Julie, pute de l'école

Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 22:55

Chapitre 14 : Le concours


(Auteurs: StormX et Benxxx)


Julie attendait tranquillement chez elle. L'horloge indiquait onze heures précises lorsque le professeur de sport arriva avec le contrat. Il essaya de s'expliquer:

« Vous devez comprendre je n'y suis pour rien. J'étais juste … un des … J'obéissais …


— Arrêtez d'essayer de vous trouver des excuses. Ça vous rend plus pitoyable encore. Faites quelque chose de bien: fermez-la» lui répondit Julie très froidement.

Elle récupéra le contrat, le posa sur la table et demanda au prof de sortir la culotte. Elle était encore maculée de sperme chaud. Julie la jeta au sol et ordonna à son ancien bourreau de la lécher.

Lorsqu'il voulut la prendre avec les mains, elle lui donna un coup de pied dans les parties intimes

— Sans les mains.

Le professeur s'exécuta et nettoya de sa langue la culotte de la moindre trace de sperme. Julie récupéra la culotte et fit partir le prof.

Le lendemain, Julie alla chez un avocat avec son père: Maître Pond, spécialisé dans les affaires de viol qui avait pris connaissance de l'affaire.

« Julie, j'ai lu ton dossier et ton père m'a expliqué ce qu'il t'est arrivé au lycée. Je vous représenterai gratuitement mais je vais être franc : ton proviseur ne va rien prendre; le témoignage de Sally ne sera pas suffisant et il pourrait tout mettre sur le dos de ses trois collègues. Tu vas donc être obligée d'avoir une preuve concrète.


— Comme quoi ? Je suis prête à tout pour faire tomber ses ordures. À tout.


— Un prélèvement de son sperme sur ton corps ou une vidéo qui montrerait une relation sexuelle.

Tout ce qui montrerait qu'il a abusé de sa position sur toi.


— Eh bien, son bureau a une fenêtre fumée mais, si j'arrive à l'ouvrir, on devrait pouvoir prendre une vidéo depuis le parking. N'est-ce pas, Papa ?


— Un dernier effort, ma chérie. Il faut que tu sois forte.


— Et tu ne dois en aucun cas démarrez la relation il doit t'y obliger. Julie, tu dois subir et montrer de la résistance. »

Julie et son père sortirent du cabinet de l'avocat et prirent la direction de leur villa.

— Oh... Merde !


— Qu'est-ce qu'il y a, ma chérie ?


— J'avais oublié : demain, avant de voir le proviseur, j'ai cours de biologie. Je vais avoir besoin de ton baladeur, papa. Je le cacherai discrètement sous mon bureau ; comme ça, il enregistrera discrètement le cours. Ensuite, tu passeras le récupérer à la fin du cours et tu transféreras l'enregistrement sur ton ordinateur. La porte est toujours ouverte pour laisser le concierge nettoyer la salle.


— Ne t'en fais pas, ma chérie, tout va bien se passer. Je passerai dans ta salle de classe après le cours de biologie.

Le père et la fille continuèrent ensuite leur route jusqu'à leur villa sans échanger une seule parole, trop excités et effrayés à la fois par leur stratégie. Arrivée chez elle, la jeune femme se fit couler un bain et monta se coucher.

À son réveil, Julie se sentit bizarre. Elle était impatiente et apeurée à la fois à cause de la journée qui l'attendait. Elle descendit dans la cuisine rejoindre son père pour prendre son petit-déjeuner. Après le repas, Julie alla se changer et alla embrasser son père avant de partir pour le lycée.

La jeune lycéenne avait décidé de partir plus tôt de chez elle afin de pouvoir rejoindre le lycée à pieds et cacher le baladeur de son père sous son bureau sans que personne ne la voie.

Julie arriva au lycée un quart d'heure avant la sonnerie. Elle savait qu'à cette heure-là, aucun membre de sa classe ne serait encore arrivé en cours. La jeune femme ouvrit la porte de la salle de classe et se dirigea vers son bureau sous lequel elle dissimula le baladeur de son père après avoir activé l'enregistrement. Elle ressortit ensuite de la salle de classe sans croiser personne et descendit à la cafétéria s'acheter une bouteille d'eau avant de se rendre à son cours de biologie.

À son arrivée, tous les élèves étaient déjà en train de rentrer à la suite du professeur de biologie.

Elle suivit la foule des élèves et regagna son bureau en tâchant d'avoir l'air le plus apeuré possible.

La sonnerie retentit et le cours commença.

— Seize, dix-huit, vingt, vingt-deux... Ok. Tout le monde est là. Bon, l'un d'entre vous se souvient-il de où nous nous sommes arrêtés le cours précédent ?

Une fille leva la main et le professeur lui donna la parole.

— Vous nous avez montré comment on met un gode dans le vagin d'une femme.


— Bien, Marion. Bonne mémoire. Effectivement, nous allons aujourd'hui poursuivre notre cours d'éducation sexuelle sur les godes. Tout d'abord, ce qu'il faut que vous sachiez, c'est que les godes ont été inventés pour permettre à une femme de sodomiser un homme. Mais bon, n'ayez crainte, messieurs. Je ne vois aucune raison de changer de cobaye. Julie, avancez-vous devant la classe, déshabillez-vous et mettez-vous à genoux.

Julie obéit aux ordres de son tortionnaire. Elle se dirigea vers le bureau du professeur sous les gloussements des filles et les sifflements des garçons dont certains lui mirent la main aux fesses puis, après avoir retiré ses vêtements sous les huées de ses camarades, la jeune femme s'agenouilla au sol.

Le professeur contourna ensuite Julie et alla chercher dans sa sacoche des godes-ceintures et des verres qu'il déposa sur les bureaux des élèves.

— Bon, maintenant que tout est prêt, voici les instructions pour ce cours : les filles, j'ai déposé sur vos bureaux des godes-ceintures. Tout ce que vous aurez à faire, c'est de vous déshabiller et de vous attacher les godes au niveau de votre bas-ventre pour aller baiser notre pute. Les garçons, j'ai déposé des verres sur vos bureaux. Cette fois, vous serez spectateurs mais, par contre, vous participerez à un petit concours dont la juge sera notre chère petite pute : votre camarade Julie.

Les garçons éclatèrent de rire puis le bourreau poursuivit son explication.

— Vous vous masturberez en regardant les filles baiser notre salope puis, lorsque vous sentirez la jouissance venir, vous éjaculerez dans les verres que je vous ai mis à disposition et vous y collerez une étiquette avec votre prénom. C'est pour le concours. Bon, je crois que j'ai fait le tour. Sur ce, amusez-vous bien.

À peine le professeur eût-il prononcé ces derniers mots que les filles retirèrent leurs vêtements avec la plus vive frénésie pour s'équiper de leur gode-ceinture. Elles s'avancèrent ensuite vers le bureau du professeur et se mirent en cercle autour de Julie, laquelle avait déjà été mise à quatre pattes par son professeur.

Les filles caressèrent leur gode en fixant Julie d'un air narquois puis trois d'entre elles la couchèrent sur le dos. L'une des filles saisit ensuite Julie par les hanches et poussa son gode dans le sexe de la soumise qui hurla de douleur. Une deuxième fille s'avança vers Julie. La dénommée Marion.

