— Allez trotte petite gouine !! dit Orane en accélérant le pas pour tendre la laisse. Trotte, j’adore voir tes grosses loches se balancer !!
Privée de toute volonté de révolte, Laure subissait, honteuse et humiliée. Arrivée dans le salon, suivie de la belle esclave Orane se laissa choir dans le canapé.
— Sers-moi un verre, et viens t’agenouiller devant moi.
Aussitôt Laure se précipita
— Voici votre verre de vin Mademoiselle Orane.
— Je vais regarder la télé, pendant ce temps-là tu vas recommencer à me lécher les pieds pétasse, mais cette fois fais en sorte de te contrôler, espèce de nympho. ! Au bord des larmes, les yeux baissés Laure souleva délicatement le pied droit de sa maitresse.
— Je vous remercie infiniment de permettre à votre esclave de vous lécher les pieds Mademoiselle Orane, c’est un très grand honneur…
— Oui, je trouve aussi, mais que veux-tu … tu es une telle chaudasse ma chienne qu’il faut bien que je fasse preuve d’un peu de bonté!
Orane éclata de rire.
— Allez lèche bien et tais-toi, je ne veux plus t’entendre ! Et surtout ne t’avise pas d’arrêter avant que je te le dise.
Laure lécha ainsi les pieds et les chevilles de sa maitresse pendant plus d’une heure. Elle ne sentait plus ni sa langue ni ses mâchoires tellement elle avait mal. Quand elle en eut assez, Orane la repoussa brutalement du pied. Surprise Laure s’étala de tout son long sur le dos dans une position obscène sous le rire moqueur d’Orane.
— Dépêches toi de m’apporter ta laisse ! En envoyant un grand coup de pieds dans les fesses de sa soumise.
Orane cria :
— Avec les dents bien sûr !! Reste à 4 pattes !!
Mécaniquement et sans même se plaindre, Laure obéit, se saisit de la poignée de la laisse entre ses dents et revint la déposer dans la main tendue de sa maitresse.
— Tu ne vaux décidément pas grand-chose comme bonniche, mais comme chienne tu es potable ! Même si tu as encore grand besoin d’être dressée ma salope.
— Je vous remercie de bien vouloir dresser la grosse chienne que je suis Mademoiselle.
Orane se leva en souriant, satisfaite de la soumission sans cesse grandissante de Laure.
— Je vais me coucher, suis moi, oui comme ça à 4 pattes bien sûr !!! Je vais dormir dans ta chambre ce soir. Et comme il est acquis que tu es une chienne, et bien tu dormiras comme une chienne au pied du lit de ta maitresse.
— Merci Mademoiselle, répondit Laure anéantie par cette nouvelle humiliation.
— Tu comprends bien qu’avec une chienne en cours de dressage comme toi, il me faut prendre quelques précautions…
En disant cela Orane se servit de la laisse pour attacher les poignets de sa soumise au pied du lit
— Comme ça je suis sure que tu ne pourras pas céder à tes instincts de salope en chaleur !
Elle lui jeta une serviette de bain.
— Ça te suffira pour te couvrir, tu es tellement en chaleur que tu n’auras pas froid ! Peut-être qu’il faudrait que je prévois une niche pour te faire dormir dehors !!!!
Orane éclata de rire
— Allez couchée salope !
Cette perspective effraya Laure, qui sait de quoi Orane était encore capable…
— Merci de prendre soin de votre chienne Mademoiselle.
— Je te conseille de bien dormir, demain va être une journée très spéciale pour toi…
Malgré ce conseil Laure dormit très mal cette nuit-là. A même le sol, à peine couverte, morte d’inquiétudes pour la journée du lendemain et la tête pleine de pensées sombres, elle ne réussit à s’endormir que très tard dans la nuit. Les premières lueurs du jour, la réveillèrent. Elle resta immobile pour ne pas réveiller Orane, ses poignets la faisait souffrir, elle était courbatue de partout. Plus tard sa maitresse émergea et se pencha du lit pour détacher les poignets de sa captive.
— Lève-toi et va me préparer mon petit déjeuner, et déches toi un peu pétasse !
— Bon…bonjour Mademoiselle, je…oui tout de suite. Laure sortit précipitamment de sa propre chambre pour filer à la cuisine. Un peu plus tard, elle remontait l’escalier vers sa chambre, un plateau chargé du petit déjeuner de sa maitresse. Lorsqu’elle pénétra aussi doucement que possible dans sa chambre, Orane était alanguie à peine couverte d un drap. Laure ne put s’empêcher de rester quelques secondes immobile à regarder le corps parfait de celle qu’elle vénérait et qui tenait sa vie entre ses mains.
— Pose le plateau sur ton bureau et viens dire bonjour à ta maitresse comme une chienne doit le faire.
