L'asservissement de Laure

Mardi 21 février 2 21 /02 /Fév 19:37

Chapitre 6: Servitude au quotidien

 

 

Le mercredi après-midi de Laure fût bien sur employé au service de Mademoiselle. Elle sonna à sa porte dès quatorze heures. Sur le palier, Orane fit mine de ne plus se souvenir ce qu’elle faisait là. D’une voix troublée, Laure bredouilla selon ses instructions :

 

- Je viens faire la bonniche et me faire traire.

 

Orane avait exigé qu’elle prononce cette mortifiante phrase.

 

Laure dut revêtir rapidement sa ridicule tenue de soubrette qui ne cachait rien de son anatomie. Puis elle se présenta devant sa Maîtresse, à genoux, attendant ses instructions. Elle ne put s’empêcher de constater une fois de plus à quel point Orane était belle. Elle était vêtue d’une jupette écossaise et d’un body moulant sa poitrine menue. Ses longs cheveux noirs noués en un chignon compliqué et son maquillage sophistiqué lui donnaient un air plus âgé et plus strict. Ce contraste avec sa propre tenue le mettait d’autant plus mal à l’aise et renforçait son sentiment d’infériorité. Les parents d’Orane étaient au travail, et la maison était déserte. Orane la fit attendre un moment, avant de venir soupeser ses seins nues avec sa règle de plastique plate.

 

- Tu as vraiment des mamelles de vaches. Voyons voir si tout cela tient au moins en place. Sautille un peu.

 

Laure dut faire de ridicules petits sauts sur place pour que sa lourde poitrine ballotte. Orane exigea de tout voir bouger, et Laure s’appliqua du mieux qu’elle put, ses seins remuant dans tous les sens. Ses mamelons ne tardèrent pas à se durcir, et Orane les pinça méchamment, pour éprouver leur texture. Elle lui donna quelques cruelles pichenettes sur les tétons, encourageant Laure à bien agiter ses mamelles. Laure fut bientôt rouge et essoufflée, et Mademoiselle lui laissa enfin un répit, en l’envoyant s’occuper du ménage de sa chambre.

 

Laure passa l’aspirateur, changea les draps, fit le lit, épousseta les meubles… Elle dut laver à la main la lingerie fine de Mademoiselle, et s’occuper du repassage en retard, pendant qu’Orane la surveillait en se prélassant sur son lit. Elle était aux anges. Son esclave obéissait de façon mécanique, prenant toutes les positions humiliantes qu’elle lui dictait alors qu’elle nettoyait sous un meuble ou qu’elle lavait les carreaux. L’adolescente était toujours très excitée quand elle dominait Laure, mais elle était passée maître dans l’art de dissimuler ses émotions. Elle avait une intuition très fine en ce qui concernait les rapports de pouvoir, et sentait instinctivement qu’il pouvait être dangereux de se laisser aller devant un esclave. Mais elle sentait également que Laure était à présent suffisamment domptée pour pouvoir s’abandonner à la jouissance en sa présence. Et même avec sa participation active. Elle eut un sourire cruel et dit :

 

-Va me chercher le vernis sur la commode. Tu vas m’en mettre sur les ongles.

 

Laure obéit et lui vernit les ongles de pieds, à genoux, lançant parfois un regard à la dérobée vers les longues jambes fines et nues de sa Maîtresse. Elle apercevait parfois l’éclat noir du slip d’Orane. Elle fit sécher le vernis en soufflant doucement sur ses orteils. Une fois le vernis sec, la belle asiatique s’étira comme un chat.

 

- Huumm, il fait si chaud. Tu vas me servir de ventilateur. Allez, au boulot, souillon.

 

Orane fit alors remonter sa jupette le long de ses longues jambes dorées. Laure comprit ce que Mademoiselle voulait, et au fond elle-même, elle espérait confusément cet ordre. Elle avança la tête et souffla sur la culotte de satin de l’Asiatique, s’enivrant de son parfum délicat. Orane commença à s’exciter, et passa un doigt sous sa culotte, avant de l’agiter sous le nez de Laure.

 

- Allez toutou, lèche !

 

Laure sentit le doigt luisant de cyprine forcer l’entrée de ses lèvres, et s’abandonna. Le goût chaud et salé l’excita malgré elle. Dans sa tête, elle entendit une voix la traiter de sale gouine vicieuse. Orane échancra complètement son slip, mettant à nu les lèvres de sa vulve et s’ouvrit de deux doigts en V, exhibant les crêtes écarlates et luisantes.

 

- Allez, ma chienne, lèche moi bien, gémit-elle

 

A sa grande honte, Laure n’hésita pas un instant et plongea sa tête entre ses cuisses avec un empressement obscène. Jamais elle n’aurait imaginé pouvoir désirer une autre fille. Pourtant elle suçait à présent sa rivale avec une joie non feinte. Elle sentait son bouton sous la langue, et tournait autour pour le faire sortir. Orane essayait de garder le contrôle de son corps. Laure entendait à peine parfois quelques soupirs étouffés.

 

- Enfonce bien ta langue, Allez plus loin. Oui comme ça… Plus bas maintenant, passe ta langue entre mes fesses.

 

Laure s’appliqua à masser l’anus avec sa langue, pénétrant parfois la mince rondelle. Elle n’osait poser les mains sur sa Maîtresse, et les garda dans le dos, s’activant seulement avec sa bouche et ses lèvres. Ce qui autrefois l’aurait dégoûtée la conduisait à présent au bord de l’orgasme. Elle sentait aux raidissements des cuisses de l’asiatique que celle-ci luttait pour retarder son orgasme. En vain. Son corps fut soudain parcouru de spasmes et elle poussa un long soupir satisfait.

 

- Bien, cela n’était pas trop mal… mais il vrai que les salopes comme toi sont douées pour tout ce qui sexuel. Je suis sûre que tu as aimé ça, cochonne comme tu es, non ?

 

Laure resta sans réaction face à l’insulte. Elle n’espérait pas de remerciements. Le pied nu d’Orane se glissa sous son minuscule tablier, et elle gratta légèrement son clito saillant. Un long tremblement la fit frissonner de la tête aux pieds.

 

- Oui tu as aimé ça, je le sens, avoue-le.

 

- Ooui Mademoiselle, geignit Laure, j’ai aimé…

 

- Tu as aimé ? C’est tout ?

 

Le ton était soudain plus froid, et Laure réfléchit un instant au genre de réponse que Mademoiselle souhaitait entendre.

 

- Merci Mademoiselle de m’avoir permis de vous sucer. La gouine en chaleur que je suis ne le mérite pas.

 

- C’est mieux, fit Orane en retirant son orteil de la chatte de Laure et en le portant à ses lèvres. On dirait que tu es devenue une vrai lèche-cul à présent, non ?

 

Laure suça docilement l’orteil de Mademoiselle avant de répondre, les yeux baissés.

 

- Oui Mademoiselle, je suis une lèche-cul et j’aime ça.

 

- Tu peux te branler si tu veux, mais fais ça en silence ! Il faut bien te soulager puisque tu as le vice dans la peau.

 

Honteuse, Laure glissa une main sous son tablier.

 

- Pas comme ça ! Je veux tout voir. Allonge toi sur le dos et retrousse ton tablier. Oui, lèves bien tes cuisses, je veux aussi voir ton cul. Ecarte les fesses !

 

Tremblante d’excitation, Laure se branla rapidement, ouvrant de deux doigts ses fesses rondes, exhibant servilement son anus. Ses halètements devinrent de plus en plus fort, et Orane l’intima au silence en plaçant un doigt sur sa bouche. Elle jouit en se mordant les lèvres.

 

- C’est déjà fini ? Tu es soulagée ? Alors tu peux disposer…

 

Laure se redressa, morte de honte.

 

- Tu es vraiment écœurante. Si les copines savaient quelle truie tu es ! Mais je suis trop bonne, cela restera entre nous, bien sur ! Du moins tant que je ne me serai pas lassée de jouer avec toi, fit-elle en lui tapotant la tête, comme à un animal domestique.

 

Laure garda la tête basse. Mademoiselle lorgna entre ses cuisses avec une moue dégoûtée. Elle se sentait indécente et souillée. Puis elle lui jeta charitablement un kleenex aux pieds. Laure la remercia en le ramassant et Orane ne la quitta pas des yeux tandis qu’elle s’essuyait le sexe. Puis elle la congédia lorsqu’elle estima que son amour propre avait suffisamment mis à mal :

 

- Tu peux y aller maintenant.