Marion prit l'extrémité de son gode-ceinture dans sa main et l'avança vers le petit trou de Julie. La jeune femme caressa d'abord doucement l'anus de la pute du lycée puis elle enfonça d'un coup sec son phallus factice entre les fesses qui hurla à nouveau de souffrance.

— Ferme ta gueule, salope.

En disant cela, Marion enfonça trois doigts dans la bouche de Julie, ce qui fit rire toute la classe aux éclats.

Une troisième fille alla rejoindre les deux autres. Elisa Franchini. Elisa se positionna derrière le bureau du prof et fit signe à Marion de sortir ses doigts de la bouche de Julie.

Lorsque l'orifice fut dégagé, Elisa tourna la tête de Julie vers elle et lui mit son gode dans la bouche. La jeune lycéenne se mit à aller et venir dans la bouche de Julie qui poussait des cris de douleur étouffés par le pénis factice d'Elisa.

Excitées par le spectacle, les neuf autres filles rejoignirent Julie. L'une d'entre elles lui enfonça son gode dans le vagin tandis que les huit autres s'amusaient à frapper diverses parties de son corps.

Leur petit jeu dura quelques minutes avant d'être interrompu par le professeur de biologie.

— Merci, mesdemoiselles. On dirait que vos camarades ont déjà tous joui. À présent, retournez à vos places et regardons ensemble le concours !

Les filles obtempérèrent et le prof de biologie alla chercher les verres remplis du sperme des garçons et les posa devant Julie.

— Maintenant, pour ce petit concours, notre salope va boire le sperme de chaque participant et nous dire à la fin lequel elle a préféré. Des encouragements pour la pute de notre lycée, la seule, l'unique, Julie !

Des sifflements et des ricanements se firent entendre dans la classe. Contrainte, Julie prit un verre dans sa main et le porta à ses lèvres. Le verre portait le nom de Jonas.

À peine l'eut-elle avalé qu'elle afficha une mine de dégoût qui fit rire les filles aux éclats, les garçons étant trop concentrés sur le concours pour réagir à quoi que ce soit.

Julie prit un deuxième verre de sperme. Celui de Romain. Elle le but cul sec. Les filles devenaient de plus en plus hilares en voyant Julie avaler son breuvage.

Julie parvint finalement tant bien que mal à finir les verres. Des applaudissements et des ricanements salaces saluèrent son exploit.

— Alors, Julie ? Dites-nous qui est l'heureux gagnant.

Julie ne savait que répondre. Elle ne voulait pas commettre de gaffe et payer les pots cassés mais elle ne voulait pas non plus participer à ce concours stupide qui n'avait pour but que de l'humilier. Aussi décida-t-elle finalement de dire un nom au hasard pour qu'on lui fiche la paix le plus rapidement possible.

— Jérôme, monsieur.

La classe applaudit le dénommé Jérôme qui, en bon gagnant, demanda ce qu'il avait remporté.

— Vous aurez droit à une entrevue gratuite avec notre pute dès demain. Aujourd'hui, elle doit encore servir. Bon, dans les cinq minutes qu'il nous reste, je vous propose de servir un petit rafraîchissement à votre camarade qui s'est si gentiment portée volontaire pour cet exercice.

Sur ces mots, le prof de SVT alla chercher un verre dans sa sacoche et cracha dedans. Il fit ensuite passer le verre à travers les rangs et les élèves crachèrent à leur tour dans le contenant. Le professeur alla récupérer le verre et le donna à boire à Julie.

Dégoûtée, la jeune lycéenne but cul sec cet infect cocktail de crachats. Puis la sonnerie retentit et les élèves sortirent de la classe, accompagnés du prof, laissant Julie au sol, humiliée.

À présent, Julie avait fait le plus difficile. Il ne lui restait plus que le proviseur et ses tortionnaires seraient définitivement hors d'état de nuire.

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Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 22:54

Chapitre 13 : La vengeance de Julie

 

(Auteurs: StormX et Benxxx)


Julie était perdue. Elle était obligée de continuer à vivre comme avant. Toujours obligée d'obéir au proviseur. Toujours obligée d'être humiliée en cours par ses profs, ses camarades et ses anciennes amies. Julie se trouvait dans la même situation qu'avant. Une semaine avait passé depuis l'enregistrement du prof de sport.

Mais c'était pour la bonne cause. En effet, l'ami journaliste de son père avait découvert qu'il y a vingt ans de cela, une histoire similaire à la sienne avait éclaté: une lycéenne avait été mise enceinte par un membre de l'établissement. Or, à l'époque des faits, le proviseur se trouvait justement dans l'établissement. Julie eut une idée.


« Papa j'irai voir la fille seule. Elle … Je pense que si on a vécu le même calvaire, elle préfèrera se confier à une femme.


- J'ai pas confiance. Tu sais il a dû se donner un mal de chien pour la retrouver. À l'époque, les médias n'avaient pas trop parlé de l'affaire. Ils s'étaient plus concentrés sur le rôle de l'établissement que sur les acteurs et on ne sait même pas si c'était ton proviseur.


- Oui mais elle a dû subir des choses comme celles que j'ai subies, moi. Sinon pourquoi personne n'a porté plainte ?


- La honte comme toi. D'avoir été détruite de l'intérieur. On ne peut pas tous avoir la chance de rendre les coups. Mais écoute tu iras voir la fille seule si ça peut te faire plaisir. J'apellerai demain pour dire que tu es malade, d'accord?»

Le lendemain, Julie se rendit au domicile de la femme. Elle n'habitait pas loin. Elle n'avait jamais déménagé, peut-être par peur. Julie sonna à l'interphone d'un petit appartement dans un HLM.

« Qui est-ce ?


- Vous êtes Sally Sparow ?


- Oui. C'est pourquoi ?


- Je m'appelle Julie Jouannot. J'aimerais vous parler de ce qu'il vous est arrivé il y a vingt ans. Je suis dans le même cas que vous: des hommes de mon lycée m'ont violée et j'ai vraiment besoin de parler à quelqu'un. »

Sally ouvrit la porte à Julie et l'invita à entrer. Sally avait la quarantaine, les cheveux blonds et bouclés qui descendaient vers une poitrine généreuse cachée par un pyjama rose bonbon.

« À l'époque, j'avais honte de moi. Ils avaient réussi à m'avoir à leur botte en utilisant la pression. Je me souviendrai du visage de ces connards toute ma vie.


- Comment s’appelaient-ils ?


- Ils étaient deux. Monsieur Kokran, professeur de biologie et Monsieur Delfosse, professeur de français.


- Monsieur Delfosse est mon proviseur … C'est l'un des hommes qui m'abuse. »

Julie éclata en sanglots puis elle demanda à Sally de lui dire comment cela s'était passé pour elle.

« Je sortais avec le fils de Monsieur Kokran. Un joli minois, brun, les yeux verts. Putain, il était bien foutu et bien monté. Puis un soir, son fils est sorti et son salaud de père a commencé à me toucher et m'a dit que, si je disais quoi que ce soit, il y aurait des retombées au lycée. Ensuite, il a commencé à me violer aux récréations. Puis un ami à lui, ton proviseur, l'a rejoint.
Ils m'ont fait des choses horribles. Il m'ont fait signer un contrat qui spécifiait que je deviendrais leur esclave sexuelle. En moins de deux semaines, j'étais devenue la pute du lycée.

