Allie et Nicole, par Annie The Slick

Vendredi 12 décembre 5 12 /12 /Déc 19:24

Chapitre 28 : La leçon de tennis de Lauren.

 

 

… Suite du chapitre Coquette & Lauren…

 

 

 

Ce n’était pas avant d’avoir descendu la moitié de l’escalier principal qu’elle réalisa qu’elle ne portait pas de culotte.

 

Elle se figea, se retourna et remonta deux marches, s’immobilisa et fit demi-tour à nouveau. Elle ne pouvait pas retourner en arrière maintenant, pas après ce qui venait de se passer. Elle se jura à elle-même que ça ne se reproduirait plus.

 

Sa belle-mère n’allait pas gagner comme ça !

 

Il était hors de question qu’elle accepte ce mariage avec Tawnee Cantrell. Elle n’était pas lesbienne.

 

Vraiment ?

 

Elle descendit une nouvelle marche, s’arrêta à nouveau et regarda derrière elle. Alors, elle prit son courage à deux main, dévala le reste des escaliers et courut vers la porte d’entrée. L’air lui sembla frais lorsqu’il se faufila contre son sexe encore humide.

 

Elle fit le tour de la maison, dépassa la piscine, traversa le grand jardin et contourna le labyrinthe que formaient les haies de houx qui entouraient les courts de tennis. Elle remarqua que Sonya Jameson, sa monitrice, était déjà là et échangeait quelques coups avec la machine à balles.

 

La jeune fille arrivait devant la grande porte grillagée lorsqu’elle se contraignit à ralentir. Elle venait de se rendre compte que le souffle du vent faisait virevolter sa jupe de tennis et exposait ses fesses nues à la vue de tout le monde. Elle tenait à ce que le cours se déroule sans anicroche.

 

En ouvrant la barrière métallique, elle constata que Sonya n’était pas seule. Évidemment, Tawnee lui tenait compagnie. Cette dernière portait une jupe de tennis et un polo blancs et lui adressa un sourire lubrique. Elle était dans la meilleure position pour l’union qui se préparait entre les Cantrells et les Jacobs. Elle aimait les filles et avait tenté plusieurs fois de séduire Lauren, espérant en tirer une aventure prénuptiale. Elle fit une boule avec son chewing-gum et souffla pour la faire éclater.

 

— Salut cocotte. Lança Tawnee en esquissant un sourire moqueur devant la détresse manifeste de Lauren.

 

— Salut. Répondit Lauren.

 

Elle était encore plus consciente de sa nudité, uniquement protégée des yeux de Tawnee par quelques centimètres de tissu. L’adolescente eut le sentiment que son interlocutrice savait qu’elle était nue sous sa jupette et que ce n’était qu’une question de temps avant qu’elle puisse écarter les lèvres de son sexe et y glisser sa langue.

 

— Bonjour Lauren, prête pour ta leçon ?

 

C’était la voix de Sonya. Elle interrompit la transe dans laquelle la jeune fille se trouvait.

 

— Hmmm… Hein… Les mots peinaient à sortir de la gorge de la petite blonde.

 

— On dirait que tu es un peu congestionnée Lauren, tu te sens bien ? Demanda-t-elle en s’approchant de l’adolescente pour passer un bras autour de ses épaules.

 

Oui, oui je vais bien. Répondit Lauren tandis que son regard se braquait à nouveau sur sa "fiancée".

 

— Ok, si tu en es sûre. Dit la monitrice rousse. Commençons par quelques échauffements. Incidemment, l’adolescente se dit que sa prof avait autre chose que le tennis en tête lorsqu’elle prononça le mot "échauffements".

 

Elle demanda à Lauren de se placer sur le côté droit du cours et à Tawnee de se tenir en retrait derrière elle pour observer et lancer la machine.
Lorsque la première balle traversa le filet, l’adolescente effectua maladroitement un coup droit qui manqua de beaucoup son objectif tant elle était occupée à ne pas exhiber ses fesses nues à Tawnee.

 

— Voyons Lauren, force-toi un peu. La réprimanda Sonya.

 

La jeune fille ne rata pas la balle suivante, mais la frappa mollement, préservant sa pudeur du mieux qu’elle pouvait.

 

— C’était un peu mieux, mais ton retour doit-être plus puissant. Pense à avancer vers la balle et redresse tes épaules.

 

La troisième balle partit avant qu’elle soit prête. Lauren s’élança avec toute son énergie et la fouetta fortement. Le coup porta sur le bord de la raquette et s’envola au-delà des limites du terrain. Dans le même temps, sa mini-jupe s’était soulevée, offrant une vue imprenable aux deux femmes.

 

Elles échangèrent un regard entendu.

 

— Passons à un panier complet.

 

La monitrice fit travailler son élève intensément, appréciant les visions fugitives de peau dénudée que Lauren n’arrivait plus à cacher à chaque coup de raquette qu’elle donnait. Elle poussa l’adolescente à bout et celle-ci fut rapidement couverte de transpiration. À force de courir après les balles, elle pouvait sentir la sueur ruisseler le long de son dos, se frayer un chemin le long de la raie de ses fesses et dégouliner à l’intérieur de ses jambes.

 

— Bon, ça suffit pour le moment Lauren, tu peux prendre une pause. Dit Sonya. Et merci pour le spectacle.

 

L’adolescente rougit profondément et alla se réfugier sur le banc pour se désaltérer.

 

Ce fut le tour de Tawnee. Sonia la fit travailler raisonnablement, sans excès. Le rythme était beaucoup moins intensif que celui auquel elle venait de soumettre Lauren.

 

Après ça, elles prirent une pause. Tawnee attrapa son sac à dos, fit un clin d’œil à Sonya et se dirigea vers la petite dépendance qui jouxtait les cours de tennis.

 

Lauren n’eut pas le loisir de souffler plus longtemps. Sonya la fit à nouveau travailler, en tête à tête cette fois.

 

La monitrice se plaça dans son dos afin de la guider dans son coup droit. Elles étaient l’une contre l’autre, presque collées et Sonya se pencha sur son oreille et déclara doucement.

 

— Voilà comme ça, des coups longs et profonds.

 

L’adolescente pouvait sentir sa petite jupe frotter contre les hanches de sa prof.

 

— Il faut accompagner le mouvement avec tes hanches, lorsque tu frappes dans la balle.

 

Tout en donnant ses explications, Sonya avait délicatement posé une main sur les hanches de son élève. Ce contact anodin fit pourtant frémir Lauren, en effet la main avait en fait glissé sous sa jupe, sur sa peau nue… Tout près de ses fesses…

 

Son nez frotta contre le cou de l’adolescente et elle la plaqua étroitement contre elle.

 

— Tu dois être drôlement en chaleur pour sortir sans petite culotte. Chuchota-t-elle.

 

Sa main se déplaça vers les cuisses humides de la jeune fille, effleurant quelques poils pubiens.

 

— Tu recherches peut-être des émotions fortes ?

 

— Non. Répondit Lauren en essayant de se libérer.

 

Mais Sonya avait passé son autre bras autour de sa taille, le maintenant fermement.

 

Un mouvement attira l’attention de la jeune fille, Tawnee revenait de la petite dépendance. Il y avait quelque chose de bizarre sur le devant de sa jupe.

 

Tawnee se rendit compte que Lauren la regardait. Un sourire malsain se dessina sur ses lèvres, tandis qu’elle relevait sa jupe.

 

Lauren haleta, sa "fiancée" portait un godemiché ceinture à la taille, un énorme phallus artificiel noir qui pointait vers elle d’un air menaçant.

 

Elle comprit immédiatement à quoi il allait servir, à quelle foufoune il était destiné : La sienne.

 

Elle se mit à se débattre furieusement pour échapper aux bras de Sonya, lâcha sa raquette et détala vers la porte qui se trouvait à l’opposé.

 

Tawnee poussa un cri et s’élança à sa poursuite.

 

Lauren s’enfuit à travers le labyrinthe de houx. Elle courut à perdre haleine, espérant semer sa prétendue fiancée. Droite-gauche, gauche-droite, désorientée, à bout de souffle, elle fit une halte, effrayée. Elle avait l’impression de tourner en rond et la panique commençait à la gagner.

 

— Je t’entends ma chérie ! Lança Tawnee quelques haies derrière elle.

 

Lauren poussa un cri et reprit sa course effrénée.

 

— Je vais te faire ta fête ! La railla à nouveau Tawnee en riant vicieusement.

 

Éperdue, Lauren courut. Gauche, gauche, elle était presque sûre de savoir où elle était maintenant. La sortie ne devait plus être loin, plus qu’un virage à gauche et un à droite. Elle passa l’angle de la haie et… OH NON !!! Une impasse !

 

Elle regarda derrière elle… Tawnee l’avait rejointe et bloquait le passage. Elle était PIÉGÉE.

 

— Maintenant, je te tiens, ma petite fiancée chérie.

 

Et Tawnee se jeta sur elle, la plaquant au sol. Le souffle coupé, elle cessa de lutter quelques instants. L’autre en profita pour la faire rouler sur le ventre et lui tira les mains dans le dos, les attachant étroitement avec une corde qu’elle avait dans son sac à dos.

 

Lauren était à sa merci. Elle se redressa en observant sa victime impuissante.

 

Sadiquement, elle appuya son pied au milieu du dos de l’adolescente, la clouant fermement sur place, tandis qu’elle écartait sa jupe, exhibant l’énorme godemiché noir qui pendait sur son bassin.

 

— Ma mère m’a dit que je ne pouvais pas faire l’amour avec toi tant que nous n’étions pas mariées, mais ça ne veut pas dire que je ne peux pas me servir de ton petit trou !

 

Le poids de Lauren appuyait sur ses épaules, sa joue était plaquée sur le sol et une feuille de houx piquait douloureusement sa chair tendre. Elle était incapable de se libérer de la pression que Tawnee, plus forte qu’elle, exerçait sur son dos avec sa chaussure de tennis. Celle-ci sortit de son sac un tube de lubrifiant dont elle enduisit le phallus artificiel pour le préparer à la pénétration.

 

L’adolescente essaya de tourner son visage vers sa persécutrice, mais elle ne réussit qu’à égratigner encore plus sa joue.

 

— Tawneee ! Ne fait pas ça s’il te plaît, tu n’as pas le droit !

 

Mais l’autre ignora ses protestations et rabattit sa jupette sur ses reins, mettant à jour le derrière virginal de la jeune fille, au sein duquel se tapissait le petit anus qu’elle convoitait. Elle expédia un peu de lubrifiant entre les fesses de l’adolescente qui se cabra au contact du gel froid, mais ne put échapper au pied implacable de sa "fiancée".

 

— Tawnee, je t’en supplie ! Je ferai ce que tu voudras, je sucerai même ta foufoune si tu veux mais s’il te plaît pas ça !

 

La "fiancée" de Lauren donna nonchalamment un coup de pied entre les genoux de sa victime pour les écarter et se plaça de façon à ôter à Lauren toute possibilité de lui échapper. Elle s’agenouilla entre ses cuisses et appuya fermement sa main gauche sur la nuque de l’adolescente tandis qu’elle présentait l’engin contre son anus sans défense. Celui-ci était se contractait convulsivement dans une tentative dérisoire pour échapper à la pénétration.

 

Puis l’énorme godemiché entra en contact avec la petite ouverture plissée. Lauren la suppliait désespérément maintenant.

 

— Non Tawnee, je t’en supplie non… NON !!!

 

Le gland de son phallus artificiel força littéralement le sphincter de sa future, l’écartelant légèrement. Elle fit une pause à l’entrée pour laisser le temps aux muscles de s’habituer à la présence de l’intrus.

 

— NON NON NON NON s’il te plaît Tawnee !

 

— Je te baiserai tous les jours quand nous serons mariées.

 

Et elle poussa fermement, enfonçant le gland plus profondément dans le rectum qui fit un "plop" audible lorsque le godemiché franchit sa barrière.

 

— AAAIIIIEEEeee !!!! Cria Lauren au même moment.

 

Tawnee s’immobilisa à nouveau. La tête du phallus était maintenant entièrement insérée dans l’anus de l’adolescente.

 

— Tu me sens bien ? Dit-elle en claquant la fesse droite de la jeune fille.

 

Et, dans le même temps, elle s’enfonça de quelques centimètres supplémentaires.

 

— WOOuaaah !!! Ooooh !! NOOOONNNN ! ARRÊTE !

 

— Ton cul m’appartient. Je m’en servirai à chaque fois que je le désirerai. Ma mère s’en moque du moment que tu restes vierge.

 

Tawnee s’appuya plus fort contre le bassin de sa future réticente et introduisit le godemiché d’une dizaine de centimètres dans l’anus virginal de Lauren.

 

— Et c’est ta mère qui m’a offert ce gode ! Dit-elle en s’enfonçant encore plus profondément.

 

— OOOUUUAAAILLLE !! Hurla Lauren. STOPPE ÇA !!! OUUUUHHH !! AAAHHHH !! NON ! NON ! Ressors-le s’il te plaît.

 

— OK, s’il n’y a que ça pour te faire plaisir…

 

Tawnee fit marche arrière jusqu’à ce que le gland soit presque ressorti et, d’un seul coup, se renfonça aussi rapidement que possible, écrasant le corps martyrisé de tout son poids.

 

Elle avait poussé le godemiché juqu’à la garde.

 

— OUUUHHMMmm ! Fut le seul mot que Lauren parvint à prononcer.

 

Tawnee se retira lentement et s’enfonça une nouvelle fois jusqu’à la garde.

 

D’une voix rayonnante, elle déclara.

 

— C’est tout ce que tu mérites : Mon godemiché au plus profond de ton petit cul de salope !

 

Elle se retira et se mit à donner quelques coups de reins moins appuyés.

 

Lauren se mit à pleurer, hurlant à chaque poussée :

 

— AAAHHH !! OOOHHH !!! HHHMMM !! Aaahhh ! Ooohhh ! POURQUOI ? AAAHHH !!! HHUUNNHHH !!! Hhhmmm !

 

C’est à cet instant que Soraya apparut au coin de la haie. Elle s’approcha des deux adolescentes et s’immobilisa pour les contempler.
Lauren avait recommencé à augmenter la cadence de ses coups de reins et le phallus artificiel était clairement visible entre les fesses de Lauren.

 

— Ahh ! Ahh ! Ahhh ! Ahh ! Oohh ! Noonnn ! Aahhh !

 

Les protestations de Tawnee s’étaient affaiblies et s’accordaient au rythme du phallus qui allait et venait entre ses fesses.