 

- Bien Mademoiselle

 

Orane l’arrêta d’un signe avant qu’elle ne passe la porte :

 

- Au fait j’ai oublié de te donner tes devoirs. Demain, je veux que tu viennes en cours sans culotte et sans soutien-gorge, avec le mot « Lécheuse de chattes » écrit au feutre sur tes grosses loches. Compris ?

 

- Oui à vos ordres, Mademoiselle

 

Laure rentra chez elle pantelante et honteuse. Orane exigeait toujours plus d’elle, et plus elle la dépravait, plus Laure jouissait. Comme si son corps autorisait implicitement Orane à lui faire subir les pires dégradations. Elle se masturbait de plus en plus fréquemment le soir, peinant à trouver le sommeil, ses sens étant constamment stimulés. Elle se caressait d’une main, se frappant de l’autre les seins ou les cuisses, obtenant plusieurs orgasmes à la file. Elle appréhendait et espérait en même temps chaque nouvelle lubie de Mademoiselle.

 

Ainsi, chaque séance renforçait encore un peu plus l’emprise qu’avait Orane sur elle. Elle utilisait son ascendant sur Laure à chaque instant. Il lui prenait parfois la fantaisie de la déculotter ou de lui faire enlever son soutien-gorge dans un recoin du Lycée, au risque de voir déboucher un élève, ou pire un prof du couloir. Ou bien, elle lui envoyait des SMS sur son portable durant les cours, pour lui annoncer que ce soir elle serait enculée avec une banane. Ou bien encore Laure se voyait appliquer une solide fessée, sans aucune explication, et était aussitôt envoyée, honteuse et essoufflée, demander des renseignements à un prof. Orane tenait tout particulièrement à vérifier son épilation, ce qui donnait lieux à de longues et humiliantes inspections de chaque recoin de son intimité. Laure devait lui demander la permission pour tout : prendre son repas à la cantine, travailler à la bibliothèque ou même aller aux toilettes. Durant cette première semaine, la jolie lycéenne comprit pleinement le sens du mot esclavage. Et l’échéance du Bac était encore bien lointaine.

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Jeudi 16 février 4 16 /02 /Fév 20:39

Chapitre 5 : Le contrat

 

Laure se leva tard le dimanche matin. Le samedi soir, elle s’était effondrée dans son lit après son retour de chez Orane. Epuisée, elle s’était endormie immédiatement. Le soleil brillait haut dans le ciel, inondant sa chambre de lumière. Pendant un instant, encore dans les brumes du sommeil, elle crût avoir rêver tout ceci. Oui, se disait-elle, ce qui s’est passé hier soir était bien trop irréel. Jamais une fille de son rang, enviée de tous et respectée, n’aurait pu avoir un tel comportement.

 

Surtout devant une fille, qui malgré tous ses efforts, ne lui arrivait pas à la cheville en terme de popularité. Elle se redressa dans son lit, promenant son regard sur le décor familier de la vaste pièce. Ses innombrables peluches reposant sur une étagère complète, témoignaient de son enfance dorée. Des posters tapissaient les murs de sa chambre, comme chez toutes les filles de son age. Tout le vernis de la normalité se disait-elle. Puis elle regarda ses poignets qui portaient encore les traces de la corde à sauter qui avait servi à l’attacher hier soir. Elle se revit obéissant avec une abjecte servilité à toutes les exigences d’Orane, se comportant comme une chienne. Mais le pire était sans aucun doute le plaisir monumental qu’elle avait éprouvé à se faire humilier de la sorte. Son incapacité à contrôler ses pulsions lui avait fait abandonner toute dignité. Et cela n’allait pas s’arrêter là. En partant, Orane lui avait fait par de son intention de lui faire subir un dressage complet. A cette idée, son corps s’alanguissait, et cela lui faisait horreur. Pour se calmer et punir ce corps si lascif, elle s’imposa une longue douche froide. La vue de son sexe glabre lui rappelait à chaque instant que son corps était désormais la propriété de sa Maîtresse.

 

Après le déjeuner, son père lui proposa de profiter de ce bel après-midi pour faire une promenade à cheval. Laure adorait l’équitation depuis l’age de huit ans, et son père lui avait offert son propre cheval à dix ans. Ce dernier adorait sa fille unique, et lui passait tous ses caprices. Pourtant, malgré son envie de l’accompagner, Laure refusa, prétextant un devoir de maths en retard. Orane devait l’appeler, et elle redoutait de manquer son coup de fil. Elle passa donc l’après midi dans sa chambre, appréhendant les futurs exigences de Mademoiselle.

 

Une fois de plus, celle-ci la laissa mijoter longtemps, comme si elle savait l’effet que pouvait avoir cette attente sur les nerfs de son esclave. Lorsque le téléphone sonna enfin, Laure se précipita sur le combiné de sa chambre.

 

- Allô, salut poufiasse ! C’est moi, Orane.

 

- Bonjour, Mademoiselle, répondit respectueusement Laure, malgré l’insulte.

 

- Bien, je vois que tu es toujours dans de bonnes dispositions. Je présume donc que tu es prête à continuer le jeu.

 

- Oui, Mademoiselle, je vous obéirai

 

- Il est vrai que tu n’avais pas l’air de trouver cela trop déplaisant, traînée. Je te préviens, avec tout ce que je sais sur toi maintenant, le prix de mon silence sera très élevé.

 

- Je… Je vous appartiens, répondit Laure en blêmissant. Faites de moi ce que vous voulez, mais, par pitié, ne dites rien à personne.

 

- Cela ne dépend que de toi, petite pute. Tu as de quoi écrire ?

 

- Oui, Mademoiselle

 

- Alors note.

 

Orane lui dicta alors ce qu’elle appelait le contrat d’esclave de Laure. Celle-ci recopia un à un les commandements qui régiraient sa vie jusqu’à la fin de l’année scolaire :

 

1) Moi, Laure Clermont, déclare être l’esclave et le jouet de Mademoiselle Orane de Bréot, en échange de son bienveillant silence concernant mes honteuses manies et mon comportement lubrique.

 

2) Tout mon temps libre devra être consacré à satisfaire du mieux que je pourrai les moindres désirs de Mademoiselle Orane de Bréot.

 

3) Je fais don de mon corps et de mes orifices à Mademoiselle Orane de Bréot, et m’engage à toujours lui en laisser l’accès libre.

 

4) Je m’engage par ailleurs à toujours être parfaitement épilée, sexe et anus compris, en bonne poupée que je suis.

 

5) Mademoiselle Orane de Bréot pourra me punir de la façon qu’elle désirera si elle s’estime insatisfaite de mes services. Je devrai alors la remercier de cette punition.

 

6) Je ne suis autorisée à tutoyer Mademoiselle Orane de Bréot que dans les lieux publics, sinon je dois la vouvoyer et me tenir à genoux devant elle.

 

7) En signe de respect, je dois en permanence baisser les yeux devant ma Maîtresse et conserver à son égard une attitude humble et respectueuse.

 

8) Il m’est rigoureusement interdit me mettre en valeur en public, et je dois au contraire toujours adopter une position basse et servile.

 

9) Quel que soit l’endroit, lorsque Mademoiselle Orane utilise sa clochette pour me sonner, je dois immédiatement me déshabiller intégralement et me mettre à sa disposition en baisant ses pieds.

 

10) Il m’est interdit de faire quoi que ce soit sans en avoir préalablement demandé la permission à Mademoiselle Orane.

 

Laure signa alors le document, sur ordre de la jeune fille.

 

- Voilà, tu as des remarques à faire sur ce contrat ?

 

- Non, Mademoiselle

 

- Alors je te préviens une fois pour toutes, si tu ne le respectes pas à la lettre, je montre illico les photos en insistant bien sur tous les détails croustillants. Il n’y aura pas d’avertissement.

 

- Je comprends. Je ferais de mon mieux pour vous servir.

 

- Parfait. Alors voici ton premier devoir d’esclave. Tu vas apprendre par cœur ce contrat, et tu me le réciteras avant le début des cours demain.

 

- Bien, Mademoiselle.