Mes amies m'ont lâchée et M.Kokran, ce pervers, faisait participer mes camarades à ses jeux sexuels qu'il organisait pendant ses cours. Les garçons éprouvaient un malin plaisir à me pénétrer en rigolant de mon malaise et les filles riaient de ma douleur et me traitaient de pute à chaque que je criais ma détresse.

Je me souviendrai toujours d'un samedi chez mes bourreaux. Dans la cave, j'étais attachée à des cordes qui me tenaient à quinze centimètres au-dessus du sol. Ils ont commencé à filmer la scène. Ils m'ont fouettée jusqu'au sang puis ils m'ont détachée et m'ont forcée à leur quémander la queue comme une chienne … Je m'en souviendrai toujours … Leurs bites au fond de ma gorge, les va et vient dans mes orifices... Quand je suis tombée enceinte, ils ont fait un pacte: je ne portais pas plainte et eux rompaient le contrat et j'étais libre. »

Devant cela, Julie, qui avait les larmes aux yeux, vit à quoi aller ressembler sa vie si elle se taisait. En sortant elle fit promettre à Sally de témoigner en cas de procès.

En sortant de l'appartement de Sally, Julie reçut un message de son père.

« Retrouve-moi dans dix minutes sur le parking du lycée. Nous allons régler le cas de ton prof de sport.
À tout à l'heure, ma puce.»

L'appartement de Sally se trouvant assez loin du lycée, Julie décida de se rendre de suite au rendez-vous de son père. À son arrivée, celui-ci la prit chaleureusement dans ses bras et lui exposa son plan.

« J'ai appris de source sûre qu'à cette heure-ci, ton prof de sport est seul dans la salle de gym. Donc voici le plan: tu te rends dans la salle de gym, tu te fais remarquer par ton prof et, à ce moment, je rentre et je le fais chanter avec ce que j'ai trouvé. Fais-moi confiance: ce soir, l'un de tes bourreaux tombera.»

Julie hocha la tête et se dirigea vers la salle de gym, son père sur ses talons. En arrivant dans la salle, la jeune femme prit une démarche faussement timide et se dirigea vers son professeur de sport. Celui-ci se retourna et la vit arriver.

- Tiens, tiens, la salope! Tu t'es reposée pour me venir me voir?


- Euh... Non, Monsieur... Je... J'ai perdu mon téléphone.


- Ah bon? Moi, je n'ai rien trouvé mais qu'importe. Maintenant que tu es là, je vais en profiter. À poil!


- Je ne crois pas, non.»

Le professeur de sport leva la tête vers l'entrée de la salle de gym et aperçut le père de Julie arrivant en trombe dans la salle, prêt à en découdre.

- Monsieur Jouannot... Qu'est-ce que vous faites là?


- Ce que je fais là? Je viens réparer les torts que vous et vos collègues avez causés à ma fille.


- Votre fille a commis une grosse erreur en vous prévenant.


- Vous vous trompez, au contraire. Vous et vos copains allez tomber. J'ai un enregistrement de votre dernier cours de sport. De plus... Jolie petite famille que vous avez là.»

Sur ces derniers mots, le père de Julie sortit une photo du professeur et de sa famille de son porte-feuille. Le professeur devint livide.

- Où avez-vous eu cette photo?


- Peu importe où je l'ai eu. Ce qui compte est l'arrangement que nous allons conclure. Si vous ne voulez pas que je révèle à votre femme ce que vous faites avec ma fille, vous allez gentiment faire ce que je vous dis.»

Le professeur hocha la tête en signe de soumission.

«Très bien. Premièrement, vous n'organiserez plus de jeux sexuels durant vos cours.

Deuxièmement, vous avez intérêt à respecter ma fille et à la traiter comme si elle était la vôtre.

 Troisièmement, si je viens à apprendre que vous avez enfreint l'une des deux règles que j'ai établies, je révèle tout votre petit jeu à votre femme et c'en sera fini de votre petite vie tranquille de prof de sport. Est-ce que c'est compris?


- Oui, Monsieur Jouannot. Je ferai comme vous voudrez mais, par pitié, ne dites rien à ma femme.

 


- Je suis un homme de parole. Et j'ose espérer que c'est également votre cas. En attendant, tu veux t'amuser un petit peu avec lui, Julie?»

M. Jouannot se pencha à l'oreille de sa fille et lui murmura quelques mots. Julie eut un large sourire.

« Je serai à l'entrée, ma chérie. Je vous laisse entre les mains de ma fille, monsieur le professeur. Vous connaissez la règle: si vous ne lui obéissez pas, je dirai tout à votre femme.»

Le père de Julie s'éclipsa, laissant sa fille seule face à son ancien tortionnaire.

- À poil, "Monsieur".

Le professeur s'exécuta sans broncher. Quant à Julie, rien que le fait de donner cet ordre lui procurait une joie extrême qu'elle n'avait plus connu depuis un bon bout de temps.

- Et maintenant, à genoux et baissez la tête.

Le professeur s'exécuta et Julie retira ses vêtements comme l'avait si prétentieusement voulu son professeur quelques minutes auparavant. La jeune femme releva la tête du vieillard et la colla sur son sexe.

- Léchez.

Le prof de sport obéit sans discuter. Julie le laissa lécher sa chatte quelques minutes durant puis elle le laissa retomber lourdement au sol. La jeune lycéenne se positionna dos à son prof puis elle lui releva la tête et l'attira vers son anus, le forçant à le lécher.

Julie laissa durer le plaisir durant quelques longues et agréables minutes puis elle relâcha la tête de son professeur et redressa celui-ci sur ses jambes. Pour conclure, la jeune femme décocha un coup de pied dans les parties du vieillard en y mettant toute la haine et le dégoût qu'elle éprouvait pour lui. Le professeur tomba au sol en criant de douleur.

Julie se rhabilla ensuite sans remettre sa petite culotte en ignorant les plaintes de l'instituteur. Avant de s'en aller, la jeune lycéenne laissa tomber sa petite culotte sur le visage de son professeur.

- Branlez-vous dedans et, une fois que vous aurez joui, vous la rapporterez chez moi encore couverte de sperme et la nettoierez avec votre langue devant moi. Je vous donne une heure pour le faire. Si vous ne le faites pas, mon père racontera tout à votre femme.

Julie tourna les talons et retrouva son père à l'entrée de la salle de gym. L'agréable moment de domination qu'elle avait passé avec son prof de sport lui redonnait confiance et elle était à présent prête à affronter autant de perversions qu'il le faudrait.

Mais, pour cela, elle allait devoir retourner à sa condition de pute du lycée... 

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Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 22:52

Chapitre 12 : Nouvelle rasade de filles

 

(Auteurs: StormX et Benxxx)

 

Tout avait commencé dans un bus. Tout cela. Son calvaire. Elle en venait presque à penser à la mort. Si son père n'avait pas tout découvert, elle serait très probablement passée à l'acte. Le soir, dans son lit, pour la première fois depuis le début de son calvaire, elle ne pleurait pas. Au contraire, elle souriait. Elle ne pensait plus au mal qu'il lui était arrivé mais à ceux qu'elle ne subirait plus. Elle se prenait même à imaginer son proviseur et toute la bande derrière les barreaux juste avant de s'endormir.