 

— On y est presque !

 

Le rythme imposé par Tawnee était devenu intensif. Elle bougeait son bassin aussi vite que possible, s’agitant frénétiquement dans l’anus de sa victime.

 

— C’est ça petite pute, avale bien ma bite !

 

Lauren s’était écroulée sur le sol. Ses membres se détendaient et elle fut bientôt étendue complètement à plat, jambes et bras écartés, résignée. Sa "fiancée" agenouillée à califourchon sur son derrière la pilonnait avec la dernière énergie.

 

— OUUAAIS ! PRENDS-ÇA !! Prends-ça espèce de petite bêcheuse vicieuse.

 

Sonya glissa sa main dans sa culotte rendue humide par la transpiration et caressa doucement son pubis. Elle mouillait déjà. Incapable de se contenir, elle fit glisser sa culotte sur ses jambes et s’approcha des deux adolescentes. S’accroupissant près de Tawnee, elle se reput un moment du viol de son élève.

 

Lorsque Tawnee prit conscience de sa présence, elle déclara.

 

— Va devant et sers-toi de sa bouche, elle n’est pas occupée. Et elle sourit machiavéliquement.

 

Sonya s’assit dans l’herbe et passa ses jambes de part et d’autre de la tête de son élève. Sa position écartelée révélait son intimité luisante. Elle profita d’un sursaut de celle-ci pour l’attraper par les cheveux et soulever sa tête, la faire pivoter face à elle et glissa son bassin en avant jusqu’à ce que les lèvres de l’adolescente soient en contact avec ses parties intimes.

 

— Au travail, petite salope, tu sais ce que je veux.

 

Lauren ne put rien faire, sa monitrice se mit à frotter son sexe humide contre son visage.

 

— Allez ! Lèche-moi ! Ordonna la rousse.

 

Constatant le manque de réaction de Lauren, Tawnee interrompit sa chevauchée et se pencha en avant, approchant sa bouche de l’oreille de sa victime.

 

— Lèche là tout de suite si tu ne veux pas que je te donne une correction aussi sévère que celles de ta mère ou même pire !

 

Lauren sortit sa langue et fit ce qu’on lui imposait.

 

— Mieux que ça petite chienne ! Exigea Sonia.

 

— Allez Mademoiselle la petite salope, montre un peu plus d’entrain. Ordonna Tawnee en recommençant à aller et venir dans l’anus de Lauren.

 

La scène se poursuivit pendant une vingtaine de minutes : Tawnee par-derrière et Sonya par-devant. Puis, lorsque la rousse eut joui, les tortionnaires changèrent de place. Sonya s’équipa du godemiché ceinture et Tawnee offrit son entrecuisse ruisselant de sueur et de sécrétions à Lauren. Lorsqu’elles furent satisfaites, Lauren n’était plus qu’une masse inerte sur le sol. Son visage était souillé par l’herbe et les sécrétions des sexes qu’elle avait léchés, des griffures infligées par le houx maculaient son visage, ses cuisses et ses genoux. Incapable de bouger, elle gémissait. Son anus lui semblait être en feu et un sentiment de vide l’obsédait après que le phallus artificiel ait été retiré du creux de ses reins.

 

Avant de libérer l’adolescente, Tawnee lui fit nettoyer le godemiché avec sa bouche.

 

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Lauren vacilla en escaladant les marches qui jouxtaient la gigantesque terrasse sur laquelle la table du déjeuner avait été dressée. Elle n’avait pas envie de se rendre à la réception pour le moment. Tout ce qu’elle désirait, c’était de prendre une douche brulante et se débarrasser toutes les traces de viol qui souillaient son corps, se brosser les dents et faire disparaître le gout des sexes qui infectaient sa bouche et jeter ses vêtements qui empestaient le parfum de Tawnee.

 

— Lauren ! Je suis contente que tu te joignes à nous. Lança sa belle-mère lorsqu’elle arriva en haut des marches. Viens par ici s’il te plaît.

 

Assises à une table, Alex se tenait à côté de la future belle-mère de Lauren : Elizabeth Cantrell. Toutes les deux souriaient de toutes leurs dents.

 

— J… Je… J’ai vraiment besoin d’y aller et de prendre une douche après mon cours. Répondit Lauren.

 

— Ne dis pas de bêtises, en tant que ta "mère" j’insiste.

 

Elle tira la chaise située à côté d’elle. Matée, Lauren s’approcha. Lorsqu’elle fût plus près, Alex la dévisagea de la tête aux pieds.

 

— Tu as une mine affreuse, ma chérie, que c’est-il passé ?

 

— J… Je… Heu… Je me promenais… Et… Heu… Je suis tombée dans une haie de houx. Répondit-elle en s’asseyant délicatement sur la chaise.

 

Elle essaya de dissimuler la douleur qui torturait son anus en feu et de masquer sa nudité sous la mini-jupe.

 

— Est-ce que tu t’es amusée avec Tawnee ? Demanda-t-elle en ricanant. Je suis contente de voir que vous vous entendez mieux toutes les deux.

 

À ce moment, Tawnee apparut en haut des marches.

 

— Bonjour Alex, bonjour Maman.

 

Elle se dirigea droit sur Lauren, posa ses mains sur les joues de la jeune fille et, avant qu’elle puisse réagir, l’embrassa sur les lèvres avant de déclarer :

 

— C’était super dans le labyrinthe, merci pour tout.

 

Elle libéra le visage de Lauren qui ne put que baisser les yeux tant la honte la submergeait.

 

Les quatre femmes déjeunèrent et, pendant tout le repas, Lauren ne cessa de penser au phallus de Tawnee qui forait son derrière encore et encore…

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Vendredi 12 décembre 5 12 /12 /Déc 19:20

Chapitre 27 : Conspiration et revanche.

 

 

— Allez ! Debout la-dedans ! Dit Nicole en agaçant Allie du bout de son pied.

 

Allie se déplia, abandonnant la position fœtale dans laquelle elle dormait. Elle roula sur le dos et leva les yeux vers sa Maîtresse.

 

Nicole se leva et l’enjamba, splendide dans sa nudité. Allie fut frappée par la beauté et le maintien de la brune qui la surplombait, digne et fière de sa nudité. Elle avait les mains sur les hanches, un léger sourire sur les lèvres et son pubis était une invitation pour le futur et le présent de la jeune soumise.

 

Elle se souvint de quelques mots que lui avait soufflés sa Maîtresse quelques mois auparavant.

 

"Ce sexe que tu adoreras, dont tu rêveras en t’endormant, que tu nettoieras et dont tu prendras le plus grand soin".

 

Elle réalisa que l’essentiel de ces mots était réel aujourd’hui.

 

Nicole se pencha et attrapa le coin de la couverture légère qui couvrait son esclave. Elle tira et dénuda l’adolescente, révélant sa nudité et le collier enchaîné à la tête de son lit.

 

Elle connaissait ses obligations. Sa vie entière était régie par des règles claires et la numéro 16 l’astreignait à se masturber tous les matins. Elle écarta les jambes et commença à jouer avec son sexe, insérant son doigt entre les lèvres de sa fente sous le regard attentif de sa Maîtresse debout devant elle. Elle souleva le petit cadenas qui ornait le haut de son intimité et se mit à titiller son clitoris. Sa main recouvrait en partie le tatouage qui décorait son sexe imberbe. Rapidement, une humidité caractéristique se développa au sein de son sexe, lubrifiant ses muqueuses, lui permettant d’accélérer la cadence de ses caresses.

 

— Presse-toi ma fille !

 

Nicole s’impatienta, un sourire sadique au coin des lèvres. Ses yeux se gorgèrent de l’image que lui renvoyait la jeune fille qui s’activait, toujours enchaînée au lit. Dieu qu’elle était agréable à regarder, et à tourmenter…
Allie tirait de plus en plus fort sur le petit cadenas, elle avait récemment découvert que c’était un moyen infaillible d’arriver rapidement à ses fins. Elle lui donna de petites chiquenaudes qui le faisaient rebondir sur ses chairs déliquescentes, puis le fit tourner sur lui-même à une cadence de plus en plus frénétique jusqu’à ce qu’elle serre ses dents et jouisse dans une gerbe de plaisir. Elle n’avait pas quitté des yeux le corps sculptural de sa Maîtresse.

 

— C’est bien ma fille.

 

Nicole détacha la laisse de l’adolescente et l’entraîna vers la salle de bain pour qu’elle s’occupe de sa toilette.

 

Lâchant la laisse, elle s’assit sur la toilette pendant qu’Allie réglait la température de l’eau.

 

— Je t’attends jeune fille ! Déclara Nicole avec un sourire narquois.

 

Le cœur de la jeune fille s’accéléra, elle savait ce que sa Maîtresse allait exiger d’elle et elle détestait ça. Pourtant, elle serra les dents et s’approcha des toilettes, s’agenouilla entre les jambes de sa Maîtresse et pencha sa tête entre ses cuisses.

 

— Supplie-moi. Dit Nicole en baissant les yeux sur le visage d’Allie qui se trouvait à quelques centimètres de son entrecuisse.

 

L’adolescente avait étroitement fermé sa bouche et ses paupières étaient tellement crispées que Nicole pouvait les voir trembler. Ses adorables cheveux blonds pendaient jusque dans la cuvette.

 

— Supplie-moi de te pisser sur le visage.

 

Comme dans un rêve, Allie s’entendit parler. Elle ne pensait pas ce qu’elle disait mais l’idée d’en avoir fini au plus vite lui donnait des forces.

 

— S’il vous plaît Maîtresse, pissez-moi sur le visage.

 

— Puisque tu me demandes si poliment, je pense que j’aimerais que tu passes ta langue sur ma chatte d’abord. Lèche-moi.

 

Allie étira son cou et poussa sa langue contre le sexe de Nicole. Elle se mit à lécher consciencieusement. Elle savait comment mener sa Maîtresse au plaisir, cela faisait maintenant longtemps qu’elle avait perfectionné sa technique.

 

— Bien, maintenant continue à me lécher. Ne t’arrête surtout pas.

 

Le ton avait changé, s’était fait plus menaçant.
Allie savait ce qui allait se produire, elle se prépara, fermant les yeux du mieux qu’elle pouvait. La voix de Nicole la fit frissonner.

 

— Ca y est salope, ça vient.

 

À cet instant, l’urine gicla directement du méat urinaire, s’écrasant contre sa langue et son palais.

 

Elle fit pourtant ce qu’on lui avait ordonné et continua à lécher le sexe de sa Maîtresse pendant que le liquide jaune giclait à l’intérieur de sa bouche, éclaboussait ses joues et ses paupières, rebondissait contre sa langue en coulant le long de son cou et sur ses petits seins percés, trempant son corps et les carreaux froid du sol sous ses genoux. Incapable d’y échapper, l’adolescente dut en avaler une grande quantité et faillit vomir lorsque l’urine chaude de Nicole dégringola en cascade dans sa trachée, en ligne directe vers son estomac

 


Elle continua à lécher lorsque Nicole crispa ses muscles, projetant la pisse odorante sur sa soumise avec le plus de force possible.
Elle continua à lécher lorsque sa Maîtresse inclina sa tête vers l’arrière et poussa un cri de plaisir.

 

— Oh oouuuiii !!!

 

Elle continua à lécher lorsque le flot se tarit et se transforma en un petit filet.
Alors, Nicole attrapa son esclave par la nuque, retint le peu d’urine qui encombrait encore sa vessie et plaqua fermement sa bouche contre son sexe.

 

— Avale le reste, petite chienne.

 

Et elle relâcha une dernière fois son sphincter, dirigeant le dernier jet directement dans la bouche de son esclave, ne lui laissant d’autre choix que d’avaler la pisse qui envahissait son palais. Écœurée, Allie dut avaler l’intégralité du liquide salé au goût infecte en une seule gorgée.
Nicole appuya encore plus fort la bouche de l’adolescente contre son sexe et jouit d’un seul coup. Ses sécrétions intimes se mélangèrent à l’urine dans la bouche de la jeune fille qui continua à lécher sans s’interrompre. Un frisson parcourut le corps de Nicole lorsque son plaisir commença à retomber.

 

— Mon dieu ! Que c’est bon de pisser pendant que tu me lèches.

 

Elle libéra l’adolescente.

 

— Nous ferons ça plus souvent.

 

Allie toussa un peu et de l’urine se mit à couler de son nez, ses cils et son menton.
Sans autre manière, Nicole se leva, enjamba la jeune fille agenouillée à ses pieds et se dirigea vers la douche.

 

— Viens ici, salope. Tu nettoieras tes saletés plus tard.

 

Allie rampa sur les talons de sa Maîtresse. L’urine qui avait pénétré entre ses paupières la brulait mais elle était heureuse de pouvoir se glisser dans la douche avec Nicole. Cela lui permettrait au moins de se débarrasser de ce liquide nauséabond qui empestait sa bouche et le reste de son corps.

 

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Après le petit-déjeuner, Nicole fit revêtir sa tenue de gymnastique à Allie. Il s’agissait de son petit débardeur, qui ressemblait plutôt à un petit bas de bikini dont les bretelles passaient autour les épaules au lieu de la taille. Le triangle de tissu qui recouvrait son entrejambe aurait masqué le pubis d’une femme à condition qu’il soit taillé suffisamment court. Il recouvrait tout juste sa petite fente et montait juste au-dessus de de l’ornement qui perçait le capuchon de son clitoris. Mais cela n’était pas un problème puisque l’adolescente se faisait épiler deux fois par semaine par l’esthéticienne.

 

Ce qui l’inquiétait maintenant était son nouveau tatouage qui était clairement visible au-dessus de l’élastique de la petite culotte. Tout le monde pourrait lire les mots blasonnés sur la partie supérieure de son pubis : "Propriété de Maîtresse Nicole" et en dessous, les mots : "Pour femmes uniquement".

 

L’adolescente se rendit immédiatement compte à quel point ces inscriptions seraient visibles. Elle ne pouvait pas aller faire de gymnastique vêtue ainsi, n’importe qui saurait tout sur sa condition de soumise.

 

En guise de haut, Nicole lui fit mettre un minuscule tee-shirt qui était coupé juste au-dessus de ses aréoles. Le moindre mouvement exhiberait les pointes de ses seins à qui voudrait bien la regarder. Pour l’instant, les anneaux qui les perçaient se contentaient de pointer juste en dessous du haut du maillot.

 

Elle se dirigea vers l’entrée où Nicole l’attendait.

