Le lendemain matin, Laure, partie tôt vers le lycée après une nuit réparatrice. Elle avait consacré la fin du dimanche après-midi à remettre la maison en ordre, à effacer toute trace de ce week-end de folie. Orane avait encore une fois raison, jamais elle n’oublierait ce qu’elle avait subi : la honte, l’humiliation, la douleur aussi. Mais ce qui la bouleversait au plus haut point c’est de sentir cette boule de chaleur naitre dans son ventre quand elle y pensait. La veille, quand elle fut seule, elle réalisa à quel point, au lieu de la révolter, de la scandaliser, elle avait aimé le regard d’Orane quand elle subissait cette ignoble pénétration. Elle était restée un moment immobile, hagarde, incapable de se reprendre. C’est la sensation du foutre encore chaud coulant entre ses fesses et sur ses cuisses qui lui fît reprendre ses esprits. Il lui était inutile de se mentir. Elle avait aimé ce qu’elle venait de subir. L’humidité de son sexe en témoignait. Alors, toute honte bue, accroupie, les cuisses grandes ouvertes, adossée à un des arbres qui bordaient l’allée, Laure s’était caressée comme une folle jusqu’à laisser bruyamment sa jouissance éclater. Quand elle rentra dans la maison pour s’atteler au rangement, elle décida de rester dans cette tenue. Cela plairait sans doute à Mademoiselle se dit-elle. Quand elle eut fini, elle prit une longue douche chaude et relaxante et lorsque ses parents rentrèrent, plus tard dans la soirée, la maison était propre, Laure était redevenue une jeune fille sage. Ils lui trouvèrent un air serein et détendu…
Elle marchait donc d’un pas tranquille ce matin, perdue dans ses pensées, quand une main posée sur son épaule la fit sursauter. Elle se retourna. Mademoiselle était là devant elle souriante et tellement belle.
— Bon… bonjour Mademoiselle.
Sans cesser de sourire, Orane regarda à droite et à gauche. La rue était déserte. Elle se colla alors contre sa soumise, la poussa contre le mur et l’embrassa à pleine bouche en faisant courir ses mains partout sur son corps. Très vite, Laure fondit et sa langue se noua à celle de la jeune asiatique avec passion.
— Comment va ma petite pute adorée ce matin ? Tu as bien dormi ? Tu devais être fatiguée après ta journée mon amour…
— Très bien Mademoiselle je… Oui, j’étais fatiguée.
A nouveau la bouche d’Orane se colla à celle de Laure.
— Je voulais te dire combien je suis fière de toi ma pute. Humm et combien tu étais belle quand tu avais sa grosse bite dans le cul !!! Et toi… Dis-moi tu as aimé ça lui sucer la bite, et te faire enculer ? Réponds-moi Laure !!!
Orane posa une main sur un sein de Laure et au travers du corsage et du soutien-gorge, lui pinça le téton. Laure grimaça un peu, mais laissa échapper un petit gémissement qui n’était pas que de douleur.
— Il…. Il m’a fait mal Mademoiselle, mais je… j’ai aimé quand il a giclé en moi et je… j’ai surtout aimé votre regard sur moi pendant qu’il... enfin … qu’il m’enculait… J’ai aimé vous obéir. Je… je dois vous avouer que je... je me suis masturbée après votre départ, Mademoiselle, et je… je suis restée habillée comme une pute pendant que je faisais le rangement de la maison…
Orane souleva le menton de Laure, l’embrassa encore passionnément. Elle était amoureuse de sa soumise et sa soumise amoureuse d’elle. Elle en avait la certitude maintenant.
— Je suis très fière de toi mon amour. Bien sûr je vais devoir te punir très fort pour t’être masturbée sans mon accord, espèce de délicieuse obsédée, mais je suis très fière de toi ! Racontes-moi comment tu t’es masturbée, petite salope en chaleur… Racontes moi tout ! Dépêches toi !!!
— Je... j’ai fait ça dehors dans l’allée devant la maison Mademoiselle. Je me suis appuyée accroupie contre un arbre et… je me suis caressée la chatte en me tripotant les seins Mademoiselle…
— Voyons ma chérie, les grosses cochonnes en chaleur comme toi n’ont pas de seins ! Moi j’ai des seins ! Toi ma chienne tu as des…. ? des ?
— Des mamelles Mademoiselle… en me tripotant les mamelles…
— HUMMM ouiii !!! De bonnes grosses mamelles de salope !! Je suis contente de toi tu sais, tu progresses tous les jours !!!
