Julie, pute de l'école

Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 22:29

 

Chapitre 4 : Le collier

 

(Auteur: Ojoussama)

 

A la fin du cours de français, Julie rangea ses affaires rapidement et sortit du lycée au plus vite. Elle voulait rentrer chez elle et oublier cette nouvelle journée de soumission. Arrivée à son arrêt de bus, juste en face du lycée, son téléphone vibra. En le sortant de son sac, elle vit "un mms reçu". Elle valida pour le consulter, c’était une photo, une photo d'elle, ou plutôt de son anus bariolé de rouge à lèvres. Un SMS arriva: "n'as tu pas oublié la règle N*9? tu as 5min avant que tes parents reçoivent la vidéo complète".


Julie prit peur. Le bus marqua l’arrêt, de nombreux élèves montèrent mais elle, le regard absent et le visage pale, resta sans bouger avant que le bus ne redémarre. "il faut que j'y retourne absolument" se dit-elle. Elle traversa la rue en courant, sans prêter attention aux voitures qui durent piler juste devant elle. Elle ne pensait qu'a rejoindre le lycée et éviter l’irréparable.


Essoufflée par les 3 étages qu'elle venait de gravir en trombe, elle entre dans le bureau du proviseur sans frapper.


Celui-ci leva les yeux, "de justesse, à quelques secondes près, j'allais appuyer le bouton envoi" dit-il avec un air grave. "bref, passons cet incident, néanmoins que cela ne se reproduise plus"


"Oui..." murmura Julie


"Je n'ai pas très bien entendu, oui qui?"


"Oui... Maître"


"Plus fort! Bon dieu mais vous n’êtes pas si silencieuse quand je vous entends jacasser avec vos camarades!"


"Oui maître" dit Julie d'une voix plus assurée.


Le proviseur se pencha pour ouvrir un tiroir. "bien, je dois faire vite, ce soir c'est l'anniversaire de ma fille et je n'ai pas l'intention de le rater"


Il sortit alors une boite, qu'il ouvrit après l'avoir poser sur son bureau. "afin de t'aider dans ta formation, nous t'avons préparé un peu de matériel. Voici un caméscope numérique et un god."


Julie ne comprit pas tout de suite le lien entre ces 2 objets.


"Tous les soirs à partir de maintenant, tu vas te masturber avec ce god et te filmer. 1h tous les soirs. Chaque lendemain matin, je vérifierai si tu as bien fais tes exercices."


Julie écouta sans réagir.


"Ah, il faudra aussi qu'on ait le son. Et n'oublie pas de mettre une petite feuille avec la date du jour, il serait fâcheux que tu tentes de tricher en copiant la même vidéo plusieurs fois."


Le proviseur lui tendit la boite. "mets le dans ton sac, il y a plusieurs disques d'avance, je t’échangerai celui du jour contre un nouveau chaque matin."


Julie ouvrit son sac et le glissa dedans.


"Tu m'apporteras le disque de la veilles chaque matin à 7h pour que je le contrôle. Si ça te parait tôt, ne t'en fais pas, désormais tu prendras ton petit déjeuner ici."


Julie acquiesça, elle ne pouvait rien dire après tout.


"Allez file maintenant"


Sans demander son reste, Julie quitta le bureau. En marchant dans le couloir, elle croisa le prof de biologie.


"Bonne soirée ma chérie" lui dit il avec un grand sourire.


"Merci maître, bonne soirée à vous aussi maître" Elle savait ce qu'il sous entendait par bonne soirée, toute rouge elle se mit à courir pour attraper son bus.


Le prof de bio entra dans le bureau du proviseur, celui-ci était en train de fermer sa mallette et s’apprêtait à partir.


"Tout à l'heure, quand on attendait de rentrer dans ton labo, on a vu la quantité de foutre que tu lui as fait boire. Comment fais-tu ça? On a les couilles à sec nous, à force de se faire pomper chaque jour"


"Hehe" fit le prof avec un air fier, "vous avez remarqué. En fait je prends des pilule chaque soir qui multiplient la production de sperme. J'ai trouvé ça sur un site américain."


"Mais c'est pas dangereux?"


"Je sais pas, j'ai commencé il y a quelques jours, et je n'ai pas eu encore d'effets secondaires. A part mon liquide séminal qui est d'un verre complet chaque jour."


"Ouah, tu pourrais nous donner le nom de ce produit?"


"Bien sur, passe-moi un postit. Si tu veux je t'en file 3 pour ce soir"


"3? Mais c'est pas trop? Tu m'as dit que tu n'en prenais qu'un"


"Oui, mais pour avoir un effet efficace dès le début, 3 pilules ça sera pas mal"


Le prof de bio découpa 3 gélules de la plaquette qu'il sortit de sa poche. "en ce qui concerne le prix, c'est pas donné, il faut donc veiller à ce que notre petit sac à foutre ne gâche pas notre précieux nectar."


"Ne t'en fais pas sur ce point. Sinon tu voulais me voir pour quelque chose?" demanda le proviseur


"Oui, le prof de techno a eu vent de nos occupations. Il a une chose à nous montrer


"Robert? Ce vieux pervers? Ça me plaît pas trop de le mettre dans le coup, j'ai eu du mal à étouffer l'affaire des caméras qu'il avait placé dans les toilettes des filles"


"Oui je me souviens, mais je vais quand même passer le voir juste après. Qui sait, il a peut-être quelque chose d’intéressant à nous proposer"


"Comme tu veux, mais méfie-toi de lui"


"Pas de problème. Pour Julie, tu lui as donné le matos?"


"Oui, elle doit repasser demain matin. On va prendre le petit dej ensemble, enfin elle va surtout boire elle"


"Hahaha, en plus avec ces gélules, tu crois pas si bien dire"


Ils sortirent du bureau, prenant chacun une direction différente.


Le lendemain, Julie entra dans le bureau. Il n’était que 7h35. Elle avait des grosses cernes, qu'elle avait tenté de masquer avec du maquillage. Elle avait en effet peu dormi car en plus du TP que le proviseur lui avait donné, elle avait du faire ses devoirs et rattraper le cours de français qu'elle avait partiellement raté la veille.


"tu as la disquette? Parfait, donne-la moi. Tiens, mais tu t'es maquillée? On t'a dit qu'il fallait une validation de notre part. Bref, tu le regretteras rapidement".


Il prit la disquette quelle lui tendait, et se leva pour la mettre dans le lecteur à coté de la télé. Puis, la télécommande à la main, il s'avachit dans le fauteuil en face de la télé après avoir baissé son pantalon.


"Pourquoi tu restes plantée là? Dépêche toi, à genoux et pompe moi!"


Julie s'agenouilla devant lui, et commença à le branler.


"Du nerf! Et masse moi les couilles, elles me démangent depuis que je me suis levé."


En les prenant de sa main gauche, Julie remarqua que les couilles étaient anormalement gonflées, la peaux était toute tendue et semblait avoir du mal à contenir les 2 grosses boules, à peine plus petites que des boules de pétanques.


Pendant ce temps, le proviseurs regardait la vidéo en avance rapide. On y voyait Julie allongée sur le dos dans son lit, la tête appuyée sur le mur, jambes écartées, face à la caméra. Elle avait pensé à mettre un carton blanc à coté d'elle avec la date du jour. Le god que lui avait donné le proviseur allait et venait dans son intimité. Au fil des minutes, on voyait le visage de Julie rougir, avec quelques gouttes de sueur.... Elle prenait son pied.


Pendant ce temps, Julie continuait de sucer dynamiquement la verge du proviseur. Il n'allait pas tarder à venir.


Après avoir éteint la télé, il se pencha sur la droite pour attraper un verre à whisky, poussa Julie violemment pour se lever et éjacula dans le verre. L’éjaculation dura près de 10 secondes. Il poussait de grands râles, signifiant à la fois du plaisir et de la douleur.


