça latéralement. Le piercing d’Allie apparut soudain devant ses yeux, lui faisant pousser un petit cri de surprise. Mais Allie ne s’interrompit pas. Elle colla son sexe imberbe contre la bouche de sa compagne, incapable d’attendre plus longtemps.
Lauren commença timidement à lécher. Au début, elle était plutôt maladroite, mais petit à petit, elle y mit un peu plus d’entrain. Au-dessus d’elle, Allie qui s’employait, tant bien que mal, à préserver son équilibre précaire ne cessa de l’encourager.
— Oouuuiiii !! VAS-Y !!! ENCORE !!! OUUUIIIII !! Cria-t-elle en jouissant brutalement.
Son excitation était telle que son orgasme éclata dans la minute qui suivait.
Lauren continua à la lécher un moment, mais Allie avait une autre idée en tête. Avec une multitude de précautions, elle se pencha vers les cuisses de la
prisonnière. Puis elle opéra une reptation de tout son corps et parvint, après de multiples efforts, à se retrouver en position de 69 avec la jeune fille. Avec les mains attachées dans le dos, ce
ne fut pas facile, mais sa motivation était telle qu’elle finit par arriver à ses fins.
Avec une coopération mutuelle, les deux jeunes filles réussirent l’une et l’autre à mettre sa bouche en contact avec le sexe qui s’offrait à quelques centimètres de
leur visage.
Allie avait coincé ses genoux sur le dossier du fauteuil, de chaque côté de la tête de Lauren, la coincant entre ses cuisses, et les deux filles purent laisser libre cours à leur plaisir réciproque. Elles se léchèrent et se sucèrent frénétiquement jusqu’à ce qu’elles soient terrassées par l’épuisement.
Lorsque Maitresse Alex revint, deux bonnes heures et demi plus tard, les deux filles s’étaient endormies dans la position incommode qu’elles avaient eu tant de mal à réaliser. La tête de chacune étaient encore emprisonnée entre les cuisses de l’autre et leurs deux visages étaient impregnés de sécrétions. Alex ne manqua pas de les photographier sous toutes les coutures avant de les réveiller.
******************
La porte d’entrée s’était refermé derrière Allie qui attendait sur le seuil. Elle tenait une enveloppe remplie d’argent. Il faisait sombre sans que le temps soit
froid, mais comme elle avait beaucoup transpiré, la petite brise qui soufflait la fit frissonner. La limousine l’attendait. Elle descendit les escaliers d’une démarche incertaine et s’engouffra à
travers la porte ouverte. Avant même qu’elle l’ait réalisé, elle avait quitté le chemin en graviers et reprit la route.
Elle était encore sous le coup des émotions de la journée et glissa inconsciemment sa main entre ses cuisses, pensant à la quarantaine de minutes qu’il restait
avant d’arriver à la maison. Elle ne cessait de voir et revoir Lauren, attachée et offerte à tout ce qu’elle avait bien voulu faire subir. Elle jouit en enfonçant son majeur au plus profond de
son sexe trempé.
Lorsqu’ils arrivèrent, elle avait joui quatre fois et était sur le point d’avoir un cinquième orgasme lorsque, brusquement, le chauffeur déclara avec un ton
dégoutté :
— T’es arrivée, sale pute.
L’adolescente recouvrit rapidement sa nudité et quitta la voiture en courant jusqu’à la porte d’entrée. À peine avait-elle frappé, que la porte s’ouvrit.
— Ahh, Allie, j’espère que tu t’es bien amusée ? Déclara Nicole.
— Oui Maîtresse. Répondit la jeune fille en pénétrant dans la maison.
Novembre 2024 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | ||||||||
4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | ||||
11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | ||||
18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | ||||
25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 | |||||
|