Chapitre 26 : Coquette et Lauren 2
Coquette ouvrit la porte de la chambre de Lauren. Il y faisait trop noir pour voir quoi que ce soit
mais elle ne pouvait que sentir distinctement l’odeur de sexe qu’elle dégageait et qui lui collait à la peau comme une huile. Ça la suivait comme de l’ail, elle puait le
sexe.
Elle referma la porte dès que ses pupilles commencèrent à s’adapter à la pénombre.
Sur le lit, elle pouvait distinguer la forme sombre de Lauren qui dormait. En dépit du fait que sa Maîtresse l’obligeait à faire ça,
son estomac était noué par l’excitation. Elle avait toujours désiré cette jeune fille et aujourd’hui ses espoirs étaient sur le point d’être récompensés. Elle était certaine d’y prendre beaucoup
de plaisir.
Elle traversa la pièce et ouvrit les rideaux.
— Mademoiselle ! C’est l’heure de vous lever.
La teinte rouge de l’aurore envahit la chambre de la fille, révélant ses cheveux blonds
éparpillés sur ses oreillers en soie.
Elle s’approcha de la tête du lit, alluma la lampe de chevet de Lauren et murmura :
— Mademoiselle Lauren, c’est l’heure de vous réveiller.
Elle se pencha sur la jeune fille afin d’être sûre que son odeur musquée arrive jusqu’à ses narines et chuchota :
— Allez, on se réveille.
Lauren entrouvrit les yeux, s’étira et pris une grande respiration. Son odorat fut envahi par les effluves de sexe que dégageait la bonne. Surprise, elle bloqua sa respiration et ouvrit ses yeux en grand. Debout près d’elle, elle découvrit coquette. Cette dernière portait le plus étroit et le plus court des uniformes de domestique qu’elle n’ait jamais vu.
— Qu’est-ce que tu fais ici ? Demanda-t-elle en tirant les draps jusqu’à son menton pour masquer son corps.
— Mes fonctions ont changé, je suis affectée à votre service exclusif. Dorénavant, je serai votre femme de chambre et votre servante personnelle.
Lauren toussa, l’odeur musquée était vraiment concentrée, Coquette puait le sexe.
— Je n’ai pas besoin de ton aide, tu peux t’en aller.
Elle était effarée. Elle connaissait le projet qu’avait sa belle-mère de la marier à Tawnee Cantrell, un pur mariage d’intérêt qu’elle n’avait pas l’intention d’accepter. Elle voulait avoir une vie normale et se marier à un homme bien quand il en serait temps. A nouveau, elle se prit à rêver de s’échapper de cette maison de dingues.
— Mademoiselle, j’ai des instructions très STRICTES. Elles viennent de Madame votre mère
et répondent à tous vos besoins. Je serai très sévèrement punie si je la déçois.
Et Coquette s’empara des draps et essaya de les tirer hors du lit. Lauren
résista, s’y accrochant comme à une bouée de sauvetage.
— Ce n’est pas ma mère !
Elle détestait sa belle-mère mais elle ne voulait pas être la cause de tourments que pourrait endurer la servante. Elle n’imaginait que trop quelle flagellation ou autre torture sa belle-mère sadique pourrait prendre plaisir à lui infliger. Après tout, quel mal y aurait-il à laisser Coquette s’occuper d’elle.
— Ok, tu peux rester, mais je ne veux pas que tu traînes dans mes pieds. Dit-elle.
Elle laissa donc la servante retirer les draps, révélant son corps mince d’adolescente, vêtu d’un tee-shirt et d’une petite culotte en coton.
— Merci Mademoiselle Lauren.
Elle tendit une main et s’empara de celle de l’adolescente pour l’aider à se lever. Sans la lâcher,
elle attira la jeune fille vers la salle de bain. Celle-ci la suivit d’un pas nonchalant, abasourdie par le spectacle que produisait la jupe de coquette en révélant une partie de son postérieur à
chaque mouvement de cuisse.
