Confessions de Virginie

Mardi 3 janvier 2 03 /01 /Jan 21:25

Nous étions Paul et moi en randonnée dans un massif alpin. Nous avions décidé d’aller jusqu’à un refuge pour y passer la nuit, avant de continuer notre ascension le lendemain matin.

A son habitude, Paul était devant moi à quelques dizaines de mètres. Depuis plusieurs minutes j’étais talonnée par un autre randonneur qui manifestement n’avait pas envie de me dépasser. Finalement après avoir passé plus de dix minutes derrière moi, et alors que je commençai à m’essouffler, l’inconnu se décida à me doubler. Arrivé à ma hauteur il me salua avec un beau sourire et me dit « Merci le spectacle était divin, j’en suis tout ému ». Sur le moment je ne compris pas, je pensais alors qu’il parlait du paysage splendide qui nous entourait. « Vraiment rebondi à souhait, comme je les aime »ajouta t il. Ce n’est qu’après que je réalisai qu’il parlait de mes fesses. J’étais en short, très moulant il est vrai.

Je ne pensai plus à cet intermède lorsque j’atteignis le refuge. Paul était déjà arrivé et avait pris possession de notre chambrée. Lorsque je pénétrai dans cette dernière qui était pour 4 personnes je constatai qu’il y avait 2 sacs sur les bas flancs, celui de Paul et un autre. Je demandai à Paul qui était avec nous.

« Le type qui nous a doublé dans la montée », répondit il, « nous ne sommes que trois dans la chambre, il s’appelle Loïc » ajouta t-il.

Durant le repas pris dans la salle commune, Loïc ne cessa de me dévorer des yeux. Vers 21 heures nous sommes allés nous coucher. On se couche tôt en montagne pour pouvoir être en forme le lendemain. Loïc était déjà couché. Je me suis installée entre lui et Paul sur le bas flanc unique constituant le couchage. Paul s’est endormi rapidement du moins je le pensais, il faisait chaud, j’avais ouvert mon duvet . J’avais du mal à m’endormir, au bout d’une demi heure je ne dormais toujours pas, je me mis hors de mon duvet. J’étais en position chien de fusil, les fesses tournées du coté de Loïc. Je sentis bientôt deux mains qui se posaient sur elles, d’abord se fut des caresses tout en douceur, à peine effleurées. Puis un doigt inquisiteur parcourut le long de ma raie pour s’arrêter à l’orée de ma vulve. Je me cambrais alors pour faciliter la tâche à Loïc. Je me mis à mouiller. Ce fut alors deux puis trois doigts qui me pénétraient. Je me cambrai encore plus, Loïc s’était rapproché de moi, je sentis  sa verge, qui doucement se frottait dans le sillon de mes fesses avant de  s’introduire en moi. Loïc faisait de petits va et viens, pour manifestement ne pas réveiller Paul. Nous étions dans le noir total. Je sentis Paul qui doucement venait vers moi pour m’embrasser à pleine bouche, en fait Paul me l’avoua plus tard, il n’était pas endormi. Loïc s’arrêta alors surpris, d’une main je l’encourageai à continuer. Je retournai alors mes fesses vers Pau, qui à son tour me pénétra, tandis qu’à pleine bouche j’embrassai Loïc. Nous fîmes plusieurs fois la chose, avant que je ne jouisse , Loïc en moi , qui jouit à son tour sans retenue.

 

Le lendemain matin nous avons fait comme si rien ne s’était passé, nous sommes repartis chacun vers une destination différente. Avant de partir, Loïc ma glissé son numéro de téléphone. Je ne l’ai pas dit à Paul, c’est une autre histoire.

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Lundi 2 janvier 1 02 /01 /Jan 21:13

Après avoir passé une semaine en Espagne nous nous sommes arrêtés chez Yan un ami et complice de longue date. Nous connaissons Yan depuis plus de vingt ans, il fut un de mes premiers amants lorsque nous avons commencé à faire du triolisme. Yan a  la magie de savoir me faire jouir de façon vaginale, alors que je suis clitorienne par nature. Endurant et patient il sait se retenir jusqu’à m’amener à l’instant suprême.

 

Yan élève des chevaux dans une ferme des Hautes Pyrénées. Lors de notre dernier séjour il nous a conviés à assister à quelque chose qui n’est pas banale ou commun de voir, la saillie « monte en main » d’une jument de son élevage. 