"waouh! Tiens, tu n'as pas déjeuné ce matin? Prends donc des forces, c'est bourré de vitamines" lui dit-il en tendant le verre plein à ras bord.


Julie tendit les mains pour saisir le verre, elle était choquée par la quantité de sperme.


"allez allez, et n'en laisse pas une goutte"


Julie approcha ses lèvres du verre et but une première gorgée. Le foutre était encore tiède, son goût était très acide contrairement à d'habitude.


"Plus vite! Tu ne vas pas y passer la matinée"


Julie enchaîna les gorgées jusqu’à plus soif. Elle finit le verre et racla même le fond avec son doigt.


Le proviseur passa sa main dans ses cheveux, et la félicita. "souris un peu, ça te fait plaisir non"
Julie esquissa un sourire forcé, "oui maître". Il essuya alors sur son front le reste de sperme qui perlait au bout de son gland. Julie continua d'afficher le même sourire.


"File en cours maintenant"


"Oui maître" puis elle sortit du bureau pour rejoindre la salle de classe.


Peu après son départ, les prof de bio et de techno entrèrent dans le bureau.


"Jean, tu vas voir ce que robert a inventé, c'est du tonnerre de dieu!"


Le proviseur incrédule s’avança vers ses collègues.


Le prof de techno posa quelque chose sur la table. "vous avez déjà vu le film battle royale?" lança t-il "et bien voici une version adaptée à nos désirs"


Le proviseur se saisit de l'objet et l'examina avec méfiance.


"Mettez ce collier au cou de votre esclave et vous aurez un contrôle total sur elle. Avec la télécommande que voici, vous pourrez lui infliger des décharges électriques à intensité variable, vous voyez il y a une molette sur la télécommande. Sur ce collier il y a aussi un micro, un émetteur pour que vous entendiez ce que votre esclave dit. On le verrouille par l’arrière, et comme il est étanche, on peut faire sans jamais l'enlever"


"Alors tu en penses quoi? C'est génial non?"


Sceptique, le proviseur posa quelques remarques: " mais ça n'est pas très discret"


"Ça n'est pas un problème, il suffit que la personne porte un petit foulard noué autour"


"Les décharges ne sont pas mortelles?"


"Pas le moins du monde, la charge maximale sera très douloureuse, pas plus."


"Bon, je vais y réfléchir. Tu veux quoi en échange?"


"Profiter un peu, ça devrait pas trop vous poser de problèmes?"


"Non non, pas de soucis. Je vais installer ça ce midi. En attendant regardez donc ses devoirs d'hier soir" ...


A midi, la sonnerie retentit et tous les élèves sortirent en criant vers la cantine. Julie faisait partie de ceux-là. Comme personne n’était venu lui réclamer une pipe à la pause du matin, elle pensait être tranquille pour la journée.


"Julie, tu peux venir?" le prof de sport était venu la chercher alors qu'elle faisait la queue avec les autres élèves.


"Mmm, tu vas te régaler aujourd'hui", "ne sois pas trop gourmande" ou encore "pour toi, ça sera encore sous la table on dirait" tous les élèves se moquaient d'elle, mais elle était obligée de suivre son prof.


Il la fit entrer dans une des salles que les professeurs utilisaient le midi pour leur repas. Ils étaient là: le prof de bio, le proviseur, et ... Le prof de techno? Julie fut surprise de voir ce vieux fou avec eux.

 

Le prof de sport la poussa dans la salle et referma la porte derrière lui.


"Viens ici Julie, n'ait pas peur. Mets toi à genoux"


Le proviseur s'approcha, et lui attacha le collier rapidement. Il eut un peu de mal à verrouiller l’arrière. Il lui attrapa les cheveux violemment et approcha son visage: "maintenant tu es vraiment notre chienne. Tu vas nous obéir au doigt et à la bite"


Julie était morte de peur, mais les larmes n’arrivaient pas à couler. Puis il attacha un petit foulard hello kitty pour cacher le collier.


"Tu pourras enlever le foulard quand tu prendras une douche, sinon garde le au-dessus. Au fait, avec ce collier on entend tout et on peut te punir de cette manière" et le proviseur lança une petite décharge électrique. Julie sursauta et plaça ses mains au niveau du collier. Mais évidemment il était bien attaché.


"Bien, maintenant à table. Enfin, pour toi. C'est sous la table, et pas de gaspillage!"


"Oui maître" dit Julie en avançant sous la table. Elle suça alors ses 4 maîtres les un après les autres.

 

En gros obsédé, le prof de techno lui fit un deepthroat qui lui donna des hauts le cœur et fit couler de grosse larme. Une fois soulagé, il étala toute la bave sur le visage de Julie. Son maquillage devait à coup sûr la défigurer. Contrairement aux autres, le prof de bio ne gicla pas dans sa bouche. Il se leva et largua tout son foutre dans son verre. La faisant s’asseoir à table, il versa une partie du foutre sur les restes de son assiette.


"Croquettes de poisson avec sa sauce" annonça t-il fièrement.


Julie dut manger le reste de l'assiette et boire le verre à moitié rempli de foutre refroidit.


Le prof de sport se leva et demanda le portable de Julie. Il pianota un peu dessus et invita chacun à poser avec elle pour une photo, mais de manière un peu spéciale. Chacun leur tour, ils devaient enjamber la tête de Julie, toujours à genoux, et s’asseoir légèrement dessus. Le résultat était que leurs couilles situées au-dessus du front de Julie, leur bite descendait du front jusque nez (ou à la bouche, pour les mieux montés). Pour compléter la photo, Julie devait loucher sur la bite qui passait devant ses yeux et afficher un très large sourire.


"Haha formidable, on va mettre ces photos la pour chacun de nos numéro sur ton téléphone.

 

Maintenant que tu connais bien nos bites, plus la peine d'afficher nos noms lorsque l'on t'appellera"

 

Ils étaient tous les 4 hilares. "file en cours maintenant, la sonnerie ne va pas tarder. Et ne te lave pas le visage tant que l'on ne t'en a pas donné l'autorisation."


Julie allait sortir quand le proviseur lui rappela "oublie pas que ton père passe me voir ce soir."


Julie marqua un arrêt, puis sortit. Elle avait complètement oublié. Qu’allait-il lui dire ce soir?

 

 

Tentant d'oublier cela, elle fonça aux toilettes pour se voir dans un miroir...

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Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 22:27

Chapitre 3 : Le contrat

 

(Auteur: ?)

 

 

Cela faisait 2 jours que Julie avait été prise devant tous ses camarades. Ses copines, avec lesquelles elle gardaient les meilleurs souvenirs de collège, la traitaient de grosse truie, de garage à bite... Une vulgarité inimaginable il y a encore quelque jours.

 

Mais ce fut différent cette fois ci. A peine eut elle avalé sa dose de foutre bien chaud, que le proviseur et le prof de sport entrèrent dans la salle de cours. Julie prit peur, elle craignait ce qui allait arriver: allaient ils la baiser maintenant? Ce qui voulait dire quelle arriverait en retard pour le cours de français. Elle savait que sa réputation était déjà anéantie, et que toute la classe savait pourquoi elle était absente à chaque recréation. Mais quand même, elle voulait limiter la casse.

 

"Julie" commença le proviseur. "nous nous sommes réunis ce matin,et nous avons conclu que cette situation ne peut plus durer"

 

Julie n'en revenait pas, ils allaient décider d’arrêter là leur folie, leur délire sexuel. Une bouffée de joie explosa dans sa tête: tout est fini, enfin!!!

 

Le professeur de svt continua "oui, comme monsieur le proviseur le dit, cela ne peut pas durer, aucun contrat. Ne formalise notre relation, je ne peux m'y faire."

