Julie, pute de l'école

Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 22:49

Chapitre 9 : La fille du proviseur

 

(Auteur: Edd)

 

Julie errait dans les couloirs du lycée, fuyant les regards des autres élèves. Elle sortait à l’instant du bureau du proviseur, à moitié dénudée et les cuisses maculées du sperme de son maître. Elle devait subir ce rituel trois fois par jour. Le matin. Le midi. Et enfin, à la dernière pause avant la fin des cours. Mais elle devait aussi satisfaire les autres professeurs. Ces derniers avaient toujours à cœur de partager leurs savoirs… et ils débordaient d’imagination. Le proviseur avait requis sa présence pour le week-end. Cela faisait deux jours. Que pouvait-il bien lui vouloir ?

Julie tourna à un croisement pour échapper aux moqueries des autres filles. Elle avait l’habitude de prendre ce chemin rarement emprunté par les élèves. Il menait vers la chaufferie puis le secrétariat. Elle avait parcouru la moitié du trajet quand une main puissante la saisit par la taille… et la poussa vers le mur le plus proche. Julie distingua son agresseur malgré la pénombre. Le black de la dernière fois. Elle ouvrit la bouche pour crier mais aucun son ne sortit. Il avait posé son autre main sur la bouche de sa victime. Puis il lui administra une gifle lorsqu’elle tenta de se débattre.


– Je vais être très méchant si tu continues… et je m’en voudrais de t’esquinter.


Julie continuait de fixer le black, paralysée par la peur. Il n’avait pas l’air de plaisanter.


– Cette salope n’a pas tenu sa parole… continua le black, furibond. Tu vas prendre pour elle. Et ensuite, je m’occuperai de son petit cul.


Il devait probablement parler de Camille, songea-t-elle. Mais pourquoi la coincer dans ce couloir sombre ?


– Elle sera folle de rage en apprenant que je t’ai préféré à elle, expliqua le lycéen, qui semblait lire dans les pensées de Julie.


Elle essaya à nouveau de fuir l’emprise de son agresseur mais en vain. Il était beaucoup plus fort.

 

Elle le sentit diriger sa main vers son entre-jambes puis remonter lentement vers le haut, toujours immobilisée et dans l’incapacité de parler. Il fit jaillir ses seins à l’air libre, après avoir soulevé son top. Julie balbutia quelques mots à l’attention du black, le suppliant de ne pas continuer.


– Ça ne sert à rien de pleurer, dit-il au bout d’un moment, séchant les larmes de Julie. Tu n’as pas envie de te venger de cette garce ?


Julie n’avait plus la volonté de résister. Elle laissa le black lui caresser les seins, puis les lécher. Elle pouvait sentir ses tétons devenir durs et saillants. Elle ferma les yeux pour ne pas voir son bourreau à l’œuvre. Ce dernier ne fit rien pour l’en empêcher. Il essaya d’atteindre sa chatte mais le mini short (très serré) le ralentissait énormément. Il défit alors la boucle du vêtement, le descendit jusqu’aux chevilles et souleva une jambe pour le dégager.

Le black continuait de lui masser les seins, profitant de cet intervalle pour enlever son pantalon et libérer son attirail de compétition. Il saisit Julie par la taille, la souleva du sol, puis la pénétra d’un seul coup. Elle ouvrit soudainement les yeux, poussa un cri de surprise puis s’agrippa au corps musclé de son tortionnaire. Il augmenta très vite la cadence, ne faisant rien pour retenir ses coups.


– Tu es vraiment trop bonne, déclara le black entre deux va-et-vient. Ces salauds ne te méritent pas.
Julie avait plongé son visage dans le cou du garçon, laissant échapper des gémissements toujours plus forts. Elle enroula les jambes au niveau de la ceinture, tandis qu’il forçait de plus en plus, lui faisant balloter les seins au rythme des secousses. Finalement, elle sentit un liquide chaud tapisser l’intérieur de son vagin. Le black poussa un dernier grognement avant de quitter les entrailles de Julie, la plaçant à nouveau contre le mur. La malheureuse manqua de s’effondrer, encore toute pantelante. Elle tâtonna la cloison pour trouver une prise, puis en profiter pour reprendre son souffle.

De son côté, le black venait de remettre son pantalon lorsqu’il fut interrompu par la venue d’une autre personne. Il évita de justesse la gifle de Camille, la saisit par les bras et la renvoya en arrière avec une facilité déconcertante. Julie se dépêcha de remettre ses vêtements, plutôt maladroite.


– Enfoiré ! explosa Camille, rouge de colère. Comment peux-tu me faire ça ? et avec elle en plus…


Le black esquiva une nouvelle attaque, amusé de voir la fille du proviseur s’exciter sans fournir le moindre résultat.


– Je ne suis pas ton jouet, déclara le black d’une voix menaçante.


Camille se figea alors sur place, réalisant que le garçon était devenu sérieux. Elle déglutit lentement en le voyant serrer les poings.


– Tu t’es foutu de ma gueule… donc, je me satisfais avec une autre. Elle est vraiment douée cette pute…


Julie était toujours collée au mur, tâchant de ne pas se faire remarquer.


– Mais il n’y a vraiment pas de quoi s’énerver… reprit le black, les yeux animés d’une étrange lueur. Je te réserve quelque chose de pire encore.


Camille recula brusquement en le voyant venir dans sa direction. Elle était prête à prendre ses jambes à son cou quand le professeur de technologies fit son apparition.


– J’ai entendu des bruits suspects, dit-il après un long silence.


Il dirigea son regard vers Julie. Puis un angle du mur à quelques mètres de leur position. Soudain, le cœur de la jeune fille se contracta. Il y avait une caméra de surveillance. Minuscule. Indétectable à moins de savoir où chercher. Le professeur les avait-il vus ?


– Monsieur… commença Camille, aussitôt interrompu par l’enseignant.


– Aucune excuse, mademoiselle Bertrand. Ce couloir est interdit aux élèves.


Julie posa la main sur son collier, terrifiée. Il savait. C’est le professeur lui-même qui avait conçu cet appareil. Il pouvait surveiller le moindre de ses gestes. Entendre les conversations. Elle avait omis ce détail.


– Vous, continua le professeur à l’attention du garçon. Dans mon bureau. Immédiatement.


Le black ne montra aucune résistance. Il dévisagea une dernière fois Camille puis s’en alla vers la sortie.


– Ah, ces jeunes… déclara le professeur après un long soupir.


Camille était sur le point de quitter les lieux quand l’enseignant la retint par le bras.


– Lâchez-moi ! Si vous ne le faîte pas je dirais tout à mon père. Vous serez renvoyé.
– Les gamines d’aujourd’hui sont incorrigibles, ajouta le professeur d’une voix lasse, après avoir enfoncé l’aiguille d’une seringue dans le bras de Camille.


La jeune fille laissa échapper un cri de surprise, repoussa l’homme et examina son bras. Elle posa ensuite son regard sur la seringue, interloquée. La réaction fut immédiate. Elle tomba sur les genoux, le regard vitreux, inconsciente au moment de toucher le sol.


– Maître… balbutia Julie, les yeux fixés sur le corps inanimé de Camille. Qu’est-ce que…


Le professeur ne la laissa pas finir. Il planta une autre seringue dans le bras de Julie.


– Tu croyais échapper à ma surveillance ?...


Elle glissa le long du mur, lentement, jusqu’à perdre connaissance.

Julie ouvrit les paupières, tâchant de rassembler les derniers souvenirs. Elle avait été droguée. Mais le temps écoulé était un facteur inconnu. Elle tourna la tête pour identifier les lieux, malgré sa vision encore troublée. Il lui fallut un moment pour reconnaître la classe de technologies. Les rideaux avaient été tirés, plongeant la salle dans la pénombre. Les éclairages avaient été baissés de moitié. Julie essaya de respirer mais une charge anormale comprimait sa poitrine, rendant la tâche plus difficile. Elle essaya de bouger sur le côté pour déterminer la cause de cette gêne. Elle toucha quelque chose à la fois brûlant et humide. Et cette odeur légèrement sucrée…


– La pause est finie…


Julie reconnut la voix du professeur. Mais elle fut encore plus surprise de voir une chatte frétiller au-dessus de son nez. Il devait probablement s’agir de Camille. En effet, la fille du proviseur était positionnée à quatre pattes au-dessus de Julie, tête bêche. Elle était toujours inconsciente. Les deux lycéennes étaient complètement nues.


– Inutile de te débattre, expliqua le professeur. Tu risquerais de te faire mal…


Julie sentit la pression d’une corde sur son corps, faite de plusieurs nœuds compliqués, limitant ainsi ses mouvements. Pareil pour Camille.


– Debout là-dedans.


Le professeur adressa une petite tape sur le visage de Camille. Cette dernière produisit un gémissement au moment de reprendre connaissance. La fille du proviseur bafouilla quelque chose au professeur avant de réaliser dans quelle situation elle se trouvait. Elle laissa exploser sa colère, gesticulant dans tous les sens.


– Mon père te foutra au chômage, pervers !


Julie pouvait sentir la corde frotter contre son corps nu. La douleur était intenable. Elle supplia Camille de se calmer.


– Tu peux crier autant que tu veux, répondit le professeur. Les cours sont finis. Il n’y a plus personne.