 

Yan nous a amené Paul et moi dans un hangar ou devait se passer la saillie. Par sécurité du moins c’est ce qu’il a dit nous étions à l’écart sur une mezzanine permettant de dominer la scène. Yan était avec nous pour commenter l’action.

 

Deux palefreniers ont amené la jument et l’étalon tenus en longe. L’un tenait la jument entre deux barres formant un box, l’autre l’étalon. J’étais fasciné par le sexe démesurément long de l’étalon qui excitait par les phéromones de la jument en chaleur bandait de tout son sexe. Alors que les deux chevaux se sentaient l’un et l’autre depuis plusieurs minutes, comme s’appréciant avant l’acte de reproduction, Yan me fit mettre les bras en appuis sur la rambarde de la mezzanine. Il susurra à mes oreilles

 

« tu veux une saillie toi aussi, tu as envie ? »

 

« oui » répondis-je sans hésiter.

 

Doucement il fit glisser mon jean et ma culotte à mes pieds, les enleva. J’étais les fesses à l’air, cambrée, regardant le spectacle qui se déroulait plus loin à  nos pieds. Yan se mit a caresser mon clitoris, mes fesses tout en disant « cambre, cambre toi bien, donne ton cul ». Je me cambrais au maximum, sentant alors sa verge qui glissait entre mes fesses. Paul regardait sans rien dire, fasciné comme il l’est chaque fois que je me fais baiser devant lui.

 

Bientôt Yan me pénétra, doucement d’abord, puis alternant puissants coups de boutoir et moments de calme. En bas les choses allaient en se précisant. La jument semblait décidée. L’étalon grimpa sur elle et se mit à la pénétrer. De son coté  Yan avait activé ses coups de boutoirs. Soudainement l’étalon se mit a hennir, pour s’écrouler sans bouger sur la jument, vidé de toute sa semence, le spectacle était fascinant. Je crois que c’est à cet instant que Yan s’est vidé en moi. Il s’est retiré et me dit « reste comme cela ma belle ». Il est descendu alors voir les deux palefreniers. Je pense être restée ainsi plus de dix minutes les fesses à l’air. Entre temps les chevaux et les palefreniers avaient disparus. Paul toujours à mes cotés m’encourageait à rester ainsi .Je commençai à avoir froid, dans le même temps je sentais le sperme de Yan qui s’écoulait lentement à l’intérieur de mes cuisses. Nous connaissons Yan depuis si longtemps qu’en toute confiance nous faisons l’amour sans préservatif, c’est le seul homme hormis Paul avec qui je me permets cela.

 

Au bout de vingt minutes Yan revint. Je l’entends encore dire « Elle est à vous, c’est votre récompense ».

 

Je me retournai et vis les deux palefreniers. Yan me tapota gentiment les fesses avec une cravache, tout en disant « allez cambre toi c’est la saillie pour toi aussi ».Je regardai Paul qui acquiesça. Le premier palefrenier baissa son pantalon et sans autre artifice après avoir mis un préservatif, me pénétra. Il avait une verge énorme, à me faire mal. A chaque mouvement le claquement de son ventre contre mes fesses résonnait dans tout le hangar. En quelques minutes il cracha toute sa semence. Le second prit la suite de la même façon. Ils sentaient chacun la sueur humaine et animale confondues, peut être aussi l’odeur du foutre.Yan alternait les encouragements au palefrenier

 

« allez baise la bien, il faut la saillir comme la jument », et à moi-même  « allez cambre, cambre , donnes toi! Tu as une croupe de jument ! Tu es une jument à saillir ! »

 

Contre  toute attente je me suis mis à jouir sous les coups du second, alors qu’il se répandait à son tour. « Tu es bien prise ma belle, c’est bien, très bien, un petit avant la fin de l’année » conclut Yan en tapotant mes fesses avec sa cravache. Les deux palefreniers sont partis en silence sans un mot. Je suis resté plusieurs minutes ainsi, les fesses à l’air, reprenant mon souffle. Paul en a profité pour venir à son tour se soulager.

 

 

Les deux jours suivants de notre séjour chez Yan ont été riches en émotions, mais à trois seulement. Yan mis un point d’honneur à me faire jouir de façon vaginale. Plusieurs fois il y est parvenu dans un cri bestial  en disant  « Je me vide les couilles, je me vide ! », Paul prenant la suite de façon tout aussi bestiale. Un beau souvenir.