 

"c'est pourquoi nous allons établir un accord écrit entre nous, un pacte formalisant notre relation entre nous 4, et définissant ton statut de pute du lycée Condorcet de sac à foutre je dirais même, et bientôt de garage à bites" ajouta le prof de sport avec un large sourire.

 

Le visage de Julie se décomposa, tout s'effondra autour d'elle. Elle qui pensait, encore 5 secondes avant, que ce cauchemar allait prendre fin....

 

Le matin même, dans le bureau du proviseur, nos 3 complices c’étaient réunis.

"ça ne peut pas durer Michel, on est marié, si elle parle on est fichu. J'ai pas envie de gâcher ma vie juste pour m'avoir vidé les couilles une dizaine de fois." s’énerva le prof de svt.

 

"il a raison" enchaîna le prof de sport, "on risque gros là. En plus elle est mineure cette pute"

 

"oui, je comprends votre inquiétude, j'y ai aussi pensé"

 

"et donc? On fait quoi maintenant?" s'énerva le prof de svt

 

"on ne peut pas s'arrêter en si bon chemin. En plus, vous n'en avez pas déjà assez de cette routine? Une pipe par jour..., ça fait à peine une semaine et je m'en lasse déjà. Il faut aller plus loin"

 

"Je suis d'accord mais comment

 

"un contrat écrit. On lui fait signer un contrat d'esclave et on menace de tout balancer à ses parents si elle parle. Je suis sur que ça suffira pour obtenir son silence"

 

"ok, je suis partant, et toi Jules?"

 

"moi aussi, je vous fais confiance. Et si ça me permet de la défoncer cette salope!!!"

 

"ok, on se voit cet aprem dans ton labo. Moi je m'occupe de rédiger le contrat, vous aller voir ce qu'on va lui mettre. Hahaha"

 

Julie était toujours à genoux devant ses trois tortionnaires, abattue par ce qu'on venait de lui balancer.

 

Le proviseur s'approcha de son sac qui traînait à terre. Il le renversa sur l'une des tables. Il poussa à terre les livres et cahiers, ça n’était visiblement pas ce qu'il recherchait. Après avoir fouillé les autres poches du sac, il sortit fièrement une trousse et la vida sur la table. Il ramassa le tube de rouge à lèvres et le brandit fièrement.

 

"voila ce que je recherchais!"

 

Il sortit alors de sa poche un papier plié en quatre. "voici ton contrat, je vais te le lire, et tu n’auras plus qu'à le signer."

 

Il commença la lecture:

 

"moi, Julie Jouannot, je m'engage à devenir un objet sexuel et à appartenir entièrement au lycée Condorcet. Je m'engage donc à respecter scrupuleusement les règles suivantes:

- obéir à tous les ordres de mes professeurs

- obéir aux personnes auxquelles mes professeurs m'auront prêtée ou louée

- assouvir au maximum tous les désirs des personnes qui profiteront de moi

- faire valider par mes professeurs tous les vêtements, tenues, accessoires, bijoux, et maquillages que je voudrai porter

- faire valider toute nourriture ou boisson avant consommation

- demander l'autorisation avant de quitter le lycée chaque soir, ainsi que pour chaque sortie non accompagnée par un de mes professeurs (pour partir en vacances, sortir le soir, partir en week-end même avec mes parents)

- ne plus avoir de contact avec mes anciens amis

- ne pas parler de mes activités scolaires ou extra scolaires à quiconque.

Lu et approuvé"

 

Julie bégaya quelques mots incompréhensibles, elle était devenue toute pâle. Pourquoi? Pourquoi cela lui arrivait elle?

 

"tiens voici un stylo, signe ça tout de suite histoire que l'on soit débarrassé de la paperasse"

 

" j-j-je-... Non, je"

 

" voyons, soit raisonnable, tu ne voudrais pas que ton père voit les photos et les vidéos où tu étais recouverte de sperme ou alors celle où tu as avalé sans broncher une belle dose de foutre"

 

Elle était piégée, ils la tenaient.

 

"tiens, prends ce stylo et ce beau contrat, tu n'as qu'un petit gribouillis à faire en bas à droite"

Julie posa la feuille à terre et se pencha pour la signer.

 

"poses ton index là dessus et fait une belle empreinte à coté" lui dit le prof de svt en lui jetant un tampon-encreur.

"bien, maintenant lève toi, relève ta jupe, et penche toi. Les coudes sur la table !"

 

Julie comprit tout de suite qu'ils allaient la baiser.

 

"vois tu ma petite Julie, le rouge à lèvres que tu as là n'es pas validé, je vais te montrer ce qu'il se passera si tu enfreins les règles de notre accord"

 

Le proviseur enleva le capuchon et le jeta à terre, puis il tartina de rouge l'anus de Julie.

 

"on va quand même l'utiliser avant, non ?"

 

Il ramassa le papier qu'elle venait d'approuver et pressa le coin gauche sur son anus repeins. Une sorte de grosse tache rouge était maintenant présente à côté de sa signature.

 

"même ton cul l'a validé, tu n'as plus d'excuses"

 

Le prof de svt ramassa le rouge à lèvres, tira Julie par les cheveux : "on va quand même pas gâcher ça, croque un coup dedans"

 

Hésitante, Julie approcha fébrilement sa bouche du tube et croqua un petit centimètre.

"pas plus que ça? Bon tanpis, mâche bien"

 

Au fur et a mesure, Julie comprenait quelle allait avoir la bouche et les dents toutes rouges. Puis elle avala, le goût était horrible, pire que du sperme!

 

Le prof de svt écrasa Julie à plat ventre contre la table et lui écarta les fesses.

 

"puisque tu rechignes à le manger par la bouche, ça va passer par l'autre trou"

 

Il enleva la partie fixe du tube et enfonça le rouge dans le cul de Julie, en poussant bien au fond avec son majeur.

 

La sensation fut très déplaisante pour Julie, c'était quand même plus gros qu'un suppositoire.

 

le professeur de sport pris le portable de Julie qui traînait parmi ses affaires étalées sur la table et se mit à pianoter dessus. Les téléphones des 3 bourreaux bippèrent, signalant un SMS.

 

"j'ai vidé ta liste de contact, après tout ces personnes ne te seront plus très utiles à partir de maintenant. Je les ai quand même transféré à chacun d'entre nous, tu comprendras qu'il serait dommage qu'ils reçoivent les vidéos de tes exploits si tu romps notre contrat" dit il en continuant de pianoter. "j'ai laissé les téléphones de tes parents au cas où et rajouté les nôtres."

 

Le proviseur prit alors la parole: "vas en cours maintenant, tu es assez en retard comme ça!"

 

Julie ramassa sa trousse et ses cahiers et les mis dans son sac. Au moment de ranger ses affaires de maquillage, le proviseur lui donna une tape assez forte sur la tête: "tu n'as pas très bien compris on dirait, si on ne valide pas, tu n'y as pas droit. A partir de maintenant fini le maquillage, jusqu'à ce que l'on te fournisse un kit approuvé. Tu as compris? qu'on ne t'y reprenne pas"

 

Elle fit un signe de la tête

 

"ça n'est pas une réponse. Décidément, il faut tout leur apprendre à ces ados... on dit oui maître"

"oui... maître" murmura Julie

 

"plus fort, on a rien entendu!"

 

"oui maître"

 

"bien, dépêche toi maintenant."