Alors Laure monta aussi délicatement que possible à 4 pattes sur le coin de son lit, passa la tête sous le drap et commença à lécher le plus délicatement possible les pieds d’Orane, puis ses chevilles. La jeune asiatique ne tarda pas à réagir, à s’étirer puis à ouvrir les jambes.
— Huuummm ouiiii c’est très bon ça ma grosse chienne !! huummmouiii remonte encore . . . tu en meurs d’envie grosse gouine !!!!
Elle riait, tellement heureuse de ce qu’elle obtenait de Laure. Sous le drap, Laure voyait maintenant distinctement le sexe magnifique de sa maitresse, elle en sentait aussi les effluves nocturnes. Bien sûr elle en eut honte mais déjà le trouble s’emparait d’elle au fur et à mesure que son visage s’en approchait.
— Fais ça bien salope !! Où tu vas le regretter !!!! Et je ne veux pas sentir tes mains me toucher !!
La langue de laure se posa sur le sexe de sa maitresse et entama un lent va et vient. Orane était aux anges, c’était divin. Elle laissa Laure continuer, lui imposait d’accélérer, de ralentir, de monter de descendre.
— Hummmmm je vais jouir ma chienne, dit-elle en retirant le drap.
La vue de son esclave à genoux, les mains dans le dos, entrain de la lécher déclencha son plaisir. Elle hurla en resserrant les cuisses emprisonnant ainsi la tête de la pauvre Laure. Celle-ci, le visage maculé du jus de sa maitresse avait du mal à respirer mais n’aurait voulu pour rien au monde être ailleurs !
— Nettoies moi bien ma chienne, après tu me feras le cul aussi ! dit-elle en riant. Dépêche toi tu adores ça !!!
— Oui mademoiselle Orane c’est vrai que je suis une grosse gouine qui adore boire votre jus…
— ET ??? Allez la suite ! Dis-le bien fort pétasse !!!
— Et…. Et qui adore vous lécher le cul aussi !!
— Et bien tu vois quand tu veux ma chienne…. répondit Orane en se retournant pour présenter son adorable postérieur à sa chienne.
Quelques instants après le visage de Laure se collait à ses fesses et aussitôt Orane sentit cette langue agile aller et venir dans sa raie.
-HUMMMM ouiii ma chienne tu es décidément très douée pour me lécher le cul !!! Je suis de bonne humeur ce matin ma salope alors je t’autorise à enfoncer ta langue bien profondément !!
En disant ça Orane cambra un peu plus son bassin, et son esclave, effondrée d’être à nouveau humiliée comme ça dès le matin darda sa langue en pointe dans l’anus de sa maitresse.
— Ca suffit pétasse, tu aimes trop ça !!!
Orane se redressa appuyée contre la tête du lit
— Mon petit déjeuner vite !! Viens te mettre à 4 pattes au-dessus de mes jambes tu me serviras de table !!!!
Laure prit la pose ordonnée et Orane pose le plateau sur son dos.
— Il va s’en dire que si tu le renverse je te punirai grosse gourde !
— oui mademoiselle…
— Tu avais pourtant bien commencé la journée, et là tu gâches tout, tu es vraiment stupide !! Tu ne m’as pas remerciée de t’avoir autorisée à me lécher le cul et en plus ce café n’est plus assez chaud maintenant !!!
En disant cela Orane s’était saisi du téton de Laure et le pinçait horriblement fort en tirant dessus.
— Ooouuucchhcaaiaiieeee Je… je vous prie de bien aaaiiiieee de bien vouloir excuser votre grosse chienne stupide mademoiselle ...... aaiaiiiiieee
— Bon… et qu’est-ce qu’on fait à une grosse chienne stupide et indisciplinée, salope ??
— On aaiaiaiee on la punie mademoiselle aaaiiiiieiee
Orane était toujours en train de tirer de plus en plus fort sur son téton. Ce qui devait arriver, arriva. Sous la douleur Laura gigota tellement que le plateau se renversa. Quand elle sentit le café sur son dos, elle se dit que sa maitresse était quand bien injuste… Il était encore bien chaud ce café !
— Hors de ma vue !! Dégage et vite va faire la vaisselle et tu rappliques en courant dès que je te sonne !!!!!
Emportant le plateau Laure sortit de sa chambre la tête basse, le téton et le dos endoloris !! Encore alanguie dans le propre lit de son esclave Orane était aux anges, la servilité de sa camarade de classe ne cessait de la surprendre. Décidément elle en faisait ce qu’elle voulait et elle adorait ça. Elle se leva et se dirigea vers la salle de bain, se fit couler un bain et agita la cloche. Il fallut à peine quelques secondes à Laure pour remonter dans la salle de bain.
— Ce que tu peux être lente ma pauvre ! Bon viens là et savonne moi !
— Oui mademoiselle, votre chienne vous remercie de l’honneur que vous lui faites en la laissant vous savonner mademoiselle.