Camille gesticulait toujours, et ce malgré les liens qui devaient meurtrir sa peau. Puis elle poussa un cri quand une décharge électrique la traversa. Julie en fit également les frais.
– Je vais te faire un cours en accéléré… déclara le professeur de technologies. J’ai placé un dispositif autour de ton cou. Un collier comme celui de ta camarade. Ainsi, je peux épier tes mouvements. Et aussi tes conversations. Enfin, si jamais tu ne te montrais pas obéissante… je serais obligé de libérer une décharge électrique. C’est plutôt douloureux. Voilà pourquoi tu vas être une gentille fille.


– Va te faire voir, sale ordure !


Camille fut interrompu par une nouvelle décharge. Elle se résigna au bout de la troisième.
– Maintenant que j’ai ton attention... Le cours peut enfin commencer.


Le professeur plaqua sa main droite sur la chatte de Camille. Elle voulut protester mais se rétracta aussitôt en voyant son tortionnaire agiter la télécommande du collier. Il glissa deux doigts à l’intérieur de son sexe, les bougea un peu, et en introduisit un troisième.


– Tu apprends vite, ajouta l’enseignant, très fier des progrès de son élève. Attends un peu… mais on dirait bien que tu mouilles.


De son côté, Camille sentait une vague de chaleur lui monter aux joues. Elle ne pouvait pas le voir et pourtant… c’est comme si le professeur se tenait devant elle et la fixait de façon très intense. Elle ferma les yeux pour échapper à son regard. Mais le sentiment de honte qui la rongeait de l’intérieur ne semblait pas diminuer pour autant. Puis elle laissa échapper un gémissement très vite étouffé.


– Tu aimes ça, pas vrai ? ajouta le professeur, ne cessant de la branler. Je sens ta mouille autour de mes doigts. Oh, oui… tu as vraiment l’air d’aimer ça.


Julie pouvait sentir le souffle chaud de sa camarade sur sa chatte. Et il devenait plus rapide quand l’enseignant accentua la cadence. Si bien que Camille ne pouvait plus dissimuler son plaisir.


– Ça suffit pour le moment, fit le professeur avant de quitter le vagin de son élève.


Il dirigea ses doigts englués de cyprine vers la bouche de Julie. Puis les y enfonça.


– Goûte-moi ça.


Julie exécuta les ordres de son maître. Elle n’avait jamais goûté la semence d’une autre fille. A l’exception de la sienne. Elle léchait encore les doigts de l’enseignant quand ce dernier passa à la leçon suivante.

Le professeur s’en alla à l’autre bout de la classe, accordant un moment de répit à ses deux élèves. Il revint quelques secondes plus tard, accompagné d’une autre personne. Camille manqua de s’évanouir lorsque son regard croisa celui du black. Le lycéen affichait un sourire qui en disait long sur ses attentions.


– Ce jeune homme s’est porté volontaire pour parfaire ton éducation.


Le professeur adressa un clin d’œil à Camille, puis invita le black à se rapprocher.


– Monsieur… implora Camille. Je vous en prie…


Le black plongea une main à l’intérieur de son pantalon, faisant un jaillir un sexe de belle taille. Il tira dessus pour lui donner un peu plus de raideur.
– Je promets de ne rien dire…


Julie regarda le lycéen écarter les fesses de sa camarade, puis positionner son énorme gland à l’entrée de son orifice.


– S’il vous plaît, professeur… Aaaah !


Le black donna un grand coup de bassin pour élargir le passage. C’est la première fois qu’il voyait un trou aussi étroit. Mais cela ne semblait pas l’inquiéter. Il continua de pousser malgré les supplices de Camille.

De son côté, Julie imaginait sans peine les souffrances de Camille. Elle pouvait voir la verge du garçon faire des va-et-vient dans le croupion de sa rivale. Le professeur de technologie en profita pour la pénétrer à son tour. Julie retint un gémissement lorsqu’il força son petit trou.


– Aaaah ! Arrêtez-ça !... s’écria Camille. Ça me fait trop mal !


Le professeur n’avait pas l’air disposé à entendre les pleurnicheries de la jeune fille. Il saisit la tête de Camille avec une seule main et la plongea entre les cuisses de Julie.


– Pas de bavardage en classe.


Camille releva la tête pour reprendre son souffle mais la main du professeur la bloquait toujours. Finalement, elle ouvrit la bouche et aspira une grande bouffée d’oxygène. Julie laissa échapper un gémissement quand la langue de Camille s’enroula sur son clitoris.

Le black quitta les entrailles de Camille au bout de quelques minutes. Il arrosa copieusement les fesses de l’adolescente, laissant exploser un grognement de plaisir. Julie sentit également le professeur tapisser l’intérieur de son fondement, faisant jaillir son sperme par saccades. Il resta figé une vingtaine de secondes, complimenta le lycéen pour son travail et quitta les deux filles pour arrêter l’enregistrement d’une caméra posée sur une étagère. Camille avait toujours la tête entre les cuisses de sa camarade, le visage barbouillé de mouille. Elle avait un trou béant à la place de son anus. Et son état de fatigue était tellement grand qu’elle ne remarqua pas les manigances de l’enseignant.


– C’est de l’excellent travail.


Le professeur passa une main dans les cheveux de Camille, écarta une mèche trempée à cause de la sueur et ajouta :


– Ton ami va te raccompagner chez toi. Pas un mot de ça à quiconque. Je te laisse imaginer les conséquences si jamais on apprenait que la fille du proviseur s’adonnait à de telles pratiques…


Julie observa le black prendre Camille dans ses bras, puis s’en aller vers la sortie.

 


– Mademoiselle Jouannot… intervint le professeur après avoir verrouillé la porte. Votre comportement laisse vraiment à désirer ces derniers temps. Je vais devoir y remédier. Ça tombe assez bien car j’ai plein de nouveaux gadgets à vous faire essayer.

 
Julie n’était pas prête de rentrer à la maison…

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Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 22:46

Chapitre 8: Le contrôle

 

(Auteur: Lovesex69)

 

Le professeur de sport caressait la petite chatte gonflée de Julie tout en lui pinçant le téton de l'autre main. Puis il dirigea sa main trempé de mouille vers la petite rondelle toute serrée de Julie et toucha avec sa bite l'orifice de la pauvre jeune fille qui voulait protester, mais elle n'en avait pas la force. Alors, totalement soumise, elle laissa le professeur de sport l’empaler d'un coup sec, et elle poussa un petit cri de surprise. Pourtant, elle n'eut pas mal car elle était maintenant habituée à de tel traitement. Le professeur l'encula violemment, faisant des vas-et-viens rapides. Pendant ce temps, le proviseur, toujours assit à son bureau, tenait la tête de Julie alors que celle-ci lui taillait une pipe. Il l'obligea a garder dans sa bouche son gland, bien qu'elle ait du mal tandis que le professeur continuait ses affaires dans le cul de Julie.

 

Dans une position des plus inconfortables, Julie suçait et massait les couilles, tout en se faisant ballotter par son professeur qui lui malaxait les fesses. Puis, le professeur de sport ralenti ses coups de boutoir, et commença a l'enculer doucement. Il enfonça sa bite profondément dans l'anus de Julie, mais très lentement. Julie soupira de plaisir en sentant le professeur entré totalement en elle, alors qu'au fond d'elle cela la répugnait. Mais elle était dans un état second, et elle savait que si elle résistait elle allait recevoir une décharge électrique de par son collier imposé par ses tortionnaires.

 

Le professeur éjacula dans le cul de Julie, et elle sentit du sperme couler le long de sa raie et de ses jambes. Le proviseur pris la tête de Julie et lui imposa un rythme. Elle suça d'une langue experte la queue du proviseur, tout en lui massant les boules. il enfonça se bite dans sa gorge et Julie sentit du liquide chaud et visqueux sur sa langue. Mr Bertrand retira sa queue et Julie garda le sperme dans sa bouche.


"-Avale, ma chérie. Et surtout, souri."


Julie s’exécuta, tout en essayant de ne pas croiser le regard des hommes. Elle senti une main lui caresser la chatte. Elle commença a onduler le bassin, n'étant plus maître de ses actes, et vit son professeur de sport en train de lui masser les lèvres et de titiller son clitoris. Il lui demanda de se relever et caressa les contours de son trou trempé de mouilles et de sperme qui avait coulé.


"-Assis toi sur le bureau et écarte bien tes cuisses." ordonna le proviseur.


Il s'assit sur une chaise, en face de Julie pour ne rien manquer du spectacle, et fit signe au professeur de sport de s’asseoir sur un fauteuil a côté de lui et aussi en face du bureau.


"-Ma petite Julie, caresse toi. Et masturbe-toi bien. Je veux pouvoir te voir. Et surtout, je veux t entendre prendre du plaisir.


- Oui maître."


Julie commença à se caresser sur le bureau, alors que le proviseur et le prof parlait comme si de rien était. Quelqu'un toqua à la porte au moment où Julie gémissait en faisant glisser un doigt dans sa fente. Le proviseur cria "entré" et le professeur de SVT entra. Il sourit en découvrant Julie et s’avança vers les hommes.


"-Je voudrais vous parler du... Contrôle des secondes 3.


