Les malheurs de Carole, par Alexis

Mercredi 25 janvier 3 25 /01 /Jan 20:50

Chers lecteurs et lectrices.

 

Vous venez de lire le dernier chapitre publié à ce jour de mes "malheurs".

 

Vous avez aimé? Vous imaginez déjà la suite de mon incarcération, de celle de ma mère et de la réeducation de ma soeur? Prenez la plume et envoyer vos récits pour publication! Ma mère, moi-même et ma pauvre soeur emmenée de force par ses féroces gardiennes sommes  prêtes à toutes les aventures! Lachez-vous!

 

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Mercredi 25 janvier 3 25 /01 /Jan 20:48

Chapitre 6: Mère et soeur mises sous tutelle

 

Coupée du monde pendant un mois, je n'avais plus eu de nouvelle de ma mère, mon père et de ma soeur avant que ma perverse belle-soeur ne m'en donne pour me torturer. J'étais tout de même surprise de ne pas les voir me rendre visite dès l'autorisation des visites.

 

J'appris par la suite par  ma mère et ma soeur que c'était du au fait que ma condamnation avait déclenché une enquête de moralité de « routine » sur mes proches dont elles avaient fait les frais.

 

Trois semaines après mon incarcération, l'enquête terminée, elles furent convoquées devant le juge. La même femme qui m'avait condamnée sans pitié.

 

« Madame, Mademoiselle, après une incarcération d'une femme pour immoralité caractérisée, la législation impose dorénavant une enquête obligatoire sur les proches de la délinquante. Votre mari s'en sort plutôt bien, avec un simple avertissement pour défaut de surveillance, mais en ce qui vous concerne Madame, le rapport est accablant! »

 

Ma mère blémit. Ses pires craintes se concrétisaient. Elle était parfaitement consciente des dangers qu'elle courait avec la nouvelle législation. Elle pouvait être accusée de défaillance et être sanctionnée. Pensant avoir affaire à un homme, elle avait donc revêtue un petit tailleurs beige mettant en valeur son opulente poitrine, son cul rebondi aux larges hanches et ses cuisses bien pleines. En effet, âgée de 45 ans, ma mère était toujours une superbe femme qui attirait les regards de la gente masculine. Toujours pour faire bonne impression, ma soeur avait revêtu sa plus belle tenue d'école, et s'était mise en valeur par un maquillage discret. Ma mère avait juste veillé à raccourcir très légèrement la jupe plissée bleue marine et à resserrer le chemisier blanc de façon à dévoiler un peu des cuisses qui commençaient à promettre et à laisser deviner une poitrine déjà bien fournie. Bref, du haut de ses 18 ans, ma soeur ne pouvait pas ne pas émouvoir un juge même mal disposé! D'autant qu'avec sa peau de nacre, ses yeux verts et ses cheveux bruns, elle contrastait magnifiquement avec les cheveux blonds, les yeux bleus et la peau halée de ma mère. Comme « a mère me l'avouera plus tard: « s'il avait fallu faire une petite gâterie pour acheter un mâle en manque, nous n'aurions pas hésité une seconde! Cela n'aurait pas été cher payé!». Mais elles n'en eurent pas l'occasion!

 

« Danielle . . . je peux vous appeler Danielle? », demanda la juge avec le sourire.

 

Ma mère n'était évidemment pas en position de refuser quoi que ce soit et opina du chef.

 

« Bien. . . cette enquête fait en effet clairement apparaître que si votre fille Carole en était à cet état de déchéance morale c'est entièrement du fait de l'éducation déplorable qu'elle a reçue de votre part! »

 

« Je vous assure Mme Le Juge que ma fille n'avait jamais eu de problème avant sa condamnation », dit ma mère d'une toute petite voix.

 

« Le problème n'est pas là! Le problème est que l'éducation que vous avez dispensée est totalement à contre courant des principes nouveaux fixés pour l'éducation des femmes: vous avez fait preuve d'un laxisme total! Tous les témoignages le confirme! Même son petit ami, Luc, et sa meilleure amie, Emmanuelle, après avoir essayé de minimiser les faits ont du l'avouer! Jamais de punition corporelle! Pas un stage de rééducation! Comment vouliez vous en faire une femme respectable?! . . . Vous comprendrez donc que pour essayer de préserver votre seconde fille, je sois obligée de la placer dans un internat d'accueil! Je vous rassure: celui-ci est homologué par le ministère de la moralité et lui dispensera une éducation présentant toutes les garanties de conformité aux principes gouvernementaux! Votre fille sera ainsi placée dans une école spécialisée pour les jeunes filles dont l'éducation doit être surveillée! »

 

A ces annonces, ma soeur éclata en sanglots.

 

« Oh non Madame, je vous en supplie, je ne veux pas être séparée de ma mère! »

 

« Je suis désolée ma petite Janice, mais c'est inévitable. Je te rassure, régulièrement une inspectrice te rendra visite pour vérifier que l'on te dispense une éducation sans reproche! »

 

Ma mère était effondrée. Mais il fallait faire la part du feu, sauver ce qui pouvait l'être.

 

« Je comprends cette mesure de précaution », convint-elle. « je pourrai la voir selon quelle période? »

 

« Pas durant la durée du placement! Seulement une fois que l'école pourra garantir que son éducation n'a pas été vérolée! »

 

A nouveau ma mère accusa le coup.

 

Le juge lui présenta un document.

 

« Le placement peut-être prononcé d'office ou vous pouvez y consentir. Dans ce 2ème cas, cet acte de bonne volonté sera retenu à votre décharge évidemment! »

 

Résignée, ma mère signa, sans lire.

 

Le juge appuya sur une sonnette.

