L'asservissement de Laure

Mercredi 21 octobre 3 21 /10 /Oct 21:20

Chapitre 14 : Retour de Laure à la salle de sport du lycée

Le lendemain matin, Laure, partie tôt vers le lycée après une nuit réparatrice. Elle avait consacré la fin du dimanche après-midi à remettre la maison en ordre, à effacer toute trace de ce week-end de folie. Orane avait encore une fois raison, jamais elle n’oublierait ce qu’elle avait subi : la honte, l’humiliation, la douleur aussi. Mais ce qui la bouleversait au plus haut point c’est de sentir cette boule de chaleur naitre dans son ventre quand elle y pensait. La veille, quand elle fut seule, elle réalisa à quel point, au lieu de la révolter, de la scandaliser, elle avait aimé le regard d’Orane quand elle subissait cette ignoble pénétration. Elle était restée un moment immobile, hagarde, incapable de se reprendre. C’est la sensation du foutre encore chaud coulant entre ses fesses et sur ses cuisses qui lui fît reprendre ses esprits. Il lui était inutile de se mentir. Elle avait aimé ce qu’elle venait de subir. L’humidité de son sexe en témoignait. Alors, toute honte bue, accroupie, les cuisses grandes ouvertes, adossée à un des arbres qui bordaient l’allée, Laure s’était caressée comme une folle jusqu’à laisser bruyamment sa jouissance éclater. Quand elle rentra dans la maison pour s’atteler au rangement, elle décida de rester dans cette tenue. Cela plairait sans doute à Mademoiselle se dit-elle. Quand elle eut fini, elle prit une longue douche chaude et relaxante et lorsque ses parents rentrèrent, plus tard dans la soirée, la maison était propre, Laure était redevenue une jeune fille sage. Ils lui trouvèrent un air serein et détendu…

Elle marchait donc d’un pas tranquille ce matin, perdue dans ses pensées, quand une main posée sur son épaule la fit sursauter. Elle se retourna. Mademoiselle était là devant elle souriante et tellement belle.

— Bon… bonjour Mademoiselle.

Sans cesser de sourire, Orane regarda à droite et à gauche. La rue était déserte. Elle se colla alors contre sa soumise, la poussa contre le mur et l’embrassa à pleine bouche en faisant courir ses mains partout sur son corps. Très vite, Laure fondit et sa langue se noua à celle de la jeune asiatique avec passion.

— Comment va ma petite pute adorée ce matin ? Tu as bien dormi ? Tu devais être fatiguée après ta journée mon amour…

— Très bien Mademoiselle je… Oui, j’étais fatiguée.

A nouveau la bouche d’Orane se colla à celle de Laure.

— Je voulais te dire combien je suis fière de toi ma pute. Humm et combien tu étais belle quand tu avais sa grosse bite dans le cul !!! Et toi… Dis-moi tu as aimé ça lui sucer la bite, et te faire enculer ? Réponds-moi Laure !!!

Orane posa une main sur un sein de Laure et au travers du corsage et du soutien-gorge, lui pinça le téton. Laure grimaça un peu, mais laissa échapper un petit gémissement qui n’était pas que de douleur.

— Il…. Il m’a fait mal Mademoiselle, mais je… j’ai aimé quand il a giclé en moi et je… j’ai surtout aimé votre regard sur moi pendant qu’il... enfin … qu’il m’enculait… J’ai aimé vous obéir. Je… je dois vous avouer que je... je me suis masturbée après votre départ, Mademoiselle, et je… je suis restée habillée comme une pute pendant que je faisais le rangement de la maison…

Orane souleva le menton de Laure, l’embrassa encore passionnément. Elle était amoureuse de sa soumise et sa soumise amoureuse d’elle. Elle en avait la certitude maintenant.

— Je suis très fière de toi mon amour. Bien sûr je vais devoir te punir très fort pour t’être masturbée sans mon accord, espèce de délicieuse obsédée, mais je suis très fière de toi ! Racontes-moi comment tu t’es masturbée, petite salope en chaleur… Racontes moi tout ! Dépêches toi !!!

— Je... j’ai fait ça dehors dans l’allée devant la maison Mademoiselle. Je me suis appuyée accroupie contre un arbre et… je me suis caressée la chatte en me tripotant les seins Mademoiselle…

— Voyons ma chérie, les grosses cochonnes en chaleur comme toi n’ont pas de seins ! Moi j’ai des seins ! Toi ma chienne tu as des…. ? des ?

— Des mamelles Mademoiselle… en me tripotant les mamelles…

— HUMMM ouiii !!! De bonnes grosses mamelles de salope !! Je suis contente de toi tu sais, tu progresses tous les jours !!!

A nouveau, elle l’embrassa à pleine bouche !

— Je suis certaine que ça t’excite de me raconter tout ça, et que tu es déjà trempée ! Je me trompe ?

Laure baissa les yeux, sa maitresse l’humiliait dès le matin, mais elle acceptait maintenant de s’avouer à quel point elle aimait ça.

— Non Mademoiselle vous avez raison, ma culotte est trempée…

— Ta culotte ? s’exclama Orane en tendant la main. Mais que tu peux être gourde alors. Quand on a le feu au cul comme toi, ma chérie, on n’en porte pas ! Désormais c’est culotte interdite pour toi !! Donne-la-moi…

Quelques passants marchaient sur le trottoir d’en face sans prendre garde aux deux jeunes filles. Laure attendit à peine quelques secondes, se troussa, dégagea ses fesses et fit rouler sa culotte jusque sur ses chevilles. Elle se dit que c’était vrai qu’elle progressait. Ce qui la mortifiait il y a encore quelques semaines, comme retirer sa culotte en pleine rue, lui semblait maintenant presque habituel. Elle se pencha rapidement, souleva ses pieds un à un et se redressa en donnant sa culotte à Orane.

— Merci Mademoiselle de continuer de me dresser et de me laisser le cul nul toute la journée.

— Humm c’est bien ma chérie !!!OOHH que je suis contente ! Je suis sure que je vais réussir à faire de toi une parfaite esclave ! J’avais encore une fois raison, salope ! Elle est déjà mouillée !! Tu es vraiment une sacrée perverse !!

— Bon, et maintenant ma chienne, j’en fais quoi de cette culotte de bonne sœur là ! Parce qu’en plus d’être inutile, reconnais que ce n’est pas une culotte adaptée à une salope de ton rang non ?

— Il me vient une idée !!! –Viens suis moi, dépêches toi, on n’a pas beaucoup de temps !! Les deux jeune filles pressèrent le pas et arrivèrent devant la partie arrière du lycée.

— Tu vois en passant par la porte des livraisons, on va pouvoir entrer avant que les portes ne s’ouvrent ! Orane pris la main de sa soumise et elles s’engouffrèrent dans un dédale de couloirs

— Regarde ! Tu reconnais ? dit Orane en riant et en ouvrant une porte donnant sur le couloir des vestiaires de la salle de sport

— C’est là que tu as fait tes débuts de salope !! Et c’est aussi là que tu as fait la truie devant toutes les copines de la classe !!! Je suis bien certaine que tu n’as rien oublié !!! Elle poussa sa soumise dans le vestiaire dans lequel elle l’avait surprise quelques mois plus tôt et sortit son portable.