Lauren roula des yeux, ça n’était pas possible. Elle se plaindrait à sa belle-mère
du comportement indécent de cette domestique. Lui faire ce genre d’avances à elle… Elle qui n’aimait pas les filles…
La jeune fille s’arrêta à l’entrée de
la salle de bain dans laquelle Coquette venait de pénétrer naturellement, comme le lui avait ordonné sa Maîtresse.
— Eh !... Qu’est-ce que tu fais ? Demanda-t-elle ?
Coquette s’arrêta, se retourna et battit des cils en regardant la blonde.
— Je ne fais que ce que l’on m’a demandé de faire.
Et, tel un perroquet, elle répéta les ordres de sa Maîtresse, se redressant légèrement sur ses talons pour paraître plus imposante :
— Choisis ses vêtements pour elle, nettoie sa salle de bain, fais son lit, coiffe la, maquille la et habille la.
— Bien, mais tu peux attendre que j’aie fini d’utiliser la salle de bains ? Peut-être que tu peux faire le lit pendant que je vais aux toilettes.
Lauren se dandinait d’un pied sur l’autre. Elle ne savait pas quoi faire.
— Mes ordres sont très précis Mademoiselle.
Et elle se déplaça pour laisser Lauren entrer dans la salle de bain.
L’adolescente hésita un instant puis haussa les épaules avant d’entrer. Elle n’avait aucune idée de ce qu’elle aurait pu faire
d’autre.
La pièce d’eau était assez grande. Un grand espace libre au centre, un wc dans un coin. Dans le coin opposé, une douche assez spacieuse pour
accueillir plusieurs personnes à la fois et, en face de la porte, une longue console surplombée par un gigantesque miroir mural.
— Pourquoi n’iriez-vous pas vous soulager pendant que je prépare votre douche Mademoiselle Lauren ?
Désemparée, l’adolescente se dirigea humblement vers les toilettes. Elle eut un regard vers Coquette,
pour s’assurer qu’elle ne regardait pas, puis, dans un mouvement rapide, baissa sa culotte et s’assit sur le siège. Elle fit son possible pour ménager sa pudeur, tentant d’échapper au regard de
la soubrette. Ses longs cheveux blonds formèrent un écran devant ses yeux à travers lequel elle regarda attentivement Coquette lancer sa douche.
Coquette s’employa à tourner le dos à l’adolescente pendant qu’elle se penchait pour atteindre le robinet. Sa position exposa son derrière
pratiquement nu à la jeune fille.
Sidérée par la légèreté et la transparence du sous-vêtement, la jeune fille
resta coite, bouche ouverte. Dans le même temps, elle entrevit un éclat brillant trahissant la moiteur de l’entrecuisse de la soubrette.
Outrée, la jeune
fille ferma les yeux et remua la tête, tentant de chasser cette image obscène de son esprit. Lorsqu’elle les rouvrit, Coquette s’avançait vers elle.
— Votre douche est prête Mademoiselle.
La jeune fille n’avait pas encore réussi à se soulager, elle commença à paniquer. Elle essaya de s’y forcer, serra les dents et poussa, mais rien ne vint.
Maintenant, Coquette se trouvait tout près d’elle.
— Allez-y Mademoiselle Lauren.
L’adolescente ne changea pas de position, tête inclinée sur la poitrine et visage masqué par ses cheveux. Elle n’arrivait pas à croire que cela puisse lui arriver. Elle tenta d’oublier ce qui se passait et se concentra sur son envie. Finalement, lentement, elle sentit l’urine sortir de sa vessie.
— Allez Mademoiselle, vous pouvez y arriver. L’encouragea Coquette.
L’adolescente ouvrit les yeux et les leva vers la petite brune. Aussitôt, elle le regretta. La soubrette se tenait juste devant elle. Comme elle était légèrement penchée en avant, ses deux tétons, qui s’étaient échappés de leur prison de tissu, pointaient directement à la hauteur de ses yeux. Elle les ferma à nouveau énergiquement fuyant l’embarras qui la minait. Elle se mit à uriner. La miction commença à couler lentement au début, elle poussa plus fort afin de précipiter le jet pour en finir plus vite avec cette situation humiliante.