Mais le lendemain matin, elle se rendit compte que rien n'était différent et qu'elle restait aux yeux de tous la pute du lycée. Elle commença sa journée par un classique petit déjeuner. Son père était déjà levé ou plutôt toujours debout. Il n'avait pas dormi. Qui aurait pu? Une fois le petit déjeuner fini, son père et elle décidèrent de mettre au point une sorte de plan d'action pour la semaine à venir.

« Chérie, tu sais que je t'ai promis qu'il ne pourrait plus abuser de toi. Mais on doit réunir des preuves contre ce salaud.

- Des preuves ? »

Julie ne comprenait pas ce que son père voulait dire. Comment créer des preuves contre une machine aussi bien huilée et connue de tous? Aucun témoin et des centaines de personnes étaient persuadés que Julie n'était qu' une pute et rien de plus.

« Tu m'as parlé d'un contrat. Ceci serait une preuve. Des enregistrements audio, des vidéos... Tout !

- Pas moyen. Je suis fichue. Je serai leur pute jusqu'à la fin de mes jours.

- Non. On l'aura. J'ai un ami qui est journaliste. Je vais lui demander de chercher un peu dans le passé de ton proviseur pendant que toi, tu essayeras de trouver la force de continuer. Moi, je rassemblerai les pièces.»

Le reste de la journée tourna autour de par où la contre-attaque devait commencer. Finalement, ils décidèrent de s'attaquer au membre le plus « fragile » du groupe, le prof d'EPS. Ce gros salaud était marié, contrairement aux autres donc plus enclin à lâcher sous la pression.

Le lendemain, Julie avait cours de sport justement. C'était son premier cours. Elle portait un micro scotché sur la poitrine, un peu comme dans les films. C'était un vieux baladeur de son père, du temps de sa jeunesse.

Elle arriva avec vingt minutes d'avance dans le gymnase. Il n'y avait que le prof de sport qui préparait les filets pour le volley.

« Ah! La petite pute!

- Bonjour, monsieur.

- Le même traitement que d'habitude. Allez, salope! À genoux.

- Bien, monsieur. »

Elle se mit à genoux et baissa le pantalon et le caleçon du prof. Si on les surprenait, tout le monde aurait pensé que c'était une journée comme les autres pour Julie. Mais non. Elle commençait à remonter. Elle y allait à fond. Tout ce qu'elle avait appris de ses 20 jours en enfer, elle le mettait en pratique comme pour faire baisser sa garde au prof. Elle comprenait à présent la stratégie de son père. Faire comme si de rien n'était et continuer à jouer le jeu pour faire baisser leur garde à ses tortionnaires. Elle lui massa les bourses de sa main droite et lui tint la queue à la base de sa main gauche.

Son gland se faisait caresser par la langue si agile de Julie. Elle ne sortit la queue que pour reprendre son souffle, cracher un peu dessus et recommencer le même traitement.

Lui malaxer les couilles, le sucer avec sa bouche devenue experte, la ressortir, respirer, cracher dessus, la gober. Cela semblait un cycle sans fin pour Julie qui commençait à se demander si le vieux pervers qui lui servait de prof de sport éjaculerait un jour.

« T'es la meilleure pute que ce lycée pouvait avoir Julie.

- Merci monsieur.

- Heureusement qu'on t'a fait signer ce contrat. Putain, tu suces comme une reine. La reine des putes, bien sûr. »

Julie en avait assez de sucer pour survivre. À présent, elle suçait pour revivre. Remonter à la surface. Redevenir elle-même. Mais pour cela, elle devait sucer ce porc. Sentir sa queue au fond de sa gorge, ses gouttes de sueur ruisseler sur son visage et entendre ses râles.

Soudain, il lui fit sortir sa queue de la bouche pour l'asperger de son sperme, comme si elle n'avait pas déjà subi suffisamment de mauvais traitements.

Son visage entier en était recouvert. Ses cheveux avaient par endroits d'épais filets de semence et ses vêtements qu'elle avait réussi par on ne sait quel miracle à protéger de la lourde décharge du prof de sport n'avaient que deux ou trois taches discrètes.

« Allez, va te changer. Ça ne serait pas bien si tout le monde te voyait encore plus pute que tu ne l'es d'habitude. »

Julie partit se changer dans le vestiaire des filles. Il ne lui restait plus beaucoup de temps avant que les autres arrivent et, sentant au plus profond d'elle-même qu'elle serait mise à nue durant l'heure de sport, elle se demandait où planquer son baladeur-micro. Dans l'urgence, elle opta pour le décrocher de sa poitrine et le faire passer pour un objet de valeur. Ainsi, elle pourrait le cacher dans le "casier des valeurs" et enregistrer ce qui allait se passer sans que personne ne se doute de rien.

La jeune enroula les écouteurs autour du baladeur et se changea. Les autres filles rentrèrent les unes après les autres en lui lançant des regards moqueurs ou hautains. Julie les ignora bravement et rejoignit la salle de sport. Le prof et les garçons étaient déjà rentrés. À son entrée, la jeune fille fut accueillie par des sifflements et des regards lourds de sous-entendus.

Elle déposa le baladeur de son père dans le casier et s'assit avec les autres élèves en supportant courageusement leurs attouchements, sachant qu'elle n'allait pas tarder à subir pire.

Les autres filles rentrèrent dans la salle et lorsqu'elles se furent assises, le prof commença à présenter le programme de la leçon. Dès les premières paroles, le pressentiment de Julie se confirma.

« Bonjour. J'ai eu vent de votre contrôle de biologie. En accord avec votre professeur, étant donné que vous avez été sages et que, en plus de votre intérêt pour l'éducation sexuelle, vos notes sont toutes excellentes, en particulier dans les prises de notes chez les filles, j'ai décidé de mettre à profit cette heure pour que vous puissiez mettre en pratique ce que vous avez appris durant le cours de biologie. Alors? Ça vous dit?»

Les élèves crièrent à l'unisson leur approbation. Le prof de sport se saisit de Julie puis, après l'avoir mise à nu, l'attacha par les poignets aux espaliers de la salle de sport. Il lui banda ensuite les yeux et entraîna les autres élèves à l'écart. Après quelques minutes, Julie entendit un bruit d'ouverture d'une boîte et celui de mains s'emparant de son contenu. Au vu de ces bruits et de la situation, Julie put en déduire qu'il s'agissait de préservatifs.

Puis l'orgie commença. Dans la salle, la jeune lycéenne entendait les cris de surprise mêlés de plaisir des filles et les râles des garçons. Pour elle, cela n'avait aucun sens. Elle avait été mise à nu par son prof de sport devant toute sa classe. Elle pensait donc qu'ils allaient encore tous profiter d'elle.

Finalement, après un certain temps qu'elle ne pouvait estimer en raison de son aveuglement, Julie comprit la mise en scène de son prof de sport au moment même où celui-ci lui retira son bandeau.