— Déshabilles toi ma chérie ! Entièrement bien sûr !!

— Mais... Mais Mademoiselle je…si quelqu’un vient…

— Arrête de geindre tout le temps ! Et obéis ! Je te rappelle que tu as déjà une punition en attente, n’aggrave pas ton cas bêtement idiote. Tu t’imaginais quoi ? Qu’après ce dimanche mémorable tu allais être tranquille ? Tu rêves ! Tu es à moi jusqu’au bac, tu le sais alors tu obéis…

— Mais comme je suis bonne tu peux garder tes chaussures !!, se moqua Orane en riant aux éclats.

Pendant que Laure retirait un à un ses vêtements, Orane filmait.

— Bien. Montre-moi ton intelligence Laure. Tu te souviens de cette position que je t’ai apprise au début de ton dressage ?

— Ou...oui mademoiselle je… oui. Laure comprenait qu’une nouvelle séance d’humiliation commençait pour elle. Elle se retourna, se pencha en avant, et de ses mains ouvrît en grand ses fesses. Elle exhibait ainsi à sa maitresse sa fente déjà mouillée et son anus.

— Dis-moi, ma chérie, comment appelle-t-on une fille qui a subit ce que tu as subit hier ?

— je… Je ne sais pas Mademoiselle, je… une… une salope ?

— Mais non !! Pauvre idiote ! Tu étais déjà une salope bien avant de revoir Richard hier voyons !! Allons, cherche! Je suis sure que tu vas trouver !

— Une…une enculée Mademoiselle

— Je suis désolée, je n’ai rien entendu ma chérie dis le plus fort !!

— UNE ENCULEE !

— OUIIIII voilà c’est ça ! Tu as trouvé et comme il n’est pas question que tu l’oublies, je vais te faire un aide-mémoire ! Ne bouge surtout pas !

Laure entendit Oran fouiller dans ses affaires, puis revenir vers elle.

— Surtout ne bouge pas ! Je veux faire ça bien.

Dans l’instant elle sentit la pointe épaisse d’un gros feutre-marqueur glisser sur la peau de sa fesse gauche. Orane prit tout son temps pour écrire, puis alla chercher une règle dans sa trousse avec laquelle elle s’appliqua à dessiner un cadre parfait autour du mot. Elle se redressa satisfaite.

— OUUIII superbe ! C’est beaucoup plus joli que la fois où j’avais écrit PUTE ! Tu te souviens ? On dirait que tu as été tamponnée après avoir été testée !!! Bon maintenant que ça c’est fait, nous allons pouvoir ranger cette horrible culotte ! Tu devines où ma chérie ??

En disant cela, elle faisait aller et venir ses doigts le long de la fente et de la raie de sa soumise. Laure frémissait d’inquiétude, mais son corps la trahissait déjà... Sa maitresse ne pouvait quand même pas lui imposer ça toute la journée…

— Je… Je ne sais pas Mademoiselle je… ooohh s’il vous plait pas là pendant la journée s’il vous plait.

Deux grandes claques sonores atterrirent sur les fesses de Laure qui sursauta en gémissant.

— Tu n’as en aucun cas à me dire ce que je dois faire ou pas !!! C’est compris ??? Tu te contentes de répondre à mes questions tu es juste bonne à ça !!!

Une nouvelle claque arriva sur le jolie fessier de la soumise.

— Alors ?? Je la range où cette culotte ???

— Dans…. Dans mon cul Mademoiselle…

— Bien sûr dans ton cul pauvre idiote!!!

En disant cela Oranne posa le tissus blanc sur le petit orifice de sa soumise, et de son index tendu commença à pousser.

— Cesse donc de couiner comme une truie stupide salope ! C’est beaucoup moins gros que ce que tu as pris hier !!!

Quand son doigt fut entré assez loin, Orane le retira et recommença l’opération jusqu’à ce que la culotte fût assez enfoncée pour tenir en place.

— Voilà !!! Tu es très bien comme ça !! C’est superbe ma chérie ! Redresses toi, cambres bien ton cul de salope et mets tes mains sur la tête pendant que je te filme !

Sa soumise prit la pose exhibant ainsi son cul décoré par ce jolie tag insultant et orné de sa culotte. Se maudissant de sa faiblesse, de son incapacité à se révolter, et du plaisir qui grandissait en elle. Maintenant Orane faisait un nouveau film d’elle accroissant encore son emprise !

— Allez viens, ta dernière épreuve de la journée !! Avances dans le gymnase. Tu vas me faire 2 tours de la salle de gym en courant ! Oui oui comme ça à poil ma chérie ! Avec ta culotte de grand-mère plantée dans le cul et je vais faire un jolie film !!! Ah oui j’oubliais je veux voir un grand sourire sur ton visage quand tu passes devant moi !! Sinon tu recommences !! Allez vas-y cours ma salope !!!

La peur au ventre d’être ainsi découverte Laure commença à courir. Elle sentait la culotte contre ses fesses. La voix de sa maitresse raisonna en lui demandant d’accélérer pour voir ses grosses loches de balancer encore plus ! Comme un automate elle obéît. Le gymnase était grand, et très vite ses gros seins lourds la firent souffrir.

— Tu as gagné un tour de plus pauvre idiote je t’ai dit de sourire en grand !!

Au passage suivant Laure arborait un immense sourire… Quand elle s’arrêta près de sa maitresse elle était toute rouge et essoufflée. Orane vint près d’elle, lui caressa les fesses puis passa sa main entre ses cuisses.

— J’étais sure que ça allait t’exciter de t’exhiber à poil comme ça trainée ! Tu es trempée !! Files te rhabiller et tu laisses la culotte où elle est compris ?

— Oui mademoiselle. Et je vous remercie de me permettre de m’exhiber comme ça.

 

Penaude, Laure alla se rhabiller. Quand elle repassa dans le gymnase, mademoiselle n’était bien sûr plus là. La culotte était très désagréable à porter comme ça et faisait apparaître une bosse aussi suspecte que disgracieuse sous sa jupe droite. La journée allait, encore une fois, être très longue pour la jeune déléguée de classe.

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Mercredi 21 octobre 3 21 /10 /Oct 21:13

Après une série de 3 chapitres dédiés à l'humiliation de Laure par Thomas RichardMasterplayer continue de nous conter les "mesaventures" de Laure avec une nouvelle série de chapitre "scolaires" ou il continue de nous démontrer sa parfaite connaissance de l'univers de la série et le respect de la continuité posée par les 10 premiers chapitres! Un quatrieme chapitre de l'auteur qui confirme la qualité de cette reprise!

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Dimanche 20 septembre 7 20 /09 /Sep 20:15

Chapitre 13 : Mademoiselle Orane contraint sa chienne à sucer et à se faire enculer

Pendant plusieurs secondes, Laure resta immobile, bouche bée, incapable de détacher ses yeux de l’énorme bite de Richard.

C’est une claque sonore qu’Orane lui envoya sur les fesses qui la fit sursauter et revenir à la réalité.

— Co... Comme je vous le disais dans le film, je…j’adore sucer des bites.