 

« Parfait, étant donné cet acte de contrition, je ne vous condamne pas à une peine ferme. Mais je suis contrainte de vous placer en détention préventive le temps du placement de votre fille, pour sa sécurité! J'espère seulement que ce placement ne se prolongera pas outre mesure, car évidemment en cas de défaut d'éducation constaté par l'école, les placements sont prolongé d'office! »

 

Deux femmes en uniforme entrèrent alors et se placèrent de chaque côté de ma mère.

 

Celle-ci devint blanche comme un linge et se releva comme un ressort.

 

« Ce n'est pas possible! », s'écria t-elle.

 

Les deux gardiennes lui saisirent les bras, les replia dans le dos et lui passèrent les menottes. Affolée, ma mère se débattit. Une des gardienne lui décocha une claque retentissante.

 

« On se calme salope! », hurla t-elle avant de la plaquer sur le bureau de la juge.

 

Une des gardienne la lâcha et revint avec une grande barre de métal qu'elle plaça sur les épaules de ma mère. Lui enlevant la paire de menotte, elle fixa ensuite ses poignets à la barre à l'aide de sangles de cuir attachées à la barre, pendant que sa collègue maintenait leur victime.

 

Elle prit une seconde barre à laquelle elle fixa ses chevilles. Puis une 3ème pour fixer les 2 barres précédentes. Enfin, lui fixant un collier de cuir autour du cou, elle rattacha celui-ci à la barre qui lui descendait dans le dos. Cela contraint ma mère à rejeter les épaules en arrière et fit ainsi encore plus ressortir ses seins.

 

« La malheureuse étouffe comme ça! », lança une des 2 femmes en constatant que la poitrine de ma mère était complètement comprimée par ses vêtements.

 

Sans prévenir, les 2 femmes se précipitèrent alors sur elle et lui arrachèrent son tailleur, son fin chemisier et son soutien gorge, mettant ainsi à l'air les seins de ma mère et dévoilant les larges aréoles pailles.

 

« Quelques jours de mitard vont te calmer pouffiasse! », lança une des gardiennes.

 

Ma mère éclata alors en sanglots, perdant toute dignité.

 

« Pitié, je vous en supplie, je suis totalement obscène comme cela . . . libérez moi, laissez moi me rhabiller, je serai calme! »

 

« Fallait y penser avant! », trancha une des gardiennes.

 

« Et puis ce qui choque avec une pute comme toi, c'est pas que tes  nibards soient à l'air, mais que t-ai le cul et la moule couverte! », lança l'autre.

 

Les 2 femmes se jetèrent à nouveau sur ma mère et lui arrachèrent jupe et string, dévoilant ses fesses et sa chatte totalement épilée en éclatant de rire.

 

L'une d'entre elles la saisit par la barre qui lui courrait dans le dos et la contraignit à sortir.

 

Pendant cette scène d'une violence inouïe, ma soeur éclata en sanglots violents, hurlant de toutes ses forces. A genoux, elles était secouée de spasmes violents.

 

« Alice, il n'appartient qu'a toi que ta mère soit libérée au plus vite! Dès la fin de la semaine, une inspectrice passera te voir afin de constater si tu es en état d'être remise à ta mère. A toi de montrer à  ton école que ta mère t-a dispensé une éducation correcte permettant de te confier à nouveau à elle! », commenta le juge.

 

« Je serai une fille sans reproches madame, totalement docile », commenta ma soeur entre deux sanglots.

 

Le juge sourit.

 

« Bien », dit-elle. « Devant tant de bonne volonté, je ne peux que faire un geste: je me ferai désigner inspectrice, comme cela si je constate que tu peux être libérée, je pourrais prononcer la décision de suite! »

 

« Oh merci Mme le juge », s'écria ma soeur. « Comment pourrais-je vous remercier? »

 

« Ne t-inquiète pas, on trouvera . . . », lança le juge sur un ton énigmatique, avec le sourire.

 

Et sur ce elle la releva et la fit sortir pour la livrer, au sens propre du mot, à sa nouvelle école.

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Mercredi 18 janvier 3 18 /01 /Jan 23:07

Chapitre 5 : Carole se retrouve au mitard

 

J'avançai à 4 pattes, le cul cravaché par  mon implacable gardienne.

 

« Avance salope! », me lança t-elle en me tringlant le cul sans ménagements.

 

La cravache s'imprima dans mes fesses avec violence m'arrachant un hurlement étouffé par mon baillon-boule.

 

Dans cette position impudique, j'exposai aux yeux de tous mes parties intimes et  mes gros seins ballottaient en tous sens.

 

Conformément aux ordres qu'elle avait reçue, ma gardienne me fit passer par les ateliers. Les autres prisonnières arrêtèrent d'empaqueter leurs godes pour me fixer, éberluées.

 

La matonne fit exprès de passer à côté de certaines de mes co-détenues qui ne purent s'empêcher de laisser passer leurs mains sur mes fesses. Constatant que le gardienne ne réagissait pas, les gestes s'enhardirent et elles se mirent à me peloter les seins, puis la moule!

 

La gardienne ne réagissant toujours pas, ce fut la curée! Une horde de mains s'abattit sur mon corps, le pelotant sans vergogne, tirant sur mes mamelons, fouillant ma chatte avec brutalité. Ce n'est pas tous les jours que l'on pouvait s'amuser librement à la prison: les filles n'allaient pas se priver!

 

Péniblement, je me forçai à avancer pour leur échapper, mais sous les ignobles caresses répétées, je ne pu m'empêcher de jouir comme une dératée!

 

Les jambes flageolantes, je sorti enfin  de l'atelier. Les autres prisonnières n'osèrent pas nous suivre.

