Plusieurs semaines s’étaient écoulées depuis ma première consultation chez le gynécologue. Ne m’ayant pas rappelée au bout de quinze jours comme il l’avait dit, j’avais presque oublié sa demande. Ce n’est qu’un mois plus tard qu’il m’appela.
« Bonjour Virginie, je souhaiterai vous voir vendredi prochain à 18 h à mon cabinet, je voudrais comme je vous l’avais dit, pratiquer quelques examens sur vous afin de mesurer votre réactivité sensorielle, bien sur vous serez dédommagez pour cela ».
Il raccrocha sans que j’ai pu dire un mot.
C’est ainsi que je me retrouvai pour la seconde fois dans a salle d’attente du gynécologue, que j’appellerai Victor pour simplifier le récit. J’étais seule. Il était 18h lorsque la porte de son cabinet s’ouvrit.
« Entrez et déshabillée vous, je suis à vous dans quelques minutes ».
Il disparut par une porte située au fond de son cabinet, que je n’avais pas remarqué la première fois. J’étais nue depuis quelques minutes lorsqu’il réapparut, accompagné d’un autre homme en blouse blanche comme lui.
« Virginie je vous présente Alain, un confrère, qui va me seconder, cela ne pose pas de problème pour vous ? »
« Non », dis-je, bien que surprise mais pas totalement sachant que je me trouvais ici via le réseau, donc pour une relation dont l’examen médical n’était qu’un prétexte.
Je me retrouvais sur le fauteuil d’osculation, cuisses écartées, sexe ouvert.
« Puis je commencer à l’examiner ? », demanda Alain.
« Faîte cher ami », répondit Victor.
Alain m’écarta les lèvres avec un spéculum, je sentais ses doigts sur mon sexe et mon clitoris. Comme Victor il n’avait pas mis de gants.
Alors qu’il commentait à haute voix son examen « elle a un vagin très tonique, bien irrigué » , Victor installa sur ma poitrine quelques électrodes pour soit disant enregistrer mon rythme cardiaque. Je sentais bientôt un doigt qui fouillait mon anus « Etroite du cul » « Il faudrait l’élargir » dit Alain. Victor confirma qu’il avait déjà lors de notre première séance constaté cela et qu’il fallait commencer à « me travailler l’anus » selon son expression. Alors qu’il avait enlevé le spéculum, Alain se mit à me caresser l’intérieur du sexe, tandis que Victor mordillait mes seins avec ses lèvres. Je crois l’avoir déjà dit je suis ce que l’on appelle une femme fontaine, certaine caresses internes provocant chez moi j’éjaculation de cyprine et autres humeurs aqueuses. Bientôt j’explosais dans les doigts d’Alain qui n’avait pas cessé de me caresser après avoir introduit un puis deux, puis presque sa main toute entière dans mon vagin. « Une superbe jouissance » dit Victor, « Nous allons t’épuiser de plaisir ma chère Virginie , mais il va falloir nous en donner aussi »
« Tu es prête à nous en donner ? »
« oui », répondis-je.
Puis ce fut au tour de Victor de me caresser. Entre temps Alain avait introduit un dilatateur dans mon anus. Pendant que Victor écartait mon sexe avec ses doigts et malaxait mon clitoris, Alain me présenta son sexe et sans me demander quoi que ce soit l’introduisit dans ma bouche. Alain avait introduit dans mon sexe comme un vibro masseur, bientôt je fus de nouveau en transe et je jouie pour la seconde fois. A l’instant même ou j’ai joui, Alain qui s’était retiré de ma bouche, éjacula sur mon visage.
Je ne sais combien de temps tout cela a duré, probablement deux heures car je rappelle avoir quitté le cabinet à 20h passé. Entre temps j’eu droit à bien autre chose. Après avoir commenté de nouveau mes performances cardiaques, ils m’enlevèrent les électrodes. Alain retira alors l’écarteur de mon anus. J’entends encore leurs propos « Un anus parfait » « Vous faîtes vous souvent sodomiser ? » « Seulement par mon mari » répondis-je espérant ainsi éviter la suite que je pressentais. « Dans le réseau, rétorqua Victor, vous serez obligée de faire quelques exceptions ». Ils me firent descendre du fauteuil d’osculation pour m’inviter à prendre place sur une table d’examen beaucoup plus grande. Dans le même temps Alain s’y coucha sur le dos et me guida pour que je m’empale sur lui. Alors que je m’apprêtais à guider son sexe vers le mien, il me repoussa la main et c’est dans mon anus qu’il s’introduisit, j’étais encore ouverte, j’avoue ne pas avoir senti la moindre douleur. Nous étions au bord de la table, lui les jambes pendantes, moi en appui sur deux escabeaux latéraux. Alain se présenta alors face à moi et introduisit à son tour sa verge dans mon sexe. C’était pour moi la première fois que je subissais une double pénétration anale et vaginale.
La position n’était guère pratique, mais les deux hommes s’activaient doucement en prenant soin de ne pas sortir de mes orifices. Je pouvais sentir au fond de mes entrailles ces deux verges qui semblaient se télescoper à l’intérieur de moi, comme pour mieux affirmer leur main mise dans mon ventre. Je sentis bientôt une douce chaleur envahir tout mon bas ventre. Je sentis monter en moi une vague immense, j’avais perdu toute notion de retenue, je ne savais plus ce que je disais ou pensais.
« Oui baisez moi, videz vos couilles, je veux tout, oui remplissez moi », je m’entends encore dire ces mots crus. Je crois bien qu’ils ont joui en même temps que moi, j’avais véritablement les larmes aux yeux. J’ai connu par la suite d’autres doubles pénétrations, mais je n’ai jamais ressenti un tel plaisir que lors de cette première fois.
Je me suis rhabillée, au moment de quitter le cabinet, Alain m’a tendu une enveloppe en disant « Pour ta contribution à une meilleure connaissance de la sexualité féminine » « Tu es vraiment faîte pour ça, je te ferai connaître à d’autres confrères, si tu es d’accord ». J’ai rencontré par la suite, Alain, dans d’autres lieux, mais ce sont d’autres histoires. Arrivée chez moi, j’ai bien sure raconté tout cela à Paul mon mari, qui s’est empressé la nuit venu de vérifier par lui-même que j’étais « faîte pour ça ».
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