Devant ses yeux, toute sa classe, filles et garçons, était nue et la fixait d'un regard méprisant et ironique.

« Les filles, mettez-vous en rang. Les garçons, regardez le spectacle.» ordonna le professeur.

Les élèves obtempérèrent. Les garçons s'étaient assis en demi-cercle autour de Julie et des filles tandis que celles-ci s'étaient alignées en file indienne devant la soumise. La première fille à passer fut Christelle Delmont, une jolie brune à la poitrine opulente. Christelle s'avança vers Julie, s'agenouilla en face d'elle et lui donna ses seins pleins de sperme à sucer. Julie nettoya la poitrine de sa camarade et avala la semence qui la souillait sans hésiter.

La seconde fille s'appelait Marion Belfort. Grande blonde plantureuse à poitrine moyenne (75C), elle était l'une des plus grandes rivales de Julie dans le domaine des relations aux hommes et n'avait jamais digéré sa défaite contre Julie lors de leur bataille pour le petit copain de la soumise. Marion s'approcha de Julie. Elle lui tourna ensuite le dos et lui tendit sa croupe. Julie lécha le cul de Marion jusqu'à le rendre propre tandis que les garçons éclataient de rire en voyant ce spectacle.

Marion retourna s'assoir par terre et laissa sa place à Elisa Franchini. D'origine sicilienne, Elisa possédait une belle peau mate et un joli teint méditérannéen qui plaisait bien aux garçons. Elisa prit place devant Julie et vida le contenu d'un préservatif sur les seins et la chatte de la soumise avant de regagner le cercle.

Une quatrième fille se présenta devant Julie. Caroline Mercier. Caroline était une jolie brune de taille moyenne et ne possédait pour ainsi dire pas grand chose au niveau de la poitrine mais, cependant, avait de jolies formes que la danse et l'athlétisme avait sculptées. La jeune fille se pencha au-dessus de Julie et cracha sur son visage. De la salive, mêlée à du sperme, recouvrait le visage de la malheureuse.

Une cinquième fille prit le flambeau de Caroline. Aline Pittet. Blonde, hanches taillées en A, poitrine bien ronde, Aline n'avait rien à envier aux autres filles. Et surtout pas à Julie qu'elle était sur le point d'humilier et qui la regardait d'un air suppliant. Aline s'avança vers Julie et, après lui avoir violemment ouvert la bouche, cracha sa salive au sperme dans la gorge de la soumise.

Aline retourna à sa place et les neuf autres filles de la classe allèrent donner leur "aumône" à Julie. Le prof de sport, qui s'était jusqu'à présent contenté de regarder le spectacle en se caressant, annonça la fin du cours. Les autres élèves poussèrent un soupir triste.

« Rassurez-vous. Vous avez tous été sensationnels avec notre pute durant ce cours. Je vais parler de votre performance à votre professeur de biologie pendant votre heure de trou. Il sera fier de vous et n'hésitera pas à refaire un exercice de pratique avec vous. Vous avez ma parole.»

Les autres élèves remercièrent niaisement le prof de sport tandis que Julie affichait une mine apeurée.

« Bon, à la douche maintenant. Sauf Julie, bien sûr. Les filles, vous y veillerez.»

Les filles éclatèrent de rire et tous les élèves, Julie y compris récupérèrent leurs objets de valeur. Julie mit discrètement fin à l'enregistrement et entra dans le vestiaire des filles où elle se changea de suite sous la surveillance de ses camarades.

Julie sortit ensuite du vestiaire et alla rejoindre son père sur le parking du lycée. Celui-ci la prit dans ses bras pour lui redonner du courage. Ils se retirèrent ensuite dans la voiture familiale et écoutèrent l'enregistrement que Julie avait habilement réalisé à l'insu de ses tortionnaires.

« Parfait, Julie. C'est exactement ce qu'il nous fallait. Dès ce soir, ton prof de sport sera dans les cordes. Tu peux me croire. Je me suis renseigné sur sa femme auprès de la femme de mon ami journaliste qui est l'une de ses plus grandes amies. Je lui ai raconté dans les grandes lignes ton histoire et elle m'a affirmé que la femme de ton prof de sport détestait voir une femme soumise contre son gré. J'ai trouvé l'endroit où il faut frapper, ma chérie. Tiens bon encore aujourd'hui et tout ira mieux. Pour les autres, tu as une idée pour enregistrer aussi discrètement leurs perversions?

- Oui, papa. Ne t'inquiète pas.»

Le père de Julie dupliqua le précieux sésame dans son ordinateur portable et Julie retourna au lycée pour son cours de biologie.

La machine allait enfin être détruite. Grâce à son père. 

 

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Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 22:51

Chapitre 11 : Livrée en pâture  à ses « amies »

 

(Auteur: StormX)

 

 

À sa sortie du lycée, Julie voulut éviter de croiser trop de monde sur le chemin de sa villa. Elle choisit donc d'emprunter un sentier forestier peu fréquenté le soir et quelques petites ruelles désertes pour rentrer chez elle.

Le visage couvert du sperme du son professeur des technologies, la jeune lycéenne espérait de tout cœur ne croiser personne qui puisse profiter de l'état de son visage pour lui demander un quelconque service sexuel.

Par chance pour elle, Julie arriva chez elle sans encombres une demi-heure plus tard, soit dix minutes de plus que si elle avait pris le bus depuis l'arrêt du lycée. Lorsqu'elle rentra, Julie constata l'absence de son père, probablement retenu à son travail par une quantité impressionnante de paperasse urgente.

La jeune lycéenne mit à profit l'absence de son père pour s'essuyer le visage dans la salle de bain. Après s'être assurée que toute trace de sperme avait disparu de son visage, Julie alluma le téléviseur et se mit à regarder un épisode de "Friends" en attendant le retour de son père.

Celui-ci arriva environ une heure plus tard. Julie éteignit le téléviseur et alla saluer son père.

« Bonsoir, papa.

- Bonsoir, Julie. Ça va? Tu m'as l'air bizarre. Il s'est passé quelque chose?

- Non, rien. Je suis juste un peu fatiguée. Je vais aller me coucher. Bonne nuit, papa.

- Bonne nuit, Julie»

La jeune fille embrassa son père et monta dans sa chambre. Elle s'allongea sur son lit et se mit à pleurer abondamment, la tête entre ses mains. Elle voulait dire la vérité à son père mais elle craignait les représailles de ses tortionnaires s'ils apprenaient qu'elle avait parlé. Julie décida donc d'essayer de dormir avec l'image d'un week-end tranquille avant de retourner au lycée et de subir une énième humiliation. Malheureusement pour elle, son week-end ne serait pas de tout repos. Et, au fond d'elle-même, elle le savait.

Un étage en-dessous, le père de Julie regardait tranquillement un match de football quand le téléphone sonna. Il se précipita sur le combiné pour décrocher le plus rapidement possible de peur de réveiller sa fille qu'il croyait endormie.

« Monsieur Jouannot?

- Oui?

- Bonsoir. C'est M. Delfosse, le proviseur du lycée. J'appelle pour les cours d'appui de Julie. Je pense que, finalement, votre fille sera mieux chez moi. Elle pourrait apprendre en tandem avec ma fille Camille. Croyez-moi, les adolescents apprennent beaucoup plus facilement lorsqu'ils travaillent avec un ami.