— Humm j’adore quand tu es comme ça ma grosse salope, servile et soumise. Je vais m’absenter une heure ou deux ce matin, ma chienne, pour finir de préparer ta surprise. Alors pour ta punition, tu vas à nouveau te maquiller comme une pute comme tu l’as fait hier soir en exagérant même encore un peu plus, et je vais t’attacher dehors sur la terrasse et tu m’attendras comme ça… tu ne vois ce n’est pas si terrible ! conclut Orane en riant.
— Bon sèche moi dit-elle en se levant.
Laure aurait dû être soulagée, mais elle connaissait maintenant la perversité de sa maitresse et elle s’attendait à bien pire.
— La salle de bain est à toi ! Et n’oublie pas hein . . . bien bien vulgaire ! . . . Très très pute !!!
En bonne esclave docile Laure entreprit de se maquiller. Cela lui prit plus de 20 minutes mais le résultat était stupéfiant. Elle eut elle-même un léger sursaut en voyant son reflet dans le miroir. Les yeux soulignés de noir, les paupières colorées de vert, les cils tirés, la bouche outrageusement dessinée en rouge vif, lui donnaient déjà un air de pute, mais Laure avait poussé l’obéissance jusqu’à farder ses aréoles et à passer au rouge les lèvres de son sexe épilé. Elle n’avait rien laissé au hasard. Elle avait rassemblé ses cheveux en un chignon et s’était même aspergée d’un parfum très fort qu’elle n’utilisait jamais. Mademoiselle avait dit très pute… Laure laissa alors sa tenue de soubrette, traversa nue l’étage vers la chambre de ses parents et alla fouiller dans les dessous de sa mère. Jamais elle n n’aurait osé faire ça avant mais cela ferait surement plaisir à Orane. Elle trouva une paire de bas noirs très fin qui trancherait merveilleusement avec son porte-jarretelles rose. S’estimant prête, elle emprunta à sa mère une paire d’escarpins noirs à talons hauts avec une lanière de cheville. Ainsi accoutrée, elle descendit au salon où sa maitresse l’entendait.
— Votre pute est prête mademoiselle…
Orane se retourna lentement, regarda de bas en haut le corps de Laure, pendant plusieurs secondes, puis lui dit avec un sourire de satisfaction :
— Tu es vraiment faite pour ça…
Ces quelques mots brulèrent Laure au plus profond de son être
— Approche ici que je finisse de te préparer.
Docile, Laure tendit son cou, vers sa maitresse qui y fixa à nouveau le collier.
— J’ai autre chose pour toi aussi, regardes…
Il s’agissait d’une belle ceinture de cuir large de 5cm. Orane lui passa autour de la taille et serra fort. Laure grimaça un peu mais ne dit rien, c’était supportable.
— Tu vois ses anneaux sur les côtés ? Je vais y fixer tes poignets comme ça je suis certaine que tu ne masturberas pas comme une chienne dès que j’aurais le dos tourné !!!
Ce fut fait en quelques minutes.
— J’ai encore autre chose pour toi. Tu ne t’imaginais quand même pas que la punition s’arrêtait là hein pauvre gourde !! Regarde !
Orane agitait devant les yeux de sa soumise 2 clochettes accrochées chacune à une pince
— Allez dis-moi où ça va être accroché ça ma pute… allez dis-le !!!
Laure regardait les 2 grosses pinces avec effroi, elle se souvenait très bien de la douleur ressentie quand Melle Orane lui avait mis de simples pinces à linges sur les tétons.
-Vous….vous allez les fixer à mes tétons Mademoiselle oooohhh je… je vous en priiie . . . s’il vous plaît . . . noon.
Le regard d’Orane s’assombrit, elle n’eut rien besoin de dire de plus, déjà Laure se redressait et cambrait sa lourde poitrine vers sa maitresse.
–Et oui !!! ca va joliment décorer tes grosses mamelles de vache !!!!
A peine eut elle dit ça que la première pince se refermait arrachant à Laure une plainte de douleur. Le second téton subit le même sort. La douleur était horrible, les pinces étaient lourdes et puissantes. La pauvre se déhanchait dans tous les sens faisant tinter les clochettes mais sans pouvoir rien faire d’autre !
— Ne t’agite pas comme ça ma pute, tu ne fais qu’empirer les choses !! En tout cas tu me fais une jolie musique !!!
En riant elle fixa une longue cordelette au collier de sa victime et la sortit sur la terrasse
— Voilà, tu vas rester là jusqu’à ce que je revienne avec ta surprise !
La cordelette fut attachée à la balustrade de la terrasse obligeant la pauvre Laure à rester penchée en avant.
— A plus tard ma pute !!!
— Je vous remercie de vous occuper de moi comme je le mérite Mademoiselle, à tout à l’heure…. répondit Laure au bord des larmes.
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