A nouveau, elle l’embrassa à pleine bouche !
— Je suis certaine que ça t’excite de me raconter tout ça, et que tu es déjà trempée ! Je me trompe ?
Laure baissa les yeux, sa maitresse l’humiliait dès le matin, mais elle acceptait maintenant de s’avouer à quel point elle aimait ça.
— Non Mademoiselle vous avez raison, ma culotte est trempée…
— Ta culotte ? s’exclama Orane en tendant la main. Mais que tu peux être gourde alors. Quand on a le feu au cul comme toi, ma chérie, on n’en porte pas ! Désormais c’est culotte interdite pour toi !! Donne-la-moi…
Quelques passants marchaient sur le trottoir d’en face sans prendre garde aux deux jeunes filles. Laure attendit à peine quelques secondes, se troussa, dégagea ses fesses et fit rouler sa culotte jusque sur ses chevilles. Elle se dit que c’était vrai qu’elle progressait. Ce qui la mortifiait il y a encore quelques semaines, comme retirer sa culotte en pleine rue, lui semblait maintenant presque habituel. Elle se pencha rapidement, souleva ses pieds un à un et se redressa en donnant sa culotte à Orane.
— Merci Mademoiselle de continuer de me dresser et de me laisser le cul nul toute la journée.
— Humm c’est bien ma chérie !!!OOHH que je suis contente ! Je suis sure que je vais réussir à faire de toi une parfaite esclave ! J’avais encore une fois raison, salope ! Elle est déjà mouillée !! Tu es vraiment une sacrée perverse !!
— Bon, et maintenant ma chienne, j’en fais quoi de cette culotte de bonne sœur là ! Parce qu’en plus d’être inutile, reconnais que ce n’est pas une culotte adaptée à une salope de ton rang non ?
— Il me vient une idée !!! –Viens suis moi, dépêches toi, on n’a pas beaucoup de temps !! Les deux jeune filles pressèrent le pas et arrivèrent devant la partie arrière du lycée.
— Tu vois en passant par la porte des livraisons, on va pouvoir entrer avant que les portes ne s’ouvrent ! Orane pris la main de sa soumise et elles s’engouffrèrent dans un dédale de couloirs
— Regarde ! Tu reconnais ? dit Orane en riant et en ouvrant une porte donnant sur le couloir des vestiaires de la salle de sport
— C’est là que tu as fait tes débuts de salope !! Et c’est aussi là que tu as fait la truie devant toutes les copines de la classe !!! Je suis bien certaine que tu n’as rien oublié !!! Elle poussa sa soumise dans le vestiaire dans lequel elle l’avait surprise quelques mois plus tôt et sortit son portable.
— Déshabilles toi ma chérie ! Entièrement bien sûr !!
— Mais... Mais Mademoiselle je…si quelqu’un vient…
— Arrête de geindre tout le temps ! Et obéis ! Je te rappelle que tu as déjà une punition en attente, n’aggrave pas ton cas bêtement idiote. Tu t’imaginais quoi ? Qu’après ce dimanche mémorable tu allais être tranquille ? Tu rêves ! Tu es à moi jusqu’au bac, tu le sais alors tu obéis…
— Mais comme je suis bonne tu peux garder tes chaussures !!, se moqua Orane en riant aux éclats.
Pendant que Laure retirait un à un ses vêtements, Orane filmait.
— Bien. Montre-moi ton intelligence Laure. Tu te souviens de cette position que je t’ai apprise au début de ton dressage ?
— Ou...oui mademoiselle je… oui. Laure comprenait qu’une nouvelle séance d’humiliation commençait pour elle. Elle se retourna, se pencha en avant, et de ses mains ouvrît en grand ses fesses. Elle exhibait ainsi à sa maitresse sa fente déjà mouillée et son anus.
— Dis-moi, ma chérie, comment appelle-t-on une fille qui a subit ce que tu as subit hier ?
— je… Je ne sais pas Mademoiselle, je… une… une salope ?
— Mais non !! Pauvre idiote ! Tu étais déjà une salope bien avant de revoir Richard hier voyons !! Allons, cherche! Je suis sure que tu vas trouver !
— Une…une enculée Mademoiselle
— Je suis désolée, je n’ai rien entendu ma chérie dis le plus fort !!
— UNE ENCULEE !