Lauren sentit quelque chose effleurer ses lèvres, elle sursauta et ses yeux s’ouvrirent à nouveau. La surprise stoppa net sa miction. La soubrette s’était penchée sur elle pour attraper du papier toilette et ce mouvement avait plaqué l’un de ses tétons contre sa bouche.
Paniquée, l’adolescente tenta de repousser Coquette.
— Que fais-tu ? Ecarte-toi…
Elle ne put retenir quelques larmes qui se mirent à couler sur ses joues. Pourquoi tout cela lui arrivait-il ?
SLAP!
Lauren cessa de lutter et frotta sa joue à l’endroit où la gifle s’était écrasée. La domestique la fusillait du regard en serrant les dents tant elle était en colère.
— Ecoute-moi bien, espèce de petite garce…
La soubrette, semblant reprendre son contrôle, s’interrompit et sourit.
— Mademoiselle Lauren. Reprit-elle d’une voix plus calme.
Elle repliait le papier dans le creux de sa main.
— Vous devriez accepter la situation. Je sais qu’il y a beaucoup de moyens que votre mère AIMERAIT appliquer pour vous enseigner le comportement qu’elle attend de vous.
Elle eut un sourire hypocrite.
— M’accepter en tant que femme de chambre particulière est de loin le moins sévère.
Lauren se mit à pleurer de plus belle. Le visage couvert de larmes, elle sanglotait silencieusement.
— Et maintenant, Mademoiselle, est-ce que vous avez fini de faire pipi ?
Vaincue, Lauren approuva de la tête.
— Alors écartez vos jambes Mademoiselle, je dois m’occuper correctement de vous.
Les larmes ruisselèrent de plus belle lorsque l’adolescente écarta ses cuisses pour offrir son intimité à sa bonne. Coquette s’accroupit entre les jambes de la jeune fille et appliqua délicatement le papier sur la fente de Lauren. Elle introduisit adroitement le papier hygiénique entre les lèvres du sexe, tamponnant délicieusement les muqueuses pour en absorber l’urine qui les humectait.
Elle fixa l’adolescente dans les yeux.
— Je ferai de mon mieux pour satisfaire le moindre de vos besoins Mademoiselle.
Elle l’essuya une dernière fois et, toujours aussi délicatement, introduisit son majeur derrière le
chiffon de papier, le faisant coulisser légèrement à l’intérieur des parties honteuses de la blonde, se délectant du contact soyeux.
Lauren poussa un petit geignement à travers ses larmes mais ne se débâtit pas. Elle avait peur de recevoir une autre
gifle.
Coquette immobilisa son doigt au cœur de l’intimité de l’adolescente.
— TOUS vos désirs…
Et sur ce, elle s’interrompit et se redressa.
— Hmmm Mademoiselle, j’adore vous taquiner.
Elle se pencha à nouveau sur la jeune fille et glissa adroitement le papier hygiénique souillé entre ses cuisses avant de le jeter dans la cuvette des WC. Puis, devant les yeux horrifiés de l’adolescente, Coquette lécha langoureusement son doigt et lui sourit.
— Allez, jeune fille, votre douche est prête.
Elle fit un pas en arrière et, d’un geste d’invite, tendit la main à Lauren pour l’aider à se lever. L’adolescente saisit la main de la soubrette et se redressa, l’air perdu. Sans offrir de résistance, elle se laissa guider jusqu’à la douche. Dans un état-second, elle se laissa déshabiller entièrement.
Coquette admira le corps de la jeune fille.
— Vous êtes très jolie Mademoiselle. J’adore vos petits seins. Elle en empauma un. Choquée, la blonde baissa les yeux sur la main qui s’était posée là où personne ne l’avait fait jusqu’à aujourd’hui.
— Hmmm, je suis sûre que nous allons beaucoup nous amusez toutes les deux, vous n’aurez plus jamais envie de nous quitter.
Puis elle la fit pivoter de dos et lui claqua gentiment la fesse.