-Ah oui! Eh bien je suis d'accord. A la condition que je puisse y assister, bien entendu." répondit le proviseur avec un petit sourire dans la direction de la jeune fille.


Celle-ci se posait des questions. La seconde 3 était sa classe, et il était vrai qu'ils avaient un contrôle sur l'éducation sexuelle l'heure d'après. Elle se souvint des cours sur cette leçon et pris peur. Elle continua pourtant de se masturber sous l’œil avare des hommes. Elle glissa un deuxième doigt dans sa chatte et se les enfonça doucement. Avec l'autre main, elle commença a se caresser les seins et elle fit rouler son téton entre ses doigts fins. Puis elle sorti les doigts de son sexe et se toucha les lèvres de haut en bas. Elle passa un doigt sur son clitoris et jouit fort. Puis Julie écarts ses lèvres pour montrer a ses professeurs son trou bien dilaté et dégoulinant de mouille. Le professeur de SVT s’avança vers elle et pénétra d'un coup sec un doigt dans la chatte de Julie. Celles-ci se cambra presque instantanément et jouit de plaisir. Il lui ordonna de se rhabiller puis l'incita a la suivre jusqu'à la salle de classe où elle fut accueilli par des railleries de ses camarades: "alors tu as bien mangé?" ou encore "c'était quel prof cette fois? Ils vont tous te passer dessus!". Mais elle était habituée et elle ne broncha pas. Elle alla s’asseoir à une table au fond de la salle, isolée. Le professeur alla derrière son bureau et demanda l'intention des élèves.


"-Aujourd'hui, comme vous le savez, il y a contrôle de prévu. Seulement, après les cours que nous avons eu..."


Il marqua une pause et Julie vit toute la tête se tourner vers elle en ricanant.


"-Donc, après les cours que nous avons eu, qui tenaient principalement sur la pratique..."


Nouveau ricanements. Julie baissa la tête en priant pour se faire oublier.


"-Je me suis dit, et avec l'approbation du proviseur, que le contrôle se basera lui aussi sur de la pratique."


Il y eut un court silence, puis les garçons commencèrent a rire.


"-Et bien sûr, puisqu'il n'y a pas de raison que nous changions, Julie va nous servir de cobaye. Je propose pour les filles, qui ne peuvent décemment pas faire l'exercice, de prendre des notes de ce qui va se passer, et ce sera noté, évidemment."


Julie sortit de son hébétude et supplia le professeur du regard. Les élèves s’étaient lever et les garçons commençaient a faire une queue devant le bureau du prof. Celui-ci ordonna a Julie de se lever et de s’asseoir sur le bureau. Puis il donna des conseils au premier garçon qui lui passa dessus, Jonas Guilleret.


Jonas souleva sa jupe et découvrit sa chatte. Il passa une main dessus, caressa les lèvres de Julie et chatouilla son clitoris. Il passa lentement ses doigts le long de son trou et effleura l'entrée de son anatomie. Puis, Jonas se baissa et donna des petits coups de langue le long de sa chatte. Elle étouffa un gémissement en serrant les lèvres, ce que le professeur remarqua. Il sourit, passa une main sur la chatte de Julie et ricana tout en portant son doigt a sa bouche et le lécha.


Puis le professeur s'exclama:


"-Regardez tous! Notre petite salope mouille déjà!"


Julie était honteuse alors que la classe s’exclamait. Jonas lui ordonna de s’agenouiller et il fit pénétrer sa bite dans la bouche de Julie. Il bandait, au bord de l’érection, et son engin ne mesurait que 12 cm a peine. Julie suça cette nouvelle bite, massa ces couilles pleine de spermes et aspira son gland. Jonas poussa un râle de satisfaction et demanda a Julie de le masturber un peu. Puis il la fit se rasoir sur le bureau et la pénétra violemment.


Julie leva la tête pour exprimer un cri de plaisir et de tristesse, et elle aperçut a travers ses larmes le proviseur qui filmait tout la scène.


Jonas éjacula sur le ventre de Julie et se retira, laissant la place à un autre gaz de la classe, qui s’appelait Romain Blanchars. Celui-ci enleva le haut de Julie et commença à masser ses seins. Le professeur avait pris un pot en verre et il essaya de ramasser le sperme qui était sur le ventre de Julie. Le pot était froid et le contact avec sa peau donna un frisson à Julie. Romain l'interpréta comme un frisson de plaisir dût aux massage et il commença a caresser Julie partout. Puis il l'a fit agenouiller et lui demanda de le sucer. Étant devenu une experte, elle commença par donné des tout petits coups de langue sur son gland. Puis elle lui pris les boules et commença a en suçoter une. Mais Romain lui pris la tête violemment et inséra sa bite dans la bouche de Julie qui cria de surprise. Elle essaya de se dégager, car elle étouffait, mais elle reçut une décharge électrique plus forte que les précédentes. Elle leva les yeux vers le professeur de SVT qui jouait avec la télécommande du collier. Il la réprimanda:


"-Tu dois toujours faire ce que l'on te dit, ma belle. Ok?


-Oui maître. bafouilla Julie."
Julie reprit la bite de Romain en bouche et se laissa diriger par les mains de celui-ci qui lui tenait fermement la tête. Au bout de quelque minutes seulement, alors qu'il allait éjaculer, le professeur lui demanda de le faire dans le pot en verre qui contenait déjà le sperme de Jonas.


Les 10 autres garçons de sa classe lui passèrent dessus, et Julie reçut deux décharges électriques.

 

Puis lorsque ce fut fini, le professeur leur demanda a tous de se rasoir et Julie resta recroquevillé par terre, complètement épuisée et humiliée.


Le professeur fit comme si de rien était, enjamba Julie et alla se poster devant le tableau. Puis il informa les élèves qu'il ne restait plus que cinq minutes avant la pose de midi et tous poussèrent un soupir triste.


"-Mais, continua le professeur, comme vous avez été très sage, j'ai un cadeau pour vous."


Il ordonna a Julie de se relever et de se mettre en face de lui. Elle se releva, nue, tremblante et pourtant couverte de sueur, et alla devant le professeur. Il sortit les pots en verres et les posa tous sur la table. Il y en avait trois, tous remplient du sperme des élèves et étaient à raz-bords. Le professeur ordonna à Julie de boire le premier. Elle ne bougea pas.


"-Aller les autres, encourager votre salope de camarade."


Toute la classe se mit à hurler et à rire. Julie prit fébrilement le verre en main et commença a boire le sperme refroidit. Lorsqu'elle eut fini le premier verre, le professeur lui dit:


"-Celui-là, je vais le garder. Et il reste le troisième maintenant."


Il s'empara du troisième verre plein de sperme et en versa sur la chatte et le cul de Julie. Il coulait le long de ses jambes. Puis il en mit dans sa bouche et dans ses cheveux. Elle se retenait difficilement de pleurer. Ensuite le professeur ouvrit un tiroir de son bureau et en sortit un énorme godemichet qui faisait la largeur de trois bite de black a lui seul. Le professeur de bio le fit tourner entre ses mains et demanda a la classe ce que c'était, arrachant un sourire gêné aux élèves. Le professeur réitéra sa question en s'adressant cette fois ci à Julie. Elle baissa la tête et murmura:


"C'est un gode, monsieur.


-Bien, s'exclama le prof. Et comme il ne nous reste que très peu de temps, je vais juste vous montrer comment on le met. Julie, écarte un peu les cuisses."


Ceci dit, il écarta avec les doigts les lèvres humides de spermes et pénétra d'un coup sec le gode dans la chatte de Julie, qui hurla de douleur alors que tout le monde riait aux éclats.


Puis la sonnerie retentit et les élèves partirent tout en rigolant. Julie se laissa tomber par terre, le gode toujours dans son ventre, et le corps souillé de sperme, de sueur et de mouille. Elle soupira, laissa couler une larme qu'elle essuya aussitôt et commença à se rhabiller. Le professeur d'SVT l'interpella:


"Julie, ma petite Julie, que compte tu faire? N'ai-je pas le droit de profiter de toi, moi aussi?"


Il lui demanda de s’agenouiller. Elle sortit la bite de son pantalon et commença a le sucer. Le prof lui caressa les cheveux. Il trouvait cela si bon. Et elle suçait si bien. Elle faisait des vas-et-viens lents, et fermait les yeux pour pouvoir s'appliquer. Ensuite, il lui demanda de s’asseoir sur la table et il s'empara du gode, en lui faisant faire des vas et viens. Il la baisait avec un gode énorme, ce qui arrachait à Julie des petits cris de douleurs, et aussi de plaisir.


Le téléphone du professeur sonna.

 

Il demanda à Julie de continuer de se masturber toute seule avec le gode et décrocha. C'était le proviseur.

 

Julie enfonçait le gode dans son minois défoncé tout en écoutant la conversation.


"-Oui, elle est avec moi.... Nan... Ok ben oui... Viens... Oui on t attend... A tout de suite."


Julie sentît le professeur reprendre le gode et l'enfoncer dans la chatte de Julie jusqu'à disparaître dans son ventre.. Le proviseur arriva et salua le prof. Puis il demanda a Julie de se lever et de venir le sucer lui. Elle s’exécuta. Elle avait perdu toute dignité et toute volonté. Les professeurs parlèrent longtemps alors que Julie suçait et branlait. Elle reçut deux fois du sperme. Puis sous la demande du proviseur, elle se releva difficilement car le gode qu'elle sentait au fond d'elle la gênait et lui faisait mal.