 

Julie s'avança de la porte mais avant de l'ouvrir, elle demanda "je peux boire un peu d'eau?" demanda t'elle timidement

 

 

Le professeur de sport se retourna vers le proviseur: "fantastique, elle a tout compris", puis il se tourna vers Julie : "oui bien sur, attend 2 secondes". Il prit un bécker sur la paillasse, versa un fond d'eau du robinet dedans, puis le porta à sa bouche, racla bruyamment sa gorge et cracha un énorme mollard dedans. Il le tendit à ses 2 compères qui firent de même. Il y avait maintenant plus de cracha que d'eau dans le bécker. Julie, tremblante, hésita à le prendre. Elle n'avait que droit à ça pour rincer le rouge à lèvres qui lui colorait les dents, et surtout qui lui démangeait la bouche. Elle prit une gorgée et se fit un bain de bouche. Elle avait des hauts de cœur à l'idée d'avaler cette mixture, mais sous le regard imposant de ses tortionnaires, elle dû s'y résoudre. Elle but tant bien que mal le reste de la mixture et sortit rapidement pour rejoindre le cours de français qui était déjà bien entamé.

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Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 22:25

Chapitre 2 : Cours d’éducation sexuelle

 

(Auteur: Sherkaan)

 


Julie est mortifiée lorsqu’elle rentre à la maison. Pendant tout le repas, elle ne dit mot, pensant déjà à la journée du lendemain. La voyant si triste, son père lui dit qu'il a été convoqué par le CPE et que celui-ci propose qu'elle parte une semaine en camps aéré. Julie refuse en pleurnichant, arguant qu’elle veut rester avec sa famille, notamment le plus grand de ses trois frères, qu’elle ne voit presque plus depuis qu’il a quitté la maison pour aller étudier à Paris.

Mais le père de Julie, soutenu par sa mère insistent: « Il faut t’ouvrir aux autres ma puce, partager des moments avec tes camarades, t’émanciper de la famille. C’est important à ton âge, tu as seize ans désormais. Ta maman et moi avons chacun participé à ce genre de camps, nous en avons gardé de merveilleux souvenirs. Nous ne t’avons pas inscrite pour rien dans ce lycée privé, il faut profiter des activités qu’ils offrent. Je vais appeler ton directeur pour lui confirmer ta participation ». Résignée, sans voix, ne pouvant rien dire, Julie laisse son père se lever et appeler le CPE. Celui-ci ne répondant pas, il lui laisse un message.

Lorsque Julie arrive à l’école, elle n’a que le temps d’entrer dans la classe avant d’entendre la voix du CPE dans les haut-parleurs: « Julie Jouannot est priée de se rendre immédiatement dans le bureau de la direction ».

 

 

Elle sort sous les railleries de ses camarades: « Tu vas prendre ton pet-déj! », « Mmmm, une bonne grosse saucisse à la crème ». Le prof de français qu’elle croise au moment où elle franchit la porte ne peut s’empêcher de sourire et de rajouter « Bon appétit! ».

Lorsqu’elle entre dans le bureau, le CPE n’est pas seul, le prof de biologie et le prof de gym sont là. « Entre Julie. Ton père m’a laissé un message pour me dire que tu viendrais avec nous cet été, quelle bonne décision. Les deux professeurs qui vont encadrer ce camp sont ravis, n’est-ce pas messieurs? Je vais le rappeler de suite. Viens sous le bureau pour me sucer pendant ce temps. »

Julie s’exécute après un instant d’hésitation, sans jeter le moindre regard aux trois hommes: elle s’agenouille, sort la queue du CPE de son pantalon et se met à le sucer.

« Bonjour M. Jouannot, j’ai eu votre message, c’est une excellente et sage décision. Je suis sûr que ce stage va permettre à Julie de s’ouvrir … Oui, absolument, c’est cela … Oui … Oui, elle est dans mon bureau, elle ne dit pas grand-chose comme de nature, mais elle semble ravie ». Pendant ce temps, Julie continue à sucer à contrecœur la grosse queue du CPE, qui lui maintient fermement la tête.

« A propos M. Jouannot, nous avons demain samedi une journée d’information sur différentes activités que nous souhaitons promouvoir dans le cadre du lycée. Les meilleurs élèves et leurs parents sont conviés. Il serait bien que Julie et vous-même y participiez, afin de construire un cursus intéressant durant les trois années qu’elle va passer parmi nous … Oui … Tout à fait … Demain matin, 9h au lycée … Parfait. Au revoir M. Jouannot, à demain ».

« Et bien voilà qui est fait, nous allons ainsi avoir le temps pour compléter ton éducation. D’ailleurs, il faut commencer tout de suite et retourner en classe » dit le CPE en retirant sa queue sans avoir craché son sperme. Julie se lève, remet un peu ses habits en place … « Arrêtes-toi! Dorénavant je veux que tu ne portes aucun sous-vêtement lorsque tu viendras au lycée. Enlève-les !» Julie reste interdite, n’osant se déshabiller devant eux … « Veux-tu que je demande à ton père de t’aider? » demande le CPE d’un ton menaçant. Au bord des larmes, Julie commence timidement à déboutonner le chemiser blanc de son uniforme. Le CPE allume la webcam et la braque sur Julie. Celle-ci tente maintenant de dégrafer son soutif sans enlever son chemisier … « Pas de ça! Tu te déshabilles, complètement! Pas de triche, sinon …! ».

Julie est résignée. Elle enlève son chemisier, sa jupe marine puis, après une hésitation, ses sous-vêtements. Puis elle se rhabille rapidement sous les rires des trois hommes, qui s’emparent des vestiges intimes de sa tenue. Le prof de biologie ouvre la porte et l’accompagne en classe, suivi du CPE.

Ses camarades l’accueillent avec des insanités « Alors c’était bon?! ». Le CPE intervient: « Silence! Julie n’a encore rien fait ce matin. Julie va t’asseoir ». Julie est inquiète, tant par les mots du CPE (que veut-il dire par « encore rien fait ce matin » …) que par sa présence inhabituelle.

Le prof de biologie s’avance vers le tableau. « Il y a quinze jours nous avons parlé des rapports sexuels bucco-génitaux à risque. Cette semaine, nous allons nous intéresser aux rapports vaginaux. Julie, vu tes performances de la dernière fois, je pense que tu es la plus appropriée pour illustrer cette leçon ». Julie s’avance, la peur au ventre.

« Ainsi que vous le savez déjà sans doute tous, l’être humain doit s’accoupler pour se reproduire, comme tous les mammifères. Pour cela, le mâle doit pénétrer le vagin de la femelle avec son pénis et déverser son sperme au fond de celui-ci pour permettre au spermatozoïde d’aller fertiliser une ovule. »
- « Avez-vous déjà vu une chatte, pardon un vagin, de près? »
- « Nooooooooooooon » hurlent les élèves.
- « Julie viens ici, enlèves ta culotte, couches toi sur le dos sur le pupitre et écartes les jambes. »

Julie se lève, mécaniquement. Arrivée devant le pupitre elle reste interdite.
- « Enlève ta culotte je t’ai dit ».
- « Je n’en ai pas …» répond Julie d’une voix presque inaudible.
- « Tu n’as pas de culotte? Avec une jupe aussi courte?!» dit le prof à haute voix.
- « Mais tu es vraiment une salope! En tout cas cela prouve que tu es toute désignée pour l’exercice! Couches-toi sur le dos maintenant.»