- Je vous fais confiance. Si c'est ce qu'il y a de mieux pour Julie, c'est d'accord.

- Parfait. Je passerai la chercher demain matin vers 10h.

- D'accord. Merci, monsieur.

- C'est normal. Passez une bonne soirée, M.Jouannot.

- Bonne soirée à vous aussi. Au revoir.»

Le lendemain, Julie se leva de bonne heure car elle avait passé une très mauvaise nuit. Ses rêves ou plutôt ses cauchemars avaient été ponctués par les humiliations qu'elle avait subies au cours de ces vingt derniers jours. Elle s'étaient revue en train de sucer le proviseur dans son bureau puis le prof de sport dans son vestiaire en passant par la séance de pénétration pendant le cours de biologie durant laquelle tous les garçons de sa classe l'avaient pénétrée et éjaculé sur son corps et, pour finir, le prof de biologie lui enfoncer le gode dans le vagin après lui avoir fait boire un verre rempli du sperme des garçons qu'il avait récupéré et vidé un autre sur son corps, la faisant crier de douleur sous les éclats de rire de ses camarades.

La jeune femme se prépara une tasse de café et une tartine avec du Nutella. Son père entra dans la pièce, le sourire aux lèvres. Lui, au moins, avait bien dormi.

« J'ai une nouvelle à t'annoncer, Julie. Ton proviseur a appelé hier soir. Il propose que tu ailles étudier chez lui avec sa fille Camille. Je lui ai dit que tu irais. J'ai fait ça pour toi car je veux que tu réussisses ton année. Et le proviseur aussi. Il passera te prendre à 10h.»

Julie hocha la tête. Son intuition ne l'avait, hélas, pas trompée. Dans deux heures, elle partirait chez son proviseur pour une nouvelle humiliation qui ne ferait que la rabaisser davantage bien que, pour elle, cela fusse difficilement possible au vu du parcours qu'elle avait enduré.

Anticipant le souhait du directeur, la jeune lycéenne s'habilla de façon sexy avec un débardeur blanc et une mini jupe assortie sans mettre de sous-vêtements en-dessous. Julie eut ensuite tout juste le temps de faire sa toilette avant d'entendre la voiture du proviseur stationner devant la villa.

La jeune lycéenne sortit accompagnée de son père. Les deux hommes se serrèrent virilement la main et Julie monta dans la voiture du proviseur. Le père de Julie adressa encore quelques remerciements polis au proviseur avant que celui-ci ne prenne congé et ne parte en compagnie de Julie.

Dès qu'ils se furent suffisamment éloignés, le proviseur commença à caresser l'entrejambe de Julie. Mal à l'aise, la jeune femme prit sur elle, se préparant ainsi psychologiquement à l'enfer qu'elle allait subir une fois arrivée chez son tortionnaire.

« Alors, Julie? J'espère que tu n'as rien mis sous tes vêtements car je déteste perdre mon temps avec la lingerie.

- Non, monsieur... Je... n'ai rien mis.» répondit Julie d'une voix tremblante.

- Très bien...»

La voiture du proviseur finit par stationner une heure plus tard devant une superbe villa blanche entourée par une vigne sur trois de ses côtés. Le directeur sortit de la voiture et ouvrit la portière arrière du côté de Julie pour l'en sortir sans ménagement.

« Avance.» lui ordonna-t-il.

Apeurée, la jeune lycéenne marcha d'un pas craintif devant le proviseur qui fermait la marche.
Après lui avoir fait monter un escalier menant au perron de la villa, le proviseur ouvrit une porte fenêtre donnant dans la salle de séjour de la maison et annonça son arrivée et celle de Julie.

« Coucou, les filles! Votre surprise est arrivée.»

Aussitôt, des bruits de pas se firent entendre et Camille arriva complètement nue dans la pièce accompagnée de deux autres filles également nues. Toutes deux anciennes copines de Julie.

Les trois filles éclatèrent de rire en voyant Julie.

« Je m'attendais à la voir déjà à poil, pute comme elle est.» railla Camille.

Les deux autres éclatèrent de rire et l'une d'elles donna réplique à Camille.

« Moi, je trouve ça normal. Elle ne veut que des hommes. Or, nous n'avons pas de bite entre les jambes qu'elle puisse se mettre dans la chatte.»

Les trois filles pouffèrent de rire et le proviseur intervint.

« À ce que je vois, votre surprise vous plaît. Bon, qu'attendez-vous pour la mettre nue?»

Sans se faire prier, Camille et ses copines s'emparèrent de Julie et se mirent à la déshabiller. En moins de dix secondes, les trois filles avaient mis leur soumise à nu. En voyant "Julie, pute de l'école" inscrit sur la poitrine de Julie, le proviseur et les trois filles ne purent réprimer un immense éclat de rire.

« Ah... Décidément, je commence à adorer ce professeur des technologies! Pas vous, les filles?» demanda le proviseur.

Camille et les deux autres hochèrent la tête et, sans autres, s'attaquèrent à Julie. Après l'avoir fait tomber au sol, les trois filles prirent leur soumise par les bras et les jambes et la mirent à quatre pattes sur la table basse du salon sous les yeux satisfaits du dirlo qui s'était déshabillé et avait commencé à se masturber.

« Papa, va chercher les ficelles. Elodie, Manon, tenez-lui les bras et les jambes.» ordonna Camille.

Élodie et Manon maintinrent fermement Julie sur la table tandis que Camille s'était assise de tout son poids sur le dos de la soumise en attendant l'arrivée de son père avec les ficelles.

Le directeur revint quelques secondes plus tard avec quatre longues ficelles. Il attacha ensuite Julie par les poings et les pieds à la table. Camille se releva et les trois filles sortirent des cravaches et des godes de l'un des tiroirs.

Camille et les ex-amies de Julie se placèrent de part et d'autre de celle-ci et la ruèrent chacune à leur tour de coups de cravache en rigolant de ses cris de douleur devant le proviseur tranquillement assis dans son fauteuil en train de se caresser.

Manon abandonna sa cravache sur le sol et vint se placer face à Julie, son sexe arrivant à la hauteur du visage de la pute du lycée. Instinctivement, Julie approcha sa langue de la chatte de Manon et se mit à la lécher de bas en haut en donnant à chaque va et vient un puissant coup de langue sur le clitoris de sa maîtresse pendant que Camille et Élodie lui fouettaient le cul, la faisant gémir de douleur.

Manon finit par jouir rapidement sous les coups de langue de Julie. Elle céda ensuite sa place à Élodie. La jeune femme se positionna à quelques centimètres du visage de la soumise tandis que Manon avait récupéré sa cravache et s'était remise à fouetter le fessier et le dos de Julie.

Savourant les cris de souffrance de Julie, Camille ouvrit un tiroir de la table et en sortit un vibromasseur. La fille du proviseur actionna le sextoy et le fit jouer le long du sexe d'Élodie.

Impuissante, Julie regardait, les larmes aux yeux, celle qui avait été son amie se faire branler par Camille en endurant les coups de cravache de Manon.