 

- Et pour t’aider à bien t’en imprégner, comme je sais que tu n’es qu’une idiote dévergondée, tu me le copieras 100 fois. Avec les voyelles en bleu et les consonnes en vert. Alors, qu’est ce qu’on dit ?

 

Malgré sa docilité, Laure déglutit péniblement avant de répondre, s’efforçant de suivre les consignes du contrat

 

- M…Merci d’aider votre esclave à vous servir de son mieux.

 

- Bien, ria Orane, je te laisse, tu as des devoirs à faire, esclave. Rendez-vous demain matin, à huit heures moins le quart devant derrière le lycée. Je vérifierai alors ton travail. Souviens-toi, gare à toi si tu me déçois !

 

Orane lui raccrocha alors au nez. Laure regardait le contrat, la tête vide. Avec résignation, elle se mit au travail. Cela lui prit des heures et elle put à loisir goûter l’imagination sadique de sa jeune maîtresse. Elle devait tout le temps changer de stylo, et se trompa souvent au début. Elle déchirait alors la feuille de rage, sachant qu’Orane lui ferait payer cher la moindre rature ou trace de typex. Elle n’avait toujours pas fini quand sa mère l’appela pour le dîner, et dut travailler encore une bonne partie de la nuit. Cette corvée stupide avait sur Laure un effet lénifiant, et elle s’imprégnait malgré elle du texte. Elle me conditionne comme une chienne de Pavlov pensait la jolie lycéenne. Une fois son « devoir » achevé, elle s’écroula épuisée sur son lit. Sous ses paupières dansaient des consonnes vertes et des voyelles bleues.

 

Laure n’eut aucun mal à faire sa récitation devant la jeune asiatique le lundi matin. Les mains dans le dos, le regard bas, comme une élève de cours primaire, elle remis ensuite à Orane sa punition. A son grand désarroi après le mal qu’elle s’était donnée, sa Maîtresse jeta à peine un œil à l’épaisse liasse de papier, avant de la remiser dans son cartable.

 

- Tiens lui jeta-t-elle en lui tendant son cartable, tu me le porteras jusqu’à la salle de classe

 

- Bien Mademoiselle

 

- Tu portes une culotte ? s’enquit Orane

 

- Euh, oui Mademoiselle

 

- Alors donnes.

 

Laure se garda bien de lui faire répéter l’ordre. Le coin de rue où Orane lui avait donné rendez-vous était encore désert à cette heure matinale, à son grand soulagement. La jeune fille fit donc remonter les pans de sa jupe longue et passa les mains dessous pour faire glisser son slip de coton blanc le long des ses jambes cuivrées, avant de le tendre à sa Maîtresse. Orane récupéra le sous-vêtement prestement :

 

- Confisqué pour la journée ! Un peu d’air frais calmera peut-être tes ardeurs, qu’en dis tu ? Dit-elle en sortant de sa poche un épais marqueur. Retournes toi maintenant et touche la pointe des tes pieds.

 

A peine Laure eut-elle prit position qu’Orane remonta sa jupe, dévoilant ses fesses rebondies.

 

- Vois-tu esclave, j’ai un souci. Mon marqueur ne tient pas dans ma trousse.

 

Alors, je vais t’utiliser comme trousse de rechange, dit-elle en enfonçant profondément l’imposant feutre dans sa chatte.

 

- Oouh, gémit Laure, alors que le stylo emplit brutalement son vagin.

 

- Redresse toi, voilà quelqu’un dit Orane en lui claquant légèrement le derrière.

 

Laure se releva vivement. Elle aperçut en effet Samia et Claire, deux élèves de sa classe qui venait de passer le coin de la rue, et elle eut à peine le temps de rajuster sa tenue. Orane lui fit comprendre d’un geste dédaigneux qu’elle pouvait disposer, avant de rejoindre ses deux amies. La rue s’emplissait peu à peu de lycéens, et Laure dut serrer les cuisses afin d’empêcher le marqueur de tomber à la vue de tous. Elle était parfaitement consciente du caractère grotesque de sa démarche, alors qu’elle montait péniblement les trois étages du lycée afin de rejoindre sa salle de classe. Le marqueur faillit tomber à plusieurs reprises, et elle dut le renfoncer plus profondément en elle tout en faisant semblant de relacer ses souliers. Elle était persuadée que tout le monde savait et la dévisageait. Elle fut réellement soulagée quand elle put enfin s‘asseoir à sa table. Quelques élèves s’étonnèrent de la voir porter le cartable d’Orane, et elle ne sut que bredouiller qu’au fond, elle aimait rendre service.

 

Le cours fut pour Laure un véritable supplice. Elle redoutait à chaque instant que la prof de math ne l’envoie au tableau, car elle sentait le marqueur glisser constamment en elle. Elle en était réduite à sa tortiller lamentablement sur sa chaise pour l’empêcher de tomber. Et plus elle sentait le stylo remuer en elle, plus elle sentait son sexe s’humidifier, ce qui compliquait encore plus sa tâche. A la récréation, Orane la força à la suivre dans les toilettes peu utilisées du troisième étage. Laure se dandina comiquement derrière sa Maîtresse, la suivant jusqu’au cabinet. Orane referma alors la porte derrière elles, et s’assit pour pisser. Laure dut rester à genoux devant elle, les mains derrière la tête. Elle ne put s’empêcher de regarder la fine toison rectangulaire d’Orane, dont la noirceur contrastait avec la peau dorée de la jeune asiatique. Pendant un instant, elle souhaita recevoir l’ordre d’embrasser la vulve si délicate de la belle adolescente, et cette pensée la déstabilisa profondément. Mais celle-ci avait d’autres projets, et Laure dut se contenter d’essuyer le sexe de sa Maîtresse avec son propre mouchoir brodé. Orane ne lui permit pas de se libérer du marqueur, et elle dut le garder en elle jusqu’au dernier cours de la matinée, à l’issu duquel Orane l’entraîna de nouveau dans les toilettes désertes du troisième étage.

 

- Ote ta jupe, et met toi à 4 pattes dit Orane d’un ton sec

 

- Bien Mademoiselle répondit Laure en s’exécutant, heureuse de se défaire de cette contrainte.

 

Orane passa derrière elle, ravie de voir l’extrémité du marqueur pointée hors du sexe rasé de son ex-rivale. Elle se recula de quelques pas et ordonna :

 

- Maintenant ma grosse trousse va gentiment venir me remettre mon stylo. Allez, recule, au pied !

 

Laure resta un instant pétrifiée par la honte. A chaque fois qu’elle pensait toucher le fond, Orane inventait une nouvelle humiliation encore plus infamante que les précédentes. Mais Mademoiselle ne lui laissa guère le temps d’avoir des états d’âme, et la rappela à l’ordre en lui bottant les fesses si violemment que ses épaules et son front heurtèrent le sol. Se souvenant que sa Maîtresse détestait attendre ou se répéter, Laure recula à quatre pattes aussi rapidement qu’elle le put, rougissant de sa posture grotesque. Elle s’arrêta aux pieds de son intransigeante propriétaire, qui la toisait, hautaine :

 

- Allons, tu n’espère quand même pas que je vais me baisser. Tend ton cul correctement ! Allez, du nerf, grosse pouffe !

 

Laure se redressa tant bien que mal, prenant appui sur les mains et sur la pointe de pieds afin de monter peu à peu sa croupe à la hauteur de la main d’Orane. Lorsque Mademoiselle s’estima satisfaite, elle daigna enfin retirer le marqueur rendu poisseux par les sécrétions de sa chienne. Elle le tint alors à la hauteur de son ventre, et ordonna à Laure de le nettoyer, comme si elle taillait une pipe, les mains dans le dos. L’adolescente s’exécuta toujours à demi nue, terrifiée à l’idée que quelqu’un ne finisse par les surprendre. Elle était décidée à satisfaire Orane le plus rapidement possible, afin de pouvoir se revêtir au plus vite. Bien qu’elle n’ait jamais fait de fellation, il lui était arrivé de voir quelques pornos sur le câble, et elle mima de son mieux, avalant le feutre au maximum, puis le léchant délicatement, la langue bien sortie. Elle était telle que Mademoiselle le désirait : servile et obscène. Une fois le marqueur bien propre, elle se laissa passivement tagué le mot « PUTE »sur les fesses en caractère gras. La sonnerie annonçant le deuxième service de cantine retentit, et Laure fut un instant soulagée. Orane allait sûrement lui rendre sa jupe et sa culotte avant d’aller déjeuner. L’asiatique esquissa d’ailleurs un geste dans ce sens, puis s’interrompit, semblant se souvenir de quelque chose.