Le prof rabat complètement sa jupe sur son ventre, lui écarte les jambes avant de passer ses doigts sur sa chatte. Julie tente de refermer ses cuisses, mais le prof a prévu le coup et les maintient fermement.
- « Approchez-vous! »
- Passant ses doigts sur la chatte de Julie il précise: « Vous voyez, il y a là à l’extérieur les grandes lèvres, puis à l’intérieur les petites lèvres, qui assurent l’étanchéité avec la queue du mâle lors du rapport ».
- « Avant tout rapport, afin de ne pas blesser la femelle, il est important de la stimuler afin de la faire mouiller pour que la bite du mâle puisse coulisser sans brûler les chaires. Il y a pour ça plusieurs techniques: la première consiste à caresser les lèvres de haut en bas ». Julie est horrifiée, elle se tortille mais ne parvient pas fermer les jambes. Le prof de biologie commence à caresser Julie.
- « La seconde consiste à stimuler le clitoris », joignant les actes à la parole. Julie n’ose rien dire, espérant que cela ne dure pas trop longtemps.
- « Pour vérifier si le traitement est efficace, il suffit d’introduire un doigt dans la chatte ». Aussitôt le prof de biologie enfonce son majeur dans la chatte de Julie et ajoute: « Avec de bonnes salopes comme Julie, il ne faut pas longtemps pour la faire mouiller. Voyez comme elle est déjà luisante ». Julie est morte de honte … elle mouille alors qu’elle se fait pour ainsi dire violer devant une vingtaine de camarades …
- « Enfin, si cela ne suffit pas, vous pouvez donner quelques coups de langues, l’effet est immédiat ». Julie sent alors une langue chaude remonter le long de sa chatte. Elle ne peut réprimer un petit soupire qui provoque l’hilarité générale. Julie aimerait pouvoir se cacher sous terre.

« Une fois la femelle préparée, le mâle n’a plus qu’à la pénétrer ». Julie prend peur et crie «Noooooooon », vite interrompue par le prof: « Julie quand on mouille comme tu le fais, refuser de se faire baiser est vraiment ridicule ». « Monsieur le Proviseur, à vous l’honneur ».

Julie tente de crier, mais le prof met sa main sur sa bouche. Le CPE s’approche, baisse son pantalon et sort sa queue déjà toute dressée. Il l’enfonce lentement mais profondément dans la chatte de Julie, qui essaie de se débattre, en vain. Il commence à faire des aller-retours de plus en plus puissants, qui finissent par arracher à Julie des gémissements qui se mêlent à ses sanglots.

Le prof commente:
- « Cette position, quand la femelle est sur le dos, s’appelle le missionnaire. Elle est très classique, mais elle apporte quand même beaucoup de plaisir ».
- « Par contre, M. le Proviseur a commis une erreur. Laquelle? »
- Les élèves, en cœur: « Il n’a pas mis de capote! »
- « Absolument! Et c’est très dangereux pour lui, car avec un garage à bite comme celui-ci, qui peut savoir combien de mecs sont ou vont passer dessus. Mais c’est vrai que c’est tellement plus agréable. N’est-ce pas Julie »?
- Alors que le CPE commence à haleter de plus en plus fort, le prof précise: « Au bruit, on peut savoir que le mâle va bientôt éjaculer dans le vagin de la femelle. Cela peut durer longtemps avant que cela ne se produise, mais ici comme la femelle est jeune, sa chatte est très serrée et il est difficile pour le male de se retenir longtemps. » Soudain, le CPE pousse un lourd cri et éjacule dans la chatte de Julie, qui crie « nonnnnnnnnnnnnnnnn ».
- « Voici encore une faute grave de M. le Proviseur: il ne faut jamais éjaculer dans le vagin de la femelle sans son consentement et sans savoir si elle prend une méthode de contraception. Toutefois, ici encore, la question ne se pose pas car une salope pareille aime forcément cela et prend forcément la pilule, n’est-ce pas Julie? »
- « Oui … Mais c’est pour mes règles … ».
- « Les petites salopes disent toutes ça! ».

Le CPE se retire, Julie tente de fermer les jambes, mais le prof la contre. « Regardez comme la chatte de Julie est ouverte désormais. Elle serait prête à recevoir n’importe quelle bite, mais malheureusement nous n’en n’avons pas le temps, car la cloche va bientôt sonner. »

Julie essaie de se redresser pour fuir mais en est empêchée par le prof: « Regardez bien la chatte de Julie, on aperçoit le sperme de M. le Proviseur qui commence à sortir ». Il appuie sur le ventre de Julie et un gros paquet de sperme visqueux commence à couler le long de sa chatte.
- « Tu peux aller te rasseoir Julie ».
- « Je voudrais aller aux toilettes … » dit-elle timidement.
- « Tu iras à la pause comme tout le monde. ».

Julie regagne sa place en baissant la tête. Elle sent le sperme du CPE couler le long de ses jambes. Elle prend le plus discrètement possible un mouchoir et commence à s’essuyer, mais elle se rend compte que tout le monde la regarde de manière méprisante et ironique.

« Voici la fin des cours d’éducation sexuelle, le programme ne nous permet malheureusement pas d’en faire plus cette année. Vous serez interrogés dans deux semaines sur ces leçons. » Julie ressent un soulagement, elle qui craignait que ce calvaire se prolonge sur plusieurs semaines encore.

Les exercices pratiques du cours d’éducation sexuelle font le tour des élèves de l’école en moins de cinq minutes. Julie se terre en classe le reste de la journée, fuyant les regards moqueurs de ses camarades. Elle ne mange pour ainsi dire rien le soir en rentrant, allant se coucher inhabituellement tôt et s'endormant aussitôt pour oublier cette horrible journée.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Julie, pute de l'école - Communauté : Soumissions féminines
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Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 22:22

Chapitre 1 : D'élève, Julie devient pute

 

(auteur: Love in pain)

 

Julie Jouannot est une jeune fille de 18 ans, elle est très brune, la peau halée et a une poitrine déjà généreuse. Elle est très mignonne.

 

Elle est en seconde et elle prend le bus tous les matins pour se rendre au lycée. Elle prend la ligne 8 et se met souvent au fond, elle y est tranquille pour y faire les 40 minutes de trajet. Un matin comme les autres, elle s'est habillée en jupe et en tee-shirt et elle prend normalement son bus. Pendant le trajet, elle est tranquillement dans ses songes, quand elle sent une main lui toucher les fesses. Elle n'ose rien faire et espère de tout cœur que c'est juste un geste malencontreux. Elle sent alors quelqu'un, visiblement un homme vu la carrure se coller à elle, elle n'ose pas broncher. La main du pervers lui agrippe alors fermement un sein et commence à le malaxer. Elle se retourne et se prépare à crier lorsqu'elle reconnaît le CPE du lycée, son sang se glace et aucun son ne sort de sa bouche. Le CPE, monsieur Bertrand est un homme d'une cinquantaine d'années, les cheveux grisonnants et un peu enrobé.

 

"Bonjour Julie" lui dit-il en continuant à lui tripoter les nibards. Elle bredouille un léger bonjour. Il descend maintenant ses mains et remonte sa jupe, il passe sa main droite sous sa petite culotte et lui caresse la chatte. Julie est gênée et voudrait que ça s'arrête mais elle n'ose rien dire. Elle est dans état second et reprend ses esprits choquée en voyant la bite de son CPE en train de se frotter contre sa petite culotte.

 

Monsieur Bertrand prend sa main, la pose sur sa bite en début d'érection et lui montre le mouvement pour le branler, Julie continue machinalement. Après une minute de ce traitement, le CPE bande comme un âne et sa bite fait maintenant 18cm de long. Il appuie sur l'épaule de Julie, elle comprend qu'elle doit s'accroupir, les choses allant beaucoup trop vite, elle ne réfléchit pas et obéit. Il lui colle ensuite son sexe turgescent sur la bouche, elle ne l'ouvre pas. "Julie, sois une gentille fille, ouvre la bouche, tu ne veux pas que je m'énerve?".

 

La pauvre jeune fille prend peur et ouvre la bouche, il y engouffre son sexe.

 

"C'est très bien, tu es une brave fille."

 

Il commence les allers-retours, en allant un peu plus profondément à chaque fois. Il continue comme ça tout en lui parlant.

 

"Tu as un petit copain?

 

Elle fait oui de la tête."

 

Tu l'as déjà sucé?"

 

Elle fait non.

 

"Pourtant tu suces comme une reine Julie, tu devrais en faire profiter ton petit copain."

