Jeudi 12 janvier 4 12 /01 /Jan 19:34

Chapitre 4 : Dans le bureau de la Directrice

 

Après m'avoir fait remettre debout, mon implacable  gardienne « réajusta » ma jupe et mon chemisier, c'est à dire qu'elle s'assura que ma jupe était bien enroulée autour de mon ventre, coincée par le cordage qui m'enserrai, me mettant ainsi cul et chatte à l'air, et que mon chemisier était bien ouvert mettant ma poitrine à nu!

 

Cette vérification faite, elle me poussa vers la porte en lançant: « direction le bureau de la Directrice ma salope! ».

 

J'avançai sans résistance, sachant que cela ne ferait qu'aggraver mon cas.

 

Perverse jusqu'au bout, ma gardienne m'obligea à passer par les ateliers ou mes compagnes de détention empaquetaient des godes à longueur de journée afin de bien m'exhiber. Chatte rasée, je ne pouvait pas leur cacher grand chose de mon anatomie!

 

Arrivée devant le bureau de la directrice, la gardienne me fit ouvrir la porte et me donna un coup de pied dans l'intérieur du genou droit. Cela me coupa mes forces et je tombai aussi sec, me retrouvant sur les genoux et les mains.

 

«Cela va t-aller beaucoup mieux d'entrer à quatre pattes que debout! », me jeta-elle à la figure.

 

Soumise, j'avançai, tête baissée, vaincue.

 

J'entendis alors  la voix de la Directrice: « Ah, voilà enfin notre petite Carole! »

 

Elle m'attendait donc!

 

« Mon Dieu », lui répondit une voix féminine.

 

Mon sang se glaça en reconnaissant cette voix fluette et mielleuse. Une boule dans la gorge, je relevai la tête, saisie d'un vertige et eu confirmation de mes craintes: c'était ma belle mère qui discutait avec la Directrice! Des larmes de honte et de frustration me vinrent aux yeux.

 

Marjolaine! Une petite grue d'à peine 24 ans, qui avait mis la main sur mon père il y a moins d'un an, se mariant avec lui dans le mois ou elle le connu! Rien qu'à la voir, on comprenait par quel moyen: 1m78, rousse flamboyante, Marjolaine était mince mais avait une très forte poitrine (encore plus forte que la mienne) et un cul bien rebondi! Le tout, comme d'habitude était mis en valeur par une tenue que n'aurait pas reniée une pute professionnelle: une robe moulante ultra courte en stretch violet qui lui arrivait au ras des fesses, dévoilant ainsi la totalité de ses cuisses nacrées, au décolleté en U qui faisait pigeonner outrageusement ses gros seins. La robe lui donnait un air encore plus « pute » qu'à l'habitude: elle n'arrivait même pas à couvrir ses gros mamelons roses et les seins donnaient l'impression de vouloir bondir en dehors de leur fragile prison. On devinait parfaitement qu'elle ne portait pas de soutien gorge, et comble de l'indécence, comme Marjolaine décroisa les jambes à mon arrivée, je pu constater qu'elle ne portait pas de culotte non plus: la robe était tellement courte que j'eus en effet vue sur son sexe aux grandes lèvres roses proéminentes à peine couvert d'un léger duvet de poils roux.

 

Dès que mon père me la présenta, je senti la garce intégrale et la profiteuse, et la détestai de suite. Ayant deviné mes sentiments, elle me le rendait bien!.

 

« J'étais venue vérifier que le traitement subi par Carole n'était pas trop dur . . . mais ce que je vois là dépasse tout ce que j'aurai pu craindre: qu'elle humiliation, qu'elle indécence! Comment justifier cela Mme la Directrice? », reprit ma belle-mère.

 

Et il est vrai, qu'a genoux, le cul et la chatte rasée à l'air, les fesses marbrées par les coups de ma gardienne, les mamelles pendantes, les yeux baignés de larmes, tremblante de honte et de frustration, je ne devais pas être un modèle de décence!