 

— Maîtresse, je vous en prie ! Je ne peux pas sortir dans cette tenue, tout le monde verra mes tatouages.

 

Nicole eut un sourire démoniaque.

 

— Idiote, elles n’ont pas besoin de lire quoi que ce soit pour savoir que tu es ma petite esclave lesbienne salope.

 

Elle s’empara de la main de la jeune fille et l’entraîna vers la voiture, ouvrit la porte de la place passager et y fit asseoir Allie.

 

Une fois assise au volant, elle révéla l’itinéraire à l’adolescente :

 

— Je dois passer au bureau ce matin. Je vais te déposer au salon, mais tu devras te débrouiller pour rejoindre le club de gym toute seule.

 

Elle se retourna vers Allie et lui fit un sourire.

 

— Je suis sûre que tu trouveras un moyen de te faire escorter jusqu’au club. Fais preuve d’imagination.

 

Elle s’arrêta de l’autre côté de la rue du salon d’esthétique et fit descendre Allie. Puis elle redémarra en trombe en lançant :

 

— À ce soir.

 

Sous le choc, Allie resta un instant immobile sur le bord du trottoir.

 

Tout le monde pouvait la voir. Mises à part les voitures qui circulaient, la rue était relativement vide. Elle fit une tentative pour traverser, mais un automobiliste qu’elle n’avait pas eu le temps de voir la klaxonna agressivement, la faisant battre en retraite.

 

Elle se décida à longer le trottoir. A chaque pas, son tee-shirt se soulevait en révélant ses seins nus. Elle l’attrapa par l’ourlet et le rabattit sur sa taille.
Le trafic était trop dense, il allait falloir qu’elle utilise les passages piétons. Dans l’espoir de cacher son tatouage, elle mit une main devant son entrejambe, tandis que, de l’autre, elle maintenait son tee-shirt en place. Elle trotta vers le coin de la rue aussi vite que possible, douloureusement consciente que son postérieur était nu derrière le minuscule rempart de nylon qui lui courait entre les fesses. Arrivée devant le passage, elle pressa sur le bouton de commande des feux et attendit impatiemment.

 

Frustrée par le décalage, elle l’enfonça plusieurs fois. Il fallait qu’elle aille se réfugier dans le salon le plus vite possible. À bout de nerfs, elle cogna sur le bouton plusieurs fois et ne remarqua pas la passante qui s’était arrêtée à côté d’elle.

 

— Mais qui voilà ? Ronronna une voix contre son oreille.

 

Au même moment, une main indiscrète pris possession de sa fesse nue. Allie sursauta et se retourna brusquement.
Maîtresse Jytte se tenait tout près d’elle, éblouissante dans toute sa perfection féminine. Elle portait un élégant ensemble gris avec un chapeau noir luxueux dont les larges bords n’éclipsaient pas les lunettes de soleil de marque qui voilaient ses yeux. La fragrance de son parfum exotique et dispendieux flottait jusqu’aux narines de l’adolescente.

 

— Bonjour Maîtresse Jytte. Répondit la jeune fille dont le cœur battait à tout rompre.

 

Maîtresse Jytte souria à Allie. Elle prit un peu de recul et contempla le derrière de l’adolescente. Puis, avec un regard qui ne souffrait aucune contradiction, elle replaça sa main sur sa fesse gauche. Cette fois, la jeune fille ne broncha pas et se soumit servilement au caprice de la femme.

 

— Tu vas au salon ce matin petite salope ? Demanda-t-elle nonchalamment, tout en glissant sa main sous la petite bande qui séparait les fesses d’Allie.

 

Allie n’arriva pas à se concentrer sur la question. Elle se comportait comme un chevreuil tétanisé par les phares de la voiture qui allait l’écraser. Elle se trouvait en pleine rue, pratiquement nue et cette femme lui caressait les fesses, à la vue de tout le monde.
Elle tenta de dire quelque chose, mais aucun son ne réussit à franchir la barrière de ses lèvres. La main de Maîtresse Jytte continuait à explorer ses fesses et ne s’immobilisa que lorsque son majeur se fraya un chemin entre les lèvres de son sexe. Elle resta comme ça, sans bouger, le doigt légèrement enfoncé au sein des muqueuses moites.

 

— Je t’ai posé une question petite lécheuse de chatte !

 

Le ton de la femme était devenu plus ferme et Allie sentit la menace qu’il faisait planer.

 

— Maîtresse, s’il vous plaît, il faut que j’y aille…

 

Elle sut que c’était la dernière chose à dire au moment où les mots franchirent ses lèvres.

 

Terrorisée par son audace, crispée au possible, elle se garda bien de protester lorsqu’elle sentit le doigt de la femme, si élégante, appuyer contre l’entrée de son vagin. Soudain ses défenses cédèrent et l’intrus fit son chemin au cœur de son intimité. Une première phalange, puis deux et enfin trois.
Elle gémit silencieusement, assommée par l’idée qu’une femme puisse la violer comme ça, en publique, sur un vulgaire trottoir.

 

— Réponds à ma question petite pute.

 

La voix était redevenue plus calme, glaciale, contredite par le sourire de la Maîtresse femme.

 

— O… Ou… Oui Maîtresse, j’y allais.

 

— Bien. Alors allons-y. Traverse devant moi, je te suis pour profiter du spectacle.

 

Commandé par Maîtresse Jytte, le feu des piétons était passé au vert. Elle retira son doigt et claqua sèchement sa fesse pour la décider à avancer.
L’adolescente se mit à marcher, consciente de la vue qu’elle offrait à l’autre femme : Ses fesses pratiquement nue sur lesquelles l’empreinte de la main qui la cuisait devait briller, bien rouge, comme un phare en pleine nuit. Elle n’eut même pas la présence d’esprit de la couvrir tant elle était occupée à préserver sa pudeur en masquant l’inscription qui ornait son pubis en tirant de toutes ses forces sur l’avant de son mini tee-shirt.

 

Elles finirent de traverser et remontèrent la rue en direction du salon.
Courant presque, Allie escalada les quelques marches et se réfugia à l’intérieur, loin des yeux indiscrets de tous les gens qui avaient du la voir.

 

Quelques pas derrière elle, Maîtresse Jytte entra à son tour en ricanant.

 

— J’ai adoré la façon dont tu fais valser ton petit derrière.

 

La réceptionniste leva les yeux.

 

— Ahhh, Allie, te voilà enfin, tu devrais aller tout de suite rejoindre Jackie, elle t’attend.

 

Telle une habituée, la jeune fille s’empressa de traverser la pièce dans laquelle on produisait des soins aux vraies femmes. Elle garda les yeux baissés tout le temps, faisant son possible pour éviter les regards réprobateurs, des clientes aux mains des stylistes et des manucures, qui se posaient sur elle.

 

Elle sentait l’air contre ses fesses nues, la confortant dans sa honte d’être nue. Le tissu de la petite culotte avait disparu depuis longtemps entre ses fesses, les exposant largement au regard des autres.

 

Une fois le rideau franchi, elle commença à se détendre, se sentant relativement à l’abri. Jackie détourna les yeux de l’entrejambe d’une autre fille à qui elle prodiguait les dernières touches d’une épilation intégrale. La fille en question ne put que tourner les yeux vers elle car elle était étroitement assujettie à la chaise de soins.

 

— Tu peux te déshabiller, Allie, je vais m’occuper de toi tout de suite.

 

Mécaniquement, l’adolescente ôta le peu de vêtements qu’elle portait. Elle se retrouva rapidement nue à attendre son tour.

 

— Ca y est, Missy, aussi lisse que le jour de ta naissance.

 

Et elle ponctua sa phrase d’un coup de langue précis et langoureux sur la petite fente glabre. Missy gémit à travers le bâillon qui obstruait sa bouche. L’esthéticienne la libéra, lui ôta la petite boule en plastique sur laquelle ses dents étaient serrées et lui donna une tape sur les fesses.

 

— Allez !

 

La jeune fille trottina vers ses vêtements et s’habilla. Elle ne portait qu’une petite jupe courte, un tee-shirt blanc tout simple et n’avait ni chaussures ni sous-vêtements. Elle risqua un regard rapide vers Allie, dans lequel les deux adolescentes échangèrent une sorte de connivence propre à leurs conditions de soumises respectives. Puis, sans un mot, elle partit.
Allie prit place dans le fauteuil encore chaud et s’apprêta à recevoir son traitement bihebdomadaire.

 

***

 

De retour dans l’entrée du salon, après que Jackie l’aie nettoyée en profondeur et épilée, Allie se dandinait d’un pied sur l’autre en essayant de capter l’attention de la réceptionniste. Celle-ci discutait avec une femme qui ressemblait à Kathleen Turner : Cheveux roux, port royal, poitrine généreuse et ferme.

 

  • Il me faut un rendez-vous pour ma fille Sydney. Elle sera libre Mardi après-midi. Dit-elle dédaigneusement à la réceptionniste.

 

— Bien M’dame, est-ce votre fille ou votre pupille ? Demanda la brune derrière son comptoir.

 

La question fit naître un sourire sur le visage sévère.

 

— Pourquoi me demandez-vous ça ? C’est ma fille adoptive bien sûr.

 

Elle fixa son regard sur celui de la réceptionniste.

 

— Il lui faut le traitement particulier, celui que vous réservez aux filles indisciplinées.

 

— Bien M’dame. Est-ce que vous souhaitez qu’on lui applique un de nos services supplémentaires ?

 

— Non, pas cette fois, mais vous me donnerez une brochure avec vos tarifs.

 

— Je suis désolée M’dame mais c’est strictement confidentiel. Il faudra que vous rencontriez Sarah, la propriétaire du salon pour cela.

 

— Je comprends, alors ça sera tout pour aujourd’hui.

 

Elle s’apprêtait à ressortir lorsque, apparemment pour la première fois, son regard se posa sur Allie.

 

— Mais qu’avons-nous là ? Elle sourit. Aussi sexy et pas d’endroit où aller… Quel dommage.

 

— Oui M’dame… Heu, je veux dire non M’dame… Je veux dire… Je… Je vais à ma séance de gym. Bégaya Alllie.

 

— Ca alors, mais vous êtes bien timide, jeune fille.

 

Elle dévisagea l’adolescente de la tête aux pieds, se focalisant sur le tatouage qui décorait le pubis d’Allie.

 

— Propriété de Nicole… Hmmm… Pour femmes seulement… Tu es joliment décorée jeune fille.

 

— Oui M’dame. Répondit Allie.

 

Elle se tourna vers la réceptionniste et demanda d’une petite voix :

 

— S’il vous plaît, j’ai besoin d’un moyen de transport pour le "Club des Dames qui Savent Vivre" sur Main Street

 

— Nous ne sommes pas une station de taxis. Répondit la réceptionniste.

 

La femme qui ressemblait à Kathleen Turner prit alors la parole.

 

— Voyons Mademoiselle, ne soyez pas si rude avec cette jeune fille. Je serai heureuse de l’emmener à son club.

 

Le cœur d’Allie s’accéléra.

 

— Je ne pourrais pas M’dame. Répondit l’adolescente d’une voix à peine audible.

 

— Oh, mais j’insiste. Renchérit la rousse en attrapant le poignet d’Allie.

 

Et, sans concession, elle entraina l’adolescente à moitié nue hors de la boutique, lui fit descendre les escaliers et marcher jusqu’à sa Mercedes. Elle en ouvrit la porte et, avant qu’Allie ait réalisé ce qui lui arrivait, la fit asseoir sur le siège passager. Le contact de ses fesses sur le cuir froid de la luxueuse voiture la fit frissonner.

 

Puis, la femme fit le tour et s’assit au volant.

 

— Il faut d’abord que je passe à la maison, c’est sur le chemin. Je suis sûre que ça ne te dérangera pas.

 

— Non M’dame. Répondit la jeune fille.

 

De toute façon, elle s’attendait à quelque chose comme ça.
Dès qu’elles furent en route, le ton de la femme changea. Elle se tourna vers Allie et lui dit :

 

— Nous n’avons pas beaucoup de temps. Il va falloir que tu me fasses confiance.

 

Allie ne répondit pas.

 

— Tu peux m’appeler Isis. Je suis la responsable d’une organisation dont le but est de libérer les filles comme toi et de punir les responsables.

 

Le visage d’Allie se figea. Que se passait-il ? Elle s’attendait à être violée où à être utilisée comme une pute lesbienne, mais les mots qu’elle venait d’entendre l’étonnaient. Elle était prête à être forcée dans tous les sens du terme et à sucer des sexes, mais pas pour une promesse aussi inattendue.

 

— Mon organisation surveille cet endroit depuis six mois maintenant. Nous espérons bientôt coincer la responsable de ce salon, et tu es une pièce Maîtresse de notre plan.

 

Au même moment, elle pénétra dans une belle allée menant à une superbe maison.

 

— Est-ce que tu penses que tu peux faire ça Allie ? Demanda Isis en éteignant le moteur. Penses-tu que tu peux jouer un rôle dans tout ça ?

 

Elle avait compris en partie la situation. Cette femme n’avait pas l’intention de la violer. Est-ce qu’elle allait la libérer de Nicole ? Elle réfléchit à cette nouvelle donne, ayant de la peine à y croire.

 

— Je ne sais pas.

 

Elle faillit dire qu’elle avait besoin de l’autorisation de sa Maîtresse mais se retint.

 

— Qu’est-ce que je vais devoir faire.

 

— Viens avec moi à l’intérieur, je vais t’expliquer.

 

L’adolescente sortit de la voiture et suivit la rousse jusqu’à la porte d’entrée. Celle-ci l’ouvrit, révélant trois autres femmes affairées. Deux pianotaient sur des ordinateurs installés dans le séjour et une troisième utilisait un téléphone.

 

— Ce sont mes assistantes.

 

Elle désigna une blonde assise derrière un écran :

 

— Voici Aphrodite, c’est elle qui s’occupe de nos arrières. Nous voulons être sûres de ne pas laisser de traces une fois que nous aurons agi.

 

Et voici Athena. Dit-elle en montrant la brune assise devant l’autre ordinateur. Elle traque les informations, les fichiers, les saletés. Grace à elle, nous connaissons les faiblesses de ces perverses dont nous nous servons pour les confondre.

 

Enfin, voici Aurora. Elle désigna la blonde qui téléphonait. Elle est mon bras droit et c’est elle qui est chargée des opérations musclées.

 

Allie se dit qu’elle ne ressemblait pas à une femme d’action, mais plutôt à un top-model.