 

Elle ne répond pas, elle tourne quelques temps les yeux et remarque que de nombreuses personnes dans le bus ont les yeux fixés sur elle. Elle panique et essaie de reculer sa tête, le CPE lui agrippe fermement avec ses mains et lui enfonce sa bite au fond de la gorge, il reste comme ça.

 

"Julie, qu'est ce que tu essaies de faire? Je te conseille vivement de finir ce que tu as commencé si tu ne veux pas mourir étouffée par ma queue!"

 

Le CPE lit la panique dans son regard, il sourit et retire sa bite pour recommencer le va-et-vient.

 

"Au fait Julie, tu as déjà goûté du sperme?"

 

Elle fait non de la tête avec horreur.

 

"Ça te tenterait de goûter le mien ?"

 

Elle refait le même geste avec encore plus d'effroi."

 

Tu as raison, visiblement, tu es une fille sage et tu ne veux pas avaler au premier rendez-vous, on attendra que tu me connaisses mieux."

 

Il sort sa bite de la bouche de la jeune fille mais lui maintient la tête en place d'une main. Il décharge alors sur son visage et un peu dans ses cheveux, changeant à chaque fois la direction des jets pour qu'elle en ait partout. Pour finir, il se frotte la bite sur le tee-shirt de son élève pour enlever le sperme restant. Julie fait un rapide tour d'horizon du bus et remarque que tous les occupants sourient ou rigolent en la regardant. Les larmes lui montent aux yeux mais elle parvient à ne pas pleurer. Elle sort un mouchoir de son sac, monsieur Bertrand lui arrache des mains.

 

"Julie, ma petite Julie, qu'allais-tu faire? C'est toi qui a voulu ça, tu n'as pas voulu avaler, je respecte ça, mais maintenant, tu assumes."

 

Il l'aide à se relever, lui met son sac sur l'épaule et l'amène vers la porte du bus. Il lui dit en souriant: "On arrive au lycée, tu as l'air prête pour une bonne journée."

 

Il fronce alors les sourcils et dit d'un ton plus grave.

 

"C'est qui ton petit copain ?"

 

Julie hésite et répond :"C'est... Alexandre... Gautier."

 

"Très bien, maintenant, tu vas me suivre dans mon bureau.

 

"Le bureau du CPE est à l'autre bout du lycée, Julie, baisse la tête le plus possible pour éviter les regards, surtout ceux des personnes qu'elle connaît et des profs. Ils commencent tous deux à traverser le lycée, ils arrivent à quelques mètres d'Alexandre (son petit copain) et monsieur Bertrand s'exclame: "Mademoiselle Jouannot, votre conduite est inadmissible. Faire des tels actes dégradants au sein de l'établissement et oser vous balader avec ÇA sur le visage, ça ne vas pas se passer comme ça, croyez-moi! Suivez-moi dans mon bureau."

 

Julie n'ose pas regarder Alexandre mais imagine très bien ce qu'il doit penser, elle est anéantie. Elle suit le CPE jusqu'à son bureau. Ils s'y enferment tous deux. Monsieur Bertrand sort alors un appareil photo et prend quelques clichés du visage de la jeune fille souillée par son sperme qui est maintenant presque sec.

 

"Tu vas devoir être très gentille maintenant Julie car je ne suis pas certain que le directeur et tes parents apprécieront ces photos, elles prouvent que tu es une petite suceuse. Mais ne t'en fais pas, je vais les garder précieusement, si tu te comportes bien et si tu m'obéis à la lettre, personne ne verra jamais ces photos. Maintenant, passes aux toilettes pour te laver le visage, on dirait une pute. Tu reviendras me voir à la récréation. Au fait, n'enlèves pas la tâche sur ton tee-shirt, on croirait un pin's, j'aime bien."

 

Il éclate de rire et Julie sort, rouge de honte. Elle fonce aux cabinets pour se nettoyer le visage, elle va ensuite en cours, la plupart des élèves la regardent bizarrement, visiblement, ce qui s'est passé ce matin a déjà fait le tour du lycée et la tâche sur son tee-shirt ne fait qu'accentuer les ragots. Elle essaie de suivre les cours tant bien que mal, malgré la honte.

 

Arrive l'heure de la récréation, elle sait qu'elle n'a pas le choix et se dirige vers le bureau du CPE. Le temps de s'y rendre, elle remarque bien tous les regards posés sur elle et entend quelques vannes à son sujet, elle accélère le pas. Elle frappe à la porte et le CPE lui dit d'entrer, elle remarque avec étonnement qu'il y a un autre homme qu'elle ne connaît pas qui est en train de parler avec monsieur Bertrand, ce dernier lui dit: "Julie, tu connais peut-être monsieur Vatier, c'est le père de Nicolas qui est dans ta classe je crois, il est le président le l'association des parents d'élèves."

 

"Bonjour... monsieur" dit Julie timidement.

 

"Bonjour, viens ici s'il te plaît."

 

Elle approche doucement et se place devant l'inconnu. "C'est quoi cette tâche? Il te faudrait un bavoir petite cochonne. Je ne peux pas te laisser comme ça, tu vas t'entraîner un peu. Mets-toi à genoux!"

 

Julie se retourne pour implorer monsieur Bertrand.

 

"Tu as entendu ce qu'on t'a dit, tu veux que j'envoie les photos à ton père?"

 

Elle se retourne et se met à genoux. Elle entend monsieur Bertrand se lever, aller chercher quelques chose dans un placard et ensuite retourner à son bureau. Monsieur Vatier sort alors sa queue de son pantalon, elle est à peu prêt aussi longue que celle du CPE mais est beaucoup plus épaisse. Il claque les joues de Julie avec sa queue à plusieurs reprises et lui enfourne ensuite dans la bouche. Il lui maintient la tête pour lui imposer son rythme et commence à lui baiser la bouche. Les deux hommes l'ignorent et se remettent à parler du lycée tout en abusant d'elle. Au bout de 5 bonnes minutes, monsieur Vatier regarde Julie et lui demande: "Alors, tu vas avaler cette fois-ci?" Julie hésite et fait oui de la tête avec abnégation, elle ne veut pas retourner en cours avec du sperme sur la gueule. "C'est bien, tu es docile, j'aime ça. Je vais maintenant éjaculer dans ta bouche, tu vas tout garder dedans et te retourner la bouche grande ouverte pour bien montrer mon jus à monsieur Bertrand, après seulement, tu l'avaleras."

 

Au moment ou monsieur Vatier finit sa phrase, elle sent des saccades de liquide chaud taper le fond de son palais et se déposer sur sa langue, elle reste ainsi sans bouger jusqu'à ce que son agresseur se retire. Elle se retourne alors, la bouche pleine de sperme et grande ouverte. Julie se retrouve alors nez-à-nez avec une caméra, monsieur Bertrand a visiblement filmé toute la scène, elle se sent trahie, ne sait plus quoi faire lorsqu'elle entend: "Avales maintenant!"

 

Elle obéit machinalement et avale le jus devant la caméra. "C'est très bien Julie, je suis fier de toi, tu es une grande fille. Maintenant, donnes-moi ta petite culotte s'il te plait." lui ordonne monsieur Bertrand.

 

"Comment, mais je ne.."

 

"Tu as très bien compris, tu me la donnes ou tu préfère que je mette mon nouveau petit film au programme d'éducation sexuelle cette année?"

 

Elle enlève lentement sa culotte et la tend au CPE, il lui tend une enveloppe en échange et dit: "Tu donneras ça au professeur et tu n'as pas intérêt à l'ouvrir, je le saurais. Maintenant dégages!"

 

Elle sort et se dirige vers le cours de sport. Elle arrive dans le gymnase et va vers le prof pour lui tendre l'enveloppe, il l'ouvre, la lit, esquisse un sourire et dit: "On va faire des étirements pour commencer, pas la peine de vous changer tout de suite. Mettez-vous en cercle autour de moi."