 

« Allez grosse pute, avance! », me lança ma tortionnaire en me tringlant à nouveau les fesses.

 

Elle me força a entrer dans une pièce très sombre, à peine éclairée par une ampoule au plafonds.

 

La matonne me menotta alors les poignets dans le dos, entrava mes chevilles par une grande barre de métal puis me contraignit à placer ma tête sur un carcan, la bloquant afin de m'immobiliser. A l'équerre, en corset de cuir noir, jambes, cul et chatte à l'air, seins pigeonnants et pendants, anus godé, j'étais totalement obscène! De la salive coulait sur mon menton puisque je ne pouvais pas fermer la bouche.

 

« Te voilà enfin à ta place sale traînée! », me lança la matonne.

 

Puis, satisfaite de son oeuvre, elle prit la direction d'un téléphone mural, le décrocha et appela.

 

« La garce est prête Madame », dit-elle.

 

Peu après, la Directrice, Marjolaine et une femme en blouse blanche, en fait l'infirmière de la prison, arrivèrent.

 

J'ai alors remarqué de suite que ma jeune belle-mère avait la chevelure en bataille, que ses gros mamelons roses dépassaient cette fois de façon impudique de sa robe moulante et que le haut de ses cuisses portaient des marques de ce qui me sembla être des coups de baguettes que je n'avais pas remarqué dans le bureau de la Directrice!

 

L'infirmière passa derrière mon dos et me décocha une claque sur la fesse gauche. Tout de suite après, je ressenti une aiguille qui me pénétrait la fesse, et un liquide brulant se répandit en moi.

 

« Dose maximale Madame! », dit la jeune femme.

 

Puis, agrippant ma fesse droite de la main, elle retira le plug de mon anus. La douleur fut aussi fulgurante que lors de la pénétration, mais mon baillon-boule ne me permit que de pousser un cris étouffé.

 

L'infirmière se mit alors à me pétrir les fesses sans vergogne.

 

« Y a de la matière! », commenta t-elle.

 

Puis, un doigt pénétra dans mon anus élargit par le plug. Puis 2 et enfin 3 doigts.

 

« Ca coulisse tout seul!, constata t-elle.

 

Plaquant son autre main sur ma vulve glabre, elle y planta également 3 doigts. Les 6 doigts se mirent alors à coulisser de concert dans mes orifices.

 

Morte de honte, je ne pouvais cependant pas m'empêcher de mouiller et de m'offrir. La dose d'aphrodisiaque que l'infirmière venait de m'administrer devait commencer à faire effet!

 

«Et bien, ma belle-fille a l'air d'aimer ça! », persifla ma belle-mère. « Je vais finir par croire qu'elle a effectivement un fonds un peu . . . pute! »

 

L'infirmière retira ses doigts, les essuyant sur mes cuisses.

 

Je ressenti des mouvements derrière moi, puis l'infirmière plaça un objet sur mon anus et l'enfonça dans mes intestins. Un gode! Encore plus gros que le plug! Totalement cylindrique. Au fur et à mesure qu'elle l'enfonçait, il me déchirait les entrailles! Tous mes muscles se raidirent. Ma peau se couvrit de chair de poule. Mais mes cris étaient étouffés par mon baillon-boule!

 

Le gode totalement enfoncé dans mon cul, l'infirmière l'arnacha à mes hanches avec des sangles de cuir. Je ne pouvais plus expulser le monstrueux intrus!

 

Maintenant que l'engin était en place, je sentais ses sortes de pustules sur sa surface. La peur m'étreignit. Que me réservaient encore ces perverses?

 

La réponse vint de suite: l'infirmière appuya sur le fonds du gode et celui-ci se mit à vibrer puis à se tortiller tel un gros vers. La douleur irradia de mon anus dans tout mon corps!

 

« Parfait! », constata la Directrice. « On la laisse comme ça pour la journée! »

 

Ma belle-mère repassa devant moi et se pencha à hauteur de mon visage.

 

« Subit ta punition avec patience ma jolie . . . C'est pour ton bien! Ta mère a complétement bâclée ton éducation, mais tu peux compter sur Mme la Directrice pour la reprendre à zéro!  . . . Et si cela peut te consoler, ta mère est en train de payer chèrement son laxisme! . . . Mais je te rassure, ta soeur est à l'abri: elle est maintenant éduquée dans l'un des  meilleurs établissement disciplinaire du pays! »

 

La salope! La pute! La garce! J'avais envie de l'étrangler! Elle avait trouvé les mots justes pour me briser!Qu'était-il arrivé à ma famille de ma faute?

 

Un grand sourire sur les lèvres, Marjolaine se releva et se rapprocha de la Directrice. Le pilori m'empêchait de tourner la tête. Mais je remarquais alors posé sur le mur un miroir que dans ma panique je n'avais pas encore remarqué.

 

Ebahie, je vis dans celui-ci la Directrice tirer sur la robe en strecht de Marjolaine pour faire sortir ses grosses mamelles aux larges aréoles roses. Ma belle-mère se laissa faire.

 

Elle se tourna ensuite vers la porte et la Directrice lui remonta sa robe sur ses hanches, dévoilant son postérieur sans culotte. Les fesses étaient striées de marques. Ma belle-mère avait donc bien reçue une correction dans le bureau de la Directrice! Et il semblait bien qu'elle allait en avoir un 2ème . . . et que la pouffiasse n'attendait que ça!

 

Le groupe sortit, me laissant seule.

 

Le gode continuait à me déchirer le cul de l'intérieur. Les larmes coulaient sur mes joues.

 

La journée allait être longue!