Au bout de quelques allers-retours de Camille sur sa chatte, Élodie finit par jouir dans un râle de plaisir, giclant toute sa cyprine sur le visage de Julie sous les rires du proviseur et des deux autres filles.

Élodie adressa un sourire méprisant à Julie et reprit sa place derrière la soumise tandis que Camille s'était cambrée devant la pute du lycée, lui donnant son cul à lécher.

Sous les coups de cravache de ses deux ex-copines, Julie léchait le cul de Camille, les larmes aux yeux, retenant difficilement celles-ci de couler le long de son visage.

Tout à coup, la voix du proviseur se fit entendre.

« Allez, les filles! Je ne veux pas jouir en en me branlant comme un gamin. Préparez-moi cette salope.»

Dans un soupir triste, Camille, Élodie et Manon reposèrent leurs cravaches et attachèrent leur godes autour de leur taille. Les trois filles et le proviseur se positionnèrent en file indienne derrière Julie. La première à passer fut Manon. Elle saisit son gode d'une main et écarta les fesses de Julie de l'autre. La jeune femme enfonça ensuite lentement son gode dans l'orifice de la soumise, la faisant hurler de douleur.

Sans se laisser attendrir par les hurlements de Julie, Manon poursuivit ses puissants va et vient dans l'anus de la pute du lycée. La jeune femme sortit ensuite de l'orifice anal de Julie et pénétra violemment cette dernière.

Au bout de dix minutes, lassée de ce petit jeu, Manon céda sa place à Élodie. À l'instar de sa prédécesseure, celle-ci sodomisa Julie avant de la pénétrer mais, dilatée par le premier gode, la soumise souffrit moins sous les coups de butoir d'Élodie.

Camille succéda ensuite à Élodie. Elle portait entre les cuisses le plus gros des trois godes. Savourant le plaisir de baiser sa rivale avec un engin comme son gode, la fille du proviseur caressa l'anus de Julie du gland de son gode avant de la pénétrer violemment. Peu habituée à prendre aussi gros, Julie hurla une nouvelle fois de douleur pour le plus grand plaisir de ses quatre tortionnaires.

Camille sortit du cul de Julie et la pénétra sans ménagement, la faisant encore une fois crier de souffrance. La fille du proviseur poursuivit ses va et vient dans la chatte de la pute du lycée durant cinq minutes avant de laisser son père s'amuser avec Julie.

Le proviseur amena sa queue à l'entrée du cul déjà bien dilaté de Julie et poussa. Son sexe pénétra l'anus de la soumise avec une facilité déconcertante. Le proviseur saisit Julie par les hanches et continua à la pilonner en lui donnant de temps à autre une claque sur les fesses sous les rires de Camille et ceux de ses amies.

Le dirlo se retira de l'anus de Julie pour pénétrer sa chatte dégoulinante de mouille. Ce qu'il ne manqua pas de faire remarquer.

« Regardez. Notre salope mouille! Elle adore être humiliée!»

Les trois filles éclatèrent de rire tandis que Julie tentait tant bien que mal d'empêcher des larmes de honte couler sur ses joues. La jeune femme se sentait honteuse de la réaction de son organisme. Elle aurait voulu être plus forte pour pouvoir se sortir de sa situation de soumise mais elle était trop faible et trop malheureuse pour se battre. Tout ce qu'elle pouvait faire, c'était subir et profiter des seuls moments de répit qu'on lui laisserait.

Le proviseur enfonça son sexe dans celui de Julie et y fit de puissants va et vient jusqu'à la jouissance sous les encouragements de sa fille et des deux autres.

« Allez, papa! Baise-la fort!!!» criait Camille pendant que Camille et Manon scandaient le nom du proviseur.

Les mots de sa fille et l'ovation que lui faisaient les deux autres ne tardèrent pas à faire monter le sperme dans son sexe. Le proviseur se retira de la chatte de Julie et, dans un râle de plaisir, éjacula sur les fesses et l'anus de Julie sous les applaudissements et les rires des trois filles.

Apaisé par sa jouissance, le proviseur proposa à Camille et à ses amies de demander au père de Julie si celui-ci était d'accord de laisser sa fille dormir chez eux. Les trois filles acceptèrent de suite et le proviseur décrocha le téléphone de la maison pendant que Camille, Élodie et Manon mettaient un bâillon sur la bouche de Julie.

« Bonsoir, M. Jouannot. Ma fille Camille aimerait beaucoup inviter Julie à dormir chez nous. Comme votre fille ne savait pas si vous aviez des projets pour demain, je voulais savoir si pour vous, il n'y avait pas de problème. Moi, je suis d'accord.

- ...

- Ah, oui, d'accord. Vous avez avancé votre rendez-vous chez le médecin à demain matin avec Julie? Je comprends. La vie est faite d'imprévus. Bon, je vous la ramène vers quelle heure?

- ...

- Dans une heure? Bon, très bien. Ma fille sera déçue mais je comprends pourquoi vous faites tout cela. Après tout, je suis père moi aussi. Bonne soirée, M.Jouannot.

- ...»

Intérieurement, le proviseur fulminait. Ce M.Jouannot, père inquiet pour sa fille, contrecarrait ses plans. Il souhaitait garder Julie une journée de plus pour pouvoir s'amuser davantage avec elle. À regret, il annonça à Camille et à ses amies que Julie ne pouvait malheureusement pas rester. Les filles poussèrent un soupir triste et détachèrent Julie après lui avoir retiré son bâillon.

« Tu peux dire un grand merci à ton père. Grâce à son inquiétude, il te veut à la maison dans l'heure qui suit et nous empêche ainsi de finir ton calvaire ici. Profite bien de ce dimanche pour te reposer car, à l'école, nous n'allons pas te rater. Et maintenant, rhabille-toi. Les filles, essuyez-lui le visage pour que son emmerdeur de père ne se doute de rien.» ordonna-t-il.

Camille et ses amies s'exécutèrent et, à peine Julie fut-elle rhabillée que le proviseur la prit par le bras et l'amena de force dans sa voiture. Durant tout le trajet, le proviseur roula sans adresser la parole à Julie, trop occupé à ruminer sa colère et sa déception.

Au bout d'une heure de route, la voiture du proviseur arriva devant la maison de Julie. Le proviseur sortit de la voiture, ouvrit la portière et la tira sans ménagement de l'habitacle.

« À lundi, salope.» lui dit-il avant de repartir en trombe.

À la fois soulagée d'être rentrée et terrifiée par ce qu'elle allait subir après ce week-end, Julie monta les escaliers qui menaient à sa résidence. Lorsqu'elle ouvrit la porte, son père vint la saluer et lui demanda comment s'était déroulé le tandem avec Camille. La jeune lycéenne répondit que tout s'était très bien passé et prétexta la fatigue afin d'esquiver la conversation.

Seule dans sa chambre, Julie pleurait sans honte. Qu'avait-elle fait pour être traitée ainsi par ses professeurs et ses camarades? Elle avait la chance d'être jolie et attirante mais était-ce une raison pour qu'on la traite ainsi? Non, Julie ne comprenait pas. Tout ce qu'elle savait, c'était qu'elle n'en pouvait plus et qu'elle donnerait n'importe quoi pour que son cauchemar s'arrête.