Elle n'eut pas le temps de réagir. Il l'avait prit par surprise. Le proviseur, pendant que Julie se relevait, lui prit la tête et l'embrassa, tentant d'introduire sa langue dans sa bouche.

 


Elle ne réfléchit pas. Malgré tout ce qu'elle pourrait endurer par la suite. Elle repoussa violemment le proviseur.

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Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 22:44

Chapitre 7 : Soumission de groupe

 

(Auteur: Edd)

 

Dix-sept jours. Le proviseur et ses complices avaient débauché une élève modèle en dix-sept jours. Une élève qui les satisfaisait de manière très docile, répondant à chacune de leur attente. Mais le pire était à venir…

Le garçon qui l’avait prise dans les toilettes des filles s’était empressé de répandre la nouvelle. Et c’est la raison pour laquelle elle se trouvait au même endroit, vingt-quatre heures plus tard. Mais ils étaient trois, contrairement à la dernière fois. Trois lycéens assez costauds. Un black. Un blond. Et un type à lunettes. Elle ne se faisait pas beaucoup d’illusion quant à la raison de leur présence. Il y avait aussi cette fille – Camille – adossée au mur, les jambes croisées. Julie évitait de croiser son regard, devinant le fort sentiment de haine à son égard. Et pour cause, elle était la fille du proviseur.


– Vas-tu enfin te décider à les enlever, tes putains de vêtements ? répéta le black, d’une voix autoritaire. Nous allons te baiser, de toute façon. Je commence à en avoir marre… et je peux très bien te niquer au milieu de la cour. Ça ne me pose aucun problème.


Julie frissonna à cette perspective. Elle ignora les ricanements des deux autres garçons, puis enleva les boutons de sa chemise, très lentement.


– Tu en mets du temps ! déclara le black, impatient. Je ne me souviens pas avoir demandé un numéro de strip-tease. Mets-toi à poil !


Le lycéen se précipita vers elle, écarta violemment les pans de la chemise, faisant sauter les derniers boutons. Par la suite, il laissa échapper un sifflement admiratif.


– C’est bon… vous n’allez pas la reluquer toute la journée, lança Camille, qui avait du mal à ne pas cacher son irritation. Tringlez-moi cette pute, qu’on en finisse.


Le black regarda une dernière fois la poitrine de Julie, se sentant plutôt à l’étroit dans son pantalon.


– Tu veux peut-être un coup de main pour enlever ta jupe ?


Julie retira le vêtement sans plus attendre. Puis elle regarda ses maîtres-chanteurs enlever leurs habits, perplexe en voyant leur attribut se balancer entre les jambes, dont un qui retint son attention. C’est la première fois qu’elle en croisait un de cette taille. Cela dépassait l’entendement. Mais ça ne pouvait pas être plus difficile qu’une saillie à domicile, défoncée à la chaine par quarante bites.

Julie était encore plongée dans ses pensées quand le black la fit s’agenouiller, la positionna à hauteur de son membre, et lui baisa la bouche en donnant des coups de reins très violents. Elle laissa échapper un cri de surprise, à moitié étouffée par cet engin monstrueux. Les deux autres complices ne furent pas longs à venir, bien décidés à profiter de la situation.


– Tu vois… ce n’était vraiment pas difficile, avoua le black entre deux grognements. Il fallait juste y mettre un peu du tien.


Julie se donnait de la peine pour contenir le sexe à l’intérieur de sa bouche. Mais la tâche se révélait impossible. Elle réalisa avec effroi que la majeure partie était encore à l’extérieur. Et qu’il n’avait pas encore atteint sa taille maximale.
– Et nous alors ? gronda le blondinet.


Julie lâcha prise, adressa un dernier regard à cette chose issue d’une œuvre de science-fiction, et se consacra à une bite plus ordinaire. Elle lécha les couilles du garçon à lunettes, remonta le sexe en y baladant une langue experte, puis aspira son gland en laissant échapper un filet de salive. Le lycéen exprima un grognement de plaisir. Puis elle passa au troisième.


– C’est ça… suce-moi la bite, salope, explosa le blondinet, la forçant à prendre son membre jusqu’à la garde.


Elle alternait les partenaires à une vitesse incroyable. Une queue dans la bouche. Et une autre dans chaque main. Il lui arrivait parfois de cracher dessus pour mieux les faire glisser, toujours suivis par quelques compliments acerbes. Mais les garçons furent très vite lassés de ce petit jeu. Le black la fit s’allonger au bout de cinq minutes, les jambes largement ouvertes, maintenue par les chevilles.


– Je vais bien m’occuper de toi…


Julie regarda le morceau de chair se profiler à l’horizon, pareil à un serpent sur le point de fondre sur sa proie. Elle ne fit rien pour fuir ses ravisseurs, redoutant les conséquences d’un tel acte. Mais s’agissait-il de l’unique raison ?… ou désirait-elle vraiment se faire prendre par ces types ? Et cette simple pensée lui glaça le sang. Mais elle fut très vite ramenée à la réalité.


– Aaaaah !


Le black la pénétra d’une traite, peu disposé à lui faciliter la tâche. A cet effet, il augmenta très vite la cadence, toujours plus profond. La malheureuse fut ballotée de gauche à droite, incapable de retenir ses gémissements.


– Qu’est-ce que je disais… grogna le garçon, ayant sorti son membre pour le plonger à nouveau dans le con de sa soumise. Elle aime vraiment ça.


Il se retira au bout de cinq minutes, aussitôt remplacé par le blondinet.

Camille s’approcha de la mêlée pour filmer la scène avec son portable, ne manquant pas de féliciter la performance des trois lycéens. Elle se pencha en avant puis effectua un gros plan sur Julie, actuellement prise en levrette par le blondinet.


– Ça te plaît de faire la pute ? demanda Camille, sarcastique.


Julie ne répondit pas à la question, ne sachant où donner de la tête. Camille lui pinça un téton.


– Aïe !... cria Julie. Oui… J’aime ça !


Camille étira les lèvres, satisfaite. Elle recula pour ne pas gêner les garçons, escalada le rebord d’un lavabo et se délecta du spectacle.

Julie laissa échapper quelques râles de plaisir quand la langue du black se glissa dans sa raie, puis s’attarda au niveau de son petit trou. Par la suite, elle sentit un doigt humide tenter une percée. Elle se cambra un peu plus pour favoriser son insertion mais le black avait une autre idée en tête.


– Non. Jamais ça ne pourra… Aaaah !


Elle poussa un cri quand le black disparût à l’intérieur de son fondement, craignant qu’il ne la déchire en deux. Elle avait les larmes au bord des yeux. Mais le garçon resta indifférent. Il la saisit par la taille, poussa davantage pour la pénétrer tout en longueur, se faisant toujours plus brutal. Puis la douleur diminua. Progressivement. Julie finit par éprouver une sensation de bien-être. Elle le supplia même de continuer.


– Tu es la plus grande salope que j’ai jamais vue, dit-il en la voyant écarter les fesses.


Julie ne contrôlait plus son corps. Elle était comme possédée, criant son plaisir à n’en plus finir. Elle sembla encore plus survoltée quand le black la gifla au postérieur. Et voyant cela, il lui donna encore la fessée.

Entre-temps, le blondinet s’était glissé sous le ventre de Julie. Il lui administra un coup de rein assez violent, la faisant sursauter, puis commença les mouvements de va-et-vient à l’intérieur de son vagin. De son côté, elle avait bien du mal à ne pas manifester son plaisir. Elle pouvait sentir les deux sexes coulisser à l’intérieur de son corps, ne laissant aucune place supplémentaire. Elle adressa un sourire au troisième garçon, tendit le cou pour atteindre son engin et le goba sur toute sa longueur. Et finalement, elle fut encerclée par les trois lycéens. Ils déchargèrent toute leur semence sur son joli minois. Puis elle les regarda s’éloigner.

Julie finit par baisser les yeux. Trop honteuse.

Les garçons enfilèrent leurs vêtements. Camille les rejoignit quelques secondes plus tard. Elle avait enregistré la scène avec son téléphone.


– A quand mon tour, bébé ? déclara le black, qui caressait les cuisses de la jeune fille.


Camille lui saisit les mains avant qu’il ne remonte complètement sa jupe.


– Pas maintenant.


– J’ai sauté cette salope uniquement pour toi, gronda le lycéen. Et ensuite, je couchais avec toi.

 

C’était le deal.


Camille se glissa dans les bras du black, frotta sa jambe gauche tout près de l’entre-jambes et ajouta d’une voix mielleuse :


– C’est vrai. Mais pas devant elle.


Le black sembla se détendre. Puis il quitta les toilettes. Les autres firent de même.

Julie se retrouva toute seule. Elle observa son reflet dans le miroir. Il y avait une quantité impressionnante de sperme sur son visage. Et même dans ses cheveux. Le nettoyage dura une éternité. Et quand bien même, elle avait ce sentiment étrange d’être toujours sale. Mais elle en ignorait la raison. Au bout d’un moment, elle quitta les toilettes. Elle marchait dans le couloir quand elle fut interceptée par le professeur de sport.


