Mercredi 18 janvier 3 18 /01 /Jan 23:07

Chapitre 5 : Carole se retrouve au mitard

 

J'avançai à 4 pattes, le cul cravaché par  mon implacable gardienne.

 

« Avance salope! », me lança t-elle en me tringlant le cul sans ménagements.

 

La cravache s'imprima dans mes fesses avec violence m'arrachant un hurlement étouffé par mon baillon-boule.

 

Dans cette position impudique, j'exposai aux yeux de tous mes parties intimes et  mes gros seins ballottaient en tous sens.

 

Conformément aux ordres qu'elle avait reçue, ma gardienne me fit passer par les ateliers. Les autres prisonnières arrêtèrent d'empaqueter leurs godes pour me fixer, éberluées.

 

La matonne fit exprès de passer à côté de certaines de mes co-détenues qui ne purent s'empêcher de laisser passer leurs mains sur mes fesses. Constatant que le gardienne ne réagissait pas, les gestes s'enhardirent et elles se mirent à me peloter les seins, puis la moule!

 

La gardienne ne réagissant toujours pas, ce fut la curée! Une horde de mains s'abattit sur mon corps, le pelotant sans vergogne, tirant sur mes mamelons, fouillant ma chatte avec brutalité. Ce n'est pas tous les jours que l'on pouvait s'amuser librement à la prison: les filles n'allaient pas se priver!

 

Péniblement, je me forçai à avancer pour leur échapper, mais sous les ignobles caresses répétées, je ne pu m'empêcher de jouir comme une dératée!

 

Les jambes flageolantes, je sorti enfin  de l'atelier. Les autres prisonnières n'osèrent pas nous suivre.

 

« Allez grosse pute, avance! », me lança ma tortionnaire en me tringlant à nouveau les fesses.

 

Elle me força a entrer dans une pièce très sombre, à peine éclairée par une ampoule au plafonds.

 

La matonne me menotta alors les poignets dans le dos, entrava mes chevilles par une grande barre de métal puis me contraignit à placer ma tête sur un carcan, la bloquant afin de m'immobiliser. A l'équerre, en corset de cuir noir, jambes, cul et chatte à l'air, seins pigeonnants et pendants, anus godé, j'étais totalement obscène! De la salive coulait sur mon menton puisque je ne pouvais pas fermer la bouche.

 

« Te voilà enfin à ta place sale traînée! », me lança la matonne.

 

Puis, satisfaite de son oeuvre, elle prit la direction d'un téléphone mural, le décrocha et appela.

 

« La garce est prête Madame », dit-elle.

 

Peu après, la Directrice, Marjolaine et une femme en blouse blanche, en fait l'infirmière de la prison, arrivèrent.

 

J'ai alors remarqué de suite que ma jeune belle-mère avait la chevelure en bataille, que ses gros mamelons roses dépassaient cette fois de façon impudique de sa robe moulante et que le haut de ses cuisses portaient des marques de ce qui me sembla être des coups de baguettes que je n'avais pas remarqué dans le bureau de la Directrice!

 

L'infirmière passa derrière mon dos et me décocha une claque sur la fesse gauche. Tout de suite après, je ressenti une aiguille qui me pénétrait la fesse, et un liquide brulant se répandit en moi.

 

« Dose maximale Madame! », dit la jeune femme.

 

Puis, agrippant ma fesse droite de la main, elle retira le plug de mon anus. La douleur fut aussi fulgurante que lors de la pénétration, mais mon baillon-boule ne me permit que de pousser un cris étouffé.

 

L'infirmière se mit alors à me pétrir les fesses sans vergogne.

 

« Y a de la matière! », commenta t-elle.

 

Puis, un doigt pénétra dans mon anus élargit par le plug. Puis 2 et enfin 3 doigts.

 

« Ca coulisse tout seul!, constata t-elle.

 

Plaquant son autre main sur ma vulve glabre, elle y planta également 3 doigts. Les 6 doigts se mirent alors à coulisser de concert dans mes orifices.

 

Morte de honte, je ne pouvais cependant pas m'empêcher de mouiller et de m'offrir. La dose d'aphrodisiaque que l'infirmière venait de m'administrer devait commencer à faire effet!

 

«Et bien, ma belle-fille a l'air d'aimer ça! », persifla ma belle-mère. « Je vais finir par croire qu'elle a effectivement un fonds un peu . . . pute! »

 

L'infirmière retira ses doigts, les essuyant sur mes cuisses.

 

Je ressenti des mouvements derrière moi, puis l'infirmière plaça un objet sur mon anus et l'enfonça dans mes intestins. Un gode! Encore plus gros que le plug! Totalement cylindrique. Au fur et à mesure qu'elle l'enfonçait, il me déchirait les entrailles! Tous mes muscles se raidirent. Ma peau se couvrit de chair de poule. Mais mes cris étaient étouffés par mon baillon-boule!

 

Le gode totalement enfoncé dans mon cul, l'infirmière l'arnacha à mes hanches avec des sangles de cuir. Je ne pouvais plus expulser le monstrueux intrus!

 

Maintenant que l'engin était en place, je sentais ses sortes de pustules sur sa surface. La peur m'étreignit. Que me réservaient encore ces perverses?

 

La réponse vint de suite: l'infirmière appuya sur le fonds du gode et celui-ci se mit à vibrer puis à se tortiller tel un gros vers. La douleur irradia de mon anus dans tout mon corps!

 

« Parfait! », constata la Directrice. « On la laisse comme ça pour la journée! »

 

Ma belle-mère repassa devant moi et se pencha à hauteur de mon visage.

 

« Subit ta punition avec patience ma jolie . . . C'est pour ton bien! Ta mère a complétement bâclée ton éducation, mais tu peux compter sur Mme la Directrice pour la reprendre à zéro!  . . . Et si cela peut te consoler, ta mère est en train de payer chèrement son laxisme! . . . Mais je te rassure, ta soeur est à l'abri: elle est maintenant éduquée dans l'un des  meilleurs établissement disciplinaire du pays! »

 

La salope! La pute! La garce! J'avais envie de l'étrangler! Elle avait trouvé les mots justes pour me briser!Qu'était-il arrivé à ma famille de ma faute?

 

Un grand sourire sur les lèvres, Marjolaine se releva et se rapprocha de la Directrice. Le pilori m'empêchait de tourner la tête. Mais je remarquais alors posé sur le mur un miroir que dans ma panique je n'avais pas encore remarqué.

 

Ebahie, je vis dans celui-ci la Directrice tirer sur la robe en strecht de Marjolaine pour faire sortir ses grosses mamelles aux larges aréoles roses. Ma belle-mère se laissa faire.

 

Elle se tourna ensuite vers la porte et la Directrice lui remonta sa robe sur ses hanches, dévoilant son postérieur sans culotte. Les fesses étaient striées de marques. Ma belle-mère avait donc bien reçue une correction dans le bureau de la Directrice! Et il semblait bien qu'elle allait en avoir un 2ème . . . et que la pouffiasse n'attendait que ça!

 

Le groupe sortit, me laissant seule.

 

Le gode continuait à me déchirer le cul de l'intérieur. Les larmes coulaient sur mes joues.

 

La journée allait être longue!

 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Les malheurs de Carole, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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