Mercredi 25 janvier 3 25 /01 /Jan 20:48

Chapitre 6: Mère et soeur mises sous tutelle

 

Coupée du monde pendant un mois, je n'avais plus eu de nouvelle de ma mère, mon père et de ma soeur avant que ma perverse belle-soeur ne m'en donne pour me torturer. J'étais tout de même surprise de ne pas les voir me rendre visite dès l'autorisation des visites.

 

J'appris par la suite par  ma mère et ma soeur que c'était du au fait que ma condamnation avait déclenché une enquête de moralité de « routine » sur mes proches dont elles avaient fait les frais.

 

Trois semaines après mon incarcération, l'enquête terminée, elles furent convoquées devant le juge. La même femme qui m'avait condamnée sans pitié.

 

« Madame, Mademoiselle, après une incarcération d'une femme pour immoralité caractérisée, la législation impose dorénavant une enquête obligatoire sur les proches de la délinquante. Votre mari s'en sort plutôt bien, avec un simple avertissement pour défaut de surveillance, mais en ce qui vous concerne Madame, le rapport est accablant! »

 

Ma mère blémit. Ses pires craintes se concrétisaient. Elle était parfaitement consciente des dangers qu'elle courait avec la nouvelle législation. Elle pouvait être accusée de défaillance et être sanctionnée. Pensant avoir affaire à un homme, elle avait donc revêtue un petit tailleurs beige mettant en valeur son opulente poitrine, son cul rebondi aux larges hanches et ses cuisses bien pleines. En effet, âgée de 45 ans, ma mère était toujours une superbe femme qui attirait les regards de la gente masculine. Toujours pour faire bonne impression, ma soeur avait revêtu sa plus belle tenue d'école, et s'était mise en valeur par un maquillage discret. Ma mère avait juste veillé à raccourcir très légèrement la jupe plissée bleue marine et à resserrer le chemisier blanc de façon à dévoiler un peu des cuisses qui commençaient à promettre et à laisser deviner une poitrine déjà bien fournie. Bref, du haut de ses 18 ans, ma soeur ne pouvait pas ne pas émouvoir un juge même mal disposé! D'autant qu'avec sa peau de nacre, ses yeux verts et ses cheveux bruns, elle contrastait magnifiquement avec les cheveux blonds, les yeux bleus et la peau halée de ma mère. Comme « a mère me l'avouera plus tard: « s'il avait fallu faire une petite gâterie pour acheter un mâle en manque, nous n'aurions pas hésité une seconde! Cela n'aurait pas été cher payé!». Mais elles n'en eurent pas l'occasion!

 

« Danielle . . . je peux vous appeler Danielle? », demanda la juge avec le sourire.

 

Ma mère n'était évidemment pas en position de refuser quoi que ce soit et opina du chef.

 

« Bien. . . cette enquête fait en effet clairement apparaître que si votre fille Carole en était à cet état de déchéance morale c'est entièrement du fait de l'éducation déplorable qu'elle a reçue de votre part! »

 

« Je vous assure Mme Le Juge que ma fille n'avait jamais eu de problème avant sa condamnation », dit ma mère d'une toute petite voix.

 

« Le problème n'est pas là! Le problème est que l'éducation que vous avez dispensée est totalement à contre courant des principes nouveaux fixés pour l'éducation des femmes: vous avez fait preuve d'un laxisme total! Tous les témoignages le confirme! Même son petit ami, Luc, et sa meilleure amie, Emmanuelle, après avoir essayé de minimiser les faits ont du l'avouer! Jamais de punition corporelle! Pas un stage de rééducation! Comment vouliez vous en faire une femme respectable?! . . . Vous comprendrez donc que pour essayer de préserver votre seconde fille, je sois obligée de la placer dans un internat d'accueil! Je vous rassure: celui-ci est homologué par le ministère de la moralité et lui dispensera une éducation présentant toutes les garanties de conformité aux principes gouvernementaux! Votre fille sera ainsi placée dans une école spécialisée pour les jeunes filles dont l'éducation doit être surveillée! »

 

A ces annonces, ma soeur éclata en sanglots.

 

« Oh non Madame, je vous en supplie, je ne veux pas être séparée de ma mère! »

 

« Je suis désolée ma petite Janice, mais c'est inévitable. Je te rassure, régulièrement une inspectrice te rendra visite pour vérifier que l'on te dispense une éducation sans reproche! »

 

Ma mère était effondrée. Mais il fallait faire la part du feu, sauver ce qui pouvait l'être.