 

— Et maintenant, toi Allie. À partir de maintenant, tu fais partie de notre équipe.

 

Elle se retourna vers l’adolescente.

 

— Penses-tu que tu peux nous aider à dissoudre l’ignoble réseau constitué de ces femmes qui orbitent autour du salon ? Tu joueras le rôle de l’infiltrée.

 

Allie n’arrivait pas à y croire. Elle n’avait jamais ne serait-ce que rêver d’échapper à Nicole et voilà qu’on lui offrait cette possibilité sur un plateau.

 

— O… Ou… Oui, oui je pense.

 

— Excellent !

 

Et Isis enlaça l’adolescente.

 

— Il va falloir que tu sois forte pendant quelque temps. Nous avons choisi un evènement qui devrait nous permettre de confondre presque toutes ces diablesses en un clin d’œil.

 

Elle se dirigea vers le bureau d’Athena et y prit un dossier, l’ouvrit et tendit une photo à Allie.
L’adolescente blêmit. Elle avait reconnu Lauren. C’était auprès qu’elle avait du se prostituer lorsque Nicole l’avait louée à Maîtresse Alex. La dernière fois qu’elle l’avait rencontrée, elle avait surtout vu son sexe, mais elle était sûre qu’il s’agissait bien d’elle.

 

— Oui, nous savons que tu l’as rencontrée. L’occasion pour laquelle nous espérons démanteler ce réseau sera le mariage de Lauren Jacobs avec Tawnee Cantrell. Ça sera l’évènement de l’année pour les éléments du réseau qui gravitent dans ce salon. Et enfin, voici leur point faible : Nous savons que Nicole et toi serez invitées…

 

Elle prit les mains de l’adolescente dans les siennes et la regarda dans les yeux.

 

— Allie, voici ce que nous attendons de toi…

 

Allie écouta attentivement ce qu’elle devrait faire.

 

******************

 

Allie était stupéfaite des révélations de l’après-midi. Elle ne réalisa qu’à peine qu’Isis la déposait devant le club. Elle rentra dans le gymnase sans prendre garde aux regards sur sa nudité que lançaient les femmes qu’elle croisa.
Elle ne remit les pieds sur terre que lorsqu’elle arriva devant Josie, toujours occupée à accueillir les clientes du club.

 

— Bonjour petite salope. Dit-elle en guise d’introduction.

 

— Je ne suis pas une salope. Répondit l’adolescente du tac au tac et regrettant aussitôt les mots qui venaient de lui échapper.

 

— Ah non ? La railla la jeune femme. Mais regarde-toi dans cette tenue de strip-teaseuse.

 

Allie baissa les yeux sur son ventre : Ses piercings qui pointaient sous son tee-shirt trop court, son tatouage que tout le monde pouvait voir, l’indécence de sa tenue, toutes les pores de son être transpiraient le message "SALOPE". Et pas une salope ordinaire, mais une salope qui aimait les FILLES.
Brièvement, l’adolescente tenta de reprendre le dessus en repensant à son recrutement récent, mais, avant qu’elle ait pu esquisser un geste de repli, Josie se pencha sur elle et assujetti rapidement une laisse à l’un des anneaux qui perçaient ses seins.

 

— C’est mieux comme ça. Dit Josie en se levant.

 

Sans lâcher la laisse, elle fit le tour de son bureau en la tendant au fûr et à mesure de sa progression, contraignant les pointes de seins de l’adolescente à quitter le mince abri de tissu derrière lequel elles tentaient désespérément de s’abriter. Deux petites torsions sèches eurent raison du peu de pudeur qui subsistait dans l’esprit d’Allie.

 

Elle ne tenta même pas de se rebeller. Elle avait perdu tout amour-propre et le mince espoir de liberté qui l’avait habité auparavant s’était volatilisé.

 

— Suis-moi, espèce de gouine dégénérée.

 

Et elle l’entraîna à sa suite.
Arrivées à l’entrée d’une pièce qu’Allie ne connaissait pas, elle ouvrit la porte et alluma la lumière. La salle était équipée de plusieurs rangées de vélos d’entraînement.

 

— Il n’y a pas de cours prévus ici avant un bon moment, nous allons t’installer là pour tes exercices.

 

Elle guida l’adolescente jusqu’à la dernière rangée et la fit attendre à côté de l’un d’entre eux. Puis elle sortit un godemiché de son sac et le tendit devant les yeux d’Allie. L’objet était noir et nervuré, il mesurait environ 20 centimètres de long. Josie l’attacha sur la celle de l’un des vélos à l’aide de bandes velcro et poussa la jeune fille pour la faire enjamber la selle.

 

L’adolescente hésita. Elle portait déjà son gadget habituel entre les fesses et être empalée sur ce nouvel intrus pendant qu’elle pédalerait ne laissait rien présager de bon.

 

— Monte sur ce vélo, petite chienne ! Aboya Josie.

 

Dans le même temps, elle claqua les fesses d’Allie pour l’encourager. La jeune fille enjamba la selle et se tint debout sur les pédales.

 

— Tiens-toi plus haut !

 

Docilement, Allie se positionna sur la pointe des pieds. La jeune femme en profita pour écarter l’empiècement de sa petite culotte, exhibant son sexe autant que le petit cadenas qui en fermait le haut. Puis elle maintint le godemiché en place et guida le plaça entre les lèvres du sexe d’Allie.
La jeune fille sentit le phallus artificiel pousser contre son sexe. Elle s’empala doucement sur le phallus artificiel.

 

Elle s’interrompit après quelques centimètres. Son sexe n’était pas suffisamment humide et l’engin était plutôt gros.

 

— Tu y est. Dit Josie. Plus profond maintenant, je ne voudrais pas être obligée de dire à Nicole que tu n’as pas été suffisamment coopérative.

 

Cela stimula Allie.

 

Elle tenta d’accentuer la pénétration en effectuant un léger mouvement de va-et-vient, ce qui lui fit gagner quelques centimètres. Une légère humidité commençait à se former au cœur de ses muqueuses mais l’engin était vraiment gros et chaque mouvement lui causait une douleur lancinante.

 

— C’est mieux petite chienne.

 

Elle regarda sa montre.

 

— Juste à l’heure.

 

Quelle heure ? Se demanda l’adolescente.

 

Elle avait réussi à s’empaler sur une bonne dizaine de centimètres lorsque la porte s’ouvrit sur un groupe de femmes.

 

— Pile à l’heure mesdames ! Déclara Josie.

 

Allie perdit son contrôle. Elle ne pouvait pas se montrer devant toutes ces femmes ! Sa détresse fut telle que ses forces l’abandonnère et elle s’assit complètement sur la selle. Malheureusement, le gadget en plastique ne suivit pas correctement le mouvement et entraîna ses petites lèvres à l’intérieur de son vagin. La douleur explosa dans le bas ventre de l’adolescente et lui fit l’impression que ses chairs intimes allaient se déchirer.

 

Le godemiché avait presque pénétré dans son intégralité et il ne subistait plus que quelques centimètres à l’extérieur de son sexe. Dans un reflex de pudeur, elle avait refermé ses cuisses pour dissimuler autant que possible l’indécence de sa situation.

 

Des larmes lui échappèrent. Elle serra les dents et prit son mal en patience. Comble de l’humiliation, elle n’avait pas la certitude d’avoir été suffisamment discrète pour cacher à toutes ces femmes ce qui se passait entre ses cuisses.

 

— Profite bien de ton cours de body-bike, je reviendrai te chercher dans une demi-heure. Lui lança Josie avant de sortir de la pièce.

 

Allie resta muette. La douleur que lui occasionnaient ses lèvres intimes, l’intrus qui perforait son sexe et son gadget anal occupaient toute son attention. Elle dut se pencher sur le guidon et s’y appuyer pour éviter de perdre connaissance.

 

Les autres femmes prirent place sur leurs bicyclettes. Au grand soulagement d’Allie, aucune d’entre elles ne choisit une de celles qui étaient sur la même rangée que la sienne. Au moins elles ne pourraient pas remarquer à quel point elle était obscène. Étonnamment, personne ne semblait s’être rendu compte de quoi que ce soit.

 

L’instructrice monta sur celle qui se trouvait face aux leurs et commença son cours. En guise d’échauffement, elle se mit à pédaler tranquillement.

 

Après quelques minutes, elle décida qu’il était temps de changer de rythme.

 

— Ok les filles, maintenant imaginez que vous êtes sur un sentier dans une forêt et que nous arrivons à proximité d’une colline.

 

Et elle se dressa sur son vélo. Toutes les autres femmes l’imitèrent mis à part l’adolescente. Celle-ci se demandait ce qui serait le pire : les imiter ou pas. Finalement, elle décida qu’elle avait intérêt à faire comme elles, ce serait le moins visible (en étant optimiste).

 

Elle fit comme tout le monde et se mit en danseuse. Le gros phallus sortit de son vagin. Heureusement pour elle, une légère humidité avait lubrifié ses parties intimes, soulageant quelque peu la douleur qui la torturait. Elles pédalèrent ainsi pendant un moment. L’adolescente commençait à haleter, d’une part à cause de l’exercice, mais aussi et surtout à cause du gros godemiché fixé sur sa selle. L’exercice la forçait à conserver l’engin inséré de quelques centimètres à l’entrée de son vagin et chaque coup de pédale le faisait coulisser un peu plus librement dans son intimité. C’était un mouvement émoustillant et bientôt, le godemiché en plastique ruissela de sécrétions.

 

— Ok mesdames, nous sommes arrivées au sommet. Maintenant rassoyez-vous.

 

À bout de forces, Allie s’écroula sur le sexe en plastique qui pénétra profondément dans son vagin, la faisant gémir profondément.

 

— Hmhmhmmmmm.

 

Allez, on continue. Ça n’était pas si difficile. Se moqua la monitrice.

 

Le bassin de l’adolescente montait et descendait légèrement au rythme de ses coups de pédales. Elle escaladait activement la pente du plaisir, se servant adroitement du godemiché sanglé sur sa selle. Elle n’arrivait pas à croire avec quelle rapidité son vagin s’était lubrifié.

 

— Ok, maintenant plus vite.

 

La jeune fille accéléra le mouvement. L’humidité qui luisait sur ses cuisses les faisait glisser sur la selle de la bicyclette. Le sexe factice lui donnait l’impression de buter contre son utérus à chaque coup de pédale. Elle commença à perdre contrôle et la promenade à vélo devint une chevauchée sexuelle. La voix de l’instructrice lui parvenait de moins en moins. Elle ne pensait plus qu’au merveilleux plaisir que lui causait l’objet qui défonçait son sexe.

 

Elle ne réalisa pas que les participantes commençaient à la regarder étrangement et se mit à agiter son bassin de plus en plus furieusement en gémissant de plus en plus fort.

 

— Hmmm… ooohhh… Ahhhh…

 

Elle était tellement concentrée sur son plaisir qu’elle ne se rendit pas compte que le groupe cessait l’exercice et que les femmes descendaient de leurs bicyclettes pour se regrouper autour d’elle. Elle avait fermé les yeux et accentuait encore et encore le rythme de sa course vers l’orgasme. Chaque fois que ses fesses se plaquaient contre la selle, son cadenas s’écrasait contre son clitoris, lui occasionnant une décharge de plaisir.

 

— OOOOHHH MON DIEU !!! S’écria-t-elle.

 

Elle était en plein sprint vers la délivrance.

 

— AAAAHHHH ! HHHHMMM !!! OOOOOOHHHHOOOUUUIIIIIIII !!!!!

 

Elle jouit en écrasant furieusement le cadenas contre son clitoris. Ses mains s’agrippaient convulsivement au guidon pendant que la bicyclette tremblait violemment pendant toute la durée de l’orgasme dévastateur qui parcourait son corps.
Elle perdit connaissance et se mit à glisser de son vélo, le sexe gluant s’échappa de son sexe et plusieurs femmes durent la retenir afin d’éviter qu’elle ne chute sur le sol.

 

La raclée que Nicole lui administra le soir même fut proportionnelle au scandale qu’elle avait causé. Allie était sûre que Nicole se délectait de cet esclandre, et particulièrement parce que ça lui donnait une occasion de fouetter sa petite esclave.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Samedi 24 mai 6 24 /05 /Mai 13:33

Chapitre 26 : Coquette et Lauren 2

 

Coquette ouvrit la porte de la chambre de Lauren. Il y faisait trop noir pour voir quoi que ce soit mais elle ne pouvait que sentir distinctement l’odeur de sexe qu’elle dégageait et qui lui collait à la peau comme une huile. Ça la suivait comme de l’ail, elle puait le sexe.
Elle referma la porte dès que ses pupilles commencèrent à s’adapter à la pénombre.
Sur le lit, elle pouvait distinguer la forme sombre de Lauren qui dormait. En dépit du fait que sa Maîtresse l’obligeait à faire ça, son estomac était noué par l’excitation. Elle avait toujours désiré cette jeune fille et aujourd’hui ses espoirs étaient sur le point d’être récompensés. Elle était certaine d’y prendre beaucoup de plaisir.
Elle traversa la pièce et ouvrit les rideaux.

— Mademoiselle ! C’est l’heure de vous lever.

La teinte rouge de l’aurore envahit la chambre de la fille, révélant ses cheveux blonds éparpillés sur ses oreillers en soie.
Elle s’approcha de la tête du lit, alluma la lampe de chevet de Lauren et murmura :

— Mademoiselle Lauren, c’est l’heure de vous réveiller.

Elle se pencha sur la jeune fille afin d’être sûre que son odeur musquée arrive jusqu’à ses narines et chuchota :

— Allez, on se réveille.

Lauren entrouvrit les yeux, s’étira et pris une grande respiration. Son odorat fut envahi par les effluves de sexe que dégageait la bonne. Surprise, elle bloqua sa respiration et ouvrit ses yeux en grand. Debout près d’elle, elle découvrit coquette. Cette dernière portait le plus étroit et le plus court des uniformes de domestique qu’elle n’ait jamais vu.

— Qu’est-ce que tu fais ici ? Demanda-t-elle en tirant les draps jusqu’à son menton pour masquer son corps.

— Mes fonctions ont changé, je suis affectée à votre service exclusif. Dorénavant, je serai votre femme de chambre et votre servante personnelle.

Lauren toussa, l’odeur musquée était vraiment concentrée, Coquette puait le sexe.

— Je n’ai pas besoin de ton aide, tu peux t’en aller.