 

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Lundi 2 mai 1 02 /05 /Mai 22:28

Plusieurs semaines s’étaient écoulées depuis ma première consultation chez le gynécologue. Ne m’ayant pas rappelée au bout de quinze jours comme il l’avait dit, j’avais presque oublié sa demande. Ce n’est qu’un mois plus tard qu’il m’appela.

« Bonjour Virginie, je souhaiterai vous voir vendredi prochain à 18 h à mon cabinet, je voudrais comme je vous l’avais dit, pratiquer quelques examens sur vous afin de mesurer votre réactivité sensorielle, bien sur vous serez dédommagez pour cela ».

Il raccrocha sans que j’ai pu dire un mot.

C’est ainsi que je me retrouvai pour la seconde fois dans a salle d’attente du gynécologue, que j’appellerai Victor pour simplifier le récit. J’étais seule. Il était 18h lorsque la porte de son cabinet s’ouvrit.

« Entrez et déshabillée vous, je suis à vous dans quelques minutes ».

Il disparut par une porte située au fond de son cabinet, que je n’avais pas remarqué la première fois. J’étais nue depuis quelques minutes lorsqu’il réapparut, accompagné d’un autre homme en blouse blanche comme lui.

« Virginie je vous présente Alain, un confrère, qui va me seconder, cela ne pose pas de problème pour vous ? »

« Non », dis-je, bien que surprise mais pas totalement sachant que je me trouvais ici via le réseau, donc pour une relation dont l’examen médical n’était qu’un prétexte.

Je me retrouvais sur le fauteuil d’osculation, cuisses écartées, sexe ouvert.

« Puis je commencer à l’examiner ? », demanda Alain.

« Faîte cher ami », répondit Victor.

Alain m’écarta les lèvres avec un spéculum, je sentais ses doigts sur mon sexe et mon clitoris. Comme Victor il n’avait pas mis de gants.

Alors qu’il commentait à haute voix son examen « elle a un vagin très tonique, bien irrigué » , Victor installa sur ma poitrine quelques électrodes pour soit disant enregistrer mon rythme cardiaque. Je sentais bientôt un doigt qui fouillait mon anus « Etroite du cul » « Il faudrait l’élargir » dit Alain. Victor confirma qu’il avait déjà lors de notre première séance constaté cela et qu’il fallait commencer à « me travailler l’anus » selon son expression. Alors qu’il avait enlevé le spéculum, Alain se mit à me caresser l’intérieur du sexe, tandis que Victor mordillait mes seins avec ses lèvres. Je crois l’avoir déjà dit je suis ce que l’on appelle une femme fontaine, certaine caresses internes provocant chez moi j’éjaculation de cyprine et autres humeurs aqueuses. Bientôt j’explosais dans les doigts d’Alain qui n’avait pas cessé de me caresser après avoir introduit un puis deux, puis presque sa main toute entière dans mon vagin. « Une superbe jouissance » dit Victor, « Nous allons t’épuiser de plaisir ma chère Virginie , mais il va falloir nous en donner aussi »

« Tu es prête à nous en donner ? »

« oui », répondis-je.

Puis ce fut au tour de Victor de me caresser. Entre temps Alain avait introduit un dilatateur dans mon anus. Pendant que Victor écartait mon sexe avec ses doigts et malaxait mon clitoris, Alain me présenta son sexe et sans me demander quoi que ce soit l’introduisit dans ma bouche. Alain avait introduit dans mon sexe comme un vibro masseur, bientôt je fus de nouveau en transe et je jouie pour la seconde fois. A l’instant même ou j’ai joui, Alain qui  s’était retiré de ma bouche, éjacula sur mon visage. 