 

Les élèves forment maintenant un cercle autour du prof. Il regarde Julie et dit:"Julie, viens avec moi, tu vas m'aider pour les démonstrations."

 

Elle s'approche de lui, elle craint le pire. Le professeur de sport se penche alors complètement pour toucher ses pieds avec ses mains, il dit aux élèves de faire de même, ainsi, les camarades de Julie situés derrière elle pouvaient profiter du spectacle et mater sa chatte et son cul. Ensuite le prof s'assied par terre et appuie sur ses genoux, ce qui écarte ses jambes au maximum, il demande de nouveau aux élèves de faire de même. Ils s'exécutent et c'est maintenant ceux de devant qui peuvent voir la chatte de Julie. Les étirement durent ainsi 20 bonnes minutes et le professeur multiplie les positions pour être sûr que toute la classe a bien vu que Julie ne portait pas de culotte.

 

"Maintenant, vous allez faire de la gym, il faut que je m'entretienne avec Julie, si vous avez besoin, je serai dans mon bureau."

 

Julie le suit à son bureau, elle s'apprête à fermer la porte, il lui fait signe que non et dit qu'il doit surveiller un minimum les élèves."

 

On m'a dit que tu t'étais entraîné à une nouvelle discipline ce matin, tu veux bien me montrer?"

 

Elle ne bouge pas et ne sait pas quoi faire.

 

"Julie, je vais déjeuner avec monsieur Bertrand tout à l'heure, tu es sûre que tu ne veux pas me montrer tes nouveaux talents?"

 

Elle s'approche résignée et s'accroupit devant lui, il pue la sueur mais elle n'a pas le choix. Elle baisse son jogging pour sortir sa bite, elle est encore molle. Julie prend la bite dans sa bouche et commence à la sucer doucement. Après 2 minutes, la bite du prof de sport est en érection et remplit totalement sa petite bouche, la fellation continue. Soudain un des gars de la classe arrive en gueulant: "Eh msieur, on en a marre de la!"

 

Il stoppe net en voyant la scène.

 

"C'est pas possible Jérôme, tu pourrais frapper! Qu'est-ce que tu veux?" lui répond le prof comme si tout était normal. Jérôme a du mal à s'empêcher de rire en voyant ça, il est halluciné et arrive à dire: "Msieur... on en a... marre de faire... de la gym... c'est un truc... de gonzesses."

 

"Très bien, faites du foot. Maintenant, laisse nous, comme tu le vois, on est pas mal occupé."

 

Julie est toute rouge, faire des choses si répugnantes et devant un gars de sa classe. Elle continue quand-même car elle n'a pas le choix. Cependant, son calvaire est loin d'être fini, Jérôme a visiblement raconté à tous ce qu'il a vu, si bien que les élèves viennent toutes les 20 secondes pour poser des questions bidons au prof, ils oublient à chaque fois de frapper avant d'entrer. En 5 minutes, la moitié de la classe est venue voir, le prof leur demande de fermer la porte et de se débrouiller seuls au bout d'un moment.

 

"Julie, tu avales ou pas?"

 

Elle fait oui de la tête."

 

C'est très bien ça, tu sais comment faire plaisir aux mecs."

 

En disant ça, il enfonce sa bite au maximum, elle a le nez contre ses poils pubiens, il lui envoie son foutre directement dans l'œsophage. Il ressort sa queue et essuie la goûte de jus qui reste sur le gland sur le coin des lèvres de Julie, elle a maintenant une goûte de sperme au coin des lèvres."Ne l'enlèves surtout pas!"

 

Elle n'a pas le choix et ne cherche pas à l'enlever.

 

"Maintenant, vas faire un peu de sport avec le reste de la classe."

 

"Mais, ils vont...."

 

"Vas-y j'ai dit!"

 

Elle sort doucement de la pièce et se dirige vers sa classe. Les vannes fusent, ils l'appellent la suceuse, même les filles et ses copines s'éloignent d'elles. Le cours se finit ainsi, elle est maintenant totalement à l'écart de la classe et a une réputation de salope. En une demi-journée, sa vie semble gâchée. Le midi, elle s'assied avec son groupe d'amis habituels et son petit copain mais ces derniers la refoulent et la traitent de salope, elle est obligée de manger seule.

 

Durant ces trois semaines, il n'y a pas eu un seul jour où elle n'a pas été obligée de sucer monsieur Bertrand, le CPE pervers de son lycée. Elle s'est quelque peu habituée à ce rôle, si on peut nommer ainsi le fait qu'elle ne combat plus, elle a en quelques sortes compris où était sa place. Julie s'inquiète de plus en plus des allusions répétées du CPE à sa virginité qu'il semble bien décidé à lui prendre mais il attend visiblement le moment propice.

 

Au niveau social, Julie est maintenant toujours seule, ses amis habituels la refoulent totalement, comme tout le lycée, ils la traitent de salope. Son petit copain l'a larguée et ses notes ont chuté, atteignant un niveau que l'on pourrait qualifier d'inquiétant.

 

Comme tous les midis maintenant, elle est obligée de manger seule. A la fin de son repas, monsieur Bertrand vient la voir et lui fait signe de le suivre à son bureau.


"C'est bien Julie, passes sous mon bureau, tu sais quoi faire."


Monsieur Bertrand recule sa chaise pour laisser Julie s'accroupir et prendre place sous son bureau. Il l'avance de nouveau ensuite, elle ouvre sa braguette et commence à le sucer. Personne ne peut voir ce qui se passe sous le bureau.


On frappe alors à la porte, monsieur Bertrand dit d'entrer, elle entend un homme dire bonjour et reconnaît la voix de son père. Elle arrête de sucer la bite du CPE et recule le plus possible, de peur d'être vue. Le CPE avait prévu cette réaction, il sort une feuille de sa poche et la pose sur sa cuisse, on peut lire dessus :


"Suces salope ou je me lève et je dis à ton père de venir voir !"


Elle est terrifiée et reprend la bite en bouche.


"Bonjour monsieur Jouannot. J'ai remarqué un certains relâchement chez Julie depuis quelques temps, j'espère qu'il n'y a rien de grave."


"Ah bon, c'est vrai qu'elle a l'air d'avoir des ennuis mais elle ne veut rien dire, que pouvons-nous faire?"


"Comme vous le savez, dans deux mois débutent les vacances scolaires et comme chaque année avec quelques autres professeur nous organisons une semaine d'activités pour renouer le contact avec certains élèves difficiles. Votre fille ne fait pas partie de cette catégorie d'élèves mais je pense que ce petit stage lui ferait du bien. Comme l'internat est vide durant les vacances, Julie pourra dormir au lycée, étant donné que l'emploi du temps n'est pas figé, on préfère que les élèves participant au stage dorment ici."


"Si ça peut l'aider à surmonter ces problèmes, ça me parait être une bonne idée. Mais je dois en parler avec ma femme avant de décider, ça me parait donc difficile de prendre la décision aujourd'hui.”


“Tenez, voici mon numéro de téléphone direct et mon mobile, appelez-moi dès que vous avez pris une décision, ce serait dommage que Julie manque ce stage.”

 

“Merci beaucoup, je ne manquerai pas de vous contacter, à priori, je pense qu'elle fera ce stage, on est très inquiet à son sujet et je serai rassuré de la savoir avec vous."


"De rien, ce n'est que mon travail de veiller au bien-être des élèves. D'autant plus que j'ai remarqué que Julie avait un énorme potentiel dans bien des domaines. je travaille beaucoup à faire ressortir les qualités, parfois cachées, de mes élèves."


Ils se saluent et le père de Julie sort du bureau.


"Tu as vu petite salope, tu vas surement venir passer tes vacances avec nous, t'es contente ?"


En disant cela, il enfonce sa bite au fond de la gorge de la jeune fille qui ne peut rien répondre.