 

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Jeudi 12 janvier 4 12 /01 /Jan 19:34

Chapitre 4 : Dans le bureau de la Directrice

 

Après m'avoir fait remettre debout, mon implacable  gardienne « réajusta » ma jupe et mon chemisier, c'est à dire qu'elle s'assura que ma jupe était bien enroulée autour de mon ventre, coincée par le cordage qui m'enserrai, me mettant ainsi cul et chatte à l'air, et que mon chemisier était bien ouvert mettant ma poitrine à nu!

 

Cette vérification faite, elle me poussa vers la porte en lançant: « direction le bureau de la Directrice ma salope! ».

 

J'avançai sans résistance, sachant que cela ne ferait qu'aggraver mon cas.

 

Perverse jusqu'au bout, ma gardienne m'obligea à passer par les ateliers ou mes compagnes de détention empaquetaient des godes à longueur de journée afin de bien m'exhiber. Chatte rasée, je ne pouvait pas leur cacher grand chose de mon anatomie!

 

Arrivée devant le bureau de la directrice, la gardienne me fit ouvrir la porte et me donna un coup de pied dans l'intérieur du genou droit. Cela me coupa mes forces et je tombai aussi sec, me retrouvant sur les genoux et les mains.

 

«Cela va t-aller beaucoup mieux d'entrer à quatre pattes que debout! », me jeta-elle à la figure.

 

Soumise, j'avançai, tête baissée, vaincue.

 

J'entendis alors  la voix de la Directrice: « Ah, voilà enfin notre petite Carole! »

 

Elle m'attendait donc!

 

« Mon Dieu », lui répondit une voix féminine.

 

Mon sang se glaça en reconnaissant cette voix fluette et mielleuse. Une boule dans la gorge, je relevai la tête, saisie d'un vertige et eu confirmation de mes craintes: c'était ma belle mère qui discutait avec la Directrice! Des larmes de honte et de frustration me vinrent aux yeux.

 

Marjolaine! Une petite grue d'à peine 24 ans, qui avait mis la main sur mon père il y a moins d'un an, se mariant avec lui dans le mois ou elle le connu! Rien qu'à la voir, on comprenait par quel moyen: 1m78, rousse flamboyante, Marjolaine était mince mais avait une très forte poitrine (encore plus forte que la mienne) et un cul bien rebondi! Le tout, comme d'habitude était mis en valeur par une tenue que n'aurait pas reniée une pute professionnelle: une robe moulante ultra courte en stretch violet qui lui arrivait au ras des fesses, dévoilant ainsi la totalité de ses cuisses nacrées, au décolleté en U qui faisait pigeonner outrageusement ses gros seins. La robe lui donnait un air encore plus « pute » qu'à l'habitude: elle n'arrivait même pas à couvrir ses gros mamelons roses et les seins donnaient l'impression de vouloir bondir en dehors de leur fragile prison. On devinait parfaitement qu'elle ne portait pas de soutien gorge, et comble de l'indécence, comme Marjolaine décroisa les jambes à mon arrivée, je pu constater qu'elle ne portait pas de culotte non plus: la robe était tellement courte que j'eus en effet vue sur son sexe aux grandes lèvres roses proéminentes à peine couvert d'un léger duvet de poils roux.

 

Dès que mon père me la présenta, je senti la garce intégrale et la profiteuse, et la détestai de suite. Ayant deviné mes sentiments, elle me le rendait bien!.

 

« J'étais venue vérifier que le traitement subi par Carole n'était pas trop dur . . . mais ce que je vois là dépasse tout ce que j'aurai pu craindre: qu'elle humiliation, qu'elle indécence! Comment justifier cela Mme la Directrice? », reprit ma belle-mère.

 

Et il est vrai, qu'a genoux, le cul et la chatte rasée à l'air, les fesses marbrées par les coups de ma gardienne, les mamelles pendantes, les yeux baignés de larmes, tremblante de honte et de frustration, je ne devais pas être un modèle de décence!

 

« Ne tirez pas de conclusions trop hâtives Mme, je me porte garant de mon personnel, et je suis certaine que si votre belle-fille est traitée de façon aussi humiliante, c'est qu'il doit-y avoir une bonne raison! », argumenta la Directrice.

 

« Tout à fait Madame! », reprit ma gardienne. « J'ai du sévir suite à une tentative de corruption caractérisée de la détenue en vue d'échapper au juste traitement qui lui est  appliqué et ce après qu'elle se soit montré particulièrement odieuse avec sa meilleure amie venue prendre de ses nouvelles! »

 

« Ce n'est pas possible! », s'exclama Marjolaine.

 

« Vous voyez! », constata la Directrice. « Pour ce genre de comportement, je suis intraitable! Je le serai d'autant plus pour Carole! Car je ne vous le cache pas, cette jeune femme à clairement perdu tout repère d'autorité, d'où ses problèmes. Mais heureusement pour elle, dans cet établissement, les détenues subissent une peine de prison, mais aussi une rééducation complète. Notre objectif est de leur faire comprendre que dans notre monde, il y a ceux qui commandent et ceux qui obéissent, les dominants et les dominés, dans le champs du travail comme dans le champs familial. Nous leur ré-inculquons les valeurs! . . . Ainsi, dans cet établissement, je commande, mes gardiennes commandent et les détenues obéissent. Dans l'entreprise, l'employeur commande, les salariés obéissent Dans la famille, les parents commandent, les enfants obéissent Sorti de là. . . . »

 

« Je partage totalement cette conception Mme la Directrice! », reprit ma belle-mère.

 

« Alors pourquoi votre belle-fille s'est-elle retrouvée à voler des sou-vêtements? », questionna t-elle.