 

- Dis-moi, ne devait-tu pas respecter à la lettre un certain contrat d’esclavage ? Or, il me semble que tu devais me remercier pour chaque punition. Et j’ai eu l’amabilité de te botter le cul… Quand dit-tu ? s’enquit Orane d’un ton menaçant.

 

Laure ressentit une angoisse folle devant le ton glacial de sa Maîtresse, qui sonnait comme un avertissement. Elle se précipita à ses pieds, les couvrant de baisers.

 

- Je suis désolée, Mademoiselle, ayez l’indulgence de pardonner l’erreur de votre esclave… Cela ne se produira plus, je vous jure. Pitié, pitié. Je vous remercie humblement de m’avoir botté le cul, je le méritais, je suis lente et stupide.

 

- Il me semble que cette faute mérite tout de même une punition, non ? Fit Orane, enchantée de voir la jolie déléguée supplier en se traînant à terre

 

- Oui Mademoiselle. Je vous suis reconnaissante de me punir et de me garder comme esclave.

 

- Alors, tu vas entrer dans ce chiotte, et y rester dans cette tenue jusqu’au cours de quinze heure. Tu es privée de repas, compris !

 

- Oui, merci Mademoiselle murmura Laure en tremblant

 

Orane la laissa ainsi, privée de sa jupe et son slip, avec cette insulte obscène qui lui barrait les fesses. Elle s’enferma vivement dans un cabinet en entendant du bruit dans le couloir. Elle y resta deux heures, se faisant la plus discrète possible, tremblant de peur à chaque fois que la porte des toilettes s’ouvrait. Une élève essaya même d’entrer dans son cabinet, mais heureusement elle n’insista pas face à la porte verrouillée. Elle n’osait imaginer ce qui se passerait si on la surprenait ainsi. Laure eut donc tout le temps de réfléchir à la meilleure manière de suivre les instructions de Mademoiselle, les nerfs tendus à craquer, redoutant de ce qui pourrait arriver si elle lui déplaisait encore. La punition avait eut l’effet escompté, et lorsque Orane lui rapporta enfin sa jupe, elle demanda d’elle-même, à genoux, la permission de s’habiller. Mademoiselle fut satisfaite, elle avait de nouveau réussi à mater Laure, et elle était à présent sûre que celle-ci respecterait à la virgule près son contrat d’esclave. Ses fantasmes de dominatrice allaient avoir de beaux jours devant eux.

 

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Vendredi 10 février 5 10 /02 /Fév 17:44

Chapitre 4: La poupée

 

Une heure plus tard, Orane sirotait un verre, confortablement installée dans le canapé de cuir du salon. Elle profitait du spectacle de Laure qui, accroupie, finissait le ménage en balayant le parquet à l’aide d’une pelle et d’une simple balayette.

 

Elle se disait qu’elle avait eu raison de lui interdire le balai. Cela obligeait Laure à se tenir à croupetons pour nettoyer le sol, posture qui tout en étant inconfortable et humiliante, exhibait de fort joli façon le cul encore rougi de sa victime. Elle avait parfaitement mené son jeu, profitant brillamment des tendances masochistes cachées de Laure qu’elle avait deviné devant son attitude soumise face à son chantage. Ce dernier n’avait d’ailleurs servi qu’à révéler cet aspect de sa personnalité. Comme il allait être plaisant de la posséder, pensait-elle, de l’avilir, d’obtenir d’elle tout ce qui me passe par la tête. Et de lui faire aimer ça. Laure était dorénavant son jouet, sa poupée de chair.

 

Cela lui donna une idée.

 

Elle fit tinter sa clochette d’étain, et comme convenu, Laure cessa immédiatement son travail pour se mettre à sa disposition. Après la fessée, Orane l’avait littéralement dressée aux positions qu’elle devait adopter lorsqu’on la sonnait, selon l’expression de sa maîtresse. A genoux, elle déposa deux longs baisers sur ses escarpins avant de se redresser, tête basse, les mains dans le dos, la poitrine tendue et les cuisses bien écartées :

 

- Votre esclave attend vos ordres, Mademoiselle

 

- J’ai envie de jouer un peu avec ma grosse poupée, dit-elle souriante en lui caressant la joue. Debout, suis-moi !

 

Laure suivit en silence Orane jusqu’à la vaste salle de bain, remplie de miroir. Là, sous ses ordres, elle retira son tablier et pris position nue sur le bidet. Orane sortit en lui recommandant en souriant de rester sage jusqu’à son retour. Domptée, Laure était encore sous le choc de l’orgasme violent qu’elle avait ressenti durant sa punition, et qui lui avait révélé sa nature masochiste. Elle appréhendait malgré tout ce qu’elle allait devoir subir. Les années de rivalité entre les deux jeunes filles avaient sans aucun doute exacerbé la nature sadique de la belle asiatique. Et Laure n’aura pas le choix, elle devra obéir aux moindres de ses caprices.

 

Orane revint avec deux cordes à sauter, qu’elle utilisa pour ligoter Laure au bidet, les bras fortement tirés en arrière, les cuisses largement écartées, les chevilles solidement attachées à la tuyauterie. La position était douloureuse, et dévoilait toute l’intimité de Laure. Orane tira une poupée Barbie dénudée de sa poche.

 

- Tu vois cette poupée, dit-elle, j’ai beaucoup joué avec quand j’étais gamine. Tu n’es rien d’autre qu’une version plus élaborée de cette poupée, maintenant. Avec cependant une légère différence, tu vois laquelle ?

 

- Non, Mademoiselle répondit Laure, décontenancée par cette question

 

- Allons réfléchis un peu, espèce de gourde, fit Orane en lui pinçant le téton, étirant cruellement son sein.

 

- Ouch, gémit Laure je ne sais pas, Mademoiselle, excusez ma stupidité.

 

Elle se rabaissait délibérément, essayant de plaire servilement à sa dominatrice pour faire cesser la douleur qui enflammait son téton.

 

- Erreur, petite conne ricana Orane en décrochant une pince à linge de l’étendoir et en la fixant sur le téton distendu de Laure. A chaque erreur, tu auras droit à une autre pince. Allons, j’attends, quelle est la différence entre cette Barbie et toi?

 

La douleur qui envahit le sein de Laure fut horrible, et elle ne put s’empêcher de crier, ce qui lui valut deux gifles bien appuyées.

 

- Silence ou je double la punition l’avertit Orane

 

Laure sut devant le regard mauvais de celle-ci qu’il était inutile de supplier. Elle devait jouer à ce jeu pervers.

 

- Elle… elle est blonde répondit-elle après une courte réflexion

 

- Erreur encore, tu es décidément bête à manger du foin. La prochaine est pour ton clito, je te préviens dit-elle en lui fixant une seconde pince sur l’autre téton.

 

Laure serra les dents en remuant dans ses liens. Elle essaya à nouveau de se concentrer malgré la souffrance qui lui enflammait la poitrine. Elle fixait l’objet de plastique nue que tenait Orane. Elle eut une idée, mais les mots ne purent sortir de sa bouche. Orane allait-elle réellement lui infliger ça ? Elle en mourrait de honte.

 

- Pas de réponse ? questionna-t-elle en approchant une pince de son sexe.

 

Laure réagit devant la menace et marmonna piteusement sa réponse :

 

- Elle… Enfin son…son sexe est épilé. Pas le mien.

 

- Bien, tu vois quand tu veux. Et comment pourrais-je arranger ça, à ton avis ?

 

- En… en me rasant…souffla Laure, les joues en feu. Oh! Pitié, Mademoiselle, vous n’allez pas faire ça ? Elle pleurait maintenant à chaudes larmes. Toutes les filles le verront sous les douches du vestiaire… Elles se moqueront de moi, tout le monde le saura… Pitié, vous aviez promis…

 

- Cesse immédiatement tes jérémiades, lui intima l’adolescente en lui pinçant fermement les joues entre le pouce et l’index. Inutile de pleurer, tu ne m’apitoieras pas. De plus, Je ne t’ai pas permis de prendre la parole.