 

« Ne tirez pas de conclusions trop hâtives Mme, je me porte garant de mon personnel, et je suis certaine que si votre belle-fille est traitée de façon aussi humiliante, c'est qu'il doit-y avoir une bonne raison! », argumenta la Directrice.

 

« Tout à fait Madame! », reprit ma gardienne. « J'ai du sévir suite à une tentative de corruption caractérisée de la détenue en vue d'échapper au juste traitement qui lui est  appliqué et ce après qu'elle se soit montré particulièrement odieuse avec sa meilleure amie venue prendre de ses nouvelles! »

 

« Ce n'est pas possible! », s'exclama Marjolaine.

 

« Vous voyez! », constata la Directrice. « Pour ce genre de comportement, je suis intraitable! Je le serai d'autant plus pour Carole! Car je ne vous le cache pas, cette jeune femme à clairement perdu tout repère d'autorité, d'où ses problèmes. Mais heureusement pour elle, dans cet établissement, les détenues subissent une peine de prison, mais aussi une rééducation complète. Notre objectif est de leur faire comprendre que dans notre monde, il y a ceux qui commandent et ceux qui obéissent, les dominants et les dominés, dans le champs du travail comme dans le champs familial. Nous leur ré-inculquons les valeurs! . . . Ainsi, dans cet établissement, je commande, mes gardiennes commandent et les détenues obéissent. Dans l'entreprise, l'employeur commande, les salariés obéissent Dans la famille, les parents commandent, les enfants obéissent Sorti de là. . . . »

 

« Je partage totalement cette conception Mme la Directrice! », reprit ma belle-mère.

 

« Alors pourquoi votre belle-fille s'est-elle retrouvée à voler des sou-vêtements? », questionna t-elle.

 

« Vous me prenez au dépourvu Madame », minauda Marjolaine. « . . . c'est que mon mari n'est pas de cet avis. . . Pour ne rien vous cacher, il lui passe tous ces caprices . . . Alors qu'une ou deux fessées énergiques auraient sans doute suffi à éviter ces dérapages »

 

« Oui, une bonne fessée cul nu en présence de la famille est souvent le meilleur moyen pour recadrer une jeune fille puis une jeune femme récalcitrante », reconnu la Directrice. « . . . mais nous n'en sommes plus là! Nos punitions vont devoir être autrement plus sévères et humiliantes pour porter leurs fruits! »

 

Marjolaine lâcha un soupir théâtral.

 

« Si c'est pour le bien de ma belle-fille, je ne peut faire rien de plus que m'en remettre à vous Mme la Directrice », dit-elle.

 

« Mais vous pouvez faire bien plus Mme! Pour faire gagner nos punitions en efficacité et ainsi gagner du temps, vous pouvez nous préciser ce que craint le plus votre belle fille! », lança la Directrice avec le sourire.

 

« Si c'est pour son bien . . . je peux vous préciser qu'elle a une peur bleue des châtiments corporels, puisqu'elle n'en a jamais reçue », lâcha ma rouquine de belle-mère, qui rêvait visiblement que l'on me tringle le cul.

 

« L'information est importante », convint la Directrice.

 

« Elle a aussi une peur bleue de se faire sodomiser! », ajouta ma gardienne.

 

« Les punitions pourrons aller jusque là? », s'étonna Marjolaine.

 

« Madame, nous sommes en présence d'une tentative de corruption! Je crains qu'elles pourront donc aller jusque là! », arrêta la Directrice.

 

« Evidemment. Dans ce cas, je dois confirmer cette phobie: Carole refusait même catégoriquement à son petit ami de la sodomiser! . . . La vue du cul de ma belle fille le mettait parfois dans de tels états que j'ai du accepter qu'il se soulage dans le mien! »

 

J'étais suffoquée. D'abord d'entendre ma belle mère avouer que mon petit ami l'avait enculé à plusieurs reprise. Puis de l'avouer devant moi, comme si je n'existai pas!