 

« Vous me prenez au dépourvu Madame », minauda Marjolaine. « . . . c'est que mon mari n'est pas de cet avis. . . Pour ne rien vous cacher, il lui passe tous ces caprices . . . Alors qu'une ou deux fessées énergiques auraient sans doute suffi à éviter ces dérapages »

 

« Oui, une bonne fessée cul nu en présence de la famille est souvent le meilleur moyen pour recadrer une jeune fille puis une jeune femme récalcitrante », reconnu la Directrice. « . . . mais nous n'en sommes plus là! Nos punitions vont devoir être autrement plus sévères et humiliantes pour porter leurs fruits! »

 

Marjolaine lâcha un soupir théâtral.

 

« Si c'est pour le bien de ma belle-fille, je ne peut faire rien de plus que m'en remettre à vous Mme la Directrice », dit-elle.

 

« Mais vous pouvez faire bien plus Mme! Pour faire gagner nos punitions en efficacité et ainsi gagner du temps, vous pouvez nous préciser ce que craint le plus votre belle fille! », lança la Directrice avec le sourire.

 

« Si c'est pour son bien . . . je peux vous préciser qu'elle a une peur bleue des châtiments corporels, puisqu'elle n'en a jamais reçue », lâcha ma rouquine de belle-mère, qui rêvait visiblement que l'on me tringle le cul.

 

« L'information est importante », convint la Directrice.

 

« Elle a aussi une peur bleue de se faire sodomiser! », ajouta ma gardienne.

 

« Les punitions pourrons aller jusque là? », s'étonna Marjolaine.

 

« Madame, nous sommes en présence d'une tentative de corruption! Je crains qu'elles pourront donc aller jusque là! », arrêta la Directrice.

 

« Evidemment. Dans ce cas, je dois confirmer cette phobie: Carole refusait même catégoriquement à son petit ami de la sodomiser! . . . La vue du cul de ma belle fille le mettait parfois dans de tels états que j'ai du accepter qu'il se soulage dans le mien! »

 

J'étais suffoquée. D'abord d'entendre ma belle mère avouer que mon petit ami l'avait enculé à plusieurs reprise. Puis de l'avouer devant moi, comme si je n'existai pas!

 

« C'est tout à votre honneur Madame! Un homme non satisfait est un homme prêt à tous les excès! »

 

« Enfin, pour être complet, elle déteste les lesbiennes: elle  a coupé tous les ponts avec sa tante dès qu'elle a appris qu'elle était une lesbienne, chef d'un réseau de prostitution de jeunes adolescentes des pays de l'est, alors que c'est une jeune femme tout à fait charmante, qui a la main sur le coeur et toujours prête à partager! »

 

« Et ce qui de plus n' a rien de répréhensible depuis que la prostitution a été légalisée! », commenta la Directrice en souriant à pleines dents.

 

« Fouttez-moi cette salope à poil! », lança t-elle à la matonne.

 

Implacable, cette dernière m'arracha mon chemisier puis ma jupe, mettant mes charmes opulents totalement à nu.

 

La Directrice se leva, ouvrit un tiroir de son bureau et en sortit un grand morceau de cuir noir

 

Elle se dirigea vers moi et m'enjamba, se plaçant sur mon dos.

 

Je compris alors que le morceau de cuir était en fait un corset: elle le plaça sur mon ventre et noua les lacets. La Directrice serra tellement fort qu'elle me coupa le souffle. Le corset emprisonnait mes seins et les faisaient pigeonner outrageusement, laissant les mamelons découverts. Ma taille était tellement serrée que j'imaginais sans peine mon cul ressortir de façon obscène!

 

La Directrice se releva, ouvrit un autre tiroir d'un meuble situé dans mon dos et revint. Je sentis le contact du plastic sur mon anus, mais je n'eus pas le temps de réagir. L'implacable femme poussa ce qu'elle avait en main de toute ses forces. Le plug anal, car il s'agissait bien de cela, pénétra dans mon rectum d'une seule traite. Je poussais un cri de douleur déchirant sous l'atroce douleur. Mon corps se couvrit de chair de poule. J'essayais d'expulser le corps étranger de mon cul, mais il ne voulait pas ressortir: de forme conique, il était coincé!

 

La Directrice me décocha une grande claque sur les fesses.

 

« Voilà ma belle! Toi qui n'aime pas te faire enculer, te voilà servie! », me railla t-elle.

 

La Directrice repartit et revint quasi de suite.

 

Elle me plaça alors un collier de cuir autour du cou, qu'elle serra à me rendre la respiration difficile, puis me ficha une boule dans la bouche. La boule était fixée à 2 sangles qu'elle m'attacha derrière la tête.

 

« Mon Dieu! », s'exclama Marjolaine! « Elle est totalement obscène! »

 

« Totalement en effet! », confirma ma tortionnaire.

 

Puis, se tournant vers la matonne, elle ajouta: « Allez, baladez là à 4 pattes dans toute la prison! Je veux que toutes les filles la voient comme ça! Vous pouvez les laisser la plauter à loisir! Si elle minaude, cravacher lui son gros cul ou ses nibards! Une fois le circuit terminé, vous la mettez au mitard et vous m'appelez! »

 

La matonne accrocha à mon collier une laisse en métal et me lança: « allez pouffiasse, vient faire de l'exercice! »

 

Ma jeune belle-mère se leva alors et vint près de moi. Me regardant dans les yeux, elle me dit: « Carole, soit soumise et obéissante! Obéit en tout à Mme La Directrice! Elle sait ce qui est bien pour toi. Même si les punitions te paraissent dures, elles te permettront de revenir sur le droit chemin! »

 

La garce était collée à moi. J'avais son odeur musquée de rousse plein les narines!. Ses seins ballottaient devant mes yeux. Sa robe était tellement remontée que j'avais vu sur sa moule suintante.