Je ne sais combien de temps tout cela a duré, probablement deux heures car je rappelle avoir quitté le cabinet à 20h passé. Entre temps j’eu droit à bien autre chose. Après avoir commenté de nouveau mes performances cardiaques, ils m’enlevèrent les électrodes. Alain retira alors l’écarteur de mon anus. J’entends encore leurs propos «  Un anus parfait » «  Vous faîtes vous souvent sodomiser ? » « Seulement par mon mari » répondis-je espérant ainsi éviter  la suite que je pressentais. « Dans le réseau, rétorqua Victor, vous serez obligée de faire quelques exceptions ». Ils me firent descendre du fauteuil d’osculation pour m’inviter à prendre place sur une table d’examen beaucoup plus grande. Dans le même temps Alain s’y coucha sur le dos et me guida pour que je m’empale sur lui. Alors que je m’apprêtais à guider son sexe vers le mien, il  me repoussa la main et c’est dans mon anus qu’il s’introduisit, j’étais encore ouverte, j’avoue ne pas avoir senti la moindre douleur. Nous étions au bord de la table, lui les jambes pendantes, moi en appui sur deux escabeaux latéraux. Alain se présenta alors face à moi et introduisit à son tour sa verge dans mon sexe. C’était pour moi la première fois que je subissais une double pénétration anale et vaginale.

La position n’était guère pratique, mais les deux hommes s’activaient doucement en prenant soin de ne pas sortir de mes orifices. Je pouvais sentir au fond de mes entrailles ces deux verges qui semblaient se télescoper à l’intérieur de moi, comme pour mieux affirmer leur main mise dans mon ventre. Je sentis bientôt une douce chaleur envahir tout mon bas ventre. Je sentis monter en moi une vague immense, j’avais perdu toute notion de retenue, je ne savais plus ce que je disais ou pensais.

« Oui baisez moi,  videz vos couilles, je veux tout, oui remplissez moi », je m’entends encore dire ces mots crus. Je crois bien qu’ils ont joui en même temps que moi, j’avais véritablement les larmes aux yeux.  J’ai connu par la suite d’autres doubles pénétrations, mais je n’ai jamais ressenti un tel plaisir que lors de cette première fois.

Je me suis rhabillée, au moment de quitter le cabinet, Alain m’a tendu une enveloppe en disant «  Pour ta contribution à une meilleure connaissance de la sexualité féminine » « Tu es vraiment faîte pour ça, je te ferai connaître à d’autres confrères, si tu es d’accord ». J’ai rencontré par la suite, Alain, dans d’autres lieux, mais ce sont d’autres histoires. Arrivée chez moi, j’ai bien sure raconté tout cela à Paul mon mari, qui s’est empressé la nuit venu de vérifier par lui-même que j’étais « faîte pour ça ».

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Dimanche 1 mai 7 01 /05 /Mai 22:18

Quelques semaines après mon aventure avec Jean, alors que j’avais presque oublié cet instant d’égarement, je reçu un appel de ce dernier. Il m’invitait à passer un week-end complet à Paris. Il me proposait de m’envoyer mes billets de TGV dans les jours suivants.  J’en parlai à Paul.

 

« Vas y, tu en as envie … et moi aussi » . . . « Vas te faire baiser, cela te feras du bien », dit il en m’embrassant.

 

Je lui demandais : « Tu es sur que c’est ce que tu veux »

 

« oui », dit-il.

 

C’est ainsi que je me retrouvai un vendredi après midi dans le TGV pour Paris. Jean m’attendait Gare de Lyon, tout sourire, toujours aussi enjôleur.

 

« J’ai une surprise pour toi », dit-il. « Je t’ai préparé un week-end super ». Je craignais un peu son enthousiasme.

 

« Je t’amène chez moi, tu pourras te rafraichir, ensuite je t’amène diner dans un bon restaurant ».

 

Il habitait prés de la gare de Lyon, pas loin de l’opéra Bastille. Dés que nous fumes chez lui, il me dit « J’ai envie de toi, déshabille toi vite ».

 

Je me retrouvais vite nue devant lui, il me pris alors dans ses bras et m’amena vers sa chambre. J’avoue qu’il me fit l’amour divinement bien et j’ai jouie sans retenue.

 

Nous sommes allés ensuite diner dans un restaurant sympathique et cosy. Vers la fin du repas, Jean me dit « je t’amène dans un club échangiste, je sais que tu y vas avec Paul, c’est lui qui me l’a dit ».

 

J’étais un peu interloquée, mais c’était aussi une opportunité, je n’avais connu jusqu’alors avec Paul que des clubs dans la région lyonnaise.