Elle était effarée. Elle connaissait le projet qu’avait sa belle-mère de la marier à Tawnee Cantrell, un pur mariage d’intérêt qu’elle n’avait pas l’intention d’accepter. Elle voulait avoir une vie normale et se marier à un homme bien quand il en serait temps. A nouveau, elle se prit à rêver de s’échapper de cette maison de dingues.

— Mademoiselle, j’ai des instructions très STRICTES. Elles viennent de Madame votre mère et répondent à tous vos besoins. Je serai très sévèrement punie si je la déçois.
Et Coquette s’empara des draps et essaya de les tirer hors du lit. Lauren résista, s’y accrochant comme à une bouée de sauvetage.

— Ce n’est pas ma mère !

Elle détestait sa belle-mère mais elle ne voulait pas être la cause de tourments que pourrait endurer la servante. Elle n’imaginait que trop quelle flagellation ou autre torture sa belle-mère sadique pourrait prendre plaisir à lui infliger. Après tout, quel mal y aurait-il à laisser Coquette s’occuper d’elle.

— Ok, tu peux rester, mais je ne veux pas que tu traînes dans mes pieds. Dit-elle.

Elle laissa donc la servante retirer les draps, révélant son corps mince d’adolescente, vêtu d’un tee-shirt et d’une petite culotte en coton.

— Merci Mademoiselle Lauren.

Elle tendit une main et s’empara de celle de l’adolescente pour l’aider à se lever. Sans la lâcher, elle attira la jeune fille vers la salle de bain. Celle-ci la suivit d’un pas nonchalant, abasourdie par le spectacle que produisait la jupe de coquette en révélant une partie de son postérieur à chaque mouvement de cuisse.
Lauren roula des yeux, ça n’était pas possible. Elle se plaindrait à sa belle-mère du comportement indécent de cette domestique. Lui faire ce genre d’avances à elle… Elle qui n’aimait pas les filles…
La jeune fille s’arrêta à l’entrée de la salle de bain dans laquelle Coquette venait de pénétrer naturellement, comme le lui avait ordonné sa Maîtresse.

— Eh !... Qu’est-ce que tu fais ? Demanda-t-elle ?

Coquette s’arrêta, se retourna et battit des cils en regardant la blonde.

— Je ne fais que ce que l’on m’a demandé de faire.

Et, tel un perroquet, elle répéta les ordres de sa Maîtresse, se redressant légèrement sur ses talons pour paraître plus imposante :

— Choisis ses vêtements pour elle, nettoie sa salle de bain, fais son lit, coiffe la, maquille la et habille la.

— Bien, mais tu peux attendre que j’aie fini d’utiliser la salle de bains ? Peut-être que tu peux faire le lit pendant que je vais aux toilettes.

Lauren se dandinait d’un pied sur l’autre. Elle ne savait pas quoi faire.

— Mes ordres sont très précis Mademoiselle.

Et elle se déplaça pour laisser Lauren entrer dans la salle de bain.
L’adolescente hésita un instant puis haussa les épaules avant d’entrer. Elle n’avait aucune idée de ce qu’elle aurait pu faire d’autre.
La pièce d’eau était assez grande. Un grand espace libre au centre, un wc dans un coin. Dans le coin opposé, une douche assez spacieuse pour accueillir plusieurs personnes à la fois et, en face de la porte, une longue console surplombée par un gigantesque miroir mural.

— Pourquoi n’iriez-vous pas vous soulager pendant que je prépare votre douche Mademoiselle Lauren ?

Désemparée, l’adolescente se dirigea humblement vers les toilettes. Elle eut un regard vers Coquette, pour s’assurer qu’elle ne regardait pas, puis, dans un mouvement rapide, baissa sa culotte et s’assit sur le siège. Elle fit son possible pour ménager sa pudeur, tentant d’échapper au regard de la soubrette. Ses longs cheveux blonds formèrent un écran devant ses yeux à travers lequel elle regarda attentivement Coquette lancer sa douche.
Coquette s’employa à tourner le dos à l’adolescente pendant qu’elle se penchait pour atteindre le robinet. Sa position exposa son derrière pratiquement nu à la jeune fille.
Sidérée par la légèreté et la transparence du sous-vêtement, la jeune fille resta coite, bouche ouverte. Dans le même temps, elle entrevit un éclat brillant trahissant la moiteur de l’entrecuisse de la soubrette.
Outrée, la jeune fille ferma les yeux et remua la tête, tentant de chasser cette image obscène de son esprit. Lorsqu’elle les rouvrit, Coquette s’avançait vers elle.

— Votre douche est prête Mademoiselle.

La jeune fille n’avait pas encore réussi à se soulager, elle commença à paniquer. Elle essaya de s’y forcer, serra les dents et poussa, mais rien ne vint.

Maintenant, Coquette se trouvait tout près d’elle.

— Allez-y Mademoiselle Lauren.

L’adolescente ne changea pas de position, tête inclinée sur la poitrine et visage masqué par ses cheveux. Elle n’arrivait pas à croire que cela puisse lui arriver. Elle tenta d’oublier ce qui se passait et se concentra sur son envie. Finalement, lentement, elle sentit l’urine sortir de sa vessie.

— Allez Mademoiselle, vous pouvez y arriver. L’encouragea Coquette.

L’adolescente ouvrit les yeux et les leva vers la petite brune. Aussitôt, elle le regretta. La soubrette se tenait juste devant elle. Comme elle était légèrement penchée en avant, ses deux tétons, qui s’étaient échappés de leur prison de tissu, pointaient directement à la hauteur de ses yeux. Elle les ferma à nouveau énergiquement fuyant l’embarras qui la minait. Elle se mit à uriner. La miction commença à couler lentement au début, elle poussa plus fort afin de précipiter le jet pour en finir plus vite avec cette situation humiliante.

Lauren sentit quelque chose effleurer ses lèvres, elle sursauta et ses yeux s’ouvrirent à nouveau. La surprise stoppa net sa miction. La soubrette s’était penchée sur elle pour attraper du papier toilette et ce mouvement avait plaqué l’un de ses tétons contre sa bouche.

Paniquée, l’adolescente tenta de repousser Coquette.

— Que fais-tu ? Ecarte-toi…

Elle ne put retenir quelques larmes qui se mirent à couler sur ses joues. Pourquoi tout cela lui arrivait-il ?

SLAP!

Lauren cessa de lutter et frotta sa joue à l’endroit où la gifle s’était écrasée. La domestique la fusillait du regard en serrant les dents tant elle était en colère.

— Ecoute-moi bien, espèce de petite garce…

La soubrette, semblant reprendre son contrôle, s’interrompit et sourit.

— Mademoiselle Lauren. Reprit-elle d’une voix plus calme.

Elle repliait le papier dans le creux de sa main.

— Vous devriez accepter la situation. Je sais qu’il y a beaucoup de moyens que votre mère AIMERAIT appliquer pour vous enseigner le comportement qu’elle attend de vous.

Elle eut un sourire hypocrite.

— M’accepter en tant que femme de chambre particulière est de loin le moins sévère.

Lauren se mit à pleurer de plus belle. Le visage couvert de larmes, elle sanglotait silencieusement.

— Et maintenant, Mademoiselle, est-ce que vous avez fini de faire pipi ?

Vaincue, Lauren approuva de la tête.

— Alors écartez vos jambes Mademoiselle, je dois m’occuper correctement de vous.

Les larmes ruisselèrent de plus belle lorsque l’adolescente écarta ses cuisses pour offrir son intimité à sa bonne. Coquette s’accroupit entre les jambes de la jeune fille et appliqua délicatement le papier sur la fente de Lauren. Elle introduisit adroitement le papier hygiénique entre les lèvres du sexe, tamponnant délicieusement les muqueuses pour en absorber l’urine qui les humectait.

Elle fixa l’adolescente dans les yeux.

— Je ferai de mon mieux pour satisfaire le moindre de vos besoins Mademoiselle.

Elle l’essuya une dernière fois et, toujours aussi délicatement, introduisit son majeur derrière le chiffon de papier, le faisant coulisser légèrement à l’intérieur des parties honteuses de la blonde, se délectant du contact soyeux.
Lauren poussa un petit geignement à travers ses larmes mais ne se débâtit pas. Elle avait peur de recevoir une autre gifle.
Coquette immobilisa son doigt au cœur de l’intimité de l’adolescente.

— TOUS vos désirs…

Et sur ce, elle s’interrompit et se redressa.

— Hmmm Mademoiselle, j’adore vous taquiner.

Elle se pencha à nouveau sur la jeune fille et glissa adroitement le papier hygiénique souillé entre ses cuisses avant de le jeter dans la cuvette des WC. Puis, devant les yeux horrifiés de l’adolescente, Coquette lécha langoureusement son doigt et lui sourit.

— Allez, jeune fille, votre douche est prête.

Elle fit un pas en arrière et, d’un geste d’invite, tendit la main à Lauren pour l’aider à se lever. L’adolescente saisit la main de la soubrette et se redressa, l’air perdu. Sans offrir de résistance, elle se laissa guider jusqu’à la douche. Dans un état-second, elle se laissa déshabiller entièrement.

Coquette admira le corps de la jeune fille.

— Vous êtes très jolie Mademoiselle. J’adore vos petits seins. Elle en empauma un. Choquée, la blonde baissa les yeux sur la main qui s’était posée là où personne ne l’avait fait jusqu’à aujourd’hui.

— Hmmm, je suis sûre que nous allons beaucoup nous amusez toutes les deux, vous n’aurez plus jamais envie de nous quitter.

Puis elle la fit pivoter de dos et lui claqua gentiment la fesse.

— Rentrez là-dedans, il est temps de procéder à vos ablutions.

Lauren pénétra dans la cabine et se retourna.

— Tu ne viens pas avec moi ? Demanda-t-elle d’une toute petite voix.

— Non. Gloussa Coquette. Pas aujourd’hui, mon adorable petite cochonne. Je vois bien que tu apprécies notre petit jeu, mais non.

Elle saisit les côtés de sa petite jupe et pirouetta sur elle-même.

— Je ne peux pas prendre le risque de mouiller mon bel uniforme. Peut-être demain… Je viendrais sans vêtements si vous voulez.

— Non, non ça va comme ça. Répondit la blonde dans un souffle.

Elle se dirigea vers le jet qui cascadait à quelques mètres d’elle.

Dès que l’adolescente se fut immergée sous le jet dru, Coquette alla s’asseoir sur le siège placé devant la console. Elle glissa sa main à l’intérieur de sa culotte souillée et introduisit son majeur entre ses lèvres sexuelles. Rapidement elle se caressa, veillant à retrouver le même état d’excitation qu’elle ressentait en entrant dans la chambre de Lauren.
Lauren prolongea sa douche aussi longtemps que possible. Elle lava ses cheveux deux fois et, finalement, resta sous le jet, ne faisant rien, s’abandonnant à la douce caresse de l’eau.
Au bout d’un moment, Coquette passa sa tête à l’intérieur de la cabine et déclara :

— Allez petite chérie, vous allez être en retard à votre cours de tennis.

La blonde ferma l’eau mollement et sortit de la douche en s’enveloppant dans l’immense serviette que tenait sa bonne. Celle-ci prit affectueusement l’adolescente dans ses bras.

Coquette sécha entièrement l’adolescente, passant derrière elle, n’oubliant pas une parcelle de peau. Abasourdie, Lauren se laissa faire. La soubrette s’était accroupie et lui frottait les jambes en admirant sa nudité. Puis, elle se servit de la serviette pour lui couvrir les cheveux, révélant la nudité de la jeune fille dans son ensemble.

— Vous êtes bien sèche partout ? Demanda innocemment la bonne.

L’adolescente approuva de la tête.

— Bien, alors asseyez-vous ici que je m’occupe de votre maquillage et de vos cheveux.

Elle la guida vers la chaise et la positionna face au grand miroir.
Pour commencer, la petite brune s’attela à sécher les cheveux blonds, elle tournait autour de la jeune fille, prenant soin de se tenir aussi près que possible d’elle. Elle s’appliquait à appuyer ses tétons contre le visage de l’adolescente, les faisant frotter contre ses joues et même, deux fois, contre ses lèvres. Au bout d’un moment, la timidité de l’adolescente prit le dessus et elle tenta d’échapper à l’emprise de sa soubrette, mais lorsqu’elle recula son visage, Coquette la gronda et lui dit qu’en agissant ainsi, elle allait lui créer des problèmes avec sa belle-mère.
Enfin, lorsqu’elle en eut terminé avec le maquillage et la coiffure, la soubrette fit lever la jeune fille.
Sans lâcher les mains de l’adolescente, elle prit un peu de recul et laissa ses yeux se promener sur le corps dénudé de la blonde.

— Vous êtes vraiment très sexy Mademoiselle Lauren, j’ai vraiment du mal à me retenir de goûter à votre petit nid d’amour.

Lauren fit non de la tête faiblement. Les agacements incessants que lui avait fait subir la bonne, les insinuations grivoises et le contact indécent avec ses tétons l’avaient plongée dans une espèce de torpeur inhabituelle. Des sentiments contradictoires l’habitaient. Elle se refusait à se laisser émoustiller par le comportement et la tenue obscènes de Coquette, mais, d’un autre côté, elle n’éprouvait plus autant de répulsion que lorsqu’elle s’était réveillée. Son sexe la démangeait légèrement et les pointes de ses seins étaient dressées, aussi dures que du bois.
Elle se prit à envisager que le doigt de la soubrette se glisse une nouvelle fois entre les lèvres de sa petite fente.
La brune se rapprocha d’elle, lui prit gentiment la main et la fit sortir gentiment de la salle de bain.
De retour dans la chambre, coquette choisit sa tenue : Un soutien-gorge de sport serré, une mini-jupe blanche plissée, des chaussettes en coton assorties et une paire de chaussures de tennis. Enfin, elle sélectionna la plus petite culotte, la plus minuscule, que contenait son armoire.

Puis elle aida l’adolescente à se vêtir, lui enfilant sa culotte et chacune de ses chaussettes, insérant délicatement chacun des petits seins à l’intérieur du soutien-gorge. La jupe vint en dernier.

— Maintenant, Mademoiselle, dites-moi ce que vous en pensez.

Elle se tenait juste derrière l’adolescente rougissante dont l’image se réfléchissait dans le miroir.
Lauren se sentait toute bizarre, le regard de la soubrette dans son dos l’incommodait un peu et les évènements de la matinée tournoyaient dans sa tête.

— Alors, comment vous sentez-vous ?