– Je te trouve enfin, dit-il après l’avoir coincé dans un coin. Le proviseur te cherche partout.


Julie ne dit rien. Elle se contenta de suivre l’enseignant jusqu’au bureau du proviseur.

Le proviseur consultait les dossiers des élèves quand Julie entra dans le bureau. Le professeur de sport ferma la porte derrière lui.


– Je t’attendais… J’ai des projets pour toi. Tu es réquisitionnée pour le week-end à venir. Travaux pratiques…


Julie resta silencieuse. Que pouvait-elle faire d’autre ?


– Enlèves tes vêtements. Et rejoins-moi.

 


Elle s’exécuta. Le proviseur laissa échapper un grognement quand elle saisit son sexe à pleine bouche. Entre-temps, le professeur de sport s’était glissé dans son dos. Il insinua deux doigts dans sa fente gorgée de mouille… 

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Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 22:41

Chapitre 6 : Soumise aux élèves

 

(Auteur: Edd)

 

Julie était étendue sur le lit, entièrement nue, le regard dirigé vers l’objectif du caméscope, exécutant les devoirs donnés par ses professeurs. Elle posa ses mains autour de la taille, les remonta vers sa poitrine avec une infinie lenteur, puis fit rouler la pointe de ses seins entre le pouce et l’index. Dès lors, elle se mit à gémir doucement. Elle descendit vers son ventre, s’attarda sur son nombril un moment, essayant de reprendre son souffle. Julie écarta les cuisses, glissa un doigt entre ses petites lèvres et le fit coulisser de façon très délicate. Elle évita tout contact avec son clitoris gorgée de plaisir, devenu très sensible depuis ses séances quotidiennes de masturbation.


Julie, les yeux mi-clos, la tête rejetée vers l'arrière, se mordilla la lèvre inférieure. Elle éprouva des frissons sous le poids de ses caresses, faisant des va-et-vient à l’intérieur de sa chatte qui mouillait de manière très abondante. Puis, elle retira son doigt pour le porter à sa bouche. Elle écarta les lèvres, savoura son jus intime et manifesta son plaisir en laissant échapper un gémissement plus fort que les précédents. Finalement, elle attrapa le godemichet qui se trouvait à ses côtés, le glissa dans son vagin et se branla après avoir guidé son autre main vers sa poitrine. Elle lorgna la caméra un moment quand une décharge la souleva du lit, lui ravissant un petit cri de plaisir, à peine audible mais qui sembla durer une éternité. Elle venait de goûter à son premier orgasme. Le premier d’une longue série car la leçon ne faisait que commencer. Elle ramena les genoux contre sa poitrine, lécha le godemichet sur toute sa longueur et le glissa à nouveau dans son vagin...

La jeune adolescente passa une nuit relativement courte, réveillée par le son du réveil posé sur la table de chevet. Elle poussa un long bâillement, quitta le confort de son lit et s’en alla vers la salle de bain pour faire sa toilette. Durant cet intervalle, elle reçut un message du proviseur. Il s’agissait des dernières instructions avant de partir pour le lycée. Elle ouvrit le tiroir de la commode, laissa choir la serviette de bain et saisit les vêtements approuvés par ses maîtres. On avait jeté son ancienne garde-robe à la poubelle. Cela faisait bientôt deux semaines mais le souvenir d’une quarantaine de bites la prenant aux quatre coins de la maison était encore très présent. Julie termina l’habillage. Puis, elle observa son reflet dans le miroir. Elle portait une jupette qui moulait parfaitement son petit cul rebondi, un tee-shirt dont le tissu très fin laissait entrevoir la pointe de ses seins, des bas résilles qui mettaient en valeur ses longues jambes fuselées et des talons hauts. Julie, pute de l’école. Elle se détourna de la glace, honteuse.

Julie n’avait plus beaucoup de temps pour se rendre au lycée. Elle remonta la mini-jupe autour de la taille, écarta les fesses et enfonça un sex toy à l’intérieur de son fondement sans même avoir besoin de lubrifiant. Cela faisait un moment que le proviseur la contraignait à cet exercice. Pareillement, on lui avait interdit le port de sous-vêtements. Et c’est sous une pluie torrentielle que la petite lycéenne franchissait les barrières de l’établissement scolaire, trempée jusqu’aux os. Elle se présenta devant le bureau du proviseur, frappa à la porte et patienta jusqu’à ce que ce dernier daigne la faire entrer.


– Tu as l’air frigorifiée, déclara le proviseur, installé derrière son bureau. Je vais jeter un coup d’œil à tes devoirs pendant que tu prends ton petit-déjeuner. Viens te placer entre mes jambes… et plus vite que ça !


– Oui, maître. Tout de suite.


Julie se glissa immédiatement sous le bureau du proviseur, baissa le pantalon et pompa le gourdin avec une docilité surprenante. De son côté, le proviseur visionnait les devoirs de son élève, laissant échapper un râle satisfait quand une main experte lui caressa les testicules. Soudain, le téléphone sonna. Le principal prit l’appel sans éprouver la moindre gène, se fichant complètement de son élève.


– Lycée Condorcet, que puis-je pour vous ? fit-il d’une voix ordinaire. Ah, monsieur Jouannot. Quel plaisir.


Julie cessa toute activité mais le proviseur s’en rendit compte, la forçant à continuer son ouvrage.

 

Elle ne tenta pas de se dégager quand une main la saisit par derrière, sentant la bite de son bourreau glisser lentement dans sa gorge, les yeux emplis de larmes. Pendant ce temps, le proviseur avait activé le haut-parleur.


« Je me fais beaucoup de soucis pour Julie. Elle a un comportement très étrange ces derniers temps… »


La jeune fille avait du mal à se concentrer sur la voix de son père, tâchant de conserver son souffle alors qu’on lui baisait la bouche.


« Je l’ai encore entendu l’autre soir… elle s’adonnait à des choses. Vous voyez de quoi je parle... »


Le principal écoutait d’une oreille, sans attention soutenue.


– Je vois très bien… J’ai moi-même une fille, vous savez. Je suis confronté aux mêmes difficultés.
« Je ne sais plus comment la gérer… »


– Il n’y a vraiment pas de quoi s’alarmer, monsieur Jouannot. C’est normal à son âge de se livrer à des expériences. Vous devriez la laisser faire… Pour son propre bien. Faîtes-moi confiance.


« Vous avez raison, monsieur le directeur. Vous êtes de bon conseil. Toujours. Je tiens à vous remercier.


– C’est très naturel. Nous sommes pères, tous les deux. Au-revoir, monsieur Jouannot.


Le proviseur raccrocha.


– Tu arrêtes que si je te l’ordonne, dit-il en la tirant par les cheveux. C’est bien compris ?


– Oui, maître.


Il la plaqua contre le bureau, écrasa sa poitrine sur les dossiers répandus sur la surface de travail et retroussa la mini-jupe sans la moindre délicatesse. Il avait tout le temps pour admirer ce petit cul.


– Je vois que tu es très appliquée dans ton apprentissage, continua le proviseur en voyant le plug enfoui dans son anus.


Julie ne put retenir un gémissement quand elle sentit l’objet bouger à l’intérieur de son fondement.

 

Le proviseur réagit aussitôt, lui envoyant une décharge dans le collier.


– Je ne veux pas un seul bruit. On consomme en silence.


La jeune fille serra la mâchoire très fort, la douleur encore présente. Elle ne dit rien quand le principal lui adressa un coup de pied pour écarter ses jambes.


– Je vais t’apprendre les bonnes manières. Pas comme ton abruti de paternel. Remercie-moi.


– Je vous remercie, maître.


Le proviseur la saisit par la taille, plongea à l’intérieur de son vagin et la pilonna sans vergogne.

 

Julie encaissa les coups, le souffle court, muette. Elle pouvait sentir les couilles de son précepteur claquer contre ses fesses, toujours plus fort. Finalement, il se retira des entrailles de la fillette. Il continua de se branler de façon énergique, poussa un grognement satisfait et arrosa copieusement le postérieur de sa soumise.


– Relève-toi.


Julie s’exécuta. Elle en profita pour ajuster sa jupe, les fesses complètement trempées.


– Tu vas mettre ça dans ta chatte, expliqua le proviseur, en sortant un objet qui ressemblait beaucoup à un œuf.


L’adolescente croisa le regard du principal mais n’insista pas plus longtemps, sans doute par crainte d’une nouvelle décharge électrique. Elle écarta les jambes et glissa l’œuf dans sa fente, surprise par sa texture à la fois lisse et souple.


– Tu donneras également ce pli au professeur de biologie, ajouta le proviseur. Et maintenant file rejoindre tes petits camarades.


Julie attrapa la grosse enveloppe, fit demi-tour et quitta le bureau du directeur.

La jeune lycéenne se dirigeait vers la classe de biologie, baissant les yeux quand elle croisait un élève. Et malheureusement pour elle, le couloir était bondé. Elle pressa le pas pour ne pas subir cette humiliation plus longtemps, les jambes ruisselantes de sperme. Les moqueries fusèrent de partout.


– Tu vas sucer qui aujourd’hui ? demanda une fille sur un ton méprisant.


– On laisse vraiment entrer n’importe qui dans cette école, railla un garçon de terminale.
Julie tourna au croisement suivant pour se réfugier dans la classe de biologie. Elle se présenta devant le bureau du professeur de SVT et lui confia le pli.