 

C’est ainsi que nous sommes retrouvés dans un club situé pas loin de l’Hôtel de ville de Paris. Jean connaissais manifestement les lieux. Il m’amena dans un salon, au sous-sol ou au premier étage, je ne m’en souviens plus. Le salon baignait dans une faible lumière. Il y avait au milieu une estrade avec une femme nue, autour d’elle trois hommes. A notre arrivée la femme est venue vers moi, m’a prise par les hanches et a posé délicatement ses lèvres sur les miennes. J’eu un petit mouvement de recul, c’était la première fois qu’une femme m’embrassait ainsi. Je ne m’étais jamais jusqu’alors livré aux plaisirs de Lesbos. Elle m’attira de nouveau vers elle, me caressa les joues, les cheveux. Je ressentis une impression étrange et envoutante. Elle m’embrassa de nouveau, tout en me déshabillant avec calme et beaucoup de tact. Bientôt je fus nue. Elle m’entraina sur l’estrade, je me laissai guider sans rien dire. Elle m’allongea sur le dos, et se coucha sur moi dans la position du soixante neuf. Je sentis bientôt ses mains qui écartaient mes cuisses , sa bouche sur mon sexe, sa langue sur mon clitoris. Je ne sais pas alors ce qui m’a pris, à mon tour j’ai écarté ses fesses découvrant ainsi les lèvres de son sexe  et son petit anus brun et mignon. Je me suis mis à la lécher à mon tour, pénétrant tour à tour de ma langue et son sexe et son petit trou du cul. Tout cela avait un gout salé et poivré à la fois. Cela a duré plusieurs minutes durant lesquelles j’ai oublié ou j’étais et les hommes qui nous regardaient. Nous avons joui en même temps, recevant chacune en bouche les éclaboussures de l’autre. A peine remise de nos émotions, les hommes qui étaient là et dont le nombre avait grossi, nous firent comprendre que leur tour était venu. Nous nous sommes retrouvées toutes les deux, sur l’estrade accroupie à quatre pattes le cul offert. Alors une véritable fête charnelle a commencé, chaque homme nous prenant à tour de rôle. Ils étaient au moins une dizaine. Au bout d’une demi-heure, une heure peut être, je ne savais plus ou j’étais. J’étais fouillée, pénétrée de partout, les hommes se relayant sans arrêt, j’avais l’impression d’être une pute dans une maison d’abattage. Je crois avoir joui une fois, jusqu’à ce que les hommes alors présents se retirent de nos sexes et dirigent leur sexes vers nous, en se masturbant pour finalement gicler sur toutes les parties de nos corps. Nous étions dégoulinantes de sperme. J’avoue ne pas avoir apprécié cette dernière séquence. Nous sommes rentrés chez Jean vers 4 h du matin, j’étais exténuée.

 

Le lendemain fut plus calme. Nous avons flemmardé  au lit, bien sur je dus a deux reprises calmer, avec ma bouche gourmande comme il disait, ses ardeurs. Nous avons passé le reste de la journée à visiter Paris. Le soir Jean m’amena dans un excellent restaurant de la rive gauche. J’appréhendai un peu la suite, je n’avais pas envie de revivre la soirée précédente.

 

Jean me dis  « J’ai envie de t’avoir toute à moi et de te câliner toute la nuit »

 

« Ton programme me va bien », répondis-je.

 

Après avoir prise une douche, j’ai rejoins Jean dans le salon. J’étais nue, sans artifice. Je me suis lovée dans ses bras, ou il commença à m’embrasser, à me caresser. Bientôt il me fit mettre en levrette sur un des fauteuils, les cuisses offertes, le cul bien cambré. Je l’entends me dire « tu es magnifique comme cela, je vais te prendre ». Il me pénétra alternant pénétration en douceur et pénétration en force, caressant mon clitoris avec une de ses mains, l’autre fouillant ma bouche. Nous étions ainsi depuis plusieurs minutes lorsqu’il prit son téléphone. Surprise je ne savais pas  quoi en penser. Très vite j’ai compris à qui il téléphonait. « Oui je suis en train de la baiser bien à fond, elle est superbe et quel cul, tu as de la chance de l’avoir tous les jours a portée de main ».Il téléphonait à Paul mon mari.   « Je te la passe un instant ». « Tu te fais bien baiser ma chérie, donnes toi à fond », me dit Paul. A ces mots je me suis mise à jouir, en râlant de plaisir, j’ai du avoir plusieurs spasmes de plaisir, j’entends encore Paul me disant  « C’est bien ma salope, vas y ». Jean a repris le téléphone, il était toujours en moi, sa verge tuméfiée d’envie de gicler. A ce moment là il se retira de moi et je sentis son sexe contre mon anus  « Oui je vais la prendre par là aussi » Il me pénétra alors violemment par l’anus, j’ai poussé un cri de douleur sur le coup. Je l’entends encore dire « elle est bonne par là aussi, bien étroite, comme j’aime, oh ce cul ! Tu l’as entendu jouir ». Il se répandit alors en moi en poussant un cri de plaisir qui semblait venir du plus profond de lui.