 

Orane fouilla alors dans le panier à linge sale, en sortit une de ses culottes et l’enfonça profondément dans la bouche de Laure. Le bâillon de fortune avait une odeur forte et un goût âcre.

 

- Tu ne pensais tout de même pas continuer à te pavaner au Lycée comme si de rien n’était. Ton statut de « fille la plus populaire du bahut », c’est fini, je te rappelle. Préfères tu montrer ta chatte rasée ou les photos ? A moins que je ne te fesse cul nu devant toute la classe, jusqu’à ce que tu en jouisses comme la petite pute maso que tu es ?

 

Laure hocha la tête en tremblant. La culotte l’étouffait presque, et elle ne pouvait rien dire.

 

- Je pensais bien, poursuivi sa maîtresse, ton corps m’appartient maintenant, et j’en ferais ce que bon me semble. Pour te punir d’avoir discuté mes ordres, tu garderas les pinces sur tes pis de vache durant ton rasage.

 

Orane commença par dégarnir sa toison brune et dense à l’aide d’une petite paire de ciseaux. Elle prit ensuite sur le lavabo la crème à raser et le blaireau de son père. Le contact des poils de soie fit frissonner Laure. Le massage brutal de son sexe par les poils rudes et la douceur de la crème ranima le feu qui sommeillait dans son ventre. La douleur émanant des pinces à linges se faisait plus douce. Puis Orane commença à la raser à l'aide d'un rasoir jetable. Le contact du rasoir, amorti par la mousse, caressant sa peau, suscitait des sensations très agréables, surtout sur les parties les plus proches de ses lèvres. De temps à autres, Orane s'amusait à passer un doigt, ou bien le manche du rasoir, sur son clitoris, ce qui arrachait un gémissement à Laure. Lorsque le travail fut presque achevé, elle lui fit relever très haut le bassin. Elle se saisit de ses fesses en les écartant largement pour éliminer quelques poils situés plus bas, vers l’anus de sa jolie esclave. Cette opération prit une dizaine de minutes environ, à l'issue desquelles Orane la rinça en ouvrant le robinet d’eau froide du bidet. Laure sursauta au contact de l’eau glacée sur son sexe ouvert.

 

- Ne t’échauffes pas si vite, cochonne ! Alors, qu’en penses tu ? Moi, je te préfère ainsi, en grosse Barbie vicieuse.

 

Laure contemplait avec horreur son sexe rendu rouge par le feu du rasage. Elle ne s’était jamais sentie aussi impudique de toute sa vie, découvrant dans les miroirs son ventre complètement lisse, comme lorsqu’elle était enfant.

 

- Oui, c'est bien mieux comme ça, dit sa propriétaire. Je te trouve encore plus excitante comme ça. On voit beaucoup mieux tes lèvres, surtout lorsqu'elles sont bien gonflées comme c'est le cas maintenant. On va jouer un peu à présent. Je te vais te prouver que ton corps est à moi. Je suis sûre que tu vas adorer.

 

Orane lui ôta alors son bâillon, s'accroupit entre les cuisses ouvertes de la jeune fille et commença à la caresser, alternant ses doigts et sa langue. Laure n’osa pas protester face à cette caresse lesbienne imposée. Elle jouait avec les grandes lèvres, titillant ensuite le clitoris, enfonçant lentement ses doigts à l'intérieur du vagin de sa poupée, revenant ensuite à son bouton...

 

Elle lui détacha les jambes et fit basculer encore plus son bassin pour ouvrir plus largement ses fesses, et commença titiller et à lécher le petit trou. Sentir la langue forcer son anus, pendant que les doigts de sa Maîtresse s'activaient sur son sexe arrachait à Laure des gémissements de plaisir.

 

Ce n’était pas la première expérience saphique de la jeune asiatique, et elle était vraiment experte. Laure ne tarda pas à sentir le plaisir monter dans ses reins, malgré le fait qu’elle ne se soit jamais sentie attirée par les filles. Les miroirs lui renvoyaient son image, pinces aux seins, cuisses largement ouvertes, offrant sa chatte ouverte et mon anus au regard narquois d’Orane.

 

Orane saisit une poignée de la corde à sauter, assez épaisse et courte, et lui montra en souriant, avant d'obliger Laure à la lécher. Elle s'amusa quelques instants à le faire aller et venir dans sa bouche, tout en lui disant de l'imaginer en place entre ses fesses.

 

- Non, c’est trop gros, je vous en prie, ça va me faire mal, tenta d'argumenter Laure dès qu'Orane l’eut sortie de sa bouche

 

- Mais non, tu vas voir comme ça va rentrer facilement, répondit Orane.

 

Elle en posa doucement l'extrémité sur son anus trempé de ses propres secrétions. Elle appuya lentement, mais fortement, la poignée sur sa rosette, que Laure sentit s'ouvrir d'un coup pour avaler le gode improvisé. Orane l'avait bien dilatée de ses doigts, et elle ne ressentit presque pas de douleur, juste une impression profonde de pénétration. C'était étrange... Laure n’avait jamais imaginé qu’elle pourrait ressentir un plaisir anal. Elle avait toujours trouvé cette pratique dégoûtante, et jamais elle n’avait imaginé subir cela lorsqu’elle se caressait. Elle appréciait pourtant malgré elle cette sensation persistante et stable d'être pénétrée, prise, au plus profond de soi.

 

Rapidement Orane recommença à la masturber, se concentrant désormais uniquement sur son sexe offert. Les sensations anales de Laure s'ajoutaient en les décuplant à celle que la jeune asiatique déclenchait en manipulant son sexe. Elle suçait son clitoris, tout en la pénétrant de deux ou trois doigts. Mais la petite garce savait l'amener au bord de la jouissance, haletante, pour s'arrêter juste avant qu’elle n’atteigne l'orgasme, l'abandonnant chaque fois plus frustrée pour recommencer ensuite. Ce petit jeu semblait lui plaire au plus haut point. A chaque fois, son plaisir montait plus vite, mais les caresses d'Orane s'arrêtaient aussi chaque fois plus tôt, et ses gémissements de plaisir se transformaient en cris de frustration.

 

- Alors, tu aimes ce petit jeu, ma chère Laure? lui demanda Orane.

 

- Je... je n'en peux plus Mademoiselle, lui répondis Laure haletante... Je vous en prie laissez moi jouir… Je n’en peux plus

 

- Hmm... J'aime te voir ainsi, enfin délivrée de tes inhibitions, obnubilée par ton désir. Car c’est ce que tu es au fond, Laure, une petite pute prête à tout pour jouir.

 

- Oh! oui, s’il vous plait, Mademoiselle, faites jouir votre pute…Par pitié

 

- Ah! tu reconnais enfin que ton corps est à moi

 

- Oh! Oui, Mademoiselle, mon corps est à vous. Vous pouvez me raser, m’humilier… Je vous appartiens…

 

- Soit, je consens à te laisser jouir. Mais cela ne sera pas si facile.

 

- Je ferais tout… tout… geignait Laure

 

- Je te proposerai bien de te finir avec tes doigts, mais tes poignets attachés dans le dos ne te seraient pas d'une grande utilité, dit Orane en riant. Je vais te détacher du bidet, ce qui te permettra de bouger, mais tu garderas les poignets attachés dans le dos. Tu devras te finir devant moi comme ça, sur ma chaussure, comme une chienne en chaleur !

 

Orane lui délia un instant les poignets, avant de les serrer à nouveau à l’aide de la corde dont la poignée sortait comiquement du cul de Laure. Elle libera la jeune fille du gode et s’assit sur le rebord de la baignoire, le pied tendu. Toute honte bue, prête à tout pour éteindre le feu qui lui brûlait le bas ventre, Laure s'accroupis aux pieds de sa jeune Maîtresse, écartant largement ses cuisses. Elle se cambra pour que sa maîtresse puisse apercevoir les replis de son vagin. Orane glissa son pied entre les cuisses nues, contre la vulve ouverte et trempée de Laure.

 

- A toi maintenant, remue ton cul de chienne. Fait toi jouir, tu as ma permission

 

Laure commença alors un mouvement de va et vient avec son bassin sur l’escarpin, sa position obscène et avilissante la rabaissant au rang d’animal. Elle avait l’impression que son vagin se dilatait sous la pression du pied. Les boucles griffaient ses lèvres, lui arrachant des gémissements de plaisir. Laure continua ses va et vient, tout en luttant pour ne pas perdre l'équilibre. Ses mains dans le dos rendaient la tâche plus difficile, mais elle parvenait tout de même à se frotter sur la chaussure trempée de son suc, en maintenant un bon rythme qui l’emmena rapidement au bord de l'orgasme.