Comme dans un rêve, elle sentit, plus qu'elle ne les vit, les mains de la soubrette se glisser sous sa petite jupe.

— Ici ?

Elle sentit les doigts se faufiler sous le petit rempart de tissu qui couvrait ses parties honteuses et s’insinuer à l’entrée de sa petite fente.

— Oohhh vous êtes complètement trempée Mademoiselle Lauren, je ne me doutais pas que vous étiez si réceptive.

Et la soubrette se mit à masser délicatement le clitoris de l’adolescente.
La jeune fille émit un "Non" désarmé. Elle sentait un plaisir inconnu s’insinuer au plus profond de son ventre. Affaiblie, elle laissa Coquette se livrer à ses manipulations sans opposer la moindre résistance et s’effondra contre elle en poussant un gémissement.
La soubrette accompagna le mouvement et se laissa glisser par-terre en même temps que l’adolescente. Se positionnant au-dessus du corps abandonné, elle glissa aussitôt sa main contre les fesses de la blonde, s’emparant de son intimité par derrière.
Lauren sentit les doigts de sa bonne serpenter au cœur de son bas-ventre. D’abord un, puis deux qui se mirent à aller et venir à l’intérieur de sa vulve. Chaque mouvement lui arrachait un gémissement dont l’intensité allait en augmentant.
Brusquement, sans cesser de la tripoter, Coquette s’agenouilla entre les cuisses de la jeune fille et la débarrassa de sa petite culotte. Ironiquement, elle ne put s’empêcher de se dire que l’adolescente ne l’avait pas conservée très longtemps sur elle.
Lorsqu’elle fut arrivée à ses fins, la brune s’inclina entre les cuisses offertes et se mit à lécher activement le sexe offert.
L’adolescente avait perdu la notion des choses. Seule l’extase grandissante qu’elle ressentait occupait son esprit. La langue diabolique de sa bonne lui prodiguait des caresses qu’elle n’aurait jamais imaginées possibles. Au bout d’un moment, elle sentit le muscle chaud se concentrer sur le pourtour de son anus. Deux doigts reprirent possession de son intimité tandis que la langue forçait les muscles de son sphincter.
Un orgasme fabuleux explosa dans son ventre.

— OooOOOHHH MON DIEU !!!

Coquette sourit en se remettant lentement. Elle conserva ses doigts à l’intérieur du vagin de la jeune fille et l’aida à se remettre sur ses genoux. Elle ne les retira que lorsque l’adolescente tituba sur ses pieds, incapable de maintenir son équilibre elle-même.

— Pressez-vous jeune fille. Dit la brune en poussant doucement Lauren vers la porte d’entrée de sa chambre. Elle s’empara de la raquette de la blonde et la suivit dans l’escalier.

Ce ne fut que lorsqu’elle eut descendu la moitié des marches que l’adolescente réalisa qu’elle ne portait pas de culotte

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Samedi 24 mai 6 24 /05 /Mai 13:28

Chapitre 25: Coquette et Lauren


Ce chapitre vient s’intercaler avant Allie et Nicole 22 : Allie la prostituée pour femme. C’est un récit parallèle qui, je vous le garantis, impliquera vos personnages préférés et en introduira de nouveaux.

 

— Coquette ! Appela la grande femme aux cheveux noirs assise derrière le bureau.

— Oui Maîtresse ? Répondit Coquette.

Elle avait appris à obéir à cette femme et pâlit quand le regard vert et froid se braqua sur elle. Elle appartenait corps et âme à sa Maîtresse : Alex Jacobs.

— J’ai une nouvelle tâche à te confier.

Alex se leva, contourna le bureau et s’y appuya, de dos, face à la domestique au corps mince.
Coquette attendait tandis qu’Alex déclara en souriant.

— J’attends de toi que tu séduise Lauren. Tu seras la servante dévouée qui la convertira au lesbianisme. Grace à toi, elle va devenir l’adolescente lesbienne dont j’ai besoin.

L’estomac de Coquette se noua. Elle ne pensait pas être capable de ça, mais répondit :

— Oui Maîtresse.

— Bien, bien. Je suis heureuse que tu acceptes. J’aurai détesté être obligée de te faire quelque chose de désagréable.

Et elle eut un de ces sourires dont elle avait le secret et qui signifiait qu’en fait, elle se serait volontiers pris plaisir à punir sa bonne jusqu’à ce qu’elle change d’avis.
Coquette sourit mécaniquement.

— J’ai dressé une liste détaillée des obligations dont tu devras t’acquitter durant ton service. Susan te remplacera pour les tâches courantes. Pour commencer, dès demain matin, tu la réveilleras et tu l’informeras que tu vas l’aider à faire sa toilette matinale. Je t’interdis de la laisser seule, que ce soit dans sa chambre, sa douche ou ses toilettes. Compris ?

— Oui Maîtresse.

— Il faudra aussi que tu choisisses ses vêtements pour elle, que tu nettoies sa salle de bain, que tu fasses son lit, que tu la coiffe, la maquilles et que tu l’habilles. Tu n’auras qu’à lui dire que tu risques d’être fouettée si tu ne t’acquittes pas de toutes ces tâches.

Ce disant, Alex s’était redressée. Elle se pencha sur la jeune femme qu’elle dominait de plusieurs centimètres et ronronna presque en déclarant calmement :

— Ce qui est tout à fait vrai bien entendu.

Elle sourit à nouveau et Coquette lut dans les prunelles glacées une vision de douleur et de plaisir. Elle ne put soutenir le regard de sa Maîtresse et baissa les yeux.

— Ca sera tout Coquette. Tu iras voir Susan pour qu’elle te fasse part des instructions spécifiques.

Alex la congédia d’un geste de la main et retourna s’asseoir derrière son bureau où elle se replongea dans le dossier qu’elle avait abandonné.

**********************************************

Coquette referma la porte du bureau derrière elle et traversa l’entrée en direction du bureau de Susan. Elle détestait Susan. En tant que favorite d’Alex, elle abusait toujours des autres filles du harem d’Alex. Chaque fois qu’elle le désirait, elle pouvait faire ce qu’elle voulait et les punissait pour des raisons aussi futiles qu’insignifiantes.
Lorsqu’elle entra dans le bureau, Susan leva le nez des documents qu’elle remplissait. C’était elle qui était responsable de la bonne marche de la maison et elle prenait son rôle très au sérieux. Quand on savait les punitions qu’Alex adorait inventer, ça n’était pas étonnant

— Coquette ! Quelle bonne surprise.

— Je suis à votre disposition Madame. Bien que Suzan soit soumise à Alex, elle avait toujours conservé son ascendant sur les autres filles.

— Je suppose que tu viens du bureau de notre Maîtresse non ? Bien, ne tournons pas autour du pot. J’ai un nouvel uniforme pour toi. Il sera mieux adapté pour être au service de la fille, sa femme de chambre en fait.

Elle se leva et quitta son bureau, suivie par la petite brune. Les deux femmes traversèrent une partie de la demeure. Enfin, elles arrivèrent dans les quartiers des servantes où elles habitaient toutes. L’agencement était très fonctionnel : Une pièce commune leur servait pour s’habiller et se préparer. Un grand sanitaire comportait plusieurs douches communes et, le long d’un couloir, plusieurs chambres privées accueillaient chacune d’entre elles.

— Attends-moi ici. Dit Susan.

Coquette resta debout au centre de la salle commune pendant que Susan ouvrait l’une des nombreuses penderies. Elle en tira un uniforme de soubrette protégé par une housse en plastique.

— Allons-y, enfile ça s’il te plaît.

Coquette se déshabilla rapidement, elle avait l’habitude de se déshabiller devant les habitantes de la maison. On le lui demandait souvent et il était rare qu’une journée passe entièrement sans qu’elle soit obligée de sucer un sexe ou d’être sucée. C’était enivrant.

— Tes sous-vêtements aussi.

La soubrette se déshabilla intégralement et se tint nue devant Susan.

— Hmmm, Coquette tu as vraiment un corps splendide. Tes petits seins sont exquis.

Dit-elle en tendant les mains pour empaumer les seins de la petite bonne.

— Il va t’aller comme un gant.

Elle sourit et tendit la robe à la fille.

— Mets-la. Ta Maîtresse veut te voir dans une demi-heure.

Et elle quitta la pièce, laissant Coquette seule.
Celle-ci ôta la housse en plastique. Il s’agissait d’une caricature d’uniforme de soubrette. La jupe à froufrous était extrêmement courte et le corsage paraissait très serré et s’il arrivait à recouvrir ses seins, elle fut surprise par la profondeur du décolleté. En plus de la robe, elle trouva une paire de bas et une petite culotte légère et transparente.
Au prix de quelques contorsions, elle enfila son uniforme. Puis elle observa son reflet dans le miroir. C’en était presque risible, elle ressemblait à une poupée sexuelle. La petite jupe était à peine assez longue pour couvrir ses fesses et peinait à ne pas se soulever en permanence. Le corsage comprimait sa poitrine en la soulevant et le décolleté en dentelle descendait si bas que ses tétons paraissaient sur le point de déborder. De la sorte, ses aréoles étaient parfaitement visibles pour quelqu’un qui se serait tenu suffisamment près.
Elle se contempla un moment et se rendit compte qu’elle risquait d’être en retard. Elle sortit précipitamment des quartiers des domestiques et se précipita dans le bureau de Susan.

— Je suis prête M’dame.

— Hmmm tu es délicieuse comme ça. Dit Susan en admirant la soubrette. Tu ressembles à une vraie putain, c’est parfait.
Elle se redressa et fit le tour du bureau.

— Allons-y, suis-moi.

Et elle guida Coquette jusqu’au bureau de Maîtresse Alex.
Alex était assise derrière son grand bureau, renversée dans son confortable fauteuil. Entre ses jambes écartées, on pouvait voir une tête blonde s’agiter.

— Un moment s’il vous plaît.

Et elle mordit ses lèvres et inclina la tête en arrière dans un accès de plaisir.

— Ahhhh oui !!! Juste là Miranda, JUSTE LÀ !!

Susan et Coquette attendirent silencieusement pendant que leur Maîtresse jouissait de la langue de l’autre servante. Elle écrasa son entrecuisse contre le visage de la blonde en gémissant et en la félicitant pour ses talents.

— Merci Miranda, c’était très bon.

Elle repoussa la tête de la jeune femme et se pencha sur elle pour l’embrasser sur les lèvres.

— C’est tout pour l’instant, si j’ai encore besoin de tes services, je te sonnerai.

Miranda se releva, fit volte-face et s’apprêta à s’éclipser. Alex lui donna une tape sur les fesses pour lui signifier son congé.
La brune se leva et lissa précautionneusement sa jupe. Puis elle prit une grande respiration et dit :

— Maintenant voyons comment tu es attifée toi.

Elle fit le tour de la soubrette, soulevant l’arrière de sa jupe pour jeter un œil sur son derrière presque dénudé.

— Bien, bien…

Elle se plaça en face d’elle et crocheta le décolleté pour y scruter la poitrine de sa bonne.
Puis elle regagna son fauteuil.

— C’est parfait Susan. Je veux qu’elle sente le sexe demain matin. Fais en sorte qu’elle ne chôme pas cette nuit.

Elle eut un sourire cruel.

— Assure-toi bien que toutes celles qui feront l’amour avec elle la barbouillent de sécretions sur tout le corps.

Elle se tourna vers Coquette.

— Je veux que ma belle-fille te sente avant de te voir, et souviens-toi bien : Pas de douche demain matin. Tu recevras tes dernières instructions à 5h 30 demain matin.

Et elle congédia les deux femmes.

**********************************************

Le matin suivant, Coquette se réveilla sur le ventre, étendue en travers de son lit. Elle essaya d’ouvrir les yeux, mais le droit était tout collé. Des sécretions séchées maintenaient ses cils prisonniers. Il fallut qu’elle les sépare en se servant de ses deux index.
Si ce n’était le drap qui recouvrait la moitié d’une de ses jambes, elle était entièrement nue. Elle était épuisée. On s’était servi d’elle durant toute la nuit. D’abord, il y avait eu Miranda, mais elles avaient déjà passé la nuit ensemble. Elles partageaient une chambre et aussi, souvent, leur lit donc c’était plutôt habituel. Mais ça avait été différent cette nuit. Selon les ordres de Susan, la petite blonde avait saisi toutes les opportunités pour frotter son sexe contre le corps de Coquette.
Au début coquette avait été frustrée car Miranda semblait plus concentrée sur le fait de répandre ses sécretions sur son corps plutôt que de lui donner du plaisir. Elle frottait son sexe nu d’avant en arrière sur ses bras et ses jambes. Puis elle l’avait fait pivoter sur le ventre et s’était assise sur son dos pour la masser en se frottant sur son dos.
Ensuite ça avait été le tour de Susan. Elle s’était présentée avec deux des invitées qu’Alex avait eu à diner ce soir. Elles se servirent d’elle de toutes les façons possibles pendant toute la nuit.
Pendant qu’elle achevait de se réveiller, la chambre embaumait d’une forte odeur de musc et de sexe. Elle roula sur elle-même et regarda le réveil. Il était 4h 30 du matin. Le buzzer retentit à nouveau, ça devait être l’heure à laquelle elle était censée se lever.
Elle se leva en poussant un grognement et marcha, au radar, jusqu’à la salle commune.

— Bonjour Coquette !

Susan, déjà habillée, se tenait devant elle. Elle tenait son nouvel uniforme.

— Tu es particulièrement ravissante ce matin.

— Miranda !

Encore nue, la petite blonde surgit des sanitaires d’un pas mal assuré.

— Oui M’dame ?

— Aide Coquette à enfiler ses vêtements s’il te plaît. Ensuite tu l’accompagneras jusqu’au bureau de notre Maîtresse.

Suzan eut un sourire entendu en direction des deux domestiques et quitta la pièce.

— Bonjour Coquette. As-tu pris du bon temps la nuit-dernière ? Demanda Miranda en sortant l’uniforme de sa housse.

Elle continua à discuter de choses et d’autres tout en l’habillant. Coquette eut le sentiment que l’uniforme était encore plus serré que la veille. Ses tétons lui donnèrent l’impression qu’ils n’arriveraient jamais à rester prisonniers du tissu. Il leur fallut plusieurs essais avant d’arriver à leurs fins, bien qu’à chaque mouvement, ils montrassent allégrement le bout de leur nez.
La petite culotte était un peu plus que transparente avec de minces élastiques noirs pour la maintenir en place. Les bas et les chaussures noires complétèrent la mise.