Laure se pencha et approcha son visage de ce sexe qui semblait encore prendre de l’ampleur. A nouveau l’odeur forte et désagréable qui se dégageait du corps de Richard, lui emplit les narines et la fit frémir. De dégout bien sûr, mais elle savait au fond d’elle même que ce frémissement était aussi annonciateur d’un plaisir auquel elle se savait incapable de résister. Elle pencha encore, ouvrit lentement ses lèvres, sortit sa langue, et commença doucement à lécher le gland de Richard. Vautré dans le canapé, celui-ci ne tarda pas à commencer à gémir.

Doucement mais surement, Laure perdait toute retenue. Le gland turgescent disparut entièrement dans la bouche de la suceuse.

— Alors Richard ? lui dit Orane Tu vois, elle fait ça bien non ?

Béat et incapable du moindre propos cohérant celui-ci se contenta de répondre par un une sorte de grognement qui fit beaucoup rire la jeune asiatique et accrut encore le sentiment de honte de Laure.

— Comme notre salope à la bouche pleine, je vais prendre le relais pour les commentaires annonça Orane, et toi tu continues de le sucer comme tu sais si bien le faire, d’accord ma salope ?

La tête de Laure faisait maintenant un va et vient vertical de plus en plus ample sur la tige de Richard. Orane se saisit d’un pot qu’elle avait préalablement préparé sur la table basse du salon.

— Comme cette chienne en chaleur vous l’a dit, il est important de bien se graisser la raie ! Et vu la taille de la bite de notre invité d’honneur je vais mettre la dose !!! Orane éclata de rire en commençant à étaler le lubrifiant sur l’anus de sa soumise. Elle s’y appliqua avec soin et plus que de raison, ne résistant pas à la tentation de forcer ce passage secret d’un doigt inquisiteur. Bientôt un deuxième, puis un troisième doigt s’agitaient dans le cul de Laure !

— Je vais faire preuve de mansuétude à l’égard de notre salope ! Je vais l’assouplir un peu avant qu’elle ne se fasse enculer ! Regarde ma chérie !

Sans laisser échapper la grosse bite de Richard qu’elle avait tant de mal à garder en bouche, Laure tourna légèrement la tête et vit sa maitresse, hilare, agiter le gode devant elle. Elle avait pourtant déjà cru avoir atteint les limites de la honte qu’elle avait d’elle-même, mais une fois encore elle ressentit cette sensation de chaleur qui lui fit penser qu’elle se trompait. Sa maitresse allait lui enfoncer ce gode dans le cul pour l’humilier un peu plus et elle allait aimer ça…

Orane se tenait juste derrière, et sans même que celle-ci ne lui ordonne quoi que ce soit Laure écartait déjà les genoux pour se cambrer un peu plus, pour s’offrir…

— Humm, que tu vas être belle comme ça ma chienne un gode dans le cul et une bite dans la bouche !!!!

Et en disant cela Orane, tapota les jolies fesses offertes, posa le gode sur le petit trou de sa soumise et commença à pousser lentement mais sans s’arrêter jusqu’à ce que le gode soit enfoncé jusqu’à sa base ! Même la grosse bite de Richard ne put étouffer le râle que poussa Laure en sentant le gode glisser en elle !!!

Face à ce spectacle, Richard commençait à montrer de sérieux signes d’agitation. Il caressait les cheveux de Laure, en grognant, en gémissant et en râlant de plus belle. Sa bite qui avait désormais atteint sa taille optimale luisait de la salive que sa suceuse déposait dessus à chaque passage. De son côté, Orane, non plus, ne restait pas indifférente à ce qui se passait devant. Assise maintenant à l’autre bout du canapé, elle contemplait sa victime et son invité en agitant frénétiquement une main entre ses cuisses ! Laure continuait sa fellation, honteuse de prendre du plaisir à se laisser humilier ainsi, honteuse de sentir son sexe se tremper encore plus ! Richard se cambrait en criant, s’agrippait à la chevelure de Laure pendant qu’elle continuait son œuvre. Il aurait bien sur voulu faire durer ce plaisir insensé bien plus longtemps, mais cela devenait de plus en plus difficile pour lui et dans un cri plus puissant que les autres, il explosa et éjacula dans la bouche de Laure !

Surprise, celle-ci reçut les deux premiers jets chauds et puissants au fond de sa gorge, et voulant échapper à une telle horreur se recula, ce qui fit que les jets suivants lui maculèrent le visage et la poitrine !

Orane fut bien sur la première à réagir. Ne surtout pas laisse la situation lui échapper, et affermir encore et toujours son emprise !

— OOUuiiii !!!! Oh que tu es belle comme ça ma salope !!! Avale voyons !! Tu ne vas pas cracher le cadeau de Richard ! Avale et lèche bien tout ce que tu peux avec ta langue !! Dépêches toi d’obéir !!!

Orane avait haussé le ton, et l’effet fut immédiat. A genoux entre les cuisses de Richard Laure avala en ayant du mal à masquer son dégout puis se lécha les lèvres.

— Oh regarde ma chérie il en reste une goutte sur la bite de Richard ! Nettoie bien Salope je suis sure que tu aimes ça ! Bien sûr, Laure obéit, se pencha à nouveau et de sa langue nettoya le gland de Richard. L’humiliation était à son comble et pourtant elle savait que ce n’était pas fini et qu’Orane ne se priverait pour rien au monde de la suite de la séance.

— Voilà qui est mieux ! Regardes Laure ! Malgré tout ce qu’il vient de t’envoyer sur la figure, il est encore tout raide notre ami Richard !!!! Elle est vraiment énorme tu ne trouves pas ? Qu’est-ce que tu vas être bien avec ça dans le cul ma chériiiiie !!! Allez ne le fais pas attendre ! En position !!! Et demandes lui toi-même de profiter de la suite de sa surprise !

Décidément Orane ne lui épargnerait rien. Bien sûr, elle l’implora du regard mais elle savait que c’était vain. Elle se remit lentement à 4 pattes, se retourna pour présenter son cul à Richard.

— Richard si… tu peux me prendre par-là maintenant si tu en as envie….

— Quoi ? Non mais tu te moques de nous là Laure !!! Veux-tu te dépêcher de demander ça à Richard beaucoup mieux que ça !!! Fais ça comme la chienne en chaleur que tu es ma chérie !!!

Le souffle court, rouge de honte et de plaisir mélangés Laure sembla hésiter, puis rassemblant le peu de courage qui lui restait tourna la tête vers leur invité.

— Richard encules moi stp !!

— C’est déjà un peu moins ridicule, ma chérie, mais je suis sure que tu peux faire encore mieux ! Beaucoup mieux même ma salope !! Allez ! Fais encore un effort !

Laure savait déjà qu’Orane pousserait son avilissement toujours plus loin, perdant les derniers lambeaux d’amour propre qui lui restait, la pauvre se lâcha:

— Viens m’enfiler ta grosse bite dans le cul Richard !!! Bourres moi comme une grosse saloooope !!!

— Ouiiiii tu vois que tu y arrives très bien !!!, se réjouit sa maitresse

— Je veux sentir ta pine dans mon cul Richard ! Bien au fond ! Dépêches toi !!! Qu’est-ce que tu attends ? Viens me prendre dans le cul comme une chienne !!!!!