 

Ligotée, bâillonnée, corsetée, exhibée nue comme un objet, bourrée d'aphrodisiaque, l'excitation montait en moi de façon irrésistible! Ma belle mère me faisait mouiller alors que je la détestais!

 

La matonne me tringla le cul pour me faire avancer.

 

J'obtempérais de suite afin de ne pas prendre de nouveaux coups.

 

Du coin de l'œil, je vis Marjolaine se relever et la Directrice se rapprocher d'elle. Il me sembla voir la main de cette dernière se poser sur le cul de ma belle-mère, mais comme la matonne me fit sortir du bureau à cet instant je ne pu en être certaine.

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Samedi 7 janvier 6 07 /01 /Jan 00:14

 

Chapitre 3: Au parloir

 

 

1ère visite

 

Un mois s’est écoulé.

Un mois de brimades, de contraintes, de frustrations surtout. Des le début de mon incarcération j’avais été mis au régime le plus dur, celui réservé aux jeunes femmes rebelles, afin de les soumettre définitivement. J’étais menottée jour et nuit. Le jour les chaînes qui m’entravaient étaient assez longues pour me permettre de travailler. Mais la nuit, j’étais menottée dans le dos, et de plus, enchaînée par le cou au montant métallique de mon lit, ceci afin que je ne puisse me retourner à plat ventre. Le but était évidemment que je ne puisse me procurer aucune caresse, même en me frottant contre les couvertures…

Depuis un mois, j’étais donc dans l’abstinence totale, privée de la moindre douceur, du moindre câlin, me fussent-t-ils procuré par moi même.
Privée de plaisir, mais pas de tentations.
Douze heures par jour, je devais, avec mes compagnes d’infortune, manipuler des godemichés, vibromasseurs et autres phallus destinés à la vente par correspondance. Ces objets m’obsédaient littéralement, tellement j’avais envie d’en profiter. Il y avait aussi cet aphrodisiaque qui était mêlé à notre nourriture et dont les doses étaient doublées pour celles qui étaient au régime spécial, comme moi. Il y avait enfin les attouchements fréquents que les gardiennes me prodiguaient, sans vraiment s’en cacher. C’était le soir surtout, ou après la douche, que j’étais la proie facile de leur lubricité. Entravée, contrainte au silence, je ne pouvais que subir leur caresses impudiques, qu’elles prenaient soin toutefois d’arrêter des qu’elles sentaient mon plaisir devenir trop fort. C’était un véritable supplice qui durait ensuite toute la nuit, me tenant éveillée des heures, le corps en feu, torturée par un désir qu’il m’était impossible d’assouvir.

Un matin, une gardienne m’apprit qu’à midi, j’aurai « un parloir ». Pour la première fois depuis mon arrivée à la prison j’allais donc avoir une visite.
« Fais-toi belle pour la circonstance » me dit sentencieusement la gardienne. Je fus exceptionnellement dispensé d’atelier ce matin là. Après une douche et un rasage soigneux du pubis, comme l’exigeait le règlement, je fus autorisée à mettre mes vêtements « civils », ceux que je portais en arrivant ici.

Je retrouvais donc avec plaisir mon petit chemisier blanc. Comme je cherchais mon soutien gorge, la gardienne me dit ironiquement qu’il avait disparu… C’est donc sur ma poitrine nue que je boutonnais soigneusement mon chemisier. Mes seins pointaient sous la soie légère à demi transparente, et je me sentais assez impudique, mais je n’avais pas le choix. Puis j’enfilais ma jupe. Ma petite culotte avait aussi mystérieusement disparue, et je dus l’enfiler à même la peau. Et j’eu encore la surprise de constater qu’on l’avait, par un grand ourlet, raccourcie de quinze bons centimètres, ce qui la ramenait à mi cuisse…Certes, bien des jeunes femmes sont habillées ainsi. Mais dans cette prison, après un mois d’un uniforme assez insipide, je me sentais tout d’un coup séduisante et désirable, et je commençais à être bizarrement excitée.

Mais la gardienne n’en avait pas fini avec les préparatifs. Contrairement à d’habitude, où j’étais simplement menottée, elle me lia les avants bras très serrés dans le dos à l’aide d’une corde. Puis, elle dégrafa mon chemisier pour laisser apparaître mes seins. Elle passa plusieurs fois les liens autour de mon buste, par dessus et en dessous des seins, et avec ce qui restait de corde, le passant sur les épaules, elle sépara ma poitrine. Enfin elle enserra étroitement ma taille à l’aide d’une autre corde.

Pourquoi me ligotait-on de la sorte ? J’eu rapidement la réponse :
« Ce n’est pas parce que tu n’as plus (provisoirement, me fut-il précisé) d’uniforme qu’il faut te sentir libre. Tu subis une peine, ne l’oublie pas ! »

Mais pouvais-je l’oublier ?

C’était donc une humiliation supplémentaire. Et destiné à m’exciter davantage, car comment pouvais-je rester insensible d’être ainsi offerte, les seins nus comprimés, dressés, offerts, étroitement prisonnière de la corde, sans culotte sous une jupe très courte ? J’ai du traverser ainsi tout l’atelier sous les regards de mes compagnes, et après un long couloir, arriver enfin au parloir. J’ignorais toujours de qui j’allais avoir la visite, et intérieurement je priais pour que ce ne sois pas quelqu’un de ma famille. Vous imaginez ma belle mère, mon père ou mon frère me voyant ainsi ? Je ne m’en remettrai jamais !