Miranda fit quelques pas en arrière et inspecta son travail.

— Coquette, tu ressembles à une affiche publicitaire pour un site de cul.

Coquette sourit, elle commençait à apprécier son nouveau rôle dans la maisonnée.
Elles frappèrent à la porte d’Alex.

— Entrez !

Les deux soubrettes pénétrèrent dans le bureau.
Alex se tenait devant son bureau. Elle ne portait qu’une légère robe qui accentuait ses formes parfaites. À ses pieds, Susan était prosternée, nue. De fines marques rouges entrecroisées commençaient à apparaître sur son dos. Alex tenait un fouet à la lanière longue et mince.

— Bonjour les filles. Dit Alex d’une voix froide.

Malgré leurs regards éperdus de curiosité mêlée de crainte, elle ne proféra pas une seule explication.

— Coquette, je veux que ta petite culotte soit trempée de tes jus.

Et elle adressa deux nouveaux coups au dos de sa victime.

— Assieds-toi pendant que je termine d’instruire Susan sur le comportement qu’elle DOIT avoir avec mes invitées. Dit-elle en désignant une chaise sur sa gauche.

— Miranda ! Donne-lui du plaisir. Et n’économise pas ta langue, je la veux au bord de l’orgasme lorsqu’elle ira réveiller ma belle-fille.

Et le fouet s’abattit une nouvelle fois sur le dos de la suppliciée.
Les deux servantes se hâtèrent d’obéir. Coquette s’assit précipitamment et s’empressa d’ôter sa petite culotte pour ouvrir l’accès de son entrecuisse à Miranda.

— Non ! Garde-la. Je veux que Miranda te lèche à travers. Ta culotte doit être aussi poisseuse et moite que ta chatte.

Coquette remonta sa culotte, fit glisser son bassin en avant et écarta ses cuisses le plus possible. Ses fesses se trouvaient au bord du siège, presque dans le vide, dans une posture d’offrande parfaite.
Miranda s’agenouilla entre ses jambes et commença à la lécher à travers le tissu léger.

CLAC !

— Quand l’une de mes invitées…

CLAC !

— Désire te sodomiser…

CLAC !

— Tu réponds oui !

CLAC !

— Maintenant penche-toi en avant et écarte tes fesses. Vite !

CLAC !

Le châtiment se poursuivit jusqu’à ce que Coquette soit menée, une fois de plus, à la limite de l’orgasme par la langue experte de Miranda. La petite brune avait mis ses mains derrière ses genoux et écartelait ses cuisses le plus possible, offrant son entrecuisse voilé par le tissu à Miranda.

— Oui Maîtresse !

CLAC !

— Aaaiiieee !

Miranda écrasait sa langue contre le tissu, elle donnait de grands coups de langues, parcourant l’empiècement de haut en bas, s’attardant sur le clitoris qu’elle caressait délicatement. Coquette se mit à gémir. Elle se délectait de la punition de Susan tout en appréciant le travail de la petite blonde. Elle était aussi trempée que si elle avait uriné dans sa culotte et Miranda prenait soin de répandre généreusement la combinaison de mouille et de salive sur l’ensemble de l’entrecuisse.

— Maintenant, dépêche-toi de rejoindre Sharon dans sa chambre et présente-lui tes excuses !

CLAC !

Elle frappa une dernière fois le derrière nu de Susan qui se hâtait de fuir la pièce.

Miranda ne cessa pas de prodiguer ses services, elle savait parfaitement reconnaître lorsque sa Maîtresse était de mauvaise humeur.

— Et vous deux, ne vous croyez pas hors de portée. Je suis d’humeur à vous fouetter toutes les deux uniquement pour passer mes nerfs.

Puis elle se détendit et sourit.

— Mais nous avons quelque chose de plus important à réaliser.

Elle s’approcha des deux domestiques et resta immobile quelque temps à observer la langue de Miranda qui taquinait le clitoris derrière le rempart de la petite culotte noire. Puis elle attrapa un des tétons de Coquette et le tira, faisant grimacer sa propriétaire. La douleur abattit les dernières défenses de la bonne qui poussa un cri de douleur décuplé par l’orgasme qui la dévastait.

— C’est bien les filles. Ça sera tout Miranda.

— Bien Maîtresse.

La petite blonde se redressa et quitta la pièce.

— Maintenant ma fille, voyons ce qu’il en est.

Elle tendit sa main et fit délicatement glisser son doigt le long de la fente de coquette, à travers la petite culotte.

— Hmmm, bieennn, parfaitement mouillé. Il faudra que tu entretiennes ça pendant tout le temps que tu passeras dans la chambre de ma belle-fille.

Elle appuya son doigt plus fortement, incrustant par la même occasion le tissu dans la fente de Coquette. À son grand plaisir, elle réussit à faire pénétrer une première phalange, puis une deuxième et enfin trois.

— C’est parfait. Elle respira profondément. Et tu pues la chatte en chaleur. Excellent ! Il y a au moins une chienne ici qui fasse ce qu’on lui ordonne. Bon, j’en ai terminé avec toi. Va réveiller ma belle-fille et fais ton mieux pour la séduire. J’y veillerai…

Coquette se redressa en chancelant et marcha vers la porte dans un état second.

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Vendredi 7 mars 5 07 /03 /Mars 22:02

Chapitre 24: Tatouages 2

 

Comme on  ne lui avait pas demandé d’arrêter, l’adolescente continua hypocritement à se faire du bien pendant que sa Maîresse faisait le tour de la voiture pour lui ouvrir la porte.

— Maintenant, lèche ton doigt, petite chienne. Mais attention, je veux que tu continues à te caresser à travers ton caleçon pendant que nous marcherons.

Des sentiments contradictoires s’opposaient dans l’esprit d’Allie. Elle était excitée tout en regrettant de l’être. Une petite voix au fond de son cerveau lui criait d’arrêter mais la petite esclave lesbienne qu’elle était devenue l’empêchait de désobéir à sa Maîtresse. Elle porta son doigt luisant à sa bouche et le suça avec application pendant que Nicole l’aidait à s’extraire de la voiture. Elle suivit Nicole vers l’entrée du salon sans omettre de replonger sa main dans son caleçon.

Alors qu’elle atteignaient l’entrée, deux jeunes femmes sortirent. Reconnaissant l’une d’entre elles, Nicole s’immobilisa.

— Bonjour Janet, contente de te voir. Dit-elle en s’adressant à la grande brune.

Janet lui présenta l’autre femme, une blonde splendide, et elles se mirent à discuter sans s’occuper d’Allie. Toute à son plaisir, l’adolescente resta debout à côté de sa Maîtresse en continuant à se caresser.

— La petite salope qui t’accompagne est adorable, Nicole. Je me sens toute chose, rien qu’à la regarder. Déclara soudain Janet, rompant la conversation.

— Merci ma chérie, cela fait maintenant quelques mois que je la dresse et je dois avouer que ses progrès sont très satisfaisants. Elle est à ton entière disposition si tu veux prendre un peu de bon temps.

— Excellente idée, j’ai une soirée bientôt et elle serait parfaite pour ça… Je t’appelle la semaine prochaine.

Elles se dirent au-revoir, puis se séparèrent.

Lorsqu’elles pénetrèrent enfin dans l’institut, Allie était à la fois sur le point de pleurer et de jouir en même temps. Son humiliation était à son comble mais comme cela faisait près de dix minutes qu’elle se masturbait, elle était proche de l’orgasme.

Nicole s’approcha de la réceptionniste et Nicole lui tendit le document que l’adolescente avait reçu en cadeau pour son anniversaire. La jeune femme qui avait participé à la fête jeta un coup d’œil sur l’attestation de soins et sourit. Elle jeta un regard méprisant à Allie et se leva de son siège pour mieux la détailler.

— Sarah m’a demandé de la prévenir de votre visite, permettez-moi de l’appeler. Dit-elle en décrochant son téléphonne.

Quelques instants plus tard, la patronne de l’institut fit son apparition. Elle était resplendissante, vêtue d’un pantalon serré et d’une chemise blanche.

— Contente de te voir Nicole. Elle s’approcha et les deux femmes s’enlacèrent. Alors, ça y est, tu m’amènes cette petite salope pour son tatouage. Est-ce que tu as choisi le motif ?

Elle s’attarda sur Allie avec un sourire, observant sa main qui était toujours active à travers le petit caleçon blanc. Un petit bruit de clapotis provenait d’entre les jambes de l’adolescente tant l’excitation qu’elle ressentait la faisait mouiller.

— Oui Sarah, j’ai choisi et je pense que ça va être tout simplement délicieux.

Alors Sarah les guida jusqu’à l’arrière-salle dans laquelle Allie et quelques autres esclaves recevaient leur traitement. Elles passèrenet devant plusieurs femmes très élégantes qui se faisaient manucurer ou bien coiffer. Sarah les connaissait toutes par leur nom et salua chacune d’entre elles. L’adolescente eut du mal à continuer à se caresser tout marchant devant ces inconnues, mais elle se garda bien de s’interrompre. Son caleçon était maintenant trempé par ses sécretions.

Dès qu’elles eurent franchi le rideau qui masquait la pièce qui lui était réservée, Allie fut accueillie par Jackie. Sans aucune cérémonie, celle-ci lui baissa son minuscule caleçon et lui ôta son haut avant de la faire asseoir sur le fauteuil de soins. L’adolescente ne tenta pas de se débattre, elle savait que cela ne pouvait qu’empirer les choses. Résignée, elle se contenta de replacer sa main entre ses jambes dès qu’on lui en laissa le loisir. Son sexe était complètement détrempé et son doigt glissait facilement entre ses chairs lubrifiées. Rendue impatiente par les évênements, elle ne pouvait s’empêcher de donner de petits coups de poignet dans le cadenas qui ornait sa fente imberbe.

— Est-ce que je peux jouir maintenant, s’il vous plait Maîtresse ?

L’orgasme qui montait du fond de ses entrailles était si imminent qu’elle ne se préoccupait plus des deux autres femmes. Elle voulait seulement jouir avant qu’on l’attache sur cet horrible fauteuil dans lequel elle n’avait aucune idée du temps qu’elle allait passer.

— Non, non ma fille. Arrête donc de te donner en spectacle, on dirait une chienne en chaleur. Aide plutôt Jackie à faire son métier et prépare-toi pour le taouage.

À contre-coeur, la jeune fille retira sa main avec un gémissement de frustration et rampa sur le fauteuil qui ressemblait plus à ceux qu’on rencontrait chez les gynécologues qu’à celui d’un salon de beauté.
Jackie y attacha la jeune fille tout en discutant avec les deux autres femmes. Elle lui fit tendre ses bras derrière sa tête et immobilisa ses poignets dans des menottes. Puis, elle fixa ses chevilles dans des bracelets. Enfin, appuyant sur le bouton qui commandait le mécanisme, elle la força à écarter les jambes jusqu’à ce que son entrecuisse soit totalement exposé. L’écartèlement était tel que les tendons de ses cuisses saillaient, durs et tendus, à travers sa peau fine. Ignorant magnifiquement les gémissements de l’adolescente, les trois femmes continuèrent leur conversation, ne lui accordant pas plus d’importance que s’il s’était agit d’un morceau de viande ou une toile étirée sur son canevas. Pourtant, le sexe de chacune d’entre elle frémissait à l’idée de ce qui attendait Allie.
L’adolescente se raidit lorsque Jackie extirpa le gadget anal qui obstruait son anus et y inséra l’embout du tuyau de son premier lavement. Les restes de lubrification qui subsistaient permirent à Jackie de l’enfoncer intégralement d’un seul mouvement. Elle sourit et s’amusa à le faire aller et venir entre les fesses de sa victime pendant quelques secondes.

— Tu aimes ça, petite salope ! Dit-elle en se penchant sur sa proie sans défense et en insérant deux doigts dans le sexe trempé de l’adolescente.

— Oui… mmmh… oui.

L’estheticienne continua à agiter l’embout quelques instants avant de le renfoncer complètement. Puis elle ouvrit le petit robinet de plastique et libéra le liquide chaud dans les intestins de l’adolescente. Elle continua à la pénétrer avec deux doigts pendant que son ventre se remplissait. Allie se cambra dans ses liens en gémissant de plus belle.

— Maîtresse !!! Cria-t-elle, lorsque Jackie retira ses doigts.

Ses yeux roulaient dans leurs orbites tandis que son plaisir s’interrompait, la laissant pantelante sur le siège gynécologique.
Sarah et Nicole gloussèrent en constatant la frustration de la jeune fille.
L’estheticienne attendit que le liquide ait fini de couler avant de retirer brutalement l’embout, permettant à l’adolescente de se vider bruyament dans le seau qui était disposé sous son entrejambe. Se bouchant le nez entre le pouce et l’index dans une mimique comique qui fit rougir Allie, elle alla le vider. Puis elle réinséra le manchon, se délectant de la grimace qui se dessinait sur le visage de sa victime.
Soudain, il y eut de l’agitation à l’entrée de l’arrière-salle, le rideau fut tiré et un groupe de sept femmes pénétra dans la petite pièce. Allie se tétanisa lorsqu’elles entrèrent, découvrant la vue imprenable qu’elles avaient de ses jambes écartelées qui offraient son intimité à la vue de toutes et du tuyau du clystère qui perforait son anus.
Sarah se tourna vers Nicole et dit :

— J’espère que ça ne te dérange pas, mais j’ai invité une équipe d’apprenties à assister à la séance.

— Bien sûr que non. Répondit Nicole.

— Bienvenue Rebecca. Je suis contente que vous ayez pu venir.

Et elle embrassa la jeune femme qui semblait mener le groupe.

— Répartissez vous autour de la pièce, les filles. Déclara Rebecca.

Et, à son plus grand désapointement, Allie assista, impuissante au déploiement des jeunes filles autour d’elle. Certaines d’entre elles se glissèrent derrière Jackie et se penchèrent en avant pour mieux la voir retirer le tuyau. Au comble de la honte, l’adolescente ferma les yeux avant de relacher ses sphincters, ejectant le liquide savonneux qui tinta au fond du seau dans un bruit retentissant. L’adolescente était effarée, mais elle ne put rien faire pour échapper à sa tourmenteuse. Désespérée, elle se mit à sangloter tandis que les jeunes filles emettaient des commentaires dégoûtés sur son impudeur et son manque de tenue.

— Ehhhh, mais regardez-moi ça !

— Mais c’est un lavement !

— Mon dieu, regardez son sexe, on dirait un petit cadenas !