Orane exultait et sans doute Laure eut elle continué à proférer de telles insanités si elle n’avait pas senti en même temps les mains de Richard se poser sur ses fesses et l’extrémité si dure de sa bite venir se poser sur son œillet. N’importe qui d’autre à sa place aurait profité de l’instant, aurait regardé, admiré les magnifiques fesses offertes devant lui. N’importe qui aurait pris soin de caresser cette peau soyeuse et si douce. Richard, lui, s’arque-bouta et sans se préoccuper le moins du monde de Laure commença à pousser. Laure resta un instant muette, la bouche bée, les yeux exorbités, puis aux insanités succéda un cri qui ne devait rien au plaisir. Malgré le lubrifiant, malgré le passage préalable du gode qui l’avait un peu assouplie, l’énorme bite de Richard martyrisait la jeune soumise. Chaque centimètre gagné par son bourreau la faisait hurler de douleur ! La pièce raisonnait tellement de ses cris de douleur, que l’espace d’un instant, mais d’un instant seulement, Orane eut la tentation d’intervenir et de faire cesser ce supplice. Bien sûr elle n’en fit rien ! Le spectacle de la déchéance de sa camarade de classe allait bien au-delà de ses espérances ! Jamais Laure n’aurait pu imaginer ressentir pareille douleur ni pareille sensation de brulure !

Plus pour reprendre son souffle que par compassion pour la fille qu’il était en train de sodomiser, Richard cessa quelques instants de pousser. Orane profita de ce petit temps de répit pour intervenir.

— Ma pauvre chérie, tu souffres hein ? Attends je vais t’aider un peu ! Et en riant elle s’appliqua à enduire la partie encore visible de la bite de Richard avec le reste de lubrifiant.

— Tu vas voir ma cochonne ça va aller beaucoup mieux maintenant ! Puis elle éclata de rire autant parce que la situation lui plaisait que pour masquer l’émoi ressenti en enduisant de lubrifiant la hampe raide et chaude qui sortait du cul de sa soumise…

Richard considéra ça comme un signe lui indiquant qu’il pouvait recommencer. Il s’arque-bouta et d’un violent coup de reins s’enfonça dans le cul Laure jusqu’à la garde ! Celle-ci fut projetée en avant si violement qu’une des pinces accrochées à ses tétons se détacha ! Ses bras n’étaient plus capables de la soutenir, elle tomba les épaules en avant, la joue sur le parquet en laissant échapper un râle venu du plus profond de ses entrailles. Cette résignation soudaine ne calma en rien les ardeurs de Richard. Il redoubla au contraire d’efforts, et laboura sans aucune pitié les riens de Laure. Les bras en croix, les épaules au sol, Laure subissait les assauts du soudard en laissant échapper un râle rauque à chaque coup de reins. Orane avait repris sa position dans le canapé, et à nouveau ses mains s’agitaient frénétiquement entre ses cuisses pendant que ses yeux ne quittaient pas ceux de sa camarade de classe. Les grognements de Richard couvraient presque les cris de Laure. Il se déchainait. Cet accouplement ignoble dura encore de nombreuses minutes mais déjà le rythme s’accélérait et Orane sut que ce spectacle délicieux qu’elle avait initié allait bientôt prendre fin. Elle en fut, bien sûr un peu déçu tant elle aurait aimé continuer à regarder son ancienne rivale se faire sodomiser ! Les grognements du gros Richard s’amplifiaient, ses allées et venues se firent plus désordonnées et dans un dernier mouvement il se déversa une nouvelle fois en de longs jets chauds et puissants. Il resta figé quelques secondes puis finit par sortir du cul de sa victime en la repoussant sans aucun égard. Celle-ci s’affala sur le sol, brisée, épuisée, l’anus encore béant. Même Orane resta quelque peu assommée après cette apothéose. Ce fut pourtant elle qui réagit la première. Elle se leva, tapota la tête de Laure comme elle l’aurait fait à un animal que l’on veut féliciter.

— Tu as été parfaite ma chérie, allez maintenant tu le nettoies, et puis tu pourras le raccompagner à la porte…

Il fallut plusieurs secondes à la pauvre Laure pour réaliser ce qui lui imposait à nouveau sa maitresse. Elle se redressa à grand peine, à 4 pattes et se retourna vers sa maitresse pour se convaincre qu’elle avait mal compris. Mais le regard d’Orane suffit à la persuader qu’il n’y avait aucune échappatoire possible… Elle finit donc son demi-tour pour se retrouver face à cette grosse bite maintenant molle, encore luisante de foutre mais qui, surtout, venait de sortir de son cul.

— Dépêches toi voyons !! Tu ne vas pas le laisser comme ça voyons !! Et puis il risquerait de tacher le cuir du canapé !!

Incapable du moindre mouvement de révolte Laura avança son visage, ouvrit grand sa bouche et gobât cette bite, par miracle exemptes de traces suspectes, mais à l’odeur forte et fétide et au goût répugnant. Elle eut un haut-le-cœur, mais ne céda pas au dégout et la lécha jusqu’à la rendre propre. Elle était encore avec la bite de Richard en bouche quand Orane déclara :

— Je pense que tu peux arrêter Laure, Richard va pouvoir rentré chez lui heureux et soulagé, tu as été très bien ma salope.

Tout doucement Richard commençait à émerger. Le sourire béat, il semblait émerger d’un rêve.

— Il va s’en dire Richard que si tu t’amuses à parler de ça à qui que ce soit, d’abord nous nieront, Laure et moi, et ensuite je te promets que je trouverai un moyen pour te pourrir la vie même dans ton nouveau lycée… Tu m’as bien comprise Richard ?

— Non non je te l’ai promis Orane. De toute façon, mon père a été muté. On déménage à l’autre bout du pays à la fin du mois.

— Très bien !! S’exclama Orane. Comme cela tout le monde est content !!

Elle se saisit de la poignée de la laisse et la lui tendit.

— Tiens ! Si tu veux-tu la tenir en laisse jusqu’au portail.

La réponse tomba presque plus humiliante que le reste de la séance. Avec une moue de dédain Richard regarda Laure.

— Non. C’était bon de l’enculer cette salope après ce qu’elle m’a fait. Maintenant je m’en fous ! Merci Orane, si un jour tu as besoin de quelque chose je ne l’oublierai pas.

Sur ce, et sans un regard pour Laure toujours à genoux entre eux deux, il tourna les talons et quitta les lieux. Quand le bruit de portail qui se referme retentit, Orane tira sur la laisse.

— Viens, suis-moi ! dit-elle en entrainant Laure derrière elle dans l’entrée, devant le grand miroir. Regardes toi ! Si tu savais comme j’aime ce que je vois ma chérie ! Comme ça tu te vois vraiment comme tu es !

En découvrant son reflet, Laure eut un sursaut. Elle était en nage, ébouriffée, les larmes avaient, bien sûr, fait couler son maquillage, de longues trainées de foutre séché lui balafraient les joues, le front et les seins. Orane laissa tomber la laisse, s’approcha de sa soumise et lui déposa un bisou dans le cou.

— Je vais te laisser ma chérie, tu as du travail pour tout ranger avant le retour de tes parents !