La gardienne me fit mettre à genoux tout contre le grillage qui séparait les détenues des visiteurs et je du attendre, silencieuse et immobile. Mais une chaleur honteuse avait envahie mon ventre. Je sentais mes grandes lèvres se décoller d’elles même, et une humidité tiède envahir mon sexe.

Et ce fut le choc.

Je vis apparaître devinez qui ? Mais oui, Luc, mon amant, celui par qui tout avait commencé, qui m’avait provoqué par ce pari stupide. Oh qu’il était beau, dans sa chemise ouverte sur son torse musclé, le visage bronzé, le jean moulant, légèrement protubérant au niveau du sexe. Une bouffée de chaleur m’envahit.

« Comment vas-tu ?

Que lui dire sinon que j’avais envie de lui, de sa queue, qu’il me baise, que j’avais envie à en crever, et maintenant encore plus…Je me tournais vers la gardienne :

« Pouvez vous nous laisser seuls s’il vous plait ?

Je voulais lui faire des confidences, lui dire des mots d’amour, avoir, puisque je ne pouvais pas le toucher, un échange de tendresse verbale, lui dire que je l’attendais…

« Impossible, c’est interdit par le règlement, et dépêche toi car il ne reste que dix minutes.

Je fixais Luc intensément, je buvais son image, et je mouillais, je mouillais de plus en plus…

« Et bien puisque tu as perdu ta langue, je vais parler un peu de moi. Tu comprends bien que depuis un mois je ne peux pas vivre seul. C’est toi qui est punie, pas moi. Quand Emmanuelle m’a demandé de venir vivre chez moi, j’ai accepté, et depuis on est hyper heureux ensemble !

« Emmanuelle…ma meilleure amie ?

« Et oui, et je peux te dire qu’elle baise vachement bien ! Elle accepte tout . . . presque aussi salope que toi au lit !

« Emmanuelle…mais c’est pas possible…mon amie d’enfance, je…tu me trompes avec elle…

 

« Ecoute tu connais mes besoins. Il me faut un trou. Emmanuelle ou toi c’est kif kif !

Quelle nouvelle humiliation…Quelle nouvelle honte…Je ne pouvais détacher mon regard de la bosse qui grossissait son pantalon à vue d’œil au niveau de l’entrejambe. Ma parole, il bandait !

« D’ailleurs, reprit il, quand je te vois comme ça, ligotée, seins nus, sage depuis un mois, ça me fout une de ces triques…

« Sage, sage, pas tant que cela interrompit la gardienne.
Et sournoisement elle souleva le devant da ma jupe en le coinçant sous la corde pour que je reste le ventre dénudé. Evidemment mon sexe apparu, lisse, lèvres ouvertes, ruisselant, trahissant trop bien le désir intense qui me consumait.

« Ah la salope ! fit Luc, en dégrafant sa ceinture et en sortant son sexe turgescent. Il s’approcha du grillage à le toucher. Et dire que je ne pouvais même pas le prendre en bouche, le sucer comme naguère…

Il commença à se branler consciencieusement, sans me quitter des yeux. Inconsciemment j’ouvrais la bouche, je bougeais la langue comme s’il était en moi, mais je pompais que du vide et j’en pleurais de frustration. Peu à peu il s’excita, la pression montait, il se laissait emporter par le rythme, je pouvais suivre sur son visage la lente montée du plaisir. Et brusquement, il explosa, sa queue contre les grilles, le foutre gicla en longues rasades visqueuses qui m’atterrirent sur le visage. Je fermais les yeux pour ne pas être aveuglée, mais son jet puissant atteignait mes joues, mon nez, mes lèvres que j’entrouvris aussitôt. Il semblait ne pas devoir s’arrêter, il éclaboussa ma gorge, et les gouttes chaudes coulèrent sur mes seins tendu à craquer et dont les aréoles congestionnées me faisait de plus en plus mal. Après un ultime jet sur les seins il se détendit.

« Aaaaahhhh la salope ! que c’est bon…. oh putain que c’est bon …

J’étais moi même pantelante, bouleversée, brisée d’avoir vu de si près jouir mon amant, sans la moindre participation.

 

« C’est l’heure rappela la gardienne, implacable comme toujours

« Allez, salut Carole, il faut que j’y aille. Emmanuelle va m’attendre, on doit partir pour un week end en amoureux en Provence. On pensera à toi en faisant l’amour !

Et je restais là, mais cette fois de grosses larmes se mêlaient au sperme qui commençait à sécher sur mes joues.

 

« C’est trop tard pour aller déjeuner, fit la gardienne, mais tu n’auras pas tout perdu : lèche la grille, qu’il n’y ait plus une seule trace de ce dégueulasse.
Et pendant un quart d’heure je du avec ma langue nettoyer cette maudite grille, cul toujours découvert, jusqu’à la laisser nette.

2ème visite

 

Après avoir terminé ma tâche, je pensai naïvement être ramenée à l’atelier, mais il n’en fût rien.

 

« A genoux face à au grillage ! », ordonna l’implacable gardienne.

 

Une fois en position, celle-ci replaça ensuite bien ma jupe sous les cordages qui cerclaient mon ventre, de façon à bien découvrir mon cul et ma vulve glabre encore suintante.

 

«Tiens-toi bien droite ! », lança ma gardienne.

 

Je pleurai en silence.

 

« Pitié implorai-je . . . . ce ne peux être qu’un membre de ma famille qui va me rendre visite . . . je ne peux pas me montrer comme ça . . . . je ferais tout ce que vous voulez . . . sans que personne n’en sache rien . . . tout !».

 

« Parce que tu peux faire autrement ? », répondit ma tortionnaire en ricanant. « N’empêche que c’est une tentative de corruption caractérisée . . . ce sera répété en haut lieu ! ».