 

J’ai regagné Lyon le lendemain matin. Paul m’attendais à la gare, nous étions dimanche après midi. J’ai une surprise me dit il. Encore une. Il avait loué une chambre d’hôtel tout prés de la gare. Il m’y amena dans la foulée.

 

« J’ai très envie de toi, comme une pute » dit-il.

 

«Moi aussi » j’ai répondu.

 

Une fois dans la chambre, il m’a prise plusieurs fois comme une bête en rut, me sodomisant finalement avec force.

 

 

« Je reprends mon territoire », a-t-il dit à ce moment-là.

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Vendredi 29 avril 5 29 /04 /Avr 22:05

Mes enfants étaient alors au Lycée. Dans le cadre d’échange entre jeunes nous avions accueilli chez nous, John un jeune américain de 17 ans, pour 6 mois. John était arrivé en février et devait repartir en juin, chaque jour il  allait  au lycée avec mes enfants.

 

Un matin alors que je sortais de ma salle de bain, mon peignoir a moitié ouvert, je tombai nez à nez avec John. Je fus surprise mais je constatai qu’à son attitude il l’était encore plus que moi. Je lui demandai alors que je rabattais mon peignoir ce qu’il faisait là. Il me répondit qu’il n’avait pas cours.

 

Je pris mon petit déjeuner avec lui. Il avait l’air gêné, mais je surpris a plusieurs reprise son regard sur le haut de mon peignoir qui était resté entrouvert. J’avais presque oublié cet incident lorsque quinze jours plus tard, alors que je prenais de nouveau ma douche, la porte de la salle de bain entre ouverte, tout le monde avait en principe quitté la maison, j’entrevis une ombre près de la porte.

 

« Qui est là », demandai-je.

 

«  C’est John », entendis-je.

 

Manifestement il était là depuis plusieurs minutes à m’observer. Je suis sortie de la salle de bain avec mon peignoir. John était dans le couloir, je ne sais pas ce qui m’a pris à ce moment là, c’était la première fois, j’avais probablement envie de me faire un petit jeune, sans réfléchir aux conséquences négatives que cela aurait pu avoir. Je me suis avancée vers lui, il était rouge écarlate, je devinai sous son jean a l’entre jambes son sexe déjà tendu.

 

« Tu n’as jamais vu de femme nue John ? »

 

« no in reality », répondit-il.

 

Je lui pris les deux mains et les amenais sur mes seins. Il était de plus en plus rouge, je le sentais excité au plus haut point. Je fis glisser ses mains sur mes hanches, mon ventre, mon sexe, ouvrit doucement mon sexe pour y introduire un de ses doigts. Déjà je mouillai.

 

« Come in, viens », lui dis-je en l’amenant dans ma chambre. Je le déshabillai en un tour de main. Sous son slip sa verge était tendue comme une flèche. Alors je me suis saisie de ce bel organe et ai commencé doucement à l’introduire dans ma bouche. Je l’ai décalotté délicatement tout en titillant de ma langue son gland. Je descendais ma langue le long de cette hampe, je descendais  encore essayant de gober les deux globes de ses couilles. Trop grosses pour contenir toutes entières dans ma bouche, à moins qu’elles ne soient trop pleines. J’ai envie de les vider entièrement jusqu’à plus soif .Je vais et je viens avec ma bouche gourmande sur ce fruit plein de promesses. Alors que je ne m’y attends pas, John éjacule d’un seul coup dans ma bouche. Il est confus.

 

« excuse me excuse me ».

 

« Ce n’est pas grave je vais t’apprendre à te retenir », lui dis-je.