Elle retourna au salon prendre son sac et sa veste et en passant à nouveau à coté de Laure, prit la laisse et l’entraina derrière elle dans l’allée du parc. C’est à ce moment-là que Laure réalisa à quel point son cul la brulait, et qu’elle avait du mal à marcher. Le pire fût quand elle sentit son anus commencer à se vider lentement le long de ses cuisses…

— Tu vois ma chérie je t’avais dit que ce serait une journée inoubliable pour toi. Tu as été parfaite, une vraie bonne petite pute bien soumise. Va te laver maintenant ma chérie, tu pues le foutre ! A demain au lycée.

 

Elle sortit, referma le portail en laissant Laure seule.

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Samedi 22 août 6 22 /08 /Août 20:25

Chapitre 12 : Mademoiselle Orane offre sa chienne à Thomas Richard

Laure aurait été bien incapable de dire depuis combien de temps elle était dans cette position. Penchée en avant, entravée, la poitrine lestée, sur la terrasse de la maison familiale ! Elle avait réussi à soulager un peu sa poitrine. En se hissant sur la pointe des pieds, autant que la cordelette le lui permettait, elle avait laissé ses seins et leurs ornements reposer sur la balustrade. Ainsi seule pendant près de deux heures, elle n’avait cessé de gamberger. Que lui arrivait-il ? Comment en était-elle arrivée là ? A accepter de se laisser ainsi avilir, humilier… Et, pire que tout, comment se faisait-il qu’elle y prenne autant de plaisir ? Plus Orane la tourmentait, l’humiliait, la martyrisait et plus elle y prenait plaisir.

Elle en était là de ses réflexions quand le bruite du portillon qui s’ouvrait la fit sursauter. Sa maitresse était de retour et Laure se surprit à en être presque contente. Elle savait pourtant qu’Orane avait prévu une suite aux festivités et qu’elle lui avait promis un moment inoubliable… Elle dut attendre encore de longues minutes. Elle entendait sa maitresse s’activer dans le salon sans pouvoir déterminer ce qu’elle faisait. Son angoisse mais aussi son impatience grandissaient. La porte coulissante finit par s’ouvrir et Orane apparut enfin, resplendissante dans une élégante robe blanche. Que le contraste était saisissant avec elle !

— -Alors ma pute, tu as été sage ?

— Bonjour Mademoiselle Orane… oui

Orane s’approcha et détacha la cordelette, Laure put enfin se redresser en soufflant.

— Merci Mademoiselle de libérer votre pute.

— Hummm c’est bien ma belle . . . ça commence à rentrer ! Je t’ai promis une fin de week-end mémorable, alors prépare toi à une sacrée surprise !!!

Orane éclata d’un rire qui ne dît rien de bon à sa soumise. Elle raffermît la cordelette dans sa main, adressa un grand sourire à Laure et se dirigea d’un pas décidé vers le salon entraînant sa soumise à sa suite. Il fallut à Laure plusieurs secondes pour réaliser. Assis dans le grand canapé en cuir du salon, Richard Thomas la regardait aussi surpris qu’elle ! Laure cru défaillir et poussa un cri, tenta de se soustraire au regard de Richard. Mais sa maitresse tenait fermement la cordelette ! Orane avait osé amener Richard Thomas ici ! Chez elle, et lui révéler sa condition !! Laure restait bouche bée, au bord des larmes. Orane jubilait. Elle savait où trouver Richard le dimanche matin, et il ne lui avait pas fallu longtemps pour le persuader de l’écouter. SI elle n’avait bien sur jamais été amie avec lui, Orane ne s’était jamais associée aux moqueries et brimades que tout le monde avait fait endurer à ce pauvre garçon. De cette indifférence et de cette distance, lui qui avait tout subit au lycée, il lui gardait une certaine reconnaissance. Alors, lorsque ce matin, quand il avait vu arriver Orane au bord du terrain de foot près duquel il trainait, et qu’elle était venu lui proposer de se venger d’une des quatre filles qui l’avait fait marcher à 4 pattes en grognant, il n’avait pas hésité une seconde ! Jamais pourtant il n’aurait imaginé, avant de la voir devant lui comme ça, qu’il pouvait s’agir de la plus populaire de toutes, la superbe Laure Clermont !!

— Tu vois, Richard, je ne t’avais pas menti.

Richard ne trouva rien à répondre, il était complètement stupéfait de ce qu’il voyait ! Laure, une des plus jolies filles du lycée, des plus enviées, était debout devant lui. A peine vêtue et maquillée comme une pute et tenue en laisse par sa grande rivale Orane de Bréot ! Jamais bien sûr il n’aurait pu imaginer cela.

— Comment elle en est arrivée là, ne te regarde pas Richard, mais j’ai pensé qu’il te serait agréable de lui rendre la monnaie de sa pièce. Après tout la roue peut tourner pour tout le monde non ? Qu’en penses-tu ?

— Ca alors…. Je n’y crois pas… C’est… ce n’est pas possible !!!!

Son regard courrait sur le corps de Laure sans aucune retenue, pour un peu il en aurait bavé !

— Elle est belle non ? Lui dit Orane -Tiens prends sa laisse, promène là un peu si tu veux.

C’est presqu’en tremblant que Richard se leva et pris la cordelette. Il avait du mal à détacher ses yeux des seins de Laure et de son sexe aussi !!

— Je…je vous en supplie Mademoiselle Orane je… oooohh s’il vous plait arrêtez !! Ne le laissez pas faire ça !!!!

Pour toute réponse, et sans se départir de son sourire, Orane troussa lentement sa robe et sous les yeux ébahis de Richard et ceux humides de sa soumise, elle retira délicatement sa culotte, en fit un boule qu’elle fourra dans la bouche da soumise !

— Elle adore que je la bâillonne comme ça dit-elle à Richard -Et elle en a l’habitude. Maintenant tu peux la promener où tu veux, elle ne dira plus rien !

Hésitant au début, Richard finît par s’enhardir et s’amusa beaucoup à humilier Laure comme ça, à l a faire trotter pour faire tinter les clochettes de ses seins.

— Allez reviens Richard dit Orane en riant, on va passer à la suite des réjouissances, rends moi la cordelette et retourne t’assoir. Alors tu es prêt ?

Richard hésitait à répondre.

— La… la suite ? Je… mais je ou… oui pourquoi pas.

Orane faisait pivoter Laure sur elle-même.

— Elle adore se déguiser en pute, mais reconnait qu’elle est belle non ? Et tu sais quoi ? Comme toutes les belles marchandises, elle est livrée avec le mode d’emploi ! dit Orane en lui montrant une clef USB.

Richard se demandait de quoi il s’agissait, mais Laure, elle, avait tout de suite compris que c’était le film qu’Orane lui avait fait tourner avec le gode. Elle était effondrée, anéantie. La jeune asiatique se dirigea vers l’écran, positionna la clef et revins s’assoir à côté de Richard.

— Toi tu viens te mettre à genoux face à nous ! Tiens-toi bien droite ! La . . .  voilà, tu n’as pas besoin de voir le film toi ! Tu le connais déjà !!

Orane avait tiré sur la cordelette en disant cela, Laure en grimaçant avait failli tomber, mais elle était maintenant à genoux entre Richard et sa maitresse.

— Humm Richard quelque chose me dit que tu vas trouver que la suite va devenir passionnante ! Dit Orane en actionnant la télécommande pour lancer le film.