— Rentrez là-dedans, il est temps de procéder à vos ablutions.
Lauren pénétra dans la cabine et se retourna.
— Tu ne viens pas avec moi ? Demanda-t-elle d’une toute petite voix.
— Non. Gloussa Coquette. Pas aujourd’hui, mon adorable petite cochonne. Je vois bien que tu apprécies notre petit jeu, mais non.
Elle saisit les côtés de sa petite jupe et pirouetta sur elle-même.
— Je ne peux pas prendre le risque de mouiller mon bel uniforme. Peut-être demain… Je viendrais sans vêtements si vous voulez.
— Non, non ça va comme ça. Répondit la blonde dans un souffle.
Elle se dirigea vers le jet qui cascadait à quelques mètres d’elle.
Dès que l’adolescente se fut immergée sous le jet dru, Coquette alla s’asseoir sur le siège placé
devant la console. Elle glissa sa main à l’intérieur de sa culotte souillée et introduisit son majeur entre ses lèvres sexuelles. Rapidement elle se caressa, veillant à retrouver le même état
d’excitation qu’elle ressentait en entrant dans la chambre de Lauren.
Lauren prolongea sa douche aussi
longtemps que possible. Elle lava ses cheveux deux fois et, finalement, resta sous le jet, ne faisant rien, s’abandonnant à la douce caresse de l’eau.
Au
bout d’un moment, Coquette passa sa tête à l’intérieur de la cabine et déclara :
— Allez petite chérie, vous allez être en retard à votre cours de tennis.
La blonde ferma l’eau mollement et sortit de la douche en s’enveloppant dans l’immense serviette que tenait sa bonne. Celle-ci prit affectueusement l’adolescente dans ses bras.
Coquette sécha entièrement l’adolescente, passant derrière elle, n’oubliant pas une parcelle de peau. Abasourdie, Lauren se laissa faire. La soubrette s’était accroupie et lui frottait les jambes en admirant sa nudité. Puis, elle se servit de la serviette pour lui couvrir les cheveux, révélant la nudité de la jeune fille dans son ensemble.
— Vous êtes bien sèche partout ? Demanda innocemment la bonne.
L’adolescente approuva de la tête.
— Bien, alors asseyez-vous ici que je m’occupe de votre maquillage et de vos cheveux.
Elle la guida vers la chaise et la positionna face au grand miroir.
Pour commencer, la petite brune s’attela à sécher les cheveux blonds, elle tournait autour de la jeune fille, prenant soin de se tenir aussi près
que possible d’elle. Elle s’appliquait à appuyer ses tétons contre le visage de l’adolescente, les faisant frotter contre ses joues et même, deux fois, contre ses lèvres. Au bout d’un moment, la
timidité de l’adolescente prit le dessus et elle tenta d’échapper à l’emprise de sa soubrette, mais lorsqu’elle recula son visage, Coquette la gronda et lui dit qu’en agissant ainsi, elle allait
lui créer des problèmes avec sa belle-mère.
Enfin, lorsqu’elle en eut terminé avec le maquillage et la
coiffure, la soubrette fit lever la jeune fille.
Sans lâcher les mains de l’adolescente, elle prit un peu de recul et laissa ses yeux se promener sur le
corps dénudé de la blonde.
— Vous êtes vraiment très sexy Mademoiselle Lauren, j’ai vraiment du mal à me retenir de goûter à votre petit nid d’amour.
Lauren fit non de la tête faiblement. Les agacements incessants que lui avait fait subir la bonne, les
insinuations grivoises et le contact indécent avec ses tétons l’avaient plongée dans une espèce de torpeur inhabituelle. Des sentiments contradictoires l’habitaient. Elle se refusait à se laisser
émoustiller par le comportement et la tenue obscènes de Coquette, mais, d’un autre côté, elle n’éprouvait plus autant de répulsion que lorsqu’elle s’était réveillée. Son sexe la démangeait
légèrement et les pointes de ses seins étaient dressées, aussi dures que du bois.