 

Sur ce, une porte s’ouvrit, et je vis apparaître . . . . Emmanuelle !

 

Cette belle blonde était habillée d’un superbe tailleur blanc BCBG à la jupe plutôt courte qui couvrait ses jambes au quart des cuisses et à la veste au décolleté plongeant qui offrait une bonne partie de ses seins généreux au regard. Face à cette femme dans la pleine possession de ses moyens, alors que j’étais agenouillée, seins, cul et chatte à l’air, la honte me submergea.

 

« Ma pauvre Carole, on te traite vraiment comme une chienne ici ! », me lança t-elle. « Il faut dire que ce n’était pas très malin de ta part de voler des sous vêtements ! Aussi cochons en plus. . . .Avoue que quelque part tu l’a bien mérité . . . voire que tu le cherchais un petit peu !, surtout avec les dernières lois votés pour lutter contre l'immoralité féminine!».

 

Son ton compassionnel sonnait faux. Je sentais bien que sous ce vernis, elle se réjouissait de ce qui m’arrivait. Et dire que depuis le lycée, j’ai pensé que c’était ma meilleure amie !

 

« Tu couche avec Luc . . . », dis-je entre deux sanglots.

 

« Pas seulement, je vis avec lui ! Il va me tuer ! C’est un baiseur inépuisable ! », me répondit-elle le sourire aux lèvres.

 

« Toi, me faire ça . . .Ma meilleure amie ! »

 

« Et c’est parce que je suis ta meilleure amie que je me suis mise avec Luc, Caro ! Si je ne m’étais pas mise avec lui, il aurait sans aucun doute cherché à se vider dans n’importe quel trou ! Tu devrais être contente que sa queue soit en de bonnes mains ! »

 

« Garce ! Trainée ! Hypocrite ! », hurlai-je.

 

De suite, je sentis une main me saisir les par les cheveux et me plaquer le visage et les seins contre le grillage.

 

Sans prévenir, mes fesses se firent mordre par une baguette ou une cravache.

 

La douleur était fulgurante. Atroce.

 

« Salope ! Tu es donc capable de tout ! Insulter de la sorte une de tes rares amies qui prends sur son temps pour te rendre visite ! Demande pardon ! Tant qu’elle ne te pardonnera pas, je continuerai à te cravacher le cul . . . jusqu’au sang s’il le faut. », hurlai la gardienne.

 

Et effectivement, les coups pleuvaient drus, sans répit. Mais étrangement, à la douleur commençait à se mêler le plaisir. Ecrasés sur le grillage, mes seins et surtout mes tétons étaient excités par le frottement. Dans l’état d’excitation quasi permanent qui était le mien depuis mon entrée dans cette prison, et après la visite de Luc, cela suffit à me faire mouiller d’abondance.

 

« Pardonne-moi Emmanuelle ! Pardon ! Pitié », implorais-je pour échapper à la correction.

 

A travers mes larmes, je vis celle que je considérai comme ma meilleure amie les mains sur les hanches, sourire.

 

« Mais bien entendu que je te pardonne Caro, mais à une condition : que toi aussi tu me pardonne de m’être mise avec Luc ! »

 

« Oui . . . je te pardonne Caro, mais pitié ! »

 

Comme Emmanuelle ne m’avait pas encore formellement pardonnée, les coups continuaient de pleuvoir, implacables.

 

« Je peux vraiment le baiser comme je veux ? », insista sadiquement Emmanuelle.

 

« Oui, oui ! Baise-le ! Fais ce qu’il veut ! Il est à toi ! »

 

« C’est gentil. Je te pardonne aussi alors ! », consentit enfin à dire Emmanuelle.

 

La gardienne arrêta de me cingler le cul et les cuisses. Il était temps. Quelques coups de plus et j’allai jouir devant elle !

 

« Je comprends que la rigueur la plus stricte est nécessaire pour faire revenir mon amie dans le droit chemin, mais j’espère que son moment d’égarement ne va pas entraîner des sanctions à son égard ! Je ne voudrais pas être, même indirectement la cause d’un durcissement de son régime pénitentiaire, déjà bien lourd ! », déclara Emmanuelle à la gardienne qui ne m’avait toujours pas lâché les cheveux.

 

« Vous êtes trop bonne avec cette chienne Madame », répondit celle-ci. « Mais nous en sommes au 2ème dérapage de la journée puisque Melle s’est déjà rendue coupable d’une tentative de corruption. Je ne peux pas fermer les yeux. Je crains fort que Madame la Directrice, qui est pourtant l’indulgence personnifiée, n’apprécie guerre ! »

 

Emmanuelle soupira.

 

« Je m’en remets donc au sens de la justice de Mme la Directrice ! Mais, vu ce que j’ai entendu sur ce qui ce passe en prison, vous lui transmettrez une requête de ma part : surtout qu’elle veille à ce que les autres détenues ne s’en prennent pas à . . . l’anus de Caro ! Elle a toujours été très sensible de l’anus ! Elle refusait d’ailleurs même que son amant ne la pénètre par là ! »

 

Mon cœur rata un battement. En déclarant cela, elle criait pratiquement sur les toits de me défoncer le cul.

 

« Je ne manquerais pas de transmettre cette information importante à Madame la Directrice ! », conclut la gardienne, sur un ton rigolard.

 

Et sur ce, Emmanuelle prit la direction de la sortie en me lançant : « Bye Caro, il faut que je rejoigne Luc pour finir de préparer notre départ ! »

 

Une fois Emmanuelle sortie, la gardienne ma susurra à l’oreille : « Et bien, on sait maintenant enfin par ou te prendre pour te calmer ma salope ! »

 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Les malheurs de Carole, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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