— OUIIIII voilà c’est ça ! Tu as trouvé et comme il n’est pas question que tu l’oublies, je vais te faire un aide-mémoire ! Ne bouge surtout pas !
Laure entendit Oran fouiller dans ses affaires, puis revenir vers elle.
— Surtout ne bouge pas ! Je veux faire ça bien.
Dans l’instant elle sentit la pointe épaisse d’un gros feutre-marqueur glisser sur la peau de sa fesse gauche. Orane prit tout son temps pour écrire, puis alla chercher une règle dans sa trousse avec laquelle elle s’appliqua à dessiner un cadre parfait autour du mot. Elle se redressa satisfaite.
— OUUIII superbe ! C’est beaucoup plus joli que la fois où j’avais écrit PUTE ! Tu te souviens ? On dirait que tu as été tamponnée après avoir été testée !!! Bon maintenant que ça c’est fait, nous allons pouvoir ranger cette horrible culotte ! Tu devines où ma chérie ??
En disant cela, elle faisait aller et venir ses doigts le long de la fente et de la raie de sa soumise. Laure frémissait d’inquiétude, mais son corps la trahissait déjà... Sa maitresse ne pouvait quand même pas lui imposer ça toute la journée…
— Je… Je ne sais pas Mademoiselle je… ooohh s’il vous plait pas là pendant la journée s’il vous plait.
Deux grandes claques sonores atterrirent sur les fesses de Laure qui sursauta en gémissant.
— Tu n’as en aucun cas à me dire ce que je dois faire ou pas !!! C’est compris ??? Tu te contentes de répondre à mes questions tu es juste bonne à ça !!!
Une nouvelle claque arriva sur le jolie fessier de la soumise.
— Alors ?? Je la range où cette culotte ???
— Dans…. Dans mon cul Mademoiselle…
— Bien sûr dans ton cul pauvre idiote!!!
En disant cela Oranne posa le tissus blanc sur le petit orifice de sa soumise, et de son index tendu commença à pousser.
— Cesse donc de couiner comme une truie stupide salope ! C’est beaucoup moins gros que ce que tu as pris hier !!!
Quand son doigt fut entré assez loin, Orane le retira et recommença l’opération jusqu’à ce que la culotte fût assez enfoncée pour tenir en place.
— Voilà !!! Tu es très bien comme ça !! C’est superbe ma chérie ! Redresses toi, cambres bien ton cul de salope et mets tes mains sur la tête pendant que je te filme !
Sa soumise prit la pose exhibant ainsi son cul décoré par ce jolie tag insultant et orné de sa culotte. Se maudissant de sa faiblesse, de son incapacité à se révolter, et du plaisir qui grandissait en elle. Maintenant Orane faisait un nouveau film d’elle accroissant encore son emprise !
— Allez viens, ta dernière épreuve de la journée !! Avances dans le gymnase. Tu vas me faire 2 tours de la salle de gym en courant ! Oui oui comme ça à poil ma chérie ! Avec ta culotte de grand-mère plantée dans le cul et je vais faire un jolie film !!! Ah oui j’oubliais je veux voir un grand sourire sur ton visage quand tu passes devant moi !! Sinon tu recommences !! Allez vas-y cours ma salope !!!
La peur au ventre d’être ainsi découverte Laure commença à courir. Elle sentait la culotte contre ses fesses. La voix de sa maitresse raisonna en lui demandant d’accélérer pour voir ses grosses loches de balancer encore plus ! Comme un automate elle obéît. Le gymnase était grand, et très vite ses gros seins lourds la firent souffrir.
— Tu as gagné un tour de plus pauvre idiote je t’ai dit de sourire en grand !!
Au passage suivant Laure arborait un immense sourire… Quand elle s’arrêta près de sa maitresse elle était toute rouge et essoufflée. Orane vint près d’elle, lui caressa les fesses puis passa sa main entre ses cuisses.
— J’étais sure que ça allait t’exciter de t’exhiber à poil comme ça trainée ! Tu es trempée !! Files te rhabiller et tu laisses la culotte où elle est compris ?
— Oui mademoiselle. Et je vous remercie de me permettre de m’exhiber comme ça.
Penaude, Laure alla se rhabiller. Quand elle repassa dans le gymnase, mademoiselle n’était bien sûr plus là. La culotte était très désagréable à porter comme ça et faisait apparaître une bosse aussi suspecte que disgracieuse sous sa jupe droite. La journée allait, encore une fois, être très longue pour la jeune déléguée de classe.
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