 

« C'est tout à votre honneur Madame! Un homme non satisfait est un homme prêt à tous les excès! »

 

« Enfin, pour être complet, elle déteste les lesbiennes: elle  a coupé tous les ponts avec sa tante dès qu'elle a appris qu'elle était une lesbienne, chef d'un réseau de prostitution de jeunes adolescentes des pays de l'est, alors que c'est une jeune femme tout à fait charmante, qui a la main sur le coeur et toujours prête à partager! »

 

« Et ce qui de plus n' a rien de répréhensible depuis que la prostitution a été légalisée! », commenta la Directrice en souriant à pleines dents.

 

« Fouttez-moi cette salope à poil! », lança t-elle à la matonne.

 

Implacable, cette dernière m'arracha mon chemisier puis ma jupe, mettant mes charmes opulents totalement à nu.

 

La Directrice se leva, ouvrit un tiroir de son bureau et en sortit un grand morceau de cuir noir

 

Elle se dirigea vers moi et m'enjamba, se plaçant sur mon dos.

 

Je compris alors que le morceau de cuir était en fait un corset: elle le plaça sur mon ventre et noua les lacets. La Directrice serra tellement fort qu'elle me coupa le souffle. Le corset emprisonnait mes seins et les faisaient pigeonner outrageusement, laissant les mamelons découverts. Ma taille était tellement serrée que j'imaginais sans peine mon cul ressortir de façon obscène!

 

La Directrice se releva, ouvrit un autre tiroir d'un meuble situé dans mon dos et revint. Je sentis le contact du plastic sur mon anus, mais je n'eus pas le temps de réagir. L'implacable femme poussa ce qu'elle avait en main de toute ses forces. Le plug anal, car il s'agissait bien de cela, pénétra dans mon rectum d'une seule traite. Je poussais un cri de douleur déchirant sous l'atroce douleur. Mon corps se couvrit de chair de poule. J'essayais d'expulser le corps étranger de mon cul, mais il ne voulait pas ressortir: de forme conique, il était coincé!

 

La Directrice me décocha une grande claque sur les fesses.

 

« Voilà ma belle! Toi qui n'aime pas te faire enculer, te voilà servie! », me railla t-elle.

 

La Directrice repartit et revint quasi de suite.

 

Elle me plaça alors un collier de cuir autour du cou, qu'elle serra à me rendre la respiration difficile, puis me ficha une boule dans la bouche. La boule était fixée à 2 sangles qu'elle m'attacha derrière la tête.

 

« Mon Dieu! », s'exclama Marjolaine! « Elle est totalement obscène! »

 

« Totalement en effet! », confirma ma tortionnaire.

 

Puis, se tournant vers la matonne, elle ajouta: « Allez, baladez là à 4 pattes dans toute la prison! Je veux que toutes les filles la voient comme ça! Vous pouvez les laisser la plauter à loisir! Si elle minaude, cravacher lui son gros cul ou ses nibards! Une fois le circuit terminé, vous la mettez au mitard et vous m'appelez! »

 

La matonne accrocha à mon collier une laisse en métal et me lança: « allez pouffiasse, vient faire de l'exercice! »

 

Ma jeune belle-mère se leva alors et vint près de moi. Me regardant dans les yeux, elle me dit: « Carole, soit soumise et obéissante! Obéit en tout à Mme La Directrice! Elle sait ce qui est bien pour toi. Même si les punitions te paraissent dures, elles te permettront de revenir sur le droit chemin! »

 

La garce était collée à moi. J'avais son odeur musquée de rousse plein les narines!. Ses seins ballottaient devant mes yeux. Sa robe était tellement remontée que j'avais vu sur sa moule suintante.

 

Ligotée, bâillonnée, corsetée, exhibée nue comme un objet, bourrée d'aphrodisiaque, l'excitation montait en moi de façon irrésistible! Ma belle mère me faisait mouiller alors que je la détestais!

 

La matonne me tringla le cul pour me faire avancer.

 

J'obtempérais de suite afin de ne pas prendre de nouveaux coups.

 

Du coin de l'œil, je vis Marjolaine se relever et la Directrice se rapprocher d'elle. Il me sembla voir la main de cette dernière se poser sur le cul de ma belle-mère, mais comme la matonne me fit sortir du bureau à cet instant je ne pu en être certaine.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Les malheurs de Carole, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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