 

Les miroirs lui renvoyaient l'image d'une fille en rut, entravée, se frottant frénétiquement le sexe sur la chaussure d’une des camarades de classe. Elle sentait le regard d’Orane sur elle, la ravalant au rang de chienne en chaleur se frottant contre les jambes de sa Maîtresse, prête à tout pour jouir enfin. Paradoxalement, cette honte lui permit d'atteindre un orgasme exceptionnel, Laure eut littéralement l'impression d'une explosion au moment ou elle jouissait, s'entendant hurler comme jamais auparavant. Elle s'écroula ensuite sur le sol, trempée, épuisée mais enfin comblée.

 

- Eh bien, on dirait que c'était une question de vie ou de mort, reprit sa propriétaire après quelques minutes... Pour un orgasme, c'en était un... Je pense que la démonstration est suffisante. C’était un jour important pour toi, aujourd’hui, Laure. C’était ton premier jour d’esclave.

 

Laure, sonnée, ne répondit pas. Orane sortit un instant afin de chercher ses habits.

 

- Tu peux te rhabiller, reprit la jeune fille en souriant. Je crois que c'est assez pour une première prise de contact, tu peux rentrer chez toi. Je te téléphonerai demain pour te donner des instructions concernant la conduite que tu adopteras dorénavant au Lycée. La prochaine fois, nous passerons à des choses plus sérieuses... rajouta-t-elle en souriant de façon énigmatique.

 

 

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Dimanche 5 février 7 05 /02 /Fév 21:00

Chapitre 3: Fessée et jouissance



Laure avait mal au genoux, cela faisait déjà un bon moment qu’elle astiquait le sol de la cuisine.


Elle leva les yeux en s’essuyant le front. Elle avait presque fini quand elle entendit un tintement derrière elle. En se retournant, elle vit Orane qui tenait à la main une clochette d’étain.

- C’est ainsi qu’on sonne les bonniches dans ton genre. Dès que tu entendras ce son, cela signifiera que tu devras immédiatement te mettre à ma disposition.

- Bien, Mademoiselle fit Laure.

- Je vois que tu n’as pas respecté le délai ! gronda Orane. Il y a déjà cinq bonnes minutes que j’attends mon verre.

- Je … je vous prie de m’excuser, bégaya Laure. Elle savait qu’Orane mentait et qu’il restait encore un peu de temps, mais elle n’osait pas protester.

- Je croyais pourtant avoir été claire dit Orane d’une voix glaciale en se rapprochant de Laure, les bonniches feignantes sont renvoyées !

Orane saisit Laure par les cheveux, et la traîna littéralement jusqu'à la porte d’entrée. Laure n’eut pas le temps de se débattre, et se retrouva sur le seuil de la porte. Terrifiée. Orane allait mettre sa menace à exécution, et la forcer à rentrer dans cette tenue.

- Non... pitié, supplia-t-elle en se traînant aux pieds de la belle brune. Pas ça, j’ai fait tout ce que vouliez. Pardon, pardon, je jure qu’a présent je vous obéirai à la perfection. Vous pourrez faire tout ce vous voudrez de moi, je serai une bonniche idéale… Une esclave dévouée… Je vous en supplie Maîtresse, laissez moi être votre esclave !

Au fond elle-même, Laure était stupéfiée de prononcer de telles paroles. Ce qui lui paraissait encore hier comme étant impensable semblait à ce moment presque naturel face à l’inflexible volonté de sa rivale.

- Vraiment ? Voyons, puisque tu es incapable d’être une servante, peut être pourrais-tu faire un bon paillasson, ironisa Orane en tendant son escarpin vers le visage de Laure.

Laure hésitas un court instant, avant de déposer lentement un baiser sur le cuir de la chaussure.

- Je ne t’ai demandé de baiser mes pompes, mais de les nettoyer ! Je veux voir ta langue bien sortie !

Alors Laure se pencha en avant et effleura de sa langue le cuir craquant, elle frissonna et quelque chose explosa dans sa tête quand elle appuya plus fortement sa bouche contre le pied d’Orane, elle ne savait pas qu’elle était capable de se comporter comme une chienne docile, cette révélation la troublait beaucoup.

Orane admirait le spectacle de cette belle lycéenne bourgeoise quasiment nue, prosternée devant elle, ses belles fesses rondes offertes, qui embrassait ses escarpins avec ferveur.

- Lèche-les, nettoie-les bien pour qu’elles brillent, je veux que ta langue n’oublie rien, lèche ma salope, lèche aussi la semelle, je veux qu’elles soient impeccablement propres, ensuite tu les sécheras avec tes mamelles, oui avec tes jolis seins fermes et doux, tu vas frotter tes gros nibards contre le cuir de mes chaussures!

Laure rougit d’humiliation, elle se mit à lécher les chaussures avec application en s’efforçant de nettoyer la plus grande surface possible comme une bonne ménagère consciencieuse, elle insista sur les petites taches de boue, jusqu’à les dissoudre complètement. Orane appréciait le travail avec satisfaction. Elle se pencha pour flatter le cul de son esclave, Laure tressaillit involontairement de plaisir sous la caresse. Quand elle eut terminé, elle se redressa pour prendre chaque pied d’Orane sur sa poitrine, elle comprima ses seins lourds pendant que sa jeune maîtresse faisait aller et venir la chaussure contre la peau douce, les boucles éraflaient les mamelons déjà endoloris.

- Voilà qui est bien mieux se délecta Orane, je pense que je pourrai peut être bien tirer quelque chose de potable d’une gourde comme toi, finalement…

- Merci Mademoiselle répondit Laure, sincèrement reconnaissante

- Ne te réjouie pas trop vite ! Tu mérites une punition, ça t’apprendra à bâcler ton travail. Allez, ouste, au salon ! Et à 4 pattes, sur les avant-bras. Plus vite, au trot !

Laure se démenait sur l’épaisse moquette, les coudes et les genoux rougis par les frottements. Orane accompagnait chacune de ses exhortations d’un coup sec sur ses fesses à l’aide de la règle en plastique.

- Grimpe sur la table basse, la tête entre les bras, le cul bien haut.

Laure s’exécuta et plaça sa tête entre ses avant-bras. Orane pinça alors la base charnue d’une de ses fesses et tira dessus pour l’obliger à bomber d’avantage sa croupe.

- Plus haut le cul ! Et écarte bien les cuisses !

Laure poussa un cri étouffé en prenant immédiatement la pose requise. Elle était consciente de sa posture obscène qui ne cachait rien de son intimité. Les lèvres de sa chatte se sont décollées et elle sentait les nymphes qui sortaient doucement en se gonflant. Passive, elle regardait ses seins que la pose faisait pendre. Ses tétons étaient enflés et durs. Cette exhibition forcée devant sa rivale ne la laissait pas insensible, et cela la mortifiait. Orane brisa le silence.

- Alors, Laure, que mérite les mauvaises élèves qui ne s’appliquent pas suffisamment sur leur travail ?

- Une… Une fessée répondit Laure qui avait parfaitement compris ou voulait en venir la jeune asiatique.

- Exact ! Et ne t’avise pas de protéger ton cul avec tes mains, compris.

- Oui, Mademoiselle gémit Laure.

Elle se crispait, attendant le premier coup. Elle sentait le regard d’Orane fouiller chaque recoin de son vagin et de son anus largement ouverts. La rondelle brune, élargie par sa cambrure, était largement visible sur sa peau légèrement mate. Les nerfs à vif, elle attendait le bon vouloir de Mademoiselle. La première claque la surprit, et ce fut bientôt une avalanche de gifles qui s’abattit sur son derrière. Orane y allait de bon cœur. Laure se tortillait en vain pour éviter les coups. La douleur était terrible, mais elle restait néanmoins prosternée, le cul en l’air. La chaleur qui irradiait ses fesses se propageait lentement vers ses cuisses, à l’intérieur de son ventre. Cette fièvre gagna bientôt son vagin tout entier. Ses sanglots se transformaient en petits gémissements qu’elle trouvait abjects de sa part, et ce à mesure que son sexe devenait poisseux. Laure essaya en vain de lutter contre son émoi. Orane visait maintenant directement entre ses cuisses, frappant avec un plaisir sadique les lèvres gonflées du sexe. Cela faisait un bruit spongieux qui la mettait aux anges.