Nicole fit quelques pas en avant et sourit.

— Les filles ! les filles ! Ne vous laissez pas impressionner par cette petite vicieuse obscène.

Elle contourna l’assemblée et se plaça de façon à être vue de toutes. Elle sourit, tandis que Jackie se frayait difficilement un chemin pour aller vider son seau. Elle se tenait devant son esclave et jouait négligemment avec le petit cadenas.

— Allie n’est qu’une petite salope lesbienne et nymphomane. Elle ne mérite même pas votre mépris, ce n’est qu’un jouet sexuel. Ajourd’hui vous allez assister à une nouvelle étape dans sa déchéance. Il est vrai qu’elle est entièrement nue et complètement immobilisée, mais c’est ce qu’elle souhaite et en plus, elle adore ça.

Nicole sourit en voyant plusieurs filles acquiescer de la tête et les autres se calmer.

— Bien ! Maintenant, laissons les professionnelles travailler.

Jackie revint avec une poire vaginale.

— Désolé mesdemoiselles, mais c’est le dernier soin avant que nous puissions commencer le tatouage.

Allie tenta de s’imaginer que tout cela ne lui arrivait pas vraiment. Elle s’efforça de garder les yeux fermés et rêva qu’elle se trouvait ailleurs. Elle poussa un glapissement à travers ses dents serrées lorsque la poire glissa entre les lèvres de son sexe et propulsa le liquide sentant l’eau de rose au fond de son vagin. Elle gémit de sentir son sexe violé devant toutes ces inconnues. Une nouvelle fois Jackie vida le réservoir au fond du ventre de l’adolescente et se retira, laissant le liquide s’évacuer dans le seau.

— Ok, nous pouvons commencer. Dit-elle en revenant vers le siège, rapportant une boite d’équipement avec elle.

— À quel motif as-tu pensé Nicole ? Demanda Sarah en observant Jackie œuvrer entre les cuisses de la jeune fille, essuyant son entrecuisse avec une serviette mouillée pour la préparer.

— Oui, bien sûr.

Elle fixa Allie droit dans les yeux en expliquant son idée.

— J’ai pensé à deux choses. Tout d’abord, je souhaite qu’il puisse être évident qu’Allie m’appartient corps et âme. Je veux que ça soit mentionné au niveau de son sexe, juste au-dessus de son adorable petite fente. Il faut qu’il soit mentionné : "Propriété de Maîtresse Nicole" sur une ligne et juste ne dessous : "Réservé aux femmes". Comme ça, tous ceux qui pourront voir son sexe sauront que cette petite pute lesbienne est ma possession.

— C’est relativement simple. Dit Jackie tandis qu’Allie refusait en remuant convulsivement la tête de droite à gauche.

Desespérée, elle tendit le cou et baissa les yeux sur son corps nu qui faisait face au spectatrices.

— Je vous en prie Maîtresse, pas ça.

Nicole l’ignora. Elle se contenta d’encourager Jackie d’une caresse sur l’épaule et s’approcha de la tête de l’adolescente. Jackie comprit immédiatement ce que Nicole attendait d’elle et s’empara d’un boule en plastique rouge qu’elle força entre les lèvres de la captive avant de la maintenir en place à l’aide de couroies qu’elle referma sur sa nuque.

— Maintenant, si nous ne sommes plus dérangées…

Elle décrocha un regard courroucé à Allie qui baissa humblement les yeux en reposant sa tête sur le siège.

— J’ai aussi pensé à une chaîne autour de sa cheville, une chaîne identique à celles que portent beaucoup de jeunes filles de nos jours. Elle eut alors une moue machiavellique. Cependant, celle d’Allie sera constituée de maillons un peu particuliers. Je veux qu’elle ait une chaîne de lesbiennes en train de bouffer des chattes autour de sa cheville. Ça sera génial.

Allie ferma ses yeux aussi fort que possible.

Jackie exhiba l’aiguille électrique et commença à dessiner l’inscription sur le pubis d’Allie. Elle suivait les instructions de Nicole à la lettre. L’adolescente tressaillit lorsque la pointe commença à faire son chemin autour de son sexe.

— Plus près, enroule le " Réservé aux femmes " autour de ses lèvres, juste à l’extérieur des lèvres.

Jackie s’exécuta.

— Maintenant. Continua Nicole, pique le "Propriété de Nicole" un peu plus haut, centre le au milieu du pubis, à l’endroit ou elle pourrait avoir des poils si je le lui permettais.

Jackie fit ce qu’on lui demandait.

— Plus gros.

L’estheticienne augmenta la taille des lettres.

— Comme ça, parfait.

Elle s’appliquait du mieux qu’elle pouvait, prenait toutes les précautions.
Allie sursauta une nouvelle fois lorsque l’aiguille commença son travail. La peau de son entrecuisse était en feu lorsque les premières lettres du mot "Maîtresse" se gravèrent sur son pubis.
Jackie prit son temps, s’interrompant parfois pour expliquer aux spectatrices comment il fallait tenir l’aiguille et quelles précautions prendre pour appliquer l’encre indélébile.
Lorsqu’elle en eut terminé avec le premier tatouage, elle se déplaça un peu et s’attaqua à la cheville de l’adolescente pour entreprendre un travail encore plus minutieux. De petites pointes de sang perlaient par endroits sur le pubis d’Allie, mais la douleur qu’elle venait de ressentir n’était rien comparé à celle qui venait de naitre sur sa cheville.
Elle prévint l’assemblée qu’il allait lui falloir un bon moment pour le deuxième tatouage. Les dessins étaient beaucoup plus complexes que les quelques mots qu’elle avait inscrit sur le pubis de la jeune fille.
Comprenant qu’il était temps pour elle de s’en aller, Rebecca et les jeunes filles s’en allèrent. Sarah les accompagna jusqu’à l’entrée et rabattit le rideau derrière elles.
Puis elle fit volte-face et déclara :

— Mon dieu, je n’en pouvais plus d’attendre qu’elles s’en aillent.

Elle contourna le fauteuil et s’approcha d’Allie dont elle s’empressa d’ôter le baîllon boule qui obstruait sa bouche.

— Merci Maîtresse. Répondit l’adolescente.

— Oh la ferme petite salope, je veux seulement que tu lèches ma chatte. Dit-elle d’un ton autoritaire.

Puis elle se tourna vers Nicole et lui demanda avec un petit gloussement :

— Tu permets Nicole ?

Nicole fit un petit signe de la tête pour acquiescer, mais Sarah n’avait pas attendu sa réponse et avait déjà déboutonné son pantalon qu’elle avait fait glisser sur ses genoux, exhibant son sexe adorable. Elle enjamba délicatement la tête de la jeune fille et, sans autre forme de procès, s’assit sur sa bouche.

— Maintenant suce-moi bien, petite pute. Et je ne veux pas t’entendre.

Distraitement, Nicole regarda un instant son amie enfourcher le visage de son esclave et reporta son attention sur le travail de Jackie. Celle-ci progressait lentement sur la cheville étroite d’Allie dont les jambes écartelées tremblaient de honte et de douleur. Elle trouvait ce spectacle exquis.
Allie commença à lécher le sexe de Sarah, s’appliquant à sucer et donner de petits coups de langues. C’était devenu une seconde nature pour elle, si elle savait faire quelque chose correctemement, c’était bien ça. Même entravée et torturée par la douleur, elle restait capable de sucer un sexe et mener sa propriétaire au septième ciel en un temps record. Sarah saisit chacun des tétons de l’adolescente entre le pouce et l’index et s’en servit pour maintenir son équilibre pendant qu’elle agitait son bassin sur le visage d’Allie.
Insensible à la douleur qu’elle lui occasionnait, sarah gémissait en frottant furieusement son sexe contre la bouche de l’adolescente. Elle tirait si fort sur les tétons qu’elle en arracha presque les anneaux lorsqu’elle atteignit son orgasme en tremblant convulsivement.
Allie poussa un cri lorsqu’elle sentit les anneaux étirer les pointes de ses seins, les allongeant de plusieurs centimètres.
Alors Sarah s’écroula sur son corps dénudé.

— Oh mon dieu… C’était carrément génial.

Lentement, elle descendit du siège et reprit pied par terre, s’écartant d’un pas mal assuré.

— Hmm ma chérie, je te récompenserai pour ce merveilleux service. N’est-ce pas Nicole. Demanda-t-elle en remontant son pantalon et en l’agraffant sur sa taille.

— Bien sûr Sarah, j’ai énormément aprécié le spectacle. Répondit Nicole en souriant.

Sarah quitta brièvement la pièce et fut de retour après une petite minute. Elle arborait un grand sourire et portait un godemiché ceinture. Elle l’agita devant les yeux de l’adolescente. Ceux-ci s’écarquillèrent. L’engin était monstrueux et mesurait près de vingt-cinq centimètres. Sa couleur était d’un noir profond.

— J’ai dû emprunter celui de Corinne. Elle s’approcha de Nicole et commença à enfiler le harnais. Ça ne te dérrange pas Nicole ?

— Pas du tout ma chérie !

— J’espère que le nouveau tatouage de cette petite pute ne signifie pas qu’il est interdit de la baiser avec un gode en plastique.

Les deux femmes éclatèrent de rire.

— Non, tant que la personne qui la baise à une chatte, c’est OK pour moi. D’autre part, son trou du cul est libre, il y aura peut-être un mec chanceux qui réussira à la sodomiser.

Elles rirent à nouveau pendant que Sarah finissait d’ajuster le harnais autour de sa taille, faisant bouger le sexe factice dont le poids occasionnait un lourd mouvement de balancier.

Elle s’approcha de la tête de la captive et appuya le gland en plastique contre ses lèvres.

— Embrasse-le.

Allie obéit. Un éclair de frayeur passa dans ses yeux. La taille du membre était vraiment impressionnante.

— Demande-moi de te sauter, espèce de petite salope.

Allie savait qu’elle n’avait pas le choix. Elle allait être baisée et ne pouvait rien faire pour y échapper. Soit elle le réclamait, soit Nicole la punirait plus tard.

— S’il vous plaît Maitresse Sarah, baisez-moi…

Elle avait employé une petite voix timide mais cela suffit pour faire naitre un grand sourire sur le visage de Sarah.

— Jackie, est-ce que tu as quelque chose pour lubrifier ici ? Je ne pense pas qu’elle soit assez mouillée pour m’accueillir comme il se doit.

— Si nous avons du lubrifiant ? Bien sûr… Elle tendit le doigt vers un placard.

Sarah y trouva un tube de gel intime et revint vers Allie. Elle se positionna entre les jambes écartelées. La position forçait les lèvres sexuelles à s’entrouvrir, comme dans une invite destinée à son énorme phallus noir. Elle ouvrit le tube et en répandit une grande partie sur la fente imberbe de l’adolescente. Celle-ci sursauta lorsque le gel froid s’étala sur son sexe torturé. Ensuite, la femme enduisit le godemiché dans une parodie de masturbation masculine.

Allie regarda Sarah positionner l’engin à l’entrée de son sexe. Elle procéda avec une délicatesse qui l’étonna, plaçant habilement la tête entre ses lèvres sexuelles, maintenant parfaitement lubrifiées.

— J’adore vraiment ton nouveau tatouage, ma chérie. Comme ça toutes celles qui te baiseront sauront à qui tu appartiens et quel genre de fille tu es.

Et elle s’enfonça dans le ventre de l’adolescente, écartant les lèvres intimes sur son passage, sur une profondeur d’une dizaine de centimètres. La jeune fille ne put retenir ses larmes lorsque Sarah se retira pour se renfoncer plus loin encore. À la troisième poussée, Sarah s’était enfoncée à fond. Elle s’immobilisa. Le cuir du harnais était appuyé contre la peau nouvellement tatouée du pubis de sa victime. La douleur était telle que celle-ci se mit à pleurer à chaudes larmes.

— Nicole, est-ce que ça te dérangerai de lui remettre son baîllon s’il te plait ?

Nicole retira sa main de sa culotte, s’empara de la boule de plastique et réduisit son esclave au silence avec une science consommée. Allie ferma ses paupières, les serrant si fort que les larmes s’écoulèrent par les coins de sees yeux. Sarah se mit à aller et venir entre les cuisses de l’adolescente sans défense.

L’agitation de sa patronne obligea Jackie à stopper son travail sur la cheville que les secousses faisaient trembler trop fortement. Elle se redressa, s’étira et regarda le spectacle, se délectant de voir la petite pute se faire ramoner.

Sarah imposa un rythme féroce à sa victime qui gémissait à chaque poussée. Chaque fois qu’elle s’enfonçait à fond, son bassin heurtait les chairs rendues sensibles par le tatouage, envoyant des milliers de décharges électriques dans son pubis. Chaque coup de rein lui occasionnait une douleur aigue qui se mélangeait au plaisir qu’elle ressentait au même moment.

Elle commença à perdre pied. Il lui semblait que la douleur était un complément indispensable à son plaisir, qu’elle alimentait l’orgasme qui commençait à poindre au fond de son ventre. Bientôt le timbre de ses gémissements changea. Elle arqua son dos à chaque fois que Sarah s’enfoufrait implacablement dans son vagin. De la transpiration ruisselait sur sa cage thoraxique et gouttait sur le vinyl noir du siège gynécologique. Ses sens étaient submergés par les sensations dans lesquelles la douleur se mélait au plaisir. Sa poitrine se soulevait et s’abaissait à un rythme infernal qui s’accordait à celui que lui imposait Sarah.

Les trois femmes s’emmerveillèrent de la réaction de l’esclave qui se convulsait de plus en plus sauvagement dans ses liens.

Une lumière blanche explosa dans l’esprit d’Allie. Elle laissa son orgasme éclater contre le sexe en plastique de Sarah et hurla de plaisir malgré le baîllon en plastique qui obstruait sa bouche. Et le néant s’empara d’elle.

*********************************

Lorsqu’Allie se réveilla, elle était étendue sur le sol de la chambre de sa Maîtresse.

Une douleur sourde tourmentait sa cheville et son pubis. Les souvenirs de son tatouage s’imposèrent à son esprit. Elle était marquée à vie. "Propriété de Nicole" Ces quelques mots tournaient dans sa tête. Elle tendit la tête et regarda son entrecuisse. Un bandage recouvrait son pubis, masquant le tatouage.

Un autre pansement entourait sa cheville.

Des larmes perlèrent à ses yeux.

Comment avait-elle pu en arriver là, elle voulait seulement être une fille sage

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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