 

« Je comprends cette mesure de précaution », convint-elle. « je pourrai la voir selon quelle période? »

 

« Pas durant la durée du placement! Seulement une fois que l'école pourra garantir que son éducation n'a pas été vérolée! »

 

A nouveau ma mère accusa le coup.

 

Le juge lui présenta un document.

 

« Le placement peut-être prononcé d'office ou vous pouvez y consentir. Dans ce 2ème cas, cet acte de bonne volonté sera retenu à votre décharge évidemment! »

 

Résignée, ma mère signa, sans lire.

 

Le juge appuya sur une sonnette.

 

« Parfait, étant donné cet acte de contrition, je ne vous condamne pas à une peine ferme. Mais je suis contrainte de vous placer en détention préventive le temps du placement de votre fille, pour sa sécurité! J'espère seulement que ce placement ne se prolongera pas outre mesure, car évidemment en cas de défaut d'éducation constaté par l'école, les placements sont prolongé d'office! »

 

Deux femmes en uniforme entrèrent alors et se placèrent de chaque côté de ma mère.

 

Celle-ci devint blanche comme un linge et se releva comme un ressort.

 

« Ce n'est pas possible! », s'écria t-elle.

 

Les deux gardiennes lui saisirent les bras, les replia dans le dos et lui passèrent les menottes. Affolée, ma mère se débattit. Une des gardienne lui décocha une claque retentissante.

 

« On se calme salope! », hurla t-elle avant de la plaquer sur le bureau de la juge.

 

Une des gardienne la lâcha et revint avec une grande barre de métal qu'elle plaça sur les épaules de ma mère. Lui enlevant la paire de menotte, elle fixa ensuite ses poignets à la barre à l'aide de sangles de cuir attachées à la barre, pendant que sa collègue maintenait leur victime.

 

Elle prit une seconde barre à laquelle elle fixa ses chevilles. Puis une 3ème pour fixer les 2 barres précédentes. Enfin, lui fixant un collier de cuir autour du cou, elle rattacha celui-ci à la barre qui lui descendait dans le dos. Cela contraint ma mère à rejeter les épaules en arrière et fit ainsi encore plus ressortir ses seins.

 

« La malheureuse étouffe comme ça! », lança une des 2 femmes en constatant que la poitrine de ma mère était complètement comprimée par ses vêtements.

 

Sans prévenir, les 2 femmes se précipitèrent alors sur elle et lui arrachèrent son tailleur, son fin chemisier et son soutien gorge, mettant ainsi à l'air les seins de ma mère et dévoilant les larges aréoles pailles.

 

« Quelques jours de mitard vont te calmer pouffiasse! », lança une des gardiennes.

 

Ma mère éclata alors en sanglots, perdant toute dignité.

 

« Pitié, je vous en supplie, je suis totalement obscène comme cela . . . libérez moi, laissez moi me rhabiller, je serai calme! »

 

« Fallait y penser avant! », trancha une des gardiennes.

 

« Et puis ce qui choque avec une pute comme toi, c'est pas que tes  nibards soient à l'air, mais que t-ai le cul et la moule couverte! », lança l'autre.

 

Les 2 femmes se jetèrent à nouveau sur ma mère et lui arrachèrent jupe et string, dévoilant ses fesses et sa chatte totalement épilée en éclatant de rire.

 

L'une d'entre elles la saisit par la barre qui lui courrait dans le dos et la contraignit à sortir.

 

Pendant cette scène d'une violence inouïe, ma soeur éclata en sanglots violents, hurlant de toutes ses forces. A genoux, elles était secouée de spasmes violents.

 

« Alice, il n'appartient qu'a toi que ta mère soit libérée au plus vite! Dès la fin de la semaine, une inspectrice passera te voir afin de constater si tu es en état d'être remise à ta mère. A toi de montrer à  ton école que ta mère t-a dispensé une éducation correcte permettant de te confier à nouveau à elle! », commenta le juge.

 

« Je serai une fille sans reproches madame, totalement docile », commenta ma soeur entre deux sanglots.

 

Le juge sourit.

 

« Bien », dit-elle. « Devant tant de bonne volonté, je ne peux que faire un geste: je me ferai désigner inspectrice, comme cela si je constate que tu peux être libérée, je pourrais prononcer la décision de suite! »

 

« Oh merci Mme le juge », s'écria ma soeur. « Comment pourrais-je vous remercier? »

 

« Ne t-inquiète pas, on trouvera . . . », lança le juge sur un ton énigmatique, avec le sourire.

 

Et sur ce elle la releva et la fit sortir pour la livrer, au sens propre du mot, à sa nouvelle école.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Les malheurs de Carole, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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