"Je me doutais bien que ça te ferait plaisir.


Il commence à éjaculer au fond de sa gorge en finissant sa phrase. Il sort Julie de sous le bureau.


"Attends 2 minutes, je vais t'aider à te faire belle pour retourner en cours."


Il sort alors une coupelle couverte qui contient une substance visqueuse, le connaissant, ça ne peut être que du sperme. Il s'approche et dit en riant: "C'est un cadeau du corps enseignant Julie, ils l'ont fait en pensant à toi."


Lèves la tête maintenant, elle obéit. Il plonge alors deux doigts dans le liquide, y colle une bonne dose de semence masculine et vient la déposer au coin de sa bouche.


Il se penche maintenant devant elle, lève sa jupe et verse le reste du sperme sur sa chatte, le liquide visqueux commence doucement à descendre le long de ses jambes.


"Tu es prête, tu vas pouvoir aller en cours, ça va de soi qu'il ne faut pas que tu t'essuies !"


Elle est prête à pleurer et a envie de s'enfuir ou de refuser de se balader comme ça mais elle sait bien qu'elle n'a pas le choix.


"Attends 2 secondes avant de partir, on va faire une photo souvenir pour notre petit album."


Il la prend en photos à plusieurs reprise, zoomant bien sur son visage et ses jambes.


"C'est bon, tu peux y aller."


La sonnerie de la récré vient de sonner, Julie ne sait pas où aller pour ne pas être trop remarquée. Elle décide d'aller directement dans la salle où elle va avoir cours, il y aura sûrement quelques élèves de sa classe mais au moins, comme ça, tout le lycée ne la verra pas. Elle arrive dans la classe et voit avec stupeur que tout le monde est déjà là. Des remarques fusent de toutes parts su style: "Tiens vla la salope", "Julie, t'en as encore sur le coin de la lèvre", "Vu la dose, tous les profs s'y sont mis!"... Tous les élèves se marrent, Julie trouve une place au fond de la classe, à l'écart et s'y assied.


Le prof de bio arrive lui aussi en avance, il se dirige à son bureau et commence à écrire au tableau le sujet et le plan du cours, comme il le fait à chaque fois:

 

Éducation Sexuelle


1 – Les pratiques à risques :


a) Les pratiques à proscrire lors des rapports buccaux-génitaux


La sonnerie retentit indiquant la reprise des cours, tous les élèves cessent de bavarder, s'assoient. Le prof prend la parole:


“Vous pouvez voir le sujet du cours d'aujourd'hui, quelqu'un a une question avant que nous commençons?”


Personne ne répond, le professeur reprend donc la parole:


“Nous allons donc en apprendre un peu plus sur les rapports buccaux-génitaux, à savoir la fellation ou le cunnilingus, vous connaissez tous ces pratiques je suppose. Il est tard et comme c'est une sujet sensible et que je m'inquiète beaucoup pour la santé de mes chers élèves, je vais changer un peu la teneur du cours pour être sûr que vous reteniez les principes importants et que ce soit un peu plus divertissant. J'ai donc mis au point une nouvelle méthode pédagogique, basée plus sur la pratique que sur la théorie. Mais bon, les actes valent mieux que les longs discours, donc commençons.”
Il appelle Julie à son bureau, elle lui dit qu'elle n'est pas en forme et qu'elle préférerait qu'il appelle un autre élève. Son regard se noircit, il réitère sa demande avec autorité et l'élève s'exécute donc et le rejoint à son bureau, devant toute la classe. Elle sent le sperme couler le long de sa jambe à chaque pas, c'est humiliant.


Le prof de bio se tourne vers la classe et dit:


“Comme je vous l'ai dit il y a deux minutes, je vais vous montrer ce qu'il ne faut pas faire lors de vos rapports buccaux-génitaux, je vais imager mon cours en prenant pour exemple une fellation. Je compte sur vous pour faire exactement le contraire de ce que je vais vous montrer lors de vos prochaines séances de `sexe oral`.”


Il se tourne vers Julie et lui dit de se mettre à genoux. Elle n'a malheureusement une idée précise de ce qui est en train de se passer, usée mentalement, elle n'a pas la force de lutter et obéit, il s'approche et baisse son pantalon et son caleçon, ce qui laisse sortir son gros sexe en début d'érection, il le lui colle à la bouche. N'ayant plus aucune fierté, elle l'avale et commence à le sucer.

 

Il dit alors à la classe:


"Normalement, j'aurais dû mettre un préservatif, car en cas de micro-coupures, ma partenaire ou moi, pouvons attraper des MST. Mais il y a deux exceptions, lorsque vous êtes avec une pute au rabais ou lorsque votre petite copine est une vraie salope ou `garage à bites` comme vous dites-vous les jeunes. Nous en avons d'ailleurs un beau spécimen ici, comme vous pouvez le remarquer, elle aime le goût de la bite, ce serait dommage de l'en priver."

 

Il prend alors sa tête entre ses mains et force son sexe profondément dans sa gorge. Il commence de rapides en ressortant sa queue au minimum.


"Il ne faut pas faire ça normalement, le `deepthroat` peut abîmer la gorge de votre partenaire voir la faire vomir, mais avec une petite chienne expérimentée, ça ne pose pas de problème."


Il sort sa bite, dure comme un roc et gifle Julie avec à plusieurs reprises en commentant:


“Cette pratique étant humiliante pour votre partenaire, elle est encore une fois à proscrire, sauf si la suceuse en question est une garce sans fierté.”


Il remet sa bite dans sa bouche et reprend ses allers-retours. Après 5 bonnes minutes, il commence à gémir, il sort une partie de sa grosse bite de sa bouche, ne laissant que son gland à l'intérieur. Elle sent alors sa chaude liqueur arriver sur sa langue.


"Normalement, on se retire pour ne pas éjaculer dans la bouche de sa partenaire. Il y un risque et le goût peut lui déplaire, mais là encore, ça ne gène pas si on s'est trouvé une chiennasse qui aime vider des couilles."


Il sort sa bite de sa bouche et dit à la classe:


"S'il y en a parmi vous qui n'ont jamais vu de sperme de près, vous pouvez approcher et regarder dans la bouche de notre petite salope de camarade comment c'est, dépêchez vous, elle ne va pas pouvoir se retenir longtemps de l'avaler."

 


Trois filles et tous les gars se lèvent pour venir voir la bouche de Julie remplie de sperme. Au bout de 20 secondes, le professeur lui ordonne d'avaler, elle obéit sans discuter.

Puis elle retourne ensuite à sa place, elle est totalement dans ses songes lors des dernières heures de cours de la journée, ça la protège en quelques sortes des chuchotement moqueurs des autres élèves.
Comment va-t-elle tenir l'année? Maintenant, toute la classe participe à son calvaire!

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Julie, pute de l'école - Communauté : Soumissions féminines
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Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 22:09

 

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Depuis plusieures années est publiées sur le site X Story, une série de récits "Julie, pute de l'école".

 

Ces récits ont été écrits par différents auteurs. C'est une illustration de ce que peut donner une démarche collaborative en matière de littérature pornographique. D'un côté, cette démarche collaborative est source de quelques petites incohérence, mais d'un autre côté, elle permet à la série, toujours en cours, de suivre son cours vers des horizons inattendus.

 

Je publie cette série car outre qu'elle s'inscrit parfaitement dans la thématique de ce blog (pauvre Julie . . .), X Story semble se lancer dans une poltique de censure des récits abordant le viol. Ainsi, le 3eme chapitre n'est plus lisible sur ce site.

 

Enfin, petite nouveauté, je publie les 14 chapitres publiés à ce jour ce soir! Et les suivants au fil de leur sortie!

 

Attention, si vous lisez les 14 chapitres d'un coup, vos burnes risquent d'être vidées pour un moment!

 

 

 

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