 

Après quelque minutes John a retrouvé toute sa vigueur. Je m’étends alors sur le lit, écarte les cuisses et l’amène à me pénétrer. Manifestement, je suis sa première femme, il est vraiment puceau.

Je l’aide  en prenant ses fesses à pleine main et en leur imprimant  un mouvement pour rythmer au mieux sa pénétration. Je commençais à sentir une douce chaleur dans mon bas ventre lorsque je sentis une forte giclée au fond de mon vagin, suivie de plusieurs saccades. John se vidait abondamment.

 

«  My God it ‘s fine » « Mon Dieu c’est bon » furent ses premiers mots après cette première pénétration.

 

Durant les semaines qui suivirent j’ai continué à parfaire l’éducation sexuelle de John. Il séchait de plus en plus les cours, tantôt le matin tantôt l’après midi, chaque fois qu’il savait que j’étais là de par mon emploi du temps. Au fil des jours il est devenu un amant appliqué et j’avoue avoir commencé à prendre du plaisir avec lui. Je lui avais appris à me lécher le clitoris, ce qui fut difficile pour lui les premières fois, coincé probablement par des préjugés et son éducation, mais finalement il y mit beaucoup d’application après m’avoir vu jouir de cette façon. Au bout de quelques temps j’ai mis Paul mon mari au courant, je connaissais par avance sa réaction. Il m’encouragea à continuer.

 

Nous étions fin juin c’était la dernière semaine de John à la maison avant son retour aux US. Les enfants étaient partis deux jours en voyage de fin d’année, Paul était en voyage d’affaires.

 

J’avais envie de profiter pleinement de John, de ce jeune corps plein de vigueur, la nuit entière, de vider ses couilles jusqu’à plus soif , d’en faire un vrai homme .Après le diner j’invitais John dans ma chambre . Là je le fis s’assoir dans un des fauteuils, et doucement je me déshabillais devant lui, m’offrant totalement à son regard. Je m’assis à mon tour dans un des fauteuils, écartai grandement les cuisses et l’invitai à venir boire les sucs qui déjà coulaient entre mes lèvres. Avec beaucoup de délicatesse il se mit à me lécher, je sentais sa langue déjà experte qui titillait mon clitoris. Parfois je ralentissais ses caresses pour mieux reprendre mon souffle. Je le déshabillai à mon tour et pris sa verge entre mes lèvres, doucement, avec délectation. Chaque fois que je le sentais prêt à éclater j’arrêtai, lui laissai le temps de reprendre son souffle.  Nous avons joué ainsi de longues minutes avant que je jouisse brusquement dans sa bouche, lui envoyant un flot de cyprine. Il était ébloui, et je le vois encore se barbouillant le visage de mes senteurs.

 

Je me suis mis alors en levrette sur le lit, lui présentant mon cul. Je sentis immédiatement sa verge à l’entrée de mon vagin, mais ce n’est pas cela que je voulais. J’avais envie de lui faire un cadeau d’adieu, j’avais envie qu’il m’encule. Pour lui c’était la première fois, nous ne l’avions jamais fait auparavant.

 

Doucement je guidais sa verge vers mon anus. Il sembla d’abord surpris, mais compris très vite ce que je voulais. Je l’entends encore dire et répéter

 

« Oh yes, oh yes, the asshole ». Doucement là encore il me pénétra avec douceur. Une fois à l’intérieur de mon anus ce fut autre chose, il est devenu comme fou, me bourrant le cul à grand coups de saillie, jusqu’à éclater en moi dans un cri bestial .Il s’est alors retiré de moi,  m’a embrassé sur tout le corps. Nous avons dormi quelques heures avant que de nouveau il me prenne cette fois dans mon sexe, écoulant toute sa jeune semence à gros bouillon .Il a du cette nuit là me baiser 5 ou 6 fois. Ce fut un moment inoubliable pour moi. J’avais l’impression d’avoir contribué à faire de cet adolescent un homme, un vrai.

 

Il est reparti chez lui en fin de semaine, je me souviens encore l’avoir accompagné avec mes enfants à l’aéroport et avoir vu dans son dernier regard beaucoup de tendresse et de reconnaissance. Nous n’avons plus eu de ses nouvelles ni moi, ni mes enfants. Il m’arrive de penser encore à lui, et j’en ai des frissons dans le bas ventre.

 

 

 

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