Julie pleurait toujours en silence en repensant à tout ce qu'elle avait subi durant ce dernier mois. En l'espace d'un mois, elle était passée de la jeune femme respectable promise à un bel avenir à la salope condamnée à satisfaire les besoins sexuels de tout son lycée. Elle se sentait à présent souillée et sans valeur.

Ne pouvant supporter ce sentiment plus longtemps, Julie courut à la salle de bain et se déshabilla en vitesse. La jeune lycéenne entra dans la cabine de douche et se nettoya du sperme du proviseur dont elle ne pouvait plus supporter l'odeur et l'aspect.

Après avoir enlevé toute trace du sperme du proviseur, Julie remit des vêtements propres. Ce simple geste lui donnait une explicable sensation de dignité comme si elle quittait sa condition de pute du lycée pour redevenir l'ancienne Julie. Mais, malheureusement pour elle, les lettres écrites sur sa poitrine par son professeur des technologies avaient survécu à sa douche et lui rappelaient douloureusement sa situation.

Soudain, alors qu'elle allait mettre un T-shirt, la porte de la salle de bain s'ouvrit. Surprise, Julie se retourna et vit son père, lui dévoilant par mégarde sa poitrine souillée par le feutre du professeur des technologies. À la vue de ces mots, le père de Julie devint rouge tomate et ordonna à sa fille de se rhabiller et de tout lui raconter. Julie s'exécuta et rejoignit son père dans le salon.

La jeune lycéenne lui raconta ensuite tout en détail de la façon dont elle était devenue la soumise du proviseur et du lycée tout entier en passant par le contrôle durant lequel les garçons l'avaient baisée sous les yeux des filles qui prenaient des notes. Elle lui raconta l'épisode des verres de sperme et du gode et la séance de gadgets avec son professeur des technologies.

D'abord abasourdi par ce qu'il entendait, le père ne réagit pas. Puis, reprenant ses esprits, il prit sa fille dans ses bras pour la réconforter.

« C'est fini, ma chérie. Cette ordure va payer pour avoir abusé de toi et de ma confiance.» lui dit-il.

À présent, Julie reprenait espoir.

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Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 22:50

Chapitre 10 : Les gadgets du professeur de techno

 

(Auteur: StormX)

 

 

Le professeur des technologies s'avança vers Julie et la libéra de l'installation sur laquelle elle lui avait si honteusement servi de vide-couilles. Il lui laissa quelques minutes pour reprendre son souffle après quoi, il la prit par le bras et l'assit de force sur une chaise.

Après y avoir attaché Julie, le professeur alla chercher une sorte de tube ouvert sur le haut et équipé d'un bouton sur le bas. L'enseignant se plaça ensuite à quelques mètres de Julie et pointa l'ouverture du tube vers la jeune fille.

«Voici le premier gadget que je vais vous faire essayer, ma chère. Connaissant votre parcours, je suis sûr que vous allez l'apprécier...» lui dit-il d'un ton railleur.

Le professeur appuya sur le bouton et un long fil sortit du tube, frappant la poitrine de Julie de plein fouet. La jeune lycéenne poussa un cri de douleur.
L'enseignant lui donna encore quelques coups de fouet qui lui donnèrent une sensation de froid au niveau de la poitrine.

«Magnifique!» s'exclama le professeur.

Il alla ensuite chercher un miroir dans une armoire de la salle afin de montrer à Julie le résultat de sa séance de coups de fouet. Ce que la jeune femme y vit la figea d'effroi et de honte. En effet, le professeur des technologies avait frappé sa poitrine de façon à pouvoir y écrire "Julie, pute de l'école".

C'est à ce moment-là que Julie comprit que le fouet avait une extrémité métallique équipée d'une pointe de feutre indélébile rouge. Ce qui expliquait la sensation de froid au niveau des seins.

«Excellent! Dorénavant, tout le lycée saura qui vous êtes, mademoiselle Jouannot. Interdiction de laver ces lettres sinon les conséquences seront terribles pour vous.» la menaça le professeur.

Il détacha ensuite Julie de la chaise et décida finalement d'en profiter encore un peu avant de la laisser rentrer chez elle.

«Ces deux tests m'ont beaucoup excité, mademoiselle Jouannot. Par conséquent, il faut que je me calme un petit peu.» lui dit-il d'un ton lourd de sous-entendus.

Sans lui laisser le temps de réagir, le professeur força Julie à s'agenouiller face à lui pendant qu'il sortait son sexe.
La verge du professeur pointa fièrement vers Julie qui n'eut d'autre choix que de la prendre en bouche et de la sucer le mieux possible afin de ne pas subir d'autres horreurs de la part de l'enseignant.

Après quelques va et vient sur le sexe imposant de son tortionnaire, Julie le recracha afin de reprendre son souffle.

Exaspéré de voir sa fellation interrompue sans son accord, le professeur des technologies saisit Julie par les cheveux et la força à reprendre son sexe dans sa bouche avant de la lui baiser violemment.

En face, Julie faisait tout pour se retenir de vomir. Le rythme et la puissance des va et vient de la bite de son maître du moment dans sa bouche lui firent avoir plusieurs haut-le-cœur qu'elle parvint à réprimer tant bien que mal.

Après quelques minutes de ce régime, le professeur se retira de la bouche de Julie, la faisant cracher un flot de salive sur son sexe. La jeune fille pensait que l'enseignant allait s'arrêter là et jouir quelque part sur son corps mais il n'en fut rien.

Après s'être retiré de la bouche de Julie, le professeur s'assit sur la chaise et ordonna à Julie de venir le rejoindre. La jeune lycéenne obéit et l'enseignant la saisit par les hanches afin de la faire s'empaler sur son sexe raide. Le professeur soulevait et abaissait Julie sur sa queue à un rythme effréné tant et si bien que Julie ne pouvait plus suivre la cadence et était obligée de se laisser guider par son tortionnaire au violent appétit.

Après quelques puissants va et vient dans la chatte de Julie, l'enseignant se retira du sexe de sa soumise et força cette dernière à s'asseoir sur sa queue toute raide. Julie n'eut pas d'autre alternative que d'obéir à l'ordre de son maître.

Le professeur des technologies repartit ensuite dans la même cadence effrénée qu'auparavant. Il tint encore quelques minutes avant de sortir de l'anus de Julie et de la poser au sol sans ménagement, le visage face à son sexe prêt à l'arroser de sa semence.

L'enseignant se caressa durant quelques secondes devant les yeux de sa soumise avant d'éjaculer par puissants jets sur son visage dans un immense râle de plaisir.

«Maintenant, rhabillez-vous et rentrez chez vous. Vous devez être en forme pour votre week-end avec le proviseur. Bien évidemment, vous rentrerez le visage couvert de mon sperme. Vous ne pourrez essuyer votre visage qu'une fois arrivée chez vous. Si j'apprends que vous avez désobéi à mes directives, je vous ferai subir des traitements bien pires que celui que vous venez de subir. Et n'oubliez pas: je vous surveille. Alors, n'essayez pas de me berner car vous n'y arriverez pas. Et maintenant, filez.»

Julie s'empressa de se rhabiller et prit le chemin de sa maison en espérant qu'il n'y ait personne sur sa route pour voir dans quel état était son visage...

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