– Tu peux aller à ta place, dit-il après avoir lu le mot du proviseur, affichant un sourire narquois.


Julie rejoignit son poste de travail alors que la sonnerie retentissait dans les couloirs. Les élèves firent leur entrée, rejoignant leur table sans lui prêter la moindre attention. Le professeur de SVT leva les mains pour avoir un peu de calme.


– Le cours d’aujourd’hui portera sur la disparition des reliefs. Veuillez sortir votre manuel. Page quarante-deux.


Le professeur se plaça devant le bureau de Julie.


– Commence la lecture.


Elle inclina doucement la tête. Puis, elle prit la parole :


« Les chaînes de montagnes anciennes ont des reliefs moins élevés que les plus récentes. On y observe à l'affleurement une plus forte Oooh !... »


Julie tressaillit quand une décharge de plaisir satura son bas ventre, risquant de la faire tomber de son tabouret. L’œuf. Il émettait des vibrations.


– Poursuis la lecture, s’il te plaît.


Elle adressa un regard apeuré au professeur, le suppliant de ne pas continuer. L’enseignant glissa une main dans la poche de sa blouse, attrapa la télécommande et augmenta le niveau au maximum. Julie reprit la lecture alors que les vibrations se faisaient plus fortes.


« …proportion de matériaux transformés et… et formés en profondeur. Hmmm ! »


Julie avait beaucoup de mal à ne pas gémir, sachant pertinemment qu’elle ne pouvait pas lutter avec cet œuf coincé dans son intimité.


« Les parties superficielles… aaaaah ! Je veux dire… les… les reliefs tendent… Oooh ! »


Penchée en avant, elle se servait du tabouret pour calmer sa chatte en chaleur, faisant lentement onduler son bassin sur la surface en bois.


« Les produits… sous forme solide… Je… Hmmm ! Des phénomènes tecto… tectoniques AAAAH ! »


– Julie !


Elle leva yeux vers le professeur de SVT, revenue soudain à la réalité. L’œuf ne vibrait plus. Depuis combien de temps ?


– Nous devons parler. Suis-moi dans la réserve.


Julie se redressa lentement, le regarde vide. Elle se dirigea vers la pièce voisine, manquant de perdre l’équilibre à plusieurs reprises. Les autres élèves ricanaient à voix basse.

Le professeur de SVT la laissa entrer en première. Il ne ferma pas complètement la porte pour que toute la classe puisse entendre leur entretien. Julie attendait au fond de la réserve, sachant parfaitement ce qui allait suivre.


– Ce comportement est inadmissible, dit-il en s’approchant de la jeune fille. Je vais devoir en référer au proviseur.


Le professeur abaissa son pantalon, saisit la jeune fille par les cheveux et la tira en avant.


– AAAAH !


Julie posa sa langue sur le membre en érection, avala les testicules et remonta lentement vers le gland. Elle effectua des va-et-vient avec sa bouche, lui titillant le bout avec la langue. De son côté, le professeur de SVT sentait qu’il n’allait pas tarder à jouir.
– C’est bon, tu peux lâcher ma bite, finit-il par dire, bien décidé à ne pas en rester là. A présent, je vais casser ton petit cul. Penche-toi en avant.


L’adolescente tourna le dos au professeur, se posa contre le meuble le plus proche, redoutant la suite des évènements.


– C’est un joli jouet que tu as là, déclara-t-il une fois le plug extrait. Tu dois vraiment être une grosse salope pour te promener avec ça dans le fion.


Il l’a pénétra d’un seul coup, peu disposé à lui faciliter la tâche. Et puis, ce n’était pas la première fois qu’elle se faisait enculer à sec.


– Je veux t’entendre crier, lui dit-il à voix basse. Que toute la classe puisse profiter.


Le professeur la sodomisa encore plus fort, la traitant de tous les noms. Il lui donna même des claques pour la rendre plus coopérative. Julie essaya de résister mais cet effort ne dura qu’une fraction de secondes.


– Oh, mon dieu ! Oui ! OUI ! dit-elle à voix haute, ballotée dans tous les sens.


Elle cria si fort que tout le lycée devait être au courant de ses agissements. Le professeur de SVT en parut satisfait car il quitta son petit trou pour lâcher son jus sur le visage de Julie. Elle en avait partout. Les vêtements. Les cheveux. Mais il refusa qu’elle s’essuie. Il l’a raccompagna dans la salle de classe.


– Ton argumentation plaide en ta faveur, Julie. Je fermerais les yeux pour cette fois.


Le professeur caressa une dernière fois les fesses de son élève, la laissant retourner à son poste de travail.

Julie profita de la récréation pour se rendre aux toilettes. Elle venait de finir son affaire quand il lui sembla entendre des bruits provenir du compartiment voisin. Intriguée, elle s’approcha de la cloison pour satisfaire sa curiosité. Il y avait un trou un peu plus bas. Et quelle ne fut pas sa surprise quand le sexe d’un homme en émergea. Elle poussa un petit cri.


– Tu en as vu d’autres, déclara le garçon situé de l’autre côté. Mais tu n’as pas encore goûté à la mienne.


– Pas question, répondit la lycéenne.


– Mais je ne t’ai rien demandé, dit-il en retour. Pas encore.


Il s’écoula un moment avant que l’occupant de la cabine voisine ne prenne à nouveau la parole.


– Tu vas faire tout ce que je dis… ou je te balance sur Internet.


Julie resta de marbre. Le lycée était déjà au courant mais les professeurs faisaient en sorte que l’information n’aille pas au-delà des murs de l’établissement. Cependant, ils n’avaient aucun contrôle sur Internet. La nouvelle ferait l’effet d’une bombe. Elle serait la risée du pays. Et même plus. Le monde entier saura.


– J’ai la bite qui me démange… si quelqu’un pouvait me la branler.
A contrecœur, elle saisit la verge en érection, puis dans un mouvement de va-et-vient elle le masturba. Le garçon grogna de satisfaction.


– C’est pas mal. Mais ça ne vaut pas une bonne pipe.


Julie entreprit de lécher le bout du gland gonflé par le sang. Continuant ses mouvements de va-et-vient elle glissa le sexe dans sa bouche, avalant les dix-neuf centimètres de chair. Elle pompa son dard durant cinq bonnes minutes, se demandant à quel moment il lui enverrait son jus pour que cette histoire prenne fin.


– A présent, je me paierais bien ta chatte.


Julie ne dit rien. Elle remonta sa jupe, puis se prépara à recevoir le membre de son maître chanteur. Le gland se faufila entre ses lèvres, allant jusqu’à effleurer son clitoris gonflé de plaisir. Et finalement, elle s’empala complètement sur la tige.


– Aaaaah !


– C’est assez confortable, ajouta le garçon d’une voix rauque. Un garage à bites de première classe.
Julie ignora les louanges de son partenaire, remuant le bassin pour mieux sentir son engin frétiller à l’intérieur de son vagin. Pour tout dire, il n’avait pas besoin de faire quoique ce soit. Elle s’occupait de tout.


– Je vais pas tarder à jouir…


Julie se balançait toujours d’avant en arrière, laissant échapper des petits cris excités. Soudain, elle sentit le sexe se contracter, puis lâcher une grosse quantité de semence dans son ventre.


– Je me suis bien vidé, conclut le maitre chanteur avant de quitter les toilettes. On remet ça quand tu veux.


Julie resta à l'intérieur du compartiment, assise dans une flaque de sperme. Elle avait du mal à avoir les idées claires. Finalement, elle réalisa. Elle n'était plus uniquement la cible des professeurs. Les élèves s'y mettaient aussi.


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Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 22:35

Chapitre 5 : Julie soumise chez elle

 

(Auteur: Ojoussama)

 

Durant toute l'après-midi, les autres élèves se sont moquées de son visage barbouillé de bave, de sperme et d'un reste de maquillage.


Après la fin des cours, le proviseur lui envoya un SMS l'autorisant à se refaire belle.


La réunion avec les parents d'élèves avait lieu dans la grande salle d'études mais le prof de SVT l'intercepta dans les couloirs pour l'emmener dans le bureau du proviseur. Son père était déjà là, assis en face du proviseur. Il était installé dans le fauteuil où elle avait sucé son bourreau ce matin.


"Ah Julie, vient donc t'asseoir avec nous. Comme je l'expliquais à ton père, nous avons décidé de t'accompagner un peu plus dans tes études. Cela se traduit par exemple par des devoirs supplémentaires le soir ou à des heures d'études le midi."


"Je vous suis très reconnaissant pour ce que vous faites pour ma fille. Avec ma femme, on a déjà pensé à l'inscrire à des cours du soir ou des cours par correspondance mais Julie a refusé à chaque fois"


"Vraiment? Ça n'est pas bien Julie. Écoutez Monsieur Jouannot, je vous propose de me laisser organiser des cours de rattrapage certains soirs et les week-ends. Bien sûr cela dépendra de la disponibilité des professeurs"


"Ça serait formidable, vous avez toute ma confiance. J'espère que cela lui permettra d'obtenir le bac en fin d'année."


