Dimanche 1 mai 7 01 /05 /Mai 22:18

Quelques semaines après mon aventure avec Jean, alors que j’avais presque oublié cet instant d’égarement, je reçu un appel de ce dernier. Il m’invitait à passer un week-end complet à Paris. Il me proposait de m’envoyer mes billets de TGV dans les jours suivants.  J’en parlai à Paul.

 

« Vas y, tu en as envie … et moi aussi » . . . « Vas te faire baiser, cela te feras du bien », dit il en m’embrassant.

 

Je lui demandais : « Tu es sur que c’est ce que tu veux »

 

« oui », dit-il.

 

C’est ainsi que je me retrouvai un vendredi après midi dans le TGV pour Paris. Jean m’attendait Gare de Lyon, tout sourire, toujours aussi enjôleur.

 

« J’ai une surprise pour toi », dit-il. « Je t’ai préparé un week-end super ». Je craignais un peu son enthousiasme.

 

« Je t’amène chez moi, tu pourras te rafraichir, ensuite je t’amène diner dans un bon restaurant ».

 

Il habitait prés de la gare de Lyon, pas loin de l’opéra Bastille. Dés que nous fumes chez lui, il me dit « J’ai envie de toi, déshabille toi vite ».

 

Je me retrouvais vite nue devant lui, il me pris alors dans ses bras et m’amena vers sa chambre. J’avoue qu’il me fit l’amour divinement bien et j’ai jouie sans retenue.

 

Nous sommes allés ensuite diner dans un restaurant sympathique et cosy. Vers la fin du repas, Jean me dit « je t’amène dans un club échangiste, je sais que tu y vas avec Paul, c’est lui qui me l’a dit ».

 

J’étais un peu interloquée, mais c’était aussi une opportunité, je n’avais connu jusqu’alors avec Paul que des clubs dans la région lyonnaise.

 

C’est ainsi que nous sommes retrouvés dans un club situé pas loin de l’Hôtel de ville de Paris. Jean connaissais manifestement les lieux. Il m’amena dans un salon, au sous-sol ou au premier étage, je ne m’en souviens plus. Le salon baignait dans une faible lumière. Il y avait au milieu une estrade avec une femme nue, autour d’elle trois hommes. A notre arrivée la femme est venue vers moi, m’a prise par les hanches et a posé délicatement ses lèvres sur les miennes. J’eu un petit mouvement de recul, c’était la première fois qu’une femme m’embrassait ainsi. Je ne m’étais jamais jusqu’alors livré aux plaisirs de Lesbos. Elle m’attira de nouveau vers elle, me caressa les joues, les cheveux. Je ressentis une impression étrange et envoutante. Elle m’embrassa de nouveau, tout en me déshabillant avec calme et beaucoup de tact. Bientôt je fus nue. Elle m’entraina sur l’estrade, je me laissai guider sans rien dire. Elle m’allongea sur le dos, et se coucha sur moi dans la position du soixante neuf. Je sentis bientôt ses mains qui écartaient mes cuisses , sa bouche sur mon sexe, sa langue sur mon clitoris. Je ne sais pas alors ce qui m’a pris, à mon tour j’ai écarté ses fesses découvrant ainsi les lèvres de son sexe  et son petit anus brun et mignon. Je me suis mis à la lécher à mon tour, pénétrant tour à tour de ma langue et son sexe et son petit trou du cul. Tout cela avait un gout salé et poivré à la fois. Cela a duré plusieurs minutes durant lesquelles j’ai oublié ou j’étais et les hommes qui nous regardaient. Nous avons joui en même temps, recevant chacune en bouche les éclaboussures de l’autre. A peine remise de nos émotions, les hommes qui étaient là et dont le nombre avait grossi, nous firent comprendre que leur tour était venu. Nous nous sommes retrouvées toutes les deux, sur l’estrade accroupie à quatre pattes le cul offert. Alors une véritable fête charnelle a commencé, chaque homme nous prenant à tour de rôle. Ils étaient au moins une dizaine. Au bout d’une demi-heure, une heure peut être, je ne savais plus ou j’étais. J’étais fouillée, pénétrée de partout, les hommes se relayant sans arrêt, j’avais l’impression d’être une pute dans une maison d’abattage. Je crois avoir joui une fois, jusqu’à ce que les hommes alors présents se retirent de nos sexes et dirigent leur sexes vers nous, en se masturbant pour finalement gicler sur toutes les parties de nos corps. Nous étions dégoulinantes de sperme. J’avoue ne pas avoir apprécié cette dernière séquence. Nous sommes rentrés chez Jean vers 4 h du matin, j’étais exténuée.

 

Le lendemain fut plus calme. Nous avons flemmardé  au lit, bien sur je dus a deux reprises calmer, avec ma bouche gourmande comme il disait, ses ardeurs. Nous avons passé le reste de la journée à visiter Paris. Le soir Jean m’amena dans un excellent restaurant de la rive gauche. J’appréhendai un peu la suite, je n’avais pas envie de revivre la soirée précédente.

 

Jean me dis  « J’ai envie de t’avoir toute à moi et de te câliner toute la nuit »

 

« Ton programme me va bien », répondis-je.

 

Après avoir prise une douche, j’ai rejoins Jean dans le salon. J’étais nue, sans artifice. Je me suis lovée dans ses bras, ou il commença à m’embrasser, à me caresser. Bientôt il me fit mettre en levrette sur un des fauteuils, les cuisses offertes, le cul bien cambré. Je l’entends me dire « tu es magnifique comme cela, je vais te prendre ». Il me pénétra alternant pénétration en douceur et pénétration en force, caressant mon clitoris avec une de ses mains, l’autre fouillant ma bouche. Nous étions ainsi depuis plusieurs minutes lorsqu’il prit son téléphone. Surprise je ne savais pas  quoi en penser. Très vite j’ai compris à qui il téléphonait. « Oui je suis en train de la baiser bien à fond, elle est superbe et quel cul, tu as de la chance de l’avoir tous les jours a portée de main ».Il téléphonait à Paul mon mari.   « Je te la passe un instant ». « Tu te fais bien baiser ma chérie, donnes toi à fond », me dit Paul. A ces mots je me suis mise à jouir, en râlant de plaisir, j’ai du avoir plusieurs spasmes de plaisir, j’entends encore Paul me disant  « C’est bien ma salope, vas y ». Jean a repris le téléphone, il était toujours en moi, sa verge tuméfiée d’envie de gicler. A ce moment là il se retira de moi et je sentis son sexe contre mon anus  « Oui je vais la prendre par là aussi » Il me pénétra alors violemment par l’anus, j’ai poussé un cri de douleur sur le coup. Je l’entends encore dire « elle est bonne par là aussi, bien étroite, comme j’aime, oh ce cul ! Tu l’as entendu jouir ». Il se répandit alors en moi en poussant un cri de plaisir qui semblait venir du plus profond de lui.

 

J’ai regagné Lyon le lendemain matin. Paul m’attendais à la gare, nous étions dimanche après midi. J’ai une surprise me dit il. Encore une. Il avait loué une chambre d’hôtel tout prés de la gare. Il m’y amena dans la foulée.

 

« J’ai très envie de toi, comme une pute » dit-il.

 

«Moi aussi » j’ai répondu.

 

Une fois dans la chambre, il m’a prise plusieurs fois comme une bête en rut, me sodomisant finalement avec force.

 

 

« Je reprends mon territoire », a-t-il dit à ce moment-là.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Confessions de Virginie - Communauté : Soumissions féminines
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