Laure reconnut, bien sûr, tout de suite qui s’élevait lentement dans la pièce. Elle se tenait droite mais ses yeux regardaient le sol. Elle savait trop bien ce qui allait suivre. Quand sa voix se fit entendre à l’écran, elle sut qu’elle ne pourrait plus retenir ses larmes encore très longtemps.

— Regarde bien et écoute aussi Richard ! Orane jubilait. Cette matinée allait être une étape supplémentaire décisive dans l’emprise qu’elle avait désormais sur son ex rivale.

— Bonjour je suis Laure Clermont, élève de terminale S au lycée Victor Hugo…

Le reste du texte suivait, au fur et à mesure les yeux des Richard s’écarquillaient de plus en plus, il en avait presque le souffle coupé !! Mais le spectacle que Laure donnait à l’écran était loin de le laisser indifférent, et la proéminence de plus en plus visible de son pantalon n’échappait à aucune des deux jeunes filles. Le film se terminait au bout de 10 minutes. Pour la scène finale Orane s’amusa à pousser le volume au maximum. Les cris de l’orgasme de Laure envahissaient toute la pièce ! A l’écran s’affichait en grand son cul magnifique cul d’où dépassait le gode. Des larmes coulaient, silencieuses, sur ses joues, ruinant son maquillage. Orane triomphait, resplendissante.

— Laure le cours théorique était très bien… maintenant il te faut passer aux travaux pratiques !

— Richard voilà le cadeau que je t’avais promis : sa bouche et son cul !

Le bâillon eut du mal à étouffer le cri d’effroi de laure ! Ce n’était pas possible !! Sa maitresse ne pouvait pas faire ça !!!

— Tu lui dois bien ça !! Et puis de toutes façons tu n’as pas le choix, tu le sais… pour le moment il n’y a que nous 3 qui connaissons tes talents d’actrice…

Les râles de désespoir et de protestation continuaient de sortir, étouffés par le bâillon, de la bouche de Laure. Ce dont bien sûr, la jeune asiatique, n’avait cure, mais dont elle se délectait. Tout en regardant sa soumise dans les yeux elle passait sa main sur la bosse du pantalon de Richard. Celui-ci croyait rêver, il ne comprenant pas grand-chose à la situation sauf que s’il ne voulait qu’elle lui échappe, il fallait laisser Orane mener la danse ! Celle-ci continuait de lui masser l’entrejambe avec une lenteur calculée.

— Oooh ooh j’ai la très nette impression que tu vas vite te rendre compte à quel point j’avais raison quand je te disais que tu aurais dû acheter un gode plus gros, Pétasse !

— Richard, passe ta main entre ses cuisses et dis-nous… Oui, oui vas-y n’hésites pas !

Sans être le garçon le plus éveillé de la terre, Richard avait maintenant compris qu’il n’avait plus à se poser de questions. C’était son jour de chance, il n’allait pas chercher à comprendre le pourquoi du comment, il allait juste en profiter ! Aussi d’un geste précis, il avança sa main entre les cuisses Laure, remonta et fit la glisser sur toute la fente de son ancienne déléguée de classe qui laissa échapper un râle de honte et de stupeur mélangés. Incrédule, il la releva au milieu d’eux trois.

— Mais c’est dingue ! Elle est toute mouillée !!

Orane éclata d’un rire moqueur.

— Ne sois pas surpris, Richard, notre petite Laure est une véritable salope ! Une chaudasse ! Alors tu vois, si tu avais encore un doute, il ne faut pas te priver !

Pour Laure l’humiliation était à son comble, du moins le croyait elle…

- Bon, ma petite pute, ce n’est pas tout ça, mais notre invité attend. Alors commence par arrêter de pleurer et puisque nous savons tous maintenant à quel point la situation t’excite, je vais détacher tes mains, retirer ton bâillon et tu vas faire ce que tu sais faire le mieux et que tu adores faire… Te conduire comme une trainée pour le plus grand plaisir de Richard et du mien !! D’accord ma chérie ?

Sans même attendre une quelconque réponse de sa soumise, Orane lui détacha les poignets et retira sa culotte de sa bouche.

— A toi de jouer ma chérie !! Et comme dans le film tu parles bien fort et tu expliques clairement ce que tu fais !!!!

Laure resta immobile, quelques instants, regarda sa maitresse espérant trouver une échappatoire, mais Orane semblait bien trop heureuse pour envisager de se priver d’une telle suite. Et puis… et puis il y avait cette boule de chaleur qui lui tordait le ventre… Elle allait encore une fois céder, elle le savait. Elle se pencha en avant et entreprit de déchausser Richard. Le trajet pour venir jusque chez elle, mais surtout l’excitation que lui procurait cette situation faisaient qu’il transpirait déjà ! L’odeur forte qui vient heurter les narines de Laure accentua encore sa honte. Elle s’attaqua ensuite à la boucle de la ceinture

— Dans… dans cette deuxième partie, je… je vais vous faire la…la démonstration sur…. Sur une vraie b… une vraie bite. Comme toutes les salopes en chaleur, je préfère toujours une bonne bite à un gode. Et aujourd’hui je vais… je enfin c’est Richard qui va en profiter. Je commence par le déshabiller pour qu’il soit bien à l’aise, et puis c’est… c’est le rôle de la salope en chaleur de prendre soin de celui qui va profiter d’elle….

Elle n’en revenait pas de prononcer de telles paroles de sa propre initiative. Jusqu’à présent c’était toujours mademoiselle Orane qui lui dictait les propos avilissant qu’elle tenait, mais aujourd’hui cela venait d’elle-même, elle en avait conscience, son humiliation et son plaisir en étaient décuplés. Le pantalon était maintenant bien ouvert, Richard tout sourire avait déjà retiré son tee-shirt et soulevait son bassin impatient. Laure le lui retira, il ne lui restait plus que son caleçon. Toujours dans la même position, le basin relevé, et arborant un sourire béat, Richard attendait. Lorsque Laure fit glisser le sous-vêtement, libérant ainsi le sexe de Richard, les deux filles ne purent retenir un cri !

Orane éclata de rire

— Je te l’avais bien dit !! Tu aurais dû t’entrainer avec un gode plus gros ! Beaucoup plus gros même!!!

Richard Thomas n’était pas très grand, il était gros, boutonneux, portait d’horribles lunettes épaisses, ses cheveux étaient gras. Il n’était pas non plus très malin et pour couronner le tout, il ne prenait pas grand soin de sa personne, et de ce fait, il exhalait de lui un fumet des plus désagréables. Il était loin, très loin même de l’image de l’apollon ou du prince charmant dont rêvent toutes les jeunes filles !

Mais, comme pour vouloir rééquilibrer la balance, la nature l’avait plus que généreusement doté ! Devant les deux filles se présentait une bite splendide : longue, épaisse, impressionnante et dont la rigidité encore incertaine semblait indiquer qu’elle n’avait pas encore atteint sa taille maximale !!!

Cela dépassait toutes les espérances d’Orane.

 

— Tu vois, j’avais raison !!! Ca va vraiment être inoubliable ma chérie !!! Allez continues vite ! On est impatients !!!