"Oui, naturellement, c'est le but. Cependant cette prise en charge va avoir un coût que vous devrez assumer, je ne peux pas mobiliser des professeurs gratuitement. Je pense que nous serons aux environs de 150 euros la semaine"


"Oui, aucun problème." le père se retourna vers Julie "tu vois l'effort que l'on fait tous pour toi?

 

Aussi bien tes professeurs que ta mère et moi. Ne nous déçois pas !" Mais un détail retint son attention. "Qu'est-ce que c'est que ce foulard rose?! Retire-moi ça tout de suite!"


Julie était apeurée, Si elle retire le foulard, son père verra le collier en métal que lui a accroché le proviseur.


"Euh je je" bégaya Julie


"Calmez-vous Monsieur Jouannot, vous savez à notre âge il y a des choses que l'on a du mal à comprendre chez les jeunes, notamment leurs habitudes vestimentaires."


"Oui mais là, quand même"


"Nous sommes très ouverts dans ce lycée, et Julie est beaucoup mieux habillée que la plupart de ces camarades. Je pense d'ailleurs que c'est pour cela qu'elle a du mal à s'intégrer. Nous devrions lui laisser plus de liberté."


"Je suppose que vous avez raison, d'autant plus que ma femme et moi lui en demandons beaucoup..."


"Exactement. Laissons-lui carte blanche sur son apparence, l'important pour le moment c'est les études. Bien, revenons au sujet principal: les prochaines vacances"


"Oui, comme je vous l'avais expliqué au téléphone, nous sommes très intéressé par votre proposition."


"Parfait, voici une autorisation de sortie du lycée, vous savez, pour tout ce qui est assurance... Car je ne l'ai pas précisé mais ces 2 semaines ne se dérouleront pas au lycée, ce sera dans un centre à quelque kilomètres de là."


Soudain le téléphone du proviseur vibra. "mmm? Un SMS? Je vois... Julie, pourrais-tu aller donner cette clé à Monsieur Racot, ton prof de sport?"


Julie prit la clé et sortit, rapidement suivie par le prof de SVT qui était resté près de la porte depuis le début.


Arrivée à la salle de sport, le prof de SVT la tira par les cheveux jusqu'aux vestiaires des hommes où l'attendait le prof de sport.


"ahh je n'en pouvais plus!" soupira le prof de SVT


"Elle est finie la réunion avec son père?"


Alors qu’ils discutaient, Julie était déjà à genoux pour les sucer. Ils s'étaient contentés de baisser leur pantalon pour que Julie comprenne sa mission.


"Non, ça prend des plombes. Qu'est ce qu'il est con ce type, il n'a même pas lu ce qu'il a signé. A la place d'une autorisation de sortie, Jean lui a fait approuver le contrat d'esclave de notre sac à foutre"


"ahahah"


"Et tu sais la meilleure? On va être payé pour lui péter la rondelle!"


"Sérieux? Tu es sûr que Jean va nous lâcher un bout du magot?"


"Je sais pas, il doit avoir quelque chose en tête. Ça n'était pas prévu de le faire payer l'autre. Hey petite pute, tu ne pourrais pas y mettre un peu plus de volonté? Innove, titille nous le gland avec ta langue, lèche nous les couilles, lèche nous le cul... Si tu prends ton temps, ton père va se poser des questions"


Julie entreprit de leur gober les couilles, mais ça n'était pas facile de mettre en bouche des boules de la taille d'un kiwi.


Mais après 10 bonnes minutes de dur labeur, les 2 étaient prêts à jouir. Le prof de sport enfonça sa bite au plus profond de la gorge de Julie, presque dans l'oesophage, et largua tout son foutre. Le prof de SVT fit de même mais en pinçant le nez de Julie. Privée de respiration, elle essayait d'aspirer de l'air par la bouche mais cela avait plutôt pour effet d'aspirer un peu plus la queue dans son oesophage. D'un coup, le foutre se déversa, puis le prof se retira, la queue toute molle et pendante. Julie toussait bruyamment et avait du mal à reprendre son souffle.
"Hé béh, ça va au-delà de mes espérances. Non seulement le manque d'air a aspiré ma bite plus loin, mais quand elle avale des gorgées, les ondes de son oesophage sont comme un massage."


"Tu comptes vraiment l'utiliser pour tes expériences?"


"Bien sur, c'est un cobaye parfait." puis, se tournant vers Julie "tu devrais te dépêcher de retourner avec ton père, sinon ils vont se poser des questions"


"Oui" dit Julie en se levant. Mais alors qu'elle avançait vers la porte, elle reçue une décharge électrique.


"Tu n'aurais pas oublié quelque choses ?" dit le prof de SVT


"Euh merci maîtres, pour ce délicieux goûter"


"Voilà, c'est mieux comme ça. Si en plus on doit la dresser, heureusement qu'on est payé"


Julie passa par les toilettes pour se remaquiller avant de retourner voir le proviseur. Quand elle arriva, ils étaient en train de se saluer devant la porte.


"Ah te voilà enfin!" s'exclama son père "tu en as mis du temps"


"J’étais ... aux toilettes"


"Voilà un bel exemple Monsieur Jouannot, comme je vous le disais, de nos jours les jeunes mangent n'importe quoi et se rendent malades. C'est bien pour cela que nous essayons de privilégier des repas riches en vitamines et des produits laitiers pour tenter de préserver leur santé. N'est ce pas Julie ?"


Julie n'eut pas le temps de répondre, son père regarda sa montre. "Déjà 19h! Dépêchons nous Julie, ta mère nous attend"


Sur le trajet, son père expliqua à Julie ce qu'il attendait d'elle qu'elle fasse de grands efforts pour avoir de meilleures notes. En plus, comme sa mère était cardiaque, il fallait vraiment qu'elle réussisse les prochains partiels. Une fois à table, les éloges sur le proviseur continuaient.


Après une bonne nuit de sommeil, Julie fut réveillée par ses parents à 10h du matin, ils devaient partir la journée pour rendre visite aux grands parents de Julie. Ils ne rentreront pas avant 19h. 


Chouette se dit Julie, une journée enfin seule! Après leur départ, elle alla prendre un bon bain chaud. Tout en se prélassant dans l'eau, elle réfléchit tout haut à ce qu'elle ferait ensuite. "Ah, ça fait du bien d'être tranquille, qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire après... Il est déjà 11h? Je vais aller chez Amélie, ça me fera du bien de parler à quelqu'un."


Julie sortit de l'eau et pris une serviette de bain pour se sécher. Mais 5 minutes après, quelqu'un sonna. "Qui ça peut être ?" Elle enroula la serviette autour d'elle et ouvrit la porte.


"Alors comme ça on se la coule douce au lieu de faire ses devoirs ?"


Les jambes de Julie commencèrent à trembler, c'était le proviseur et le prof de SVT. Ils entrèrent et le proviseur referma la porte derrière lui.


"Tu as du temps libre et tu ne veux pas nous en faire profiter?"


"Je je je"


"N’oublie pas qu'il y a un micro et un émetteur sur ton collier. Bien, on a donc la journée devant nous" dit-il joyeusement.


"ohhh en plus tu es déjà prête on dirait" dit le prof de SVT en lui arrachant la serviette de bain.


"Je vais chercher le caméscope, Robert tu peux commencer sans moi" dit le proviseur qui partit dans la chambre de Julie. Quand il revint, le prof était affalé dans le canapé et Julie lui taillait une pipe.


"J’ai fouillé dans tes armoires, passe toi ça."


Julie ramassa les vêtements que le proviseur lui avait jetés. C'était des affaires de collège, elle les enfila avec difficulté. Elle se retrouvait avec une jupe en Jean tellement courte que même debout on pouvait voir la raie de son cul, d'un T shirt rose 10 fois trop petit qui était tendu par sa poitrine et qui n'arrivait même pas au nombril. 


Le proviseur s'approcha d'elle pour faire 2 couettes avec des élastiques à cheveux bleu ciel, et la maquilla grossièrement avec du rouge à lèvres rose bonbon. 


Une fois fini, il installa le caméscope et expliqua : "j'ai vu des films porno d'un mec qui s'appelait Max Hardcore, je me suis dis que ça serait amusant de faire quelque chose de similaire"


"C’est bien sympa tout ça, mais c'est pas son déguisement qui va me vider les couilles"


"Attend, ne sois pas si pressé. Mets ce masque de Mickey, ça nous permettra de rester anonyme sur la vidéo."


"Ah je vois où tu veux en venir. Allez, lance la camera, on tourne"


Affublés de leurs masques de Mickey, les 2 compères commencèrent à ramoner la gorge de Julie, puis le proviseur bougea la camera et il retroussa la jupe pour s'affairer sur la chatte jusqu'à jouir en elle. 


Tandis que le prof de SVT s'attaquait à sa chatte, la sonnerie retentit. Julie voulut se relever mais le prof la retint et continua son affaire. Le proviseur alla ouvrir, c'était le prof de techno et celui de sport qui venait prendre part à cette orgie. Ils enfilèrent chacun un masque de Mickey que le proviseur leur tendit et se déshabillèrent.


Julie avait maintenant les 2 mains et la chatte occupées. Le proviseur, quant à lui, filmait la scène et donnait des ordres à chacun tel un producteur de porno "Julie écarte les jambes, sourit un peu plus, pompe la queue de gauche mieux que ça!"