- Voyez-vous ça, riait-elle, il suffit qu’on lui touche lui cul pour que notre petite vicieuse de Laure s’enflamme. Tu es encore pire qu’une chienne, ma parole, tu dégoulines de mouille. Tu n’as pas honte, dis-moi ?

Orane lui envoyait maintenant de petites pichenettes vicieuses sur son clitoris gonflé. A chaque coup, Laure avait la sensation qu’une décharge électrique traversait son corps et était secouée de spasmes. Elle lutta de toutes ses forces afin d’empêcher le plaisir de l’envahir. Si elle jouissait, se disait-elle, le triomphe de son ex-rivale serait total, elle la posséderait alors corps et âme. Mais en vain. Jamais ses séances de masturbations ne lui avaient permis de ressentir un plaisir aussi pur et intense. Sa jeune maîtresse alternait caresses et coups avec virtuosité, faisant coulisser deux doigts dans sa chatte tout en lui pinçant méchamment le gras de la cuisse. Les moqueries et les insultes résonnaient dans sa tête. L’orgasme qu’elle éprouva fut phénoménal, et la laissa pantelante, les jambes en coton. Son corps était encore parcouru de longs frissons quand Orane se plaça devant elle. Elle n’avait rien perdu de sa superbe, et lui enfonça sans ménagement ses doigts dans la bouche.

- Nettoie-moi tes cochonneries ! Tu viens de te comporter comme la dernière des truies, tu t’en rends bien compte j’espère.

Laure ne répondit pas. Veulement, elle léchait sa propre mouille qui maculait les doigts d’Orane. Encore sous le choc d’une jouissance comme elle n’en avait jamais connue, elle se sentait dans la peau d’un animal domestique qui témoigne son respect pour la main de sa maîtresse, pouvant dispenser aussi bien les coups que les caresses.

- As tu encore des doutes sur ta condition d’esclave ? lui demanda Orane.

- Non, dit-elle en continuant d’embrasser les doigts de sa maîtresse.

- Personnellement, cela ne m’étonne guère, continua Orane en souriant, tes airs de sainte nitouche ne m’ont jamais trompée. Ceci dit, je ne pensais quand même pas que tu serais d’emblée si docile. Ni que tu puisses être aussi chaude du cul. Quelle salope tu fais ! J’ai bien vu que tu as commencé à t’exciter dès que je t’ai fait mettre à poil. Allez, avoue, sale petite gouine !

- Oui, Mademoiselle balbutia Laure

- Oui, quoi ? Je veux te l’entendre dire insista Orane, à moins que tu ne préfères que j’en parle demain au lycée.

- Oui, cela m’a excité… murmura Laure

- Plus fort « Oui, Mademoiselle, cela m’a excité me montrer mon gros cul de chienne », allez répète, à haute et intelligible voix.

- Oui Mademoiselle, cela m’a excité me montrer mon gros cul de chienne

Laure dut ainsi répéter chaque phrase que lui dictait la jeune fille, buvant jusqu’à la lie le calice de son humiliation. Orane lui tirait l’oreille chaque fois qu’elle hésitait, bafouillait ou parlait trop bas.

- Oui, Mademoiselle, j’aime exhiber mes loches de vache

- Oui, Mademoiselle, j’aime qu’on me rougisse ma croupe de salope par une fessée

- Oui Mademoiselle, je suis une chienne en chaleur qui aime qu’on la tripote

- Oui, Mademoiselle, j’ai mouillé comme la dernière des putes

- Oui Mademoiselle, je suis une petite gouine vicieuse qui jouie quand on la branle

- Merci Mademoiselle Orane d’avoir eu la patience de punir la pétasse prétentieuse que je suis, et la bonté de me faire jouir

- Non Mademoiselle, jamais je n’avais joui aussi fort lorsque je me branlais comme une catin dans les vestiaires.

En prononçant ces mots, Laure s’en imprégnait involontairement, et ne les trouvait pas si éloigné que ça de la vérité. Elle ne voyait plus en Orane la rivale ou même la camarade de lycée, mais quelqu’un d’infiniment supérieur à elle-même, une de ces implacables divinités anciennes qui dispensait au gré de ses humeurs la joie ou la désolation chez ses adorateurs. A l’inverse, elle se sentait elle-même faible et grotesque, incapable de contrôler les pulsions de son corps. Comment avait-t-elle pu autrefois se croire au-dessus d’Orane ? Sa place était effectivement celle de l’esclave, elle le savait maintenant. Elle était vaincue, brisée, la honte et la soumission avaient remplacé sa fierté et sa volonté. 

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Jeudi 26 janvier 4 26 /01 /Jan 21:14

Chapitre 2 : Premières soumissions

 

Laure ne dormit pas de la nuit. La pensée de ces horribles photos d’elle étalées à la vue de tous la mettait au supplice. Elle savait par avance qu’elle ferait tout ce que voudrait Orane. Tout plutôt que ce cauchemar. Et au fond elle tourbillonnait la pensée qu’elle méritait plus ou moins la situation dans la quelle elle se trouvait. Mais pourquoi avoir pris cette manie de se caresser les vendredis soir au Lycée ! Laure se méprisait. Encore heureux qu’Orane n’ait pu lire ses pensées à ce moment là. Oui, elle ferait tout pour qu’elle ne divulgue pas son secret. Et elle tremblait à cette pensée… Orane était la dernière personne à qui elle souhaitait être livrée pieds et poings liées.

Elle regarda encore une fois la pendule du salon. 11 h 30. Et Orane n’appelait toujours pas. Qu’attendait-elle donc ? Laure était tendue et nerveuse, littéralement tourmentée. Cette attente l’exaspérait. Et Orane le savait.

Elle appela à 18 H 00. Laure se rua sur le téléphone, et soupira de soulagement en entendant la voix d’Orane

- Bien, dit-elle sèchement, j’ai décidé de te donner une chance, par pure pitié. Sois chez moi dans un ¼ heure. Dis à tes parents que tu passeras la soirée chez moi, pour réviser. Je t’expliquerai ce que j’attends de toi en échange de ma discrétion..

Laure essaya de parler, mais Orane avait déjà raccroché. Alors, l’esprit vide, elle laissa à mot à ses parents, pris son scooter, et partit chez La jeune fille.

Elle sonna au portail de la maison d’Orane. Celle ci lui ouvrit peu après, et lui ordonna de la suivre. Orane conduisit Laure au salon, et s’assit dans un épais fauteuil de cuir. Elle portait une jupe légère, de fins escarpins à talons et un chemisier noir. Son maquillage étirait l’oblique de ses yeux. Elle était magnifique ainsi, et Laure se sentit mal à l’aise dans son pull sans forme et son jean moulant.

- Non, toi, tu restes debout, dit-elle brusquement lorsque Laure fit également mine de s’asseoir. Et tu écoutes ce que j’ai à dire.

Laure obéit en rougissant. Orane lui tendit une liasse de photos. C’était pire que tout ce qu’elle avait imaginé. On voyait tout. Son sexe ouvert, le clitoris dilaté, ses doigts rentrés à moitié dans sa chatte, l’autre main pinçant et étirant son téton. Mais le pire était l’air extasié qu’elle affichait, la bouche ouverte, la langue à demi sortie. Une vraie fille de porno…

- Joli, non ? Tu peux garder celles ci, si tu veux, j’en ai tiré d’autres, et j’ai les négatifs. Pour l’instant, je les garde pour ma collection privée. J’adore l’air de salope que tu as quand tu jouis…

Mortifiée, Laure ne releva pas l’insulte.

- En revanche, je veux bien ne les montrer à personne si, pour le reste de l’année scolaire, tu t’engages à être mon esclave dévouée et obéissante.

Laure déglutit avec peine. Il restait six mois avant le bac.

- Comment saurai-je que tu ne les montreras jamais ?

- Il faudra bien me faire confiance. Et je te confirai le négatif après le bac. Si tu refuses, sort immédiatement de chez moi. Si tu acceptes, tu te mets à genoux, les mains dans le dos. Tu as dix secondes.