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Samedi 22 août 6 22 /08 /Août 20:22

Chapitre 11 : Mademoiselle Orane prépare sa chienne

— Allez trotte petite gouine !! dit Orane en accélérant le pas pour tendre la laisse. Trotte, j’adore voir tes grosses loches se balancer !!

Privée de toute volonté de révolte, Laure subissait, honteuse et humiliée. Arrivée dans le salon, suivie de la belle esclave Orane se laissa choir dans le canapé.

— Sers-moi un verre, et viens t’agenouiller devant moi.

Aussitôt Laure se précipita

— Voici votre verre de vin Mademoiselle Orane.

— Je vais regarder la télé, pendant ce temps-là tu vas recommencer à me lécher les pieds pétasse, mais cette fois fais en sorte de te contrôler, espèce de nympho. ! Au bord des larmes, les yeux baissés Laure souleva délicatement le pied droit de sa maitresse.

— Je vous remercie infiniment de permettre à votre esclave de vous lécher les pieds Mademoiselle Orane, c’est un très grand honneur…

— Oui, je trouve aussi, mais que veux-tu … tu es une telle chaudasse ma chienne qu’il faut bien que je fasse preuve d’un peu de bonté!

Orane éclata de rire.

— Allez lèche bien et tais-toi, je ne veux plus t’entendre ! Et surtout ne t’avise pas d’arrêter avant que je te le dise.

Laure lécha ainsi les pieds et les chevilles de sa maitresse pendant plus d’une heure. Elle ne sentait plus ni sa langue ni ses mâchoires tellement elle avait mal. Quand elle en eut assez, Orane la repoussa brutalement du pied. Surprise Laure s’étala de tout son long sur le dos dans une position obscène sous le rire moqueur d’Orane.

— Dépêches toi de m’apporter ta laisse ! En envoyant un grand coup de pieds dans les fesses de sa soumise.

Orane cria :

— Avec les dents bien sûr !! Reste à 4 pattes !!

Mécaniquement et sans même se plaindre, Laure obéit, se saisit de la poignée de la laisse entre ses dents et revint la déposer dans la main tendue de sa maitresse.

— Tu ne vaux décidément pas grand-chose comme bonniche, mais comme chienne tu es potable ! Même si tu as encore grand besoin d’être dressée ma salope.

— Je vous remercie de bien vouloir dresser la grosse chienne que je suis Mademoiselle.

Orane se leva en souriant, satisfaite de la soumission sans cesse grandissante de Laure.

— Je vais me coucher, suis moi, oui comme ça à 4 pattes bien sûr !!! Je vais dormir dans ta chambre ce soir. Et comme il est acquis que tu es une chienne, et bien tu dormiras comme une chienne au pied du lit de ta maitresse.

— Merci Mademoiselle, répondit Laure anéantie par cette nouvelle humiliation.

— Tu comprends bien qu’avec une chienne en cours de dressage comme toi, il me faut prendre quelques précautions…

En disant cela Orane se servit de la laisse pour attacher les poignets de sa soumise au pied du lit

— Comme ça je suis sure que tu ne pourras pas céder à tes instincts de salope en chaleur !

Elle lui jeta une serviette de bain.

— Ça te suffira pour te couvrir, tu es tellement en chaleur que tu n’auras pas froid ! Peut-être qu’il faudrait que je prévois une niche pour te faire dormir dehors !!!!

Orane éclata de rire

— Allez couchée salope !

Cette perspective effraya Laure, qui sait de quoi Orane était encore capable…               

— Merci de prendre soin de votre chienne Mademoiselle.

— Je te conseille de bien dormir, demain va être une journée très spéciale pour toi…

Malgré ce conseil Laure dormit très mal cette nuit-là. A même le sol, à peine couverte, morte d’inquiétudes pour la journée du lendemain et la tête pleine de pensées sombres, elle ne réussit à s’endormir que très tard dans la nuit. Les premières lueurs du jour, la réveillèrent. Elle resta immobile pour ne pas réveiller Orane, ses poignets la faisait souffrir, elle était courbatue de partout. Plus tard sa maitresse émergea et se pencha du lit pour détacher les poignets de sa captive.

— Lève-toi et va me préparer mon petit déjeuner, et déches toi un peu pétasse !

— Bon…bonjour Mademoiselle, je…oui tout de suite. Laure sortit précipitamment de sa propre chambre pour filer à la cuisine. Un peu plus tard, elle remontait l’escalier vers sa chambre, un plateau chargé du petit déjeuner de sa maitresse. Lorsqu’elle pénétra aussi doucement que possible dans sa chambre, Orane était alanguie à peine couverte d un drap. Laure ne put s’empêcher de rester quelques secondes immobile à regarder le corps parfait de celle qu’elle vénérait et qui tenait sa vie entre ses mains.

— Pose le plateau sur ton bureau et viens dire bonjour à ta maitresse comme une chienne doit le faire.

Alors Laure monta aussi délicatement que possible à 4 pattes sur le coin de son lit, passa la tête sous le drap et commença à lécher le plus délicatement possible les pieds d’Orane, puis ses chevilles. La jeune asiatique ne tarda pas à réagir, à s’étirer puis à ouvrir les jambes.

— Huuummm ouiiii c’est très bon ça ma grosse chienne !! huummmouiii remonte encore . . . tu en meurs d’envie grosse gouine !!!!

Elle riait, tellement heureuse de ce qu’elle obtenait de Laure. Sous le drap, Laure voyait maintenant distinctement le sexe magnifique de sa maitresse, elle en sentait aussi les effluves nocturnes. Bien sûr elle en eut honte mais déjà le trouble s’emparait d’elle au fur et à mesure que son visage s’en approchait.

— Fais ça bien salope !! Où tu vas le regretter !!!! Et je ne veux pas sentir tes mains me toucher !!

La langue de laure se posa sur le sexe de sa maitresse et entama un lent va et vient. Orane était aux anges, c’était divin. Elle laissa Laure continuer, lui imposait d’accélérer, de ralentir, de monter de descendre.

— Hummmmm je vais jouir ma chienne, dit-elle en retirant le drap.

La vue de son esclave à genoux, les mains dans le dos, entrain de la lécher déclencha son plaisir. Elle hurla en resserrant les cuisses emprisonnant ainsi la tête de la pauvre Laure. Celle-ci, le visage maculé du jus de sa maitresse avait du mal à respirer mais n’aurait voulu pour rien au monde être ailleurs !

— Nettoies moi bien ma chienne, après tu me feras le cul aussi ! dit-elle en riant. Dépêche toi tu adores ça !!!              

— Oui mademoiselle Orane c’est vrai que je suis une grosse gouine qui adore boire votre jus…

— ET ??? Allez la suite ! Dis-le bien fort pétasse !!!

— Et…. Et qui adore vous lécher le cul aussi !!

— Et bien tu vois quand tu veux ma chienne…. répondit Orane en se retournant pour présenter son adorable postérieur à sa chienne.

Quelques instants après le visage de Laure se collait à ses fesses et aussitôt Orane sentit cette langue agile aller et venir dans sa raie.

-HUMMMM ouiii ma chienne tu es décidément très douée pour me lécher le cul !!! Je suis de bonne humeur ce matin ma salope alors je t’autorise à enfoncer ta langue bien profondément !!