C'est alors que la sonnerie retentit encore. Cette fois ci c'était un livreur de pizza que le proviseur avait appelé. Choqué par la scène, il ne savait pas trop quoi faire. Le proviseur lui tendit un masque "vous voulez vous joindre a eux?"


"Avec plaisir monsieur !"


Julie essaya de dire non, les professeurs représentaient déjà un risque pour les MST, mais avec des inconnus, c'était encore plus dangereux. Mais les professeurs ne la laissèrent pas réagir.


Le livreur sortit sa queue et remplaça directement le prof de SVT qui était parti jouir dans les cheveux de Julie. Il ne mît que 3 minutes avant de gicler dans sa chatte. 


Alors qu'il remontait son pantalon, le proviseur l'interpella "c'était un peu rapide non?"


"Oui désolé, si vous voulez je peux faire venir des amis."


"Ça serait formidable, autant que vous voulez, mais dites leur de ramener des bières en échange."


"OK, et pour le règlement..."


"Il y a un portefeuille sur le meuble d'entrée, servez-vous dedans"


"Merci, et bon appétit"


Le livreur s'approcha de la porte d'entrée et prit le portefeuille. Julie le surveilla du mieux qu'elle pouvait. Elle le vit sortir 2 billets de 50 euros et les mettre dans sa poche. 100 euros la pizza, s'était pire qu'un resto de luxe. 


"Laissez la porte contre, je n'ai pas envie d'aller ouvrir à chaque fois, mettez donc une chaussure pour caler." dit le proviseur au livreur


Le prof de techno qui ramonait la chatte de Julie pendant de longues minutes se mit à jouir lui aussi.


Il ne restait plus que le prof de sport, il décida de s'attaquer au cul encore vierge de Julie. Il pressa lentement son gland sur la rondelle, mais il avait du mal à rentrer dedans. Alors que ses collègues s'attaquait à la pizza, il attrapa de la sauce tomate avec ses doigts et l'étala sur l'anus de Julie. Sa queue arrivait à rentrer un peu plus mais il manquait encore du lubrifiant. Il ouvrit un sachet d'huile et le versa sur l'anus et sur sa queue. Puis il recommença à pousser sur la rondelle et enfonça plus facilement sa queue jusqu'à la garde, tout en arrachant un hurlement de Julie. Il lui tira les cheveux en arrière et lui chuchota "sois un peu plus discrète, je te rappelle qu'il y a des voisins autour de chez toi et la porte est entrouverte"


Julie plaça sa main devant sa bouche pour étouffer ses cris, sous les coups de boutoir qu'elle subissait.


Elle vit alors une, puis 2 puis 3 bites noires s'aligner devant elle. Elle releva la tête: 3 blacks avec des masques de Mickey, elle se tourna vers le proviseur qui lui fit signe de pomper. Elle prit alors une queue dans chaque mains et les branla. Le 3e type ne semblait pas prêt à attendre, il attrapa Julie par les couettes et lui fourra sa grosse bite dans la bouche et lui fit un deepthroat. Le prof de sport se finisaits dans son cul avant de rejoindre ses collègues assis près de la porte avec des bières.


Le proviseur demanda aux 3 blacks de changer de position. L'un assis dans le canapé tandis que les 2 autres soulevèrent Julie pour la placer sur sa queue, un autre lui fourra dans le cul et le 3e se mis debout sur le canapé pour occuper sa bouche. Au bout de quelques minutes ils échangèrent leurs places, Julie en profita pour jeter un oeil à ses professeurs qui se taillaient un festin avec les provisions du frigo. Elle vit aussi d'autres types rentrer dans l'appart, des blacks, des arabes, des pakistanais... Toute la cité allait lui passer dessus cet après-midi!


Soudain le téléphone sonna. Silence complet, tout le monde arrêta de bouger. Puis le répondeur se lança : "bonjour, la famille Jouannot est absente mais vous pouvez nous laisser un message après le bip. *Biiiip* Julie, c'est ta mère. Nous allons être retenus un peu plus longtemps que prévu, je pense que l'on sera de retour tard ce soir. Repose toi bien et surtout ne fais pas de bêtises."


Tout le monde éclata de rire en entendant le message et ils recommencèrent à pistonner Julie de plus belle.


Quelques types demandèrent à Julie de leur lécher le cul. L'un d'entre eux incita Julie à aller toujours plus loin avec sa langue, avant de lui larguer une caisse à la figure. Ca n'était même pas le plus écoeurant pour elle. Ce qu'elle détestait le plus, c'était l'hygiène des bites qu'elle acceptait dans sa bouche : il y en avait beaucoup de mal lavé et puant la pisse.


"Quand vous giclez, faites le sur son visage, ça manque un peu depuis le début du film" dit le proviseur.


Aussitôt dit, Julie fut mise à genoux et 4 queux se succédèrent pour larguer un paquet de sperme sur son visage et notamment ses yeux. Elle sentit quelques choses de métallique raclait son visage, c'était le prof de svt qui collectait le sperme dans un saladier. Puis le manège recommença, Julie n'avait aucune idée de l'heure qu'il était, ni du nombre de bites qui la visitaient, ni même du visage de ses bourreaux car tous portaient un masque de Mickey.


Un pakistanais qui se faisait sucer lui arracha le devant du Tshirt, faisant automatiquement bondir les 2 seins prisonniers jusque-là. A ce moment-là, l'arabe qui s'affairait dans le cul de Julie sortit un couteau à cran d'arrêt. Les professeurs devinrent tous pâles, mais le type se contenta de découper la jupe en 2 pour s'en débarrasser.


Le prof de SVT dit avoir un voix inquiète "Elle a l'air de perdre de rythme, rechargeons lui les batteries" et lui balança une décharge électrique qui eut pour effet d'accélérer la cadence de Julie.


Le prof de techno passa la porte d'entrée en criant "il y a de la clientèle qui fait la queue jusque dans l'escalier, il faut accélérer !"


"Il ne vont pas pouvoir tous passer, il faut qu'il viennent juste se branler dessus pour finir sur un bukkake" fit le proviseur, "je n'ai presque plus de place sur cette cassette et c'est la dernière"
Les professeurs firent rentrer presque 40 personnes en même temps dans l'appart pour se branler sur Julie sans pouvoir la monter. En partant, certains volèrent des objets de valeur, de l'argenterie, des manteaux...


"Voilà voilà, merci d'être venu, bon week-ends à tous" dit le prof de sport en raccompagnant les derniers jeunes qui remontaient les pantalons.


"Tu n'as pas mangé de la journée" dit le prof de SVT, le saladier plein de foutre à la main. "ouvre la bouche et fait ahh" 


"aahh" dit Julie en recevant une cuillère à soupe de sperme


Le proviseur de rapprocha avec la camera devant le visage de Julie. "Souris un peu voyons, tu ne vas pas nous obliger à tout recommencer?" lui dit il avec un sourire carnassier. 


Julie avala plusieurs cuillères de la mixture mais cela prenait trop de temps, ils lui firent boire le reste avec une paille. "coupez" cria fièrement le proviseur en éteignant le caméscope. "on a 6h de rush, il va falloir éditer ça pour n'en garder qu'une heure"


"Bon, c'est pas tout ça mais il est tard, on vous laisse" dirent les 3 profs, mais le proviseur les arrêta.


"Non non, ça n'est pas fini, j'ai ma petite idée, on a encore le temps avant le retour de ses parents, il n'est que 17h" puis se tournant vers Julie : "dépêche-toi de ranger tout ça, imagine la tête de tes parents si ils voyaient l'état de leur appart, je ne parle même pas du film"


Julie essaya de se lever mais elle retomba sur les genoux. Ils lui avaient complètement labouré le cul. Elle essuya les traces de sperme sur le sol et le canapé du mieux qu'elle pouvait mais ses cheveux dégoulinant de foutre resalissaient au fur et à mesure. Le proviseur et les profs semblaient y mettre du leur en ramassant les cadavres de bière et en rangeant les chaises. Puis ils aérèrent la pièce qui puait le foutre.


Une fois tout nettoyé, le proviseur aida Julie à se doucher rapidement puis lui passa un jogging. Elle s'endormit à terre, exténuée par cette journée. Mais elle ne se rendait pas compte de ce qu'il lui arrivait alors...


Elle se réveilla, hurlant de douleur à la fesse gauche. Les 4 compères la maintenèrent et un 5e type lui administra un piqûre de tranquillisant. Julie se réveilla plus tard chez elle, sous les yeux bienveillant du proviseur.


"Écris ce que je te dicte sur ce postit : j'ai fait venir des amis et on a fait la fête toute la journée, désolée pour la casse et les vols, je le paierai avec mon argent de poche"


Puis le proviseur reprit le stylo et alla mettre le postit dans la cuisine.


"Comme on a peur que d'autres personnes tentent de profiter de toi, on a fait comme pour n'importe quel objet, regarde ta fesse dans le mirroir"


Julie se leva et tituba jusqu'au miroir. Elle se tourna légèrement et vit une marque noir sur la gauche de son cul, puis elle s'écroula en larmes. Sur un rectangle de 15cm sur 5cm, il était tatoué :

 


PROPRIETE
DU LYCEE
CONDORCET 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Julie, pute de l'école - Communauté : Soumissions féminines
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