- J’ai ta parole ? murmura Laure.

- 7 secondes.

Laure céda. Elle pouvait déjà gagner un sursis. Après elle aviserait. Ses genoux touchèrent le tapis, ses poignets se croisèrent dans son dos. Elle se livrait à Orane.

- Si tu savais depuis le temps que je rêve de cet instant, s’exclama-t-elle. Tu feras tout ce que je veux, tu seras mon jouet ! Sinon, tu sais ce qui t’attend, non?

- Oui, murmura Laure, les joues en feu…

- Alors je veux que tu le dises. Que tu dises « Moi, Laure Clermont, déclare être l’esclave et le jouet d’Orane de Bréot. »

Laure répéta la phrase avec peine, en bredouillant.

- Plus fort, je n’entends rien

- Moi, Laure Clermont, déclare être l’esclave et le jouet de Mademoiselle Orane de Bréot

- Encore, articule bien…

- Moi, Laure Clermont, déclare être l’esclave et le jouet de Mademoiselle Orane de Bréot dit enfin Laure d’une voix forte et claire, en fixant Orane dans les yeux.

- Baisse le regard, garce. Quand nous serons seules, tu devras toujours baisser les yeux, compris !

- Oui fit-elle en s’exécutant

- Et tu devras aussi me vouvoyer, et tu m’appelleras Mademoiselle Orane, compris.

Laure n’avait jusqu’alors jamais connue pareille humiliation. Mais elle ne pouvait s’empêcher d’obéir, redoutant ce dont était capable le jolie asiatique. Au fond elle, elle était même reconnaissante envers le silence d’Orane, et redoutait de lui déplaire et qu’elle ne change d’avis.

- Oui Mademoiselle Orane dit-elle.

Orane fut étonnée de la soumission aussi rapide de Laure, d’habitude si fière. Son regard autrefois altier était à présent celui d’une biche apeurée. Elle était aussitôt rentrée dans le rôle du gibier. Orane se dit qu’il serait stupide de ne pas en profiter. Elle avait toujours rêvé d’être une maîtresse entourée d’esclaves, et le fait qu’il s’agisse de Laure rendait la situation encore plus agréable. Et encore plus excitante.

- Parfait. Mes parents seront absents ce week-end. Nous serons plus tranquilles. On dirait que ta vie va devenir bien différente, à présent, n’est ce pas ma petite Laure ?

- Oui, Mademoiselle Orane souffla Laure.

Orane était de plus en plus exaltée. L’instant était crucial. Elle devait maintenant définitivement asseoir sa suprématie.

- Maintenant, Laure, tu vas te déshabiller intégralement…

- Comment, mais … Laure ne s'attendait pas du tout à ça.

- Tu m’as très bien entendue ! Après tout, cela ne paraissait pas te gêner tant que ça hier. Allez hop, à poil ! Comme la traînée que tu es !

- Je ne …commença Laure.

Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase. En un éclair, Orane était sur elle, et lui balançait une gifle retentissante.

- Tu sais que ma patience est très limitée, Laure, ne m’oblige pas à répéter mes ordres. A moins que tu ne préfères arrêter là… Et en subir les conséquences.

- Non, pardon, je ne…pleura Laure.

Une seconde gifle, encore plus forte, lui renversa la tête en arrière.

- Pardon qui ?

- Pardon Mademoiselle Orane reprit Laure en se frottant la joue.

- Alors fit-elle en se rasseyant, c’est ta dernière chance. A poil !

En tremblant, Laure, totalement vaincue et soumise, fit passer son pull par-dessus sa tête. Puis, toujours à genoux, elle entreprit de défaire un à un les boutons de sa chemise. Elle fut bientôt en soutien gorge, rougissant de honte de se sentir si vulnérable devant Orane qui la dévorait des yeux. Elle lui apparut alors terriblement supérieure à elle-même, habillée, assise bien droit dans son fauteuil, alors qu’elle-même, à ses pieds, retirait un à un ses vêtements comme autant de relique de sa dignité perdue. Elle n’hésita qu’un instant avant de retirer son soutien gorge. A l’air libre, ses tétons se dressèrent soudainement, tandis qu’une chaleur sourde montait dans son ventre.

La situation était bien trop similaires à ses fantasmes secrets et refoulés. Elle se rendit compte avec horreur que cela l’excitait d’être humiliée de la sorte par sa rivale. Il ne fallait absolument pas qu’Orane s’en aperçoive. Baissant complètement la tête, elle se redressa afin d’ôter son jean.

- Non, non, les esclaves comme toi se déshabillent à genoux devant leur maîtresse. Par respect, tu comprends.

- Oui, Mademoiselle fit rapidement Laure en reprenant sa position initiale.

Orane se régalait de voir Laure se tortiller maladroitement pour enlever son jean moulant. Elle avait immédiatement senti le trouble de celle-ci, et s’en amusait énormément.

- C’est un plaisir de voir tes grosses loches se dandiner ! Allez, plus vite.

Laure se dépêcha alors, ses seins remuant plus avant alors qu’elle luttait pour s’extraire de son jean moulant. Elle y parvint finalement, et était à présent en slip de dentelle mauve et en socquettes blanches.

- J’ai dit intégralement à poil ! insista Orane, sans aucune pitié.

Et Laure obéit. Docilement. Révoltée par son abjecte soumission.

- Tu as la chatte très poilue, dis-moi. Non, te cache pas, met les mains sur la tête, oui voilà.

- Ecarte les jambes, plus que ça, bombe la poitrine.

Laure obéissait mécaniquement. Définitivement matée, elle écoutait les commentaires d’Orane, qui la détaillait comme une marchandise.

- Tu as vraiment tout d’une poufiasse, avec tes grosses loches et ta chatte poilue… Je me suis toujours demandé ce qu’on te trouvait. Tourne toi que je vois ton cul.

- Prosterne toi, la tête entre les bras, les fesses bien relevées.

Comme Laure n’obéissait pas assez vite à son goût, elle se leva pour lui assener quelques claques sur les fesses. Celle ci ne résista pas, et prit rapidement cette pose grotesque.

- Tu as un joli cul, je te l’accorde, dit-elle en appuyant la semelle de son escarpin à la naissance de la raie. Si tu ne veux pas le voir rougir, je te conseille d’obéir plus vite. Si je ne suis pas satisfaite de tes services, esclave, je pourrais ne plus te faire de faveur.

- J’ai compris, Mademoiselle.

- Ne bouge plus. Je vais te prendre tes vêtements, je te les rendrai plus tard, tu n’en auras pas besoin entre temps, OK.

- Comme vous désirez, Mademoiselle Orane.

Laure ne bougea pas d’un pouce, en entendant le pas d’Orane qui emmenait ses vêtements. Totalement abasourdie par le tournant qu’avait pris sa vie en moins de 24 heures. Celle ci revint peu après avoir les avoir enfermé au placard, une longue règle de plastique à la main..

- Allez, debout, et suis-moi

Orane la conduisit à la cuisine, et lui tendis un petit tablier blanc qui ne cachait rien de sa nudité et un bonnet de bonne, ainsi qu’une ridicule paires de claquettes rose vif.

- C’est à notre cuisinière, mais elle n’est pas le Week-end. Alors, c’est toi qui le remplaceras et qui seras ma bonniche, ok !

- Oui, Mademoiselle Orane.

- Oui, quoi ?

- Oui, je serai votre bonniche dit Laure en enfilant les accessoires.

- Alors, au boulot, j’ai promis à mes parents qu’ils trouveraient la maison nickel à leur retour. Tu vas nettoyer le carrelage, et tu as intérêt à ce qu’il brille, ordonna-t-elle en lui assenant un coup de règles sur la cuisse.

- Et pas de balai pour toi, tu passeras la serpillière à quatre pattes.

La règle lui cingla de nouveau la cuisse, plus fortement. Laure sursauta sous le coup de la douleur, et tomba à genoux.

- Tu as vingt minutes ajouta Orane. Tu me rejoindras ensuite au salon, en m’apportant un verre de vin. Si le sol n’est pas nickel à ce moment, je te fais rentrer chez toi à poil.

Laure resta seule dans la cuisine, la tête lui tournait… La cuisine lui paraissait immense.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'asservissement de Laure - Communauté : Soumissions féminines
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