En disant ça Orane cambra un peu plus son bassin, et son esclave, effondrée d’être à nouveau humiliée comme ça dès le matin darda sa langue en pointe dans l’anus de sa maitresse.

— Ca suffit pétasse, tu aimes trop ça !!!

Orane se redressa appuyée contre la tête du lit

— Mon petit déjeuner vite !! Viens te mettre à 4 pattes au-dessus de mes jambes tu me serviras de table !!!!

Laure prit la pose ordonnée et Orane pose le plateau sur son dos.

— Il va s’en dire que si tu le renverse je te punirai grosse gourde !

— oui mademoiselle… 

— Tu avais pourtant bien commencé la journée, et là tu gâches tout, tu es vraiment stupide !! Tu ne m’as pas remerciée de t’avoir autorisée à me lécher le cul et en plus ce café n’est plus assez chaud maintenant !!!

En disant cela Orane s’était saisi du téton de Laure et le pinçait horriblement fort en tirant dessus.

— Ooouuucchhcaaiaiieeee Je… je vous prie de bien aaaiiiieee de bien vouloir excuser votre grosse chienne stupide mademoiselle ...... aaiaiiiiieee

— Bon… et qu’est-ce qu’on fait à une grosse chienne stupide et indisciplinée, salope ??

— On aaiaiaiee on la punie mademoiselle aaaiiiiieiee

Orane était toujours en train de tirer de plus en plus fort sur son téton. Ce qui devait arriver, arriva. Sous la douleur Laura gigota tellement que le plateau se renversa. Quand elle sentit le café sur son dos, elle se dit que sa maitresse était quand bien injuste… Il était encore bien chaud ce café !

— Hors de ma vue !! Dégage et vite va faire la vaisselle et tu rappliques en courant dès que je te sonne !!!!!

Emportant le plateau Laure sortit de sa chambre la tête basse, le téton et le dos endoloris !! Encore alanguie dans le propre lit de son esclave Orane était aux anges, la servilité de sa camarade de classe ne cessait de la surprendre. Décidément elle en faisait ce qu’elle voulait et elle adorait ça. Elle se leva et se dirigea vers la salle de bain, se fit couler un bain et agita la cloche. Il fallut à peine quelques secondes à Laure pour remonter dans la salle de bain.

— Ce que tu peux être lente ma pauvre ! Bon viens là et savonne moi !

— Oui mademoiselle, votre chienne vous remercie de l’honneur que vous lui faites en la laissant vous savonner mademoiselle.

— Humm j’adore quand tu es comme ça ma grosse salope, servile et soumise. Je vais m’absenter une heure ou deux ce matin, ma chienne, pour finir de préparer ta surprise. Alors pour ta punition, tu vas à nouveau te maquiller comme une pute comme tu l’as fait hier soir en exagérant même encore un peu plus, et je vais t’attacher dehors sur la terrasse et tu m’attendras comme ça… tu ne vois ce n’est pas si terrible ! conclut Orane en riant.

— Bon sèche moi dit-elle en se levant.

Laure aurait dû être soulagée, mais elle connaissait maintenant la perversité de sa maitresse et elle s’attendait à bien pire.

— La salle de bain est à toi ! Et n’oublie pas hein . . . bien bien vulgaire ! . . . Très très pute !!!

En bonne esclave docile Laure entreprit de se maquiller. Cela lui prit plus de 20 minutes mais le résultat était stupéfiant. Elle eut elle-même un léger sursaut en voyant son reflet dans le miroir. Les yeux soulignés de noir, les paupières colorées de vert, les cils tirés, la bouche outrageusement dessinée en rouge vif, lui donnaient déjà un air de pute, mais Laure avait poussé l’obéissance jusqu’à farder ses aréoles et à passer au rouge les lèvres de son sexe épilé. Elle n’avait rien laissé au hasard. Elle avait rassemblé ses cheveux en un chignon et s’était même aspergée d’un parfum très fort qu’elle n’utilisait jamais. Mademoiselle avait dit très pute… Laure laissa alors sa tenue de soubrette, traversa nue l’étage vers la chambre de ses parents et alla fouiller dans les dessous de sa mère. Jamais elle n n’aurait osé faire ça avant mais cela ferait surement plaisir à Orane. Elle trouva une paire de bas noirs très fin qui trancherait merveilleusement avec son porte-jarretelles rose. S’estimant prête, elle emprunta à sa mère une paire d’escarpins noirs à talons hauts avec une lanière de cheville. Ainsi accoutrée, elle descendit au salon où sa maitresse l’entendait.

— Votre pute est prête mademoiselle…

Orane se retourna lentement, regarda de bas en haut le corps de Laure, pendant plusieurs secondes, puis lui dit avec un sourire de satisfaction :

— Tu es vraiment faite pour ça…

Ces quelques mots brulèrent Laure au plus profond de son être

— Approche ici que je finisse de te préparer.

Docile, Laure tendit son cou, vers sa maitresse qui y fixa à nouveau le collier.

— J’ai autre chose pour toi aussi, regardes…

Il s’agissait d’une belle ceinture de cuir large de 5cm. Orane lui passa autour de la taille et serra fort. Laure grimaça un peu mais ne dit rien, c’était supportable.

— Tu vois ses anneaux sur les côtés ? Je vais y fixer tes poignets comme ça je suis certaine que tu ne masturberas pas comme une chienne dès que j’aurais le dos tourné !!!

Ce fut fait en quelques minutes.

— J’ai encore autre chose pour toi. Tu ne t’imaginais quand même pas que la punition s’arrêtait là hein pauvre gourde !! Regarde !

Orane agitait devant les yeux de sa soumise 2 clochettes accrochées chacune à une pince

— Allez dis-moi où ça va être accroché ça ma pute… allez dis-le !!!

Laure regardait les 2 grosses pinces avec effroi, elle se souvenait très bien de la douleur ressentie quand Melle Orane lui avait mis de simples pinces à linges sur les tétons.

-Vous….vous allez les fixer à mes tétons Mademoiselle oooohhh je… je vous en priiie . . . s’il vous plaît . . . noon.

Le regard d’Orane s’assombrit, elle n’eut rien besoin de dire de plus, déjà Laure se redressait et cambrait sa lourde poitrine vers sa maitresse.

–Et oui !!! ca va joliment décorer tes grosses mamelles de vache !!!!

A peine eut elle dit ça que la première pince se refermait arrachant à Laure une plainte de douleur. Le second téton subit le même sort. La douleur était horrible, les pinces étaient lourdes et puissantes. La pauvre se déhanchait dans tous les sens faisant tinter les clochettes mais sans pouvoir rien faire d’autre !

— Ne t’agite pas comme ça ma pute, tu ne fais qu’empirer les choses !! En tout cas tu me fais une jolie musique !!!

En riant elle fixa une longue cordelette au collier de sa victime et la sortit sur la terrasse

— Voilà, tu vas rester là jusqu’à ce que je revienne avec ta surprise !

La cordelette fut attachée à la balustrade de la terrasse obligeant la pauvre Laure à rester penchée en avant.

— A plus tard ma pute !!!

 

— Je vous remercie de vous occuper de moi comme je le mérite Mademoiselle, à tout à l’heure…. répondit Laure au bord des larmes.

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