Elle se prit à envisager que le doigt de
la soubrette se glisse une nouvelle fois entre les lèvres de sa petite fente.
La brune se rapprocha d’elle,
lui prit gentiment la main et la fit sortir gentiment de la salle de bain.
De retour dans la chambre, coquette choisit sa tenue : Un soutien-gorge de
sport serré, une mini-jupe blanche plissée, des chaussettes en coton assorties et une paire de chaussures de tennis. Enfin, elle sélectionna la plus petite culotte, la plus minuscule, que
contenait son armoire.
Puis elle aida l’adolescente à se vêtir, lui enfilant sa culotte et chacune de ses chaussettes, insérant délicatement chacun des petits seins à l’intérieur du soutien-gorge. La jupe vint en dernier.
— Maintenant, Mademoiselle, dites-moi ce que vous en pensez.
Elle se tenait juste derrière l’adolescente rougissante dont l’image se réfléchissait
dans le miroir.
Lauren se sentait toute bizarre, le regard de la soubrette dans son dos l’incommodait un peu et les évènements de la matinée tournoyaient
dans sa tête.
— Alors, comment vous sentez-vous ?
Comme dans un rêve, elle sentit, plus qu'elle ne les vit, les mains de la soubrette se glisser sous sa petite jupe.
— Ici ?
Elle sentit les doigts se faufiler sous le petit rempart de tissu qui couvrait ses parties honteuses et s’insinuer à l’entrée de sa petite fente.
— Oohhh vous êtes complètement trempée Mademoiselle Lauren, je ne me doutais pas que vous étiez si réceptive.
Et la soubrette se mit à masser délicatement le clitoris de l’adolescente.
La jeune fille émit un "Non" désarmé. Elle sentait un plaisir inconnu s’insinuer au plus profond de son ventre. Affaiblie, elle laissa Coquette se
livrer à ses manipulations sans opposer la moindre résistance et s’effondra contre elle en poussant un gémissement.
La
soubrette accompagna le mouvement et se laissa glisser par-terre en même temps que l’adolescente. Se positionnant au-dessus du corps abandonné, elle glissa aussitôt sa main contre les fesses de
la blonde, s’emparant de son intimité par derrière.
Lauren sentit les doigts de sa bonne serpenter au cœur de son
bas-ventre. D’abord un, puis deux qui se mirent à aller et venir à l’intérieur de sa vulve. Chaque mouvement lui arrachait un gémissement dont l’intensité allait en augmentant.
Brusquement, sans cesser de la tripoter, Coquette s’agenouilla entre les cuisses de la jeune fille et la débarrassa de sa petite
culotte. Ironiquement, elle ne put s’empêcher de se dire que l’adolescente ne l’avait pas conservée très longtemps sur elle.
Lorsqu’elle fut arrivée à ses fins, la brune s’inclina entre les cuisses offertes et se mit à lécher activement le sexe offert.
L’adolescente avait perdu la notion des choses. Seule l’extase grandissante qu’elle ressentait occupait son esprit. La
langue diabolique de sa bonne lui prodiguait des caresses qu’elle n’aurait jamais imaginées possibles. Au bout d’un moment, elle sentit le muscle chaud se concentrer sur le pourtour de son anus.
Deux doigts reprirent possession de son intimité tandis que la langue forçait les muscles de son sphincter.
Un orgasme fabuleux explosa dans son
ventre.
— OooOOOHHH MON DIEU !!!
Coquette sourit en se remettant lentement. Elle conserva ses doigts à l’intérieur du vagin de la jeune fille et l’aida à se remettre sur ses genoux. Elle ne les retira que lorsque l’adolescente tituba sur ses pieds, incapable de maintenir son équilibre elle-même.
— Pressez-vous jeune fille. Dit la brune en poussant doucement Lauren vers la porte d’entrée de sa chambre. Elle s’empara de la raquette de la blonde et la suivit dans l’escalier.
Ce ne fut que lorsqu’elle eut descendu la moitié des marches que l’adolescente réalisa qu’elle ne portait pas de culotte
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